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#Chapelle Notre-Dame-du-Haut
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candle
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Medieval sculptures from the Notre-Dame du Haut chapel, Trédaniel, Brittany region of France
French vintage postcard
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iamfionash · 1 year
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dlyarchitecture · 2 years
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scavengedluxury · 1 year
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Le Corbusier’s Chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp, 1975. From the Budapest Municipal Photography Company archive.
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frenchcurious · 5 months
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Le Corbusier (1887-1965) 1950 - Chapelle de Notre Dame du Haut à Ronchamp, Haute-Saône, France. - source Sameh Shawky.
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À Miribel, il n'y a pas que le lac pour kiffer. Juste à côté, t’as un coin brutaliste construit par l'architecte Louis Mortamet, sur les ruines d'un vieux château dézingué en 1594 par les troupes d'Henri IV. On y trouve la Madone, alias Notre-Dame du Sacré-Cœur, une statue de la Vierge pas comme les autres : la plus grande de France, culminant à 33 mètres. Perchée sur les hauteurs de la Côtière, elle te balance une vue de malade sur Lyon, le Grand Parc de Miribel-Jonage, la plaine de l’Ain, le Jura, et même les Alpes par beau temps. Bâtie de 1938 à 1941 en béton moulé, cette statue a été érigée à la demande du Père Thomas, le curé du coin à l'époque, avec les deniers des paroissien·nes. Tranquille Emile. Elle cache une petite chapelle et un escalier de 151 marches menant à une plateforme dans sa couronne. Pas mal pour un peu de cardio. Juste à côté, tu peux pas rater le campanile du carillon du Mas Rillier. Un beffroi de 28 mètres de haut en pur béton, construit en 1945, abritant 50 cloches, de la plus petite de 10 kg à la plus lourde de 2157 kg, toutes inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Encore un projet du Père Thomas, qui voulait guider les pèlerins jusqu’à la Madone avec un peu de musique (et toujours avec les économies des paroissien·nes). Le carillon est mondialement connu pour son acoustique de folie. Le premier concert a eu lieu en 1947, dirigé par le Maître Carillonneur Maurice Lannoy et depuis, ça continue de sonner toute l'année, les 1er samedis et dimanches de chaque mois.
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olympic-paris · 18 days
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Le Corbusier, Chapel Notre Dame du Haut
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darquitectura · 2 years
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Le Corbusier, Chapelle Notre-Dame-du-Haut, Ronchamp, 1953-55 
Photo Charles Bueb
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Le Corbusier
Chapelle Notre-Dame du Haut Ronchamp, France 1955
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ronchamp
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mirabile---visu · 1 year
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Le Corbusier - Notre-Dame du Haut / Chapelle Notre-Dame du Haut - built in 1955
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iamfionash · 1 year
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promenadearchi · 2 years
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L A C I T E F I N A N C I E R E
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Il y a maintenant deux ans, lors d’une promenade dans le Plateau (centre des affaires économique d’Abidjan) mes yeux butaient sur un édifice que je n’avais jusque-là jamais remarqué. Il tranchait avec les bâtiments de style international autour de lui. Fait de ciment imitant la pierre, et de petites ouvertures, sa massivité semblait dire beaucoup ; comme son nom : la Cité Financière. Depuis cet Echange visuel, je n’ai cessé d’être intrigué par son histoire.
Dans les années 50, la Côte d’Ivoire alors colonie Française, se prépare à entrer dans l’ère nouvelle des indépendances. A cet effet, la ville choisie comme capitale, Abidjan, se met au goût de la modernité. Commence alors de grands chantiers architecturaux sensés donner un visage moderne à la ville, et accueillir les futures institutions de la nouvelle République. Sorte ainsi de terre: ponts, grattes ciels et grands axes structurant. Pendant près de 30 ans, des années 50 aux années 80, les conjectures économiques semblent être à la faveur de la Côte d’Ivoire. Ce boom économique, le Miracle Ivoirien, permet de soutenir les politiques de développement du pays. On assiste alors à une urbanisation rapide et programmée de la capitale qui donne à la côte d’ivoire son surnom d’African Riviera.
C’est au cours de ce miracle ivoirien, entre 1973 et 1976 que l’architecte Henri Chomette conçoit  la Cité Financière, qui a pour but de réunir dans un même édifice la totalité des services financiers du pays. La Cité est située dans le centre-ville d’Abidjan: le Plateau. Elle regroupe sur une surface de 54 600 mètres carrés, trois volumes, dont une tour de vingt-et-un niveaux reliée par une passerelle à un immeuble de bureaux de douze étages. Au sol, on retrouve un volume hémisphérique chargé de motifs coloré qui sépare l’accueille d’un auditorium.
Une communication avec l’international
A la manière des immeubles modernes, le bâtiment conserve une forme conventionnelle. Il emploie pour cela les formes géométriques simples: rectangle, carré et cercle agencés en plan suivant le nombre d’or. Ces formes s’inscrivent dans une logique de fonctionnalité, maitres mot des aspirations modernes.
Sur l’ensemble de l’édifice, on peut aussi lire 4 des 5 points de l’architecture moderne :
Toit terrasse, les fenêtres en bandeau, la façade libre et les pilotis. L’usage de tel éléments pourrait paraitre trivial, vu qu’on a déjà mentionné la volonté résolument moderne dans laquelle s’inscrit l’édifice. Mais cela serait le cas si on ne mentionnait pas les ouvertures dans une des façades donnant sur le parking. Celles-ci apparaissent comme une communication directe avec la Chapel Notre-Dame-Du-Haut de Ronchamp conçut par Le Corbusier quelques années plus tôt. Tout en confirmant l’essence Corbuséen de cette cité, elle pourrait aussi être une manière de transposer le sens de l’édifice à une dimension supérieure.
