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#Charles V le Bel
cy-lindric · 1 year
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The Accursed Kings in 1314
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best-bourbon-monarch · 4 months
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Philippe:
T'was his reign that first established what would be known as Salic Law (girls are excluded from the royal succession) because he was in conflict with his sister Joan.
Charles:
Failed to be elected Holy Roman Emperor. His sister married Edward II of England and since the English do recognize girls in the royal succession, that gave them a claim to french territories when Charles died without an heir.
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focusmonumentum · 2 years
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Le Crazy Horse
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Voici sans conteste le plus célèbre cabaret de Paris ! Antre du glamour et du burlesque, ses spectacles charment et enchantent depuis plus de 70 ans.
En 1951, Alain Bernardin achète les caves d'un immeuble haussmannien, au n°12 de la très chic avenue George V, afin d'ouvrir un saloon d'inspiration "western". Deux ans plus tard, un premier spectacle de strip-tease à l'américaine y est donné. Présentant des nus partiels, les recettes sont alors reversées à la Fondation Abbé Pierre. Chaque soir, le cabaret permet également à des artistes plus traditionnels de s'y représenter, tels que des magiciens, des ventriloques, mais aussi des chanteurs, au rang desquels un certain Charles Aznavour. Le fondateur, également directeur artistique, donne un nom de scène à chaque danseuse, tradition perdurant aujourd'hui. Certaines devinrent célèbres, comme Lova Moor (qui épousa le maître des lieux), Polly Underground (dont le bar du Crazy Horse porte désormais le nom), ou encore Miss Candida et son fameux bain, inspirant Dita Von Teese quelques cinquante ans plus tard... Dans les années 60, les danseuses commencent à être habillées de lumière, dans une scénographie originale reconnue dans le monde entier. La fréquentation se développe avec l'essor du tourisme, puis explose à partir de 1968, suite au premier numéro de nu intégral. De nombreux artistes participent au prestige de ce que les initiés commencent à nommer tout simplement le "Crazy": Dalí crée son canapé en forme de bouche carmine, le sculpteur César réalise son "Sein" en bronze, d'après le moulage d'un sein d’une des danseuses...
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Le succès ne se démentira jamais, attirant au fil des décennies de nombreuses personnalités, d'Elvis Presley à Giscard d'Estaing, dont certaines participeront même parfois au spectacle, comme David Lynch, créant le numéro "Fetish", Christian Louboutin, chaussant depuis 2012 les "Crazy-girls", ou Chantal Thomass, recréant la lingerie des danseuses en 2016... Des "guest-stars" de renom s'y produisent aussi parfois: Pamela Anderson et Arielle Dombasle se donnent en spectacle sur scène, tout comme la comédienne Clotilde Coureau, la mannequin Noémie Lenoir, la chanteuse transgenre Conchita Wurst, ou encore, à plusieurs reprises, une certaine Dita Von Teese... La boucle est bouclée !
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Après 18 mois de fermeture liée au Covid, au cours de laquelle le cabaret a été rénové et réaménagé de fond en comble, le "Crazy" rouvre ses portes, avec nouvelle enseigne à la bouche devenue iconique, hall feutré à la moquette rose, escaliers avec moulages de seins sur les murs, antichambre aux rayures rappellant le saloon d'origine, toilettes pop (avec urinoirs en forme de bouche chez les messieurs), cabine téléphonique mystérieuse... Et bien sûr la salle de spectacle, avec alcôves privatisables et fauteuils pour couples du meilleur aloi, surtout avec un guéridon recevant un seau à champagne griffé "Crazy Horse"!
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Le nouveau spectacle, "Totally Crazy!", alterne les numéros des danseuses (et d'un danseur, tout de même !), avec interludes chantés par l'artiste belge Georges Bangable, en un show ininterrompu d'une heure trente, dans la plus pure tradition du cabaret. On y découvre de véritables morceaux de bravoure, comme ce fameux "But I'm a good girl", créé ici-même par la danseuse et chanteuse Madeleine Harper, ayant inspiré le personnage incarné par Christina Aguilera dans le film Burlesque, sorti en 2010. Au Crazy Horse, le corps féminin trouve son plus bel écrin, les cambrures et les poitrines (critères de sélection des danseuses), sont magnifiquement mis en valeur par des jeux de lumière du plus bel effet, les chorégraphies très inventives époustouflent, les perruques à la frange (représentatives de l'image de marque) virevoltent par-dessus les faux-cils et les lèvres rouge sang, les talons-aiguilles claquent sur la scène au rythme d'une musique toujours de bon goût, les meilleurs génériques de James Bond semblent y prendre vie... 
Au "Crazy", l'érotisme n'est jamais vulgaire, car Erato y a rencontré Terpsichore et Thalie. 
Crédits : ALM’s 
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hits1000 · 2 years
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Greatest Hits of 1950 | Top Music Hits 1950 | Songs of 1950 [1950s Hits]
Greatest Hits of 1950 | Top Music Hits 1950 | Songs of 1950 [1950s Hits] 00:00 Introduction 00:12 English 05:41 French 06:32 German 07:32 Italian 08:32 Portuguese 09:26 Spanish Greatest Hits of 1950 including: Anton Karas - The Third Man, Billy Eckstine - My Foolish Heart, Bing Crosby - Dear Hearts and Gentle People, Bing Crosby - Rudolph The Red-Nosed Reindeer, Doris Day – Bewitched, Eileen Barton - If I Knew You Were Coming (I'd've Baked a Cake), Ernie Ford & Kay Starr - I'll Never Be Free, Eve Young - Silver Dollar, Frankie Laine - The Cry of the Wild Goose and many more! Subscribe to our channel to see more of our content! Related Searches: Greatest Hits of 1950, Best Jukebox 1950 Playlist, Late 1950 Non Stop , Top 1950 Non Stop, Mix 1950 Compilation, Best 1950 List, Late 1950 UK, Best 1950 Playlist, Best 1950 Non Stop, Best 1950 Video, Greatest 1950 Non Stop, Mix 1950 Playlist, Best Jukebox 1950 List, List of 1950 Mix, Top 1950 USA, Best Songs of 1950, Top Music 1950, Hits of 1950 Related Channels: K-Music, Ultra Lists, Younger days, Music Hits, DJ Crayfish, Redlist, Music Express, Some Random Guy, Francis Pelletier, MarioMex International Mixes, Top Culture, Related Videos: https://www.youtube.com/watch?v=R1zM5WF1NF0 https://www.youtube.com/watch?v=5qmoZ9W8kQg 1. Anton Karas - The Third Man 2. Billy Eckstine - My Foolish Heart 3. Bing Crosby - Dear Hearts and Gentle People 4. Bing Crosby - Rudolph The Red-Nosed Reindeer 5. Doris Day - Bewitched 6. Eileen Barton - If I Knew You Were Coming (I'd've Baked a Cake) 7. Ernie Ford & Kay Starr - I'll Never Be Free 8. Eve Young - Silver Dollar 9. Frankie Laine - The Cry of the Wild Goose 10. Gary Crosby & Bing Crosby - Play A Simple Melody 11. Gary Crosby & Bing Crosby - Sam's Song 12. Gordon Jenkins & His Orchestra - Bewitched 13. Gordon Jenkins & His Orchestra - My Foolish Heart 14. Guy Lombardo - The Third Man 15. Hardrock Gunter - Birmingham Bounce 16. Kay Starr - Bonaparte's Retreat 17. Nat King Cole - Mona Lisa 18. Patti Page - All My Love 19. Patti Page - Tennessee Waltz 20. Perry Como - Hoop-Dee-Doo 21. Phil Harris - The Thing 22. Piano Red - Rockin' With Red 23. Red Foley - Chattanooga Shoe Shine Boy 24. Sammy Kaye - Harbor Lights 25. Sammy Kaye & Don Cornell - It Isn't Fair 26. Steve Conway - My Foolish Heart 27. Teresa Brewer - Music Music Music 28. The Ames Brothers - Can Anyone Explain (No, No, No!) 29. The Ames Brothers - Rag Mop 30. The Ames Brothers - Sentimental Me 31. The Andrews Sisters - I can dream, can't I? 32. The Andrews Sisters - I wanna be loved 33. The Cap-Tans - I'm So Crazy For Love 34. The Weavers and Gordon Jenkins - Goodnight, Irene 35. The Weavers and Gordon Jenkins - Tzena Tzena Tzena 36. Tony Martin - There's No Tomorrow 37. Wynonie Harris - Rock Mr. Blues 38. André Claveau - Cerisier rose et pommier blanc 39. Charles Trenet - Douce France 40. Edith Piaf - Hymne à l'amour 41. Éliane Embrun - Mam'zelle Dimanche 42. Félix Leclerc - Le p'tit bonheur 43. Pierre Malar - Je t'aimerai 44. Anneliese Rothenberger & Detlev Lais - La Le Lu 45. Hans Albers - Nimm mich mit, Kapitän, auf die Reise 46. Rene Carol - Buona Notte, Angelo Mio 47. Rita Paul - Das ist nichts für kleine Mädchen 48. Rudi Schuricke - Florentinische Nächte 49. Vico Torriani - Santa Lucia 50. Carla Boni - Il mago Baku 51. Giorgio Consolini - Forse domani 52. Nilla Pizzi - Che bel fiulin 53. Roberto Murolo - Me so' 'mbriacato 'e sole 54. Sergio Bruni - Surriento d'e 'nnammurate 55. Tito Schipa - Anema E Core 56. Carmélia Alves - Trepa no Coqueiro 57. Dalva de Oliveira - Olhos Verdes 58. Deolinda Rodrigues - Fado da saudade 59. Isaura Garcia & Hervê Cordovil - Pé de manacá 60. Ismael Silva - Antonico 61. Luiz Gonzaga - Assum Preto 62. Celia Gámez - Estudiantina Portuguesa 63. Elvira Ríos - Frenesí y Perfidia 64. Jorge Negrete - México Lindo y Querido 65. Juanito Valderrama - El emigrante 66. Pérez Prado & His Orchestra - Mambo No. 5 67. Xavier Cugat & His Orchestra - Tico Tico Relate Hashtags: #listof1950mix #hits1950 #bestsongs1950 #classic1950playlist #greatest1950nonstop #best1950list #best1950video #top1950mix #greatest1950video #mix1950playlist #top1950nonstop #mix1950compilation https://www.youtube.com/watch?v=lU-5LIaU500
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newmic · 9 months
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History – All the kings of France From the 5th century to the 19th century, 64 kings and 3 emperors ruled France. In this timeline, discover them all! This frieze is taken from the magazine Images Doc n°313 of January 2015.
