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#Aimer sa femme
roihangbe · 2 years
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Retour de l'etre aimé par télépathie - récuperer son ex par la pensée apres l'avoir tromper
Retour de l'etre aimé par télépathie - récuperer son ex par la pensée apres l'avoir tromper. Lorsque la personne que vous aimez le plus vous quitte, vous n’avez qu’une envie, c’est de la voir revenir rapidement.
Retour de l’etre aimé par télépathie – récuperer son ex par la pensée apres l’avoir tromper. Lorsque la personne que vous aimez le plus vous quitte, vous n’avez qu’une envie, c’est de la voir revenir rapidement. Ne laissez pas faire le temps, faites appel aux services de Papa HANGBE voyant, maître spirituel, pour son sérieux dans les rituels de Retour de l’etre aimé par télépathie rapide et…
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lisaalmeida · 7 months
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Être une femme libre de ses choix
Être une femme, c’est choisir d’être soi-même
Faire brûler sa flamme pour ceux que l’on aime
Dessiner son chemin pour construire son demain
Aimer sans limite, aux plus pauvres tendre la main
Couvrir le monde de sa féminité pour donner naissance à la beauté
S’épanouir du bonheur d’un enfant, le couvrir de tendresse et de bonté
Ouvrir son coeur au bonheur pour inonder le monde de volupté..................................❤️
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coolvieilledentelle · 11 months
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
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jeanchrisosme · 3 months
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Je suis une femme marquée par la vie, Je suis une femme qui porte des cicatrices, Je suis une femme difficile à aimer, Je suis une femme complexe, Je suis une femme qui se mure dans le silence... Et pourtant... Je suis une femme forte, Je suis une femme qui porte l’amour, Je suis une femme qui s’aime, Je suis une femme dans toute sa beauté, Je suis une femme qui tend la main... Même si... Je suis une femme qui pleure, Je suis une femme avec des faiblesses, Je suis une femme qui a besoin d’amour, Je suis une femme fragile, Je suis une femme en morceaux... Et pourtant... Je suis une femme qui continue de croire, Je suis une femme qui porte la lumière, Je suis une femme qui s’offre au monde, Je suis une femme qui prône l’amour, Je suis une femme qui danse avec les anges ! Je suis juste une femme comme toi...
Corinne Arnaudin
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horyia · 3 months
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Seconde version (première après celle de l'ouverture)
Rejoignez-nous sur The Fall of a Kingdom qui s'est drapé de bleu pour les événements qui arrive très bientôt ♥
Scénario à découvrir ci-dessous
Nour est née quelques minutes avant Shirat, par un chaude nuit d’été dans la région de Helston. C’est le genre de personne qui se laisse emporter par le courant et qui s’adapte à tout et tout le monde. Ainsi, même si la vie familiale était difficile, Nour évoluait comme un poisson dans l’eau. Bien que jumelles, les soeurs Asghari ne pourraient pas être plus différentes. Elles ont passé leur jeunesse à être constamment comparées, ce qui a parfois insufflé un climat de compétition entre elles et une étrange jalousie malgré l'amour féroce qu'elles se portent.
Consciente du désir de sa sœur jumelle de fuir le bercail dès que possible, c’est Nour qui propose de partir à l’aventure en s’enrôlant à l’Académie des Chevaucheurs. Là-bas, Nour trouve sa place, sa vocation, alors que sa sœur a du mal à s’intégrer. Plus les années passent, plus le fossé se creuse entre Nour et Shirat. Nour tissera un lien avec un Étheria au cours de sa troisième année, et chaque nouvelle présentation aux différentes races d'Étheria est devenue d'une amertume insupportable aux yeux de Shirat qui en est venue à abhorrer le succès de Nour.
C'est sans un mot de félicitations que Shirat disparaît lors de la graduation de Nour. C'était il y a trois ans, et malgré ses lettres à l'Académie des Elementariste où Shirat a trouvé refuge, Nour n'est pas parvenue à rejoindre sa sœur depuis...
Caractère Les deux sœurs sont aux antipodes. Là où Shirat une femme discrète, solitaire, rancunière et colérique, Nour est pétillante, aimable, sociable et nonchalante. C'est une personne qui s'adapte facilement à son environnement et à ses interlocuteurs et qui parvient à se faire aimer de tout le monde. Ambitieuse et déterminée, Nour semble tout réussir avec aisance, mais en réalité, elle vit avec l'univers sur les épaules depuis toujours.
Le FC Golshifteh Faharani comme avatar, parce que j'aime bien sa bouille et qu'elles ont des traits physiques semblables. L'avatar est également négociable, mais je vous demande de vous restreindre à des faceclaims aux origines dans le moyen-orient pour un soucis de cohérence.
Résumé : jeune gradé de l'académie des chevaucheurs, lié à un Etheria (au choix) avec un ancrage (au choix) et une relation complexe avec sa jumelle.
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catholicgurlypastor · 18 days
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🙏Prière à Lilith pour l’amour entre personnes du même sexe🙏 Ô Lilith, Mère des âmes libres, Toi qui marches dans les chemins interdits et fais briller la lumière dans l’obscurité, Nous te rendons grâce pour l’amour qui transcende les frontières, Pour les cœurs qui s’unissent, indépendamment du genre, du corps ou des normes.💐Refrain : Lilith, Déesse de l'Amour sans chaînes, Garde et bénis nos amours véritables.💐Toi qui refuses la soumission et embrasses la liberté, Éveille en nous la force de vivre nos désirs sans peur ni honte. Nous te remercions pour l’amour qui fleurit entre femmes, Pour les passions qui s’enflamment entre hommes, Et pour chaque âme qui trouve dans un autre son reflet et sa chaleur.💐Refrain : Lilith, Déesse de l'Amour sans chaînes, Garde et bénis nos amours véritables.💐 Dans les bras d’un être aimé, tu murmures la liberté, Dans chaque baiser partagé, tu révèles la vérité. Nous honorons cet amour qui brave les conventions, Cet amour qui ne connaît ni limite ni oppression.💐Refrain : Lilith, Déesse de l'Amour sans chaînes, Garde et bénis nos amours véritables.💐 Que sous ton regard bienveillant, Nous puissions toujours aimer librement, Sans crainte du jugement, ni des chaînes imposées. Nous te rendons grâce, Lilith, pour l’amour entre âmes égales, Un amour puissant, profond, et infini comme toi.🙏
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🙏Prayer to Lilith for love between people of the same sex🙏 O Lilith, Mother of free souls, You who walk the forbidden paths and make the light shine in the darkness, We give you thanks for the love that transcends borders, For the hearts that unite, regardless of gender, body or standards.💐Chorus: Lilith, Goddess of Love without chains, Guard and bless our true loves.💐You who refuse submission and embrace freedom, Awaken strength in us to live our desires without fear or shame. We thank you for the love that blossoms between women, For the passions that ignite between men, And for each soul that finds its reflection and its warmth in another.💐Chorus: Lilith, Goddess of Love without chains, Guard and bless our true loves.💐 In the arms of a loved one, you whisper freedom, In each shared kiss, you reveal the truth. We honor this love which defies conventions, This love which knows neither limits nor oppression.💐Chorus: Lilith, Goddess of Love without chains, Guard and bless our true loves.💐That under your benevolent gaze, We can always love freely, Without fear of judgment or imposed chains. We give you thanks, Lilith, for the love between equal souls, A powerful, deep, and infinite love like you.🙏
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ernestinee · 1 year
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J'ai lu "Passion simple" d'Annie Ernaux. C'est joli, j'ai trouvé ça doux. Le ton monocorde et détaché contraste avec la force de son attente. L'histoire est autobiographique. Elle attend un homme bien plus jeune qu'elle (elle a 50 ans au moment de l'histoire), elle attend son appel, sa venue, et quand il vient elle pense déjà à quand il repartira et à l'attente qui suivra. J'ai eu la sensation d'attendre avec elle.