Aussi, cette appartenance au mouvement moderne pourrait se faire avec d’autres édifices. Je pense notamment à la Johnson Wax Research Tower de Franck Lloyd Wright ou la New Zealand House à Londres qui jouent aussi sur les lignes horizontales pour faire valoir l’esthétique de leurs formes.
Enfin pour finir sur une note un peu plus poétique, je dirais même que la régularité des trames horizontales sur les façades pourrait servir d’analogie. Elles pourraient induire le dynamisme des fluctuations dans le monde des finances ou alors l’ordre qui ceinture tout ce dynamisme interne.
Une mini-ville
Comme dit plus haut, la forme sert à la fonction. Elle permet de pouvoir réguler, organiser les bureaux et véhicule l’idée d’organisation. Cette organisation, elle est essentielle tant dans le domaine des finances qu’au sein d’une cité qui regroupe des personnes de divers horizons.
Car comme le dit explicitement le nom, l’édifice est une cité. Et ce n’est peut-être pas pour rien qu’elle se pare d’éléments qui tendent à assoir ce statut.
Déjà l’organisation de l’ensemble. Le complexe de bureau lui-même s’organise somme une grande fourmilière. Les bâtiments posés suivant les tracés du nombre d’or tournent autour d’un dôme qui tend à rappeler une sorte de carrefour des axes de circulation du bâtiment. De plus, l’intérieur, aménager comme des galeries, temps à rappeler une idée de galerie interne, ce qui isole encore plus le bâtiment du monde qui l’entoure. Là où les architectes auraient pu jouer sur l’idée d’un atrium ouvert sur la rue, il préfère l’idée de l’intimiste et du privé. A cela viennent s’ajouter les multiples références aux travaux du Corbusier qui pourrait nous rappeler l’expérience de la Cité Radieuse de Marseille avec qui le complexe partage un objectif commun ; celui de faire vivre le plus de personne possible sur un même espace réduit.
En poussant la réflexion et la poésie plus loin, on pourrait voir dans les ouvertures nord (celles rappelant la chapelle Notre-Dame-du-Haut) la scénarisation d’une entrée dans un monastère pour tous les travailleurs qui deviennent alors des hommes d’église. Si on poursuit en ce sens, on constate aussi que cette entrée correspond à l’immeuble le moins haut des trois centraux. On voit alors apparaitre un mouvement giratoire croissant entre les tours de la cité, et ce tout autour de la rotonde au centre. Il apparait alors une idée d’élévation du parking à la grande tour qui en plus de dominer l’ensemble de la cité ferait à présent office de clocher.
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Espaces de circulation de la cité financière à Abidjan (archives des BEHC).
Le Modernisme Africain
Mais l’ensemble des formes et le gigantisme de la cité ne sont pas là que pour mettre en avant la conformité de l’édifice avec les standards internationaux de l’époque.
Quand les Bureaux d’Etude Henry Chomette (BEHC) conçoivent la cité financière, on est à l’époque en plein mouvement moderne. Celui-ci est notamment marqué par l’emploi de formes simples, qui suivent la fonction du bâtiment, et par l’usage de matériaux tel que le verre, le béton et l’acier. Véritable vague internationale, le mouvement moderne connaitra des variations stylistiques selon les différentes régions mondes qui l’emploierons. En Afrique, les architectes des nouvelles républiques s’adonneront à plusieurs expérimentations afin de trouver un langage régional de l’architecture moderne. Sans renoncer aux principes du CIAM, les concepteurs des architectures des indépendances donneront une interprétation des dogmes architecturaux modernes qui se fondent dans une esthétique inspirée des culturelles Africaines.  De cette manière, le continent devient une vitrine de la construction moderne, et lance une nouvelle typologie architecturale pour les pays Africain basée sur une richesse des bâtiments tant dans la forme que dans la symbolique.
C’est surement pour cela que l’édifice garde cet aspect si particulier. Paré de pierres, l’édifice garde un aspect monolithique comme s’il sortait de terre. De même, ses intérieurs gardent cet aspect rustique voir vernacilaure. Dans ses galeris isolées du monde extérieurs, les rectangles arrondis, et le béton donnent l’impression de se retrouver à l’intérieur d’une maison en terre, ce qui pourrait peut être jsutifié cette basse entrée de lumière naturelle.
Enfin, en son sein, au centre de la composition spatiale, l’édifice conserve ce qu’il a de plus précieux, un dôme. Celui-ci est recouvert de pâte de verres coloré présentant des motifs géométriques qui viennent comme pour représenter eux aussi ce que les techniques de construction traditionnelles peuvent apportées dans la modernité de l’architecture. De cette manière, l’élément central n’est plus seulement l’économie ou la finance, mais la culture, la tradition qui se cache au milieu de la cité.
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Dôme interne de la cité financière, 2018.
Ainsi, dans l’ère de son temps, la Cité Financière démontre par sa grandeur la puissance de l’Etat qu’elle représente. Elle apparait comme le dit Henri Chomette, comme « un apport de la Côte d’Ivoire à la recherche internationale ». En mettant en scène les langages moderne et vernaculaire, les BEHC ont réalisé un mariage de style et d’époques. A sa façon, a Cité demeurera une relique d’espoir pour tout un peuple qui crut en son futur en exposant une faim gargantuesque de grandeur et d’émancipation.
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scavengedluxury · 1 year
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Le Corbusier’s Chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp, 1975. From the Budapest Municipal Photography Company archive.
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castelnou · 2 years
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chapelle notre-dame-du-haut
architecture by le corbusier
haute-saône (france)
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