What is a dynasty ? It is a succession of people from the same family, at the head of a country. For example, 15 men from the family of Hugues Capet were kings of France: this is the Capetian dynasty. The dynasties of France are: the Merovingians, the Carolingians, the Capetians, the Valois, the Bourbons
Les Mérovingiens Clovis Ier, 466 – 511 (naissance-mort) Clotaire Ier, 497 – 561 Clotaire II, 584 – 629 Dagobert Ier, 605 – 639 Clovis II, 635 – 657 Clotaire III, 654 – 673 Childéric II, 650 – 675 Thierry III, 654 – 695 Clovis III, 682 – 695 Childebert III, 683 – 711 Dagobert III, 699 – 715 Chilpéric II, 670 – 721 Thierry IV, 713 – 737 Childéric III, 714 – 753
Les Carolingiens Pépin le Bref, 715 – 768 Charlemagne, 742 – 814, Empereur Louis Ier le Pieux, 778 – 840 Charles II le Chauve, 823 – 877 Louis II le Bègue, 846 – 879 Louis III, 863 – 882 Carloman, 866 – 887 Charles III le Gros, 839 – 888 Eudes, 860 – 898 Charles III, 879 – 929 Robert Ier, 860 – 923 Raoul, ? – 936 Louis IV d’Outremer, 918 – 954 Lothaire, 941 – 986 Louis V le Fainénant, 967 – 987
Les Capétiens Hugues Capet, 939 – 996 Robert II le Pieux, 972 – 1031 Henri Ier, 1008 – 1060 Philippe Ier, 1052 – 1108 Louis VI le Gros, 1084 – 1137 Louis VII, 1120 – 1180 Philippe II Auguste, 1165 – 1223 Louis VIII le Lion, 1187 – 1226 Louis IX (Saint Louis), 1214 – 1270 Philippe III le Hardi, 1245 – 1285 Philippe IV le Bel, 1268- 1314 Louis X le Hutin, 1289 – 1316 Jean Ier, 1316 – 1316 Philippe V le Long, 1293 – 1322 Charles IV, 1294 – 1328
Les Valois Philippe VI, 1293 – 1350 Jean II le Bon, 1319 – 1364 Charles V, 1338 – 1380 Charles VI le Fol, 1368 – 1422 Charles VII le Victorieux, 1403 – 1461 Louis XI, 1423 – 1483 Charles VIII, 1470 – 1498 Louis XII, 1462 – 1515 François Ier, 1494 – 1547 Henri II, 1519 – 1559 François II, 1544 – 1560 Charles IX, 1550 – 1574 Henri III, 1551 – 1589
Les Bourbons Henri IV, 1553 – 1610 Louis XIII, 1601 – 1643 Louis XIV, 1638 – 1715 Louis XV, 1710 – 1774 Louis XVI, 1754 – 1793 Louis XVIII, 1755 – 1824 Charles X, 1757 – 1836 Louis-Philippe Ier, 1773 – 1850
Les Empereurs Napoléon Ier, 1769 – 1821, Empereur Napoléon III, 1808 – 1873, Empereur
tofor knowing more : https://www.imagesdoc.com/images-doc-en-classe/la-grande-image-doc/histoire-rois-de-france
and
see: uritibacitybrazil.tumblr.com/archive
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laurelnose · 3 years
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#are you kidding there aren't nearly enough dragons!!! #remember Foltest's stupid blue dress full of white lilies that one was overkill (@she-who-drank-vodka-with-cats, tags on this post) 
actually, you’re not the only person I’ve seen say this about Foltest, and I’m not going to say Foltest’s robes aren’t a lot, because they kind of are, but also like, one should not underestimate the number of fleurs-de-lis people (mostly the French) were historically willing to try and cram onto a robe!! like, if you’ve ever felt that Temerians have a disproportionately strong aesthetic attachment to the lilies, they’ve got nothing on the French. (right is John II.)
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here’s Maria of Brabant getting married to Philip III, wearing...matching fleurs-de-lis wedding robes, on a backdrop of fleurs-de-lis! and a bunch of wildly judgmental guests, yikes.
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here’s Charles V, reading a book, all wrapped up in fleurs-de-lis
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my mans Charles V is so committed to his national emblem that he’s blending into the tapestries.
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technically nobody in this room is wearing a fleur-de-lis, but I... @Charles VI bitch you live like this?? the black robe is a look though ngl.
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I mean, jesus christ, Philippe le Bel, nobody else is doing this with their heraldic emblem, holy shit. 
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this isn’t even all of the ones I could show you, there are easily dozens of artworks of French soldiers and nobles like this. honestly, I live in awe of the patience of the artists who painted all of these fleurs-de-lis by hand in perspective! there’s...so many. so many.
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reading list - literary fiction
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✵ ACTIVELY UPDATING ✵
☐  APPELFELD, Aharon – All Whom I Have Loved ☐  ARIMAH, Lesley Nneka – What it Means When a Man Falls from the Sky ☐  BAKER, Nicholson – The Mezzanine ☐  BARNES, Djuna – Nightwood ☐  BARNES, Julian – Flaubert's Parrot ☐  BARTH, John – The Sot-Weed Factor ☐  BERNANOS, Georges – Sous le soleil de Satan ☐  BOLAÑO, Roberto – 2666 ☐  BRETON, André – Nadja ☐  BURNETT, Frances Hodgson – Little Lord Fauntleroy ☑  BURNETT, Frances Hodgson – A Little Princess ☑  BURNETT, Frances Hodgson – The Secret Garden ☐  BURROUGHS, William S. – The Nova Trilogy ☐  BUTOR, Michel – La Modification ☐  BUZZATI, Dino – Il deserto dei Tartari ☐  CENDRARS, Blaise – Moravagine ☐  COELHO, Paulo – La Voie de l'Archer ☐  COLETTE – Les Vrilles de la vigne ☐  CONRAD, Joseph – The Heart of Darkness ☐  DELANY, Samuel R. – Hogg ☐  DeLILLO, Don – Underworld ☐  DÍAZ, Junot – The Brief Wondrous Life of Oscar Wao ☐  DICKENS, Charles – all novels ☐  DOS PASSOS, John – Manhattan Transfer ☐  DOSTOEVSKY, Fyodor Mikhailovich – The Gambler ☐  DREISE, Theodore – Sister Carrie ☐  DUCORNET, Rikki – The Four Elements Tetrology ☐  DURAS, Marguerite – Le ravissement de Lol V. Stein ☐  DURRELL, Lawrence – The Alexandria Quartet ☐  ELLISON, Ralph – Invisible Man ☐  ERICKSON, Steve – Tours of the Black Clock ☐  FEDERMAN, Raymond – Double or Nothing ☐  FLAUBERT, Gustave – Madame Bovary ☐  FORD, Ford Madox – The Good Soldier ☐  FORSTER, E. M. – all novels ☐  GADDIS, William – The Recognitions ☐  GASS, William H. – Omensetter's Luck ☐  GOETHE, Johann Wolfgang von – Die Wahlverwandtschaften ☐  GRACQ, Julien – Le Rivage des Syrtes ☐  HEMINGWAY, Ernest – all works ☐  HUXLEY, Aldous – Point Counter Point ☐  ISHIGURO, Kazuo – The Remains of the Day ☐  ISHIGURO, Kazuo – The Unconsoled ☐  ISHIGURO, Kazuo – When We Were Orphans ☐  JAMES, Henry – The Ambassadors ☐  JAMES, Henry – The Golden Bowl ☐  JOYCE, James – Ulysses ☐  KAFKA, Franz – Die Verwandlung ☐  KNOWLES, John – A Separate Peace ☐  LE CLÉZIO, J. M. G. – Le Procès-Verbal ☐  MAILER, Norman – The Naked and the Dead ☐  MANN, Thomas – Der Tod in Venedig ☐  MANN, Thomas – Der Zauberberg ☐  MAUPASSANT, Guy de – Bel-Ami ☐  MAURIAC, François – Thérèse Desqueyroux ☐  MORAVIA, Alberto – Il disprezzo ☐  NABOKOV, Vladimir Vladimirovich – Pale Fire ☐  NABOKOV, Vladimir Vladimirovich – The Gift ☐  NABOKOV, Vladimir Vladimirovich– Look at the Harlequins! ☐  NAIPAUL, V. S. – A House for Mr Biswas ☐  NEWTON, Nerida – Death of a Whaler ☐  PAMUK, Orhan – Kar ☐  PEREC, Georges – La Vie mode d'emploi ☐  POWELL, Anthony – A Dance to the Music of Time ☐  PHILLIPS, Arthur – The Tragedy of Arthur ☐  PUSHKIN, Alexander Sergeyevich – The Tales of the Late Ivan Petrovich Belkin ☐  ROBBINS, Tom – Skinny Legs and All ☐  ROBINSON, Marilynne – Housekeeping ☐  SAGAN, Françoise – Bonjour Tristesse ☐  SALINGER, J. D. – The Catcher in the Rye ☐  SARAMAGO, José – A caverna ☐  SARRAUTE, Nathalie – Tropismes ☐  SMITH, Betty – A Tree Grows in Brooklyn ☑  SPYRI, Johanna – Heidi ☐  STEGNER, Wallace – Angle of Repose ☐  STEINBECK, John – all works ☐  TAN, Amy – The Joy Luck Club ☐  TARTT, Donna – The Goldfinch ☐  VARGAS LLOSA, Mario – La ciudad y los perros ☐  VARGAS LLOSA, Mario – La casa verde ☐  VASSILIKOS, Vassilis – The Few Things I Know About Glafkos Thrassakis ☐  VOLLMANN, William T. – The Rifles ☐  WALLACE, David Foster – Infinite Jest ☐  WEIL, Josh – The Age of Perpetual Light ☐  WEST, Nathanael – The Day of the Locust ☐  WHARTON, Edith – The House of Mirth ☐  WHARTON, Edith – The Age of Innocence ☐  WOOLF, Virginia – To the Lighthouse ☐  WOOLF, Virginia – Waves ☐  WRIGHT, Stephen – Going Native ☐  ZHANG, Lijia – Lotus ☐  ZWEIG, Stefan – Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau
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ma-pi-ma · 4 years
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Monk al Five Spot una sera, tardi. "Ruby My Dear", "Epistrophy". Il posto quasi deserto a causa di un’ondata di gelo. Un bel travestito di colore da solo in prima fila beveva il suo drink con dissimulata civetteria. La musica pitagorica una nota alla volta collegava le sfere celesti mentre mi appoggiavo al bancone studiando il locale attraverso il fumo di una sigaretta. All’improvviso la chiara sensazione di un evento memorabile… La gioia, la deliziosa malinconia… Quest’uomo così bizzarro si inclinò sul pianoforte scuotendo la testa canticchiando "Misterioso". Infine tutto terminò. Grazie! Le sedie erano impilate sui tavolini con le gambe rovesciate. Il rischio di congelarsi fuori induceva a procrastinare. Chi ha detto che i nordamericani non hanno storia, ma solo una nostalgia infinita? E dove diavolo era Nellie? Charles Simić, Crepuscolo con Nellie, da Il libro degli dei e dei diavoli, 1990
https://www.youtube.com/watch?v=RFVTWEVhxY8
Thelonious Monk, Crepuscule with Nellie
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plumedencre · 4 years
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𝘽𝙚𝙡-𝘼𝙢𝙞 - 𝘾𝙖𝙧𝙣𝙚𝙩 𝙙𝙪 𝙡𝙚𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧 #𝗢𝟮
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𝗢𝟭/𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻
  Bel-Ami est un roman écrit par Guy de Maupassant, publié en 1885. Le récit prend place dans Paris et se déroule pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Il appartient au mouvement artistique du réalisme.
  Le titre fait référence au surnom que lui donne pour la première fois Laurine, fille de Mme de Marelle dont Duroy devient l’amant. Il décrit plutôt bien le personnage principal, qu’on nous présente séduisant, beau et devenant facilement l’ami des femmes.
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𝗢𝟰/𝗤𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀
Résumez la biographie de Maupassant.
  Guy de Maupassant est né en 1850 en Normandie. Dès sa jeunesse, il reçoit une éducation influencé par la culture littéraire de sa mère et commence très tôt à écrire ses premiers vers. Une fois ses études terminées, Maupassant est mobilisé dans la guerre contre les Prusse, ce qui lui inspirera sa célèbre nouvelle : Boule de suif. Gustave Flaubert, ami d’enfance de sa mère, le prendra sous son aile.
  En 1872 il déménage à Paris et devient fonctionnaire  au Ministère de la Marine pendant 10 ans. Mais il s’en lasse et décide de se consacrer pleinement à l’écriture dès 1880. Il connaît un très grand succès et devient riche. Il décède de la syphilis en 1893 dans la région parisienne.
  En résumé, Maupassant  a principalement exercé les métiers d’écrivain et de journaliste et marqua la littérature française grâce à ses romans et ses nouvelles. Ses écrits sont marqués par le mouvement du réalisme et la présence du fantastique. Cependant, il prend ses distances avec le naturalisme prôné par Zola.
Résumez la genèse du roman.
Lorsque Maupassant commença l’écriture de Bel-Ami, il réside à Paris et connaît bien la ville. C’est donc le cadre parfait pour écrire un roman réaliste. Avec ce récit, Guy de Maupassant a pour but de décrire les rouages de la société du XIXème siècle (les couches sociale, la bourgeoisie...). A travers le journal fictif La Vie française, il va également porter un regard critique sur le journalisme.
Résumez chaque chapitre rapidement et de façon personnelle et, pour chacun, ajoutez vos impressions de lecture ainsi qu’une citation marquante.
Chapitre I, première partie
  Le chapitre I correspond à l’incipit, et nous présente le contexte de l’histoire qui va suivre. On nous introduit le personnage principal, Georges Duroy, un jeune homme pauvre résidant à Paris. Il travail aux bureaux du Chemin de fer du Nord ce qui lui permet de gagner un maigre salaire. Lors d’une soirée d’été, Duroy  tombe sur un ancien camarade à lui : Charles Forestier. Ainsi, ils discutent en buvant des verres et Forestier lui propose de faire du journalisme puisqu’il est lui-même rédacteur à La Vie française. Forestier l’invite aussi à dîner chez lui le lendemain soir pour qu’il fasse la connaissance de M. Walter, le patron du journal. Les deux amis vont aux Folies-Bergère pour se détendre et Duroy y fera pour la première fois la rencontre de Rachel, une fille de joie.
  J’ai trouvé ce premier chapitre assez intriguant, et il m’a donné envie de lire la suite.
   “La poche vide et le sang bouillant, il s'allumait au contact des rôdeuses qui murmurent à l'angle des rues : "Venez vous chez moi, joli garçon?"”
Chapitre II, première partie
  Comme convenu avec Forestier la veille, Duroy se dirige au dîner organisé par son ami. C’est la première fois qu’il porte des habits élégants et bien qu’il ne s’y sente pas à l’aise, il prendra confiance en lui par la suite. En rentrant dans l’appartement, il fera la rencontre de femme dont il tombe sous le charme : Mme Forestier, Mme de  Marelle accompagnée de sa fille Laurine et Mme Walter. Durant le repas Duroy se contente d’écouter, puis, quand l’opportunité se présente, il parle de l’Algérie, où il avait séjourné. Ses connaissance sur l’Algérie intéressent Mr Walter qui lui demande de lui présenter un article pour le lendemain.
  J’ai trouvé intéressant que l’on découvre un peu plus le personnage de Duroy mais les discussions avec les femmes m’ont parut longues et répétitives. 
   “Duroy se leva pour partir, ayant peur de gâter par quelque mot maladroit la besogne faite, son œuvre de conquête commencée.”
Chapitre III, première partie
  Lorsque Duroy s’essaye à l’écriture de son article il rencontre de grosses difficultés. Alors Duroy prend la décision de sortir dehors pour trouver Forestier dans l’espoir qu’il l’aide pour son article. Ce dernier le redirige vers sa femme car il est occupé. Elle commence par lui poser des questions sur son voyage puis elle lui dicte l’article, mot pour mot. Ils ont ensuite une discussion à propos de Mme de Marelle, mais celle ci est coupé par l’arrivé du compte de Vaudrec qui provoque également le départ de Duroy. Il se rend alors au rendez-vous de Mr Walter qui jouait au carte en compagnie de Jacques Rival et Norbert de Varennes, deux chroniqueurs à La Vie française. Il donne son article puis repart dans les bureaux de Forestier dont il devient le reporter.
  J’aime bien le personnage de Mme Forestier car c’est une femme intelligente.
   “ Il sentait vaguement des pensées lui venir : il les aurait dites, peut-être, mais il ne les pouvait point formuler avec des mots écrits.”
Chapitre IV, première partie
  Duroy est très fier de voir son nom dans le journal et fait tout pour attirer l’attention sur son article. Il va ensuite déposer sa démission aux Chemins de Fer et déjeuna en continuant de se vanter de son nouveau titre. Il se dirige au journal où Forestier le sermonne de ne pas avoir écrit la suite de la chronique puis sort avec Saint-Potin pour qu’il lui apprenne le métier de reporter. Le soir venu, il se met au travail et débute l’écriture de la suite de sa chronique. Encore une fois, il n’arrive à rien et se dit qu’il irait chercher l’aide de Mme Forestier le jour d’après. Mais cette fois Forestier se met en colère et lui déclare qu’il n’allait pas faire son travail à sa place. Furieux et vexé, Duroy retourne écrire chez lui et va directement déposer l’article au journal. Le lendemain il apprend avec déception que sa chronique a été refusé.