Je me suis reconnue dans certaines actions. En vouloir au monde entier d'exister parce que le monde entier n'était pas lui, en vouloir aux autres activités d'exister parce qu'elles m'empêchaient de lui dévouer toutes mes pensées, aimer tout ce qui se liait à lui, même de très loin. Aimer le manque et la peine parce qu'ils sont proportionnels à la passion, aimer la douleur parce qu'elle prouve l'existence de cette histoire. Je me souviens avoir dit à ma meilleure amie que je n'avais plus envie de quoi que ce soit qui m'empêche de penser à lui. De l'extérieur ça semble violent parfois et j'ai lu certaines critiques qui allaient dans ce sens, "quelle femme désespérée", mais de l'intérieur c'est douceur, force et passion, c'est pour cela que la lecture m'a semblée douce.
Le récit a donné lieu à une réflexion sur l'écart entre la personne et la situation. Et finalement, est-ce vraiment une personne qui nous manque ? N'est-ce pas plutôt la situation dans laquelle cette personne nous met ? N'est-ce pas plutôt comment on se sent en sa présence ? N'est-ce pas plutôt la sensation d'exister, de ressentir quelque chose très fort ? Et s'il revient des années plus tard? Et s'il fait comme si rien n'avait changé, malgré que tout aura changé ? Est ce qu'on sera déçus ? Quel sera le décalage entre les retrouvailles fantasmées et la réalité ?
J'ai aussi lu des commentaires abjects sur l'âge de l'autrice, "elle ferait mieux de faire de la broderie ou aller à son club de bridge". On souffle fort, il n'y a pas d'âge pour la passion. J'aime comme elle dérange des personnes qui méritent d'être dérangées. Qui ont besoin d'être dérangées.
J'adore comme avec la simplicité, la justesse et la rapidité de ce récit (70 pages), elle réussit à m'emporter et à lancer mes pensées au delà de son histoire. J'aime me dire que la passion est universelle.
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aurevoirmonty · 3 months
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"Je dirai seulement ceci : Il me semble que les hommes de toute nationalité devraient aimer par-dessus tout les femmes de chez eux. Si des hommes commencent à préférer les femmes de l’étranger à celles de leur propre milieu, je crois que leur peuple n’est pas loin de sa décomposition et de sa fin."
Fiodor Dostoïevski, Journal d'un écrivain (1873-1881)
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lisaalmeida · 1 year
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Je suis une femme difficile à aimer,
Je suis une femme complexe,
je suis une femme marquée par la vie,
je suis une femme qui porte des cicatrices ,
Je suis une femme qui se mure dans le silence...
Et pourtant...
je suis une femme forte,
Je suis une femme qui porte l'amour,
Je suis une femme qui s'aime,
Je suis une femme dans toute sa beauté,
je suis une femme qui tend la main...
Et pourtant...
Je suis une femme qui pleure,
je suis une femme avec des faiblesses,
Je suis une femme qui a besoin d'amour,
Je suis une femme fragile,
Je suis une femme en morceaux...
Et pourtant...
je suis une femme qui continue de croire,
Je suis une femme qui porte la lumière,
Je suis une femme qui s'offre au monde,
Je suis une femme qui prône l'amour,
Je suis une femme qui danse avec les anges.
Je suis une femme comme vous.
Françoise Séverin.
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nvminnd · 1 year
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Je classe les chevaliers du moins aro-ace au plus aro-ace
Parce que mine de rien la plupart des persos ont de grosses vibes aro-ace je trouve, donc voilà
ARTHUR
La plupart des merdes qui se passent à Kaamelott, on les doit au fait que not' bon roi pense 83% du temps avec son coeur (et son épée). Bi-king, peut-être. Mais clairement pas aro ou ace.
CALOGRENANT
De tous ceux qui ont une femme, c'est le seul que j'arrive à imaginer vraiment aimer consommer son mariage. Pis bon le coup de la ceinture de chasteté, ça fait très hétéro je trouve.
BOHORT
Bohort est si gay. En tous cas, il est pas aro. Ace, je pourrais le voir quelque part sur le spectre. Mais je l'imagine plus à réfréner son attirance pour les mecs qu'à ne pas (ou peu) ressentir d'attirance. (On sait toutes et tous ce qu'il pense de Léodagan hein)
LÉODAGAN
Bon là on commence déjà à aborder les persos que je pourrais voir sur le spectre aroace. Oui Léo est marrié. Oui il a 2 enfants. Mais pour un gars qui est censé être le stéréotype du chevalier bourrin, il est quand même pas hyper porté sur la chose. Il est à priori fidèle à Séli alors qu'il ne doivent pas s'éclater souvent au lit, et il le dit lui-même, les gonzesses qui dansent à moitié à poil, c'est pas son truc.
YVAIN
Yvain aime Gauvain. Que Gauvain. Ça fait très demiromanrique. Je le mets avant Gauvain parce qu'il a quand même tenu à avoir une maîtresse, même si je pense que c'est plus pour faire genre que parce qu'il est attiré par Démétra.
GAUVAIN
Gauvain aime Yvain. Que Yvain. Personne d'autre. Demi demi demi.
GALESSIN
Galessin, lui, n'aime personne. L'amour ça l'interesse pas des masses, le sexe non plus, mais bon il dit pas non à l'occasion s'il rencontre la bonne personne, peu importe son genre. Sûrement quelque part sur le spectre aroace, lui-même ne sait pas exactement où.
LANCELOT
Bon là c'est canon que Lancelot n'aime et n'a aimé QUE Guenièvre. Mais il avait pas l'air hyper demandant niveau joyeusetés quand il l'a eue que pour lui. Demiromantique, ace.
