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Le blog de ShinBuKan Paris
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Dojo parisien, ShinBuKan dispense des cours de Iaido (sabre) et de Jodo (baton) en relation permanente avec le Japon. Pour plus d'informations, visitez notre site : ShinBuKan Paris - - - Pourquoi arborons-nous une libellule ? La libellule est le symbole des Samourai. Lire la suite
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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Crumble pommes et rhubarbe sans gluten
Pour fêter la reprise de nos cours au Dojo, Dominique Anne nous a préparé un crumble aussi délicieux que bon pour la santé.
Elle nous donne le secret de ses ingrédients :
# pâte sablée : - 175 g de farine de manioc (et /ou de riz, de châtaignes) - 75 g de purée d'amande - 75 g de sucre cassonade (ou de coco)
# garniture : - 1,5 kg de pommes et de rhubarbe (coupées en dés) - 100 g de sucre roux - 1/2 cuillère à café de poudre cannelle - 1 jus d'orange et son zeste
#  cuisson : au four à 220°, 30mn
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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Visite à Iga, un tour chez les ninjas
par Anne-Laure
Quand on parle ninjas, on peut penser à ces personnes en noir, visages masqués et évoluant furtivement dans la nuit…
Mais qu’est-ce qu’un ninja ? Un ninja est une personne qui pratiquait l’espionnage, le sabotage, l’infiltration et l’assassinat. Le terme ninja date du XXe siècle et on peut utiliser aussi le terme shinobi. Les ninjas avaient des méthodes non conventionnelles qui les distinguaient des samouraïs. On pouvait louer leur services mais après l'unification du Japon au XVIIe siècle, les ninjas sont devenus moins présents.
Lors d’un séjour au Japon, j’ai pu me rendre à Iga, ville de 90 000 habitants entre Osaka et Nagoya, située dans la préfecture de Mie. La ville d’Iga se trouve dans l’ancienne province d’Iga, connue pour être le berceau des techniques ninjas (ninjutsu) tout comme l’ancienne province de Koga.
Lorsqu’on arrive à Iga en train, on est tout de suite dans l’ambiance, le ninja étant omniprésent… Voici quelques exemples :
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Direction le parc Ueno avec son château appelé Hakuho (le château du héron blanc). Construit à la fin du XVIe siècle, il abrite encore aujourd’hui les plus hauts remparts du Japon (près de 30 mètres de haut !).
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Son donjon a été reconstruit en 1935 en bois comme à l’origine et peut être visité. Dans le donjon, un musée expose des objets dont ceux du clan Tōdō qui régnait sur la région.
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Et finalement où sont les ninjas ?
Toujours dans le parc, on peut visiter le musée ninja Iga-ryū, ouvert en 1964. On peut visiter notamment une maison traditionnelle ninja. La visite commentée permet de se rendre compte que :
le ninja n’était pas réduit à une personne furtive habillée en noir. Ses missions d’infiltration ou d’espionnage le menaient souvent à s’habiller autrement et à se fondre dans la masse : en paysan, marchand…
la maison d’une famille ninja regorge de cachettes pour les objets (trésors ou armes) et les hommes : demi-étages d’observation, murs pivotant, trous sous le plancher ou sous les portes coulissantes et plinthes… Les ninjas devaient être prêts à attaquer ou à sortir de leur maison rapidement. En tant que visiteur, on ne peut qu’être surpris !
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les ninjas ont des techniques d’attaque et de défense faisant appel à plusieurs types d’armes ou explosifs. Certaines armes étaient cachées dans des objets du quotidien : chapeau, flûte… Une démonstration des techniques ninjas a régulièrement lieu dans le musée. Cependant aucune photo ou vidéo n’est autorisée pendant la démonstration.
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Iga n’est pas qu’une ville de ninjas. On peut visiter plusieurs lieux, notamment :
le musée mémorial de Matsuo Bashō, un des poètes japonais du XVIIe siècle les plus célèbres. Il est considéré comme l'un des quatre maîtres classiques du haïku japonais. Iga est sa ville natale
le musée du festival Ueno Tenjin avec exposition des chars (danjiri) et des masques de démons utilisés pendant le festival.
