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#à fond les mecs
spottys-rathole · 25 days
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ça fait depuis deux heures du matin (il est 18h là) que mes voisins du dessus s'engueulent les fenêtres ouvertes, ça résonne dans toute la rue ils claquent les portes, j'ai les murs qui tremblent chez moi vous voulez pas genre aller vous détester ailleurs rester ensemble dans le même T2 ça va pas aider
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biarritzzz · 10 months
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J’apprends par hasard au détour d’un documentaire que Sophie Marceau a entamé une liaison à 18 ans (au sortir du succès monstrueux de La Boum) avec Andrjez Zulawski qui en avait 44.
18 ans vs 44 ans.
J’ai toujours pensé que les mecs qui étaient obsédés par Sophie Marceau l’étaient à cause de La Boum parce que fondamentalement ils veulent se taper Vic, une gamine de 13 ans dans le film.
Mon hypothèse se confirme.
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urween · 4 months
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
! warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots Description à la troisième personne
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Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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sloubs · 7 days
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hier soir en rentrant chez moi j'ai vu sur mon rideau une araignée de la taille de ma MAIN, d'habitude j'ai pas peur des araignées mais là vraiment c'était impossible pour moi de la toucher, et impossible de rester dormir dans la même pièce que ce monstre
et comme il était 21h30, j'ai eu beau appeler ma mère elle allait pas faire le déplacement juste pour une araignée aussi balèze soit-elle, donc mon seul recours était le suivant : mon voisin de palier
j'suis allée toquer chez lui en panique, j'me suis même pas présentée ni rien juste je lui ai demandé s'il avait peur des araignées, il m'a répondu "pas du tout 😎" et il est venu m'aider à la dégager, il l'a chopé à la main avec juste un bout de sopalin et zou à la poubelle
et là c'est pas ce soir je rentre chez moi, en bas de l'immeuble j'entends le générique de kaamelott à FOND ? j'entends la voix d'astier et perceval résonner dans l'allée, je lève la tête. ça venait de chez lui. non seulement le mec m'a sauvé la vie mais en plus il regarde kaamelott.....j'crois que j'ai trouvé mon âme sœur les gars
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e642 · 20 days
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C'est bientôt la rentrée et comme je suis dans un gouffre sans fond de désespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrée en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles à situer donc je vais voir où les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon côté psychorigide revient au galop après 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas répondre à mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui déteste appeler même ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq années que j'ai instauré un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message où il y a écrit "courgette" c'est que l'appel est important et mérite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en général ça m'énerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000€ de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'à 43kg je doute de survivre même si j'ai pu montrer une certaine résistance à la perte de sang dans mes années mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis après 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j à 1 tous les deux jours, on en est à ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-être reprendre la course, ou m'inscrire à l'escalade (par contre 250€ une licence, pour ce prix, j'espère que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraît malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intéressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-être une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'école prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une manière de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraît pas très faisable, après pas vu pas pris comme on dit hm
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olympic-paris · 11 days
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saga: Soumission & Domination 267
GP de France (suite)
Dimanche
Réveil difficile ! Je traine et suis le dernier à passer sous la douche ! J'enfile à toute vitesse un café très serré et engouffre un froissant tout en me faisant enfiler... ma combi par PH et Franck. Samir et Ammed nous accompagnent et, non pas dans leur tenues habituelles : short cuir moulant, mais en jeans et polos.
Notre groupe navigue le long du circuit et, en block, envahi, entre les différentes courses, les " magasins ". Après 2/3 bières, les essayages sont chauds ! Nous faisons le spectacle alors qu'avec PH, Franck, Phil et Luc, combis sur les hanches malgré le temps plus que moyen, nous nous retrouvons torses nus pour enfiler chacun une bonne demi douzaine de t-shirts. Les deux vendeurs sont tendus le temps que Marc les assure qu'ils ne risquent rien. Nous faisons les mannequins puis quelques minutes plus tard nous achetons toutes les pièces que nous avons essayées. Ils ne sont pas déçus !
Dans une autre " boutique ", c'est Cédric, Louis et Kamal qui font le show. Ils nous imitent et nous kiffons bien leur manège. Les vendeurs sont plus cools et en rajoutent. Faut dire qu'un bel attroupement s'est constitué devant. Ils nous font même une ristourne sur le total. En 9 t-shirt j'en laissais quand même pour plus de 350€ ! Plus tard dans l'après midi, C'est PH qui attire mon attention sur Kamal bloqué devant l'étal d'un marchand de cuirs. Son regard s'est fixé sur un blouson noir assez " mauvais garçon ". Je le vois instinctivement tâter ses poches puis ses épaules tomber. Il n'a pas encore intégré sa nouvelle situation chez moi et l'augmentation du pouvoir d'achat que cela entraine. Je passe mon bras sur son épaule et lui demande si c'est celui là qu'il veut. Il est surpris et balbutie qu'il est trop cher. C'est sûr que c'est pas sur le circuit qu'on fait les meilleures affaires. Sans le lâcher, j'attire l'attention d'un des deux jeunes vendeurs et lui demande le blouson dans la bonne taille. PH a le temps de convaincre Kamal d'accepter le cadeau avant qu'il ne revienne avec deux exemplaires. C'est le plus petit qui lui va. Je comprends, alors que le vendeur fini de l'aider à l'enfiler, pourquoi il avait kiffé ce modèle. Une lanière en Y passe entre ses jambes et une fois clipsée devant, évite que le dos soit dénudé quand il se couchera sur une moto comme mon premier véritable blouson que Marc m'avait acheté. Sans compter que ça fait ressortir son paquet avec évidence ! Le vendeur le remarque et sans façon caresse la bosse mise en avant puis recule près de moi pour nous laisser admirer. Il me glisse à l'oreille que j'ai là un beau p'tit mâle bien craquant. Je rigole et passe le bras autour du cou de PH et lui dis que c'est celui là mon mec, l'autre c'est un petit ami en apprentissage des choses de la vie. Le vendeur se démonte pas et me demande alors s'il peut lui aussi apporter sa pierre à l'édifice. Kamal qui nous a entendus, intervient alors et lui demande carrément ce que cela lui rapportera. Le vendeur me regarde un peu surpris. Je lui dis qu'ils n'ont qu'à s'arranger ensemble mais qu'en tout état de cause ce sera sous kpote. Ils s'isolent derrières deux portant au fond du stand.  Bien que discrets, il est évident que ça baise au fond du stand ! L'autre vendeur a bien du mal à se concentrer sur les autres clients. Il fiat quand même en sorte qu'ils ne s'enfoncent pas trop et les devance quand ils veulent voir un article du fond. Nous l'aidons en bloquant l'autre allée. Quand le vendeur ne peut retenir son " enthousiasme " lorsqu'il jouit, PH et moi en noyons l'expression par une quinte de toux.
Lors du passage en caisse, Kamal me dira qu'il avait négocié sa rondelle contre 20% du blouson. Le vendeur me le confirme et m'assure que c'était pas volé bien qu'il ne lui ait pas appris grand-chose ! Trop content, Kamal garde son nouveau cuir sur le dos et nous rejoignons les autres.
Il se fait bousculer, moquer alors qu'il parade entre nous. Comme Cédric et Louis le trouvent génial, Eric me demande où je l'ai acheté et nous rebroussons chemin. Le vendeur qui nous voit revenir s'avance vers nous interrogatif. Eric pousse alors Cédric et Louis devant nous et lui demande le même blouson pour ces deux là. Après discussion, ils l'auront avec 10% de remise mais sans intermède sexuel !
Nous prenons quand même le temps de regarder les courses. L'ambiance est chaude même si elle est très différente de celle des 24h moto. Personne ne fait de remarque sur nos façons de nous tenir (correctes quand même : bras autour du cou ou dans les reins).
Pas pressés, nous trainons sur le circuit alors que la masse des spectateurs en part. Nous sommes attablés devant des bières quand nous sommes abordés par 4 mecs d'environ 20/25ans qui nous demandent si nous restons sur place ce soir encore. Réponse positive de Marc. On discute des courses puis d'où nous sommes. Eux sont de Bordeaux. Y'en a un pour nous demande comment on a fait pour rester aussi " frais ". Marc leur dis que nous avons loué un gîte à deux pas d'ici. Ils n'en avaient pas eu l'idée et le regrettent vu le confort limité du couchage sous tente ! Celui qui me semble le plus jeune nous demande si nous serions suffisamment cool pour leur permettre de se laver chez nous. Eric nous regarde tous avant de leur faire remarquer que s'ils n'ont pas peur de se faire violer, c'est tout à fait possible. Celui qui nous avait posé la question l'assure que vu la brochette de beaux mecs que nous faisons, ils seraient " cons " de ne pas profiter de ça aussi. Au moins ça le mérite d'être clair ! La conversation devient tout de suite plus " amicale " et, finalement, nous décidons de rentrer au gîte. Allez savoir pourquoi un tel empressement.
