mendax-unlocked - Tumblr blog

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I just wanna feel something deep (him inside of me)

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He's obsessed with your voice. He loves the way you whimper and just struggle your words out. He loves to to tease, he LIVES to tease you. He's so mean whe he asks what you want, just so he can deny it and command you to beg for it.

He's buried deep inside of you, barely able to hold himself up, panting heavily. He looks down at the pretty face you're making and he can't help but think that the only thing that would make it better is the sound of your beautiful voice.

"Tell me what you want, baby" he breathes in your ear, dropping his head down to your neck. He stopped moving. His hot breath hitting your heated skin. "I asked you somethin'~" he hums leaning back down to press kiss over your shoulder. You can practically feel his smirk in his voice.

"Please-" is all you're able to stutter out at first and it makes him grin onto your skin as he lifts his head to shake it at you. "Naw, I couldn't quite hear you princess,.. you should use bigger words for your needs?" there's this pout on his face, he's mocking you. Out of desperation you kiss him, in hopes that he could possibly forget about your loss of words.

He indulges you for a few seconds before pulling away and raising his eyebrow at you. That's when you realise he's serious; he really won't move an inch until you tell him exactly what you want. "Please-, just.. fuck me" you whine, you know it won't be enough for him but you hope it is because if he doesn't move in the next thirty seconds you feel you might combust. You honestly don't know what will combust, but something is definitely blowing up and its also gonna be you.

"Good start, baby, but it's not enough" he chuckles at your responding whine and buries his head into you neck chuckling. Although this is more than entertaining, he also has to hide the fact this is just as agonizing for him like it is for you. "How do you want it, hm? Tell me how you want me to fuck you." "Please, just fuck me. Fuck me hard. Fuck me dumb. Fuck me so hard you break me, the bed or the wall. I don't care just please fuck me" you desperately shout out in embarrassment.

He lets out an elated laugh, this is exactly what he wants to hear. He leans in to kiss you and ends up muffling the happy whine you let out when he finally starts moving. But quickly you feel dizzy, you're beyond coherent words at this point. You can't even think straight. He feels so good inside you that you almost go crazy. You instinctively grab at his skin, raking your nails over his shoulder blades. He loves being able to get you like this, he loves listen to you break like this. You and the pretty noises you make are all his to enjoy....

Kageyama, Tsukishima, Matsukawa, Kuroo, Atsumu, Suna, Tendou, Terushima (haikyuu)

Kaeya, Al-Haitham, Ayato, Itto, Scaramouche, Wriothesley, Dottore, Pantalone (genshin)

Geto, Nanami, Gojo, Toji (JJK)

Hisoka, Chrollo, Feitan, Phinks (HxH)

Rafayel (love and deepspace)

Leona, Lilia, Jade, Floyd, Ace, Trey (twst wonderland)

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forcing subs to beg for what they want is so fucking hot. telling them to use their words and that they'll only get it if they beg like a good slut. seeing them get all red and shy, claiming that they dont know how to or that they get too flustered and try to hide their face. grabbing their wrists and pinning their hands above their head and again telling them to beg. hearing them stumble over their words for them to only be edged for the night because they need to learn to use their words better

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fictional cock as a coping mechanism

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If you make super cute noises when you’re about to cum, why would I EVER let you? I’m just gonna keep you on edge so I can hear those pretty sounds until I’m satisfied~

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i made this instead of writing

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For any of my followers francophone– another rendez-vous à l'hôtel avec Julian Assange! This intro set the scene between Bianca- the 5 month employee of Wikileaks– and the editor in chief- Julian Assange. From what I gathered they have a battle of wits where she is impressed even more by his intellect and he by her sassy bravery. Then the chat becomes more personal as he asks of her other interests of which she mentions dancing….and we all know what that can foreshadow! I believe she left his room with plans to meet up again? Though after the sexy discussion about the red nails– I think Bianca should don a red dress to get his attention! (Although I think she already has it!) But for now Bianca has retired to her hotel room to tuck herself into bed wearing a My Little Pony nightie and a smile across her lips. 😗 Beaux rêves!

French Fanfiction - Part 1: Call me Bianca

FR: Voici la première partie de ma premier fiction sur l’univers de Wikileaks =P Elle sera en deux parties (dont la 2eme comportera une scène de sexe ;) ) Elle m’a été inspirée par @julianassangefanfiction (qui a supprimé son Tumblr T_T) *va pleurer dans son coin puis passe le serpillière pour essuyer le sol* Bref… je vous laisse avec cette première partie qui plante le décor. Bonne lecture ;)

EN: Here is the first part of my first fiction about Wikileaks universe =P It’ll be in two parts (the last with a sex scene ;) ) Inspired by @julianassangefanfiction (who delete her Tumblr T_T) *go cry like a manga character and clean the floor with a mop* Anyway…this first part set the scene. Have a good reading ;)

Subject here

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Des milliers de questions se bousculaient dans ma tête pendant que, guidée par ma curiosité que je considérais comme presque maladive, je me dirigeais vers les escaliers. Comment le rédacteur en chef avait réussi à avoir mon numéro ? Pourquoi voulait il que je monte dans sa chambre maintenant alors que j'étais tranquille entrain de discuter avec des collègues ? Puis cette façon de donner des ordres comme ça, ça m'irritais à un point…

Mais un de mes pires défauts était ma curiosité. J'étais du genre à toujours tout vouloir savoir sur tout et tout le monde. Un défaut qui me servait bien dans mon travail, j'étais journaliste chez Wikileaks depuis environ 5 mois. Mes compétences en informatique, en codage/cryptage, ma discretion et ma curiosité m'avaient permis d'obtenir ce job dans cette organisation. Et j'en étais fière. Même si je le cachais à mes proches, j'étais fière de travailler dans cette organisation qui osait se lever contre les puissants les plus corrompus, les plus pourris qui soient.