    “Observe comment Saint-Potin s'y prendra, c'est un excellent reporter, et tâche d'apprendre les ficelles pour vider un homme en cinq minutes.”
Chapitre V, première partie
  Après deux mois, Duroy trouve la fortune bien lente à arriver et n’arrive pas à tisser de lien avec des femmes. Il se présente donc chez Mme de Marelle avec qui il s’entend bien rapidement. Lors de leur second entretien Clotilde l’invite à dîner dans  un restaurant chic en compagnie des Forestier. Ils discutent de tout et de rien et Forestier voulu partir car sa maladie le fatiguait. Georges raccompagne Mme de Marelle chez elle et Duroy l’embrasse pour la première fois. Ils se revoient à plusieurs reprises et Clotilde loue un appartement pour qu’ils se voient. Lorsque le couple sort dehors, ils vont dans des endroits simples, côtoyés par des ouvriers car c’était ce que veut Clotilde. Mais ces sorties commence à creuser dans les économies de Duroy, d’autant plus que les dettes s’accumulent. Alors quand Mme de Marelle lui propose de sortir il se retrouve dans l’embarras, n’osant pas avouer qu’il n’a pas assez d’argent. Elle se met très en colère mais Duroy finit par lui avouer, honteux. Georges refuse de se faire prêter de l’argent mais Clotilde lui en donne à son insu. Ils vont aux Folies-Bergères et Duroy ignore Rachel mais cette dernière se mit à crier et Clotilde partit en courant.
  Encore une fois j’ai trouvé les dialogues entre les personnages pas vraiment intéressant car il me semble qu’on y apprend rien de nouveau. La relation entre Clotilde et  Duroy est plutôt intéressante à suivre car on voit comment Duroy se comporte.
Chapitre VI, première partie
  Duroy manque d’argent et ne voit plus de femmes. Un jour que Forestier lui parla mal, il eut pour projet d’aller séduire sa femme. Mais elle refuse ses avances et propose à Georges d’être son ami. Il se rend alors chez Mme Walter sous les conseils de Mme Forestier. Elle discute avec ses amis et Duroy se joint à leur conversation. Il avait été promu chef des Échos et invité à dîner par les Walter la semaine d’après. Au dîner, il est surpris de voir Mme de Marelle mais celle ci semblait avoir tourner la page sur leur dernière querelle. Clotilde l’invite à dîner chez elle pour qu’il rencontre son mari. Duroy raccompagne chez lui Norbert de Varenne qui lui fera part de sa sombre vision de la vie. Lors du dîner il voit le mari de Clotilde et plus tard il passa voir Charles Forestier qui partait avec sa femme à Cannes sous ordre du médecin. Il conclu un accord avec Madeleine stipulant que Duroy est prêt à faire tout pour elle.
  Les passages où Duroy discutent avec Mme Walter et ses amies ne m’ont pas passionnés en raison de leur longueur et j’ai eu l’impression que le chapitre s’attarder sur beaucoup de futilités.
  “(...) leurs yeux, se rencontrant sans cesse, s'interrogeaient, mêlaient leurs regards d'une façon intime, presque sensuelle, comme autrefois.”
Chapitre VII, première partie
  Le départ de Forestier donne un peu plus de responsabilités à Duroy. Mais un rédacteur d’un journal appelé La Plume lançait des piques au chef des Échos à travers ses articles. Les deux chroniqueurs se répondent à multiple reprise puis le rédacteur concurrent dévoila son identité : Louis Langremont. Jacques Rival décide que ces deux là allaient se battre en duel. Après c’être entraîné à tirer, Duroy retourne chez lui mais n’arrive pas à trouver le sommeil, craignant le moment fatidique. Mais pendant le duel, les deux ratent leurs cibles. Georges profite de cet épisode pour s’attirer la renommée.
  Je me suis un peu ennuyé en lisant se chapitre je trouve qu’il n’apporte pas beaucoup à l’histoire.
“il conclut : "Enfin, c'est une bien gentille maîtresse. Je serais rudement bête de la lâcher".”
Chapitre VIII, première partie
  Duroy estime que son appartement actuel n’est plus suffisant vis à vis de sa réputation et il déménage rue de Constantinople.  Il reçoit une lettre de Mme Forestier qui lui annonce que son mari est mourant et il va donc les rejoindre à Cannes. Mme Forestier et Duroy accompagne Charles jusqu’à son dernier souffle. Dans la nuit, Georges avoue ses sentiments une nouvelle fois mais il demande à Madelaine de lui répondre que lorsqu’ils seront à Paris. Elle lui répond qu’il devrait réfléchir à sa demande car elle ne voit pas le mariage comme une forme de soumission. Après l’enterrement de Forestier, Duroy prend le train en direction de Paris.
    "Mme de Marelle, pleine de cet esprit gouailleur, sceptique et gobeur qu'on appelle l'esprit de Paris.”
Chapitre I, deuxième partie
  Après le retour de Madeleine à Paris, elle laisse sous-entendre qu’elle est d’accord pour se marier avec Georges. Pour s’ennoblir Duroy change son nom en du Roy de Cantel. Il annonce le projet de son mariage à Mme de Marelle puis, peu de temps après, les deux se marient. Cette union permet à Duroy de grimper un peu plus l’échelle sociale, de plus il reprend les fonctions de Forestier à La Vie française. Madeleine souhaite rencontrer les parents de Georges alors ils prennent le train pour aller les voir. Duroy est heureux de revoir ses parents mais Madeleine à l’air déçue donc ils rentrent à Paris le lendemain.
  La nouvelle relation avec Madeleine marque selon moi une étape importante dans la vie de Duroy, c’est assez différent de ce que l’on a pu voir avant donc j’ai bien aimé ce chapitre.
Chapitre II, deuxième partie
  De retour à Paris, Georges va faire plus ample connaissance avec le compte de Vaudrec qui est un ami proche de sa femme. Dans la soirées les Duroy vont écrire un article ensemble qui aura beaucoup de succès. A La Vie française on trouve que ses articles ressemblent fortement à ceux de Forestier et certain l’appelle même par ce nom. Cela met Duroy très en colère et il devient jaloux de Forestier. Il demande à Madeleine si elle avait trompé son ancien mari mais elle refuse de répondre. Georges se doute que la réponse est oui et il est effrayé qu’elle le trompe.
   “Du Roy devenait célèbre dans les groupes politiques. Il sentait grandir son influence à la pression des poignées de main et à l'allure des coups de chapeau.”
Chapitre III, deuxième partie
  Après avoir fait cessé l’habitude que les gens avaient de l’appeler Forestier il revoit Mme Walter et Mme de Marelle. Il  a alors à nouveau envie de revoir Mme de Marelle régulièrement. Comme prévu il accompagna Mme Walter et ses filles à une fête organisé par Rival. Il s’aperçoit que Mme Walter n’est pas indifférente à son charme et se lance à sa conquête. Sa femme ayant organisé un dîner il va chez Mme Walter pour l’inviter et en profite pour faires ses avances. Elle est réticente mais viens quand  même  au dîner. Duroy la raccompagne chez elle et continue d’essayer de la séduire et ils se donnent rendez-vous dans une église le lendemain.
  J’ai été assez déçue car Duroy répète les mêmes histoires avec les femmes en essayant de les séduire.
“La sœur aînée, Rose, était laide, plate, insignifiante, une de ces filles qu'on ne voit pas, à qui on ne parle pas, et dont on ne dit rien.”
Chapitre IV, deuxième partie 
  Sur place, Georges exprime encore ses sentiments et Mme Walter cède et lui avoue son amour pour lui. Elle regrette beaucoup et va de suite se confesser. Elle demande à Duroy de ne plus venir chez elle. Une nouvelle affaire est en cours à propos des colonies françaises et on lui demande d’écrire un article sur le sujet. Mme Walter change d’avis et veut revoir Duroy, elle deviendra une nouvelle maîtresse de Georges.
J’ai l’impression que Georges devient de plus en plus cruel au fur et à mesure qu’il grimpe dans les couches sociales, même si je n’aime pas le personnage c’est intéressant de voir comment il évolue.
Chapitre V, deuxième partie
  Il cesse d’aller voir Virginie, lassé d’elle. Elle lui envoie un mot quelques jours plus tard pour lui parler d’une affaire qui peut lui faire gagner beaucoup d’argent. Il accepte et informe également Clotilde pour que son mari puisse profiter lui aussi de cette occasion. Elle découvre les cheveux que Virginie avait déposé plus tôt sur sa veste. Folle de jalousie, elle s’enfuit. Peu après, le comte de Vaudrec meurt d’une maladie, ce qui fait de la peine à Madeleine.
Chapitre VI, deuxième partie
  Après une visite chez le notaire, il s’avère que Vaudrec lègue un million à Madeleine. Humilié par cet héritage qui prouverait que Vaudrec et Madeleine étaient amants, il consent à ce que celle-ci touche l’héritage seulement si elle lui donne la moitié de la somme, ce qu’elle accepte. Ils retrouvent leur complicité en dépensant ensemble l’argent qu’ils ont touché. Ils vont dîner avec Mme de Marelle et son mari.
  “(...) nous ne pouvons accepter cet héritage dans ces conditions. Ce serait d'un effet déplorable. Tout le monde croirait la chose, tout le monde en jaserait et rirait de moi.”
