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#ÉDITIONS GALLIMARD SÉRIE NOIRE
angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lectures #29-2023 & critiques
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Caryl Férey, Okavango Okavango de Caryl Férey, Editions Gallimard En lecture, #Erlendur5, Les Roses de la nuit d’Arnaldur Indridason Les roses de la nuit d’Arnaldur Indridason – Editions Points Présentation de l’éditeur : La vengeance des victimes. Elle est condamnée, il l’aime, elle l’entraîne dans sa vengeance mortelle. A la sortie d’un bal,…
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isabelle201180 · 11 months
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Okavango : Caryl Férey
Titre : Okavango Auteur : Caryl Férey Édition : Gallimard Série Noire (17/08/2023) Résumé : Engagée avec ferveur dans la lutte antibraconnage, la ranger Solanah Betwase a la triste habitude de côtoyer des cadavres et des corps d’animaux mutilés. Aussi, lorsqu’un jeune homme est retrouvé mort en plein coeur de Wild Bunch, une réserve animalière […]Okavango : Caryl Férey
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already-14 · 2 years
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Auteur(s) : Chase - 
Editeur : Gallimard
Langue : Français
Parution : 01/01/1945
6 500,00 €, les 413 premiers numéros de la Série Noire cartonnée Gallimard, très bon état, nombreuses éditions originales avec jacquette.
fr.shopping.rakuten.com
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justforbooks · 4 years
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Gaston Gallimard was born on January 18, 1881 in Paris. He was a French publisher. The son of a wealthy art collector, Gallimard studied law and literature at the University of Paris and turned to journalism soon afterward.
He founded La Nouvelle Revue Française in 1908, together with André Gide and Jean Schlumberger. In 1911 the trio established La Nouvelle Revue Française. In 1919, he created his own publishing house, named Librairie Gallimard, though he continued to work closely with the NRF. It became the foremost French publishing house of the 20th century, with major works by Gide, Marcel Proust, André Malraux, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, and many lesser French authors. The firm also published the well-known La Pléiade series of French literary classics (acquired 1933) as well as the Série Noire, a series of some 2,000 thrillers, detective novels, and spy stories.
In World War II during the German occupation of Paris a "round-table" of French and German intellectuals met at the Georges V Hotel including Gallimard, the writers Ernst Junger, Paul Morand, Jean Cocteau, and Henry Millon de Montherlant and the Nazi legal scholar Carl Schmitt.
Gallimard eventually relinquished the daily administration of the company to his son Claude and grandson Christian. During his lifetime, the firm numbered 18 Nobel Prize winners among its regular authors, and its books garnered 25 Goncourt Prizes.
Works
Texts by Gaston Gallimard
Friedrich Hebbel, Judith, five-act tragedy translated from German by Gaston Gallimard & Pierre de Lanux. Paris, Éditions de la Nouvelle Revue française, 1911.
« Il a inventé des auteurs, un public », En souvenir de René Julliard, Paris, René Julliard, 1963, p. 50.
Correspondences
Jean Paulhan / Gaston Gallimard, Correspondance, edition established, presented and annotated by Laurence Brisset, Gallimard, 2011.
Marcel Proust / Gaston Gallimard, Correspondance, edition, presented and annotated by Pascal Fouché, Paris, Gallimard, 1989.
Jacques Rivière / Gaston Gallimard, Correspondance 1911-1924, edition, presented and annotated by Pierre-Edmond Robert in collaboration with Alain Rivière, Paris, 1881
Bibliography
Pierre Assouline, Gaston Gallimard : Un demi-siècle d’édition française, Balland, 1984, Folio, 2006
Catalogue Gallimard. 1911-2011, 1711 p.
Gallimard. Un siècle d'édition, Bibliothèque nationale de France/Gallimard, 2011
Alban Cerisier [fr], Gallimard. Un éditeur à l'œuvre, Gallimard, 2011, series "Découvertes Gallimard" #569
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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sophiegrenaud · 4 years
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#305
dans le sillage de l’horizon
s’abandonner au contentement
rêver d’île, de phare
.
et
.
éloigner
le mythe puissant du grand large
lentement
saluer
les eaux noires du port. 
.
© Sophie Grenaud
#PoemeFondu, c’est quoi ?
Un poème fondu est écrit à partir de la page d’un livre, en utilisant uniquement les mots contenus dans cette page. Pas d’obligation d’utiliser tous les mots, mais interdiction d’en ajouter ! C’est une invention de Michèle Grangaud.
Ce poème appartient à une série de 385 écrits en 2019, à partir de L’inconnu sur la terre, de J.M. Le Clézio, aux éditions L’imaginaire (Gallimard).
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manonguichard · 4 years
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Refonte d’une mise en page éditoriale Ces éditions ont pour objet des réflexions sur l’actualité sociétale. Pour mon approche personnelle, j’ai décidé d’utiliser un format facilement transportable et économique, en accord avec les principes du tract. La couleur du papier diffère en fonction du contenu, ces éditions font partie d’une série où chaque volume est différent, mais similaire. La mise en page se veut économique : un corps de texte faible, des photos de petite taille, une impression en noir et blanc. Le ton se veut ironique. Parce qu’il est souvent question de politique, de faux-semblants et du mépris des différentes classes sociales, l’idée était de contrebalancer la gravité des propos par des photographies humoristiques et des typographies moqueuses.  L’utilisation de la Didone pour les citations (souvent péjoratives) permet d’en souligner le ridicule, comme avec cet extrait du tract «Jojo le gilet jaune», où les mobilisations sont qualifiées de mouvement de beaufs. Aucunes capitales, symboles d'une supériorité sociale, ne sont utilisées.
Redesign of an editorial layout The purpose of these editions is to debate on current societal news. For my personal approach, I decided to create an easily transportable and economical format, in accordance with the principles of the leaflet. The color of the sheets differ, according to the content, and these editions are part of a series where each volume is different, but similar. The layout is economical: a small font size, small photographs, black ink. The tone is meant to be ironic. Because it is often about politics, pretense and contempt for the different social classes, the idea was to balance the seriousness of the remarks with humorous photographs and mocking typographies. The use of Didone for quotations (which are often pejoratives) underlines their ridiculousness, as with this extract from the leaflet "Jojo the yellow vest", where the protests are qualified as a movement of hicks. No capital letters, symbols of social superiority, are used.
