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#évangéliaire
philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2015. Au Louvre-Lens, encore une belle expo : “D’Or et d’Ivoire” :
- les 3 premières : feuillet de diptyque en ivoire - Picardie 1250
- les 3 autres : quatrième Evangéliaire de la Sainte-Chapelle
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homomenhommes · 19 hours
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Reliquaire d'albâtre ou autel portatif de sainte Foy, avec les émaux de Sancta Fides et de Sancta Maria (de Magdala), ancien évangéliaire datant de l'époque de Bégon III, Trésor Ecclésiastique de Conques
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duxvonzazer · 2 years
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Dans un évangéliaire de la cathédrale de Cambrai, une miniature-frontispice en pleine page représente la Sagesse entourée des quatre Vertus : la Prudence avec un Livre, la Justice avec une Balance, la Tempérance entre l’eau et le feu, la Force avec une lance et un bouclier. Placée au début des Évangiles, cette peinture allégorique de style franco-insulaire apparaît comme une Majestas Dei entourée des symboles du Tétramorphe.
Cambrai, Bibliothèque municipale, ms 327, f° 16v, vers 890, 24,7 × 18,6 cm
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wikimediauncommons · 4 months
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file: Evangeliarium - évangéliaire dit de Charlemagne ou de Godescalc - Jésus-Christ - BNF Gallica.jpg
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zehub · 2 years
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Patrimoine : de précieux ouvrages conservés à la Bibliothèque nationale de France
Après 12 ans de travaux, la Bibliothèque nationale de France Richelieu va rouvrir ses portes le 17 septembre à l'occasion des journées du patrimoine. Elle abrite des précieux manuscrits, comme des "Évangéliaires" ou "Les Misérables" de Victor Hugo.
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quicraint · 7 years
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Saint Luc évangéliaire Landévennec, 909 Troyes, Médiathèque de l'Agglomération, ms. 960, fol. 71v. in expositions.bnf.fr/bestiaire
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Equivoque absurdité
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Respire tes rimes et mime ton martyr extime que nous déglutîmes Ô Ultime Soupir !
Nulle flagrance passionnelle n'expira ni ne transpira jamais l'évanescence spirituelle,
la satyre dissémina ici chaque aura décimée par l' expérience factuelle Ô Non-Dire. 
Au diable donc Fusionnel Enfer ! Un vautour amer laboure tout imaginaire instinctuel...
Quelle claque sémantique cet armistice! A travers votre cloaque mythique Ô dionysiaque solstice 
trottait avant hier ta foi claustrale acétique ô Cheval de Lumière à la fois mystique, fier et cynique. 
Prière laconique d'antan : que les vents mythiques esquissent enfin  ta crinière d'enfant atypique ! 
Délice poétique? A cran, l' évangéliaire épique tisse le rang , ses apôtres pathétiques hennissent ...
Autre déboire acoustique :  les vôtres, agnostiques au soir, se vautrent sur ce couard agnosique. 
Inquisitoire hérésie ! Qui dérobe à l'agonie l' ostentatoire indifférence te maculant Ô robe éthique ? 
Attention Fatidique Résignation ! Aucun sein n'étrique dans son écrin tes narcissiques déjections... 
Déluge sarcastique, subterfuge euphorique? Délation :  « Aptitude gruge Solitude ! »,  juge Abnégation .
Turpitude ! Aux confins des écueils, ce con feint le deuil tel un bouffon sage au seuil de l'outrage. 
Son écume ô Dissonance hume Dissidence ... Assume ta révérence ou plume à l'instance l'adage !  
Par coutume, mon orgueil ci-bas se consume déjà : Recueil Posthume las s'effeuille sur le bitume. 
Sainte Résilience me cueille à cru puis exhume maintes confidences : à l' oeil nu, nous le sûmes !