Avec PH je les accompagne à leur tente. Nous comprenons mieux. Deux petites tentes deux places entourées de 2 ZX10R de 2012 et 2 R1 de la même année. Ph rigole devant les motos et explique qu'ils ne pouvaient plus me plaire avec ces modèles là. Ils font vite leurs sacs. Je leur dis de démonter aussi leurs tentes à moins qu'ils ne veuillent vraiment passer une nuit de plus dans l'humidité. PH ajoute que nous leur ferons une petite place sur les 20m² de lits du gîte. Ils ne relèvent pas mais plient aussitôt le reste du matériel.
Ils nous suivent jusqu'à nos propres motos. Ils admirent les nouveaux modèles et je leur dis de nous suivre. 10 mn plus tard nous les béquillons au milieu des autres.
Ils sont quand même surpris par l'ambiance. Les combi sont toutes accrochées et tout le monde déambule en slip ou shorty et même jock pour Cédric et Kamal. Marc leur dit de se mettre à l'aise et PH et moi montrons l'exemple en quittant nos combis. Ils quittent leurs cuirs. Effectivement les douches ne seront pas du luxe. J'emmène un couple avec moi et PH l'autre jusqu'aux salles de bain. Je suis le premier à les voir à poil. Plus que corrects ! Musclés suffisamment même si moins que moi, peu poilu et bien entretenus (torses et aisselles rasés, couilles idem et pubis tondu). Ils sont ravis des installations et se font tout beaux, je fais de même.
Propres et changés nous rejoignons le séjour. Les mecs remercient Eric et Marc alors que nous attaquons l'apéro. Ce dernier leur demande, en nous montrant tous, si la variété des mecs leurs convient. Y'en a deux qui rougissent grave alors que les deux autres éclatent de rire.  L'apéro s'éternise quand Kamal et Cédric attaquent les deux plus " mâles " de nos invités. Faut dire que depuis quelque temps déjà, ça bandait dur dans les slips ! C'est le signal de départ pour la dernière touze du WE. Marc attrape le plus jeune de nos invités et l'invite à se pencher sur son cas ou plutôt sur sa bite. Nous n'avons pas fait le mauvais choix. Ils sont chauds comme la braise et il ne faut pas longtemps pour qu'ils se retrouvent à poil comme nous tous.
Je ne laisse pas passer mon tour et m'octroi d'autorité, avec PH, le jeune que j'avais accompagné à la douche. Sa langue se bat bien avec la mienne et il me laisse pousser mes doigts dans son cul. PH m'aide bien en lui faisant une pipe dont je connais personnellement l'efficacité ! Quand je sens une langue contre mes doigts, je jette un oeil. C'est Louis que nous a envoyé Franck. Mes doigts remontent sur ses pecs et alors que je joue avec, j'ai le plaisir de l'entendre gémir.
Quand Louis me dis qu'il lui semble prêt, PH m'encapuchonne et je me glisse derrière notre invité pour l'honoré comme il faut. Avec moins de circonvolutions, je l'encule grave ! Bon et même Très Bon ! Un anneau bien serré entre deux fesses musclées je ne connais rien de mieux. PH installe Louis sous notre invité et profite de son cul. J'explore les capacités de ce nouveau trou. Il me prend bien en entier (mais je ne fait que 20 aussi !). Sa muqueuse colle bien à ma bite et sa rondelle me comprime bien. J'aime surtout quand il la serre avant que je ressorte mon gland totalement. Il apprécie quand je force pour entrer de nouveau et laisse échapper des grognements significatifs. Rythme de croisière, mes mains ancrées sur ses hanches, je jette un coup d'oeil autour de nous. J'aperçois 3 autres regroupements, chacun autour d'un des autres invités. Les gémissements vont bon train et dénotent des enculades efficaces. Avec PH nous échangeons nos " culs ". Dans le mouvement, notre invité prend l'initiative de se mettre en 69 avec Louis, ce dernier tout content de se faire pomper à son tour. C'est en se regardant dans les yeux avec PH que nous jutons après une bonne série de pénétrations profondes et parfois brutales. En dessous de nous, je vois qu'ils se sont bien recouverts avec leurs spermes respectifs.
Nous nous décollons les uns des autres. Deux autres " amalgames " se sont déliés aussi. Il ne reste que celui d'Eric et Marc avec le deuxième " jeune " du quatuor. Ce dernier semble inquiet à l'idée de laisser l'énorme bite noire lui perforer l'anneau. Nous nous approchons tous. Son mec lui dit qu'il n'aura pas l'occasion de rencontrer souvent un matériel pareil et qu'il devrait en profiter. Cédric se place devant lui et se laisse monter par Eric pour lui prouver que c'est possible. Kamal s'insinue et lui mange la rondelle pour la préparer alors que Phil ouvre son flacon de poppers pour aider.
Eric sort de Cédric et se kpote. Le p'tit mec est poussé à sur le dos, les jambes à la verticale et son mec se charge de le gazer au poppers. Tous, autour, nous l'encourageons. Son mec lui parle à l'oreille et le détend alors qu'Eric le défonce lentement mais sûrement. L'enculé halète, snif et pleure en même temps. Mon enculé ouvre de grands yeux devant l'exploit de son copain. Je lui glisse de bien regarder car après dîner c'est sûr que ce sera son tour. Il me regarde interloqué. Je lui dis qu'à par Marc, tous les autres se le sont déjà pris dans le cul et que nous n'en sommes pas morts. En attendant, son pote commence à prendre son pied. Sous nos encouragements et surtout sous l'effet du glissement du gland d'Eric contre sa prostate, il explose littéralement et c'est un véritable geyser qui sort de sa queue. Chaque coup de rein d'Eric propulse le jet un peu plus haut. Il sort pour ajouter son sperme et le pauvre mec se retrouve recouvert de grandes traines blanches.
Bousculades sous les douches. Les 4 invités ne sont pas les derniers dans la mêlée. Nous retournons à poil dans le séjour pour chercher nos sous vêtements. Ils sont surpris de la complicité qui règne entre nous tous. Ils le sont aussi par le diner que samir et Ammed ont rapidement mis en place. Nous discutons de tout et de rien. Ils nous remercient encore pour l'ébergement. Ils sont tous les 4 étudiants en médecine à Bordeaux. Les deux plus âgés sont en en 6ème année alors que les deux plus jeunes finissent leur 2ème (ils n'ont que 19ans). Ils sont en coupe depuis deux ans seulement quand ils les avaient repérés/attrapés parmi les autres. Les jeunes nous disent que c'est grâce à eux (les plus vieux) qu'ils ont eu leur première année du premier coup. A bordeaux, ils vivent tous les 4 ensembles en colocation. L'un des plus vieux nous invite à venir les voir quand nous voudrons mais hors période d'exams. Marc leur dit que de toutes les manières c'est aussi le cas de tous les jeunes présents.
Ils sont vraiment sympas et avec PH nous sommes très partants pour les revoir. Marc nous dis que nous aurions qu'à trouver un gite sur le bassin d'Arcachon début juillet. Ça nous ferait une pause sur la route de l'Espagne.
Lors du couchage, nouvelle surprise pour nos invités quand ils voient la chambre " baisodrome " que nous avions organisé.
Je glisse à celui que j'avais bien défoncé qu'il allait maintenant tester les dimensions hors normes d'Eric. Ce sera chose faite, non sans difficultés, quelque une heure plus tard, avec les encouragements de tous les autres, dont son mec !
Le lundi matin, après avoir remis en état le gîte, nous roulons ensemble jusqu'à Angers où nos routes se séparent.
Jardinier
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scienceoftheidiot · 11 hours
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Est-ce que je peux souffler bordel
Est-ce que je peux ne pas avoir envie d'écrire à la mère d'une meuf que j'ai pas vu depuis quinze ans et qui m'a bien enfoncée quand j'étais gosse même si c'était censé être ma meilleure amie parce qu'au collège on est tous des raclures
Mais que si j'ai pas parlé à cette meuf depuis c'est qu'elle a continué à me considérer comme une merde et à me le faire sentir APRÈS ?
Est-ce que je peux avoir moi même des problèmes, ma mère qui se mêle de mon couple parce que j'ai le malheur de lui faire confiance et de lui dire un truc qu'il s'est passé entre moi et mon mari au moment le plus dur parce qu'on est au fond du trou?
Est-ce que je peux ne pas arriver à gérer la claire maladie mentale de mon mec (IL A ADMIS. IL L'A ADMIS ET IL VOIE UNE PSY CA Y EST) en plus de la mienne (c'est du stress c'est que du stress c'est de l'anxiété madame non on vous donnera pas des médicaments faut juste que vous arretiez de stresser enfin arrêter vous n'avez pas de problème)?
Est-ce que je peux avoir peur que oui, la belle mère maintenant handicapée va nous pourrir la vie parce qu'elle n'a personne d'autre que son fils et qu'en plus on s'entend pas?