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Tracts
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havaforever · 6 years
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VASARELY - Le partage des formes au Centre Pompidou
Après une enfance et une jeunesse hongroises, Victor Vasarely (1906-1997) s’installe à Paris en 1930 où il travaille comme graphiste dans la publicité, avant de se consacrer pleinement à l’art au lendemain de la Guerre. L’abstraction qu’il pratique alors, procédant de l’observation du réel, va vite s’intéresser aux troubles et étrangetés de la vision. 
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Dès le milieu des années 1950, il pose les fondements de ce qui deviendra, une décennie plus tard, l’Op Art. Moment capital de l’histoire de l’abstraction, l’art optico-cinétique propose, à partir de processus à la rigueur scientifique, des images instables avec lesquelles la peinture devient un art du temps au moins autant que de l’espace. 
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Parallèlement, il rêve de fonder un espéranto de la peinture, il met au point “un alphabet plastique” à base de formes et de couleurs, et s’attache donc à développer un vocabulaire formel permettant une multiplicité d’actualisations dans différentes situations, notamment architecturales. 
A ses débuts, Victor Vasarely verse dans l’abstraction en s’inspirant de ce que la nature offre à son regard, l’illusion d’optique est encore loin : les galets de Belle-Isle-en-Mer, la configuration angulaire du site de Gordes sous le soleil provençal ou encore les effets complexes produits par le cristal.
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Plus tard il fera un principe du fait de jouer avec nos nerfs en imaginant une série de motifs en noir et blanc à géométrie variable et imbriquée dont une de œuvres les plus starisées est le modèle récurrent opportuniste du  zèbre. Le motif hypnotique abstrait s’impose en une palette de couleurs déclinée presque à l’infini : un régal pour l’oeil  par un spectacle inhabituel, enchanteur et gai. 
Le moindre déplacement du spectateur placé devant ces tableaux produit du mouvement, c’est le début des représentations interactives qui mettent en scène la perception au centre de la contemplation esthétique. Pour Vasarely, c’est avant tout “le frisson rétinien” qui doit émaner du plan. 
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Tout semble se dupliquer à l’infini, répétant ainsi un modèle. L’usage du clair obscur est largement exploité, l’ombre se propage, envahit une partie de la composition, estompant ainsi les unités de base de la composition dans un mouvement qui semble auto produit par l’oeuvre elle-même. Mais la distribution de l’ombre varie évidemment en fonction de la distance du regard, ce qui rappelle que tout se joue non dans ce que la peinture montre, mais dans ce qu’elle donne à voir.
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Le dessin en FishEye comme représentation symbolique du globe terrestre, le graphisme des années 70 qui envahissent l’espace publicitaire et celui des éditions (comme Gallimard), des installations avec des couleurs à résonnance cosmiques, des panneaux lumineux en mode d’enseignes; tout y passe et de la façon en apparence des plus simples. Ce n’est pas beau, loin de là, ce n’est certainement même pas émouvant, mais c’est profondément intéressant, intriguant, et à quelques égards inspirant. 
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citronspresses · 6 years
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SEVEN TO ETERNITY★★★★☆
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Un auteur qui rentre désormais dans mes “classiques”, Rick REMENDER est non seulement scénariste mais aussi dessinateur de Comics. Auteur des spectaculaires LOW, Tokyo Ghost ou encore The Last Days Of American Crime, il revient me donner une autre claque avec Seven to Eternity. Cette fois en collaboration avec Jerome OPENA, il nous emmène dans une quête complexe qui se déroule dans un monde où le bien est le mal ne sont pas exactement définis. Un récit complexe comme je les aime, où on se prend parfois d’affection pour les “vilains” et parfois d’aversion pour les héros. 
On suit les périples d’un anti-héros qui n’a plus rien à perdre et qui décide de vendre son âme au super méchant “MUD KING”, comme l’a déja fait la plupart des habitants de ce monde avant lui. Mais le prix à payer est plus élevé que ce qu’il croyait, étant mourant, le super méchant lui demande plus que sa propre vie. Mais comme tout au long de sa vie, Adam (notre pas si héro que ça) se retrouve pile au mauvais endroit au mauvais moment. Le voilà coincé dans une bataille dont il ne partage pas forcément les idéaux et de toute façon il n’est plus là pour se battre. Laver le nom et l’honneur de sa famille et assurer l’existence de celle-ci, c’est tout ce qui le motive. Les guerres d’opinions et l’idéalisme? Très peu pour lui. Mais voilà, il n’a plus trop le choix et se retrouve embarqué dans un voyage qui vise à se débarrasser du Mud King et de l’emprise qu’il a sur la quasi-totalité de la population. Une quête périlleuse mais aussi très instructive pour tous les protagonistes, mettant parfois à mal leurs convictions durement encrées dans leur subconscient. 
Le premier tome pose déjà la base de cet univers fantastique et on se familiarise très vite avec le décors. Les planches seraient tout aussi magnifiques en noir et blanc tellement elles ont une magnifique composition . On retrouve à la fin du premier tome quelques concept art et recherches graphiques. La partie que je préfère personnellement! Une série à suivre de très près, sans aucun doute.
LES ANIMAUX FANTASTIQUES ★ ★ ★ ★★
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Il n y a pas grand chose à dire sur le contenu du livre vu que, je l’espère pour vous, vous avez vu le film! 
Ce qu’il y a d’intéressant sur ce livre c’est le genre. Ce n’est pas une pièce de théâtre, comme on pourrait le penser, mais plutôt le script. A un moment on se met dans la peau soit des acteurs, du réalisateurs ou de n’importe qui dans le processus du cast et ça pourrait être intéressant pour les acteurs/auteurs/scénaristes en herbe qui voudraient en faire leur métier. J’ai adoré l’idée et maintenant je suis sure d’une chose: je ne serait pas scénariste. Pas dans un futur proche en tout cas. haha. 
Le concept du livre est très intéressant et cette édition de chez Gallimard est tout en relief et j’adoooooore les reliefs. Tout simplement! Rrrrrr!