HERVÉ
???? Pour tomber amoureux ou plus si affinités, faudrait déjà qu'il ait conscience un minimum de son environnement, et c'est pas gagné. Il a déjà dû se retrouver dans une ou deux situations comprométantes suite à des malentendus, mais jamais de sa propre volonté. Après, il dit pas non. Il s'en fout, en fait.
KARADOC
Là encore c'est assez canon qu'il voit pas l'interêt de faire des cochonneries sous les draps. 100% ace, peut-être demi romantique...et encore la bouffe passera toujours au premier plan. Cake Ace.
PERCEVAL
Notre aro-ace king par excellence. L'amour platonique est le plus important, et pour lui, la meilleure éclate qu'on peut avoir au lit c'est une discussion philosophique sur les étoiles avec ses amis les plus proches. Space Ace.
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 14 "Une femme mure sur la plage"
En voyant Julie soulever sa robe pour découvrir ses fesses nues je m’arrêtais net derrière elle. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle se dévoile ainsi devant moi, j’étais surpris par son audace, la connaissant je ne l’aurai jamais cru capable d’un tel geste. Par ce signe si féminin, si coquin, c’était comme si elle avait compris ce qui pouvait m’émouvoir au point d’ancrer dans mon esprit cette fraction de seconde pour toujours. Je restais médusé et muet devant ce cul mature qu’elle m’offrait, devant moi à porter de mains, de mes lèvres alors qu’elle ralentissait en repliant sa jambe pour atteindre la marche suivante. Elle n’avait rien dit, ne se retournait pas, ses fesses s’ouvraient en montant la marche suivante laissant entrevoir la naissance de sa pilosité sombre dans la cage d’escalier. Je restais à contempler sa croupe, ses jambes et son dos avec sa robe relevées à la taille qu’elle tenait de sa main gauche, je ne pouvais retenir mon souffle qui s’accélérait au rythme de mes battements de coeur. Je vivais des émotions jamais ressentis jusqu’alors depuis ce moment calé entre son ventre et sa poitrine mature, la voir retirer sa culotte sous sa robe en me regardant et maintenant découvrir son fessier pour ne pas dire son cul, son gros cul mature qui ondulait sous mes yeux. 
J’étais dans le rêve des pieds à la tête, dans la fantasme tel que je ne l’aurai jamais imaginé avec cette femme qui m’avait témoigné tant de pudeur, tant de réserve mais je découvrais ce qu’une femme mure était capable de faire pour s’offrir au plaisir d’un homme et comprendre ses fantasmes. Mes yeux devaient briller de plaisir et de crainte de l’inconnu, ne sachant comment me comporter pour être à la hauteur de ce qu’elle représentait à mes yeux quand elle s’arrêta 2 marches plus haut en tournant la tête vers moi
- J’entends ta respiration Titouan, je n’avais jamais fait ça mais tu sembles tellement aimer mes fesses que je voulais t’offrir ce moment ! Elle parlait de sa voix douce en me regardant, un sourire tendre et ému me confirmant qu’elle n’avait pas l’habitude d’autant d’audace
- Oh mon dieu Julie ! Excusez moi mais votre cul me fait un tel effet si vous saviez, oh pardon de vous parler comme ça mais … Mon air surpris la fit rire presque d’un rire nerveux en m’entendant
- Et bien mon bébé tu es enthousiasme en tout cas, ne t’inquiète pas je le prend pas mal tu as raison après tout même je ne suis pas habitué qu’on me parle comme ça c’est assez cru mais troublant j’avoue ! Tu veux que je reste comme ça Titouan ? Me demandait-elle naïvement comme si je pouvais non !
- Oh oui j’aimerai Julie ! Je ne me lasse pas de le … les regarder, l’admirer, le contempler, le désirer, je le fantasme depuis que je vous ai vu ! Osais-je ajouter maladroitement comme si mes sentiments se limitaient à son postérieur
J’étais tellement excité que ma retenue habituelle s’effilochait au point de la choquer par mes propos typiquement masculins et machistes. Elle ne répondait pas à mes propos et en me fixant du regard elle se cambra légèrement en secouant sensuellement sa croupe comme pour me provoquer puis repris sa montée dans l’escalier en tournant la tête, sa robe toujours relevée et retenue sur ses hanches nues
Je mourrais d’envie de l’embrasser et m’enfouir dans ce volume charnu et impressionnant de si près. Je la suivais en gagnant une marche sur elle, j’aurai pu toucher ses fesses, ce cul mature qui me faisait tourner la tête, y poser mes lèvres et si je ne gardais pas un minimum de retenu y fourrer mon visage tout entier. Julie montait doucement, régulièrement jusqu’au palier exagérant presque son déhanchement comme si elle s’amusait à amplifier mon désir, j’approchais ma main sans la toucher, ma main ouverte qui n’avait plus que 2 marches pour attraper sa fesse charnue
- Pardon Julie ! Lachais-je en posant ma main sur sa fesse droite comme pour remplir ma main de sa chaire
- Ne t’excuses pas mon bébé ! Entendais-je en retour, comme un encouragement à profiter de ce moment et laisser aller mes pulsion
Je posais mon autre main sur sa fesse gauche et remontait mes 2 mains sur ses hanches comme pour l’arrêter avant de poser mon visage sur ses fesses et m’y frotter avec gourmandise et volupté. Elle lâchait un « oh » suivi d’un léger « hum » presque inaudible mais dont je ressentais les vibrations tellement mon visage s’était enfouie entre ses fesses majestueuses
Je m’étouffais dans ses fesses, j’étais dans son obscurité enivrante de sensualité. Julie restait immobile un moment, surprise par cette impulsion avant de l’entendre dire en se dégageant de mon emprise
- Et bien Titouan ! Je ne pensais pas que mon derrière te faisait autant envie, pas à ce point en tout cas ! Elle se retournait vers moi prenant mes poignets pour m’inviter à me relever
Sa robe avait recouvert sa nudité, elle semblait surprise à son tour, je ne savais pas lire dans son regard si mon initiative l’avait troublé ou choqué, malgré tout son intonation restait douce et bienveillante. Elle gardait une de mes mains dans la sienne m’emmenant dans le couloir, elle s’arrêtait devant la 1ere porte sur la gauche. Elle ouvrait la porte, je découvrais sa chambre, je passais la porte en la suivant découvrant un espace chaleureux et cosy, clair, avec un grand lit qui donnait l’impression d’un nid douillet recouvert d’une couette en lin de couleur verte d’eau et des oreillers volumineux qui donnaient envie de s’y plonger. La fenêtre était grande ouverte, elle semblait donner sur le côté du jardin, en rentrant avançant je remarquais une meuble garni produit de maquillage, crèmes et parfum ainsi qu’un grand psyché dans un coin de la pièce un peu plus sombre avec un fauteuil et une armoire d’époque en bois massif ou elle devait ranger ses affaires.