Mes pieds chaussés d'escarpins dont les talons de 7cm claquaient contre le carrelage couleur sable des escaliers, je gravissais les étages dans une démarche presque mécanique. Comme si mon corps et mon cerveau ne communiquaient plus ensembles. Ce dernier était perdu dans un brouillard de questions sans réponses. Qu'est ce qui m'attendais si j'allais à ce rendez vous imprevu et limite exigé par le redacteur en chef ? Qu'allait il se passer ? Sans doute voulait il me poser des questions pour savoir si j'ai pris mes marques dans l'organisation et connaître mes impressions après 5 mois de travail. A moins que je sois encore trop naive et qu'il veuille plus de ma personne. Si c'était bel et bien ça, pourquoi mon pas s'était soudainement accéléré à la vue du panneau avec gravé dessus « 2nd Floor » ? Et pourquoi mon cœur c'était soudainement mit à battre encore plus fort en me dirigeant vers sa chambre ? Allait on me voir ? Les collègues allaient ils se poser des questions ? J'avais prétexté un coup de fatigue pour pouvoir quitter la salle de conférence sans éveiller le moinde soupçon. Je savais qu'à partir de 20h un buffet serait dressé avec champagne à volonté. Celà me laissait environ 3h de battement.

Chambre 213, j'y étais enfin. Et maintenant ? Restait plus qu'à attendre Julian Assange. Je pris une profonde inspiration et me colla dos au mur face à la porte. J'appréhendais ce tête à tête inopiné. Ma curiosité allait finir par me porter préjudice un jour…

Je ne tenais pas en place contre ce mur. Mes pieds bougeaient, je croisais mes bras sur mon ventre, puis les décroisait. Mon tic me reprenait, l'ongle de mon index frottant contre les peaux contre l'ongle de mon pouce. Signe d'un stress, d'une anxiété grandissante.

De temps à autres, je regardais en direction de l'entrée de l'étage pour voir s'il arrivait. Sans regarder mon téléphone portable qui était dans mon sac à main, je devinais que les dix minutes allaient bientôt être écoulées.

Soudain, une silhouette apparut. Mon cœur manqua un battement à la vue de cette chevelure blanche si caractéristique. Bordel de merde le voilà… J'avais presque envie de me fondre dans le mur. Je ne pouvais plus faire marche arrière. J'avais accepté ce rendez vous, je devrais le vivre jusqu'au bout. Ses yeux bleu foncé me scannaient. Je les sentais presque rouler sur mon corps fin, sur ma petite taille. Il s'arreta en face de moi et affichait un sourire satisfait.

- « C'est donc toi la nouvelle arrivée dans l'équipe… »

- « Ou…oui c'est moi » dis-je, assez intimidée. Enfin je me retrouvais face à un des boss de Wikileaks

Il ouvrit sa porte et me fit signe de le suivre avec sa tête. Sa chambre était des plus banales, comme toutes celles de l'hotel où nous étions tous hébergés. Des murs blanc crème avec des rideaux bleu nuit et un lit double au centre de la pièce carrée.

Il ota sa veste noire qui posa sur le dossier d'une chaise et s'assit sur le bord de son lit. Il me fixait à nouveau alors que j'étais debout, droite comme un I. Etant dans l'organisation depuis peu, je désirais pas montre de suite mon véritable caractère et faire profil bas encore quelques temps.

- « Tu veux pas t'assoir? » me demande-t-il

Un brin sur le défensive, je m'assis à coté de lui. Bon sang qu'etait ce qui est grand ce gars. Je me sentais ridiculeusement petite à coté de lui. Je me demandais si de ce complexe par rapport à ma taille était pas né mon coté « brute de pomme ». Derrière mon physique de jeune femme fine et fluette, j'étais une personne qui machait pas ses mots. Je savais me montrer diplomate quand il le fallait, mais en dehors je disais ce que je pensais. Ce qui avait dérangé un bon nombre de personnes dans le passé.

- « Alors comme ça tu es la petite dernière de l'équipe ? »

- « Oui. Je m'appelle Bianca »

- « Bianca…c'est peu courrant ça »

- « Mes parents sont d'origines hispaniques. Je parle aussi bien anglais qu'espagnol »

- « Je vois je vois… Ca fait combien de temps que tu travailles chez nous ? »

- « Environ 5 mois »

- « 5 mois ? Et on s'est pas encore croisés physiquement ? »

- « Faut croire que non »

Il me tendit sa main longue et fine.

- « Enchanté Bianca. Quand on est tous les deux, tu peux me tutoyer. Et appelles moi Julian »

- « D'accord Julian »

Je la lui serra d'une poignée forte. Lui montrant à travers mes doigts que j'étais pas aussi timide que je le laissais présager.

