Tumgik
#2e chance avec papa
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chômage+maladie mentale tu ne peux pas vivre seule
les 2 c pas elle l'ORIGINE
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wittylittle · 6 months
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3 gars. 2 papillons. 1 arrêt.
Vous ai-je dit comment je trouve le polyamour fascinant?
Mercredi dernier, je suis allée voir l’expo Pussy Riot au MACM avec un adorable américain. On a bu dans 3 bars, je lui ai fait visiter la ville. On s’est embrassés timidement et je suis rentrée, souriante.
Vendredi dernier j’allais jouer au pool avec Grande barbe. Ça faisait plusieurs très longs audios qu’on s’échangeait. Il était fasciné par mon intérêt pour le dollification et c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un qui était vraiment excité à l’idée de jouer à la poupée avec moi.
Il ne boit pas. À jeun, on a parlé beaucoup, on ne s’est pas embrassé mais on a convenu de se revoir.
Lundi je suis allée au cimetière avec la Licorne américaine. Puis je lui ai fait découvrir le smoked meat. On a bu des cocktails, il m’a demandé si je voulais aller ailleurs ou peut être aller chez lui « to make out ». Il était gêné d’être aussi direct. C’était notre 2e date, je pouvais bien pousser l’exploration plus loin. On a acheté des bouteilles à la SAQ. Je l’ai questionné sur ses kinks. On a frenché beaucoup. Il m’a dit qu’il aimait attendre la 3e date ou plus pour baiser. C’est drôle parce que j’aime ça aussi, le tease, faire monter la passion. On est allés dans son lit. On a frotté nos organes génitaux. C’était génial. Tellement kinky soft et challengeant.
Le lendemain il m’a fait remplir le tableau bdsm des intérêts et limites. Il m’a envoyé sa version avec ses kinks. On est très excités par nos points communs. Je le revois vendredi prochain, je suis en train de traiter nos datas, pour voir sur quels boutons on pourra appuyer.
Mardi matin Grande barbe m’a laissé un audio poli et honnête pour me dire qu’il avait eu une belle soirée mais qu’il n’avait pas assez de points en commun avec moi pour continuer de me voir. Que même si nos kinks communs étaient terriblement excitants, il avait besoin de connecter sur d’autres sujets, comme la politique, les jeux de société et le canot. J’ai respecté son opinion et lui ai souhaité bonne chance.
J’étais quand même contente, ça me laissait plus de place pour les autres, et j’aimais pas tant sa barbe.
Ce soir, j’ai rencontré le Papa à vélo pour la première fois. Il m’avait demandé d’avance si on pouvait s’embrasser dès notre rencontre, pour casser la glace. J’ai trouvé ça tellement hot. « Je suis game ». Il était nerveux. Je l’ai vite mis en confiance. On est allés au musée. On a mangé du gâteau au fromage. Je l’ai trainé dans mon spot secret au centre ville où on a frenché comme deux amoureux aux yeux pétillants pendant des heures. Des gamins. Une sensation réciproque de tomber en amour. On était tellement bien à se serrer dans nos bras en se regardant dans les yeux. Rire. Se regarder. Frencher. Se raconter des secrets gênants sur nos vies. Il est tellement beau. Il me trouve tellement belle.
En quittant cet endroit après trop d’intensité pour un débutant du dating, il me lance « peut être que c’est trop tôt pour dire ça, mais je pense que je vais avoir besoin de temps pour processer ce qu’on vient de vivre. Si je t’écris tout de suite je vais négliger ma famille, ma blonde, prend le pas mal si je ne t’écris pas tout de suite. Je ne me suis jamais senti comme ça pendant une date c’est trop hot, j’ai l’impression d’être high »
Comprenant trop bien ce qu’il vit dans sa tête, je l’ai rassuré. J’ai dit que je comprenais et que j’attendrais qu’il me texte quand il sera prêt.
De l’amour je te dis. Je l’ai senti, lui aussi, mais il a peur.
3 gars en couple. 3 niveaux d’expertise. Dans les trois cas je suis ouverte. J’ai parlé des trois gars au Patron. Et il est bien correct avec ça.
(Je pourrais développer tellement plus la dessus… je vais tenter d’être plus assidue mais tout ça me rend tellement heureuse.)