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jay-stoner-baner · 6 years
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Beauté noire et le groupe Prospero, Simsolo & Balez, Glénat
Je suis très sensible au dessin de Balez dont je lis chaque parution avec beaucoup de plaisir. Et le plaisir est toujours là avec cette histoire de Simsolo qui nous plonge dans des intrigues politico-historique de la fin du XIXème siècle qui prennent la forme d’une fiction populaire et feuilletonnante.
  Le coeur des amazones, Bindi & Rossi, Casterman
Christian Rossi est un dessinateur discret. Pourtant chacune de ces parutions laisse une trace marquante dans le souvenir des lecteurs tant son graphisme est de qualité. Ce sera particulièrement le cas ici avec ce récit mythologique d’une grande beauté que l’on doit à Géraldine Bindi. Rossi y déploit tout son art et toute la grâce de son dessin dans lequel on retrouve tout son amour du grand art, de Nicolas Poussin à Cabanel…
Ceux qui restent, Busquet et Xöul, Delcourt
Le pitch de départ de Ceux qui restent est surprenant et pourtant si évident qu’on se demande pourquoi personne n’y a songé plus tôt : qu’en est-il des parents quand des enfants quitte notre monde pour vivre des aventures fantastiques dans des “pays imaginaires”. De plus les auteurs conduise leur idée avec beaucoup d’intelligence et font de cet album riche en émotion l’une des plus belle découverte depuis janvier !
Feya 1, Marc Lataste, Vide Cocagne
Les éditions Vide Cocagne continuent de nous surprendre avec leur collection de BD jeunesse qui sortent des sentiers battus. Avec Feya de Marc Lataste est une BD petit format couverture souple à forte pagination qui tient beaucoup du manga, notamment avec son dessin noir et blanc. Cette aventure fantastique est menée tambours battants et mélange subtilement humour et suspens sur un ton légèrement décalé.
Oblivion Song 1, Kirkman & De Felici, Delcourt
Avec Oblivion Song, Kirkman semble enfin avoir une idée originale pour son pitch de départ : il y a 10 ans, 300 000 personnes disparaissaient subitement de Philadelphie. Cela ne l’empêche pas, comme il sait si bien le faire dans Walking Dead et dans Outcast, d’interroger les comportements psychologiques de ses personnages face à des situations extrême.
Hikari-Man 1, Hideo Yamamoto, Delcourt/Tonkam
Voici la nouvelle série de Hideo Yamamoto, l’auteur de Homunculus et Ichi the Killer. Hikari-man est une série terminée en 2 volumes dans laquelle on retrouve toute la virtuosité réaliste de l’auteur, à mi-chemin entre Kengo Hanazawa (I am a hero, Kana) et Hiroya Oku (Gantz, Last Hero Inuyashiki) et sa fluidité narrative.
Night Business, Benjamin Marra, Les Requins Marteaux
Il y a 2 ans, Les requins marteaux nous faisaient découvrir l’incontestable talent de Benjamin Marra avec O.M.W.O.T. dont le ton ne pouvait pas laisser insensible si bien qu’il valait mieux pour les âmes sensibles s’abstenir. On retrouve tout ça dans Night Business, un récit irrévérencieux voir outrancier du monde de la nuit dans lequel le grotesque a toute sa place. Marra est un génie !
Ailefroide : altitude 3954, Rochette, Casterman
Jean-Marc Rochette, le dessinateur fameux du Transperceneige nous livre dans ce copieux roman graphique l’histoire de son adolescence tiraillée entre son goût pour la peinture et l’appel sauvage de la montagne et de l’escalade. Une véritable ode  à la nature.
L’atelier des sorciers 1, Kamome Shirahama, Pika
Il fait partie des quelques séries annoncées et attendues avec beaucoup d’impatience par les lecteurs de mangas français. Et le résultat est bien à la hauteur des attentes. Cette histoire qui a il est vrai des petits airs d’Harry Potter tient ses promesses et son dessin, qui parvient à s’écarter des canons du genre manga est tout à fait séduisant. Un manga qui devrait plaire au plus grand nombre de lecteur, qu’ils soient jeunes ou plus âgés.
  La bobine d’Alfred, Ferdjoukh & Pitz, Rue de Sèvres
Avec cette adaptation du roman de malika Ferdjoukh, Nicolas Pitz nous entraîne dans une aventure que tout cinéphile aurait souhaité vivre. Sa mise en image est parfaite pour se laisser aller, dans les pas du jeune Harry, à rêver des plateaux d’Hollywood version sixties
Les incroyables aventures de l’enfant plume 1/3, Jorge Corona, Vents d’Ouest
Les éditions Vents d’Ouest ont eu la très bonne idée de proposer ce comics, édité aux USA chez Archaia (Les légendes de la Garde, Gallimard) afin de le proposer en VF à nos jeunes lecteurs et aux autres. Edité en format franco-belge cette histoire fantastique qui verra se rencontrer un jeune garçon des bas-quartier recouvert de plume et une jeune fugueuse des beaux quartier comptera 3 volumes à paraître d’ici septembre. Une série jeunesse qui a tout pour plaire et qui propose une bouffée de fraîcheur dans la production actuelle.
Teenage Mutant Ninja Turtles, Collectif, Hi Comics
Et bien-sûr je ne pouvais pas oublier le retour en fanfare des Tortues Ninja en France dont je vous ai déjà parlé par ici.
Bonne lecture et au mois prochain pour la sélection SurLaBD d’avril !
Du nouveau SurLaBD : Lectures - ma sélection de mars 2018 #BD #Mangas #Comics #VideCocagne #HiComics #LesRequinsMarteaux #Glenat #Casterman #Delcourt #RuedeSèvres #Tonkam #Pika #VentsdOuest Beauté noire et le groupe Prospero, Simsolo & Balez, Glénat Je suis très sensible au dessin de Balez dont je lis chaque parution avec beaucoup de plaisir.