- « Sacré poigne Bianca »

- « Oui »

- « Tu dois avoir une certaine force de caractère. Je me trompe ? »

- « On peux dire ça comme ça. Disons que quand j'ai un truc à dire je le dis »

- « Vraiment ? Alors vas y. Dit le fond de ta pensée »

- « Comment ça ? »

Il se mit à ricanner.

- « Oses me dire que tu te poses pas des questions. Oses me dire que tu t'es pas demandé une seule fois pourquoi je t'ai dis de m'attendre devant ma chambre »

Je restais sans voix. Il était beaucoup plus intelligent que ce que j'imaginais. Il avait comprit que je m'étais posé tout un tas de questions. Déjà rien qu'à la vue du premier sms venant d'un numéro bloqué je m'étais demandé s'il s'agissais pas d'une erreur, avant de croiser le regard de Julian. Dans ses yeux, j'avais compris que ce message était de lui, et qu'il m'était bel et bien adréssé.

Je me leva d'un coup du lit, bien décidée à lui montrer qui j'étais en réalité.

- « Comment as tu eu mon numéro déjà ? Qui te l'a donné ? »

Il ricanna à nouveau. Un ricannement que je trouvais limite insultant.

- « Je ne dévoile jamais mes sources. J'ai toujours garantis l'annonymat des sources d'informations. Tu devrais le savoir pourtant, Bianca »

Et c'est qu'il me prendrait pour une buse en plus… Je serra les poings et poussa un soupir.

- « Inutile de me prendre pour une débutante Julian. Ca fait peut être que 5 mois que je travaille pour Wikileaks, mais j'ai rien d'une bleue. Je suis pas la petite nouvelle a qui on commande des cafés et qui reste dans son coin à faire les taches ingates qu'on lui donne, le tout en faisant des sourires béats devant les supperieurs et qui dit « Amen » à tout. La première et dernière fois qu'un des co fondateurs de l'organisation m'a demandé d'aller lui chercher un verre d'eau en me prenant pour une domestique et lui pour un bourge, je lui ai dis de but en blanc qu'il était pas cul de jatte, que j'étais pas à son service, que le buffet était à 5 mètres et que tous les élèments prouvaient qu'il était tout à fait apte à se lever pour aller se servir. J ai peut être fais profil bas jusqu'à maintenant, mais il y avait des choses que je pouvais pas laisser passer. Et inutile de dire que cette façon que tu as eu de limite exiger ce rendez vous inopiné avec moi m'a assez irrité, mais ma curiosité limite maladive l'a emporté. C'est pas parce que tu fais parti des fondateurs de Wikileaks et que tu es le rédacteur en chef que tu dois croire que tout le monde est à ton service.»

Je me sentais soulagée. Enfin je montrais mon vrai visage, mon franc parler. Julian Assange avait pas bougé d'un pouce et avait eu les yeux fixés sur moi, avec toujours son putain de sourire qui me donnait envie de lui mettre une claque. Je venais de lui balancer au visage, telle une tarte à la crème,le fond de ma pensée. Et lui, il était resté sans bouger. Son regard bleu foncé m'ayant scanné pendant mon monologue, j'avais tant bien que mal reussi à dissimuler des coups de chauds incontrolés. Sans expliquer pourquoi, Assange dégagait quelque chose qui me déstabilisait. J'ai jamais eu de problèmes avec les hommes en général, même si mon franc parler en a rebuté plus d'un. Mais lui semblait plutot amusé.

Il se leva à son tour, me domninant par sa taille et se mit à me tourner autour. Les mains dans son dos, au niveau de sa chute de rein. Il tournait autour de moi tel un requin prêt à foncer sur sa proie. Il était un squale, et moi j'étais un ridicule petit poisson sur lequel il allait surement fondre.

Mais sans me laisser déstabiliser, du moins ne le montrant pas, je restais droite et je le regardais dés qu'il passait dans mon champs de vision. Mon regard croisant le sien, et je baissais pas les yeux.

- « Je vois que tu as du répondant Bianca, c'est bien. J'aime les femmes qui ont du répondant. Parce que les soumises qui me disant toujours « oui » et qui me cirent les pompes, très peu pour moi. Pour répondre à ce que tu viens de dire, je t'ai pas obligé à venir devant ma chambre. Je t'ai pas mis le couteau sous la gorge. Je t'ai juste donné le numéro de ma chambre. Si je t'ai dis d'y aller avant moi, c'était pour éviter que ça ai l'air trop suspect qu'on reparte ensembles, jeune fille. Je voulais absolument te connaître un peu, j'aime savoir s'il y a une bonne entente au sein de notre organisation. Et je pense qu'ils ont fait un bon choix en te prenant dans l'équipe. Tu es discrète, tu maches pas tes mots même si ça déplait, tu es très curieuse…parfaite pour bosser avec nous. »

Puis il revint sur le lit.