Est-ce que je peux
Deux minutes
Dormir
Appuyer sur pause
Et chialer sur quelqu'un
Qui ne va pas ensuite me dire que faut que je fasse telle ou telle chose, ou que je suis bien ingrate pour pleurer et vouloir qu'on s'occupe de mon cul quand les autres ont des problèmes plus graves?
Non parce que là j'en peux plus
La seule chose qui me tiens c'est la reconstit de ce week end qui heureusement a été une bouffée d'air frais, et LE TAF
LE TAF PUTAIN
Et mon contrat se termine LA SEMAINE PROCHAINE
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lexiie-xd · 1 month
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16 août 24
Quand tu discutes avec un mec sur Wannonce en fin de soirée et qu'il t'invite à passer chez lui.
Quand tu as tellement envie de baiser que tu traverses Mulhouse à 1h du matin.
Quand tu découvres qu'il vit dans un quartier que même ton GPS ne trouve pas l'adresse.
Quand il n'y a plus d'éclairage de rue et que tu dois marcher une plombe en talon dans l'obscurité pour rejoindre son immeuble.
Quand tu te dis que tu as vraiment faim pour en être là.
Quand tu te dis aussi que c'est tellement agréable de marcher dans la rue habillée comme une pute.
Quand tu arrives au 7ème étage (avec ascenseur... ouf!!!) et que tu te rapproches du bonheur.
Quand le mec ouvre et te dit qu'il a fait une connerie en te disant de venir parce qu'il est shooté à mort!
Quand tu te dis qu'il faut vite se barrer parce que les mecs drogués c'est pas ton truc.
Quand tu lui dis que c'est pas grave et que tu penses le contraire mais que tu ne veux pas faire d'histoires.
Quand tu redescends les 7 étages (avec ascenseur... ouf!!!) complètement frustrée et encore plus en manque.
Quand tu traverses le hall de l'immeuble et qu'un mec rentre.
Quand tu dois assumer d'être habillée comme une pute en croisant un mec dans un hall d'immeuble éclairé.
Quand tu dis bonsoir le plus naturellement possible.
Quand le mec te répond gentiment et que tu vois dans son regard qu'il a mis moins de 3 secondes à comprendre la situation.
Quand il y a un flottement dans l'action en cours.
Quand le mec s'arrête, te sourit, te montre son bas ventre et une porte à côté de toi.
Quand tu lis sur la porte que c'est la cave et que tu as peu de temps pour te décider.
Quand le mec te sourit toujours et te dit "on y va?"
Quand c'est trop dur de réfléchir, que tu es encore sous la surprise, que t'as un peu peur et beaucoup envie.
Quand tu suis bêtement le mec dans la cave.
Quand à peine arrivée en bas des escaliers il te plaque le dos contre le mur en béton.
Quand tu es surprise, apeurée et qu'il t'embrasse à pleine bouche sans te laisser le temps de respirer.
Quand il défait sa ceinture et baisse son jean en t'embrassant toujours à pleine bouche.
Quand tu penses à ton rouge à lèvres qui va faire la gueule et que déjà il te pousse à te mettre accroupie devant lui.
Quand il te met sa queue déjà dure dans la bouche et que tu n'as encore pas pu prononcer un mot.
Quand tu as la tête coincée contre le mur et qu'il te bourrine la gorge.
Quand tu commences à étouffer, que tu baves carrément et que tu n'arrives plus à réfléchir.
Quand d'un coup il te relève, te retourne face au mur, qu'il t'enlève ta veste et t'arrache ton string violemment.
Quand il t'embrasse dans le coup et te mordille la nuque en te traitant de salope.
Quand décidément tu n'as toujours pas pu parler, ni pu réfléchir.
Quand tu as moins peur.
Quand il te rentre sa queue bien gonflée en continuant à te mordiller la nuque et en te tenant par le hanches.
Quand tu peux enfin réfléchir, tu te dis qu'il aurait pu te lubrifier et mettre une capote.
Quand tu te dis finalement qu'au minimum il aurait au moins pu te le demander.
Quand il te besogne à fond et que tu te dis que visiblement ce n'est pas le genre de mec à poser des questions.
Quand tu en es là de tes réflexions et que tu sens qu'il s'active plus vite.
Quand tu as le visage contre le béton froid et qu'une de ses mains est toujours sur ta hanche.
Quand son autre main t'écrase la gorge et que tu te demandes s'il va vraiment t'étrangler.
Quand il fini de s'activer et qu'il te lâche la gorge.
Quand il reste immobile au fond de toi pour savourer son plaisir.
Quand tu comprends que ton plaisir il s'en fiche.
Quand il sort et qu'il te dit de lui nettoyer la bite avec la langue.
Quand tu t'éxécutes sans discuter parce que tu as compris que c'était inutile.
Quand tu t'accroupis avec le cul encore ouvert.
Quand tu penses à la flaque que tu vas laisser par terre à la femme de ménage.
Quand tu finis de lui nettoyer la queue et qu'il te dit de te casser.
Quand devant lui tu attrapes vite fait ton sac à mains et ta veste et que tu te sauves, en bredouillant un merci.
Quand il te répète de te casser vite fait, salope.
Quand tu finis d'enfiler ton manteau dans le hall de l'immeuble et que tu penses à ton maquillage.
Quand tu retraverses le quartier dans l'obscurité, un filet de jus qui coule sur les cuisses, en espérant ne rencontrer personne.
Et bien finalement tu te dis qu'il existe encore des vrais mecs!
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kelthoumrambles · 1 month
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Ptn... il m'est arrivé un de ces bails hier soir. Je viens de me réveiller, je suis tjs méga choquée. Hier, vers 19h, j'ai été prendre l'apéro dans un de mes bars préférés. J'ai pas énormément bu mais sur estomac vide, comme d'hab. Puis, j'ai un "pote" qui m'a demandé ce que je faisais. Je lui ai dit où j'étais et il a décidé de me rejoindre aux alentours de 23h00. Ce type, faut savoir, plusieurs personnes m'ont dit de m'en méfier mais comme une conne j'ai pas vu les signes... enfin, si, il est un peu spécial parfois mais c'est un artiste et je me suis tjs dit que les artistes sont un peu zarb. Bref. Je lui fait savoir que je suis fatiguée et que j'allais rentrer. Il propose de me ramener chez moi. Super, j'accepte. On est en voiture et je me rends compte au bout d'un moment qu'il ne prend pas dutout le chemin de ma maison. Je lui demande "euh.. tu vas où là ?" Et il me répond "chez moi". Lorsque je vous dit que mon instinct de survie s'est déclenché en deux temps trois mouvements. On a commencé à se disputer. Ça m'a fait péter un plomb car j'étais totalement prisonnière.... il s'est arrêté au milieu d'une grande route, je me débatais et il est sorti de sa voiture, a ouvert ma portière, il a pris mon sac et il a tout vidé par terre comme un gros dingue, ensuite, il m'a ultra violemment sorti de sa voiture, il m'a traîné sur plusieurs mètres (mon genou droit peut en témoigner) en me gueulant dessus comme un possédé. Je ne sais même plus ce qu'il me disait.. et il est parti en trombe. Je me suis retrouvée au milieu de nul part, le soir, avec mon écran de tel totalement pété suite à cette altercation et, sur une grande route sur laquelle les piétons n'ont rien à faire. J'ai marché pendant une demie heure pour rejoindre la ville et prendre un taxi.... plein de voitures me klaxonnaient. Et après tout ça, le mec m'a envoyé un message totalement lunaire en mode "désolée de t'avoir mis dehors. Je me suis senti humilié" humilié de quoi fdp t'étais sur le point de me v*****??!?? Sérieusement je suis O.O .... Vis ma vie pfff je m'en veux à fond de m'être retrouvé dans une telle situation. Marre. Mais marre.
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cestmoiquand · 11 months
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Ma vie, cette Telenovela, épisode 220:
- je dois quitter mon appartement à la fin du mois, sans les trois mois de préavis, pcq mon appart a été vendue.. mais peut être qu'il ne l'est pas et que je peux rester + longtemps dedans. Sauf que j'ai résilié tout mes contrats en lien avec cet appart...
- le mec, en couple de l'année passée, est à nouveau là. Il est celib. On est assis l'un à côté de l'autre, ça devient tactile (je suis pas une personne tactile), mais tjrs rien
- j'ai rencontré pleins de gens chouettes ces derniers temps et j'ai l'impression d'être + ouverte aux rencontres et de me faire moins d'idée
- un mec, que j'ai embrassé, il y a 6 ans, m'a proposé de dormir chez lui, dans la chambre d'amis, si je passe dans sa ville. Euh... comment dire ? C'est gênant. Surtout qu'il a tenté un move et moi, je suis tjrs pas tactile
- un mec de mon lycée me chine depuis mon anniv. Il est à fond et moi, je fuis
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rayondelun3 · 1 year
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C'est mon meilleur ami qui m'a fait ça. C'est lui qui m'a fait ça et qui a fait en sorte que les autres m'utilisent aussi.
