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L'#intersectionnalité est le mot d'ordre des luttes actuelles : féminisme, antiracisme, luttes LGBT+... Etendard ou repoussoir, qu'est-ce que ce concept, quelle est sa portée subversive ? Comment les diverses récupérations militantes l'ont-elles trahi ? Et surtout, comment le repenser, en revenant à ses fondements, dans une perspective émancipatrice ? Voilà les questions abordées dans cet article.

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Dans ce beau livre d'entretiens avec Thibault Isabel, le philosophe Dany-Robert #Dufour se raconte. Un parcours rocambolesque et atypique que rien ne prédestinait à la philosophie, au service d'une pensée critique originale. Un penseur radical, exigeant mais plein d'humour ! La meilleure façon de découvrir ce philosophe important mais trop méconnu !

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Nouveau livre d'#Onfray, un éphéméride de 2020 plein d'ironie et d'humour qui retrace toutes les folies et les délires d'une civilisation déclinante. Rire du nihilisme ambiant, sourire des absurdités quotidiennes qui saturent le monde... Bonne lecture !

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John Muir fut un pionnier de l’écologie naissante au XIXème siècle. Fondateur du Sierra Club, l’une des plus anciennes organisations de défense de l’environnement, il fut également à l’origine de la création du Yosemite Park. Préserver les solitudes, texte inédit en français, nous plonge au cœur des parcs naturels américains du XIXème siècle, en offrant un récit naturaliste saisissant tout en inspirant la réflexion sur la préservation de la nature sauvage.

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Biographie croisée du Général de Gaulle et de François Mitterrand, le premier incarnant la droiture du pouvoir mis au service de la grandeur de la France et du peuple français, l'autre le cynisme d'un homme prêt à tout pour prendre le pouvoir, compagnon de route de l'extrême droite, traître à la gauche et à la France... Bonne lecture !

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Peut-on se passer d’institutions ? Peut-on vivre sans Etat, sans police, sans travail... ? Peut-on abolir les normes instituées ? Avec Spinoza, et contre les discours qui nous font croire qu'on pourrait "vivre sans" institutions, Lordon répond à toutes ces questions : non. Dès lors, il nous faut assumer les institutions comme émanations de la collectivité. Et se poser la seule question qui vaille : quelles institutions ? Bonne lecture !

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Un essai qui analyse les effets de l'hégémonie (néo)libérale sur le monde pour en tirer un projet concret : la Garantie Inconditionnelle de Subsistance - différente de tous les revenus de base. Quel est le fond philosophique et anthropologique du libéralisme ? Le marché. Le marché qui absorbe tout, même la liberté. Cet essai présente les avatars du libéralisme néo et ultra, part à l'assaut du monde hors des logiques destructrices du marché et analyse la zombification du monde. Surtout, cet essai propose un projet articulé et cohérent pour remettre le don au centre de la société. Bonne lecture !

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Michel Onfray revient, plus en forme que jamais. Au menu de ces chroniques satiriques et ironiques et de ces entretiens pour la presse écrite : la crise du coronavirus et l'impéritie gouvernementale et journalistique. Un humour mordant, une ironie décapante, mais aussi un terrible acte d'accusation de l'Europe maastrichtienne et du néolibéralisme qui détruit tout !

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A partir de l'épiphénomène Zemmour, quelques réflexions sur la liberté d'expression, la censure, les  médias... C'est-à-dire sur la constitution d'une opinion publique éclairée, et les stratégies qui concourent à sa destruction. Bonne lecture !N'hésitez pas à commenter et partager, tout débat contradictoire est bienvenu !

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Renouer avec l'exigence de la pensée critique, c'est renouer avec le politique. Pour cela, il faut démonter les stratégies médiatiques qui asphyxient la pensée, la raison et détruisent la possibilité même d'un espace public. Un livre féroce  contre tous les maîtres-causeurs, ces professionnels du bavardage médiatico-politique qui vident les mots, réduisent la philosophie à néant. 

Les stratégies du vide passées à l'épreuve de la critique... Bonne lecture !

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Une réédition du premier livre publié de Jean-Claude Michéa en 1995, Orwell Anarchiste Tory, augmentée d’un long texte inédit du philosophe. Michéa, en dressant le portrait philosophique de l’anglais George Orwell, se dessine en creux, tant l’on sent que les enjeux, les préoccupations, les méprises également, de la pensée d’Orwell sont aussi ceux de la pensée de Michéa. Ce livre allie le souci pédagogique de restituer la pensée complexe d’Orwell dans sa cohérence interne tout en l’intégrant dans le contexte social-historique d’une époque, celle du milieu du XXème siècle traversé de guerres et de misères, à la densité philosophique d’un véritable essai qui tâche de penser le monde.