Ô Sculpteur indigète, ta main esthète effleure ce parchemin obsolète où y affleure Prophète Malin : 
Philanthropique Inconstance convie Chaotique Défiance puis te magnifie ô Emblématique Alliance ! 
Ma guigne abstème persiste : l' Artiste blême consigne au matin quelque contorsionniste lendemain... 
Miracle ! Efficience Equivoque tacle Conscience Loufoque sous le choc de notre réciproque confiance !    
- Equivoque absurdité, 01.10.2019-
Copyright Johanna Coppée, 2019
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ecoledeschartes · 5 years
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Une chartiste sur une île
Jeanne Sébastien effectue son stage de 4e année au Trinity College, à Dublin. Voir la carte des stages
En septembre, j’ai traversé la Manche et atterri sur l’Ile d’Émeraude, qui porte vraiment bien son nom. Les paysages irlandais sont magnifiques, et la ville de Dublin elle-même est très verte ; le Phoenix Park, poumon vert de la ville (entre autres !), fait 712 hectares et abrite une horde de 1200 daims sauvages ! Les Buttes Chaumont (25 hectares) ou le Luxembourg (23 hectares) iront se rhabiller... La mer est toute proche, tous comme les montagnes (ou plutôt, les collines, le plus haut sommet de la région s’élevant à 900 mètres !). Et, étonnamment, Clément (en stage à la Marsh’s Library) et moi-même avons été gratifiés d’un temps magnifique – bien que froid !
Le Trinity College – à ne pas confondre avec son homonyme de Cambridge – est la plus importante université d’Irlande. Fondée en 1592 – alors que le pays était sous domination anglaise – elle n’a accepté les catholiques qu’en 1793, et les femmes en 1904. Aujourd’hui, un grand nombre de disciplines sont représentées à l’université, qui compte plus de 16000 étudiants (en comparaison, Sorbonne Universités en rassemble plus de 55000 ; l’Irlande, ce n’est que 5 millions d’habitants !). Le campus est situé en plein centre-ville, et rassemble à la fois des bâtiments historiques et des bâtiments modernes, dans une fusion intéressante ; c’est l’un des hauts lieux touristiques de la ville – j’en sais quelque chose, puisque je dois fendre des flots de touristes tous les matins pour accéder à la salle de lecture !
La bibliothèque de Trinity est en effet l’attraction majeure du site : la Long Room, longue de 65 mètres, contient quelques 200 000 livres anciens. Bâtie entre 1717 et 1732, elle est l’un des « magasins » les plus impressionnants d’Europe. La bibliothèque est l’une des plus importantes d’Irlande, notamment parce qu’elle assure, depuis 1801, le dépôt légal de toutes les œuvres imprimées en Irlande et au Royaume Uni, tout comme les bibliothèques d’Oxford et de Cambridge et la National Library de Londres. Elle partage d’ailleurs avec ces trois bibliothèques un système original de catalogage pour les livres imprimés au Royaume-Uni : la National Library en catalogue 70%, et les trois autres bibliothèques se partagent les 30% restant.... cette répartition étant réalisée selon l’ordre alphabétique ! Ainsi, la bibliothèque de Trinity catalogue les auteurs dont la première lettre est : D, R et S. Le département de catalogage est assez impressionnant ; il comprend 35 catalogueurs, qui prennent en charge les quelques 1000 arrivages chaque semaine.
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La Long Room, le joyau de Trinity College
Le fleuron de la bibliothèque est le Book of Kells, évangéliaire monastique orné de motifs celtiques réalisé à la fin du VIIIe ou au début du IXe siècle. Son origine est discutée ; inachevé et somptueux, il fait l’objet d’une exposition permanente au rez-de-chaussée de la bibliothèque, et est en quelque sorte la Joconde de l’Irlande ! Envoyé pour conservation préventive à la British Library en 1953, il y a été séparé en 4 (selon les quatre évangiles). Deux des quatre volumes sont exposés, et toutes les six semaines, on les retire pour exposer les deux autres, en changeant les pages d’une rotation sur l’autre, bien évidemment. L’espace d’exposition – la boutique est malheureusement presque aussi grande... – comprend des fac-similés grand format des plus belles pages du Book of Kells, et d’autres manuscrits somptueux. Un nombre impressionnant de visiteurs se presse chaque jour pour le voir ; c’est le must-see de Dublin, avec le site archéologique de Glendalough, dans les Wicklow Mountains au sud de la ville, et Temple Bar et ses Guinness...