Et faire un tour du centre ville et des environs !
On peut aussi voir Chacha, le chat ninja, dans le salon de thé Murai Bankoen à Iga. Quand il n’a pas ses habits, il se repose tranquillement près du poêle !
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Pour plus d’informations sur la ville : http://www.iga-travel.jp
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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shinbukan-paris-iaijo · 5 years ago
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Un Art martial à armes inégales !
par Christian Becquereau
Dans les arts martiaux, que ce soit à mains nues ou avec des armes, les combattants sont à armes égales. C’est le niveau technique du combattant qui fait la différence. En jodo, l’attaquant (Uchi dashi) est armé du redoutable sabre du samouraï et celui qui est attaqué, le jodoka (Shi dashi, « celui qui reçoit »), n’est muni que d’un malheureux (!) bâton, « jo » en japonais. Le combat est à armes inégales. Du coup, c’est une toute autre affaire !!! C’est ce qui fait le caractère unique du jodo parmi les arts martiaux.
Cette inégalité oblige le jodoka à des prouesses. Il n’a pas le choix face au sabreur. Il doit vaincre ou être vaincu. Le jodo, c’est l’apprentissage de prouesses. Pour un tel résultat, les aspects techniques et physiques sont insuffisants.
Ce déséquilibre d’armement entre les 2 combattants peut justifier qu’il y ait deux arts dans la pratique du jodo. Il y a le Seitei Jo composé de 12 katas codifiés (ZNKR Jo).  C’est par ce Seitei Jodo que l’on débute. Ces 12 katas servent de références aux passages de grades et compétitions dans le monde. Cela va du 1er dan au 8e. Le 1er dan étant qualifié de ceinture noire dans certains arts martiaux.
L’autre jo, se nomme Shinto Muso Ryu qui signifie « école ». Il s’agit du jo inventé par le Samouraï Muso Gonnosuke, développé dans le Han Kuroda (domaine féodal), se transmettant de génération en génération comme un bien précieux. Ces techniques, telle la botte de Nevers, étaient gardées jalousement afin de pouvoir vaincre en toutes circonstances, en cas de conflit. La réticence de ces Kuroda à transmettre leurs technique de jo, fait de lui l’un des derniers arts martiaux à sortir du Japon et à être transmis à l’occident (sa présentation en mai 1920 au Budo Taïkaï et à partir de 1930 le Jo moderne commença à prendre forme.). Cela se traduit par un nombre d’adhérents encore faible.
Le Shinto Muso Ryu (Jo) relève du Budo (guerrier). Lors de sa pratique la notion de victoire ou de défaite est perceptible. Les distances (MAII) entre les combattants sont plus courtes ; le timing « action-réaction » est resserré. Le Ushi Dashi (sabre) ne doit pas avoir le temps de respirer. Son fondateur Muso Gonosuke, en 1605, gagne sur le meilleur samouraï du pays. Avec de l’entraînement et un très bon sensei, le pratiquant perçoit que ces techniques sont issues de l’année de recherche de M. Gonosuke tant auprès des paysans que dans les monastères.
C’est un art où chacun éduque la stratégie de son corps, son émotion, son esprit, le sens du placement et du timing. Nous pourrions dire que c’est le cas des autres arts martiaux, sauf que cette fois les combattants s’affrontent à armes inégales. Ce déséquilibre donne une intensité qu’il faut apprendre à ne pas confondre avec l’urgence, afin d’être relâché la plupart du temps, de dépenser le moins d’énergie possible dans le combat, et de créer les surprises.
Le sabreur est un expert décidé à ne laisser aucune chance à son adversaire. Sa prise d’initiative de l’attaque lui donne un avantage certain. Son arme redoutable et son adresse font le reste. Le jodoka ne peut même pas se permettre d’être touché à quelque endroit du corps par le katana (sabre du samouraï). Même s’il arrive à échapper à la mort, la moindre blessure a un prix beaucoup trop lourd à payer. C’est dire l’exigence que requiert l’apprentissage du jodo. Bien sûr en jodo, le sabre est en bois et se nomme bokken.