Je me mutilais déjà, j'avais déjà un pied dans la mort, il le savait. C'est mon meilleur ami un jour de pluie qui m'a fait ça.
Depuis je n'oublie pas. J'y penses. J'y penses tout le temps.
C'était mon meilleur ami. Et puis il y a eu tous les autres. Tant d'autres. Tous des merdes.
Et avant lui qui était ce ? C'étaient des professeurs, professionnels en humiliation et harcèlement.
Je me souviens de ce qu'il y a eu encore avant ça. Je me rappelle l'origine du mal. Au fond de mon cœur que je voulais arracher chaque jour tant j'avais mal. Mal au ventre, mal à la tête, plaques d'eczéma sur les bras, piqûre de la sueur et du sang.
Je me rappelle des bleus des coupures des ongles rongés du sang et des larmes qui coulaient. Le visage n'est pas flou. Je me rappelle le sol froid. Je me rappelle que c'étaient ceux qui voulaient que je les appelle « papa » et « maman ».
J'oublie la plupart des moments de bonheur. Je suis couverte de cicatrices, celles qui se voient et celles qui ne se voient pas.
J'ai tenté d'arracher mon cœur et de vivre sans mais je ne suis pas comme ça. Oui je me suis battue, oui j'ai la haine, oui j'ai encore des larmes, oui ça fait toujours mal et parfois j'ai peur.
Dites-leur qu'ils m'ont presque tuée. Dites-leur que j'ai essayé environ 7 fois et que des autres je ne m'en souviens pas. Dites-leur que ce sont des merdes et qu'ils ont tout intérêt à se faire soigner. Dites-leur que j'ai voulu me venger, dites-leur que je veux leur mort. Dites-leur qu'ils pourrissent en moi, dites-leur qu'ils font partie de moi. Dites-leur que je me suis mise à dire les mêmes choses qu'il me disaient, à me faire ce qu'ils me faisaient, toute seule. Dites-leur que parfois ça revient et que c'est comme un ras de marrée. Dites-leur que j'ai laissé mon corps se faire emporter par la mer un nombre incalculable de fois en plein hiver en pleine tempête. Dites-leur que j'ai perdu des années de ma vie, que je n'ai quasiment pas connu l'innocence. Dites-leur qu'ils ont bousillé une partie de ma vie et de mon enfance et de mon adolescence et de ma vie de jeune femme.
Mais dites-leur que je peux me tenir sur le toit d'un gratte-ciel sans me jeter dans le vide. Dites-leur que je me bats toujours et que je fais le bien autour de moi malgré le mal qu'on me fait encore. Dites-leur que je me suis faite ma propre famille et que je peux aussi la défaire. Dites-leur que je vis ma vie à ma guise. Dites-leur que je danse en boîte de nuit, que j'aime le vin et qu'à n'importe quelle heure j'aide les gens. Dites-leur que j'aime la pluie et que je n'ai plus peur de souffrir.
Dites-leur qu'ils aillent se faire foutre. Que mes amies tueraient pour moi et qu'on est des tarées. Dites-leur que c'est moi la plus dingue parmi mes sœurs. Dites-leur que c'est moi qui ai sauvé une vingtaine de vies du suicide en 5 ans. Dites-leur que je sors des mecs du métro et que je les tabasse. Dites-leur que s'ils s'approchent je n'ai pas renoncé à la violence, dites-leur que je ne renoncerai jamais. Dites-leur que je dois prendre des tonnes de cachets comme une droguée et que si je pouvais je les traumatiserai à mon tour, dites-leur qu'eux ne survivraient pas comme mes sœurs et moi avons pu survivre.
Ou ne leur dites rien. C'est mieux comme ça.
Si vous aussi vous les connaissez, et vous en connaissez forcément, fuyez avant qu'ils ne vous attrapent. Sinon, appelez à l'aide. Appelez moi. Racontez moi.
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cestdanslatete · 10 months
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bof : j'ai découvert des punaises de lit chez moi. vraiment un moove pas top. je ne recommande pas.
bof : tous les jours, je pense au fait que mon mec a (une fois encore) tordu ma confiance dans tous les sens. je ne suis pas encore prête à retirer mes oeillères.
bien : je me suis ré-enfoncée dans "panic station" de muse. c'est un son qui m'agite comme plein de bulles qui éclatent. une mélodie qui donne envie de se remuer avec le son à fond, une basse qui me fait rêver à plein de scénarios qui donnent chaud.
un peu bof : j'ai tenté une technique d'approche qui n'a pas marché, mais "panic station" me rappelle au moins nos nuits de travail passées ensemble. des fous rires insensés, des coups de fils dignes de gamins qui s'ennuient, des escapades sur les toits ou dans les sous-sols, des visites de bureaux à la recherche de conneries à réaliser (la chaussure dans le micro-ondes, peut-être la chose qui m'aura le plus fait marrer), les zappings à regarder sur les sièges 3x8… On aura bien rigolé.
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e642 · 3 months
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Je dois trouver un stage pour l'année prochaine. J'ai décidé que je voulais le faire en addictologie vis à vis de mon passé et aussi du fait que c'est intéressant et que nous sommes tous concernés. J'ai contacté un prof pour qu'ils me donnent des conseils et deviennent prochainement celui qui supervisera mon stage. Ce mec je l'ai eu en cours, je le connais et il m'a déjà fait une remarque sur mes mutilations. On s'est eu au téléphone car j'étais pas sur nice. Il était relativement encourageant jusqu'au moment où il m'a dit "vous n'avez pas peur ?". J'étais en mode quest ce qu'il rac. Donc je lui demande peur de quoi. Et il me répond "de ne jamais être prise au sérieux par des patients avec vos bras". Et j'y avais jamais pensé ou pas sous cet angle. Je me suis toujours dit que ça ne pouvait être qu'encourageant pour des patients de voir une psy ou une étudiante en stage qui était passé par des moments troubles comme les leurs, que ça donnait un goût de "alors on peut s'en sortir". Jamais je me suis dit que quelqu'un pourrait refuser des soins ou remettre en doute mes mots juste parce que j'avais des marques du passé et donc que je n'avais pas été assez bonne pour me gérer à un moment donné et donc gérer d'autres personnes. Je sais pas ça m'a mis un coup. Au fond, il a autant raison que j'ai raison, c'est la perception des patients qui tranchera. Je ne crois pas que je suis quelqu'un de moins bien juste parce que je ne cache pas ce qui m'est arrivé. J'ai toujours refusé de le cacher parce que c'est là et que je n'en ai pas honte.
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olympic-paris · 8 days
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saga: Soumission & Domination 270
Arcachon
Jour 1
Appel à nos amis et ils nous retrouvent alors que nous attendons devant l'agence de location. Le professionnel est surpris de voir nos moyens de locomotion et je le vois s'inquiéter pour sa villa. Et je crois que le fait que je paye le reste de la location et les courses que nous avions demandés d'y mettre en liquide n'arrange pas les choses !
Il nous y emmène quand même. La villa correspond à la pub. Grande, style 1900 mais avec piscine découvrable et espace de détente/sport.
Nous finissons le tour de la propriété et en sommes à plonger dans l'eau quand ça sonne au portail. Nos amis sont étonnés, nous avions oublié de les prévenir pour nos invités à l'apéro.
J'enfile un maillot de bain traverse la maison et descend les quelques 10aines de mètre qui la sépare du portail. Ce sont bien nos deux motards. En civil, ils nous ressemblent, et les BMW bleues ont été remplacées par deux Ducati 1199 Panigale R flambant rouge. Alors qu'ils les garent à coté des nôtres et de la SL, les autres arrivent aux nouvelles. Evidement nous passons un bon moment à tourner autour de leurs deux cubes. Je leur dis que je ne pensais pas que la paye de gendarme leur permettait ça. Ils me répondent qu'ils les ont eu au domaine, que c'était des motos confisquées par un préfet pour grands excès de vitesse. Ils ajoutent qu'elles sont full power et que les 195 CV sont plutôt de courses ! Avec un peu de piston, ils avaient put mettre la main dessus.
On traverse la villa. Les deux gendarmes regardent partout. Ils laissent leurs combis dans le salon et restent en slip jusqu'à la terrasse, des " ES " quand même ! Arrivés coté jardin, nos deux invités regrettent de ne pas avoir prévu de maillot. Ernesto leur dit de ne pas s'en faire, la piscine est à l'abri des regards et qu'ils sont facultatifs.  Je leur dis que j'espère qu'ils ne sont pas pressés de rentrer. Le plus grand des deux me rassure et me dit qu'ils ont trois jours de récupération.
Ils ne font pas de manière pour les enlever avant de rejoindre les autres dans l'eau. J'avais bien évalué leurs potentiels. Ils sont vraiment beau mecs, épaules larges, musclés en V et deux services trois pièces conséquents au repos. Les couilles sont rasées et les pilosités maitrisées et certaines totalement épilées.