Jadoooooorre les dates. J’adore rencontrer des garçons. J’en veux plus.
BRB
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sarahaubel · 7 months
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Super Lune Bleue.
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Ce soir après le dîner je lui ai dit, “ne m’attend pas, j’ai de l’inspiration, je vais écrire un peu.” Ça fait pompeux le “j’ai de l’inspiration, je vais écrire un peu”. Autant dire “ Pardonne-moi j’ai un Renaudot sur le bout de la langue.” M’enfin. Je l’ai dit. Je me sentais très nostalgique, sensible avec le sarcasme pas loin, un bon cocktail qui a fait ses preuves. J’ai cru que j’allais pondre des choses drôles sur des sujets légers. C’est tout l’inverse. Ça arrive. Je vais bien, rassurez-vous. Visiblement pas ce soir entre 22 et 2h mais j’insiste, ça va (Papa j’ai dit CA VA, t’affole pas. Je t’aime).
1er chapitre de mon recueil “Y a d’la joie”.
Un million de solitudes dans un seul corps. Ça s'y bouscule, ça pousse les organes pour se faire de la place. “Les poumons, un seul ça lui suffira. L’estomac, Jean-mi, on va lui couper en 4 de toute façon elle bouffe comme un moineau. Le cœur il lui sert plus à rien on va lui ranger au fond des chaussettes”. Peut-être qu’elles se sont dit ça mes solitudes ce soir. Parce que je sens bien que je lui marche dessus à mon cœur. Ca fait un bruit flasque et humide, reconnaissable entre tous. La symphonie du myocarde écrabouillé. Un grand succès au top 50 qui revient chaque année en trombe après l’été, le 17 juin ou aux fêtes de Noël. C’est qu’elle est pas marrante-marrante la bougresse. Aujourd’hui mon vide est tellement volumineux qu’il déborde dans mon assiette, dégouline sur mes chaussures, sort par mes narines comme deux spaghettis gigantesques. Mais personne capte rien. C’est ça le vide. Sinon ce serait du cinéma. Regardez comme je suis vide ! Non. On est vides. Point. Demain ça ira mieux ils disent. Enfin. Ils diraient si ils savaient.
Allez. 2e chapitre. Plus personnel. Je fais don de mon âme à la patrie reconnaissante.
Je me souviens de ce jour où étendus sur la plage tu me regardais dormir. Mes yeux se sont ouverts sur les tiens. Deux sentinelles amoureuses noyées dans mon visage abandonné. L’angoisse m’a engloutie. Ne refais plus jamais ça. A trop me détailler tu feras s’effondrer les ruses dont j’abuse pour paraître plus belle que je ne le suis. Tu verras pousser mes défauts comme des bourgeons pourris avant d’avoir éclos. Corps difforme et monstrueux avec pourtant mon rire et mes éclats. Regarde-moi à juste distance quand je bouge, quand je danse, quand je ris, quand je m’assied sur ton sexe et sois gentil laisse en place le masque que je met tant d’efforts à porter. Ne t'avise plus jamais d’observer la bête assoupie.
Sinon ça va vous ?
Edit : On est le lendemain matin. C’était soir de Super Lune Bleue. Y a que les cons pour dire qu’il n’y a pas de hasards. Par chance elle revient en 2037. Sauvée.
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alexisgeorge24 · 8 months
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12 septembre:
Réveil après une nuit passée dans la voiture sur un parking près du port. Il pleuviote et donc on fait surtout des visites de villages pêcheurs: Å, Reine, Nusfjord. Tous ont leurs maisons en rouge sur pilotis le long d'un fjord et au pied de la montagne. On reconnaît d'ailleurs la couverture du lonely planet et du routard. Vers la fin d'après-midi la pluie s'arrête et le ciel gris dégage les sommets; on en profite donc pour faire une mini rando vers Yttersand. On prend alors conscience de la beauté de la région, malgré les nuages qui nous oblige à utiliser notre imagination pour combler les "trous".
Enfin, nous dormons dans la voiture à cause de la pluie. La météo n'aillant pas finis de gâcher la journée, on apprend que des irruptions solaires rendent idéales l'observation d'aurores boréales, A CONDITION d'avoir un ciel clair !