- « Mais parlons un peu plus de toi en dehors du travail, tu veux bien ? »

- « Si tu veux, mais libre à moi de répondre ou non à certaines questions »

- « Naturellement. Tu as des hobbys ? »

- « J'aime lire. A défaut de pas pouvoir voyager je découvre le monde dans des livres et des encyclopédies. J'ai fais de la danse moderne également quand j'étais plus jeune et il m'arrive de pratquer de temps à autres avec des amis »

- « Quoi comme danse ? »

- « Rock, modern-jazz, rock accrobatique. Puis je sais aussi danser la valse et le tango »

- « Oui, tu sais bouger ton corps on va dire. Avec féminité, grace, élégance, sensualité…»

- « On peux dire ça comme ça. Et j'ai jamais déçu mes partenaires »

Son sourire avait prit une autre tournure, et je lisais comme une étrange lueur de son regard. Je m'étais apperçue du double sens de nos deux dernières phrases, et je me demandais vraiment s'il était toujours question de danses connues et reconnues, ou d'une toute autre danse plus intimiste. Quelques pensées des plus concupiscentes prirent possession de mon esprit sans que je puisse rien controler. Une bouffée de chaleur me prit aux joues et au ventre à l'image de nos deux corps collés l'un contre l'autre. Je tentais de rien montrer, mais le corps etait un putain de traitre. Ça y est…j'étais vendue. Il avait noté mes joues qui étaient désormais pourpres. Il avait compris que j'avais compris de sens charnel de nos deux phrases.

Sans se défaire de ce sourire qui était à la fois insuportable et charmeur, il me lança :

- « Hum…je m'en réjouis d'avance. Ce sera avec un immence plaisir que je me laisserai tenter par une danse avec toi Bianca. »

Comprenant à quoi il jouait avec moi, je décidais de mettre les deux pieds dans le plat. Hors de question de jouer les timides.

- « Quel type de danse ? »

- « Hum…quelque chose de…beau, sensuel, charnel, torride… Avec une partenaire pas farrouche, qui écoute ses désirs et qui sait s'abandonner. Parce que c'est ça, la danse de couple. C'est certes suivre des régles très précises comme le respect et l'écoute mutuelle. Mais c'est également d'abandonner, se lacher… Tu me suis ? »

Pas la peine d'avoir bac+5 en littérature pour comprendre que notre discution avait prit une toute autre tournure. Il était plus question du rédacteur en chef qui discutais le bout de gras avec la nouvelle venue pour connaître ses impression au sein de l'entreprise. Je voyais devant moi un homme qui avait déclaré de façon subtile être attiré par ma personne. Je me trouvais pas si extraordinaire que ça, mais bon…admettons.

Mélanger travail et sexe pouvait être excitant, mais ça pouvait également attirer bien des emmerdes. Je tenais pas à être étiquetée « A baisé avec le redacteur en chef », parce qu'à la moindre augmentation, promotion ou autres privilèges, j'allais me prendre des « promotion canapé » et autres « quand elle se met à genoux c'est pas pour supplier ». Même si je bossais pour cette organisation pronant la vérité et la transparence, je me disais que toutes les vérités étaient pas forcément bonnes à dire.

Sans lacher son regard, je lui disais avec un certain applomb

- « Un peu oui que je te suis. Je vois parfaitement où tu veux en venir. Saches que je danses pas facilement, il faut me mériter. Et je danse avec quelqu'un SI JE VEUX»

- « Bien sur, je veux pas te forcer la main »

- « Danser avec quelqu'un loin du regard des autres, j'aime ça…Nous verrons bien ça après le buffet, et quelques coupes de champagne dans le réservoir »

- « Quand tout le monde sera trop occupé pour remarquer qu'il manquera deux personnes… »

Il tendit alors son bras et prit doucement ma main. Ce contact me fit frémir. Une décharge éléctrique parcoura ma colonne vertébrale et me saisit au ventre. Mon cœur s'était mit à battre de plus en plus fort.

Julian m'offrit un baisemain des plus galants et des plus doux. Ses lèvres égalaient la douceur avec laquelle il les avait posées sur le dos de ma main fine dont les ongles étaient mi longs et habillés d'un vernis rouge des plus classiques, mais tellement féminin et élégant.

- « Jolis ongles » dit il

- « Merci »

- « Rouge…une couleur si paradoxale. Symbole du danger, de la violence, du sang, de l'enfer… Mais également de la passion, de la sensualité, de la luxure… Tu le portes si bien Bianca »

- « C'est ma couleur préféré. Et saches qu'elle me correspond bien en tant que…danseuse »

Je recula de quelques pas, faisant glisser ma main hors de la sienne. Sans le quitter des yeux. J'affichais maintenant le même sourire que lui, fière de mon petit jeu.

- « Sur ce je vais aller me reposer un peu. Rendez vous à 20h au buffet »

Je posa ma main sur la poigner de la porte, puis tourna la tête vers lui en disant :

- « Chambre 169, premier étage »

Et lui offrit un clin d'oeil. Visiblement, il devait pas s'attendre à un tel caractère venant d'une petite nouvelle qui avait pas fait parler d'elle et qui avait fait profil bas. Maintenant, il savait qui j'étais vraiment. Et il semblait en être très amusé. Nos attentes étaient très claires l'un envers l'autres. Ce soir, j'allais vivre ce qu'on appelle « Zob in Job ». Paraitrait que le sexe dans les séminaires est monnaie courrante. Probablement une façon de relacher la pression. Sexe entre collègues, après tout pourquoi pas ? Mais sexe avec une personne au dessus de nous dans la hiérarchie…c'est culotté. Mais j'adore ça ! Etre culottée, sans gène…ça m'avait toujours amusé.

