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Pour les Tourangeaux, les Ligériens, les curieux, les touristes,
le Printemps de l'Estampe
C'est maintenant et jusqu'au 26 mai.
Expositions, ateliers, initiations vous attendent !


#ville de tours#loire valley#visual art#estampe#gravura#serigraphy#linoprint#linocarving#lino art#linocut#xylography#monotype
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Bande de Pissenlits, estampe, gravure tétra brik sur cyanotype.
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"Sans l'idée du suicide, je me serai tué depuis toujours."
Nicolas Demorand, Intérieur nuit, 2024 citant Emil Cioran, Syllogismes de l'amertume, 1952
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Tracer son sillon, estampe, linogravure, mars 2025.
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Work in progress, avril 2025
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Dessins modèle vivant, encre de chine, craie, mars 2025.
Poses de 30 secondes à 3 minutes
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Du printemps 1. Cyanotype sur papier aquarellé, avril 2025
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Magie de l'exposition...
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Fils de Loire, Cyanotype encaustiqué, Fil à crochet, Aiguilles, Mars 2025.
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Enfin, lire du francais ! Tes illustrations tu en est l'auteur aussi ?
Merci ! Les illustrations ? C'est à dire les dessins, peintures, cyanotypes ? Ils sont de moi. Je suis avant tout une plasticienne.
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J’ai toujours aimé les femmes bizarres, les folles, les solitaires, les moches aux yeux des autres, les addictes.
Les énervées, les passionnées, imprévisibles.
J’ai toujours aimé les femmes au tempérament détestable, les obsessionnelles, les dépressives.
Les cinglées.
Créatives.
Les beautés étranges.
J’ai toujours aimé celles qui n’aimaient pas l’amour ou qui en avaient peur.
Les déraisonnées, les « mal faites ».
Les naïves.
Les lectrices.
Celles qui pensent parfois à la mort (parce qu’on ne peut aimer profondément la vie sans).
Celles en qui quelque chose ne tourne pas rond.
Les complexes, complexées, fissurées.
Les oubliées, mises de côté.
Troublées, esseulées, aux goûts enchevêtrés.
Qui croient dur comme fer en leur « truc ».
Les trop fragiles pour ce monde.
Perdues.
Multiples.
Contradictoires.
Les exilées sur terre.
Assombries.
Talentueuses.
Chanceuses infortunées.
Suicidées passives.
Incomprises.
Les « dans leur monde ».
Fainéantes, frénétiques par intermittences.
Mystiques.
J’aime celles qui sont prises pour des ratées, folles à lier ou illuminées.
Celles qu’auparavant on brûlait pour sorcellerie.
Les à-côté de la plaque.
Celles qui vont tout au bout de leurs mirages, jusqu’à les rendre vrais.
Mystifiées.
Confuses.
Fidèles à elles-mêmes.
À leur déraison.
Par amour du différent, de ce qui subsiste parfois de vitalité, de souffle naïf, tout au fond des êtres et qui n’est pas perdu. Cette despotique rébellion, cet intime tumulte.
Ces êtres en qui la déshumanisation n’a pas pu terminer son travail morbide.
En qui ça a cloché.
Celles en qui quelque chose de l’enfance est resté qui ne veut pas mourir.
Les poétesses.
Et ce mot n’est pas léger en moi.
J’aime pour toujours.
Celles qui ne sont pas l’ordinaire.
Qui ne sont pas la conformité.
Je les trouve magnifiques. Les vivantes.
François CORVOL, Les vivantes
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Dans mon automobile,
Je ne prendrai pas l'A69.
Dans mon automobile,
J'entends ronchonner les camionneurs.
Dans mon automobile,
en catamini,
Sur les petites routes, je file
Le coeur réjouit :
L'A69 est enfin abolie.
#texte court#texte libre#texte français#billet#humeur#textes en poème#joie de vivre#lillicub#citation#détournement
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Le ressentiment est un délire victimaire, délire non pas au sens où l'individu n'est pas victime il l'est potentiellement , mais délire parce qu'il n'est nullement la seule victime d'un ordre injuste. L'injustice est globale, indifférenciée, certes elle le concerne mais la complexité du monde rend impossible la destination précise, l'adresse, de l'injustice.
Cynthia Fleury
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Hiver Acide


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Tsunami.
On raconte qu'on entend un tsunami avant qu'il n'arrive.
Un chuchotis lointain et soudain une déferlante emplit ma cage thoracique. Elle me broye de l'intérieur.
Essayer les pensées positives, ne pas se laisser submerger par l'irrationnel.
On ne meurt pas d'une crise de tachycardie.
Mon souffle devient court. Je ne peux plus respirer. Mon coeur s'accélère encore.
Et là, ça bascule, point de non retour, paroxysme.
Il va s'arrêter à aller si vite.
Je vais mourir si je ne n'arrive plus à respirer.
Mal dans la poitrine.
Un infarctus.
Je meurs ici et maintenant.
S'habiller, vite, si je dois aller à l'hopital.
Geste saccadés, rapides, désordonnés.
S'habiller pour être présentable aux urgences.
Un éclair de lucidité, se jeter sur les comprimés magiques, les prendre vite. Attaque de panique.
Parfois et souvent en ce moment c'est ma seule arme.
La mort est toujours là, imminente. Mais au loin, lentement, les pensées rationnelles reviennent.
- "C'est une attaque de panique, ça va passer.
- Non je meurs !
- Non tu ne meurs pas, tu vois.