On ne perd pas espoir et c'est avec grande surprise que vers 21h00 (début de la nuit) le ciel s'éclaircit brièvement et localement en vert et on aperçoit notre toute 1ère aurore !!! Petite, mais c'est suffisant pour nous rendre heureux comme un enfant de 4 ans qui obtient enfin sa barbe à papa. Photos, dodo, puis vers 03:00, c'est le plat principal qui est servi après cette 1ère entrée: du vert qui traverse tout le ciel. L'enfant de 4 ans a un diabète.
Bilan: 5km, 300m d+
13 septembre:
Les étoiles toujours dans les yeux, on commence la journée par une randonnée aux sommets Ryten et Middagstinden. A partir de maintenant j'utiliserai le terme "lofotesque" pour décrire un point de vue panoramique sur des montagnes abruptes qui chutent dans la mer et/ou fjord en formant quelques plages de sable fin, des eaux turquoises, des cabanes de pêcheurs se fondant dans le décors, des nuages "régisseur lumière", des lacs miroirs pour ces sommets orgueilleux, des anges, saint Pierre, Zeus, bref, parmis les plus paysages que j'ai eu la chance de voir.
On redescend puis 2e randonnée où on bivouac près du refuge Munkebu. Sur le chemin on subit une tempête de grêle qui nous rappelle que les Lofoten ça se mérite. On se couchera à 19h30 sous une grêle qui vient et qui repart empêchant toute activité hors tente.
Bilan: 15km, 1400m d+
14 septembre :
Belle météo (enfin). On monte au ‎sommet Munken nordtopp: Lofotesque. On renoncera au sommet Hermannsdalstinden qui apparemment n'est que rarement dégagé. On redescend donc et on fait une ballade sur la côte depuis Eggum. Au pied d'une belle falaise, on s'attendait à mieux; mais c'est relaxant de ne pas faire du dénivelé positif.
On finis la journée en grimpant le Festvågtind et y pose la tente au sommet: Lofotesque. On finit le Clément devant le coucher de soleil sur les montagnes du continent séparées par la mer.
La nuit le ciel est complètement dégagée et on assiste à un festival d'aurores boréales.
Bilan: 12km, 1000m d+
15 septembre :
Au réveil le spectacle se situe à 180° de la veille: lever de soleil sur encore (mais on ne s'en lasse pas) d'autres montagne. On visite la ville de Henningsvær à cheval sur 3 petites îles et juste au pied du sommet d'où nous descendons. Vue qu'il fait beau et que le soleil ça se respecte ici, on fait une randonnée en montant au Blatinden. C'est encore une fois lofotesque avec des panoramas qui se ressemblent certes, mais si on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, on n'admire jamais deux fois les mêmes montagnes non plus.
On finit la journée sur une double plage reliant une presqu'île. Avec le soleil c'est "plouf", puis avec le froid c'est "dodo".
Bilan: 2km, 600m d+
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oneyearinreddeer · 7 years
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2e Billet
Je jure solennellement que mes intentions sont du pur racontage de vie.
Oui, un Tumblr. La plateforme que je connais et maîtrise le mieux. Et en tant que tumblr bitch, ça me semblait évident.  
Bon. Je voulais attendre le premier jour de cours avant de commencer ce blog, mais j'ai déjà beaucoup de choses à raconter.
Après des aurevoirs goulus avec mes amis et ma famille, j'ai mis les voiles. Et si certains ont failli m'arracher une larme, je me suis abstenue de leur dire. Vivez dans l'ignorance, je me tairais à jamais.
Je n'ai pas dormis la veille de mon départ, occupée à regarder des monuments du cinéma tels que Shrek 2 ou Madagascar. J'ai donc rattrapé mon sommeil sur la route en voiture vers Amsterdam. J'ai partagé un café avec mes parents puis les aurevoirs. Et si ces idiots (j'ai le droit de le dire, je suis trop loin pour qu'ils me fassent quelque chose.. Et je leur manque trop pour qu'ils en aient envie) ont réussi à m'émouvoir, ils sont bien les seuls qui auront la chance de le voir.