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angelitam · 1 year
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Okavango de Caryl Férey
Okavango de Caryl Férey – Editions Série Noire Gallimard Okavango de Caryl Férey, présentation A la demande d’un blanc, un jeune homme, pisteur, se rend dans une réserve pour traquer un rhinocéros. Il a peur des esprits, des rumeurs, mais l’argent le fait continuer. Il est tué. Rainer du Plessis est un mercenaire, exterminateur d’animaux. Il est devenu très riche et puissant. Solanah essaie de…
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isabelle201180 · 1 year
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Retiaire(s) : DOA
Titre : Retiaire(s) Auteur : DOA Édition : Gallimard – Série noire (12/01/2023) Résumé : Une enquêtrice de l’Office anti-stupéfiants, l’élite de la lutte anti-drogue, qui a tout à prouver. Un policier des Stups borderline qui n’a plus rien à perdre. Un clan manouche qui lutte pour son honneur et sa survie. Avec la rigueur […]Retiaire(s) : DOA
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lupiot · 7 years
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Mais !! Je suis encore en retard ! J’en suis troublée, cela ne m’arrive jamais dans la vraie vie.
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L’excuse du mois :
Durant le mois de Novembre, je participe au NaNoWriMo, un défi d’écriture frappadingue dont je vous reparle tout en bas, et qui épuise bien 50% de mes capacités littéraires. Sachant que les 50% restants sont consacrés à l’exercice d’un métier lui aussi littéraire, c’est donc avec 0% de mon cerveau, mais beaucoup d’émotion, que j’entame aujourd’hui la rédaction de cet article.
§
Dixième édition de ce nouveau rendez-vous mensuel, qui rime avec « C’est lundi, que lisez-vous ? », et peut se voir comme un complément ou un petit frère dérangé, comme il vous plaira. Je vous invite à l’adopter, il ne mord pas.
Le principe ? Quatre trucs à balancer !
Le Top & Flop de ce que j’ai lu le mois dernier
Au moins 1 chronique d’ailleurs lue le mois dernier
Au moins 1 lien qui m’a fait « Wahou » le mois dernier (hors chronique littéraire)
Et enfin : ce que j’ai fait de mieux le mois dernier
Ce mois-ci, en tout, j’ai lu 20 livres, dont : 10 romans graphiques…
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…7 romans, 2 essais (pluzoumoin) et 1 recueil de nouvelles : (Je les réunis car leur addition donne 10 , ce qui me permet d’avoir 2 rangées égales, et j’aime quand c’est tout bien aligné.)
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  1) TOP & FLOP
Alerte : entre les nombreux Top et les nombreux Meh, ce mois-ci, la catégorie « Top & Flop » est un peu longue. Aussi, TOI là, qui ne liras pas tout, voici mon Top 4 absolu, toutes catégories confondues. Ne les rate pas :
TOP 4
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Vas-y tu peux sauter tout le reste et retourner hiberner, petit ourson mal léché. Car ceci is the best of the best, top of the hip, king of the pop. Oh yeah.
C’est parti pour les catégories :
Catégorie 2e étoile à droite et tout droit jusqu’au matin (Aussi connue sous le nom Quand je suis partie pour le Pays Imaginaire, je pensais pas que je m’amuserais autant, ni que le voyage serait si beau.)
Le vainqueur incontesté
Le challenger
Le Livre de la poussière, de Philip Pullman (Gallimard Jeunesse, 2017)
*hurle*
C’EST TROP BIEN !!
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J’avais commencé une critique ici-même mais elle prenait des allures de soliloque cocaïné (ce qui n’est pas un problème) et commençait à grandir de façon indépendante et dévorer mon article de l’intérieur tel un ver solitaire (ce qui, en revanche, est un problème), aussi j’ai amputé la bête pour en faire un article complet plus construit, qui paraîtra dimanche.
Néanmoins, je ne peux pas vous laisser en plan ainsi. Que dire de La Belle Sauvage ? Tout est parfait.
Le style est à la fois élégant, exigeant… et limpide.
L’entrée dans l’univers, qu’on en soit familier ou non, est aussi naturelle qu’excitante ; le monde du Livre de la Poussière s’étend de scène en scène jusqu’à être rapidement très vaste, sans jamais nous perdre pour autant, et tout en gardant toujours notre curiosité et fascination éveillée.
Nous avons un nouveau petit héros, Malcolm. Moi qui craignais un Syndrome Enfant Maudit (à la sauce “on s’englue éternellement dans de vieilles peaux moisies”), je suis ravie ravie ravie.
C’est de l’aventure. De la pure et belle aventure, à croquer comme un fruit volé au sommet d’un arbre secret, rien qu’à toi.
C’est si joliii… certains écarts, petits nids dans le récit, m’ont fait penser à du Timothée de Fombelle, à ce que j’aime tant chez lui : ce goût trop mim’s pour les scènes de nature et de famille et tous ces petits riens chaleureux.
C’est dingue et ambitieux, ça joue avec les légendes féériques anglaises autant qu’avec les peurs ancestrales, d’une façon qui m’a rappelé Jonathan Strange & Mr Norrell.
C’est. Trop. Bien.
Le collège noir t. 1, d’Ulysse Malassagne (Milan, 2016)
Le collège noir est une série qui te colle de délicieux frissons dans le dos, tandis que tu te rappelles tes fantasmes horrifiques de gamin(e) en colo : et si, là, à minuit, un monstre surgissait de sous le lit, et si on était forcés de s’enfuir à toute berzingue avec les copains, et si on vivait d’épouvantables aventures super dangereuses mais géniales ?
Une série de BD fantastique qui a le goût des vacances interdites.
*
Catégorie J’ai soupiré par le cœur, ça faisait un peu mal (Aussi connue sous le nom Joli et badant, mais plus joli que badant)
Le lauréat :
Le challenger :
Jane, le renard et moi, d’Isabelle Arsenault et Fanny Britt (La Pastèque, 2013)
Avertissement : livre de très grande qualité. Si si. Regardez, j’ai fait un macaron :
Jane, le renard et moi est une bande-dessinée par le même duo d’incroyables autrice & illustratrice que l’on doit blâmer pour le très beau Louis parmi les spectres.
Lorsque j’ai refermé ce roman graphique, j’ai cherché l’air à grande goulée puis soupiré doucement.
– C’était pas bien ? m’a demandé l’amie assise à côté de moi. – C’était TROP bien… – C’est que… t’as l’air triste ? – Chuis un peu triste.
Je fais partie de cette race désespérée et envahissante de gens qui adorent qu’on les fasse pleurer (je crois sérieusement qu’on a un problème). Livre ou film, si tu m’arraches une larme, si tu me serres le cœur à l’étouffer, si tu me tortures bien lentement, délicatement, sans avoir l’air d’y toucher ->> JE T’AIME.