- Voilà mon petit nid mon prince ! Se contentait-elle de dire en refermant la porte derrière moi comme si elle voulait se mettre à l’abri des intrus
Je parcourais sa chambre du regard, presque gêné par ce qui venait de se passer me demandant si je n’avais pas été trop loin
- Elle est très coquette votre chambre Julie ! Disais-je, restant debout, je me sentais intimidé de me retrouver dans l’intimité de la chambre d’une femme de 58 ans
- Oh mon prince ! Tu veux bien aller chercher le champagne au frais et nos flûtes ? Se contentait-elle de dire
Je la sentais gênée, comme si elle essayait de gagner du temps ou alors elle voulait se griser un peu plus. Elle semblait stressée, peut-être choquée ou dépassée par ce que je venais de faire
- Oui bien sur Julie ! Je suis désolé si je vous ai choqué et impulsif je serai raisonnable, vous êtes la reine aujourd’hui c’est votre anniversaire et je ne veux pas gâcher cette journée en étant maladroit !
- C’est pas méchant Titouan ne t’inquiète pas mais je n’ai plus l’habitude et même jamais eu l’habitude qu’on me fasse ça ! Me répondait-elle en s’asseyant sur son lit comme si elle attendait que je revienne le plus possible
- Je reviens Julie, je fais vite !
Je refermais la porte de sa chambre derrière moi et allait chercher champagne et ramasser nos verres en repensant à cet échange. J’étais excité depuis le matin et encore plus de me retrouver chez Julie, dans sa chambre, cet épisode dans l’escalier avec la vision de ses fesses charnues et ondulantes, la sensation de mon visage dans ses fesses, je bandais dans mon jean encore au point d’en avoir presque mal et j’avais hâte de libérer cette excitation qui me tenait depuis le matin presque. Je n’avais jamais autant bandé pendant la même journée mais en remontant je me disais que j’étais un homme comblé et impatient de retrouver Julie.
J’ouvrais la porte de la chambre en disant 
- Me revoilà avec le champagne Julie ! Je marquais un temps d’arrêt en découvrant la pénombre dans la chambre. Les rideaux étaient tirés au 3/4, laissaient passer un puit de lumière jusqu’au pied du lit, je pouvais sentir un filet d’air provenant de la fenêtre restée ouverte. Je pouvais reconnaitre sa robe jetée nonchalamment sur le fauteuil, le soutien-gorge en dentelle qui formait l’ensemble avec sa culotte bleu pétrole qu’elle avait retiré sur la terrasse quelques minutes plus tôt était posé à califourchon sur le bras du fauteuil. Elle était visiblement nue sous sa couette. Julie était dans son lit, son bras replié soutenait sa tête dans sa main, la couette remontée sous l’aisselle de l’autre bras recouvrait sa poitrine dont le volume formait un gonflement d’où émergeait un sillon remontant vers son cou. Elle me regardait, un sourire légèrement crispé, son expression était presque inquiète, je pouvais deviner son émotion dans son regard. Elle ne disait rien, je restais planté à l’entrée de la chambre, la bouteille de champagne dans une main, les flûtes dans l’autre, je la regardais avec émotion et délicatesse comme si la fragilité de l’instant pouvait se rompre. Son visage se décrispait, laissant place à un sourire chaleureux et plein de connivence, sa main agrippa le bord de la couette et l’écarta d’un coup jusqu’à découvrir ses chevilles, son bras venait se replacer le long de son corps, la main posée sur sa hanche comme si elle m’offrait sa nudité à contempler. Mon regard s’arrêta sur sa poitrine qui s’écrasait sur le matelas laissant apparaitre ses mamelons larges d’un rose foncé, la peau blanche et laiteuse captivait mon regard. Ses seins écrasés l’un contre l’autre laissaient un sillon sinueux remonter à la base de son cou, la rondeur de son ventre blanc dessinait une courbe arrondie sur le drap donnant l’impression d’un coussin de chaire moelleuse et douillette. L’orifice sombre de son nombril tranchait avec la blancheur de son ventre en marquant son centre de gravité, en dessous un large bourrelet courbe marquait une ligne uniforme surplombant la pilosité de sa toison formant un triangle noir enfoui entre les plis de so ventre et ses cuisses charnues reposant l’un sur l’autre. Ses jambes hâlées et étendues dessinaient une sinusoïde partant de l’arrondi volumineux de sa hanche jusqu’a sa cheville. Je me délectais de ce tableau restant sans voix, sentant l’effet procuré par le corps mature et nu de Julie. Oh oui ! Mon sexe tentait de se déployer dans mon jean, je sentais mon gland commençant à se décalotter rien qu’avec le frottement de mes vêtements. Julie interrompait cet instant magique, qui je le savais déjà animerait mes pensées et mes fantasmes
- A toi maintenant ! Soufflait-elle tout simplement en me regardant
Je restais un instant immobile, encore ébahi par la vue gracieuse de son corps, allongé sur son lit, ses formes découvertes. Je regardais autour de moi pour libérer mes mains et poser champagne et flûtes sur la commode, remarquant dans le psyché que Julie n’avait pas bougé, elle me regardait dans tout mes gestes. Je me retournais vers elle, presque hésitant je finissais de déboutonner les quelques boutons fermés de ma chemise avant de l’enlever le plus naturellement possible, dévoilant mon torse. Son regard ne me quittait pas, elle souriait en profitant à son tour de cette exhibition complice qui excitait nos sens. D’un geste lent et inconscient sa main venait se nicher dans le creux de ses cuisses et son ventre rond. Je souriais d’un air gêné en la regardant, je n’avais jamais été scruté de la sorte dans ces moments, l’intimité était à son comble quand je libérais mon jean en le faisant glisser sur mes jambes en même temps que mon boxer, laissant mon sexe émergé d’un trait en se tendant droit comme dard, il se dressait fièrement, droit comme un bâton au moment où Julie lâchait un « oh ! » de surprise. Je finissais de retirer mon jean et mon boxer pour libérer mes jambes et chevilles quand elle enchaina en chuchotant 
- Viens ! » Elle tendait ses bras vers moi pour m’inviter à la rejoindre et me serrer contre elle
Je m’approchais, posant un genoux sur le matelas avant de me laisser aller dans ses bras ouverts et me nicher dans ses seins, ses pointes étaient dressées et ses aréoles couvertes de frissons. Elle resserait ses bras sur moi en m’étouffant presque dans sa poitrine généreuse, je pouvais sentir la douceur douillette de ses mamelles qui contrastait avec la fermeté et la sensation fraiche de ses tétons sur mes lèvres. Elle se collait contre moi, ouvrant ses cuisses en passant sa jambe par dessus ma hanche, mon sexe dur comme un bout de bois venait glisser sur l’intérieur de sa cuisse. Je pouvais sentir mon gland recouvert de viscosité glisser sur sa peau, signe de mon excitation depuis ce moment dans le canapé. Je sentais ces baisers qui recouvraient bruyamment ma tête, mes tempes, mon crâne. Ses lèvres aimantes et sensuelles appelaient ma bouche, je levais la tête, tendant le cou pour chercher ses lèvres avant de mêler nos langues et notre salive dans un baiser amoureux des plus sensuels
Mon main droite, prenait son sein écrasé contre le matelas, mon bras replié sous mon torse ne laissait que ma main libre pour venir caresser puis pétrir en douceur ce sein maternel, mes doigts butaient sur son téton érigé, je pouvais sentir la peau frissonnante de son aréole. Je l’entourais de mon bras libre, ma main rencontrait le galbe si féminin de sa hanche et poursuivait ses courbes jusqu’au creux de ses cuisses largement ouvertes pour rencontrer son intimité. Mes doigts pouvaient sentir pour la première ses poils pubiens, la sensation excitante de sa toison recouvrant son mont de vénus charnu, le pressant dans ma main avant de sentir ses lèvres humides aux abords et de plus en plus mouillées au fur et à mesure que mon index venait appuyer et pénétrer sa vulve.