Comment fait on sa valise pour un an ? Excellente question, envoyez moi la réponse, elle m'intéresse pour la prochaine fois. Ma propre valise est composée à 50% de livres, 30% de carnets (pour raconter mes secrets sans doute), 10% de choses inutiles et 10% de vêtements. J'ai tenu à amener ma bibliothèque avec moi, en effet.
Bref, entrons dans le vif du sujet. Le vol s'est bien passé. J'ai boudé l'hôtesse et ses verres d'eau, hantée par l'idée d'aller dans des toilettes de 40cm² où vingt autres personnes auraient vidés le fruit de leurs entrailles. La personne près de moi était souriante et silencieuse, ce qui est tout ce dont j'avais besoin.
En atterrissant, j'ai réalisé deux choses :
1) les personnes travaillant à l'aéroport portent des chapeaux de cow boys
2) je n'avais pas mon papier à remplir pour l'immigration
Or, ça posait problème. En effet, ce papier pose des questions capitales pour la sécurité du pays. Comme "Allez-vous visiter une ferme au Canada ?" (: JE NE SAIS PAS ? VAIS-JE ? LE ROTARY L A-T-IL PREVU ????).
Mais je m'en suis tirée, et j'ai du patienter plus d'une heure pour mon VISA. Heureusement, j'étais en compagnie d'une tchèque qui partait elle aussi avec le rotary. Sa bonne humeur et son impatience m'ont fait beaucoup de bien. Finalement, une fois mes papiers et mes valises avec moi, j'ai pénétrée dans le pays du sirop d'érable.
Et j'ai été accueillie par applaudissement et flash, telle la star que je suis vraiment. Ma famille d'accueil est composée de Rob (père), Ann-Hetty (mère), Tori (sœur), Joe (peluche de caribou). La dame avec la veste rouge vient du rotary et est là pour m'accueillir.
Changement radical n°1 : ma mère d'accueil n'aime pas faire à manger. Si vous connaissez ma propre mère, vous connaissez en général sa cuisine. Depuis que je suis là, je n'ai pas mangé un seul plat maison. Pas que je m'en plaigne, tant que c'est bon..! Nous avons donc été dans un restaurant à Calgary où j'ai lutté contre la fatigue victorieusement.
Jusqu'à qu'on entre dans la voiture et que je m'effondre comme le bébé que je peux être parfois.
Red Deer est une ville de 10 000 habitants, avec deux supermarchés, une tonne de starbucks et Tim Hortons, pas mal de McDo, un KFC et un burger king. La ville est située à distance égale entre Edmonton et Calgary, les grosses villes d'Alberta.
La province d'Alberta est la plus riche du pays, merci au gaz et à l'essence dans son sol. Certaines choses sont beaucoup moins chères qu'en Belgique (je pense fringues) mais l'internet... Ne vous plaignez plus jamais du prix de la 3G, vous ne vous rendez pas compte du prix que ça peut être ici !
On m'a présenté ma chambre. Elle est jolie, je l'aime beaucoup. Elle est au sous sol et tout l'étage m'appartient : de la chambre à la salle de bain jusqu'à la salle télé. Ca va être dur de revenir et de devoir koter dans une chambre de bonne (j'exagère). Aussi, à chaque fois que je veux aider ici, on me repousse avec un sourire poli et un petit "no need".  
Ok mais le retour à la maison va être douloureux.
Le premier jour, j'ai discuté avec eux sur ce que je voulais faire au Canada. Voir un match de hockey et de football américain sont déjà prévus. Le parc national Banff le sera aussi.  
Le lendemain de mon arrivée, première réunion rotary : BOUM ! C'est le lundi midi et je suis la seule étudiante du club. Comme on m'a sagement appris, j'ai dis bonjour à tout le monde. Et, étant donnée, que j'avais apporté des pralines j'ai du faire un petit discours imprévu. Chose que j'ai faite. Les vrais diront "frotte balle".
Ca s'est très bien passé. Quelques surprises : ils font grâce et chantent l'hymne nationale. Ma famille est en effet plutôt croyante. Mon père d'accueil m'a proposé de rencontrer la communauté musulmane de Red Deer, ce qui est sympa. Mais inutile.
