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collageofnudes · 6 months
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Anastazja by Anre Vue
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ellager-memorial · 1 year
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Ola | Łódź, Łódzkie, POL | 0 | by AnreVue (Anre Vue)
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entomoblog · 8 days
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Dans la métropole de Lyon, 86 % des habitants se plaignent du moustique-tigre
See on Scoop.it - EntomoScience
Après avoir interrogé 4 000 personnes de la Métropole de Lyon sur le moustique tigre, les chercheurs du projet ANR SERIOUS ont dévoilé les résultats de leur enquête à la mi-septembre.
  17 septembre 2024 À 13:41 - Mis à jour À 13:54
par Laurette Duranel
  "Ils sont la bête noire de l'été, de tout-petits insectes très discrets qui piquent de jour comme de nuit et ruinent vos moments de détente à l'extérieur... Depuis leur arrivée dans l'Hexagone en 2004, les moustiques tigres prolifèrent à vue d'œil, y compris dans la métropole de Lyon. C'est justement sur ce territoire que plusieurs chercheurs de l'Agence nationale de recherche, des universités Lyon 1 et Lyon 2 ou encore du laboratoire d'Ecologie Microbienne ont lancé une enquête sur le moustique tigre.
Des stratégies de protection inefficaces
Sur les 4.000 personnes ayant répondu à l'enquête entre octobre 2023 et février 2024, 86% se disent gênés par le moustique tigre et 83% disent agir contre le moustique tigre. Ils décrivent des stratégies de protection personnelle comme l'usage de vêtements couvrants, la fermeture des fenêtres ou encore l'utilisation de spray et crèmes répulsifs.
  Or, pour contrôler et réduire les populations de moustiques tigres, ce ne sont pas des gestes individuels qu'il faut mais bel et bien "une mobilisation collective", insiste le rapport. Concrètement, si une personne vide les récipients d'eau stagnante régulièrement mais que son voisin ne le fait pas, les moustiques tigres continueront de progresser, car ceux-ci vivent dans un rayon de 200 mètres autour de leur lieu de naissance. Mais peu de personnes le savent et seulement 43% des sondés indiquent discuter avec leurs voisins de solutions à mettre en place collectivement.
Encore des méconnaissances sur les risques de santé
L'autre conclusion de l'enquête, c'est le "fort besoin d'information" des habitants du Grand Lyon. En effet, seulement 39 % se sentent suffisamment informés sur les bonnes pratiques et sur les risques sanitaires.
  Résultat, seulement 2 personnes sur 10 savent que le moustique tigre peut transmettre les virus de la dengue, du chikungunya et zika."
(...)
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NDÉ
Le projet
  Les risques sociaux et environnementaux comme facteurs d'émergence des maladies transmises par les moustiques vecteurs en milieu urbain | ANR https://anr.fr/Projet-ANR-22-CE35-0009
  [Image] Moustique-tigre, l’enquête https://tt.univ-lyon2.fr/medias/fichier/projet-serious-depliant_1695898247250-pdf
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azveille · 5 years
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Le troisième plan Maladies rares convainc un an après son lancement
La mobilisation se poursuit dans le champ des maladies rares avec le troisième plan national. Depuis son lancement il y a un an, les réalisations s'enchaînent. La relabellisation des filières, menée en priorité, se veut fondatrice d'autres actions sur les réunions de concertation pluridisciplinaire ou les analyses génomiques par exemple.
Il y a de cela un peu plus d'un an était lancé le troisième plan national Maladies rares (PNMR 3), dans l'objectif d'améliorer les connaissances, la prise en charge et la qualité de vie des 3 millions de personnes atteintes de maladies rares. À l'occasion de la sixième édition des rencontres des maladies rares organisées ces 5 et 6 novembre à Paris, un état des lieux a été dressé par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, à la tribune et par différents représentants institutionnels et opérationnels lors d'une table ronde. "Le rapport annuel du comité stratégique sera mis en ligne dans les prochains jours et nous pouvons d'ores et déjà en être fiers", a déclaré la ministre. Car cette première année de réalisation, a-t-elle précisé, confirme que ce troisième plan donne collectivement un nouveau souffle à cette lutte.
La connexion en cours entre le troisième plan national Maladies rares, le plan France médecine génomique 2025 et les filières santé maladies rares doit apporter des résultats concrets aux malades car 50% d'entre eux restent sans diagnostic malgré l'accès à la médecine génomique. Marie-Pierre Bichet, vice-présidente de l'Alliance maladies rares
Priorité aux filières pour coordonner
La ministre a insisté sur trois points en particulier : les efforts de structuration, les travaux pour réduire l'errance diagnostique et les avancées en matière de recherche et d'accès à l'innovation. Choix a notamment été fait de donner la priorité aux filières de santé maladies rares pour coordonner les actions et éviter les dispersions. Une des premières actions de ce plan a donc consisté en une deuxième campagne de labellisation de ces filières forte d'un financement de près de 65 millions d'euros (M€) sur cinq ans. Et elle se veut fondatrice de nombreuses autres actions : définition des indications pour une analyse du génome, organisation de réunion de concertation pluridisciplinaire d'amont, formation des professionnels de santé.
