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#poème français
enoramenguy · 4 months
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Je ferai de notre relation un foyer Où tu pourras écouter ta chanson préférée.
Un lieu sûr ou noyer ta solitude; Immergées sous l'eau de l'amour Personne ne peut entendre nos échanges.
S'ils t'ont promis la même chose, jadis Alors, avec une douceur, peu connue des hommes Je te montrerai.
Adieu Hercule et autres Héraclès Le vrai héro, c'est moi Dans toute sa féminité. Enora Menguy
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grain-de-rien · 8 months
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[A l'occasion de30 jours pour écrire; #Dernières fois]
Seuls entre mille, des pulsations puissantes nous bousculent et nous enivrent. L'atmosphère vibre et dans la foule transportée nos corps se défient, se jaugent et parfois se frôlent embrasant notre peau.
Sous les éclats de lune, les pupilles pleine d'étoiles, nos regards se poursuivent, se dissimulent et s'esquivent pour ne rien avouer... puis par surprise se se heurtent, se percutent lors de collisions cristallines.
Dans le fracas retentissant de nos iris on se confronte, on s'apprivoise, on s'enlace un instant captifs, laissant nos sourires se faire écho quand nos regards s'enfuient.
L'atmosphère vibre et seuls entre mille, on se délivre dans cette nuit pure et animale commune aux dernières fois.
Grain de Rien, 2023, à l'occasion de 30 jours pour écrire
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ecrisettaistoi · 3 months
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Ding Dong
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Sonnette surannée
d’une couleur
qui n’a pas changé
depuis l’éternité
depuis toujours
Vert pomme flétri
flapi
flagada
peps perdu
passé comme les années
Petit toit de tôle pour protéger
des intempéries
le système électrique
archaïque
Bouton à la limite
de la rupture - sans sentiments -
il tient encore
l’affront des doigts
de la factrice et ses
recommandés
et
des enfants hilares
qui sonnent et se barrent
rarement plus
Sonnette surannée
cabossée
sentant l’effet des années,
comme nous tous.
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queerborealbabe · 2 months
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Burn out
When a house burns You can't stay in Listening to TV You shout You cough You cry You call the firefighters You take refuge with the neighbor Who calms your anger, your rage a bit ridiculous Against this damn cold and expired extinguisher Stuck on your heart That stopped you from saving yourself All alone By yourself
But when it's your desire To live To work To love And to make love That completely burned down You can stay in front of the TV Screaming silently Without any cough to betray you And even if you call the fire brigade The psychologist, or your mother You'll still have to find the right words To convince them But more importantly To convince you That you need to take refuge Of your routine And above all Of yourself
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Surmenage Quand une maison brûle Tu peux pas rester à l'intérieur À écouter la TV Tu cries Tu tousses Tu pleures Tu appelles les pompiers Tu te réfugies chez le voisin Qui calme ta colère, ta rage un peu ridicule Contre cet extincteur froid passé date Collé sur ton cœur Qui t'as empêché de te sauver Tout seul Par toi-même Mais quand c'est ton goût De vivre De travailler D'aimer Et de faire l'amour Qui a complètement cramé Tu peux rester devant la TV À crier silencieusement Sans toussotement pour te trahir Et même si tu appelles les pompiers Le psychologue, ou ta mère Il faudra d'abord que tu trouves les bons mots Pour les convaincre Et surtout Te convaincre Que t'as besoin de te réfugier De ta routine Et surtout De toi
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le bruit de l'eau détenait la joie de ta musique, jouant là une part de recueil essentiel qui me retenait davantage sur ta rive ; ma prière est cette écoute qui se forme dans le pays de l'amont où respire l'exil de ton souffle
© Pierre Cressant
(mardi 15 août 2006 - lundi 21 août 2023)
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raven-runes · 9 months
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un jour je disparaîtrai
dans l'ombre de la montagne
au sein des noirs sapins
à la recherche du chêne perdu
je me dissiperai
dans la nacre de la brume
entre le chant des ondines
et le silence de la lune
la nuit je danserai
avec les fauves et les sorcières
mi homme mi faune mi flamme
éternel feu follet
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kylna · 8 months
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miss-stickbug · 27 days
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France
Toute ma vie, je ne connus qu'une seule chose : la France. Née à Ancenis, Éduquée en la solide France, je ne connus que ce pays. J'eus grandi avec la France, ai gravé ma joie dans les ardoises du sol Angevin et ai pleuré ce pays que j'aime tant.
Une France de ma mémoire, une France aujourd'hui révolue. Je fais le deuil d'une nationalité sans destin. Une nationalité dit je? Une identité, une culture, un souvenir, un fragment du moi, un nom sans nom. L'esprit soldat est tombé au combat, un tir de mécontentement se fit entendre mais tout d'un coup se fu taire sans aucun procès.