Le défenseur, jodoka, ne dispose que d’un bâton. Il a 2 avantages : la longueur de son « arme », plus longue que celle du bokken, d’une trentaine de centimètres et sa maniabilité. Le 1er apprentissage consiste à ne pas perdre l’avantage de cette petite mais précieuse longueur supplémentaire à aucun moment que ce soit par une erreur de placement, ou par une mauvaise posture des bras (du corps).
En fait, le fond de l’apprentissage consiste à vaincre la peur, la 1re limite des Hommes. D’ailleurs, les techniques du jodoka sont tellement précises que cette intensité est ressentie également par le Taïchi, c’est-à-dire l’attaquant au sabre. Bien sûr, l’enseignement du sensei est majeur pour que cet état de Budo électrise les combats. On peut dire que le Jodo est une philosophie au sens de la définition de Luc Ferry : « c’est la recherche du salut sans faire appel à une divinité ». C’est en ce sens que certains pratiquant auront la sensation qu’il s’agit aussi d’une démarche spirituelle. L’étiquette militaire du jodo en serait sa liturgie.
C’est l’un des attraits de cet art martial si particulier.
Dans la vraie vie, on est rarement à armes égales. L’école Shinto Muso Ryu ouvre des horizons inconnus. Ce contexte unique crée une tension particulièrement intense. Sans un corps et des mains expertes et une disposition d’esprit concentrée, notre pauvre Jo (bâton) est insignifiant face au redoutable bokken. Le défi consiste à être plus redoutable encore que le samouraï qui nous défie. Cela s’apprend plutôt dans le Ko Ryu.
L’habileté du jodoka devient tellement menaçante que l’attaquant ne peut qu’abandonner. Au fil des entraînements, le jodoka apprend à prendre l’avantage dans toutes les phases du combat.
 Finalement l’attaquant ne peut que se rendre… vaincu.
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Stage Iaido et Jodo ouvert à tous le samedi 23 juin
Le 23 juin prochain, Shinbukan dojo propose un stage animé par Dominique Losson, Iaido 6e Dan Renshi et Jodo 5e Dan, de 13h30 à 17h30. L’organisation sera la suivante :      - 13h30 à 15h30 Jodo      - 15h30 à 17h30 Iaido
Nous proposerons aussi des initiations. Elles se dérouleront pour le Jodo de 14h30 à 15h30 et pour le Iaido de 16h30 à 17h30.
Ce stage aura lieu à l’ARPE, 20 Rue Charles Fourier, 75013 Paris.
Pour plus de renseignements : http://shinbukan-dojo.chez-alice.fr/
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Journées portes ouvertes de l'ARPE, samedi 09 juin
texte et photos de François
Ce fut l'occasion pour Shinbukan dojo de proposer au regard nos deux belles disciplines (Iaido & Jodo).
Cette présentation débuta par une démonstration de Iaido et de Jodo (exécution de 5 kata pour chacun).
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Après cette introduction, Christian, qui avait fort opportunément préparé un discours de présentation, est intervenu pour décrire l'esprit du Jodo.
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Une initiation de Jodo a suivi. Élodie expliqua les premiers gestes nécessaires à la bonne tenue d'un Jo, pour ensuite inviter l'auditoire à pratiquer quelques kihon et le premier kata.
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Plus tard, une présentation verbale du Iaido était effectuée par Jean-Claude.
Après quelques gestes indispensables à l'utilisation d'un bokken, ont débuté quelques figures apparentées à certains kata de Iaido.
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Pour conclure, Myho et Jean-Claude exécutaient quelques kata. 
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Les maîtres qualificatifs de ces démonstrations furent rigueur, investissement et... bonne humeur, ... évidemment !
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Les portes ouvertes de l’ARPE auront lieu samedi 9 juin. Vous pourrez découvrir et essayer gratuitement ses activités sportives et culturelles, entre 10h et 18h. Nous serons présents pour vous initier au Iaido (13h-14h) et au Jodo (14h-15h).
