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Emily Williams, Waves 2019

« A type of strength you don’t always see in a black girl »

Quoted by Taylor Russell, who played Emily Williams in the 2019 film Waves.

Nowadays, I don’t think there is many facet of black girl we are able to see in media, a kind of strength that remains hidden from society. As a Black girl growing up in today's world, I saw myself in Emily Williams. She is a character who represents a version of Black femininity that is rarely shown: quiet, tender, and deeply resilient.

Black girls are portrayed through the lens of those who create the content, and on what they think people wants to see. Often filtered by stereotypes and assumptions about what audiences expect to see: loud, angry, and “ghetto.” But Emily shows something different. Her strength isn’t loud or aggressive. It’s soft, calm, and quietly powerful.

Her character embodies a childlike sensitivity and emotional depth, a side of Black womanhood that is too often overlooked or erased. And in her, I found a reflection of the kind of strength I carry.

The kind we all carry.

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« love is patient.

love is kind. »

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Draft

saint-evangeline 2002, 13ans

C'était le début du diner chez les Desroches, au milieu de la pièce une énorme table ou nous étions tous assis. À mes côtés, se trouvait la fille des Desroches. On vint à parler de l'amour le vrai!

Existait t-il? La question qui revenait le plus était pouvons nous toujours aimer après la mort?

M. Desroches trouvait cela exaspérant et se contantit de dire qu'après la mort l'amour cessait d'exister. Contrairement à Mme Beaudegarde qui quant à elle trouvait ça magnifique de toujours aimer quelqu'un après sa mort. On prit M. Degaux pour avoir sont avis. C'était un homme de la trentaines qui aimait écrire. Avant d'êtres écrivain, il travaillait dans un hôpital et s'était lié d'amitié étrange avec un patient qui avait malheureusement perdu sa femme dans un accident de voiture.

M. Degaux dit :

«Il m'a alors raconté des tas d'histoires sur elle et de son amour pour elle. Il m'a même dit qu'un jour il avait cru l'apercevoir. Il m'a certifié l'avoir toujours autant aimé même après sa mort. Cet amour aura durée une vingtaines d'année avant de la rejoindre.

Mme Beaudegarde les yeux émerveillés répondue:

«Qu'est ce que c'est beau! Quelle chance d'être aimé ainsi.»

Lécrivain sourit.

«En effet Madame»

M Desroches époustouflé répondit.

«Comment ça? Il n'a pas pu la voir ceux-ci est impossible! »

M Degaux reprit :

«Je ne suis pas sûr non plus. C'était il y a maintenant 30 ans . Il était à cette époque vendeur de livre avant d'atterrir dans cet hôspital. Un jour de pleine lune il rentrait chez lui et se dirigeai vers son bureau.

C'était une pièce vide, sombre, éclairée par la seule lumière de la lune. Les murs étaient assez vieux et usagés, dégageant une forte odeur de vieux papier peint. Au milieu de cette pièce, une petite table peu imposante située en face d'une fenêtre. Elle reflétait sur la belle nuit. C'était un appartement typique parisien du début du 20ème siècle.

Dans cette pièce, la silhouette d'une femme apparut. Elle incarnait la méchanceté et l'amour en même temps. Elle était imposante et monstrueuse certes mais infiniment vide. Elle inspirait la peur et était exceptionnelle. Contrairement aux autres elle pouvait nous effrayer à la seule force de son physique. Cependant, plus on regardait cette admirable et effrayante femme plus on éprouvait ce sentiment pénible qu'elle était avide de toute sensibilité.

Il était perdu.... était ce vraiment sa femme? Etait-elle vraiment là ? Est-ce encore une fois le fruit de son imagination ? Il restait assis écrivant cette lettre pour elle, une fois de plus.

C'était sa chère femme pour qui il se serait sacrifié. Il l'aimait tant, ils s'étaient rencontrés sur une plage et quelques années plus tard ils étaient déjà mariés. Il ont eu un enfant, qui d'ailleurs n'a jamais rendu visite à son père. Elle était souriante et heureuse, mais ce jour un malheur arriva.

Il avait obligé sa chère épouse a allé acheter du pain mais sur la route du retour, elle a été victime d'un accident de voiture qui lui a coûté la vie.

Il était serein mais une peur incontrôlable s'était emparer de lui comme il me l'avait dit. Il l'aimait tant, mais était-il prêt à la revoir ? Il se sentait apeuré, une sueur froide lui traversait le dos. Mais au plus profond de lui il se sentait heureux de la revoir. Il voulait s'excuser pour tout.

Cela faisait maintenant deux bonnes années qu'elle l'avait quitté. Ces lettres qui lui étaient destinées, il lui en écrivait tous les soirs. Le lendemain, il les déposait soignesement là ou elle était retenue prisonnière. C'était un énorme cercueil orné de fleurs fanées et de lettres. La plupart de ces lettres étaient des lettres d'adieu, mais les siennes etaient des lettres de pardon qui lui étaient destinées comme si elle était toujours là, car elle était toujours là pour lui. Lui avait elle répondu par sa présence?»

M Desroches l'interrompu.

Mais c’est impossible !!»

L’écrivain reprit

«Laissez moi finir ». Il m'a toujours dit qu'à ce moment il était angoissé car il n'avait jamais vue ceux ci de sa vie mais elle lui semblait si réelle à ses yeux. Mais je ne fut pas très surpris d'apprendre quelques jours plus tard qu'à cette époque, il était déjà schizophrène. Mais il m'avait donné tellement de détails que je suis toujours autant confus.

«Voilà le seul amour que j'ai connu et qui a duré après la mort...»

Mme Desroches qui était très émue par ce récit soupira

«Cet amour est le plus beau que j'ai pu connaître!»

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love it sm kill me

tumblr is my safe place.