J'ai remarqué qu'au Canada, y'avait pas mal de mobile home. Il s'avère que les vieilles personnes en achètent, passent l'été ici et descendent aux USA en hiver. On les appelle les "snowbirds".
J'ai, ce jour là, rencontré la fille aînée de ma famille d'accueil, qui était très gentille.
Je n'ai rien d'autre à ajouter, je le crains.
Le troisième jour, j'ai enfin été voir l'école. Plus jamais je ne me plaindrais de l'organisation de l'IND. JAMAIS. MAMAN SI TU ME LIS, ILS SONT TRES BIEN A NOTRE DAME CROIS MOI. Deux heures d'attente pour que je voie quelqu'un qui me dise de regarder une brochure avec mes options (quarante à peu près). Une autre heure pour choisir les cours. Une demie heure pour attendre avant de voir un prof. Une demie heure à discuter avec un prof sur les options possibles. Ensuite, j'ai pris ma photo de ma carte étudiante (que je ne montrerais pas), ai été payé pour mes livres (gratuit, et toc l'IND !), ai été les chercher (en fait j'en avais pas). Je suis allée voir pour les classes et mon casier. Et franchement, c'est la merde, faut avoir fait ingénieur pour ouvrir cette bêtise.
Vous verrez des photos de Tori m'expliquant gentiment le mystère derrière un casier.  Vous en verrez d'autres de l'école, moi et une carte de l'école.  
Au Canada, j'ai cours de 9h à 15h40 du lundi au vendredi. J'ai le même horaire avec les mêmes cours tous les jours jusqu'au premier février puis j'ai un second horaire (mais les mêmes cours dans le mêm ordre tous les jours).
Premier semestre :
Etudes sociales/lunch/techniques d'apprentissage/histoire du monde/anglais
Deuxième semestre :
Anglais comme 2e langue/anglais/cuisine/histoire du monde/techniques d'apprentissage et, en option "cours interculturels".  
Pas de temps pour le lunch !
Je suis en douxième année, histoire d'avoir une jolie cérémonie de diplôme et prom!
Ensuite, nous avons été mangé (ENFIN). Sur le chemin j'ai croisé un passage pour piéton homosexuel (lol) et un personnage important pour Red Deer.
En fin de journée j'ai eu une grosse phase de nostalgie : mon chien me manquait (sorry papa et maman).
Ce qui m'amène à la journée d'aujourd'hui ! Je suis allée peindre un mug avec Tori et une amie. C'est étrange d'être conduite en voiture par quelqu'un de plus jeune que soit (16 ans). Mais ils ont la conduite accompagnée à 14 ans ici. Je mets des photos de mon mug, mon inexistante capacité artistique a eu son moment de gloire et la mettra en sourdine pour les dix années à venir.
Je tiens à préciser qu'on doit encore mettre le vernis, respectez moi un minimum. Et pour que vous gardiez une estime de moi, je ne montrerais pas les mugs de Tori et son amie.
Nous avons ensuite été boire un café et discuté potins et garçons, certaines choses sont internationales !
Ensuite, j'avais rendez vous avec un Thaïlandais et une finlandaise. Nous avons été au centre commercial, avons discuté et nous nous sommes promenés. Vous pourrez admirer des photos de ma balade champêtre. Un proche m'a récemment envoyé les photos de sa propre balade dans les bois, et je crains que mes photos ne soient pas aussi jolies.
J'ai pu discuter des voyages proposés pour les étudiants au Canada, je pense faire celui à Tijuana au Mexique. Qui, en plus d'être une ville étudiée en géographie, promet d'être exotique. Surtout, c'est du volontariat. On va faire de l'urbanisme. Je n'en ai pas encore discuté avec mes parents, je ne sais pas encore le prix, nous verrons bien.
La Belgique me manque-t-elle ? Pas encore, heureusement. Ma famille d'accueil me tient occupée, demain c'est la rentrée. Vendredi école et du weekend nous allons dans leur châlet. Ensuite école et weekend d'après j'ai une activité prévue par le rotary.
See you soon !
Méfaits accomplis.
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Rashid Mukoon:" En 1979, je devais aller en Russie mais papan'avait pas les sous..."