Chapitre VII, deuxième partie 
Le succès de son journal a fait de Walter un homme connu et plus riche encore qu’avant, il achète un tableau qui coûte une fortune. Il organise une soirée chez lui afin que tout le monde puisse venir l’admirer. D’abord réticent, Georges accepte l’invitation et y séduit la fille de son patron, Suzanne. Mme Walter supplie Georges pour qu’ils se revoient. Celui-ci accepte à condition qu’elle soit son ami. Madeleine annonce à son mari qu’elle lui a fait obtenir la légion d’honneur en passant du temps avec le ministre Laroche-Mathieu. Mais Georges veut toujours plus. Ils vont ensuite dîner chez les Walter.
  “Ils s'amusaient à dire du mal des gens, à se moquer des figures inconnues (...) Du Roy déclara : - Quelle salade de société !”
Chapitre VIII, deuxième partie 
Georges fréquente la maison Walter régulièrement. La sœur de Suzanne va bientôt se marier. Il fait une déclaration d'amour à Suzanne et lui demande de refuser toute demande en mariage et de lui faire confiance. Puis, il organise une opération policière pour faire constater l'adultère de sa femme en flagrant délit. Il y parvient en la surprenant un soir avec le ministre. Il se rend ensuite à La Vie Française ou il annonce à Walter l'adultère et la chute de Laroche-Mathieu qui en découle. Walter ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine admiration pour Georges.
Chapitre IX, deuxième partie
Le divorce est prononcé. Lors d'une sortie pour aller déjeuner à Saint-Germain organisée par les Walter à laquelle Georges participe, il expose son plan à Suzanne : il va l'enlever et forcer ainsi ses parents à accepter le mariage. Préalablement, la jeune fille aura demandé l'autorisation de l'épouser, mais Georges sait qu'ils refuseront ( chacun ayant ses propres raisons). Le plan fonctionne et Mme Walter est effondrée, terrassée par la douleur. Son mari lui reproche d'ailleurs d'être victime, comme nombre de femmes, du charme de Georges. Le nouveau couple rentre à Paris.
Chapitre X, deuxième partie
Clotilde reproche à Georges d'épouser Suzanne. Elle est folle de rage et pour la faire taire (elle l'accuse d'avoir couché avec Suzanne), il la frappe. Il décide de ne plus revenir dans leur appartement commun. Un immense mariage s'organise : c'est un événement à Paris. Le succès de Georges est immense. Tout laisse supposer que sa relation avec Clotilde n'est pas terminée et qu'il va devenir député.
Commentez rapidement quatre passages/épisodes marquants du roman en justifiant vos choix.
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architectnews · 3 years
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Building Centre architectural models exhibition
Building Centre architectural models exhibition, Shaping Space V&A London Design Show
Building Centre architectural models exhibition, UK
20 Sep 2021
‘Shaping Space – Architectural Models Revealed’
One of the largest ever collections of architectural models to go on show at the Building Centre
Shaping Space – Bompas Parr – St Pauls as a Jelly: image © Greta Ilieva BuildingCentre / V&A
Building Centre architectural models exhibition
Exhibition includes historical and contemporary works by over 60 contributors, including Le Corbusier, Zaha Hadid and ScanLAB Projects.
A project developed in collaboration with the V&A, generously funded by the AHRC.
Part of the Building Centre’s autumn programme celebrating its 90th anniversary.
A new exhibition of arch models produced by the Builing Centre and the V&A opens at the Building Centre in Bloomsbury this week. The Building Centre announced details of a new free architectural models exhibition opening at the Building Centre in Bloomsbury this week.
‘Shaping Space – Architectural Models Revealed’ features one of the largest and most diverse collection of models ever exhibited in the UK.
The show spotlights the role that models play in shaping the spaces we live in, examining how they are used as a test-bed for experimentation to bring this essential part of the design process to life.
Shaping Space – Aberant Architecture – Public House: image © Simon Kennedy, BuildingCentre / V&A
Featuring historical examples as well as works by international contemporary architects, the exhibition demonstrates the dual role of physical and digital model-making in the design process. From super-sized to miniature, visitors will be able to experience the spectacle of built environments at different scales.
The oldest piece in the collection is a paper model of Empress Josephine’s bedroom from 1804, created so Napoleon could approve interior design proposals whilst on the battlefield. In contrast is a 3D printed model by artist Dalia Matsuura Frontini, designed and built in real-time using VR and paint extrusion technology.
Other exhibits include original models by revered architects, such as an unbuilt tower designed by Louis Kahn, a materials study by Le Corbusier and a geometry study for the Sydney Opera House by Jørn Utzon. There is also a Dieter Cöllen cork model of the now-destroyed ancient temple of Bel in Palmyra; a model of St Paul’s Cathedral moulded in jelly by experiential designers Bompas & Parr, and set designs by the acclaimed stop-animation puppet and model maker Andy Gent, taken from the acclaimed Save Ralph film released earlier this year by Humane Society International.
Shaping Space – Dieter Cöllen – Cork Model, Temple Of Bel, Palmyra: image © DieterCollen, BuildingCentre / V&A
Visitors will be invited to engage with the exhibition through a number of interactive pieces, including models created to communicate designs to the visually impaired using Braille and a bespoke tactile symbol system. Families will also be able to bring their own design ideas to life with Arckit’s hands-on models, or using AUAR Lab’s digital ‘toy-kit’, which can be saved and shared for future play.
Other contributors include eminent architects such as David Adjaye, Zaha Hadid and Charles Holland; Livio de Luca, digital model researcher, architect and scientific coordinator of the digital construction site of the new Notre Dame, as well as students from various architectural schools.
Stories behind model-making are explored through three questions: How are models made? Who are models made for? Why do you make models? The exhibition highlights the renaissance of craft and values of making in the digital age, whilst exploring the rise of new technologies in changing the way models are made. Themes relevant to current architectural practice, including sustainability, are also studied.
HawkinsBrown – Victoria Road and Old Oak Lane Framework: image © DieterCollen, BuildingCentre / V&A
The free exhibition will be hosted at the Building Centre in Bloomsbury from 24 September 2021 to 28 January 2022. An associated educational program also includes free workshops for school pupils and families.
The show has been generously supported by the Arts and Humanities Research Council (AHRC), part of UK Research and Innovation (UKRI) through Follow on Funding for Impact and Engagement (Principal investigator Dr. Simona Valeriani, co-investigator Dr. Marta Ajmar from the V&A Research Institute). It is also supported by the Built Environment Trust and the V&A.
Mary Duggan – Euphemia: image © Mary Duggan, BuildingCentre / V&A
Colin Tweedy LVO OBE, Chief Executive of the Building Centre and Built Environment Trust said: “This exhibition celebrates the vital role of architectural models within the design process, showcasing the skills of model makers from various disciplines with new audiences.
“‘Shaping Space – Architectural Models Revealed’ exemplifies the Building Centre’s mission to make the built environment accessible and appealing to the general public, as well as be a hub for knowledge sharing and collaboration for industry professionals. As we celebrate our 90th anniversary, we look forward to welcoming people back into our Store Street galleries to enjoy the various exhibitions we will be hosting later this year and next.”
Sam Jacob – The Most Photographed Barn In The World: image © BuildingCentre / V&A
Simona Valeriani (V& Research Institute), Curator of Shaping Space said: “‘Shaping Space – Architectural Models Revealed’ considers ways in which architectural models can engage audiences with architectural and design issues; and explores how digital technologies can be used in the creation and interpretation of models.
“This special exhibition explores the power of craft in representing design ideas. An associated public programme will explore the idea that models can become key tools for multimodal learning, learning through visual, auditory, and kinaesthetic approaches to deepen our understanding of space and scale. “The development of innovative methodologies for collections-based research linked with interventions in multimodal learning, embodied learning and learning-through-making aimed at school children and adults, are areas of research that the V&A Research Institute (VARI) has been exploring extensively. The exhibition and public program will provide a space to share this work with wider audiences.”
Dr Kristine Zaidi, Associate Director of Programmes at the Arts and Humanities Research Council added: “The Arts and Humanities Research Council is delighted to support Shaping Space – Architectural Models Revealed.
This exhibition, with its associated events series, workshops and an education programme, will connect a wide range of audiences to architectural models, physical, digital and blended, highlighting the vital role of architectural models in understanding and shaping the world around us.”
Shaping Space – Aberant Architecture – Public House: image © Simon Kennedy, BuildingCentre / V&A
Curated by the Building Centre in partnership with Simona Valeriani of the V&A Research Institute (VARI), the collaborative exhibition is designed by Roz Barr Architects. The show is generously supported by the Arts and Humanities Research Council (AHRC), part of UK Research and Innovation (UKRI) through Follow on Funding for Impact and Engagement (Principal investigator Dr. Simona Valeriani, co-investigator Dr. Marta Ajmar). It is also supported by the Built Environment Trust and the V&A.
The exhibition builds on research carried out by the AHRC-funded Architectural Models Network (2017-2019), an initiative set up to examine the role of architectural models as part of the creative process in historical and contemporary architectural practice. The core partners in the original network include the V&A, the Royal Institute of British Architects (RIBA), the Architectural Association (AA), Sir John Soane’s Museum, the Architekturmuseum (Technische Universität Munich), the MAP Laboratory (CNRS) and the Sorbonne.
To accompany the show a publication resulting from the work of the Network will also be launched: Olivia Horsfall Turner, Simona Valeriani, Matthew Wells and Teresa Fankhänel (eds): An Alphabet of Architectural Models, Merrell: London, 2021.