Les présentations sont rapides. Nous apprenons qu'ils sont basés sur Bordeaux, même s'ils sont souvent envoyés ailleurs. Ils sont plus jeunes que je pensais puisqu'ils n'ont pas encore 30ans. L'uniforme ça vieilli ! Et oui, ils sont homos et c'est pourquoi ils ont accepté notre invitation. Par contre ils ne comptaient pas rencontrer des " locaux ". Nos amis les rassurent sur leur discrétion, n'étalant pas non plus leurs propres liens dans le cadre de leur Fac, même s'ils ne se cachent pas non plus.
PH est sorti de l'eau pour chercher les verres, les glaçons et les alcools de l'apéro.
Nous sortons aussi de la piscine. Les bites sont plus gonflées sans être franchement bandées à fond. Avec mon expérience, j'estime qu'à mi-bandaison nos deux gendarmes portent des " accessoires " d'au moins16/17cm déjà.
J'ai l'impression qu'ils font attention aux doses qu'on leur sert. Je leur en fais la remarque. Ils me répondent que s'ils se font prendre avec de l'alcool dans le sang ils seraient en difficult��. Ernesto qui est arrivé par derrière, me prend par le cou et leur dit que ce n'est pas un problème, ils n'ont qu'à rester. Il faut que tous les autres s'y mettent pour qu'ils acceptent. Ce n'est pas tant pour pouvoir se bourrer la gueule mais les 0,5g dans le sang arrivent trop vite.
Ça chauffe ! Les queues bandent et nous apprenons qu'ils sont tous les deux recto-verso et plutôt BM avec un bon 21 et un 22 épais bons pour le service !
Nous restons sur la terrasse. PH se bat avec un des jeunes " médecin " pour bouffer la bite d'un gendarme alors que l'autre est coincé entre Ernesto dans son dos et l'autre jeune sur sa queue. Moi je retrouve avec plaisir les caresses à 4 mains des deux autres médicos.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons testé les capacités de nos invités. Les deux gendarmes n'ont pas été les plus mauvais ! Ils se sont bien déchainés après quelques minutes de flottement devant la voracité de nos plus jeunes participants !
Je me fais enculer par les deux gendarmes, l'un après l'autre ! Ils sont loin d'être mauvais. Leurs coups de rein sont puissants et bien qu'emballées dans des kpotes, je sens leur gland frotter ma prostate. Je crois qu'à part nos deux 6ème année, non, maintenant 7ème année de médecine, nous les avons tous reçu dans le cul. Je me les suis fait aussi. Leurs rondelles sont bien musclées et résistent avec juste ce qu'il faut avant de céder et de me laisser entrer. Je m'étais déjà fait démonter le cul par des gendarmes la première année de mon permis moto (justement pour ne pas le perdre) mais jamais encore l'inverse.
J'en prends un en levrette. Mes mains bien accrochées à ses épaules musclées, je bascule le bassin pour entrer mes 20cm dans son cul. J'y vais lentement. J'aime sentir son boyau s'écarter devant mon gland et épouser les contours de celui-ci. Il souffle jusqu'à ce que sa bouche soit remplie par la bite d'un médico. Alors que je le lime depuis quelques instants, un des jeunes rampe sous son ventre et embouche sa bite. Je sens son excitation par les palpitations de son anneau sur ma queue. J'intensifie mes va et vient. Il profite ainsi de tout mes 20cm à chaque fois. Parfois je sors complètement et attend un peu que son anus se resserre avant d'y retourner. Mes pénétrations sèches font s'étrangler le suceur. Notre ami monte en pression et il me repousse pour dégager sa bite de la bouche qui le suce juste avant de juter. Ce faisant il m'a fait l'enculer jusqu'à l'os et cela déclenche ma propre jouissance. J'en remplie ma kpote alors que le dernier de notre quatuor jute sur son crane.
Nous reprenons notre souffle et un peu de jus de fruit alors que les autres terminent à leur tour.
Douche puis petit tour dans la piscine avant le diner. Tout le monde s'y met. La maréchaussée au BBQ, les médecins aux salades et nous autres à sortir les couverts. La soirée est plus calme. Je raconte à nos deux invités les fois où je me suis tiré de retraits de permis en payant de mon corps auprès de certains de ses collègues. Ils sont étonnés qu'ils aient pris de tels risques. Malgré quelques arrestations de beaux mecs, ils n'ont jamais utilisé leur position pour en profiter. J'ajoutais qu'étant alors en défaut de surpuissance de moto / années de permis, c'est toujours moi qui avaient fait les premiers pas. Ils nous disent alors regretter de n'être pas tombé sur moi. Ils se seraient laissé faire comme leurs collègues. Nous apprenons aussi qu'ils sont adepte de musculation en plus du sport avec leur bataillon (beaucoup de foncier, jogging et de pratique du combat à main nue et bien sur armé aussi). Ça explique leurs carrures.
La route plus la baise nous a bien cassés. Vers minuit, nous laissons nos amis autour du bassin et tombons de sommeil dans la première chambre venue.
Jour 2
Réveil. Je suis encore emmêlé avec PH et Ernesto. Nous nous faisons un peu plaisir (en réalité nous nous suçons jusqu'à éjaculation) avant de prendre une bonne douche et de descendre. Sous la douche nous discutons de nos deux gendarmes. Ernesto et PH sont d'accord avec moi et estiment que nous sommes tombés sur deux bons coups. PH ajoute qu'on devra essayer, s'ils sont d'accord de garder contact après cette semaine là. Du bas de l'escalier, des voix proviennent de la cuisine. Quand j'entre, je vois tous nos invités déjà debout. La table est préparée pour le petit déj et j'aperçois des croissants. Quand les deux autres (PH et Ernesto) descendent à leur tour, un des gendarme leur répond qu'il a poussé jusqu'à la boulangerie pour cela. Vu l'heure, ça glisse vers un brunch conséquent. Faut bien entretenir nos carcasses !
Café chaud, croissants, la journée commence bien. Les deux gendarmes nous demandent si nous connaissons le coin et devant notre ignorance totale, nous proposent de nous emmener sur un spot gay mais discret. Nous sommes tous d'accord pour les suivre. Nous leur prêtons des maillots car la plage n'est pas nudiste près de l'accès et comme nous voulons garder nos motos à vue... Bien que ce ne soit pas très " sécurité ", nous restons en short et t-shirt sur nos motos. Par contre, pas de liberté avec les casques, les boots et les gants ! Nous roulons à petite vitesse (50-60 Km/h) jusqu'à la plage en question. Nous enchainons les motos deux à deux et installons des blocks disques à alarme avant de descendre sur le sable. Une des serviettes sert de vestiaires et nous allons à l'eau. Elle est chaude, c'est agréable. Nous chahutons tous les 9. Bousculades, chutes dans l'eau, nous nous battons aussi deux contre deux, l'un porté sur les épaules de l'autre. A ce jeu ce sont nos gendarmes qui gagnent contre PH sur Ernesto juste devant les couples d'apprentis médecins.
Allongé sur la plage, je matais, caché derrière mes lunettes de soleil, les voisins les plus proches. Je ne vois personne de plus de 30 ans " physique ", ni de gros. Je questionne les gendarmes après leur victoire. Ils me disent qu'effectivement c'était surtout des jeunes sportifs qui squattaient cet endroit. Le fait qu'il ne soit pas surveillé éloignait les familles avec leurs corolaires de marmots !
Nous sommes rapidement invités à une partie de volley par un groupe de 10 mecs déjà bien bronzés. Nous tournons à trois équipes. La notre étant composée des deux gendarmes, d'Ernesto, un des 7ème année et moi-même au départ, nous faisons une rotation avec les autres. Nous nous en sortons honorablement même si nous ne gagnons pas tous nos matchs. Entre les parties, évacuation de la sueur dans l'eau, et échanges divers. J'apprends qu'ils sont en vacances eux aussi et pas très loin de notre location d'après un de nos gendarmes. Etudiants parisiens, ils étaient là 15 jours pour fêter leurs fins d'années et leurs passages dans leurs années supérieures respectives.
Avant la fin de l'après midi, un des volleyeurs nous propose de passer la soirée chez eux. Cela ne m'étonne pas, j'avais remarqué dans leurs maillots l'intérêt que certains pour ne pas dire tous nous portaient.
A un des gendarmes qui demande ce que nous pouvons apporter, ils répondent, des kpotes, de l'alcool et encore des kpotes. Nous les quittons avec leur adresse et un n° de portable.
A la villa, après avoir acheté deux caisses de champagne et mis les bouteilles au frigo, nous passons le temps qui nous sépare de la soirée à nous faire " beaux ". Rasages de couilles et passages de tondeuse, des massages de nos peaux au lait après soleil nous rendent encore plus " baisable ". Ceux qui bandent prennent leur mal en patience. On ne va pas décharger nos batteries alors qu'on est attendus pour une touze !