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Le Kiai du chaman mexicain
par Christian Becquereau
Kiai (japonais), Chi-yi ou Qi-i ou Fa-sheng (en Chinois), Het (en vietnamien) ou Kihap (en coréen), désigne, dans les arts martiaux, le cri de combat qui précède ou accompagne l’application d’une technique. Ce cri est utilisé notamment pour marquer une volonté d’action, ou bien pour perturber la concentration de l’adversaire. (Wikipédia)
L’usage du Kiai semble plutôt exister dans les arts martiaux qui utilisent des armes (?). Dans la pratique du jodo, le kiai est déclenché, légèrement en retard, par rapport au tout début de la technique, comme pour « pousser » la technique.
Un jour, mon Sensei a évoqué une de ses anciennes lectures qui met en scène un chaman. Je me suis empressé d’acheter ce livre, je l’ai trouvé dans une édition bien fatiguée (L’herbe du diable et la petite fumée de Carlos Casteneda).
L’auteur, Carlos Castaneda, étudiant américain s’intéresse aux plantes médicinales, plus particulièrement hallucinogènes. Il traverse la frontière vers le Mexique afin d’y trouver ces plantes et des connaisseurs. Son guide lui fait rencontrer un Mexicain don Juan qui se révèlera être un chaman. Carlos cherche à approfondir les effets du peyotl. Avec le peyotl, Carlos fera la rencontre de Mescalito (!?) Don Juan enseigne comme un chaman. Il entreprend l’initiation progressive de Carlos. Au bout de plusieurs années l’auteur interrompra son initiation, trop terrifié.
À un moment, Carlos est attaqué par autre chaman ; non par un chaman dans la voie du cœur, mais par un chaman diableros. Carlos sera en grand danger. Son « maître » lui donnera des indications pour qu’il ne soit pas vaincu. Et notamment l’usage d’un cri (!) au moment le plus risqué pour sa vie. Laissons Carlos raconter :
« don Juan m’explique : si le péril devenait extrême, je pourrai faire appel à l’ultime moyen de défense : jeter quelque chose sur l’ennemi. Il eût été préférable de lancer un objet-pouvoir mais je n’en possédais pas. Je me servirai d’un caillou. […] Cette technique, insista-t-il, s’imposait en dernier recours, si la vie se trouvait effectivement en danger. En lançant l’objet je devais lancer un cri de guerre, un hurlement dont le pouvoir dirigerait l’objet vers son but. Il me recommanda avec insistance d’être prudent et avisé avec ce cri, de ne pas en faire un usage au hasard mais seulement sous des “conditions extrêmement sérieuses”.
 Je voulu savoir ce qu’il entendait par “conditions extrêmement sérieuses”. Il m’expliqua que cette clameur, ce cri de guerre restait avec l’homme pour toute la durée de sa vie et qu’il importait d’en choisir un bon dès le début. La meilleure méthode pour obtenir un cri de guerre correct était de contenir une hâte et une peur naturelles jusqu’à se sentir submergé par un sentiment de puissance, alors seulement le cri jaillirait avec force et précision. Telles étaient les conditions sérieuses requises pour l’émission du cri.
 Je lui demandai quelle était la nature de la puissance qui devait m’envahir avant de pousser cette clameur. Il répondit qu’il s’agissait de quelque chose qui courait à travers le corps provenant du sol. Cette force faisait jaillir le cri ; bien contrôlée, le cri serait parfait.
 Je m’inquiétais de savoir s’il prévoyait pour moi quelque incident. […] La peur s’insinua en moi ; je le suppliai d’en dire davantage. […] Il savait certainement que quelque chose allait se produire.
 [après 48 h d’épreuves à la même place] La rosée matinale était rafraîchissante. Je me sentais bien mieux. […] Il était six heures moins douze lorsque don Juan ouvrit doucement la porte et sortit. Il étira ses bras, bâilla, me jeta un coup d’œil. Tout en continuant à bâiller, il fit deux pas vers moi. J’aperçus ses yeux m’observant entre ses paupières à demi closes. Je sursautai ; je savais que celui, ou ce qui se tenait devant moi n’était pas don Juan.