Une fois de ma chambre, j'ota mes escarpins et mon jean skinny noir. Il m'avait laissé quelques marques sur mes jambes fines et blanches. Puis déboutonna mon chemisier blanc qui alla rejoindre mon pantalon sur ma valise. Mes sous vetements étaient déparaillés, mais je m'en fichais complètement. Un tanga noir coupé au laser et un soutien gorge couleur chair, je m'en fichais qu'ils soient pas assortis.

En guise de tenue de nuit j'avais pris un large tee shirt gris foncé avec une tete de licorne dessus. Une jolie licorne blanche avec un crinière bleu turquoise et une corne dorrée. Je l'avais acheté pour le coté nostalgique, j'avais grandis avec « My Little Pony » version années 80/90.

Je m'allongea à même les draps et régla mon téléphone de sorte à ce qu'il sonne vers 19h30, au cas où je m'endorme. Je ferma doucement les yeux, un petit sourire heureux sur mes lèvres.

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Unlocking-Mendax ----> Mendax-Unlocked

I think if I ever get any time I will start a new fanfic series starring the irresistibly sexy Assangiebatch of course, but this time heavy on the fluffy romance.  In Unlocking Mendax I wanted to make him this kind of untrusting, guarded jerk that eventually opened himself up to the unconditional love this woman had for him-- but I just don’t see him that way anymore.  I see him as sweet, sensitive, and romantic-- but only in secret, and only with one woman who is lucky enough to be privy to his secret.  In this series I want to explore my “Secret Sweetheart” and experience Mendax Unlocked... ♡

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😊😊😊

"Unlocking Mendax" Chapter 5.2: Burning Passion

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Chapter 5 A London Affair

@luv-assangiebatch @teatime-with-sabrina-and-violet@ummzaksbest@mimichanelle @cumbermelikecrazy @hungerinmountjoy@anjaliauden@annashipper  @meanmisscharles @violetsburnbook7@rainbowjay2@geekgirl1 @roses-et-lilas  @ucbutudonotobserve@rjayeheron @tuttoegiallo @jenjenfish10@happilyhardarcade@daisymoder72@khanspets @221fakerstreet@diablosreine

TITLE:  A London Affair (…And When She Was Bad Series) CHAPTER NUMBER: Five  AUTHOR: kashmirgirl1976  WHICH BENEDICT: Benedict Cumberbatch (Behind the Camera) GENRE: Drama/Romance/Erotica RATING: Mature WARNINGS/TRIGGERS/AUTHORS NOTES: Language, Explicit Sex, Family Drama, Extramarital Affair FEEDBACK/COMMENTS: Are welcome…

Rating: R

Chapter 5 – The Carpenters Were Right about Rainy Days and Mondays

The clock buzzed seven o’clock as rays of sun pounced in the walls.  Clenching the bedsheet in my hand, I snuggled into the pillow.  “Fifteen minutes more please.”

Without fail, I stared at the ceiling, thumbing my nose at the outline I created for my first three months in the city.  I settled into a closet of an apartment.  Check.  I nabbed a gig at a bookstore, thanks to a friend.  Check.  I hooked up with an actor still unknown to me in a suite, higher than two months’ tuition. Wait.  What?

I wriggled, making the most of a warm bed and plush velvet blankets.  Julia Roberts, eat your heart out.  Okay, bad reference.  I glimpsed the nightstand.  No money or offers to accompany him to a week’s worth of events while in town.  Would I even go if he asked?  In the final throes of the last night, I wondered if I cheated myself my placing my eggs in the English man’s basket before sampling the other farmers.  

I blinked as the beams of light flickered in my eyes.  “I’m no good…”

Blowing out a series of breaths, I attempted to gain the control lost.  An aromatic scent eclipsed me.  I looked across the room.  A bouquet of roses in a glass vase tied in red ribbon set high and full on the coffee table.  I lifted the card attached to a bud after sniffing its sweet perfume.  

The card read, “Latanya, I value our time together.  In this short time, I chose never to second guess myself again.”

“How quick they become attached.”  I rubbed a hand over my chest.  You will not fall in love.  You will not fall in love.  You will not…

On the other hand, did I refer to myself?  In town seventy-two hours, and my stomach quivered. Dizziness ensued.  My temperature operated hot or cold on a dime’s toss.  The calamities coursing my body craved not a pill or syrup of relief.  Homesickness? No.  I forgot to call home.  Two postcards sat on the corner counter, awaiting postage.  Unanswered text lined my phone.  

Over a fellow whose movies or shows I never viewed. Nevertheless, his presence in my daily scheduled demanded an encore.  You’re a two-night stand at most.  Let it go.  

I leaped into bed, covering my head with the pillow.  My phone rang.  I screamed.  “Fifteen minutes I said.”  

My arm sung out toward the nightstand and by the third ring, I answered.  If I missed a call from my advisor, an eloquent excuse, such as, ‘My lover wore me out last night’, catalogued as feeble and uncreative, traits my writing despised.

The phrase, ‘Private Caller’ surfaced on my Android.  Last month, those two words spurred visions of bill collectors and dumped boyfriends, resorting to trips to a voicemail with a bland message and a pitiful beep.  What a difference thirty days made!  A smile hoisted me from the pillow.  

“Hey, you.”

“Hey, you too.”  The jaguar awakened.  His crooked smile resonated a roar, sleepy and pensive, across the phone.