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Le folio 34r du Book of Kells, portant les lettres Chi et Rhô, les deux premières du mot Christ en grec
Dans la Long Room, l’afflux de plus d’un million de visiteurs par an dans une galerie sans vrai contrôle environnemental pose bien sûr problème. Les livres prennent la poussière, les reliures s’oxydent.... L’été, des contractuels sont embauchés pour faire la poussière in situ, dans les étagères, et le département de la conservation (l’équivalent des restaurateurs en France) fait un gros travail de conservation préventive, mais ne peut empêcher tous les dommages qui se produisent sur les livres. L’idéal serait bien sûr de mettre toutes les collections dans des boîtes neutres sur mesure, mais l’esthétisme de la galerie s’en ressentirait, et il ne faut pas tuer la poule aux œufs d’or.... Certains ouvrages sont désormais « en boîtes », mais le plus souvent parce qu’ils sont sur des rayons inaccessibles aux yeux des visiteurs. La perspective d’une solution sur le long terme est discutée en ce moment : celle de faire des boîtes neutres avec un dos transparent, pour que le dos de la reliure, celui qui est visible sur l’étagère, reste apparent. Il est cependant peu probable que cette solution, très chère, soit adoptée ; l’équipe des restaurateurs a encore de beaux jours devant elle !
Plusieurs départements composent la bibliothèque de Trinity ; parler d’une bibliothèque est d’ailleurs impropre ; le campus en compte plusieurs. La Old Library, le bâtiment historique, qui abrite les départements Archives and Manuscripts et Early Printed Books. Et la « New » Library, aussi appelée BLU (Berkeley/Lecky/Ussher Library, du nom des différents bâtiments qui la composent sur le campus), la bibliothèque universitaire proprement dite, où une distinction s’opère entre les undergraduates (moins de quatre ans d’études, pas encore diplômés), et les postgraduates (l’équivalent de nos masters) et Phd (doctorants), qui ont accès à un bâtiment supplémentaire. Heureusement pour eux, car les étudiants irlandais ont très peu de cours (trois ou quatre par semaine maximum) mais beaucoup de travail personnel (lectures, essays), ce qui les pousse à passer la grande majorité de leur temps à la bibliothèque... qui est toujours quasiment pleine ! Ils sont si attachés à leur bibliothèque qu’ils ont levé des fonds, l’année dernière, pour qu’elle soit ouverte 24h/24 en période d’examen. Dans la Berkeley Library sont en outre abrités des départements spécialisés, ceux de la Music Library et de la Map Library.
La bibliothèque possède un versant digital assez important ; deux studios de photographies s’occupent de numériser les collections, pour les nouveaux projets de la bibliothèque ou à la demande d’usagers (comptez 25 euros pour la première demande, puis 2 euros par image). Chaque jour, Sharon, une des photographes, vient récupérer plusieurs documents au Département des Archives... un de ses derniers travaux a été de numériser le masque mortuaire de Jonathan Swift (1667-1745, fameux écrivain irlandais). Comme quoi, dans un département d’archives, on trouve des choses étonnantes !