 Je saisis un caillou dans ma main, un caillou coupant. Il se trouvait là sur le sol, près de ma main droite. Je ne le regardai pas. […] En quelques secondes une étrange vigueur monta dans mon corps. Alors je hurlai en lançant le caillou dans sa direction. Mon hurlement me parut magnifique. À ce moment peu m’importait de mourir ou de survivre. J’eus l’impression d’un cri terrible par sa puissance ; perçant et long, il dirigeait mon projectile vers son but. Devant moi le personnage vacilla, poussa un cri perçant et disparut en chancelant… pour s’enfoncer à nouveau dans les buissons.
 Après avoir raconté cet épisode au vrai don Juan, celui déclara : “Tu as bien agi. Tu as gagné la bataille pour la reconquête de ton âme” ».
Nous pourrions croire que le kiai est une pratique purement asiatique. Dans son autobiographie, à un moment, Carlos est en danger de mort. Son chaman don Juan lui transmet l’ultime protection dans un esprit budo ; esprit budo, car l’adversaire est un diableros. Un simple caillou n’en serait pas venu à bout. Or, il chancelle, pousse un cri perçant, s’enfuit et ne reviendra plus. Cette histoire donne un autre angle de vu du kiai. PS : Ce livre est passionnant à condition de se rendre enseignable (!) Les leçons de vie sont originales…
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Daimyo, Seigneurs de la guerre au Japon
photographies par Élodie et François
Belle exposition jusqu’au 13 mai au Musée Guimet (sur rotonde du 4e étage et à l’hôtel Heidelbach), ainsi qu’au Palais de Tokyo qui propose une scénographie de l’artiste George Henry Longly.
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shinbukan-paris-iaijo · 7 years ago
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Norên et Nobori
par François
Petit retour en images sur une exposition de Norên et Nobori de l'artiste teinturier Yoshichiro Otsubo qui a eu lieu à Maison de la culture du Japon à Paris.
Le Norên servait à l'origine à empêcher le vent et le soleil d'entrer dans une pièce (il en existe depuis 1000 ans). Ensuite les commerçants s'en sont servi comme support publicitaire pour leur magasin. Le Nobori est une bannière qui, à l'origine dans le Japon féodal, désignait des unités dans une armée. Mais depuis elles ornent des allées ou les murs de sanctuaires et de temples. On en trouve également chez des particuliers qui annoncent la naissance d'un garçon à des divinités.
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shinbukan-paris-iaijo · 8 years ago
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Rencontre entre dojos
Samedi 13 janvier a eu lieu une nouvelle rencontre entre dojos, regroupant comme pour les éditions précédentes les dojos Shinbukan, Kenginkan et Versailles Budo. De plus, nous avons eu le plaisir d’accueillir pour la première fois Dojo Chantilly et Fukuro Dojo Tours.
Sous la direction de Dominique Losson (6e dan Renshi), Franck Cengizalp (5e Dan), Yves Magat (5e Dan), Romain Cauet (4e dan) et Laurent Chiquet (4e dan), les nombreux participants ont pu s’exercer à la pratique du ZNKR Iaido en général et apporter une attention particulière à la problématique des rotations.
Merci aux instructeurs et aux pratiquants pour cette ambiance conviviale et néanmoins studieuse.
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shinbukan-paris-iaijo · 8 years ago
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Le Iaido ou la discipline qui te fait changer tes mauvaises habitudes, pour les  positiver...
par Van Hao
Ce qui suit est une petite réflexion personnelle suite à l’enseignement et au cours suivis auprès de notre Sensei. Cela n'engage que moi (je préfère le préciser) et espère que cela pourrait aider d’autres personnes dans leur pratique du Iaido.
Il y a tellement à apprendre que l'on passe son temps à se corriger. Le Iaido est un apprentissage continu. Les pensées de mes premiers cours dans cette discipline étaient celles-ci : il faut améliorer sa façon de se déplacer, il faut revisiter son corporel de façon à maintenir son corps, il faut penser autrement... Bref, il faut changer beaucoup de choses (à ses débuts et pour la suite de l’apprentissage).
