Student in journalism, welcome to my world ! News, photos, travel... enjoy !
Don't wanna be here? Send us removal request.
Text
Embouteillages à Toulouse : le calvaire prendra fin !
S’il y a bien une chose que bon nombre de personnes ne supportent pas, c’est bien eux : les embouteillages. Classée dixième ville la plus embouteillée de France, Toulouse ne cesse de voir s’accroitre d’année en année, les embouteillages qui font désormais partis du paysage. Malgré cela, les conducteurs toulousains ne cessent d’emprunter les rocades, les périphériques, les ruelles étroites du centre-ville, tout en continuant de blâmer leurs confrères automobilistes.
Comment ne pas se retrouver dans ces embouteillages ?
Si les bouchons sont la hantise des conducteurs, il y a de nombreux moyens pour éviter de s’y retrouver bloqué. La première solution est d’éviter les « heures de pointe ». Comme dans toutes les grandes métropoles, les créneaux 8 heures du matin – 9 heures 30 et 16 heures 30 – 19 heures 30 sont à éviter. Tous les travailleurs arrivent ou quittent le travail dans ces envrions, ce qui n’aide pas le trafic à s’alléger. Les jours de la semaine où il y a le moins de monde et le plus de monde sur les routes sont également à connaître. Les lundis et vendredis sont les jours où il y a moins de personnes sur les routes. En raison des demandes de RTT qui tombent pour avoir un week-end prolongé, mais également le lundi car la vie économique n’est pas à son maximum. Les livraisons de marchandises par exemple, ne recommencent que le mardi. Le jour noir, à bannir, reste le jeudi, où les bouchons affluent de part et d’autre de la ville. Aux heures de pointes, il suffit d’une panne, ou d’un accrochage entre plusieurs véhicules pour que les voitures doivent rouler au pas. Alors un conseil : évitez de prendre la voiture.
Les transports en commun sont le numéro 1 que les utilisateurs préfèrent. La mise en place de la ligne A et B du métro toulousain a divisé de moitié le nombre de voitures sur les routes toulousaines. Mais il reste bon nombre de personnes qui cherchent à joindre l’aéroport, le secteur aérospatial, Blagnac et Labège, et qui ne laisse pas le choix aux automobilistes que de prendre leur voiture. C’est pourquoi une troisième ligne de métro, la ligne C, verra le jour en 2024 et reliera le site d’Airbus Colomiers au nord-ouest de l’agglomération toulousaine, à Airbus Defense and Space au sud. Même si cette ligne ne verra le jour que d’ici quelques années, elle risquerait fortement de soulager le périphérique toulousain ; la zone aéroportuaire étant l’un des plus gros employeurs de la ville.
Le tramway, est également, en plus du métro, l’un des moyens les plus rapides pour se rendre à des endroits non desservit par le métro, comme la ville de Blagnac. Mis en place en 2010 pour la ligne T1 et en 2015 pour la ligne T2, le tramway toulousain a permis lui aussi, aux travailleurs comme aux étudiants, et autres usagers des routes, à échapper aux embouteillages matins et soirs.
Les lignes de bus sont aussi, quant à elles, d’une utilité importante. La création de chaussées spécialement aménagées pour les voies de bus, permettent aux chauffeurs de se créer un chemin plus facile et plus rapide à travers les embouteillages toulousains. Les bus de l’agence Tisséo ne cessent d’être empruntés chaque jours, grâce à l’important réseau qu’ils desservent.
Il ne faut donc pas minimiser l’importance de ces réseaux de transports en commun, surtout que les agences Tisséo proposent des prix très attractifs, que cela soit pour les enfants, les étudiants ou même les seniors. Des prix bien plus avantageux qu’un plein d’essence par semaine…
Quand les nouvelles technologies nous viennent en aide
Mais il existe désormais d’autres solutions qui voient le jour au fil des années, comme les sites de covoiturages, les applications spécialisées, ou autres nouveautés. Blablacar, cette application créée en 2004 et qui conseil et propose les covoiturages partout dans le monde, ne comptait pas moins de 20 millions d’utilisateurs en 2015. Sophie, une utilisatrice de ce mode de fonctionnement explique : « cette application a changé mes trajets. Faisant les trajets tous les jours de mon lieu de travail à chez moi, je n’ai cessé de proposer des trajets à diverses utilisateurs, et, à chaque fois, j’ai quelqu’un dans ma voiture avec moi. En plus d’avoir un aspect économique, je ne suis pas seule lorsque je me retrouve dans les bouchons ! ». Ce système de covoiturage permet également aux automobilistes de ne pas prendre leurs voitures, ce qui en fait moins sur les routes.