My pulse skipped.  “This isn’t the morning after I imagined.”  

I wiped my eyes.  They glimpsed the vase.  “Thanks for the flowers.”

“I owe you.”

I giggled.  “That’s a debt I’m sure will repay itself two-fold.”

He grew silent.  “Every time I think of you I get thirsty.”

“What do you mean?”  I toyed with a lock of my hair.  Play dumb.  Get him to spill the beans after flicking yours.  You need a pep talk before your meeting.  Thirsty as in thirsty for some sexual release? Attention?  I agreed.  His eyes shook with a craving whenever I saw him and I quenched him when asked.                  Please tell me he did not look for pop cultural references better to communicate with me.  Don’t become problematic, my dear.  I walk to the bathroom, turning the faucet on the Italian marble tub.  The steam fumed the room.

“No,” He chuckled.  “When I look at you, I see the perfect cuppa.”

“Cuppa?  As in tea?”

“Yes.”  

Corny. The man’s verbal game demanded a tutorial.  One compared to Idris Elba or Tom Hiddleston.

“I remind you of tea.”  I covered my mouth, muffling the laugh I bellowed.  Poor baby’s trying hard.  You passed the audition.  Relax.

“You fascinate me.  I never had…”

“I’m your first in many ways, right?”

“Y-Y-Yes.  I meant no offense.”  He paused. “Honest.  I get in trouble a lot for saying the one things.”

“None taken.  The assumption was there.”  I smiled. “Although, no one’s likened me to a cup of brewed tea before.  You must be milk.  Cute.”

“Ah, cute.”  He sighed. “Do not liken me to an otter or something silly like that.”

“Excuse me?”  Was that a Sherlock reference?  I noted in my mind to research, research, and research throughout the day about this paramour of mine.  Stay in the now.

“Never mind.”  He laughed, but in a second, grew silent again.  “Sweetheart, I want to tell you something and I do not know how…”

Static and two clicks interrupted us.  “B, you’re breaking up…”

“Can you hear me?”

“No.  Wait.” I swayed to the right. Static.  I swayed to the left.  “I can hear you now.”

“There is a bit of information I edited.  I…”

The call dropped.  What was so important to tell me?

                                                               # # #

The morning crush of the Tube lulled me into a small nap on the train.  The punt of a kid’s fist against my arm woke me.  I tossed my earbuds into my lap, shooting the kid a look.  Remind me sort a prescription for the pill.

“Sorry.”  The boy, all of five and a few chocolates too many, slapped a hand over his mouth.  He gripped his toy Arabian horse.  

“No worries, kid.”  Back home, in Philadelphia, I would have punted him.  Today, such thoughts scored a dim light.

I replaced my earbuds and pushed play on my playlist. The echoes of Bush’s “Mouth” reverberated and I sank further into my seat.  These chords summed what I think of you, B.  

My knees wobbled against the side of the train. Breathless.  “Take that.”

“Huh?”

I shook my head.  The announcer declared the next stop and I stepped off.  I hustled to the bathroom, dumping thirty pence in the slot. I bent down, checking for heels, flats, and sneakers.  No need for an audience.  The anonymity of the empty room welcomed me.  I flung my purse and trench on the hook, pushing myself against the wall as the song progressed.  My phone vibrated.

“Hey, you.”  I puffed.

“Are you okay?  You sound out of breath.”

“I need your help.”  My shoulders tensed. “I’m slipping under…”

“Where are you?”

“I’m in a tube station bathroom.”

“Naughty girl.”

“Fast learner.”

“I am in the middle of a meeting.  But, I can help you.”  

“Whisper and somehow your voice will carry nonetheless.”

The ding of the elevator on his side heightened the racing of my heart.  “Hike up your skirt.”

Amid the announcement of the eight-thirty train, my breath hitched as my pencil skirt slinked my hips above my panties.  Satin rasped the back of my hand.  I slid two fingers into the wetness, swelling.  The tiled Pine-sol wreaked havoc on my nose, but I failed to care.  His voice dictated the path my senses staggered.

“How happy are you to hear from me?”

“Ecstatic.”  A moan fell from my lips as my index finger brushed my berry, slick and taut.  I preferred his long piano dancers, but a desperate chick handled what a moment offered.  

“Start slow.”

“It’s funny you say that…”

“Focus.”  He shushed me.  “Think of what I shall do to you the next time we are together.”

I turned my head to the side, pressed against the bathroom wall. “I don’t have a lot of time.  My meeting…”

“Well, then we will have to make this one count.”

                                                                               # # #

               I could be wrong, but my venture into the station bathroom added pep to a set of legs, wobbling from nerves.  After years of striving to make writing ends meet, the chance to start a new life perked my ambition.  The fellowship meant the world to me as writing coursed my body as natural as oxygen.  No fuck ups. No stuttering.  No imbecilic answers for meeting.  

What I gained in the rendezvous boiled down to a short-lived moment.  A big x marked the opposite ends of the school’s lift by yellow caution tape.  Narrow, marble steps leered in the background.  You’ve got to be kidding!  I looked forward to the Amazonian legs gifted me this season.

               “What floor can I find Dean Aston?”

               The receptionist ran her fingers, stubby and frail, alongside the listings.  Her hair, the tint of birthday party punch, blinded me.  “The fifth, Miss.”