Notre Sensei nous répète souvent : "Posture correcte, technique correcte", que les mouvements doivent se faire naturellement... Naturellement, naturellement, naturel... Notre corps est confortable dans les mouvements que nous effectuons. Nous le pensons, alors pourquoi ne sont-ils donc pas corrects ?
N'oublions pas, dans la pratique du Iaido, que les mouvements sont optimisés et que le superflu n’a pas sa place.
Superflu, mouvement parasite... donc nos mouvements sont parasités et on doit penser pour pouvoir faire des mouvements naturels ?... un peu contradictoire tout ça.
Je suis tombé récemment sur l’image suivante :
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Quel est le rapport entre le Iaido et cette image ? Les parasites mentaux bien sûr, ou plus généralement tout ce qui peut gêner les mouvements que l'on effectue. La société actuelle nous habitue à penser à tout et pour nous cela impose un tas de contraintes dans la vie quotidienne. Cogiter à faire ci ou ça dans le kata nous parasite le mouvement. Ces parasites n'ont pas leur place dans la pratique du Iaido. Le but est que notre cerveau parvienne à la pensée du côté gauche de l'image (avec tous les parasites) à la pensée du côté droit de l'image (ne plus penser et être concentré). Se concentrer et libérer son esprit est un bon début pour tenter de comprendre, tout d’abord, la forme du kata.
C'est en forgeant que l'on devient forgeron... alors répéter un mouvement sans penser serait-il la solution ? Si seulement il était aussi simple de progresser... hum... pas sûr que ceci soit la solution donc (Quoique ?...). Il faut se corriger et ne pas juste répéter bêtement les mouvements... sinon le mouvement devient mécanique et perd de sa signification... Il ne faut pas oublier que le Seitei Iai est une formalisation éducative et prend son essence dans les kata d’écoles et vice versa.
Bon, il faut bien commencer par quelque chose... Ne plus penser mais faire et répéter les mouvements est un bon début. Pratiquer avec un (petit) objectif est encore mieux.
Petite anecdote lors d'un entraînement sur Morote Tsuki (kata 6), pendant une série du Kiri Oroshi : à un moment j'ai ressenti de nouvelles sensations : j'ai eu l’impression de faire une très courte chute libre lors du déplacement...et le reste du corps a fait le reste indépendamment de ma volonté (relâchement du corps, déplacement du pied arrière, timing ou rythme et coupe...) J'avais la sensation d'avoir effectué un mouvement beaucoup plus correct qu'à l'accoutumé, mais surtout naturel. Comment ai-je fait ? Après de nouvelles tentatives, je n’ai pas réussi parce que je recherchais la solution et le cerveau cogitait à nouveau. J'ai remarqué que la force dans mes bras, à cet instant, était quasi nulle. Je ne me souviens pas en avoir mis en tout cas, mais le mouvement de la coupe me semblait bien fluide et sans arrêt (du moins pour moi)... En y repensant, on confond souvent l’origine de la force dans le mouvement. On peut penser que serrer les muscles pour mettre de la puissance met de la force. Ce qui est totalement vrai. Or mal utilisée, la force rigidifie le corps entier et mène au déséquilibre... donc il faut utiliser l'ensemble du corps d'une manière correcte et cohérente.
En parlant de cohérence, dans l’un des derniers cours, une image m’est venue à l’esprit pendant l’explication du transfert de masse dans le déplacement : la pose du pied de devant qui enclenche la levée du pied arrière s’est imagée par un simple interrupteur, qui plus schématiquement donne cela :
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L’interrupteur est un bloc rigide et lorsque le pied avant se pose (appui sur le côté gauche) le pied arrière se lève (côté droit).
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Le corps est un ensemble connecté : les épaules avec les cuisses, les coudes avec les genoux, les mains avec les pieds, le relâchement aux appuis.