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Retenez-moi.
Donc bref, Jane, ça parle de ce drame mésestimé qu’on a tous connu enfant (ou plus particulièrement, adolescent) : être SEUL car SANS AMIS, ne pas trouver sa place dans un groupe, voire, en subir les moqueries. Bienvenue en enfer.
La petite narratrice est devenue le souffre-douleur de ses anciennes copines de classe ; elle marche désormais seule du collège à l’arrêt de bus, s’assoit seule dans ledit bus, et pour s’occuper, fait semblant de lire Jane Eyre pendant qu’un petit groupe de vipères persifle trois sièges derrière.
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Je ne vous spoile pas l’histoire, mais tout ce que vous avez besoin de savoir c’est que s’il est instantanément évident que le dessin est fin et beau et touchant, le texte, lui, va vous surprendre par son style d’une grande justesse, d’une fine drôlerie, et son ton plein d’un douloureux et délicieux second-degré.
Qu’est-ce qui arrive ?, de Mehdi Melkhi (Tanibis, 2015)
Une BD très courte, en petit format de poche, sur le thème du deuil.
C’est un petit monsieur chauve qui va rendre visite à sa mère et la trouve transformée, monstrueuse. « Qu’est-ce qui est arrivé ? » lui demande-t-il. Elle lui raconte alors que chaque fois qu’elle pense à son défunt mari, les larmes, au lieu de couler à l’extérieur, se figent sur elle, tirent sa peau, qui glisse, pend, enfle. À chaque instant de détresse, elle devient un peu plus difforme. Je vous raconte la moitié d’une BD très courte, je suis désolée, voilà, mais elle est trop belle et à l’occasion, lisez-la.
*
Catégorie Prends-toi ça dans les dents
Le lauréat
Le presque challenger :
J’ai failli mettre Tortues à l’infini de John Green… qui, à un cheveu près, se retrouve dans la diabolique catégorie « Meh », un peu plus bas (#oups)
Tropique de la violence, de Natacha Appanah (Gallimard, 2016)
Tropique de la violence conte l’histoire de Moïse, un garçon des Comores adoptés par une femme blanche en mal d’enfant installée à Mayotte, département français oublié des médias et des politiques où la petite bourgeoisie des continentaux côtoie des bidonvilles miséreux et ultraviolents. Dans un entre-deux, comme dans un rêve, à la recherche de ses origines et de lui-même, Moïse essaie de trouver sa place. Puis un jour, il bascule du mauvais côté, et malheureusement pour lui, c’est une pente qui ne fait que descendre.
Ce roman, qui entremêle les voix âpres et vraies de personnages aux horizons différents, nous peint un pays trahi par lui-même et le drame de ses habitants. Rien de sociologique dans ce roman sous tension, qui flirte avec le réalisme magique et le thriller psychologique : que de la sueur, de la bile et des rêves.
*
Catégorie 27e intersidérale du lol
Le lauréat :
Les challengers :
#gallery-0-51 { margin: auto; } #gallery-0-51 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-51 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-51 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
  Le jour le plus long du futur, de Lucas Varela (Delcourt, 2015)
Le jour le plus long du futur est une BD sans texte, fantaisiste et hilarante, aux dessins ronds et doux façons chewing-gum, cruels et dingues façon Happy Tree Friends, et à l’humour caustique et absurde. Zaim bocou ça.
De rien, de Geoffroy Monde (Delcourt, 2016)
Voici un héritier direct de Bastien Vivès et Fabcaro, et si vous avez aimé Zaï Zaï Zaï Zaï, lisez-le sans hésiter !
#gallery-0-52 { margin: auto; } #gallery-0-52 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; } #gallery-0-52 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-52 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Comtesse, d’Aude Picault (BD Cul, 2010) (mention #Ouh les coquins)
Tiens, une BD sans texte encore, et drôle et absurde aussi, mais surtout, une BD de fesse — ne venez pas jouer les #ChoquésDéçus si vous rougissez comme des communiantes en l’ouvrant. Moi qui n’ai pas aimé le platounet Idéal Standard de la même autrice, je me suis régalée de la finesse du trait et de l’imagerie convoquée dans ce volume libertin.
J’ai choisi une image très très soft non pour protéger vos âmes sensibles, mais pour me prémunir contre un sentiment de culpabilité, un lecteur inaverti dût-il poser ses yeux mignons ici. (#Angoisse & lâcheté)
§
MEH
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Plusieurs lectures ce mois-ci m’ont fait claquer ma langue de gosse impatiente, ou soupiré lourdement comme la lectrice gâtée que je suis. Ce ne sont pas des FLOP mais des « Meh », la plupart dus au fait que je me les étais salement hypés, et les ai ouverts en frétillant du derrière.
De gauche à droite, mes « Meh » du plus petit au plus gros :
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  Pourquoi ces « Meh » ?
Tortues à l’infini, de John Green (Gallimard Jeunesse, 2017)
Tortues à l’infini est plutôt un bon roman car John Green est de toute façon un bon écrivain et ne parvient pas à rater un roman même quand il essaie fort fort. Celui-ci est donc tout de même cool, mais il s’agit à mes yeux…
de son moins romanesque (il ne se passe rien, dans ce roman),
d’un roman pas super bien construit,
de son moins bon, pas de discussion.
Malgré cela, Tortues est écrit avec une verve moderne, jeune, vive, cultivée, légèrement décalée, cette verve propre à John Green si souvent imitée et jamais égalée. Si je le place parmi les « Meh », in fine (j’ai pas mal hésité), c’est qu’il m’a PESÉ de ouf, d’une façon qui n’était ni voulue (?) ni nécessaire me semble-t-il. Il parle de maladie mentale et, sans doute parce que c’est un sujet deeply personal à l’auteur, il en parle de façon un peu insistante pour être sûr qu’on comprenne bien ; or, sorry, je suis venue là pour lire un roman, pas un fil Tumblr culpabilisant.