Tout en gardant nos lèvres collées dans ce baiser animal et frénétique, je pouvais entendre ses « humm » profond, comme le ferai un gourmet qui déguste un met en le savourant. Elle gesticulait lentement au rythme de ma main et mon bras tendu vers sa chatte ouverte. Ce baiser amoureux paraissait durer une éternité, tous nos sens étaient en éveil, je sentais toute sa sensualité mature contre mon corps, elle était vivante lâchant ses gémissements de contentement, profitant de mes caresses intimes. Sa main qui accompagnait notre baiser depuis le début, quittait mon visage pour glisser vers mon bas ventre, prenant ma queue tendue dans sa main, elle la galbait d’abord avant de caresser et masser mes testicules allant de mes bourses et mon dard en le frottant et le caressant de sa main, du dos de la main, des doigts jusqu’à son poignet, elle découvrait et prenait mon sexe pour le sentir comme un objet précieux et convoité. 
Excités par nos caresses, mes doigts sentaient sa sécrétion vaginale, sa cyprine au point de laisser aller mon majeur s’enfouir entre ses lèvres charnues en même que ma main paume se plaquait sur sa toison en la massant. Je ne résistais pas à l’envie de découvrir ses lèvres, celles de son intimité. Je me redressais sur les genoux sans rien dire, je reculais jusqu’à ses cuisses qu’elle ouvrait largement comme d’un commun accord, en se mettant sur le dos et m’installait à genoux entre ses cuisses ouvertes. Ce moment de communion m’offrait la vue de son intimité mature, j’approchais ma bouche en restant à genoux entre ses cuisses avant de m’allonger en passant mon bras sous ses fesses. Julie m’accompagnait dans tout mes gestes, elle relevait  légèrement son bassin pour laisser ma main venir soutenir ses fesses pendant que ma bouche, ma langue mon nez venaient désirer ses lèvres. Elle remuait en même temps que ma langue léchait son intimité, venant s’enfoncer par moment avant de la satisfaire selon ses réactions, je m’appliquais comme si je tenais sur mes lèvres un précieux présent à déguster. Durant ces caresses buccales, elle se cambrait par moment, par à-coups, soulevait son bassin laissant ma main, mes doigts être plus intrusifs, ses gémissements se prolongeant en longs « Hummm ! ». Elle s’offrait à mes caresses intimes, sans la moindre résistance, avec docilité pendant quelques minutes. Mon visage tout entier s’imprégnait de son intimité, mon nez venant s’enfoncer entre ses lèvres, mon front s’écrasant sur sa chatte trempée. Ce cunnilyngus l’amènait à l’orgasme qu’elle concluait en comprimant ma tête entre ses cuisses, accompagné d’un cri strident et aigu, ces mains venant s’agripper dans mes cheveux je pouvais sentir son ventre et son vagin bouger en saccades avant de se relâcher d’un coup en sanglotant. Je pouvais voir son ventre bouger au rythme de ses sanglots, j’étais désarmé en la regardant je n’avais encore jamais vu une femme sangloter quand elle avait un orgasme.
 Après quelques secondes elle leva la tête vers moi les yeux embrumés et brillants
- Oh mon prince mais qu’est-ce que tu m’as fait !
Je me contentais de lui demander un peu inquiet 
- Tout va bien Julie ? 
Elle me rassurait, me disant que ça ne lui été pas arrivé depuis si longtemps mais que c’était une émotion de plaisir qui la faisait sangloter et qu’elle avait oublié ses sensations aussi forte. Elle tendait les bras vers moi pour me couvrir de baiser. Je sentais son coeur battre contre mon torse, elle avait besoin de récupérer j’en profitais pour déboucher la bouteille de champagne et revenir à ses côtés, assis sur le lit en lui tendant sa flûte remplie. Elle se redressa, les cheveux défaits, sa poitrine lourde bougeait en mouvement quand elle se redressa pour s’adosser et trinquer en buvant son champagne
- Merci mon prince d’amour ! Je crois que je n’avais pas jouis aussi fort depuis très très longtemps ! Me confiait-elle après avoir bu une bonne gorgée de champagne
Un sourire de fierté illuminait mon visage en l’entendant, je me sentais rassuré et heureux d’avoir pu lui donner autant de plaisir
- C’est moi qui remercie Julie ! Qui te remercie pour tout ce que tu me procures ! Je la tutoyais naturellement, maintenant que j’avais gouté à son intimité, je partageais son lit, c’était étrange de la vouvoyer après autant d’intimité, je pouvais la tutoyer
On échangeait tout en se caressant, tout en profitant de ce moment sensuel, je la regardais allant de son visage à sa nudité offerte devant moi. L’instant était d’une douceur et connivence extrême, je ressentais avec émotion sa féminité, ses gestes, sa voix apaisée et reconnaissante, son attitude enveloppante et maternante par moment, je vivais un instant de bonheur intense. Après l’avoir resservie de champagne elle s’approcha de moi en posant sa flûté et prenant la mienne en disant
- Allonge toi Titouan ! Se reculant pour me laisser la place et s’agenouillant pour installer les oreillers comme pour m’inviter à m’installer sur le dos
Je m’allongeais sans résistance, je la regardais sentant son désir dans ses yeux et sa douceur attendrissante. Elle restait assise les fesses sur ses chevilles, commençant à caresser mon torse, mon ventre sans toucher mon sexe en légère érection qui retombait sur mon bas ventre. Elle se penchait sur moi embrassant mon visage de petits baisers laissant ses seins pendre en effleurant mon épaule. Elle parcourait mon visage, mon cou, mon torse de baisers accompagnés de petits bruits de claquement, tout en me caressant avec ses seins lourds, les faisant glisser sur mon corps. Elle passait ses bras de l’autre côté de mon torse, sur le côté, l’image de la femme à 4 pattes, sa poitrine pendante venait me caresser comme un massage sur tout le corps. Je fermais les yeux, les ouvrais pour profiter de son corps sensuel, elle évoluait lentement en accompagnant ses caresses maméliques de baisers furtifs. Je ressentais une telle sensualité dans ces caresses, un tel désir de me donner du plaisir. Je pouvais voir son fessier onduler au rythme de ses caresses, ma main remontait sur l’arrière de ses cuisses allant jusqu’à dessiner le galbe de ses fesses, suivant la ligne de sa raie des fesses sur toute sa longueur. Ses caresses descendaient