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Raté, pas terminé, abandonné... Pas oublié.

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l'impression que ma vie se résume à tenter de faire tourner GTA V sur un 3310…

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Comportement égalitaire RÉSERVÉ AUX HOMMES : se décaler un peu sur le côté du chemin sur le trottoir.

(ce serait mieux que la galanterie ne soit pas pensée comme étant les comportements d'une fin en soi ou d'une contrepartie, mais plutôt comme le moyen provisoire de rééquilibrer les comportements... ?)

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à partir de quelle frontière un reproche est-ce dire du mal ou dénoncer un mal ?

défense, attaque, riposte, révolte, voire même… taquinerie inappropriée : un coup reste un coup

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Et vous ? Sur quels sujets (généraux ou particuliers) êtes vous plutôt du genre à dire "il faut laisser faire les choses selon chacun", et sur lesquels plutôt "il faut réglementer" ?

Nan, une version plus sage de la question serait : comment compatibiliser liberté et règlement, deux notions nécessaires mais antithétiques ?

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bientôt une 3ème phase ? celle de l'équilibre ?

1) L'humanité y a déjà presque totalement oublié, non ?

"En 1861 parut un ouvrage qui est devenu célèbre tout en restant à peu près ignoré. Il a cependant paru en France des extraits de "Du règne de la mère au patriarcat" en 1938. L'auteur, Jean Jacob Bachofen, né en 1815, mort en 1887, était magistrat et le hasard de ses recherches juridiques inspira son œuvre. Voici, réduite à sa plus simple expression, la thèse de Bachofen : Les hommes ont commencé par vivre dans une communauté sexuelle sans entraves, puis l'humanité a vécu la phase du matriarcat. La culture primitive est féminine ; la culture masculine est tardive."

"Voici en substance, ce que dit Mme de Païni au sujet du matriarcat : Le matriarcat a été supplanté par le patriarcat au début du quaternaire."

"Auparavant, personne n'avait remarqué l'antériorité des divinités féminines par rapport aux dieux masculins."

"La profusion de ces déesses et le rôle important qu'elles ont joué à l'époque historique, leur évidente antériorité par rapport aux dieux masculins constituent l'une des preuves - et non la seule - de l'existence du matriarcat."

"Les corps constitués féminins du matriarcat ont été nombreux et florissants. Ils ont joué un rôle social éminent à une époque où les hommes n'étaient ni organisés ni influents."

2) Comment ? Mais par la culture bien sûr, et notamment l'Histoire Ecrite, cette mémoire collective extérieure très fragile que chacun peut falsifier, détourner, remodeler à sa convenance, entrainant les esprits de tout le monde dans des chemins pas forcément sains…

"Margaret Murray nous dit encore que c'est l'Eglise qui a fixé, vers le XVIème siècle, l'image actuelle de la sorcière. Les Chrétiens et libre-penseurs sont d'accord pour jeter l'anathème sur elle. Dans les siècles antérieurs, et depuis des milliers d'années, les sorcières étaient partout considérées comme bienfaisantes. Elles étaient expertes dans les accouchements - sages-femmes -; c'étaient des guérisseuses qui, dans leur célèbre chaudron, faisaient bouillir des préparations d'herbes en récitant des prières et formules magiques."

"Selon Margaret Murray, le mot "fées" désigne, non pas des femmes légendaires, mais des tribus pastorales sédentaires à organisation matriarcale, qui vécurent pendant fort longtemps dans l'Europe septentrionale et qui disposaient d'un outillage de pierre et de bronze. Ces tribus matriarcales, pourchassées et massacrées par les tribus patriarcales de l'âge du fer, disparurent ou se réfugièrent dans des régions d'accès difficile."

extraits de :

Histoire des rites sexuels Jacques Marcireau Editions Robert Laffont, S.A., 1971

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bofbof, très insatisfaisant d'un point de vue technique

mes excuses à moitié bidons :

l'anatomie est une discipline difficile et que je ne maîtrise pas…

je pratique bien trop peu régulièrement le dessin pour avoir un semblant de niveau…

ceci est le fruit d'une demi-heure de travail, autrement dit pas grand chose…

mais quelque part ces brouillons m'expliquent moi dans mon rapport à l'existence, c'est un 'auto-portrait' dans toute sa vulnérabilité…

la définition de prostration :

État d'abattement physique et psychologique extrême, de faiblesse et d'inactivité totale.