Histoire de vérifier que je n’avais pas tout simplement grandi depuis le dernier John Green (paru il y a six ans !), et que mon souvenir des prés radieux de Nos étoiles contraires n’était pas une arnaque intellectuelle que me jouait mon cerveau, je viens de me replonger dedans. Verdict : j’adore, c’est brillant, fin, superbement construit, il se passe des choses — bref, c’est bien Tortues qui m’a trahie, pas ma mémoire…
Pour les curieux ; on pourrait dire que ce roman est parent de :
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  Le fils de l’ombre et de l’oiseau, d’Alex Cousseau (Le Rouergue, 2016)
Ce roman sur trois générations, presque quatre, mêle réalisme magique, quête mystique, et aventure de cow-boys.
Très curieux, ce « Meh » : je ne vois pas où l’auteur veut en venir au bout de 200 pages (il y en a 400). C’est plutôt joli mais je n’ai pas réussi à rentrer dans l’aventure, sans doute parce que les constants bonds dans le temps forcent le lecteur à abandonner le protagoniste toutes les quarante pages. J’avais ressenti cela à la lecture de Fondation, d’Asimov, par exemple : c’est bien vu, ça m’intéresse (intellectuellement), mais le livre a selon ma conception subjective, un handicap émotionnel structurel.
Qu’on me tue mes héros dans un grand tremblement cathartique à la Game of Thrones, je comprends, mais qu’on me laisse sans nouvelles, pour les retrouver (morts ou vifs, d’ailleurs) des années plus tard et me faire le résumé de leur vie, wallah, c’est abusé. J’étais là, moi !! Sagement assise au premier rang ! Qu’est-ce que c’est que ce machin mal branlé où tout se passe dans les couloirs et les coulisses ?
À vrai dire, ce “handicap”, que j’appellerai le “Constant callback” correspond à une attente littéraire que tout le monde ne partage pas — et que j’ai un peu de mal à formuler mais, au fond, je suis sûre d’avoir raison, hello insupportable Miss Je-Sais-Tout —
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I KNOW, ok — mais quand même, laissez-moi t’expliquer le constant callback.
Dans la vie, on a ces amis qu’on ne voit pas assez souvent ni assez longtemps pour dépasser le stade de la longue “récap depuis la dernière fois”, et avec qui la relation, de fait, n’évolue pas. On tourne en rond dans le bouillon de nos anciennes aventures sans réussir à arriver au stade ou l’on crée de nouveaux souvenirs. C’est un cocon doux mais un peu triste et, au fil des années, le lien se délite. Or, il arrive, comme ici, qu’il se passe un phénomène similaire en littérature : le personnage nous échappe pendant des ellipses, et la narration peine à sortir du “résumé des événements”, à nous faire vivre de nouvelles aventures… On se retrouve à sans cesse redémarrer de zéro avec le perso, comme on se rappellerait après une longue absence. Constant callback.
Ceci mis à part, à qui recommandé-je ce roman ? (Car il est plutôt bon je crois, et c’est aussi moi l’handicapée, ici.) À ceux qui aimeraient lire un récit à la rencontre de :
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  Naissance des cœurs de pierre, d’Antoine Dole (Actes Sud Junior, 2017)
Le pitch d’un ennui délétère ne me bottait pas des masses (dystopie où tu entres dans le « Programme » à l’adolescence, Programme où les sentiments sont interdits ; je pense que j’ai lu ce résumé plus de quarante fois en deux ans), mais le nom d’Antoine Dole, oui, et sa sélection pour le Prix Vendredi, encore plus.
Mon ressenti ? Je me suis ennuyée, mais pas pour la raison escomptée, car le roman est plutôt futé dans sa façon de prendre nos attentes à revers. Non, mon ennui est plutôt dû à des choix narratifs : on a un ressenti à fleur de peau centré sur les divers miasmes intérieurs et extérieurs des personnages, très peu de vraies scènes, et une queue de poisson finale assez frustrante : on nous relate de façon indirecte des tas d’événements qu’on aurait vraiment préféré vivre.
Si mon ressenti pourtant négatif vous donne malgré lui envie de lire ce livre, c’est normal je crois, et tant mieux : la narration très intimiste, émotive et charnelle, littéraire mais peu scénique, est un domaine dans lequel l’auteur excelle, et je crois que je n’avais tout simplement pas envie de ça à ce moment-là.
On pourrait dire que ce roman est au croisement de :
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  Monsieur Mardi-Gras Descendres, d’Éric Liberge (Zone Créative, 1998-2000)
On m’avait recommandé ce roman graphique en raison de 1) mon coup de cœur pour Blast, de Larcenet et 2) mon goût du macabre et de l’humour noir.
Monsieur « Mardi-Gras des Cendres » s’appelle ainsi car il est mort entre le Mardi-Gras et le Mercredi des Cendres, et dans le curieux enfer désertique où a atterri sa squelettique personne après son trépas, c’est ainsi que l’on recense la populace. Une quête de sens commence pour lui, dans ce monde insensé et cruel. Tous les ingrédients sont réunis pour que je passe un bon moment, mais MALHEUR : le protagoniste, incrédule et tapageur, m’agace autant que s’il tapait un scandale injustifié dans la file devant moi au supermarché.
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J’avais tout le temps envie de l’estourbir.
J’ai avalé un arc-en-ciel, d’Erwan Ji (Nathan, 2017)
C’est mon ami Tom de La Voix du Livre qui m’avait chaudement recommandé cette lecture, et il y a en effet un allant, une vivacité dans la narration adolescente, à demi loufoque, à demi sociologique, qui m’ont plu, et je vois ce qui l’a embarqué. On se laisse porter, c’est frais et drôle, souvent. Mais deux problèmes centraux m’ont finalement fait lâcher le livre vers la moitié :
Ça n’en finit plus de démarrer, et
Mondieu la mentalité.
Parfois, y a pas, c’est vraiment pour des raisons éthiques qu’on ne peut pas poursuivre un livre. Ce roman passe son temps à nous faire approuver en sous-texte : le slut-shaming, un sexisme innocent et ravageur, du mépris social, des blagues sur le viol…
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On a aussi une ribambelle d’incohérences dans l’incarnation des personnages. Donc, dommage car le début me plaisait, mais à la longue, ça me crispait.
Je vous invite à lire l’avis de Tom sur La Voix du Livre pour découvrir une critique positive de ce roman. De mon côté, je dirais qu’il est l’enfant mal élevé de :
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  …Et Lupiot a enfin fini la partie Top & Flop de ce mois-ci ! Bravooooo. On l’applaudit avec des sourires crispés en retirant discrètement le scotch de nos paupières.