Les Waze, Google Plan, et autres applications en tout genre permettent quant à elles, de fuir les bouchons. Ces utilisations permettent de calculer en toute rapidité, l’itinéraire le plus avantageux et le plus rapide pour fuir les bouchons. Encore faut-il que tous les automobilistes n’empruntent pas tous ces raccourcis, de risque de recréer des embouteillages ailleurs…
Alors transports en commun, covoiturages ou raccourcis, des centaines de possibilités existent pour ne pas se retrouver au milieu de ce capharnaüm de voitures. Et surtout si l’on doit se retrouver coincer dans ce balai incessant d’automobiles, un conseil : restez zen.
Fouillen Loïcia.
0 notes
Text
Portrait- Salah Abdeslam : du petit caïd des quartiers au djihadisme
Salah Abdeslam ou l’ennemi public numéro 1 en Europe est le seul survivant du commando des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Vagabondant pendant 4 mois, sa cavale a pris -presque- fin le 15 mars 2016 où une perquisition, qui devait être sans histoire, se termine en fusillade, blessant plusieurs policiers et tuant un terroriste. Salah Abdeslam fuit de justesse mais est rattrapé 3 jours plus tard à Molenbeek.
Mais qui est réellement Salah Abdeslam ?
Jamais personne ne se serait douté de voir naître en ce jeune garçon farrouche et rigolo, l’un des terroristes les plus recherché d’Europe.
Né le 15 septembre 1989 à Bruxelles, il est le fils d’un père ayant gardé sa nationalité française à la suite de l’indépendance de l’Algérie, et d’une mère marocaine naturalisée française. Etant le quatrième d'une fratrie de cinq enfants (trois garçons et deux filles), cette famille aimante et sans histoire, pas forcément religieuse, aime passer ses étés au Maroc, lieu où se trouve les principaux membres de la famille Abdeslam.
Le reste du temps, il grandit dans la banlieue populaire de Bruxelles, à Molenbeek. Il se forge une personnalité à l’opposé du terroriste : ne porte pas de barbe fournie, aime faire la fête, boire de l’alcool, fumer du cannabis, la compagnie féminine… Son quotidien est loin de l’école et plus dans la rue, mais il cherche une certaine stabilité en trouvant quelques « petits boulots », projetant même d’épouser une jeune femme de 2 ans son aîné. Une relation amoureuse saine et pure, mais un projet qui ne verra jamais le jour.
Le basculement dans la délinquance
A force de sorties et d’alcool, de fêtes agrémentées de drogue, Salah Abdeslam accumule les mauvaises fréquentations. Il noue des liens avec Abdelhamid Abaaoud, autre enfant du quartier, et le 15 décembre 2010, tous deux sont arrêtés pour un vol avec effraction en compagnie de deux complices. Ils effectuent un mois de détention préventive et sont condamnés à un an de prison avec sursis. Salah Abdeslam perd alors son emploi et sa fiancée décide de prendre ses distances.
Après la prison, sa trace est retrouvée en 2013 où il ouvre un bar en compagnie de son frère, Brahim, non loin de Molenbeek. Si le bar attire quelques habitués de la bonne bière, les voisins remarquent des « va-et-vient » de belles voitures, qui ne cessent de s’arrêter dans cet établissement. Le bar est devenu le QG des dealers du coin, forçant le maire à fermer le bar, une dizaine de jours avant les attentats de Paris.
La tourmente radicalisée
Les deux frères s’entendent si bien qu’ils partagent leur radicalisation. En 2015, son frère Brahim part en Turquie et est arrêté pour trafic de drogue à son retour. Son ami Abdelhamid Abaaoud est parti faire le djihad en Syrie. Salah Abdeslam est fiché, comme 80 autres personnes de Molenbeek, pour entretenir des liens avec des djihadistes du Moyen-Orient.
Salah Abdeslam devient le « chauffeur des djihadistes » et voyage beaucoup en Europe au court de l’année 2015. Il loue diverses voitures, souvent de luxe, pour faire passer les terroristes du Bataclan, du Stade de France, des terrasses ou de l’aéroport de Bruxelles. Il devient membre actif du commando.
13 novembre 2015
La suite, malheureusement on la connait… Environ 130 morts et près de 352 blessés. Salah Abdeslam devait faire exploser sa ceinture dans le métro du XVIIIe arrondissement mais ne le fera pas. De peur de mourir ? Son excuse est le fait que la ceinture aurait eu deux défauts. On ne sait toujours pas si celle-ci a été volontairement modifiée.
Après 4 mois de cavale, il est arrêté et se terre dans un mutisme sans nom. Son procès ayant début ce lundi 5 février, il n’a toujours pas l’air de vouloir dire quoi que ce soit. Il dit juste « mon silence ne fait pas de moi un criminel, c’est ma défense ».