Nos gendarmes sont ravis d'être avec nous. Ils me disent que ça faisait un bon moment qu'ils n'étaient partis dans un trip pareil. Ils ajoutent que souvent ils n'osent pas se lancer de crainte de plans foireux ou même délicat quand les mecs devinent leur métier. PH qui arrive à ce moment là, leur dit qu'ils seront toujours les bienvenus chez nous. Ce qui n'est pas loin question temps de trajet, vu les joujoux qu'ils pilotent. Ils pourront même arriver en uniforme nous avons de quoi " cacher " leurs motos compromettantes et leur en prêter des à nous. S'ils n'acceptent pas d'entrée de jeux, ils ne refusent pas non plus. A travailler !!
Nous leur prêtons des fringues (des shorts et deux marcels un peu petits mais qui ne les désavantagent pas) pour la soirée. Cela leur évite de retourner à la caserne.
Jardinier
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Scotland
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marie-swriting · 15 days
Text
Conseil En Amour - Jake "Hangman" Seresin
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Top Gun Maverick Masterlist
Résumé : Jake revient après avoir été en déploiement pendant six mois et il a besoin de ton aide pour avoir la femme qu'il aime.
Warnings : un peu d'angst, attirance mutuelle, peur que l'amour ne soit pas réciproque, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.7k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : How You Get The Girl (Taylor's Version) par Taylor Swift
Quelqu’un frappant à la porte te tire de ton programme télé. D’abord, tu baisses le volume pour que la personne ne sache pas que tu es chez toi et attends qu’elle parte. Toutefois, quand les coups sur la porte se font plus insistant et que tu entends un “je sais que tu es là” avec un accent texan, tu quittes ton canapé à grande vitesse et ouvres la porte à Jake. Tu fais un cri de joie avant de te jeter dans ses bras. Jake rigole face à ton enthousiasme puis, il te serre avec tendresse contre lui. 
Vous ne vous êtes pas vus pendant six mois à cause de son dernier déploiement. Bien sûr, vous avez pu vous téléphoner, mais ce n’est pas pareil. Vous êtes fusionnels depuis vos cinq ans, vous avez besoin de vous voir souvent. 
-Pourquoi tu ne m’as pas dit que tu rentrais aujourd’hui ? demandes-tu en faisant un pas en arrière. 
-Je voulais te faire la surprise. 
-C’est réussi. Tu m’as tellement manqué ! t’exclames-tu en lui embrassant la joue et avant de le tirer à l’intérieur. J’espère que tu vas rester ici un petit moment. Six mois sans se voir, c’est beaucoup trop long !
-Je suis bien d’accord, sourit-il tendrement. 
Comme à votre habitude quand il rentre de déploiement, vous passez la journée ensemble puis, Jake dort chez toi. Vous sortez dans le centre-ville, mangez ensemble et si un film vous intéresse, vous allez au cinéma et le lendemain, Jake rentre enfin chez lui - il habite à une vingtaine de minutes. 
Quand le soir est arrivé, vous rentrez, un plat à emporter en main. Vous vous installez dans ton salon et tu mets une série au hasard afin d’avoir un fond sonore. Vous continuez à parler de ces derniers mois et ce que vous avez loupé quand tu décides d’évoquer un sujet que Jake semble éviter.
-Alors, tu ne m’as pas dit, où ça en est avec Lara ?
Jake a rencontré Lara une semaine avant de partir dans un bar. Tu n’étais pas avec lui ce soir-là donc tu ignores pas mal de détails sur leur relation. Tout ce que tu sais, c’est que Jake a bien accroché avec elle. 
-Oh, euh… Eh bien…, bégaye-t-il en évitant ton regard. 
-Jake, dis-tu avec un ton réprobateur. Ne me dis pas que tu as merdé. Pas encore.
-Pas vraiment. Enfin, si un peu. 
-Qu’est-ce que tu as fait ?
-Je lui ai peut-être pas téléphoné depuis que je suis parti.
-Tu te fous de moi ? t’écris-tu en lui frappant l’épaule. Tu te rends compte quand même que tu es le genre de mec qu’on critique quand on se retrouve entre filles ? Jake, faut que tu arrêtes de faire le connard et de détruire tes relations ! Tu es un mec gentil, mais quand il s’agit d’amour, tu es le pire. A chaque fois, tu tombes sur une fille superbe et tu ruines tout.
-Je sais et cette fois, je veux régler les choses.
-Avant qu’on continue, tu l’as pas trompée, j’espère ?
-Je suis nul en relation, mais tu sais que j’ai des limites et je dois dire que je suis fier de jamais l’avoir franchie, affirme-t-il avec un sourir satisfait.
-Encore heureux ! 
-Bref, au début, je ne savais pas ce que je voulais avec elle, mais maintenant si. J’ai vraiment accroché avec Lara et je veux qu’elle me pardonne et qu’elle me donne une autre chance, mais je ne sais pas quoi faire.
Suite à sa phrase, tu comprends le sous-entendu de Jake. Il a mal agi et il a besoin de tes conseils avisés pour régler la situation. Encore. Tu roules des yeux avant de te redresser.
-Je vais finir par te faire payer mes conseils en amour, au moins, je deviendrai milliardaire en un mois avec toi.
-T’es la personne la plus stable  que je connaisse en termes de relations amoureuses donc forcément que je me tourne vers toi ! Puis, tu es une femme, tu sais ce qu’il faut faire.  
-C’est vrai, confirmes-tu avec modestie. Bon, déjà, tu vas essayer de la voir dans un endroit neutre, par exemple, un café. 
-Et je lui offre des fleurs ?
-Tu connais ses fleurs préférées ?
-Les roses, c’est la sécurité, non ? suggère-t-il et tu es désespérée. 
-Tu connais un détail personnel sur Lara, comme le genre de livres qu’elle aime ? demandes-tu et il secoue la tête. D’accord, contente toi de lui payer ce qu’elle prend au café. Déjà, tu excuses et comme il faut, tu fais en sorte que le focus soit sur elle et sur ce qu’elle a pu ressentir. Le but n’est pas qu’elle te réconforte parce que tu te sens coupable alors que c’est toi qui as merdé. Si elle ne t’a pas encore jeté son verre d’eau à la gueule, c’est que t’es sur la bonne voie. Là, de la manière la plus convaincante, tu vas lui dire que tu la veux, elle et pas une autre fille, pour le meilleur et pour le pire. Tu sais que ça va lui prendre du temps pour qu’elle te fasse confiance à nouveau mais que tu attendras pour toujours jusqu’à ce que ça soit le cas. Dis-lui que tu sais que tu lui as brisé le cœur, mais que tu veux le réparer, car tu tiens vraiment à elle et que tu vas faire mieux pour elle. En bref, prouve que tu veux t’améliorer et appuie tes mots par des gestes. Et voilà, comment ça fonctionne, c’est comme ça que tu pourras avoir la femme. En tout cas, tes chances seront plus grandes. 
-Tu penses vraiment que ça peut marcher ? demande Jake, sceptique. 
-Je ne peux pas te le promettre à 100%, mais au moins, ça montre que tu veux devenir l’homme qu’elle mérite. En tout cas, t’as intérêt à me tenir au courant ! Et aussi, ne tarde pas trop pour le faire. Tu devrais même la contacter ce soir pour pouvoir la voir dans les jours qui arrivent. 
-Tu as raison.
Jake prend son téléphone et tape rapidement un message. Après ta validation, il l’envoie et attend nerveusement la réponse. Cependant, étant fatigué du voyage, Jake ne tarde pas à bailler, vous allez donc vous coucher. Jake dort dans le même lit que toi. Vous l’avez toujours fait et vous n’allez pas changer maintenant. Après tout, entre vous, c’est complètement platonique. 
Enfin, pour lui. De ton côté, ça n’a pas toujours été le cas. Quand vous étiez encore au lycée, le béguin que tu avais sur Jake était presque embarrassant. C’est d’ailleurs le seul secret que tu ne lui as jamais dit. Officiellement. Lors du bal du lycée, tu avais confessé à Jake que tu aimerais être plus que de simples amis, mais il était tellement saoul qu’il n’a pas compris ce que tu insinuais et le lendemain, il avait zéro souvenir et tu en étais reconnaissante. Tu ne sais pas ce que tu aurais fait s’il s’en était souvenu. Tu aurais sûrement perdu ton meilleur ami et tu ne pouvais pas te le permettre alors tu as enfoui ce béguin jusqu’à ce qu’il meurt. 