               “The fifth?”  I sighed as I answered with a small nod.

               “Yes.”

               “The lift’s broken.”  I bit my tongue.  The moment of sharing the obvious passed through me like a kidney stone.  No shit.  

               “This too shall pass.”  She shook her head, giving me her best “What do you want from me?” guise.  “Sorry.”

               I eased out of my maroon wedges.  Dress stylish, they said.  Dress for success, they said.  Dress for the hammering to match your nails, they should have said.  My feet, covered in stocking braced by lace garters, trekked the ten flights.  My deodorant abandoned me on number five.  A gym membership yielded no new customer since the city fortified my lower half better than a treadmill or elliptical.  A toned tush to grapple in a pair of hands the size of baseball gloves? A splendid trade.

               Dean Aston met me at the foot of the stairs.  The older woman greeted me in a tan tweed suit and a shellacked bun.  “I could not find a more fitting metaphor for what the fellowship has in store for you.”

               “Believe you me, this experience is added to the list of thrills London has planned for me.”

               She ushered me into her office.  Honors from the Guardian.  A Ph.D.  A signed picture from the Queen ornamented the walls.  The honors rang true to her face, catlike and scrutinizing.  She refused to withhold her gaze.  

Dean Aston held out her hand for me to sit.  “I will make this quick.  You offer us as much as we offer you.  Your work is exceptional.”

“Thank you.”  No smiling. No cheesing.  Poker face on patrol.  “I’m honored.”

“May I ask what your project will entail?”  She clasped her hands on the desk.  She never blinked.  

“Romance and sex.”  I nudged my collar.  “Does the myth of the whirlwind exist in modern London?”

“Fascinating.”  One blink. She laid a finger on her chin.  “With today’s technology, I suggest it does not.”

No pictures of a family – not even a poodle.  How would she know?  Has she experienced her eyes rolling in the back of her head with a curl of her toes?  She preferred vanilla sex.  Missionary. Two grunts.  No mess or stress.  Done to preserve the kingdom.  “Looks can deceive.”

“Nonfiction?”  Her eyes danced.  Did she wish for statistics or pictures to spank her cherry after work?  

“A novella.”  I smirked, setting my characters in motion.  An English man and an American woman.  A titillating duo.  “A realistic novella.”

“With your background, I would have assume true stories as part of your portfolio here.”

My crossed my legs, trembling from the woman’s pushy demeanor.  “What’s easier to believe?”

She cleared her throat.  Two pauses later.  “The unimaginable.”

I grinned.  “Precisely.”

                                               # # #

The meeting ran thirty minutes late.  I hurried into the shop.  Showers misted the windows.  My umbrella, a distant memory, left on the train.  My bouncy curls beaten into an untamed, frizzy mane.  

“I’m sorry, Willie.”

“You look like a rain-kissed angel with her own halo.”  She perched cross-legged on the counter.  Her slate grey eyes, fringed in long, fake eyelashes, darted at me, before she reburied them in a tabloid.

“What do you have there?”  I hopped the counter as another compact book nerd fancying alternative seating. “Is that some fancy book-learning?”

“Lifestyles of the Rich and Stupid.”

“Is that the one with the topless chicks?”

Her translucent hand spun to the cover.  “Bingo.”

“It’s funny how that flies over here.”  I slapped my hand across my forehead.  

“Don’t bite the hand that may feed you.”

“I can’t write for such trash.”

“Are we a prude all of a sudden?”  Her voice, loud and full of bluster, radiated a sense of moral superiority.  

“What is that supposed to mean?”

“Nothing.”  She thrusted her chest and huffed.  “Absolutely nothing.”

So, your blatant rudeness meant nothing.  What a crock!  I stared at her, probing her face as she read.  She looked up, averting my gaze as I scrutinized her bold move.  She returned her eyes to the newspaper and cleared her throat.

“Look at that pair.”  She pointed to the breasts of a woman, inspiring the latter to topple the ground on a daily basis.

“Do you think they’re real?”

“No.  They are too firm.”

“I can sit my mug on them and she won’t flinch from the burn.”

We looked at each other, laughing.  I straightened some bookmarks behind me.  She folded the paper and sat on top of it.

“Why did you do that?”  I gasped, grabbing her arm.  

“Nothing.”  She tucked in her upper lip, shaking her head with vigor.

“Well, can I read it?”  I raised my voice, bored by the game she matched.  “What’s the big damn deal?”

“It’s trash.”  She slanted her body away from me.

“You slobbered over said trash a few minutes ago.”  I tugged at the newspaper.  Her legs glued to the surface.

“Latanya, why don’t you go in the back and fix yourself.” Pointing to my hair, she handed me a ponytail holder.

“My hair’s just fine.  It’ll air dry and I’ll remain fabulous.”  I tugged at the paper again.  For someone as petite as I am, her sturdy frame bounded tight to the wood.  

I raised my eyebrows.  Something was rotten in the state of this discussion.  “Why are you acting so goofy?”

“Seriously, I think you should go in the back.”  Her eyes refused to notice me.  Instead, she focused on chewing the same fingernails she spent twenty pounds on the other day.  “I want you to do some inventory.”

I snatched her fingers out of her mouth.  Don’t waste a good manicure, young lady.  “I finished what was left yesterday.”