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Clément Rosset avait demandé à son ami et traducteur Santiago Espinosa que parût, après sa mort, un texte qu’il qualifiait lui-même de « biographique ». Il s’agit d’Écrits intimes, dont, pourtant, le caractère intime ou biographique n’est que très secondaire. Les 4 textes, de petites nouvelles drolatiques et parfaitement plaisantes, « ne dévoilent, paradoxalement, aucune intimité ni ne fournissent un repère biographique quelconque au sens propre de ces termes » ainsi que le reconnaît Santiago Espinosa en introduction. Entrons donc dans cette étrange biographie, sorte d’éclat de rire posthume, testament littéraire par lequel Clément Rosset lègue à ses lecteurs sa fantaisie, ses manies et ses lubies, et par-dessus tout son humour.

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Ni vraiment une histoire de la philosophie, ni tout-à-fait une histoire de la peinture, cette histoire de la philosophie par la peinture balaie deux millénaires de philosophie occidentale sous le regard artistique mais aussi symbolique des peintres. Ainsi, ce sont 33 philosophes, du présocratique Pythagore au déconstructeur Jacques Derrida, dont les portraits croisés picturaux et textuels nous sont présentés par Michel Onfray. Un bel objet, pour les amoureux de peinture et les amateurs de philo !

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La question animale s’est imposée, ces dernières années, comme un des sujets les plus chauds du débat public. Pourtant, force est de constater que les admirateurs des animaux autant que leurs détracteurs ont une symétrique incapacité à penser l’animal pour ce qu’il est et n’est pas. Aimer n’est, pas plus que détester, une bonne façon de comprendre ni de connaître, sans doute pas de défendre non plus. Dominique Lestel, philosophe qui s’intéresse à l’animalité depuis des années, et plus généralement au vivant dans son ensemble et aux rapports – souvent pathologiques – des humains au vivant, propose avec Nous sommes les autres animaux ce qui semble être une bonne synthèse, accessible et rapide à lire, de son travail.

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L’Union Européenne tue l’Europe. Et la France dans l’Europe. Pour recouvrer sa place en Europe, la France devra à son tour tuer l’Union Européenne. Dans cet article, je n’essaierai pas de vous convaincre de la nocivité de l’Union Européenne, ni de l’absurdité de l’Euro. Je ne propose pas de démontrer en quoi l’Union Européenne est structurellement un outil de destruction des peuples, de leur souveraineté et donc de la démocratie ; ni en quoi elle est bâtie sur le credo ordo-libéral ; ni en quoi elle rend impossible tout projet émancipateur en France. 

La question qui m’occupe ici est de savoir comment mettre à terre l’UE, selon quelles modalités et quelles stratégies. De nombreux acteurs politiques ou académiques sont pour une sorite de l’UE et de l’Euro, pourtant, ils n’arrivent pas à proposer une stratégie commune ni véritablement convaincante. Voici une proposition qui me semble plus crédible pour mettre à terre le Moloch maastrichtien. 

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Pourquoi les villes, les municipalités, les communes ne serait-elles pas demain les points centraux de la démocratie ? Par démocratie, je ne parle pas ici du fait de voter, de recourir à des référendums locaux, de palper le pouls des gens dans des concertations dites citoyennes ; je parle de tout ce qu’il y a en amont de la décision, ce qui fait que la démocratie est vivante : la délibération, l’élaboration d’idées, le partage, le fait de côtoyer ses concitoyens, et non de vivre juxtaposés les uns à côté des autres. Pour cela, l’urbanisme peut nous être d’un secours inespéré. Par exemple en proposant des lieux de rencontre, d’échange, d’expression, de philia au sens grec.

Une proposition concrète pour bâtir des agoras au coeur de nos villes !

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Qu’est-ce que le socialisme ? présente deux courts textes inédits du philosophe Jean Jaurès – et j’insiste sur ce mot. Deux textes qui entendent retrouver les origines du socialisme et qui affirment sa nécessité philosophique et morale. 

Socialisme, humanité, justice, société, patrie, économie, valeur... Voilà quelques uns des concepts que retravaille dans ces petits textes Jean Jaurès. Un livre facile à lire et court mais dense et passionnant !