Toutefois, ce que tu ne sais pas et le seul secret que Jake ne t’a jamais partagé, c’est qu’il se souvient très bien de ce que tu lui avais dit ce soir-là. Il était juste tellement surpris qu’il avait fait semblant de ne pas comprendre. Il n’avait pas l’impression de t’aimer de cette façon alors il n’a rien dit pour ne pas changer votre amitié. Cependant, le retour de bâton a été violent deux ans plus tard, quand tu as eu ton premier petit ami sérieux. Jake avait ressenti une forte jalousie, pensant d’abord qu’il avait juste peur de perdre sa meilleure amie avant d’arriver à la terrible conclusion : il avait des sentiments pour toi et c’était trop tard, il avait loupé le coche avec toi. Par conséquent, Jake a enchaîné les relations sans lendemain alors que tu enchainais les relations sérieuses de plusieurs années sans qu’il comprenne ce que tu trouvais à “ces mecs”, comme il dit si bien. Cependant, ces derniers mois, il a accepté qu’un de “ces mecs” avec qui tu es depuis plusieurs années soit celui qu’il te faut. Jake n’est pas sûr d’être celui que tu mérites et il ne veut pas ruiner votre amitié, c’est pourquoi il veut tellement réparer sa relation avec Lara. Surtout que ton histoire avec Scott est actuellement la plus longue, il est sûrement ton futur mari alors Jake doit définitivement arrêter d’espérer qu’un jour, vous serez ensemble. Il doit avancer comme toi, tu l’as fait à l’époque. 
Le lendemain matin, quand Jake se réveille, tu es déjà partie au travail. Pendant qu’il mange son petit-déjeuner, Jake a les yeux posés sur une photo de toi et lui accrochée sur le mur, il a ses lèvres sur ta joue alors que tu caches ton embarras avec un sourire. La photo date du dernier jour du lycée et il mentirait s’il disait que ce n’était pas une de ses préférées. Il te trouve adorable dessus. La sonnerie de son téléphone le tire de ses pensées. Il le déverrouille et découvre un message de Lara.
Message de Lara à Jake, 8h37 : 
Je veux bien t’écouter, mais juste parce que je veux des explications. Ça te va demain après-midi ? 
Jake se dépêche de lui répondre et de confirmer le rendez-vous. Il devrait être content, Lara est ouverte à la discussion, mais il ne peut s’empêcher d’avoir un pincement au cœur et de regarder la photo accrochée au mur à nouveau. Il secoue la tête et reporte son attention sur Lara. Tu fais partie de son passé romantique, même s’il n’y a jamais rien eu, Lara est son futur. Il doit penser à elle, pas à toi. 
Le soir quand tu rentres du boulot, Jake t’informe de son rendez-vous le lendemain. Tu le félicites avec un grand sourire, même si ton cœur se brise un peu. Jake te répète ce qu’il doit dire à Lara afin de s’assurer qu’il ne va pas ruiner sa dernière chance et tu lui confirmes que son discours est parfait, le rassurant. 
-Les lys blancs, c’est ses fleurs préférées, informe Jake de but en blanc. 
-Alors prends-lui un bouquet. Ça prouvera que tu tiens à elle, car tu t’es rappelée d’un détail sur elle. 
-C’est pour ça que tu ne voulais pas que je prenne de roses ?
-Exactement. Si tu as de la chance et que ce sont ses fleurs préférées, tu t’en tires bien, mais imagine qu’elle les déteste car elle les trouve clichés, tu vas ruiner tous tes efforts avant même d’avoir parlé, car en plus de pas être original, tu prouves que tu n’as pas fait attention à elle. Les roses sont la sécurité, mais ça ne veut pas dire que ça doit être ton choix au moindre obstacle. Tu prends déjà des risques en revenant six mois après avoir fait le mort, alors va jusqu’au bout, ne joue pas la sécurité avec des roses. 
-Tu as raison.
-Je sais que j’ai raison ! Et par pitié, ne lui achète pas que des fleurs quand tu merdes. Offre-lui en aussi quand tout va bien entre vous. Offre-lui en même s’il n’y a rien de spécial à fêter, c’est ce genre de petits détails qui vont faire la différence, ça prouve que tu tiens toujours à elle. Bien évidement, ça va au-delà de fleurs, mais tu as l’idée, le fait est que tu ne dois pas laisser une routine s’installer où les seules fois où tu la brises et que tu lui donnes de l’attention, c’est pour te faire pardonner ou crois-moi, c’est la rupture assurée, car elle se sentira délaissée, précises-tu en disant ta phrase rapidement et Jake te regarde de manière suspicieuse. 
-Tout va bien entre toi et Scott ? Ça avait l’air personnel sur la fin.
-On ne parle pas de moi, mais de toi.
-Donc ça ne va pas entre vous, affirme-t-il en lisant en toi comme dans un livre ouvert. 
-On a rompu il y a cinq mois, soupires-tu.
-Quoi ? Mais pourquoi tu me l’as pas dit ? Qu’est-ce qu’il a fait ? Il t’a pas trompé, j’espère ! s’assure Jake, protecteur.
-Non, ce n’est pas ça. C’est juste qu’après six ans presque sept de relation, on s’est perdus dans une routine et on a réalisé qu’on restait ensemble par habitude et non par amour. Et puis, on se disputait de plus en plus pour des broutilles. C’est mieux comme ça.
Ce que tu ne dis pas à Jake, c’est qu’il y avait également une autre raison. Scott était persuadé que Jake et toi, vous vous aimiez. Tu avais beau lui dire que tes sentiments dataient de l’adolescence et que Jake ne t’a jamais vu de cette façon, Scott ne voulait rien entendre. Ton amitié avec Jake était un des principaux sujets de disputes entre Scott et toi.
-T’aurais dû me le dire plutôt que de faire semblant d’aller bien à chaque fois qu’on s’appelait. 
-T’inquiète pas, je m’en suis remise. Revenons-en à toi et à Lara. Tu m’as à peine parlé d’elle.
-Normal, je ne pensais pas que je voudrais aller plus loin avec elle. 
Jake répond à tes nombreuses questions, mais il ne peut s’empêcher de penser à l’information que tu viens de lui donner. Tu as rompu avec Scott, chose qu’il ne pensait pas possible. Il était sûr que tu allais finir ta vie avec lui. Contrairement à tes anciens petits amis, Jake devait avouer que Scott te méritait vraiment et ça lui coûtait de l’admettre, mais il voyait bien que Scott te rendait heureuse comme lui ne pourrait jamais. Peut-être que cette fois Jake saurait te rendre heureuse ? Jake finit par repousser cette dernière pensée dans un coin de sa tête. Il a dit qu’il devait te laisser dans le passé. Il ne peut pas espérer un avenir avec toi alors qu’il va reconquérir Lara ! Il doit rester concentré.
Jake finit par partir en fin de soirée afin de rentrer chez lui. Tu le prends dans tes bras et lui fais des encouragements pour son rendez-vous avant de fermer la porte derrière lui. Cette nuit-là, Jake a dû mal à dormir, totalement perdu quant à ce qu’il veut réellement. 
Le lendemain, étant ton jour de repos et la pluie coulant à flot, tu restes chez toi et tu nettoies ton appartement de fond en comble. La musique sortant de ton téléphone, tu laves le sol avec attention quand quelqu’un frappe à la porte. Tu soupires fortement puis, tu remets la serpillère dans le seau et fais attention à ce qu’il ne tombe pas avant d’aller ouvrir tout en coupant ta musique. En ouvrant la porte, tu découvres avec surprise Jake, trempé jusqu’aux os, un bouquet avec différentes fleurs dans les tons violets en main.
-Jake ? Qu’est-ce que tu fais là ? 
-Je me souviens, annonce-t-il comme si tu devais comprendre. 
-De quoi tu parles ?
-Le bal de promo.
-Quoi ? Mais t’es pas censée être avec Lara à cette heure-ci ? Et je croyais que tu allais lui prendre des lys, questionnes-tu après avoir compris à quoi il fait référence. 
-Ces fleurs, c’est pour toi. Je ne joue pas la sécurité, je sais que tu adores ce genre de bouquet, car tu n’arrives pas à choisir une fleur préférée et le violet est ta couleur préférée, dit-il en te tendant le bouquet, mais tu ne le prends pas.
-Quoi ? Mais t’es fou ? Lara est celle que tu dois reconquérir, pas moi ! 
-C’est ce que je croyais aussi, mais ça n’aurait pas été juste envers elle. Je suis bien allé la voir, je me suis excusé de l’avoir ghostée, mais ce n’est pas elle que je veux. 
-Je ne comprends pas, Jake.
-Je peux rentrer ?
Sans répondre, tu te décales et le laisses entrer. Jake défait ses chaussures trempées avant de faire quelques pas vers l’entrée de la cuisine. 
-Je vais te chercher une serviette, j’ai pas envie que tu tombes malade. Tu peux te préparer un café pour te réchauffer.
Pendant que tu récupères une serviette propre, tu essayes de comprendre ce qui est en train de se passer. Tu ne t’attendais pas à le voir, surtout avec un bouquet de fleurs. Quand tu retournes vers lui, Jake pose sa tasse tout juste remplie et accepte la serviette tout en tendant le bouquet, cette fois, tu le prends. Sans pouvoir te retenir, tu humes le parfum et regardes les fleurs avec plus d’attention et tu les adores. Jake a visé juste. Il est fier de lui quand il voit un sourire attendri sur ton visage.
-Elles sont magnifiques, Jake, mais pourquoi ? 
-Comme j’ai dit, je me souviens. Je me souviens de ce que tu m’as dit au bal de promo, précise-t-il en se séchant le visage.