“I’m sure there’s a box or two…”  She crossed and uncrossed her arms, fidgeting at a crazed pace.  Is she on some shit?

“What don’t you want me to see?”  

Hairs lifted off the back of my damp neck.  I checked the upper corners for imaginary security cameras. The space between us switched to an eerie capsule where I awaited the bottom fallen from beneath me.  Did jokesters or a cruel reality show watch me?

One final tug and she lifted herself off, standing onto the floor.  She walked to the back of the store, calling.  “Whatever you do, don’t say I never warned you.”

I flipped the pages.  My breath halted.  

What a lovely couple they made.

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In case anyone's interested in some extremely well-written steamy fanfic featuring the Benedict..

A London Affair - Chapters 1 -4

Just for those trying to sort the chapters.  I’ll work on Chapter 5 this weekend. My students tired me today, and with my son’s holiday recital, I don’t believe I’ll get it done tonight.  So this weekend for sure.

Enjoy!

TITLE:  A London Affair  AUTHOR: kashmirgirl1976  WHICH BENEDICT: Benedict Cumberbatch (Behind the Camera) GENRE: Drama/Romance/Erotica RATING: Mature WARNINGS/TRIGGERS/AUTHORS NOTES: Language, Explicit Sex, Family Drama, Extramarital Affair FEEDBACK/COMMENTS: Are welcome…

Chapter 1 - http://kashmirgirl1976.tumblr.com/post/134408149093/and-when-she-was-bad

Chapter 2 - http://kashmirgirl1976.tumblr.com/post/134416776433/chapter-2-classical-or-classless 

Chapter 3 - http://kashmirgirl1976.tumblr.com/post/134490069173/a-london-affair-chapter-3

Chapter 4 - http://kashmirgirl1976.tumblr.com/post/134552323673/chapter-4-a-london-affair

Tag: @teatime-with-sabrina-and-violet @violetsburnbook7

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This is so beautiful and my new header image, though the theme cuts a lot of it off...I’ve tried tweeking around with other themes that would showcase it much better, but so far have been unsuccessful.  I love this though!!!!

luv-assangiebatch I did this little edit, I hope you don’t mind. :)

For who doesn’t know it, unlocking-mendax is luv-assangiebatch‘s lovely fic about our lovely Assangiebatch. :) You can read it here:

CHAPTER 1 - 2 - 3 - 4 - 5.1 - 5.2

If you’re into Assangebatch hell like us you must read it NOW, and also check out her blog. I said now. GO. :)

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Ehehe yea no, he is some sort of supernatutal blonde sex-god, *aaaahhhhh!!!* And thanks for the follow-- this sideblog is just a good excuse to reblog more of that gorgeous, gorgeous face! ♡

elessar-undomiel reblogged this from luv-assangiebatch and added:

Contain yourself? DON’T YOU DARE!!! 😜Also, you brought me even deeper into Assangebatch hell so you’d better keep me company! 😁

You can count on that, my friend!! I’m happy to share my hell with you. ♡ Please feel free to check out my side blog unlocking-mendax if you need a fix. I haven’t written in awhile, and my writing is kind of crap compared to you guys, but it’s there if you ever need it!

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Hmmm I never thought about the "cameo" thing but I might be able to work something like that in at some point! Thank you so much for reading, and the sketch!! ♡

And yes goingonanadventurewithfrodo's fanfic is oh so lovely! ♡

After the fiery incident in the Gryffindor common room a few days ago, Harry and I must now hand in our wands to the Supreme Weirdo each time we read Unlocking Mendax (though here’s hoping that someday the author will have a leaker cameo from either Bradley/Chelsea or Eddie–or both?), and any more hacker fanfic. Don’t worry about the wait; we’re patient. For the meantime, I drew a snogging–if neck or shoulder snogs are possible, because I cannot do lip snogs–couple… I tried.

_Marilu Garcia

P.S: Also reading–and re-reading–the equally intense Julian fanfic written by goingonanadventurewithfrodo.

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Fanficking Julian

Ah, yes, hackers! Fictional or real, young or old, creators or saboteurs (but for a good cause), with the occasional truth-tellers and Gryffinclaw Eddie, we can’t help but marvel at their wicked computer skills–depends on how they use that hacking–and because of our sick minds, we also like to imagine what they do outside of their truth-telling and their cyber-crusades.

This day today, in our ongoing quest for hacker fanfiction, we will introduce ourselves to luv-assangiebatch, a fellow blogger who brings the finest in sexy, sexy hacktivism from Australia and Britain…but we aren’t yet certain if he’s still in the Ecuadorian embassy in London, is he? What’s that, we ask? Why of course, it’s Julian Assange from WikiLeaks–albeit the Potterwholockian Fifth Estate version of him played by Benedict Cumberbatch–and from all the chapters of Unlocking Mendax that Gryffinclaw Marilu and Slythindor Harry were able to get through whilst accidentally setting the Gryffindor common room on fire and screaming “CALL SNOWDEN!”…for all we know, it’s going to be cosmically explosive!

<credit to cuntlyff>

_Wizard Entertainment Insightful Reviewing Department

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"You've been such a bad, bad girl..."

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Dad: Well now it's just the two of us, let's catch up on some tv!

Dad: *puts on car show*

Me: *opens tumblr and starts reading Unlocking Mendax while keeping my phone out of sight*