Les filières sont satisfaites de leur reconnaissance mais sont aussi inquiètes de disposer effectivement des moyens financiers et humains pour remplir leurs missions. Jean Pouget, vice-président santé du comité opérationnel du PNMR 3
Depuis le printemps 2019, quatre autres appels à projets ont été lancés, avec la vocation d'harmoniser les parcours de diagnostic et les prises en charge à travers les protocoles nationaux de diagnostic et de soins. Ils ambitionnent aussi de coordonner les acteurs sur les territoires par des plateformes d'expertise maladies rares, avec quatre projets en outre-mer, et de placer le malade au cœur des parcours de soins en soutenant des programmes d'éducation thérapeutique du patient. L'ensemble de ces appels mobilise près de 7 M€. Et cette structuration porte ses fruits puisque la France coordonne à mars 2019 huit des vingt-quatre réseaux européens de référence maladies rares existant. Sans revenir sur la polémique relative aux crédits de mission d'intérêt général attribués aux centres de référence maladies rares mais détournés par les établissements vers d'autres finalités, la ministre a par ailleurs indiqué conforter les financements spécifiques des missions de recours des CHU.
Place au temps de l'adressage aux plateformes
Où s'arrête le diagnostic ? Où débute la recherche ? C'est un vrai challenge. Damien Sanlaville, généticien et responsable de la plateforme Auragen
S'agissant de l'errance diagnostique, objectif phare du PNMR 3, les chiffres ont été rappelés : la moitié des personnes atteintes de maladies rares n'ont pas de diagnostic précis, et le temps moyen entre les premiers symptômes et le diagnostic est de dix-huit mois. Soit une perte de chance considérable. Ici donc interviennent les RCP en vue de sécuriser les diagnostics, ainsi que les plateformes de séquençage haut débit du plan France médecine génomique 2025 (PFMG 2025), conçues d'emblée pour être intégrées aux soins et pour deux d'entre elles opérationnelles depuis cette année. Il aura certes fallu quatre ans pour que les premiers échantillons de malades y soient envoyés et analysés mais un temps nécessaire pour obtenir les autorisations d'activités auprès des ARS et les accréditations qualité requises pour un tel exercice, a soutenu Damien Sanlaville, généticien et responsable de la plateforme Auragen aux Hospices civils de Lyon (Rhône). "Depuis mars 2019, les deux plateformes s'articulent avec les filières maladies rares pour organiser le parcours de soin propre à chaque pré-indication d'analyse génomique", a rappelé Agnès Buzyn. Comme recensés dans le dernier bilan du PFMG 2025, quatorze pré-indications ont été validées dont neuf pour des maladies rares. Mais la ministre d'annoncer un possible doublement de ce nombre dans le champ des maladies rares d'ici la fin de l'année. Il faudra tout de même renforcer le lien avec les filières pour un meilleur adressage des patients, a pointé Damien Salanville, qui déplore actuellement un manque. Agnès Buzyn mise aussi sur la mise en place du collecteur analyseur de données. "L'évaluation du projet final est en cours par le secrétariat général pour l'investissement et des experts internationaux s'agissant d'un financement dans le cadre du programme investissements d'avenir", a-t-elle annoncé.
Il faut trouver la bonne place du génome dans le diagnostic. [...] Le multi-omique, c'est une approche du futur. Jean-François Deleuze, directeur du Centre national de recherche en génomique humaine
De nouvelles indications et de nouveaux dépistages
Pour lutter contre les pertes de chance, un renforcement rapide des dépistages néonataux est engagé. La nouvelle organisation autour des centres régionaux de dépistage néonatal et le déploiement effectif de nouveaux dépistages au premier trimestre 2020 (pour le déficit en acyl-CoA déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne, Mcad) permettront à la France de rattraper le retard en la matière. Une enveloppe de 3 M€ a été débloquée cette année pour financer des spectromètres de masse au titre de ces dépistages et la Haute Autorité de santé (HAS) est saisie pour étendre les indications. L'agence rendra d'ailleurs d'ici la fin de l'année un avis sur le dépistage du déficit immunitaire combiné sévère et d'autres erreurs innées du métabolisme ainsi que sur l'extension du dépistage de la drépanocytose à la métropole. Mais la ministre d'insister sur le fait de ne pas inscrire cette mission dans le cadre de la loi de bioéthique comme elle l'a expliqué lors de l'examen du texte devant les parlementaires.