Traversez la Long Room, soulevez le cordon de sécurité, poussez la porte « Archives and Manuscripts readers only », descendez l’escalier, prenez l’ascenseur, et entrez dans la salle de lecture du Département des Archives et Manuscrits. C’est là que j’ai travaillé pendant deux mois, au sein de ce département géré par une conservatrice qui a également en charge le département des Early Printed Books. Ce département ne compte que des archivistes, puisqu’il s’agit essentiellement de prendre en charge des collections d’archives, même si les magasins renferment également des manuscrits qu’en France, on trouverait plus facilement dans un département de livres anciens. On y trouve aussi des choses plus originales, comme des fusils datant du soulèvement de 1916 et les cheveux d’un insurgé condamné à mort pendant la guerre civile !
Des manuscrits précieux aux archives contemporaines de l’Université, les collections du département sont très diverses, ce qui explique qu’il attire beaucoup de chercheurs (la salle de lecture, qui offre 10 places, est très souvent remplie). Les archivistes du département travaillent essentiellement au catalogage des collections, mais aussi à de petites expositions temporaires se tenant dans la Long Room. En ce moment, ces expositions sont centrées sur un double anniversaire : celui du soulèvement de 1916, et celui de l’obtention du vote des femmes, en 1918. Le centenaire de la Première Guerre Mondiale n’a occupé en Irlande qu’une place secondaire, puisque l’Irlande n’était pas encore indépendante et qu’un problème de mémoire se pose encore concernant les soldats irlandais qui ont participé à la guerre dans les rangs de l’armée britannique.
Le département est impliqué dans un projet international original, auquel j’ai pu participer pendant le premier mois de mon stage : celui du travail autour de la bibliothèque de Balthazar Boncompagni (1821-1894), prince italien, mathématicien et historien des sciences à ses heures perdues. Il a édité le Bulletin de bibliographie et d’histoire des sciences mathématiques et physiques entre 1878 et 1887, premier périodique italien à être entièrement consacré à l’histoire des mathématiques. Sa bibliothèque a été dispersée à sa mort dans une vente aux enchères. Actuellement, différentes institutions ayant récupéré une grande partie de ses livres (une bibliothèque en Suède, deux autres aux États-Unis) cherchent à reconstituer sa collection. Or, la bibliothèque de Trinity possède les papiers bibliographiques du Prince. Ces papiers ne concernent pas, pour la plupart, les livres que le prince possédait, mais permettent de retracer ses recherches bibliographiques sur un certain nombre de grands ouvrages mathématiques, dans toute l’Europe. Le prince payait plusieurs personnes, à Paris, à Londres, à Münich, à Berlin, dans les différentes villes d’Italie (Rome, Naples, Florence, Venise...) pour aller rechercher dans telle ou telle bibliothèque tel ou tel ouvrage, prendre des renseignements de type catalographique, et, souvent, faire à sa demande d’excellents fac-similés de telle ou telle page. La plupart du temps, ces facsimilés concernent des catalogues de bibliothèque mentionnant les scientifiques intéressant Boncompagni. J’ai pu participer à ce projet en cataloguant 11 boîtes (sur 129) de ce matériel parcellaire, qui ne sera véritablement intéressant qu’en relation avec les informations et livres possédés par les autres bibliothèques.
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Un exemple de fac-similé d’un catalogue manuscrit effectué pour Boncompagni, dans une série dans laquelle il s’intéresse au mathématicien Francesco Galigai (1498-1573)
Une autre mission qui m’a été confiée a été d’augmenter la description très sommaire de certains manuscrits français appartenant à la Fagel Collection. Cette dernière est actuellement l’une des collections phares de Trinity, l’un des fleurons de sa bibliothèque en ligne. Achetée en 1802, elle a été constituée pendant un siècle et demi par plusieurs générations de la famille Fagel, très influente en Hollande. Les éléments de cette collection remontent parfois au 15e siècle (la plupart, cependant, proviennent du 18e siècle) et concernent toutes sortes de sujets, dans toutes sortes de pays. Les plans conservés dans cette collection forment un des plus beaux ensembles du monde, de même que les travaux d’histoire botanique ou un ensemble de 278 « pamphlets » (ce terme anglais a une acception beaucoup plus large qu’en France et désigne tout une catégorie de courts écrits largement diffusés).