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§
DING-DONG à tous ceux qui s’étaient endormis !
2) CHRONIQUES D’AILLEURS
Davantage que des chroniques, j’aimerais partager trois adresses de blogs jeunesse que j’ai découverts et feuillète régulièrement (oui, comme des magazines), et comme c’est le jeu, je vous propose l’une de leurs chroniques en lien, mais sachez que c’est plus pour l’ensemble de leurs publications que je les aime que pour cette chronique-là précisément.
Les Lectures du Monstre, tenu par un “Charmant Petit Monstre”. On y trouve de la littérature, du cinéma, et d’autres bouts de culture et de vie. Les plus :
Du lol à revendre
Un optimiste qui vous prend la grisaille à rebrousse-poil, j’ai toujours le smile en sortant de ma lecture
Des articles rythmés, illustrés, généreux et critiques
La meilleure critique des Petites Reines, so far ? I JUST LOVE IT OKAY
Plumes de lune, tenu par les jumelles Kin et Kara. On y trouve essentiellement des articles critiques de livres de SF, fantastique et fantasy. Les plus :
Un ton fun et franc, parfois corrosif
Un esprit critique piquant
Je sais toujours, à lire l’article, si je vais aimer le bouquin ou pas, signe selon moi qu’il s’agit d’une bonne chronique. (Que je sois “raccord” ou pas, d’ailleurs.)
Cf. la seule critique de Phobos nuancée qui m’ait enfin éclairée vraiment sur ce phénomène de la blogo.
Le blog de L’Ourse bibliophile. Elle y parle beaucoup de livres et notamment de livres jeunesse, mais pas que : de cinéma, mais aussi de questions de société, de féminisme et d’intersecitonnalité par exemple, et je ne sais pas pourquoi tous les blogs que je suis parlent de ça, c’est bizarre didonc. Les plus :
La densité impresionnante de ses articles
Son excellent goût en littérature jeunesse (#very partiale je suis)
Ses “Parenthèses 7ème art” géniales où elle nous critique tous les films intéressants du mois non sérieusement
Cette chronique de Moonrise, de Sarah Crossan qui me donne très envie.
§
3) AILLEURS SUR LE WEB
Ok c’est le moment d’être des intellectuels : je vous propose de découvrir les billets de Clémentine Beauvais sur L’écriture créative.
Toujours là pour t’aider à procrastiner.
Il s’agit des comptes-rendus hebdomadaires des cours qu’elle donne à la fac à des angliches qui ont vachement de la chance de l’avoir comme prof. L’avantage incomparable c’est que tu peux t’asseoir devant ton écran et regarder, le temps d’un article, des gens (elle et ses élèves) réfléchir pour toi au sujet de la littérature jeunesse, et en ressortir plus cultivé(e) et plus curieux(se).
Les premiers billets sont là :
Cours d’écriture créative pour enfants à l’université
Écriture créative, session 1 — Intro
Écriture créative, session 2 — Personnages et caractérisation
Écriture créative, session 3 — La “Voix”
Écriture créative, session 4 — Style I. Oralité et sonorités
C’est tellement bon tout ça.
Ce blog n’encourage pas à la consommation de drogue.
§
4) HAPPY NOMBRIL
Les choses qui me rendent heureuse ce mois-ci :
Je me marie. PAS CE MOIS-CI. En août 2018. On a trouvé notre lieu de réception, notre photographe, dressé notre liste d’invités, réfléchi au buff— oh mon dieu c’est horriblement lourdingue à raconter. Mais ça me rend heureuse. Une anecdote à raconter : plusieurs ami(e)s m’ont demandé si nous ferions un mariage thématique Harry Potter. Je ne vois pas pourquoi ils demandent ça,
#moi
mais la réponse est non. Lorsque j’ai émis, comme ça, l’idée de glisser dans notre décoration de mariage des petits clins d’œil Harry Potter (genre, pour les noms de tables), mon promis m’a regardé d’un regard très regardant, yeux écarquillés, et a lentement pointé du doigt l’étagère Harry Potter que j’ai percée et montée et décorée sur le mur du salon au-dessus de la télé, avant d’articuler silencieusement : “Non”. Et j’ai lu dans ses yeux “ENOUGH”.
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Je participe au National Novel Writing Month, connu par les aficionados comme le NaNoWriMo ! (Ou Nano.) C’est un défi d’écriture un peu barré auquel je participe depuis 11 ans et dont j’ai parlé dans cet article l’an dernier. Ça m’amuse toujours autant d’y participer, mais je constate avec consternation que, d’année en année, j’écris de plus en plus len-te-ment. Armée de mes 45 pages de notes et 35 minutes de réflexion sous la douche, j’ouvre mon document et —
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Pitin je galère.
Aannnd, CUT. L’article est fini, avec 6 jours de retard. Fml.
§
À dimanche pour une critique du Livre de la Poussière, et à la semaine prochaine pour deux articles cuisinés aux petits oignons par mes minions.
D’ici là bonnes lectures ! T’as vu comme je te mets la pression avec mes s.
Lupiot
Tu peux ajouter ton article “C’est le 1er” à la liste en cliquant sur la grenouille bleue (je le reporterai manuellement ci-dessous !) :
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Les fantastiches C’est le 1er, je balance tout de novembre 2017 :
Les Causeries de Chichi
Chaussettes et chocolat
Les Cheesecakes de Dolorès
Des Livres et les mots
D’Encre et de Rêves
Histoires vermoulues
Les Lectures du monstre
Light and Smell
Le Monde fantasyque
Niognot
Les Notes de Grace M.
L’Ourse bibliophile
Le Sortilège des mots
Tanuki No Monogatari
La Tête en Claire
Le Vent dans les pages
Si je t’ai oublié, laisse-moi un petit cri plaintif dans les commentaires, tel un animal abandonné : “Tu m’as oublié(e) !”
  L'article est en retard car il est INTERMINABLE. J'arrête le capslock mais si tu dois retenir une chose : Lis Le Livre de la Poussière. Now. Mais !! Je suis encore en retard ! J'en suis troublée, cela ne m'arrive jamais dans la vraie vie.