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et si non... où cela mène-t-il ?

idée de débat (à relancer sans fin ?) : est-il bon de se mettre d'accord ?

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faisons attention à ce que nous enseignons aux enfants, car lors de leur crise identitaire qui fait d'eux des adultes responsables, là où ils remettent en question leur chemin d'apprentissage parcouru afin de se faire le leur en propre, c'est ce qu'ils risquent de rejeter ; attention à la manière de le leur enseigner, aussi, il me semble que plus cela est fait de manière stricte, péremptoire, absolue et certaine, plus la remise en question de crise existentielle risque de leur faire agir un revirement tout aussi rigide…

n'oublions pas cet adolescent que nous avons été, qui à un moment s'est demandé si tout ceci était vraiment pertinent ; les points que nous avons validés et ceux que nous avons rejetés

et interrogeons l'adulte plutôt agé que nous sommes tous en droit de devenir, celui qui reviendrait avec plus de raison sur les révolutions qu'il a menées sous le biais de l'émotion adolescente, en leur adjoignant bien après, une sagesse plus réfléchie…

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vous êtes unique ! vous voulez rencontrer votre vrai potentiel ? affirmer votre singularité ? vous différencier des autres ? alors prenez parmis ces dés de l'identité, et choisissez la face de chacun qui vous correspond le mieux :

un dé de couleur

un dé à chiffre

un dé à lettre … alors, toi, tu es qui ?

rose 3 F ! et toi ?

vert 8 I ! et toi alors, qui donc ?

mauve 2 K ! … vous voyez ? vous êtes tous unique ! tous différents ! mais pensez tout-de-même que si vous l'êtes, c'est par rapport à des invariants qui vous unissent… ici pour ce jeu nous avons simplifié la métaphore, et il est vrai que la réalité individuelle est beaucoup plus complexe que ça… mais malgré tout, vous êtes tous unique, tous différent, mais vous êtes tous une couleur, un chiffre et une lettre… pensez donc parfois, à ce qui nous unit plutôt qu'à ce qui vous définit et qui peut nous inciter à nous exclure les uns les autres ; de la même pâte sommes-nous, que ce soit entre cercles sociaux au sein de l'humanité, entre cercles d'espèces au sein des mammifères, entre cercles d'êtres vivants sur la planète, entre cercles de composés de matière dans l'univers ; il y a des invariants, et ceux-ci sont la base de notre union, de notre cohérence, tout autant que le terrain de nos différences, nos singularités…

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…la sanction ne serait-elle pas efficace pour contrôler les bons comportements, uniquement dans un système de domination ? si l'on prend un contexte dans lequel la liberté est une valeur assez soutenue et assez construite, il me semble qu'alors la sanction est bien inutile, voire au contraire carrément contre-productive…

(la différence entre céder et consentir ?)

mais agir dans un système différent du 'punir et récompenser', c'est ptetr pas si évident que ça de savoir comment faire ! le point central serait qmm que les bons comportements soient libres et non contraints, et ça c'est autrement plus délicat à instiller dans l'esprit de chacun, que par la causalité d'un système punitif…