Fouillen Loïcia.
0 notes
Text
Girls power à la BBC
Carrie Gracie, rédactrice en chef en Chine pour la BBC a annoncé sa démission ce lundi en affirmant que le groupe britannique prône une "culture salariale secrète et illégale" entre les hommes et les femmes travaillant pour la chaîne de télévision britannique.
Une volonté d'égalité salariale en 2020
L'institution avait révélé pour la première fois en juillet 2017 que les salaires annuels des dirigeants ainsi que des présentateurs, vitrines visuelles du groupe, étaient payés plus de 150 000 livres (soit 169 000 euros). Une liste avec pas moins de 200 noms et seulement un tiers de femmes, avec des salaires bien inférieurs à ceux du sexe opposé. A la suite de ces révélations en 2017, Tony Hall, le directeur général de la BBC, avait alors exprimé sa volonté de réduire ces écarts, avec pour objectif d'atteindre une égalité salariale entre les hommes et les femmes d'ici à 2020.
Soutenue par ses collègues
C'est dans son blog que Carrie Gracie évoque une "crise de confiance" au sein du groupe et rajoute que : « La BBC vous appartient (…). Vous avez le droit de savoir qu’elle enfreint la loi sur l’égalité et résiste aux pressions pour établir une structure de rémunération équitable et transparente. Je ne demande pas plus d’argent. Je pense être déjà très bien payée (…). Je veux simplement que la BBC se conforme à la loi et valorise hommes et femmes de manière égale. »
Suite à cette annonce, la journaliste a reçu le soutien du groupe BBC Women, qui réunit plus de 130 salariées de la chaîne britannique. Le groupe a publié un communiqué et appelle "la BBC à régler le cas de Carrie Grace et les autres sans délai et à s’occuper de l’inégalité salariale au sein de l’entreprise ». Seul l'avenir nous dira désormais comment les choses évolueront...
Fouillen Loïcia.
0 notes
Text
Un rachat qui fait des vagues
Au bout de presque 50 ans d’existence, Quiksilver a réalisé un coup de maître : racheter son plus grand rival qui n’est autre que l’entreprise australienne Billabong. Devenue Boardriders Inc en 2016, la marque Quiksilver va racheter les actions de l’entreprise australienne au prix de 1 dollar australien par unité. Cette fusion verra le jour courant début d’année 2018.
Une enseigne qui prend de l’ampleur
Quiksilver Inc. qui regroupe d’autres marques de sports extrêmes telles que Roxy et DC Shoes, pourra désormais compter parmi ses rangs les marques Billabong, Element, RVCA, Xcel et Vonzipper. Devenant ainsi un « géant de la glisse » grâce à la signature de cet accord qui vise à finaliser l’acquisition et l’intégralité de la société Billabong International Ltd.
Cette fusion est facilitée par l’actionnaire des deux grandes marques : Oaktree.
Après avoir risqué la faillite en 2010, Billabong s’est recentré et a pu profiter d’un refinancement des fonds Centerbridge Partners et Oaktree Capital. Seulement, depuis quelques années, les ventes s’échinent et le groupe a connu une perte de 77 millions de dollars. Grâce à cette fusion, Billabong pourra, fin 2019, sortir la tête de l’eau. Pierre Agnès, PDG actuel du groupe Boardriders, affirme aux Echos : « Oaktree nous a permis de mener un redressement spectaculaire. Avec sa filiale américaine (…) Quiksilver a pu repartir grâce aux équipes et à la puissance de cette actionnaire. »
Une volonté de garder chacune des identités des différentes marques
Dave Tanner, managing director de Oaktree qui deviendra le PDG de Boardriders a jugé :« ce rapprochement (…) très excitant pour nous tous qui partageons la passion des sports de glisse. Nous ferons tout pour préserver l'autonomie, la créativité et la culture unique de chacune des marques tout en mettant en place notre savoir-faire opérationnel pour accélérer leur croissance à l'échelle globale. Nous sommes heureux de former une seule et même famille avec Billabong, et sommes impatients de travailler main dans la main pour concrétiser tous les bénéfices attendus de ce rapprochement ». Pierre Agnès explique bien que chaque marque gardera son identité et ses équipes. Ainsi, aucune suppression d’emplois n’est prévue, bien que tous les groupes fusionnent sous la même enseigne. L’addition des marques cumulera donc 1,9 milliard d’euro de chiffres d’affaires grâce à leur dimension industrielle et commerciale (7000 détaillants et plus de 630 magasins dans le monde ainsi que 35 pays proposants des ventes en ligne).
Bartczak Charlotte
Fouillen Loïcia
0 notes