La levée du pied amène au corps une vitesse qu’il faut utiliser ! À votre avis, pourquoi le lancement des fusées se fait près de l’équateur ? La rotation de la terre amène une force supplémentaire au décollage, ce qui permet aux fusées de consommer moins de carburant lors du décollage comparé à un décollage situé plus loin. L’analogie avec le Iaido sur notre exemple des pieds est que la vitesse de levée du pied arrière (merci à l’énergie cinétique !) doit servir au mouvement suivant, par exemple à la sortie du sabre. Ce qui est logique lorsque l’on arrive à schématiser l’exemple précédent en reliant les pieds aux mains (le cercle noir) par un squelette (le rectangle orange) :
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Cela permet d’utiliser moins de force, et donc moins durcir le corps, pour réaliser une action. Bien utilisé, le corps renferme une force inouïe sans avoir besoin d’en rajouter.
Il ne reste qu'au pratiquant de coordonner tous ces petits mouvements pour que le mouvement global ne soit pas saccadé. En effet, comme indiqué plus haut, certains petits mouvements sont les uns à la suite des autres, d'autres sont simultanés pour permettre d'avoir un mouvement fluide, mais c’est encore une autre histoire.
Mais pour couper, quand faut-il mettre de la force dans les bras ? et l’Iaito ne fait pas de bruit ? Aussi étonnant qu'il puisse paraître, nul besoin de vraiment forcer ou d'apporter de réelle force supplémentaire. Une image nous a été soufflée pendant les cours pour nous permettre de visualiser ça : les élastiques. Correctement utilisé, le corps fournit ce qu'il faut au mouvement grâce au relâchement, à la force centrifuge et autre moment mécanique (rotation). C'est surtout les muscles qui font tout le travail grâce à leur phase d'extension ou de compression (phase moteur ou freinateur). Par exemple, passer sous la coupe peut être comparé à bloquer ses mains dans l’espace (et non bloqué par rapport au corps) et continuer de faire avancer le corps (et étirer les muscles pectoraux et ventraux), puis de lâcher les mains de la tension accumulée par l’avancé du corps.
Les images suivantes laissent bien imaginer l’étirement des muscles (les mains retenues vers l’arrière), de l’avancé du corps entier et du relâchement pour le « passage sous la coupe » :
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Étirement des muscles (emmagasiner de l’énergie. (Le Secret de La Licorne - page 29, source)
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Relâchement des muscles (laisser l’énergie se déployer). (Le Secret de La Licorne - page 33, case 1, source)
Pour le coup, beaucoup de notions deviennent un tout cohérent et en y creusant un peu, cela devient plus clair (pour l'esprit mais pas pour le corps car il faut le rééduquer de nos mauvaises habitudes).
Tout cela pour conclure que les images que l'on nous donne sont une aide précieuse et supplémentaire pour comprendre un mouvement, une phase d’un kata.
Travailler tout cela travaillera la forme du Iaido que l’on pratiquera… À force de trop cogiter, le cerveau chauffe et fume. Cela déformera la forme des kata que l’on pense établir. L’échappatoire serait de comprendre le fond des kata et mouvements que l’on nous enseigne.
L’important est de tenter de ressentir le corps vivre en mouvement et non de penser mettre le sabre en mouvement. Il faut ressentir l'énergie qui circule dans le corps, ainsi que l'espace occupé par ce dernier.
Au final, il faut lâcher prise sur le contrôle de notre corps par notre cerveau. Penser d’abord et bouger ensuite, faire ça est limité car cela prend du temps au cerveau et aux sens pour mettre le corps en action comme on le désire. À force de penser à bouger correctement et de répéter les mouvements, la conscience corporelle agira et vous ne penserez plus ; le corps aura intégré le mouvement et bougera plus naturellement qu'au début, comme si chacune des parties du corps puisse juger et réagir par elles-mêmes.
Ainsi, le sabre sera une extension de nos membres et non plus un outil à part pour pratiquer le Iaido. Quand un/une Iaidoka ne fera qu’un avec son arme, son cœur ne fera qu’un avec son esprit, sa force et son énergie. On peut imager l’énergie par le Ying à l’intérieur et le Yang à l’extérieur.
Notre énergie se construit de l’intérieur. Il est important de ne sauter aucune étape.
Et la première est de retourner s’entraîner sans avoir oublié ce que l’on a déjà appris ;)
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shinbukan-paris-iaijo · 8 years ago
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Strasbourg en images.
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