petit à petit sur mon bas ventre faisant redresser mon sexe qui butait contre ses seins. Elle ondulait encore plus comme pour commencer à me masturber avec ses seins jusqu’a laisser sa poitrine enfourcher mon sexe en déposant ses lèvres sur ma hampe. Elle ouvrait ses lèvres les faisant coulisser le long de ma queue qui se dressait en durcissant à nouveau comme une hampe. La sensation de ses lèvres, de ses seins me faisait planait au point de ne plus savoir exactement comment ni de quelle manière elle s’occupait de mon sexe, ses seins me donnaient l’impression d’être des mains, je n’avais jamais ressenti de telles caresses. A mon tour je savourais le plaisir qu’elle me donnait en gémissant tout doucement, fermant les yeux ou profitant de sa croupe à demi tournée vers moi. Je bandais comme un taureau en sentant ses lèvres glisser sur mon sexe, mon index glissait sur son petit orifice appuyant par moment au gré de ses mouvements. Mon doigt se faisait de plus en plus insistant au rythme de sa bouche, elle continuait à caresser et masser mon bas ventre avec sa poitrine tout en me suçant langoureusement. Mes doigts caressant sa raie jusqu’à ses lèvres mouillées d’excitation, petit à petit je la sentais venir s’appuyer sur mon doigt qui glissait tout doucement en elle, jusqu’à la pénétrer entièrement par l’anus
J’étais excité comme jamais, sa bouche me suçant, ses seins me massant, son fessier mature qui s’approchait en se tournant vers moi, je n’en pouvais plus de désir, d’excitation, de frissons. Elle me procurait un plaisir inconnu jusqu’alors, mes fantasmes rejaillissaient en sentant sa croupe onduler sur mon doigt. Je rapprochais ma tête de sa cuisse en glissant ma main entre ses cuisses voulant qu’elle m’enfourche, je l’avais imaginé à maintes reprises assises sur mon visage, ce fantasme qui m’était venu le 1er jour en voyant son fessier quand elle allait se baigner. J’étais sur le point de le réaliser, avoir la sensation de son cul mature recouvrir mon visage et lui donner du plaisir en m’enfouissant dedans. J’essayais de me glisser entre ses cuisses, tout en me concentrant pour ne pas éjaculer tellement sa bouche et ses caresses me procuraient du plaisir, je sentais la jouissance monter mais je voulais à mon tour lui donner du plaisir, peut-être lui faire découvrir cette position qu’elle n’avait jamais osé. Je me contractais en mordant ma lèvre inférieure pour me retenir tout en soulevant sa cuisse qui cédait à mon invitation. Je me faufilais dans son intimité, la tête entourée de ses cuisses charnues, elle en profitait pour lâcher mon sexe et faire glisser ses seins en enfilant ma queue tendue dans le sillon de ses seins, le gardant au chaud sans sa poitrine pendant que mes mains se posaient sur ses hanches en exerçant une pression vers le bas pour l’attirer sur ma bouche. Ses cuisses m’empêchaient de l’entendre mais je sentais les vibrations manifestant sa surprise quand j’enfouissais avec gourmandise mon visage tout entier dans sa chatte ouvertes, ma langue allant et venant lentement entre ses lèvres et son anus dans lequel je m’attardais. Je l’attirais sur moi à m’en étouffer je pouvais ressentir son plaisir quand elle abandonnait mon sexe, lui donnant un temps de répit pour redescendre ma jauge proche de l’éjaculation. Je continuais à l’attirer sur moi jusqu’à ce qu’elle se redresse pour finir assise sur mon visage. Mon nez, ma bouche, mon front tout mon visage était recouvert, son bassin commençait à se frotter sur moi, mes mains lâchaient leur emprise pour la laisser se masturber sur mon visage et remontaient sur ses seins en les agrippant fermement. J’étais dans le noir total, cherchant par moment à reprendre une bouffée d’air à chacun de ses mouvements me laissant un filet d’air, elle ouvrait largement ses cuisses comme pour mieux me sentir, elle se frottait en gémissant plaquant ses mains pour presser ses seins à travers les miennes, ses mouvements s’amplifiaient en s’accélérant, je le sentais proche de l’orgasme, ses cuisses se resserraient sur mes tempes, ses doigts se crispaient sur les miens presque à me griffer et dans un nouveau cri aigu elle se leva en se tordant de jouissance. 
Je pouvais voir son entrecuisse couvert de ma salive, de sa cyprine, ses poils collés et sa raie humide de notre excitation, j’en jouissais presque en vivant cette émotion qui faisait cogner mon coeur dans ma poitrine 
Je ne bougeais pas, je caressais ses flancs, ses fesses comme si je la rassurais, comme si je la remerciais de cette émotion, de ce plaisir qu’elle me procurait à se donner aussi intensément, de ce moment que je découvrais en même qu’elle. Après quelques instants, elle leva sa cuisse pour se laisser tomber sur le dos, épuisée par l’orgasme qu’elle venait de vivre. Son souffle était court, elle tournait la tête vers moi en posant sa main sur front 
- Oh mon bébé d’amour ! Mais qu’est-ce que tu m’as fait ? Comme si elle vivait pour la 1ere fois une telle jouissance
- Tu es sublime Julie, tu m’excites tellement si tu savais ! Répondais-je avec sincérité, j’entendais l’émotion dans ma voix
Elle se tournait vers moi, et plongeait son visage sur moi en le serrant entre ses mains pour m’embrasser avec une gourmandise pleine de passion. Mon sexe était encore dressé, lui aussi sous le coup de l’émotion, il s’était retenu lui aussi. Je sentais ce second souffle comme lorsqu’on sent que l’éjaculation va tenir encore quand Julie entourait mon sexe de sa main pour l’activer, pour continuer cette communion de nos corps, de nos plaisirs, de l’amour qu’on se donnait dans son lit. Elle quitta ma bouche en me regardant attendrie et reprenant son air doux et enveloppant pour me susurrer à l’oreille
- J’ai envie de toi mon bébé ! Sans attendre ma réponse elle m’enfourcha, gardant mon sexe dans ma main et s’asseyait cuisses ouvertes sur mon dard, commençant à se frotter dessus jusqu’à ce que mon gland pénètre ses lèvres lubrifiées par le désir. Elle se penchait sur moi en même temps, m’offrant sa poitrine, elle m’enveloppait de son corps, ses cuisses, je m’enfilais en elle pendant qu’elle me couvrait de baisers en me disant
- Laisse toi faire mon bébé, j’ai envie de te sentir en moi ! 