Shaping Space – Architectural Models Revealed London images / information received 200921
Building Centre Events News
WikiHouse4.0 at London Design Festival 2014 Design: Arup / 00 design photo Margaux Carron for The Building Centre, all rights reserved WikiHouse London Building Centre
Building Centre London Talk photo : Agnese Sanvito The Building Centre, Store Street – talk
Address: The Building Centre, 26 Store St, London WC1E 7BT Phone: 020 7692 4000
Location: London, England, UK
London Architectural Designs
London Architecture Designs – chronological list
London Architect – design practice listing on e-architect
London Architecture Designs – architectural selection below:
15 Clerkenwell Close, Clerkenwell Design: Groupwork + Amin Taha Architects photo : Tim Soar 15 Clerkenwell Close
Houses of Parliament Restoration and Renewal Programme photograph © UK Parliament Houses of Parliament Restoration and Renewal
NoMad London, 4 Bow St, Covent Garden Design: Roman and Williams photograph : Simon Upton NoMad London Hotel, Covent Garden
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clubdefi · 3 years
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Manif parisienne : j’ai vu des policiers interdire des drapeaux français !
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Publié le 29 août 2021 - par Charles Demassieux- 2 commentairesTraduire la page en : 
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Sélectionner une langue​▼FacebookTwitterTelegramLinkedInVKWhatsAppSMSMessengerEmail Les manifestations parisiennes anti-passe – et pas vaccin, contrairement aux affirmations des sectateurs macronistes éructant, la bave aux lèvres ! – du 27 août 2021 m’auront au moins appris une chose essentielle : le drapeau national fait peur à Macron. Par contre, les oriflammes des pays à fort potentiel terroriste (Palestine) ou qui vomissent la France (Algérie) sont autorisées, n’ayez crainte ! Oriflammes qui gonflent pas mal de manifestants au passage, lesquels se demandent de plus en plus ce qu’ils foutent là…
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Mais d’abord ces propos énormes recueillis auprès d’un groupe d’hommes et de femmes très paisibles, de retour de la manifestation toute proche de Florian Philippot : ils ont été sommés par les « courageux » cerbères de la Brav – brigade de répression de l’action violente – de faire disparaître des drapeaux français qu’ils tenaient à la main dans un silence monacal sur l’esplanade des Invalides. Prétexte invoqué : ce serait (je cite) « un signe distinctif des manifestants »… ! Je rappelle que l’esplanade des Invalides se trouve en face du saint des saints de l’Armée française, où trône un autre « signe distinctif ». L’histoire ne dit pas si la Brav a ordonné au gouverneur des Invalides de faire disparaître le drapeau bleu-blanc-rouge de l’édifice…
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  Quelque temps plus tôt, j’ai eu le privilège – de moins en moins rare – de bénéficier des assiduités de quelques CRS, avec vérification d’identité, fouille de mon sac, le tout, je dois l’admettre, fort courtoisement. Ce qui m’a amené à leur demander pourquoi moi et pas un autre. La réponse a été la suivante : « Parce que vous avez photographié nos véhicules. » Je n’ai pu m’empêcher de sourire en leur montrant les photos incriminées, qui ne représentaient pas vraiment un danger pour eux. Et de leur dérouler mon CV idéologique tout en leur signifiant que je n’étais ni anti-flics ni un admirateur béat de toutes leurs actions. L’une des actions en question a envoyé l’un des nôtres à l’hôpital ce même samedi, à Bordeaux :  https://ripostelaique.com/pensees-pour-jean-paul-73-ans-matraque-et-annie-50-ans-bientot-chomeuse.html Pour le reste, les manifestations dans la capitale, éparpillées façon puzzle, ont eu l’effet escompté en donnant l’impression que le mouvement de protestation s’essoufflait. Eh bien non : les opposants à l’hyper-surveillance n’ont pas le souffle court, au contraire ! Bien entendu, les manifestants étaient souvent encadrés par les gendarmes et CRS comme des colonnes de bagnards embarquant pour Cayenne. Du jamais vu dans les cités multi-ethniques radieuses de notre beau pays…
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Du côté de chez Florian Philippot, et même si les grand-messes politiques me rendent toujours méfiant, force est de reconnaître qu’il entraîne dans son sillage beaucoup de monde et d’horizons très variés. Maintenant, à l’attention de l’avocat Fabrice Di Vizio, qui est intervenu à la tribune ce samedi : non, nous ne sommes pas un seul peuple. Nous sommes émiettés, précisément par la faute de ceux qui nous « passent » en ce moment même ! https://www.youtube.com/embed/TCt1XVxLsPQ?feature=oembed https://www.youtube.com/watch?v=TCt1XVxLsPQ Car si je veux bien manifester avec tout le monde, je n’oublie pas que je ne lutte pas seulement contre l’ordre mondial – qui existe bel et bien, Messieurs les traqueurs de complotistes. Cela dit sans verser dans les obsessions antisémites de certains qui voient des Juifs partout, jusque dans leur caleçon ! Je lutte aussi contre l’ordre islamique. Ce dernier ordre qui autorise à inférioriser une femme de l’autre côté du périph’ par exemple, sans que cela émeuve les fausses féministes soit dit en passant.
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Cependant, le combat pour notre liberté est essentiel et nous ne devons pas baisser la garde. D’autant qu’il faut s’attendre à ce que le pouvoir ait bientôt recours à ses milices officieuses pour détruire ce mouvement spontané de protestation ; je veux parler des nervis de l’ultra-gauche. L’Unef s’est d’ailleurs incrustée dans une manifestation ce samedi, avec des revendications qui n’ont plus rien à voir avec les nôtres. Les syndicats suivront, tout comme l’immonde Mélenchon et sa clique.
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À voir les innombrables drapeaux français qui fleurissent dans les manifestations en ce moment, c’est la preuve que ce mouvement appartient majoritairement aux patriotes, et il ne faut pas qu’ils se le laissent voler, comme ce fut le cas, hélas, avec les Gilets jaunes…
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  Je lis en ce moment Mesure de la France, de Pierre Drieu La Rochelle. Je ne m’étendrai pas sur certains choix de l’auteur, mais force est de reconnaître que ce qu’il écrivait jadis vaut encore aujourd’hui : « La réalité nous démentit brutalement mais nous la taisons. Nous avons perdu le sens de notre grandeur et de certaines valeurs humaines. Il faut donc que nous apprenions la honte pour retrouver la noblesse. Voyons ce qui nous est arrivé. Appelons les choses par leur nom. Il ne sera pas dit que nous sommes devenus une nation hypocrite. »  Il nous appartient donc de recouvrer notre force et ne plus abandonner notre volonté à des apatrides qui vont jusqu’à nous interdire de brandir notre drapeau ! Charles Demassieux (Photos & vidéo : Charles Demassieux pour Riposte laïque) Read the full article
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nanshe-of-nina · 6 years
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Fake Instagram || Queens regnant of the Middle Ages
Urraca, Queen of León, Galicia, and Castile. Daughter of Alfonso VI de León and Constance de Bourgogne. Wife of Raymond de Bourgogne and Alifonso I d’Aragón. Mother of Sancha Raimúndez and Alfonso VII de León.
Mélisende, Queen of Jerusalem. Daughter of Baudouin II de Jérusalem and Morphia of Melitene. Wife of Foulques V, comte d’Anjou. Mother of Baudouin III and Amaury de Jérusalem.
Empress Mathilde, Lady of the English. Daughter of Henry I of England and Edith-Mathilde of Scotland. Wife of Heinrich V, Holy Roman Emperor and Geoffroy le Bel, comte d’Anjou. Mother of Henry II of England; Geoffrey, count of Nantes; and William FitzEmpress.
Peyronela, Queen of Aragon. Daughter of Remiro II d’Aragón and Agnès de Peitieus. Wife of Raimon Berenguer IV, comte de Barcelona. Mother of Alfons II d’Aragó; Raimon Berenguer IV, comte de Provença; Dolça d’Aragó, rainha de Portugal; and Sanç, comte de Proven��a.
Costanza I, Queen of Sicily. Daughter of Roger II of Sicily and Béatrice de Rethel. Wife of Heinrich VI, Holy Roman Emperor. Mother of Friedrich II, Holy Roman Emperor.
Tamar, King of Georgia. Daughter of Giorgi III of Georgia and Burdukhan of Alania. Wife of Yury Bogolyubsky and Davit Soslan of Alania. Mother of Giorgi IV and Rusudan of Georgia.
Zabel, Queen of Armenia. Daughter of Levon I of Armenia and Sibylle de Lusignan. Wife of Philippe d’Antioche and Hethum Baberon. Mother of Sibylla, Levon II, Thoros, and Maria of Armenia.
Jehanne I, Queen of Naples. Daughter of Charles d’Anjou, duca di Calabria and Marie de Valois. Wife of András of Hungary, Louis de Tarente, Jaume IV de Mallorca, and Otto von Braunschweig-Grubenhagen.
Margrete I Valdemarsdatter, Queen of Denmark. Daughter of Valdemar Atterdag af Danmark and Helvig af Slesvig. Wife of Håkon VI Magnusson av Norge. Mother of Olaf II Haakonsson.
Jadwiga, King of Poland. Daughter of Lajos I of Hungary and Elizabeta Kotromanić. Wife of Władysław II Jagiełło.