-Je ne vois pas de quoi tu parles, mens-tu, en évitant de le regarder.
-Je suis sûr du contraire. Tu m’as dit que tu avais des sentiments pour moi. 
Tu regardes Jake, perdue et les sourcils froncés. Tu étais persuadée qu’il n’avait aucun souvenir de ce moment-là. En une seconde, tes joues commencent à chauffer et tu ne sais plus où te mettre.
-J’ai fait comme si je ne me souvenais pas, car je ne savais pas comment réagir et je suis désolé, admet Jake en posant la serviette et en buvant une gorgée de son café.
-Sois pas désolé, tu m’as sauvé d’un moment qui aurait hanté toutes mes nuits comme ça va être le cas avec celui-ci.
-J’aurais pas dû t’ignorer, affirme-t-il en posant la tasse sur la table. Tu m’as confessé quelque chose d’important et en t’ignorant, je t’ai brisé le cœur et par la même occasion, le mien. Je ne le savais pas encore à ce moment-là, mais j’avais aussi des sentiments pour toi. Je l’ai réalisé bien trop tard, quand tu as rencontré connard numéro un.
-Josh ? demandes-tu en rigolant.
-C’est ce que j’ai dit. Bref, continue Jake en se rapprochant de toi, j’aurais dû parler avec toi et pas te laisser dans l’ombre. Ton amitié compte pour moi et ce soir-là, je ne me suis pas comporté en bon ami. Même si je n’avais pas de sentiments pour toi, j’aurais dû te répondre et pas te laisser affronter ce chagrin seul. Je suis désolé de t’avoir brisé le cœur ce soir-là et si ce n’est pas encore trop tard, je veux le réparer. Je n’ai jamais cessé d’avoir des sentiments pour toi. J’ai passé trop d’années à ignorer mes sentiments et les fois où j’ai voulu te les partager, tu étais en couple et maintenant, c’est le bon moment pour que je te le dise. Tu es celle que je veux, toi et pas une autre fille, pour le meilleur et pour le pire. 
-Et Lara ? Je croyais qu’elle te plaisait, demandes-tu, en tentant de ne pas avoir trop d’espoir.
-Elle est sympa, mais elle ne me fera jamais ressentir ce que je ressens avec toi. Je n’aurais pas été honnête avec elle si je m'étais mis en couple avec Lara. C’est pour ça que je n’ai jamais réussi à être en couple sérieusement, tu étais toujours dans ma tête et je ne voulais pas d’une autre fille. Avec Lara, je voulais essayer, car je pensais avoir loupé ma chance avec toi donc je voulais avancer, mais quand tu m’as dit que c’était fini avec Scott hier, j’ai compris que tu serais toujours dans mon coeur. C’est pourquoi j’ai préféré m’excuser auprès de Lara sans lui dire que je voulais une relation. Je n’aurais pas pu m’engager avec elle, car c’est avec toi que je veux le faire. Je ne sais pas si tu as toujours des sentiments pour moi et si c’est le cas, tu es sûrement hésitante vu mon historique et je comprends, mais je le pense vraiment quand je dis que je veux m’engager, insiste-t-il en te regardant droit dans les yeux. Je ne dis pas que je serai parfait tout de suite, mais tu peux être sûre que je ferai tout pour l’être. Je sais que ça va prendre du temps pour que tu me fasses confiance et j’attendrai jusqu’à la fin des temps que ça soit le cas. Je tiens à toi, non, je t’aime et je veux faire mieux pour toi. Pour une fois, je veux être le bon petit ami, et surtout, je veux être l’homme qui te mérite, déclare Jake en posant sa main sur ta joue, qui t’offira des fleurs à la moindre occasion, qui ne te laissera pas tomber, avec qui tu ne seras jamais dans une routine, celui qui saura te rendre heureuse, te faire sentir aimée et te chérira jusqu’à son dernier souffle. 
Tu restes sans voix suite au discours de Jake. Tu ne t’attendais pas à une confession de sa part et tu ne pensais pas que Jake était capable de dire de si belles choses ou même d’être aussi sérieux concernant une relation. Ignorant quoi répondre, tu poses ta main de libre sur la joue de Jake et l’embrasses avec passion. Il ne perd pas une seconde avant de répondre à ton baiser. Parmi tous ceux qu’il a pu partager, celui-ci est officiellement son préféré et il espère le revivre chaque jour de sa vie. Son cœur bat la chamade alors qu’il te rapproche de lui. Quand vous vous séparez, tu regardes Jake avec des yeux remplis d’amour.
-J’ai jamais cessé de t’aimer, Jake.
Jake sourit en entendant ta confession. Il avait beaucoup d’appréhension en venant te retrouver. Il avait peur de tout ruiner et il est rassuré de voir qu’il avait tort. 
-Wow, ton conseil était parfait, dit-il soudainement, d’un ton sarcastique. Bon, j’ai un peu improvisé en le modifiant un peu, mais je le valide. Tu devrais vraiment te faire payer pour tes conseils en amour.
-Je t’avais dit que c’est comme ça que ça fonctionne, affirmes-tu comme si c’était évident. C’est comme ça que tu as pu avoir la femme.
-C’est comme ça que j’ai pu avoir ma femme.
Quand tu entends les deux derniers mots, tu évites son regard pendant une seconde, légèrement troublée. Tu t’éclaircis la gorge avant de reprendre la parole. 
-On va d’abord faire un premier rendez-vous avant d’aller aussi loin. 
-T’as raison. Tu as des conseils à me donner pour un premier rendez-vous ? Je dois impressionner une femme que j’aime beaucoup.
Vous rigolez puis Jake attire ton visage vers lui avant de poser ses lèvres à nouveau, le deuxième baiser encore meilleur que le premier.
Top Gun Maverick Masterlist
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Text
On a discuté sur Wannonce ce soir-là. Il était dispo et il recevait à Mulhouse, pas loin de chez moi. Black. Bien monté d'après la photo qu'il m'avait envoyé.
Je demande toujours avant pour éviter les déceptions.
J'arrive en bas de son immeuble. Message.
Il descend m'ouvrir.
Il est souriant. Sympa sans doute. Plus grand que moi. Black et plutôt mignon.
Je rentre dans l'ascenseur avant lui.
Les portes se ferment. Il ne perd pas de temps. Il me plaque contre le mur et m'embrasse à pleine bouche. Même pas le temps de lui dire que je n'embrasse pas. Ses mains sont déjà sur mes fesses et je sens sa queue qui durcit contre mon ventre.
Il m'excite à mort. Le baiser est agréable finalement. J'en redemande. Ça sonne. On est arrivé.
Nous entrons dans son appartement.
J'enlève ma veste. Il est déjà sur moi. J'adore son odeur. Sa force. Il roule sa langue dans ma bouche. Je mouillerais si j'étais une fille.
Il ne me lâche pas. Il me palpe les fesses. Remonte ma jupe. Il les prend à pleine main. Je m'étouffe d'excitation. Sa langue. Son envie. Son sexe que je sens contre moi.
Je n'avais jamais connu ça. Je me sens fille. Vraiment.
Il me traite comme une fille.
Il me porte et m'assied sur son plan de travail dans la cuisine. Comme dans les film.
J'adore. Cette situation est tellement surprenante. Inhabituelle. Il m'embrasse toujours. M'écarte les cuisses
Il ouvre son pantalon. Je m'apprête à descendre du plan de travail pour le sucer. Non.
Il me maintient toujours. Il enleve mon string. Il arrache mon string plutôt.
Sa bite est dure. Grande et dure. Je la sens contre moi.
Il est si serré entre mes cuisses que je ne peux pas la tripoter. D'ailleurs il est tellement empressé que mes mains me servent d'appui sur le plan de travail.
Nos bouches ne se séparent plus. C'est bon. Délicieusement bon. Un mec. Un vrai. Un alpha.
Il rentre direct. Même pas mal tellement je suis excité. Au fond directement. Vu la position il n'a pas de mal. Mes cuisses sont écartées et mes fesses juste au dessus de sa bite.
Je le sens bien. Profond. Il gémit. Elle est vraiment dure. Pas de capote au fait. Tant pis.
Ses lèvres ne quittent toujourspas les miennes. Il me maintient fermement et me démonte. Il est au fond de moi. Il m'excite. Je veux respirer.
Non. Il continue. Je suis coincée.
Il accélère. Il me baise comme jamais on ne m'a baisé.
Il va jouir.
Il m'étouffe avec sa bouche.
Il jouit.
Il me rempli.
Me serre. Ralenti.
Me relâche. Il a terminé.
Je suis défaite. Heureuse. Il sort. Je sens que ça coule.
Je suis bien. Les cuisses écartées sur son plan de travail. Il se retire. M'empoigne par la nuque et me fait descendre.
A croupi.
Il me me met sa queue dégoulinante dans la bouche.
Je nettoie. J'adore faire ça. Une pute. Je me sens pute. Salope. J'adore.
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