Cette collection comprend un certain nombre de manuscrits français, qui requéraient un francophone pour pouvoir être véritablement compris. J’ai pu travailler notamment sur deux manuscrits « médicaux » listant des recettes pseudo-scientifiques pour se débarrasser de tous les maux possibles. J’ai ainsi appris que contre les frissons des fièvres, il est conseillé de prendre du « poivre en breuvage », et que pour « resoudre toutes tumeurs », il faut appliquer des mamelles de truie, des courges, des oignons, des figues, et des raisins secs sur l’abcès. Saviez-vous également que la poudre de crâne humain guérit toutes sortes de plaies ? Eh bien, moi non plus. Certaines recettes pourraient même marcher, qui sait : pour apaiser une piqûre de guêpe ou d’abeille, essayez, une fois, d’appliquer des feuilles de laurier ou du sel enduit avec de la graisse de veau ! Ces manuscrits donnaient également des recettes plus « sulfureuses » : pour tomber enceinte ou bien avorter, faire tomber quelqu’un amoureux de vous, diminuer ou augmenter la semence masculine, et avoir plus de plaisir au lit. L’un des manuscrits était en outre augmenté de proverbes populaires, dont les plus poli étaient sans conteste « qui se couche sans souper ne fait que se retourner toute la nuit », et « le bâillement est la suite de l’ennui », de conseils de cuisine (mettez des noix séchées dans le ventre de votre volaille si elle est trop dure) et de considérations d’histoire naturelle (j’ai ainsi appris que la femelle du singe saute aussi bien avec trois petits entre ses bras que si elle n’en portait pas).
J’ai aussi pu étudier un manuscrit curieux, datant du milieu du XVIIIe siècle, rassemblant des prières pour le culte protestant écrites pour un culte importé de France (par des huguenots émigrés à cause de la Révocation de l’Edit de Nantes). Il témoignait de l’insertion de ces émigrés dans le royaume anglais : les huguenots y priaient, au culte, pour le succès des armes britanniques contre le roi de France, et pour l’arrêt des persécutions contre leurs coreligionnaires restés sur le continent.
Une autre mission que j’ai pu effectuer a été le catalogage de 10 lettres tout récemment acquises, écrites par des protestants du Nord de l’Irlande au milieu du XIXe siècle, après la Grande Famine, à leur frère émigré aux Etats-Unis, intéressant témoignage sur l’Irlande paysanne du XIXe, et sur les liens très forts – y compris commerciaux – entretenus par les émigrés avec leurs familles restées au pays.
Enfin, lors des deux dernières semaines de mon stage, j’ai eu l’opportunité de travailler au Department of Early Printed Books. On m’a confié une très intéressante collection de « pamphlets » (en anglais, c’est-à-dire toute une catégorie de petits écrits, politiques surtout), ayant appartenu à un certain Bruno Monnier, qui a constitué une grosse bibliothèque rassemblant des livres du XVe au début du XXe dans son château de Mantry, dans le Jura, dans le dernier tiers du XXe siècle. Après sa mort, la bibliothèque a été dispersée lors de plusieurs ventes aux enchères, et Trinity a acheté plus de 390 de ces pamphlets au début du XXIe siècle. Malheureusement, la vente n’est pas documentée (les conservateurs ne connaissent même pas la date exacte de l’achat). J’ai pu numéroter, tamponner, cataloguer et commencer à décrire le contenu des ouvrages. Il s’agit majoritairement de libelles et écrits politiques (édits, ordonnances, ou encore lettres d’un personnage politique à un autre diffusées largement), couvrant le XVIIe siècle, et plus particulièrement le règne de Louis XIII. La collection documente surtout les tensions politiques entre Louis XIII (et la Régente) et les princes tout d’abord, puis entre Louis XIII (et Richelieu) et Gaston d’Orléans et la Reine-Mère, en passant par diverses conspirations politiques (celles du duc de Montmorency, de Cinq Mars et de Thou...). Certaines reliures sont plus ou moins contemporaines de l’écriture – et parfois très belles –, d’autres – la plupart – datent du XIXe siècle. Bruno Monnier semble également avoir participé à de nombreuses ventes aux enchères ; un des libelles porte l’ex-libris de Gabriel Naudé ! Bruno Monnier a aussi très bien documenté sa collection, en mentionnant dans chaque exemplaire les catalogues de référence où ils sont connus. Il semblait vraiment être un passionné d’histoire, qui a rassemblé un ensemble assez exhaustif sur les événements politiques majeurs du règne de Louis XIII, mais pas uniquement. Notre travail a permis de faire entrer dans le catalogue de la bibliothèque cette collection, qui n’était jusque-là – et depuis une quinzaine d’années – pas accessible (le département souffre d’un manque de personnel qui l’empêche de suivre le rythme des acquisitions).