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jbgravereaux · 6 years
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De Recouvrance à Saïgon: romances et complaintes pour un folklore imaginaire, par Philippe Blondeau
Fanny de Lanninon1, une des plus célèbres chansons de Pierre Mac Orlan, figure en bonne place au répertoire des Marins de l’Iroise, Gabiers d’Artimon, Marins des Abers et autres interprètes bretons, professionnels ou amateurs, comme Éric Tabarly en personne qui aimait, dit-on, la chanter à l’occasion. Elle pourrait passer pour une chanson du folklore breton ; peut-être l’est-elle vraiment du reste, les chansons folkloriques n’étant jamais que des chansons d’auteur que le peuple s’est appropriées. C’est en tout cas ce que pensait Mac Orlan lui-même si l’on en juge par ces lignes : “ Dans quelques siècles, les chansons de Paris, transformées par des déformations amusantes de patois locaux, offriront aux amateurs de folklore d’authentiques et admirables chansons populaires, tout aussi fécondes en images gracieuses que Joli Tambour ou Auprès de ma blonde. Le temps purifie tout.2 ” L’auteur ne plaidait pas ainsi pour son œuvre de parolier puisque cet article de 1930 est bien antérieur à ses propres chansons. Il manifeste en tout cas un intérêt de longue date pour le genre.
Dans l’introduction à ses Chansons pour accordéon, publiées en 1953 après les premiers succès discographiques, Mac Orlan précisait : “ L’idée d’écrire des chansons ne m’est pas venue récemment. Dans presque tous mes livres, ma foi, j’ai introduit une chanson sentimentale, qui me paraissait résumer très clairement des situations romanesques un peu usées par leur fréquence ” (p. 2073). À vrai dire, même si l’on chante beaucoup dans ses romans, cette pratique n’est pas aussi systématique que l’auteur le suggère ; néanmoins les chansons ou fragments de chansons introduits ici ou là dans des récits soulignent par leur apparence folklorique les lieux communs d’une sentimentalité collective. Le folklore n’est guère qu’une illusion car les chansons en question sont souvent de Mac Orlan lui-même (bien qu’il ne soit pas toujours évident de distinguer les emprunts et les pures inventions). C’est le cas dans Docks dont l’édition originale de 1927 contient une première version de La fille de Londres créée par Germaine Montero en 1951, ou dans Les dés pipés (1929) qui se termine par la complainte Les Progrès d’une garce.                                                                                                                                       Tel n’est pas le cas de Fanny de Lanninon dont on ne relève pas d’esquisse dans un roman. À y regarder de plus près toutefois, l’esprit et la matière de cette chanson sont présents dans Brest, texte de 1926, et les quelques chapitres qui préludent aux Chansons pour accordéon empruntent en grande partie leur titre aux diverses Villes qui figurent dans le recueil ainsi nommé. Pour un écrivain qui a voulu faire de ses chansons une mémoire vivante de son existence, Fanny de Lanninon évoque en un raccourci éloquent le Brest du début du siècle et ce qu’il en reste après la Seconde Guerre. L’auteur a lui-même donné quelques clefs, comme ce M. Crouton, ingénieur des phares, modèle possible du personnage évoqué.                                                                                                                                                                                         S’il arrive que des chansons animent ou colorent des romans, beaucoup d’entre elles sont comme des raccourcis d’œuvres antérieures. On ne peut guère écouter Nelly sans penser au Quai des brumes, ni Jean de la Providence de Dieu sans se souvenir de Sous la lumière froide, récits dont les chansons soulignent la dimension autobiographique, quelque peu occultée par la transposition romanesque.                                                                                                         Le charme particulier des chansons de Mac Orlan réside en grande partie dans la conjonction heureuse de souvenirs très personnels et de motifs ou simplement de termes populaires ou argotiques. “ Un certain hermétisme convient parfaitement à des œuvres lyriques spécialisées, c’est-à-dire évocatrices de spectacles dont les professions ou les sociétés exceptionnelles dressent les décors ” (p. 78). Cette précision qui concerne les “ Chansons de charme pour faux-nez ”, évocatrices des bohémiens et des voyous, vaut aussi pour la chanson bretonne. Le “ bidel ” ou les “ marsouins ” contribuent à l’atmosphère au même titre que le “ Jean Gouin ” désignant autrefois, par antonomase, les fusiliers marins. À ces échos de traditions diverses, il faut ajouter le souvenir de chansons familières ; Mac Orlan a consacré un petit article à Henri Ansquer, l’auteur de la fameuse “ Complainte de Jean Quéméneur ” dont le héros n’est pas sans lien avec l’amoureux de Fanny et finit par faire vraiment son trou dans l’eau après avoir bu un coup de trop. Le refrain “ À Recouvrance ” rappelle évidemment les chansons très populaires de Bruant et Mac Orlan s’en souviendra dans “ Tendres promesses ”, chantée notamment par Juliette Gréco.                                                                                                                Cette dernière chanson, comme beaucoup d’autres, relève du genre de la complainte, forme privilégiée chez Mac Orlan, peintre des destins tragiques. La complainte est à vrai dire un genre bien daté dans les années cinquante où les chansons de Mac Orlan connaissent le succès mais l’écrivain se plaît à ces formes populaires héritières du XIXe siècle, comme la romance, “ celle qui invite à "aimer d’amour" [et] se compose éternellement de sentiments qui ne changent guère ”4. Pure romance par exemple que La Belle de Mai...                                                                                                                Bon connaisseur de la chanson populaire, Mac Orlan en fut aussi un excellent critique et, dès 1930, consacra des articles à Mayol, Germaine Montero, Fréhel, mais aussi aux diverses catégories du genre comme la chanson de rue, la chanson de route, ou encore la chanson de griveton qu’il illustrera à merveille avec des titres comme Bel-Abbès ou Marie-Dominique, laquelle est au folklore militaire ce que Fanny de Lanninon est au folklore breton, illustrée par de multiples versions, jusqu’à celle, assez récente de “ La Souris déglinguée ”, qui sent le camp scout guilleret plus que le poignant cafard macorlanien. On se prend à regretter telle autre version d’une chorale militaire, harmonisée avec une gravité quasi liturgique. Revers désenchanté de “ La Petite Tonkinoise ” de Vincent Scotto, cette belle chanson ressemble davantage à “ La Route de Mandalay ” de Kipling – le plus grand écrivain du monde selon Mac Orlan – et les derniers vers résonnent d’une mélancolie évidemment très personnelle. Écrite en peine guerre d’Indochine, elle devait tout naturellement trouver son public, au point de devenir presque officielle dans un certain microcosme militaire. Daniel Therby précise que “ lorsque le général "Père de l’Arme", gardien des traditions, passe les troupes en revue, c’est toujours au son de la chanson "Marie-Dominique" de Pierre Mac Orlan ”5.                                                                                                                Fanny de Lanninon fut enregistrée en 1950 par Laure Diana, actrice de cinéma et de théâtre, et également chanteuse d’opérette (1897-1980). Ce tout premier enregistrement comprend aussi Bel-Abbès, Marie-Dominique, Rose des bois, Nelly et La Belle de Mai. Cette belle réussite, que l’avenir ne démentira si l’on en juge par les très nombreuses reprises, doit beaucoup au compositeur Victor Marceau, ou plus simplement V. Marceau, de son vrai nom Marceau Verschueren. Cet accordéoniste virtuose ami de Mac Orlan – qui l’avait peut-être connu au Lapin Agile où il jouait parfois – fut aussi son professeur à l’occasion. Son sens indiscutable de la mélodie populaire a donné naissance à de véritables “ Chansons pour accordéon ” même si, comme dans le cas de Fanny de Lanninon, le découpage mélodique prend certaines libertés avec le découpage syntaxique. Des quelques compositeurs avec lesquels Mac Orlan collabora régulièrement, c’est certainement celui qui s’accorde le plus spontanément à son univers. C’est peut-être ce qui fait dire au parolier, à propos de La chanson de Catari de Chiaia : “ La musique de mon collaborateur Marceau est parfaitement napolitaine, elle évoque tout à fait, pour moi, ma jeunesse, mais il est presque impossible pour un écrivain de composer des paroles sur une musique qui, en somme, se suffit à elle-même. ” (p. 217)                                                                                                                 Les choses sont un peu différentes avec Michel Philippe-Gérard, de son vrai nom Philippe Bloch, né en 1924 au Brésil, qui réalisa le disque “ Gréco chante Mac Orlan ”, grand prix de l’académie Charles Cros en 1964. Dans les années cinquante, il avait déjà composé nombre de mélodies pour les plus grands noms de la chanson française, parmi lesquels Edith Piaf, Henri Salvador, Yves Montand. En 81, il réalisera le disque “ Jeanne Moreau chante Norge ”, avec la célèbre chanson Le nombril. Plus attentif peut-être que Marceau aux exigences du texte et de l’interprète, il a moins que lui le sens de la ritournelle qui rend une chanson inoubliable, jusqu’à en faire une drogue savoureuse et vénéneuse.                                                                                                    Chef d’orchestre, producteur, compositeur (notamment pour les films d’Alain Resnais, La Vie est un roman et Mélo), Philippe-Gérard était au piano pour le premier enregistrement de Germaine Montero en 1952, qui chanta et enregistra nombre de chansons de Mac Orlan avant de leur consacrer en 1965 – peu après la version de Juliette Gréco – deux disques qui rassemblent 22 chansons et qui constituent pour beaucoup d’amateurs l’enregistrement de référence.                                                                                                        