Rashid Mukoon, l'enfant photographe de la Plaine Verte né d'un père débardeur au grenier dans le port, a vu ses efforts et sa passion pour la photographie être récompensés à travers le prix de meilleure photo de la saison hippique 2018. Un Equidor remis par le Mauritius Turf Club qui beaucoup dire pour ce petit  les 60 ans bien sonnés.
Qu'il ou qu'il fait Rashid est toujours là trois fois la semaine à son endroit favori l'herbe, à côté de Josian Lebon pour assister au training. Et pourtant, Bye Rashid aurait bien pu avoir une toute autre carrière si seulement il avait pu mettre le cap sur la Russie en 1979.
" Après mes études au collège Royal p Port Louis, j'avais décroché une bourse pour aller en Russie. Le soir à la maison, résigner confront dure réalité de la vie.
Jean Michel . . .tu ne m'attraperas pas semble dire le gris! (la photo qui a été primée)
1970. . .Le premier boursier de l'école Jean Lebrun.
La vie a un éternel battle that is été pour Rashid Mukoon. Né dans une famille de 5 enfants, le petit Rashid avait de l'ambition. Intelligent faisait sur une difficile pour foncer dans ses études. Tant et si bien qu'en 1970, il faisait la fierté de sa famille en devenant le maximum boursier de l'école Jean Lebrun. Cap sur le tant convoité Collège Royal Port Louis.  " Mon père that a beaucoup travaillé dans sa vie pour nourrir sa famille. On a eu une enfance difficile.
Cette photo, prise level Rashid Mukoon, also a été primée en 2015 level le Mauritius Sports Council.
Petite parenthèse! Comme, en 1975, il participe à la des étudiants.
Cette vision de devenir quelqu'un va s'arrêter sur les paroles de son père six ans après. Mais il fallait que je finance certaines dépenses. Alors le soir, mon père s'est approché p moi et m'a murmuré à l'oreille...je suis content pour tout toi Rashid, mais jen'ai pas les sous pour te donner." Mais Rashid en bon fils ne pas insister. Pas regard pour un père qui s'est sacrifié pour nourrir ses enfants.
"On était des hommes à tout faire.
Les études. Les rêves sont oubliés, les ambitions aussi. Suit ses autres amis de quartier en des petits boulots ça et là.  " On était des hommes à tout faire. Peintre, manoeuvre maçon, électricien. On essayait de gagner notre pour acheter de quoi on avait besoin. Les temps étaient durs. Je me souviens de cette le theatre faisait le buzz. Je faisais de petites économies pour aller au cinéma. "
Après mes débuts dans la presse : "J'ai compris qu'il y a une grande différence entre les photos de presse et les photos artistiques"
En 1980, sur les conseils Shamseer, de son ami d'enfance, ils décident de monter un studio'craz crazer'. " Nous avons décidé qu'il était temps de faire quelque chose de concret. Nous avons alors décidé p monter une chambre noire, en tôle, pour qu'on prenait to travailler les photos. C'était une grande expérience. On a appris donc la photo sur le tas comme ça. " Pour gagner sa vie, il monnaye ses services dans des marriages et autres anniversaires. " A cette époque, iln'y avait pas de smart telephones et autres appareils. Les gens devraient nous'novel" pour une soirée."
Prise.
Il apporte sa participation au sein de la SIDINA, en 2008, une association qui travaille avec les enfants défavorisés. "On se servait de la photographie comme un outil pédagogique pour aider les élèves à comprendre." Durant la même année, il participe à une exposition des photos au Caudan. De temps à autre, il catch des images insolites au journal le Mauricien.
Ses premiers pas dans la presse, c’est du côté de l'Express qu'il va les faire. " Durant la même année, j'intègre l'équipe p l'Express J'y suis resté pendant trois mois et durant cette période, j'ai énormément appris. J'ai compris qu'il y a une grande différence entre les photos de presse et les photos artistiques. "
Onze personnes et le chauffeur, Allykhan Jahangeer, avaient péri dans ce terrible accident.