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Deux exemples de petits écrits sur lesquels j’ai pu travailler : un libelle et un récit d’exécution
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La partie bibliophilique de mon travail : j’ai pu admirer, entre autres, cette belle reliure en velours vert et ce papier marbré original, car en relief
Ce voyage dans la verte Irlande m’aura donc permis d’apporter ma modeste contribution à diverses tâches plus faciles à réaliser pour un francophone que pour un anglophone ! Je suis fière d’avoir participé à l’immense travail de mise en valeur des magnifiques collections de cette belle bibliothèque. Et je quitte Dublin avec un certain regret de mes passages quotidiens dans la « Long Room », des pauses café quotidiennes – dans un vrai café, c’est la tradition ! – avec mes adorables collègues, et surtout des paysages magnifiques de l’Irlande, verdoyants, venteux... mais pas si pluvieux, finalement ! En tout cas, si je ne réussis pas le concours de conservateur de bibliothèques, je sais ce que je ferai : je partirai élever des moutons sur l’île d’Achille, un des points les plus occidentaux de l’Irlande, sur des falaises fouettées par le vent et les embruns...
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Les couleurs de l’École des Chartes sur les falaises de l’Ile d’Achille (environ 500 mètres de hauteur)
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eglise22 · 7 years
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Les équipes liturgiques en formation
Une journée de formation s'est déroulée à Chatelaudren pour la zone de Saint-Brieuc. Le matin s'adressait plutôt aux catéchistes et l'après midi aux membres des équipes liturgiques.
Sommaire
La Parole de Dieu
La participation des fidèles
Expérience et initiation
Une vingtaine de participants ont suivi cette formation assurée par Benoit Rault, futur diacre et Joëlle Delfino du service diocésain de Pastoral Liturgique et sacramentel.
Quelques points fondamentaux sont rappelés :
La Parole de Dieu
L'ambon lieu de proclamation de la Parole et l'autel sont un même lieu La Parole doit être proclamée d'où l'importance de la lire dans le livre de la Parole Entre l'avent 2014-2015 les paroisses se sont dotées de nouveaux lectionnaires Un nouvel évangéliaire conforme à la nouvelle traduction officielle vient de paraître.
La participation des fidèles
Le chant d'entrée doit être connu par l'assemblée afin de former une communauté L'importance du geste de la communion autant pour la personne qui la donne autant que pour celle qui la reçoit
Expérience et initiation
La célébration est un lieu initiatique. L'autel est le seul objet consacré par l'évêque. L'ambon est béni le chœur doit être dégagé, pas d'affiche…. Cette rencontre a été intéressante pour les participants. ll serait bon que sur la paroisse nous puissions consacrer un après midi pour relire notre pratique.
via Communauté des paroisses du Littoral Ouest http://ift.tt/2jR57oU
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homomenhommes · 4 months
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Évangéliaire du couronnement de Vienne
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