- Mais je te dis que si !"
Doucement, mon cœur reprend son rythme, ma respiration se fait plus longue, plus profonde, la douleur est toujours là, vivable. Encore la sensation de manquer d'air.
Puis une évidence :
- "J'ai pas mouru, une fois de plus."
Je suis la naufragée d'une tempête interieure, propulsée par des vagues violentes, prise dans des courants contraires, aspirée vers les abysses, ballotée de ci, de là.
Je suis vivante mais épuisée, désorientée, sans force, vidée emotionnellement et physiquement.
Échouée sur le canapé mais vivante.
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La cour de récré mondiale
Notre société mondialisée me semble bien étrange souvent. Chaque jour apporte son lot de sidération. Le matin, je me lève et j’ouvre mon appli France Inter. J’avoue, je suis une transfuge radiophonique, mes parents écoutaient RTL.
Vaquant à mes occupations matinales, mon oreille est agressée par cette info :
Trump veut faire de la bande de Gaza, une « côte d’Azur » du Moyen-Orient mais sans les Palestiniens et sous contrôle étasunien !
« Ouaouhhhh ! » est la seule réaction de mon cerveau. Je suis sidérée. Même Netanyahou l’a regardé, hébété, lors de cette déclaration. Pourtant, il lui a bien maché le travail ces derniers mois, destruction totale de tous les bâtiments, défrichage. Efficace, le mec ! Il a, certes, laissé quelques Gazaouis. Mais bon, ils iront habiter chez les voisins ! (Humour noir)
Le monde ressemble de plus en plus à une grande cour de récré. C’est mon côté prof qui ressort, sûrement !
Donald joue aux billes avec Vlad, Manu et quelques autres. Pas de filles. C’est dégoutant les filles et ça ne sert à rien ! Ils jouent à d’autres jeux aussi, des jeux de garçons, comme à celui qui fait pipi le plus loin. Plus tard, au collège et au lycée, ce sera, celui qui a la plus grosse.
Donald adore inventer de nouvelles règles du jeu, on ne s’ennuie jamais avec lui. Parfois, les autres protestent car les changements lui profitent toujours. De plus, lorsqu’on le contrarie, il devient tout rouge et menace de frapper. Vlad est celui qui parle le mieux le «Donald », il l’observe depuis la crèche. Il s’approche doucement du petit gros et lui susurre à l’oreille :
« Tu as raison, ce sont tous des couilles molles, toi tu es le plus fort, c’est normal que tu sois le chef, mais laisse-leur un petit truc », en lui glissant un petit sac de billes discrètement.
Donald, admire Vlad, il l’a vu un jour faire du cheval torse nu : un homme, un vrai. Alors, Donald s’adoucit, prend la parole et à témoin, la cour entière :
« Bon, d’accord, je change un peu mes nouvelles règles !
Ouaiiiis !!! Merci Dodo ! C’est toi le plus fort ! » clament tous les enfants.
Quelquefois, le petit Manu se rebelle, il prend une chaise, monte dessus et déclame en feignant la colère. Manu, quand il sera grand, il veut être acteur :
« Donald, tu heurtes mon âme éprise de justice et d’égalité. Songe à tous nos camarades, ils méritent d’avoir autant de billes que toi. Au fond de mon être, je suis convaincu que tu es bon, altruiste… !»
Les autres le laissent déblatérer un certain temps, puis ils éclatent de rire :
« Hé, Manu, tu descends ! » (Réf de Boomer, ou plutôt de génération X !)
Il quitte alors son piédestal, l’air digne et indigné et s’en va donner sa contribution à Donald. Vlad, le roi de la discrétion, lui file en douce un petit sac, en lui tapant gentiment sur l’épaule, d’un air entendu.
Xi régulièrement, s’approche du groupe et demande :
- « Hé, les gars, je peux jouer avec vous ?
- Nannn, va jouer aux billes avec ta mère ! », gloussent-ils en lui balançant quelques billes en aumône.
Xi les ramasse la tête basse. Il retourne dans son petit coin de cour, argileux. Il façonne alors des billes en terre, en rageant intérieurement :
« Vous verrez, quand je serai grand, ce sera moi le roi des billes ! »
Dans, le coin des filles, une blonde intrigue particulièrement Donald. Elle s’appelle Ursula et elle joue aux Legos dans la cour.
« Comment, ose-t-elle ? peste Donald, C’est un truc de garçon et le seul jeu autorisé, ce sont les billes. » Bien que dans le secret de sa chambre, il construise des "côte d’Azur" en Legos.
A une récré du matin, Donald, entouré de ses acolytes, s’approche sournoisement d’Ursula et crie, bien fort pour que tout le monde entende :
« Hé, tu sais, que les Legos, je n’en veux pas ici et puis c’est pas un jeu de filles, donne-les moi ! »
Ursula aimerait hurler NON, toujours est-il qu’un seul oui quasi inaudible sort de sa bouche. Elle sait, en tant que fille que si elle n’obéit pas, les insultes et les coups pleuvront. Alors, elle serre les dents et tend son sac à Donald, violemment et en pleurant intérieurement.
Donald est définitivement le roi de la cour de récré.
Dans les prochains épisodes :
Jean-Luc et Olivier se réconcilieront-ils ou une nouvelle guerre des boutons est inévitable ?
Vlad harcèle le petit Zelinsky. Donald lui accordera-t-il sa protection ? A quel prix ?
#texte court#texte libre#texte français#donald trump#fuck trump#politique#international#billet#humeur
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