Enfin, concernant la recherche, avec le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, il sera question d'évaluer de nouvelles stratégies de prise en charge au niveau européen avec le lancement en janvier dernier de l'European Joint Program maladies rares (EJP). Dans ce cadre, un premier appel à projets a été lancé par l'Agence nationale de la recherche (ANR) à hauteur de 3 M€ et les résultats seront connus prochainement. En parallèle en 2019, un budget supplémentaire de 2 M€ par an sur cinq ans a été consacré par l'ANR aux recherches translationnelles sur les maladies rares. Un engagement qui a permis le soutien de treize projets cette année, soit quatre de plus qu'en 2018. Le programme de recherche sur les impasses diagnostiques est quant à lui en cours de cadrage, sous la coordination de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Et l'entrepôt des données de santé de la banque nationale de données maladies rares a obtenu le 5 septembre dernier l'autorisation de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Enfin, a terminé Agnès Buzyn, des travaux ont été entamés en juillet dernier avec la HAS et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé en vue de proposer des aménagements aux dispositifs des autorisations et recommandations temporaires d'utilisation (ATU et RTU).
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fizimedia · 6 years
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RDC : Plaintes en vue contre Kalev
RDC : Plaintes en vue contre Kalev
Des défenseurs congolais des droits de l’Homme ont annoncé ce mercredi 20 mars leur intention de poursuivre en justice l’ex-patron du renseignement, entre autres pour « détention arbitraire » et « tortures », au lendemain de l’annonce de son remplacement par le nouveau président de la RD Congo.
Des ONG accusent Kalev Mutond d’avoir fait de l’Agence nationale de renseignement (ANR) une « police…
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#TogoLeaks Confidentiel Le pseudo #AvouanTheBoss et le site #Icilomé groupe EXIN COM Basé au #Québec Canada et au #Togo dans le viseur de la police française ! Commission Rogatoire en vue ! #Québecor Média #ANR #MenacesDeMort #Espionnage #Hacking
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Canada Tél : +1 514 592 6959
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droitaerien · 7 years
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Azur Drones ausculte les falaises normandes
https://www.aerobuzz.fr/breves-aviation-generale/azur-drones-ausculte-les-falaises-normandes/ En tant que partenaire du projet Ricochet, Azur Drones a été commandité par l’Agence Nationale pour la Recherche (ANR), pour réaliser des prises de vues et des modélisations 3D des falaises côtières de la Normandie afin de prévenir et anticiper les risques naturels. Le projet Ricochet a pour objectif de réaliser une évaluation globale des territoires côtiers à falaises de(...) Cet article Azur Drones ausculte les falaises normandes est apparu en premier sur Aerobuzz.
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azveille · 6 years
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La HAS saisie sur la formalisation de la notification des IST aux partenaires sexuels
Le directeur général de la santé (DGS), Jérôme Salomon, a annoncé vendredi avoir saisi la Haute autorité de santé (HAS) pour "préciser les objectifs et les conditions de réalisation de l'accompagnement personnalisé" à la notification formalisée aux partenaires et "développer des outils spécifiques, un référentiel de compétence, de formation et de bonnes pratiques".
Dans un avis rendu public fin mars, le Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS) avait recommandé la mise en place de la notification formalisée aux partenaires, qui vise à inciter les patients atteints d'infections sexuellement transmissibles (IST) à informer leurs partenaires sexuels de leur diagnostic, rappelle-t-on (cf dépêche du 26/03/2018 à 15:27). Selon le CNS, cette démarche serait intéressante non seulement du point de vue de la santé individuelle, car elle favorise le dépistage des partenaires notifiés, mais aussi en termes de santé publique, puisqu'elle contribue à interrompre les chaînes de transmission des infections.
"Sur la base de cet avis, nous devons aller plus loin que d'étudier la faisabilité de la notification formalisée", et "proposer systématiquement aux patients un accompagnement dans cette démarche lors de la découverte d'une IST", a estimé Jérôme Salomon, vendredi lors d'un colloque organisé par le CNS au ministère des solidarités et de la santé.
Le DGS a déclaré engager un "plan d'action" permettant le déploiement de cette procédure, "en priorisant une mise en oeuvre à la demande du patient et en préservant son anonymat". L'introduction de la notification personnalisée aux partenaires "doit se faire dans le strict respect du secret médical, de la nécessaire confidentialité des données de santé et de la protection de la vie privée des patients, et plus largement de l'ensemble des usagers du système de santé", a-t-il ajouté.