Un jour, je m'en y irais. Comme dans mon rêve j'irais voir Jordan dans le pays du rêve perdu, je sonnerais à sa porte nerveusement mais avec soulagement. Je recommencerais une nouvelle vie et sentirais un nouvel élan d'espoirs. La douceur angevine ne restera qu'un souvenir d'enfance et seulement qu'un souvenir lointain.
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lamesdefond · 1 month
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12.02.2024
Au moment où les armes sont langage d’amour,
Où les mastodontes de métal envahissent les âmes,
Quand le monde brûle d’une passion infernale.
À cet instant où l’impuissance de n’être qu’un inconnu dans un océan d’émotion devient fatale,
J’aurais vécu d’avoir connu ta peau. 
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chuchotemoidesmots · 1 month
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gwraskel · 5 months
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loin de toi
et ces mains qui m’ont vu,
ces jours-ci ne sentent plus,
la douceur des doigts,
qui s'entrelacent sans cesse.
on s’effleure sans faire exprès.
c’est un jeu, entre nous,
dangereux
qui s'expand au-delà de ton entendement.
mais tu me tends encore ta joue,
et moi j’imagine toujours ton cou.
et lorsque tu détournes tes yeux noirs,
moi je garde encore espoir.
juin 2023
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paulysson1 · 1 month
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Ferme tes yeux, jolie larmes d'ange.
Je viens créer en toi musique qui scintille jusqu'à la fin de ton éclat.
Et lorsque tu soupira,
Que la fin viendra,
Je t'écrirais des poèmes sur ta mort, sur ta vue, sur ta réacarnation en ma fille ou garçon,
Comme disaient m'est démons :"le monde est vouer à la lissesse;
Et pourtant tout les dieux se sont réunis pour dire qu'ici était la vie,
Ils se sont tous rejoints, dans l'espace ideux,
Et pourtant si c'est moi qui est encré votre entièreté,
Je m'en excuse d'avoir ouvert les effluves,
De qui vous étiez réellement.
À jamais votre dément
P.amis
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Dis-moi...
Je t'aime. Est-ce que toi tu m'aimes ? Dis-moi que tu m'aimes. Donne-moi du rêve. Redis-le encore et encore sans jamais t'arrêter. Je veux que tu le cries aux toits, mais aussi que tu me le chuchotes à l'oreille, sans aucune retenue. Ne me torture plus s'il te plaît. Mes yeux cherchent dans les tiens une once d'amour. Serait-tu une pierre sans aucun cristal ? Non, ce n'est pas ça...
Je t'aime, dis-moi que tu m'aimes. Pourquoi ne le dis-tu pas de tes belles lèvres enivrantes ? N'entends-tu donc pas mon cœur qui se livre à la dernière des symphonies ? Ton joli visage, aux formes amoureuses, contredit tes paroles de la forme d'un couteau. Tes yeux me font la demande de prendre mon envol, et tes mains me tiennent fermement contre toi.
Je t'aime, dis-moi que tu m'aimes, ne me fuis pas alors que ton corps me supplie de m'accrocher. Quelle belle créature es-tu donc ? Tourmenté et complètement tombé dans le piège, je ne suis plus que ton pantin. Ne jouons plus à ce jeu enfantin. Affronte-moi enfin et je déclarerai forfait.
Je t'aime, dis-moi que tu m'aimes. Hélas, quand donc l'amour est-il devenu un crime ? Assume ton crime, et je deviendrai, moi, le plus réprimé de l'histoire. Parle-moi d'amour, et je t'offrirai mon cœur. Effleure-moi, et je te baiserai tout le corps.
Ai-je tort ? Rester à tes côtés était-ce donc une pauvre erreur ? Je veux que tu me le dises.
Je t'aime, alors dis-moi que tu m'aimes. Utilise-moi, touche-moi, maltraite-moi, appelle-moi, rejette-moi. Et dis-moi, est-ce que tu m'aimes ? Ne sois pas ta tortionnaire et dis-le moi. Alors je t'accueillerai dans mes bras, car je ne suis rien sans toi. Je t'aime, alors dis-moi que tu m'aimes.
J.A
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ecrisettaistoi · 2 months
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Un brin de rien
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La poésie des herbes citadines
bravant les interstices du
bitume
vaut, pour le moins,
celle des hommes.
Patience intense de chaque brin
nourri de pluie, de jets de chiens,
ténacité à toute épreuve en univers
hostile, et toujours
ce désir de créer, de croire, de croître
à l'écart des regards indifférents
à la beauté inhérente de ce combat
que les foulées pressées ne troublent pas,
qui se passe à nos pieds,
Microcosmos de jungles éparses
qui, un jour, recouvriront toutes nos conneries.
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anthea-1 · 1 month
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En annan översättning !
God läsning !
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leschansonsdalexandre · 2 months
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Bonjour, savez-vous comment s'appelle cette forme de poèmes ?
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