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utopiedujour · 7 years
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Bruno Le Maire : Le plus proustien des Républicains
De tous les politiques qui taquinent la muse, Bruno Le Maire est sans doute celui qui impressionne le plus, et par son style et par sa persévérance. Jeune normalien, il prêtait déjà sa plume à la collection de romans à l’eau de rose Harlequin, tout en peaufinant une maîtrise sur À la Recherche du temps perdu. Depuis, le ministre de l’Économie s’est confortablement installé en littérature, publie chez Gallimard et correspond régulièrement avec Michel Houellebecq.
PAR CLÉMENCE DE BLASI PHOTOS SOPHIE CARRÈRE
Dans le salon sobrement décoré, deux canapés au bleu un peu passé se font face, de part et d’autre d’une table basse sur laquelle traînent un ouvrage de Claude Lanzmann et un essai de Clément Rosset, publié aux Éditions de Minuit. Le député de l’Eure a pris place sur l’un d’eux, sans se laisser aller au moelleux du siège ; il s’est assis élégamment, comme en visite chez lui, ses jambes immenses repliées comme les pattes d’un phasme…
Des centaines de livres habillent l’un des murs de la pièce. Claude Simon, Marie NDiaye, Jean Echenoz. Des fictions, de la poésie, quelques essais. Inutile de chercher ici les couvertures pleines de soleils couchants, reconnaissables entre mille, des romans Harlequin. Pourtant, dans ses jeunes années, l’ancien ministre de l’Agriculture du gouvernement Fillon accepte la commande d’un roman à l’eau de rose, qu’il signe sous le pseudonyme distingué de « Duc William »…
Le bras passé par-dessus le dossier du canapé, Bruno Le Maire confirme : « C’était un petit job d’étudiant, comme il y en a d’autres : on peut être pompiste, serveur, faire des photocopies ici ou là. Moi, j’ai écrit un Harlequin, bon… » À l’époque, il a une vingtaine d’années, il est étudiant à Normale Sup’. « C’était très classique, beaucoup de normaliens travaillaient pour ces éditions. La trame est écrite à l’avance, il n’y a même pas besoin de l’imaginer, juste à raconter ce qui a déjà été décidé par d’autres avant vous. En règle générale, c’est l’histoire d’un médecin marié qui tombe follement amoureux d’une femme, du coup c’est la rupture, mais faut-il céder à la passion ou être raisonnable ? » énonce-t-il en imitant le ton mièvre des feuilletons télé romantiques. Le livre a disparu ; lui jure ses grands dieux qu’il n’y est pour rien.
Reçu premier à l’agrégation de lettres modernes en 1992, Bruno Le Maire a enseigné deux ans à l’université de Lyon 2, avant d’intégrer Sciences Po et l’ENA. Il a initié les élèves de première année de licence à la littérature française classique : « Beaucoup de Proust, de Stendhal… Mais j’ai tout de suite vu que dans le fond, enseigner, ce n’était pas ça qui me passionnait. » Il en reste quelque chose, peut-être dans sa façon de s’exprimer : la voix est posée, le style net, le propos d’une grande clarté. « Quand j’étais étudiant, vers 94-95, j’ai écrit toute une série de nouvelles, qui n’ont jamais été publiées. J’avais un accord, mais au dernier moment, j’ai reculé, je ne sais pas exactement pourquoi… » Il se lève, change de pièce, farfouille, revient, le texte à la main. Une bonne centaine de pages, tenues par une reliure à spirales en plastique noir. Cinq nouvelles aux noms évocateurs ou mystérieux : « Le Maillot rose», « Toutoune », « La Presseuse d’oranges du Normandy », « Ali-Reza », « Leirins ». Le ton est simple et entraînant, raffiné, mais pas pompier. « C’était peut-être un peu trop littéraire…», glisse Bruno Le Maire comme on s’excuse.
« Ma toute première publication, au sens strict, c’est un texte que j’avais écrit sur la situation dans l’ex-République de Yougoslavie, pour la revue Esprit. En faisant mon stage ENA d’ambassade à Zagreb, j’avais été très frappé par les territoires de guerre que j’avais visités, à la frontière entre la Croatie et la Bosnie. C’est un texte qui a beaucoup compté pour moi, parce que dès le départ, il liait littérature et politique », reprend-il, ses yeux très bleus balayant…
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Publié dans Charles N°22, Littérature & Politique, Eté 2017
CHARLES n°22
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sophiegrenaud · 4 years
Text
306 – Ellis Island–
 l’étrave du jour
connaît la 
route poussière, les
peaux de gris pareilles
.
la trace du jour
écrit de      rouille
chaînes de lettres
halos noirs      autour
presque noms      
presque milliers
.
jour 
de fers 
de sombre et d’opaque
sans bras sourire       autour
pour porter le peu        de ciel
                                    des hommes
.
© Sophie Grenaud
#PoemeFondu, c’est quoi ?
Un poème fondu est écrit à partir de la page d’un livre, en utilisant uniquement les mots contenus dans cette page. Pas d’obligation d’utiliser tous les mots, mais interdiction d’en ajouter ! C’est une invention de Michèle Grangaud.
Ce poème appartient à une série de 385 écrits en 2019, à partir de L’inconnu sur la terre, de J.M. Le Clézio, aux éditions L’imaginaire (Gallimard).
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riguetblogw · 7 years
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Les corps brisés, Elsa Marpeau
Les corps brisés, Elsa Marpeau
Les corps brisés Elsa Marpeau
.
.
GALLIMARD éditions
Série noire
 240 pages – Avril 2017 – Prix 19 €
ISBN 978 2 07 272742 9
.
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Serie-Noire/Romans-noirs/Les-corps-brises
.
Quatrième de couverture
Sarah est une coureuse de rallye reconnue dans un milieu hautement macho. Un jour, lors d’une “spéciale”, elle sort de route. Son coéquipier meurt sur le coup…
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isabelle201180 · 2 years
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Leur âme au diable : Marin Ledun
Titre : Leur âme au diable Auteur : Marin Ledun Édition : Gallimard Série noire (2021) / J’ai Lu Policier (2022) Résumé : L’histoire commence le 28 juillet 1986 par le braquage, au Havre, de deux camions-citernes remplis d’ammoniac liquide destiné à une usine de cigarettes. 24 000 litres envolés, sept cadavres, une jeune femme […]Leur âme au diable : Marin Ledun
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