"Encore un film, dont le "télécinéma" a été effectué à 25 images par seconde, et que j'ai dû restaurer à sa cadence originelle, pour ensuite vous y offrir, en sonorisation respectueuse du sujet, comme avec des titres d'époque, quelques musiques appropriées au discours du réalisateur.
Les soi-disants "restaurateurs" de films anciens en titre, comme actuellement en poste, sont définitivement des criminels en liberté, que l'on devraient envoyer derechef à Cayenne, comme pour quelques années ; ceci, dans le but, sans doute improbable, qu'ils aient le temps d'enfin admettre, que le Cinéma muet tournait à 16 images par seconde, et que la révolution du "sonore" à fait basculer ce dernier à 8 images de plus... Phénomène espace/ temps, qui détruit toute dramaturgie temporelle, exercée dans l'ancien procédé ; cependant toujours vénéré."
"Ce n'est pas ton indifférence qui me tourmente, c'est le nom que je lui donne :
la rancune, l'oubli.
David, César sera toujours César, et toi, tu seras toujours David, qui m'emmène sans m'emporter, qui me tient sans me prendre et qui m'aime sans me vouloir…"