Comment résister à tant de douceur, tant de sensualité, à sa poitrine qui venait narguer ma bouche, et ses mouvements de bassin qui avalaient ma queue dressée en elle. Je posais mes mains sur ses fesses, accompagnant ses mouvements, mes doigts se crispant dans sa chaire. Tout son corps se mettait à bouger, à balloter au rythme de notre accélération, nous faisions l’amour comme un couple légitime, comme 2 amoureux qui partagent leur intimité. Après moins de 5 minutes de cette copulation, ses seins tressautaient, je secouais ses fesses qui claquaient sur mes cuisses, nos gémissements se mélangeaient et la jouissance montait de plus en plus fort ensemble jusqu’à ce que mon éjaculation explose en elle d’un jet continu provocant un râle bruyant de ma part immédiatement suivi d’un nouvel orgasme.
Fin de l'histoire
Une suite peut-être un jour selon l'inspiration ?!!!
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jeanchrisosme · 9 months
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Mi-femme, mi-enfant. Avec elle, vous pourriez manger des bonbons pendant des heures ou lui faire l’amour toute la nuit. Elle était de celles qui, quand elle te regardait, te regardaient avec son âme, Une de celles qui, si elle vous souriait, le faisait avec toutes les parties de son corps. Elle était de celles à qui l’on pouvait parler pendant des heures, la caresser, Elle ne se lasserait jamais d’attirer un peu d’attention. Mais elle se cachait toujours, Elle se cachait dans ses fragilités, dans ses silences. À l’intérieur de ses pupilles, il y avait de l’amour, Un tsunami d’amour qu’il voulait donner, mais que personne ne voulait. Vous connaissez ces étoiles qui brillent de leur propre lumière ? Ceux qui pourraient éclairer une galaxie entière, Ceux qui, si vous les touchez, vous brûlent mais vous ne pouvez pas vous empêcher de les regarder Et tu voudrais les toucher, Et vous aimeriez les serrer dans vos bras. On ne rencontre des gens comme elle qu’une fois dans sa vie. Et il faut être vraiment stupide pour la faire fuir. Ou vous pouvez l’admirer de loin, Vous pouvez aimer ses traits, ses lèvres, ses yeux. Vous pouvez admirer la façon dont il illumine tout ce qui l’entoure, Vous pouvez admirer tout ce qui est. Parce que quelqu’un comme elle, ou la serrer contre toi toute ta vie, ou le regretter pour toujours.
Charles Bukowski
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Je me souviens d’hier où j’étais amoureux, Dans le plus grand secret d’une fille aux yeux bleus, Qui habitait tout près l’immeuble d’à côté, Et qui me fascinait par sa fraîche beauté. Elle me connaissait, nous nous croisions souvent. Quand elle apparaissait, je partais en courant Contourner le quartier, et feignant le hasard, J’allais à sa rencontre au bout du boulevard. Je connaissais son nom, elle s’appelait Lise. Il m’a fallu du temps avant que je lui dise Que nous étions voisins et qu’on pourrait peut-être, Echanger quelques mots, chacun à sa fenêtre. J’avais seize à peine, elle était de mon âge, J’avais pu lui parler un jour de grand orage, Mon parapluie aidant, j’avais eu ce courage, Ma main qui le tenait effleura son visage. Il faisait assez bon mais elle frissonna, J’ôtais mon cache col, elle s’en protégea. Puis lorsqu’on se quitta,elle dit à ce soir. Sa fenêtre plus tard s’éclaira dans le noir. Dès après le dîner, j’avais pris position, Un bouquin à la main, révisant mes leçons. Sur un banc dont j’avais réglé l’orientation, Pour qu’en face elle fut dans mon champ de vision. Dans la clarté son ombre m’apparut enfin. Elle eut sur le visage un sourire mutin. Quand elle laissa pendre, accrochée à sa main, Balayée par le vent mon écharpe de lin. C’était à une époque où à l’adolescence, Les tout premiers émois avaient une importance Que les jeunes aujourd’hui ne peuvent pas comprendre, Il leur suffit d’un clic, inutile d’attendre !Dans la clarté son ombre m’apparut enfin.
A l’époque, on s’aimait, aujourd’hui on se kiffe. S’il faut attendre un peu, le mâle se rebiffe. Il ne fait plus la cour, il envoie des memos, Dont je vais m’efforcer de traduire les mots. La femme est une meuf… il fallait l’inventer ! C’est écrit à l’envers… pas de quoi s’épater. Mais le flic est un keuf… ça ne va pas coller. Ah ! Mais oui c’est normal… ils insultent en anglais ! Savent-ils seulement ce qu’est le romantisme ? Et peuvent-ils aimer de Musset le lyrisme ? Eux qui apprécient tout à travers le seul prisme, D’une réalité marquée par le cynisme. Réagissons enfin, comme on livre une guerre, A tous ces barbarismes arrivés d’Outre-mer, Et défendons ce bien dont nous sommes si fiers, Ce chef-d’oeuvre en péril, la langue de Molière…
Henri Zenati ( notre langue se meurt - 2017)
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ladyniniane · 14 days
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Coucou ! :D Pour le jeu des questions de l'alphabet : B, D et Z si ça ne te gêne pas pour l'univers qui t'inspire le plus ? Merci beaucoup d'avance !
Alphabet ask game
Coucou et merci pour les questions :) J'ai répondu avec plusieurs univers du coup !
B - A pairing–platonic, romantic or sexual–that you initially didn’t consider, but someone changed your mind.
Typiquement Sylvain/Marianne. J'ai découvert ce couple via de beaux fanarts sur Tumblr et je me suis dit "mais attends, ils se parlent ces deux-là ?". A cette époque j'en étais restée à Sylvain = Chad et il faut dire que quand tu rentres dans un restaurant comme celui-ci, la nourriture est peut-être délicieuse mais la déco ne donne pas très envie d'aller plus loin. Du coup je ne savais même pas qu'ils avaient un soutien commun.
J'ai donc lu leur soutien, que j'ai trouvé super mignon, et qui m'a permis de voir Sylvain sous un autre angle. Ensuite, j'ai lu les quelques fics les concernant (et heureusement, il y en a des bonnes). Ce qui fait qu'aujourd'hui c'est un de mes couples préférés du jeu !