Dans le cadre de la saisine, la HAS devra par exemple préciser les IST concernées par la notification formalisée, déterminer les outils spécifiques à mettre en place pour les personnes index et les personnes notifiées, ou encore définir les formations à délivrer ainsi que leur contenu, a complété Jean-Christophe Comboroure, membre du bureau infections par le VIH, IST, hépatites et tuberculose de la DGS.
En tant que membre de la HAS, Catherine Rumeau-Pichon a mentionné l'existence de "deux écueils très importants", soulignant que la notification formalisée aux partenaires ne devait pas constituer un "outil isolé" mais qu'elle devait s'intégrer dans "une séquence totale", afin de conduire au dépistage et au traitement des personnes notifiées, "sinon cela ne sert à rien". De plus, alors qu'il s'agit d'un "sujet éminemment culturel", elle a insisté sur le fait qu'il fallait pouvoir "tenir compte des spécificités et des initiatives locales, et non pas exclusivement de la littérature internationale".
Sur ce point, des réponses doivent prochainement être apportées par une étude de l'Agence nationale de recherche sur le VIH et les hépatites virales (ANRS), menée par Karen Champenois dès début 2019 dans une dizaine de centres. L'objectif sera de déterminer si la démarche assistée est efficace pour augmenter le taux de notification et conduire au dépistage des personnes notifiées, et d'évaluer l'acceptabilité de la procédure auprès des personnes index et de leurs partenaires.
Une mesure source d'inquiétudes
Au cours du colloque, plusieurs points de vigilance relatifs aux conditions de mise en place de la notification formalisée ont été évoqués. Le sujet de la sécurisation des données personnelles, par exemple, a soulevé beaucoup de craintes, notamment dans la mesure où il s'agit de données sensibles. Nacera Bekhat, de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), a souligné que si l'anonymat "est réel envers les partenaires", cela "ne revient pas à dire que l'outil n'opère pas de traitement de données à caractère personnel". L'outil va notamment collecter l'adresse IP ou l'identifiant du terminal, il y a parfois un dépôt de traceurs ou cookies... Il y a donc un "devoir de notification de la collecte et du traitement des données" et il faut recueillir le consentement libre et éclairé des utilisateurs.
Au-delà de ces aspects informatiques, la responsable du Centre gratuit d'information de dépistage et de diagnostic (Cegidd) de Toulouse, Nathalie Spenatto, a attiré l'attention sur le fait que certaines notifications pouvaient être calomnieuses, réalisées "parfois uniquement pour nuire", et a souhaité que l'information puisse être validée par un professionnel de santé.
Elle a également pointé le manque de précision des guidelines relatives à la procédure à suivre lorsque des "partenaires contacts" viennent consulter, et a estimé qu'il était important que la personne ayant été notifiée puisse présenter quelque chose d'écrit au professionnel de santé, "sinon la prise en charge sera inadéquate" et "on ne sera pas productif".
Nathalie Spenatto a en outre souhaité qu'il n'y ait pas de "hiérarchisation inopportune des infections", soulignant que "ce n'est pas forcément les IST que les professionnels de santé considèrent comme étant les plus graves qui sont le plus mal vécues par les patients".
Par ailleurs, considérant que la notification pouvait être quelque chose de "relativement violent, impactant pour la personne", et qu'il existait un "droit à l'ignorance", le médecin généraliste Gérard Israël a estimé qu'il fallait être sur un "mode plutôt volontariste" et obtenir l'accord du patient, que ce soit pour notifier ou pour être notifié.
Il a également souligné l'importance de mettre en place une formation continue des médecins au sujet des IST, de la notification, de la prophylaxie pré-exposition (PrEP) et, éventuellement, du VIH, car selon lui, la très grande majorité des médecins "ne savent pas forcément bien faire". D'autant que "dans la vraie vie, les patients sont loin des Cegidd", a ajouté Nathalie Spenatto, appuyant également l'idée d'une formation spécifique des médecins ainsi que la mise en place d'un numéro vert d'information.
Alors que plusieurs intervenants ont exprimé des craintes quant à une rupture du secret professionnel, le CNS a rappelé s'être appuyé sur ce principe pour avancer sur la notification formalisée du partenaire, et qu'il n'est pas proposé que "les patients autorisent à déroger au secret médical". "On pourrait s'interroger sur la justification d'une dérogation [...] mais le CNS ne recommande pas, aujourd'hui, de se passer du secret médical."
Par ailleurs, il est possible que le terme de "notification" soit modifi��: le juriste Bruno Py, de la faculté de droit de Nancy, a souligné qu'il était "inapproprié", dans la mesure où la procédure ne fait pas référence à un acte juridique mais à des faits.
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