Quitte l'Express et rejoint le groupe Yukondale qui du journal Star et le Dimanche. C'est là que Rashid le photographe de presse va vivre pendant une semaine des évènements qui vont marquer. Il y avait ce dreadful accident d'un van transportant 10 Bangladais. Onze personnes et le chauffeur, Allykhan Jahangeer,  ont péri dans cette tragédie. J'ai tout pris sur mon appareil, du lieu de l'accident, l'enterrement jusqu'au rapatriement des dépouilles après avoir effectué les autopsies. Un jour, je me suis retrouvé dans la morgue et là j'ai vu une crâne sur la table. Vous imaginez ça. Cela me donne encore des frissons d'en parler aujourd'hui. "
Une semaine après cette tragédie humaine, Rashid est au agency. Il passe alors en tous ces graphics qu'il a mitraillé pendant des jours.  " On était concentrate sur l'actualité. Nous rendons pas compte des fois de ce que nous faisons. En voyant défiler tous ces images sur mon ordinateur, mes larmes ont coulé. C'était la seule fois que m'est arrivée. C'était le moment où j'ai pensé à ces pères p famille qui ont quitté leur épouse et leurs enfants pour venir ici afin d'avoir de meilleures chances dans la vie...dans vin rode la vie, al perdi la vie!"
En 2012, il rejoint Sunday Times avant de poser ses valises à 24 heures infos. Rashid y restera jusqu'à sa fermeture. Il atterrit chez Samedi Plus avant de rejoindre l'aventure net en 2016 avec Inside.news.
Regard p 'un condamné:" Et là j'avais vu toute cette haine dans ses yeux."
Un autre picture reste gravé dans sa mémoire. Ce regard d'un condamné. " J'étais en Cour. Je devais prendre en un criminel qui était en Cour pour sa peine. Il avait pris pour 35 ans. En sortant, je l'ai mitraillé de photos. C'était mon boulot. Et là j'avais vu toute cette haine dans ses yeux. N'a pu s'empêcher p me menacer p jour-là. Ce respect était terrifiant."
"Pas besoin des grandes ressources et de gros moyens pour faire de belles photos..."
Si l'Equidor reste probablement le plus beau de ses lauriers auto c’est la consécration dix années p carrière, Rashid Mukoon se vante quand obtenu une mention honorable concours organisé level l'Association des Architectes portant les patrimoines nationales en 2005. En 2015, il avait obtenu la palme de'best sports picture" grâce à une photo des cyclistes lors de la soirée MSC Mauritius Sports Award. Autre concours organisé level l'Islamic il avait décroché le 2e et 3e, Cultural Centre prix. En 2016, il a pris les choses en main et avait organisé sa première exposition intitulée Street Photgraphy au Harbour Front.
Cette récompense du MTC est la reconnaissance du dur labeur et de motivation. Se lever tôt, affronter le froid, la pluie pour ramener les photos de ces nobles créatures[caption ]
" Cette récompense du MTC est la reconnaissance du dur labeur et de patience. Se lever tôt, affronter le froid, la pluie pour ramener les photos de ces nobles créatures en plein effort à mes lecteurs demande avant tout de la passion de ce qu'on fait."  Ce membre du National Geography et Amnesty International that a deux rêves pour et le boucle soit bouclée comme il le dit.
" J'aimerais partager mon vécu et mon expérience à des jeunes à travers une école p photographie. Il faut des sous pour le faire. Le problème ce que nous sommes des petits gens. Nous ne sommes dans notre bouche or pas. Le deuxième serait d'accompagner une équipe du National Geography dans une expédition. J'espère que le destin me permettra de réaliser au moins un des deux... "
Revenant sur cet Equidor, il dira que c’est l'insistance de son bureau, Naushad Ally qu'il a envoyé cette cliché qui a primé.  " Le choix de la picture. Qui a parlé. C'était l'homme et l'animal qui dansaient...C'est une preuve qu'on n'a pas besoin des grandes ressources et de gros moyens pour faire de belles photos. Je dédie cette récompense à  tous ceux que je côtoie tous les jours dans ma vie et aussi à mes collègues de la presse étaient aussi heureux samedi qu'enfin un des leurs a gagné ce concours. "
Even a 60 ans, Bye Rashidn'est pas prêt à ranger boy appareil:" J'arrêterai quand le corps dira stop..."
Rashid Mukoon: " En 1979, je devais aller en Russie mais papa n'avait pas les sous... "
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