Il y a aussi le couple Léonie/Marianne pour lequel des fanarts ont également attiré mon attention.
D- A pairing you wish you liked but just can’t.
C'est rare pour moi d'avoir ce genre de ressenti. Avec les ships c'est soit j'aime/indifférent/j'aime pas/je déteste mais je me dis rarement "mais ce serait tellement mieux si j'aimais" vu que je n'ai pas forcément envie d'apprécier quelque chose qui me rebute.
Cela dit, il y a des exceptions à la règle et c'est en général quand le couple officiel pour un personnage que j'apprécie ne me satisfait pas. Notamment :
-Léanne/Naesala. Leurs designs se complètent bien, ce sont tous les deux des personnages intéressants/sympathiques bien que dans un genre différent. Mais pour moi, ça ne le fait juste pas. Je n'apprécie pas vraiment cette dynamique de "homme roublard, sombre et torturé/femme innocent et angélique qui va lui permettre d'exprimer sa part d'humanité". Je préfère quand les deux personnages ont les mêmes aspérités. Surtout que Léanne est restée longtemps endormie donc elle a bien moins d'expérience du monde. J'aurais aimer pouvoir mettre Naesala face à quelqu'un ayant autant de bouteille que lui.
-Eowyn/Faramir dans le Seigneur des Anneaux : j'apprécie les deux personnages séparément, mais ensemble ça ne le fait pas du tout. Pourtant, je sais qu'ils ont tout pour être heureux et Tolkien les décrit ainsi, mais ça ne passe pas. Tout tient dans la manière dont ce couple est amené, avec Faramir qui montre la lumière à Eowyn qui abandonne ensuite la pratique des armes. J'ai écrit à ce sujet de manière plus détaillée ici.
Pour moi, une bonne fin pour Eowyn serait qu'elle soit réellement récompensée et considérée pour sa victoire. Qu'elle puisse par exemple diriger ses propres terres et veiller sur ses gens, les protéger et les guérir, sans forcément poser ses armes.
(Ce qui me rappelle que j'avais imaginé un scénario Faramir/OC avec une sorcière nommée Marylla. Beaucoup de gens trouveraient ça hérétique, mais moi je n'ai peur de rien).
Z- Just ramble about something fan-related, go go go! (Prompts optional but encouraged.)
Prendre mes distances avec le fandom FE3H de manière globale m'a fait énormément de bien. Je n'ai pas beaucoup de points de comparaison, mais je ne l'ai pas trouvé très accueillant et franchement drainant par moments.
Entre le harcèlement pour une waifu en pixel, les anons style TJ, le racisme, l'apologie de la guerre et du génocide, ceux qui prennent leurs headcanons pour une réalité, ceux qui veulent te forcer leur ship parce que tu es une horrible personne si tu n'aimes pas et que c'est trop le seul le vrai (on le rappelle, ce jeu a plusieurs options officielles), la misogynie plus ou moins décomplexée (dans ce fandom, des gens se sentent à l'aise pour poster sur Tumblr que "en Faerghus il n'y a pas d'homophobie et les identités de genre sont acceptées, par contre on préfère que les femmes se tiennent à leur place" sans même y réfléchir à deux fois...Je suis effarée de voir combien certains n'arrivent même pas à considérer les femmes comme des êtres humains. Visiblement c'est trop d'effort. Et le pire, comme on en discutait, c'est que beaucoup d'entre eux ne voient sans doute pas le problème dans ce qu’ils écrivent) la glorification de proches abusifs et de violeurs (coucou Tiana et Miklan), l'ambiance franchement étrange/hostile pour ceux qui écrivent du OCxCanon (et là j'ai un point de comparaison avec un autre fandom)...
Bref, voilà. Ce qui rappelle qu'on a toujours le pouvoir de couper court et de se sortir d'une situation qui ne nous plait pas.
ça m'a été très bénéfique parce que ça m'a permis de me recentrer sur du positif et sur pourquoi j'aime cet univers. Surtout que j'ai aussi rencontré des personnes très sympathiques (dont toi) donc ça en valait la peine. Parfois, l'audience dont on a besoin c'est juste les 3 bonnes personnes et c'est très bien.
Je remercie de nouveau tous ceux qui ont pris la peine d'interagir ou de laisser des commentaires. J'aime beaucoup les relire parfois et ils ne manquent jamais de me faire sourire <3.
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Il y a quelquefois, très souvent même, disons la plupart du temps, une comédie de l'amour qui vaut pour presque tous les couples. Et ce sur ce point aussi j'ai changé d'avis, beaucoup. La plupart des gens restent ensemble soit parce qu'ensemble on a moins peur, soit parce qu'on vit mieux avec deux salaires qu'un seul, soit à cause des enfants, soit pour beaucoup de raisons qu'on ne tire pas au clair, mais qui témoignent d'un choix, même s'il est irraisonné, et d'une prise de position claire même si elle est difficile, sinon impossible à exprimer.
" Vous ne pouvez pas le comprendre", disent-ils. Ou : " Je ne sais pas moi-même ce qui me fait rester là, mais je ne peux pas faire autrement."
Ce ne sont pas des gens qui s'aiment, ces gens, mais c'est déjà de l'amour qu'il y a entre eux. [...]
Parfois on est horrifié par certains couples : l'homme est grossier, bestial, la femme se plaint à qui veut l'entendre d'endurer un enfer.
On se trompe souvent sur ces couples-là.
C'est le théâtre de l'amour qu'on croit extérieur à l'amour et c'est souvent faux.
Quand Bernard Pivot m'a demandé ce qui m' avait retenue auprès de cet amant chinois, j'ai dit : L'argent. J'aurais pu ajouter : le confort sidérant de l'automobile qui était un véritable salon. Le chauffeur. La libre disposition de l'auto et du chauffeur. L'odeur sexuelle du tussor de soie, de sa peau à lui, l'amant.
Ce sont des mises en condition d'aimer si vous voulez. Je l'ai aimé, après que je l'ai quitté, très exactement sans doute au moment où on m'a parlé du suicide de ce jeune homme, de cette disparition dans la mer. J'ai dû le savoir là, au milieu du voyage.
Je crois que l'amour va toujours de pair avec l'amour, on ne peut pas aimer tout seul de son côté, je n'y crois pas à ça, je ne crois pas aux amours désespérées qu'on vit solitairement.
Il m'aimait tellement que je devais l'en aimer, il me désirait tellement que je devais l'en désirer.
Ce n'est pas possible d'aimer quelqu'un à qui vous ne plaisez pas du tout, que vous ennuyez, totalement, je ne crois pas à ça.
Marguerite Duras, La Vie matérielle.
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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