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vous y croyez vous ? la foire aux solutions désespérées, flippant… c'est la débandade psychosociale tout le monde court partout affolé en se marchant les uns sur les autres… vous croyez on va berner qui, éducativement de cette façon ? réinstaurer le dialogue direct et se réentrainer aux bonnes manières relationnelles, j'crois c'est l'opposé de tout réformer pour tenter de toucher indirectement une masse ainsi anonymisée qui, franchement, ne risque pas forcément de se reconnaitre lorsqu'elle est concernée… des sanctions tjrs plus dures, des lois de plus en plus restrictives, on confie tout au système sensé juger et punir, on cadre tout pour pouvoir trainer en justice, et pendant ce temps là on oublie petit à petit comment se pratique l'amiable, en croyant pouvoir annihiler les fautes… ce problème de racisme, comme tant d'autres inégalités, stigmatisations et injustices, à mon avis, ça va qmm plus loin que ces modèles d'officialisation et de normalisation, même si je rejoins l'idée qu'ils sont à faire évoluer, mais ça m'empêche pas de penser que c'est qmm pas le seul axe ; le repentir ne touche pas assez efficacement ceux contre qui on porte plainte je crois, au contraire ça ne les rend que plus amers ; alors il me semble que faire un système aux gens paisibles entre eux, c'est plutôt à chercher du côté de moins d'officiel normatif, laisser la place d'avoir des différents et de savoir les régler humainement sans avoir recours au système… c'est là le vrai humain social complice, je crois, pas celui qui traine tout en administratif, et on le perd à tout vouloir mettre dans des ordres robotisés par des procédures normées ; j'dis pas que faut pas le faire, mais ptetr aussi chercher ailleurs que la sécurité à tout avoir normé, surtout quand on vous entend parler des normes et de ce qu'il faut en faire…

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maturité

un terme utilisé plutôt pour comparer le degré de progression d'esprit par rapport à autrui, que pour symboliser un état acquis ou à acquérir, fut-il le plus progressif possible… immaturité, c'est insultant même lorsque ça désigne un gamin, parce qu'implicitement, ça veut dire 'par rapport à son âge' ou 'par rapport à un autre gamin'… alors que concrètement, c'est qmm un sacré nihilisme de pensée, que de s'offusquer à ce qu'un gamin soit immature, non ? sacré hypocrisie aveugle, je trouve ; z'en avez pas marre de détourner la neutralité de mots et leur concept pour un confort d'apparences sociales à la conversation soi-disant positive ? plus rien n'a de sens à force de tordre les mots pour en tirer un avantage d'humeur et d'estime, et moi ça me gave de voir à quel point aveuglément les ambitions respectueuses sont agies à l'extrême contre-productivité de ce qu'elles prétendre exiger en société… j'entends parfois les gens dire qu'ils n'aiment pas se comparer, et ensuite je les entends utiliser ainsi ce mot et tant d'autres en bafouant leur neutralité de base définitionnelle, et au nom justement d'un paradigme de la comparaison implicite et inconsciente ; dingue ; si c'est une insulte même pour qualifier un gamin, c'est je crois qu'on fait de grosses fixations pessimistes et égotiques sur la nature des choses

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ptetr une autre question… égalités hommes-hommes et femmes-femmes ? ptetr les inégalités intersexuelles ont une réponse dans les inégalités intrasexuelles… rhhrmmf j'm'avance pas dans une réponse, j'ai pas assez de données

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Volumes...

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des gens excédés, au sarcasme pas très bien lavé, dont le seul effet est d'excéder encore plus des avis tjrs plus coincés dans leurs évidences propres et relatives, sous prétexte qu'elles sont oui, évidentes, sans admettre qu'elles sont relatives… évidences qui se prennent pour des normes à exiger de la part d'autrui, ces gens s'offusquent qu'elles ne soient pas partagées, des gens qui se surprennent à constater que ce qu'ils ont acquis dans leur éducation voulue libre d'être propre à chacun comme leurs avis, ne l'est pas par tout le monde, ils leur reprochent alors de ne pas posséder ce qui leur a été inculqué en prétextant aveuglément que c'est la base de tous… tellement de contradictions d'attentes, d'exigences totalitaires ; et donc de désillusions qui excèdent ces gens aux évidences non partagées…

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Aurais-je aimé que mon parcours passe par une méthodologie de la philosophie de groupe ? Probablement que sûrement... Sans ça je préfère rester dans mon coin.