Lino Léonardi, autre accordéoniste, composa pour sa femme Monique Morelli une partie des musiques du disque de 1968, dans un registre souvent plus sombre et lyrique. On doit à cette collaboration la très belle Ballade de la protection, aux accents du meilleur Ferré, ou l’émouvante Chanson de la ville morte, mais aussi des initiatives plus étranges comme la chanson intitulée curieusement Les Rues barrées, adaptation d’un poème de 1922, Les Six éléments, difficilement compréhensible sans ses intertitres et surchargé de références extrêmement datées. Monique Morelli chantera également, avec beaucoup de conviction, le beau poème dédié à Marguerite. Ces créations plus tardives nous rappellent d’ailleurs qu’un certain nombre de textes n’ont pas encore été mis en musique (avis aux amateurs !).                                                                                                                          Il est difficile, et sans doute inutile, de comparer les mérites de ces deux artistes d’exception que sont Germaine Montero et Monique Morelli, qui ont immortalisé entre autres Fanny de Lanninon. La première, plus littéraire si l’on veut, ce qui ne surprendra guère chez une interprète de Brecht et de Lorca, fait preuve de plus de distance, d’ironie parfois, et pratique la nuance avec une grande subtilité ; le registre de la seconde est plus âpre, plus brutal, avec des accents tragiques qui font merveille par exemple dans La Ballade de la protection. Mais il faudrait encore évoquer bien d’autres interprètes car, à la grande époque des cabarets, beaucoup parmi les chanteuses les plus remarquables se sont intéressées à Mac Orlan : Barbara, Catherine Sauvage, Francesca Solleville, etc. Il faudrait y ajouter quelques interprètes masculins comme Yves Montand (La Chanson perdue). Plus récemment, Patrick Denain proposa en 1982 une version qui ne démérite pas et les curieux pourront se procurer ce disque vinyle paru chez Arion et malheureusement non réédité.                                                                                                                                     Le succès de Fanny de Lanninon, comme de bien d’autres chansons de Mac Orlan, atteste le succès de son entreprise, avec une bonne cinquantaine de chansons, six ou sept disques qui leur sont exclusivement consacrés et quelques rééditions récentes. Cette “ conclusion d’une œuvre ” (l’expression est de l’écrivain) sous la forme de mémoires chantés a largement dépassé l’anecdote personnelle pour inventer, rétrospectivement, un certain folklore de sa génération, folklore imaginaire qui illustre à merveille la fameuse formule, qu’on attribue parfois à Brassens, selon laquelle la magie macorlanienne consiste à “ donner des souvenirs à ceux qui n’en ont pas ”.                                                                                                                          1 En contradiction avec le nom géographique Laninon, Mac Orlan écrit Lanninon. Nous conservons cette orthographe originale.                                    2 Repris dans Les Cahiers Pierre Mac Orlan, n° 11, Prima Linea, 1996 3 Toutes nos références renvoient aux Œuvres complètes, Poésies documentaires complètes, Éditions Rencontre, 1970-71. 4 Les Cahiers Pierre Mac Orlan, n° 11, éd. cit.5 “ Pierre Mac Orlan et la "Chose militaire" ”, Lectures de Mac Orlan n° 1, 2013, p. 85.                                                                    Philippe Blondeau Les Cahiers de l’Iroise, n° 215 – juillet-décembre 2013    http://velen.chez-alice.fr/bertin/orpailleurs_cahiers_iroise.htm
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francepittoresque · 4 years
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[OUVRAGE] Louis X, Philippe V, Charles IV : les derniers Capétiens, par Christelle Balouzat-Loubet ► http://j.mp/34kH70l L'histoire des trois fils de Philippe le Bel qui se succèdent sur le trône de France entre 1305 et 1328. S'éloignant du point de vue jugé trop caricatural des ouvrages de Maurice Druon, l'auteure dresse un portrait nuancé de ces rois, analyse la vie politique des derniers Capétiens et tente d'expliciter la fin brutale de cette dynastie en s'appuyant sur de nombreuses sources archivistiques
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the-french-thinkers · 3 years
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Monuments Around The Seine In Paris
By Louisa Paris
Around the Seine in Paris, many monuments exist. This fluvial network of 774 kilometers cuts Paris in two. On the Seine in Paris, traffic trafficking on fly boats is important. Shuttle trips regularly around the Eiffel Tower and the Garden of Plants.
The Eiffel Tower
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The Eiffel Tower is one of the most popular monuments in Paris. A stone's throw from the Seine, the Iron Lady is 324 meters high. Located in the 7th arrondissement, it was created by Gustave Eiffel in 1899. It is the 3rd most visited French cultural site in the world. Apart from its beauty, the Eiffel Tower had a particular interest in radio and television. In the 1920s, the Iron Lady's transmitter switched to civilian use. This will allow Charles de Gaulle in particular to send his message to France from London in June 40.
Bateaux Mouches
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Very famous in Paris, the riverboats attract millions of tourists each year to discover the capital. Fly boats made their first appearance in Paris on the occasion of the Universal Exhibition of 1867. On the Parisian river, they transported visitors to the exhibition and were a real success. Today, companies like the stars of Paris offer meals on site in addition to the cruise. Very fashionable, this kind of ride democratizes more and more thanks to its affordable prices.
Mirabeau Bridge
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Between the 15th and 16th arrondissements of Paris, the Pont de Mirabeau is one of the most beautiful in Paris. It connects rue de la Convention and the Pont Mirabeau roundabout. Very popular, the Pont Mirabeau is a poem by Guillaume Apollinaire, the bridge is also the title of a song by Léo Ferré or Thomas Fersen. Built at the end of the 19th century, at the same time as the Eiffel Tower, the bridge was classified as a historical monument in 1975. Entirely made of metal, it offers beautiful views of the capital. It is serious to Sadi Carnot, the then former president that this bridge was built.
The Cathedral Notre Dame de Paris
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The Cathedral of Notre Dame de Paris is one of the most emblematic monuments in Paris. It is located on the island of the city and bordered by the Seine. It is a cathedral, a place of Catholic worship, located on the Ile de la Cité in Paris. Built in the Middle Ages, from 1163 and over two centuries, it has become one of the symbols of France. On the night of April 15 to 16, 2019, a fire destroyed
a large part of the roof, and the spire of the cathedral collapsed. Thanks to the firefighters, the building is saved, as well
as a large part of the treasures it contained. It will take years to rebuild Notre Dame, but people around the world have donated to help rebuild it.
Island of the city : « l’Ile de la Cité »
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« L’ile de la Cité » was the seat of important powers. In the eastern part was the religious power and in the western part was the state power.
The first kings to settle there were the Capetians. Philippe Auguste, who paved the streets of Paris, married at the Palace. He repudiated his Danish wife the day after her wedding night.
His grandson Saint Louis lived in the palace and bought the relics of the Passion from the
Byzantine emperor Baudouin. He had a large reliquary built to house them: the Sainte Chapelle. This construction lasted 6 years.
From the time of the Middle Ages, there remains the Sainte-Chapelle and the Conciergerie.
Saint Louis' grandson, Philippe le Bel, did a lot of work.
Charles V was the last king who lived in the palace. The kings of France then lived in the Louvre and the Hôtel Saint Pol.
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pangeanews · 4 years
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“Ti amerò per sempre. Questa notte”. Louise de Vilmorin, la donna che ha sedotto Saint-Exupéry, André Malraux, Orson Welles
Nata nel castello di famiglia, a Verrières, da famiglia di celebri botanici, era l’aprile del 1902, a Louise Levêque de Vilmorin, probabilmente, piacevano gli aviatori e gli avventati. Ventenne, si fidanzò con Antoine de Saint-Exupéry. A lui lei piaceva moltissimo. “Ho avuto da Loulou lettere adorabili, una grande fiducia nell’avvenire: sono felice”, scrive a “mammina mia”. Lei è leggiadra, leggera, intelligente. Bella. Il volo le va come idea, quanto al resto, è totalmente cittadina, mondana – alle escursioni per deserti preferisce le feste nella metropoli. Il rapporto s’incrina quando, terminato il servizio militare, Saint-Exupéry è dissuaso, dai Vilmorin, dal coltivare l’aviazione come mestiere. Eppure, non si dispera. Pensa a Louise con venerazione, vuole sposarsi, avere dei figli. “Non penso che Loulou e io ci sposeremo prima di sei od otto mesi. I medici, pur ritenendo che lei stia meglio, non lo ritengono prudente, non dal punto di vista dello stato generale, ma dei ‘figli’, perché l’anca non è ancora abbastanza a posto”. Lei, tuttavia, “abbronzata come una negretta, sembra piena di brio”. In effetti. Più tardi dirà che il suo fidanzamento con Antoine fu una specie di gioco: di certo, s’affretta a rompere la relazione. Un anno e mezzo dopo si accasa con Henry Leigh Hunt, console onorario di Monaco e Las Vegas e si trasferisce nel Nevada. Altro che problemi di salute o d’altra sorta: la Vilmorin dona al marito tre figli, Jessica, Alexandra, Elena. Fatto ciò che una donna deve fare, tuttavia, si stanca, lo molla.
*
Amava gli avventati, appunto, Louise. Nel 1933 ha la prima relazione con l’uomo della sua vita, pardon, della sua morte. André Malraux. È ancora presto, però. Lui vince il Goncourt per La condizione umana, ha scorticato i bassorilievi del tempio di Bantey Srei, in Cambogia, vola tra Russia e Stati Uniti, s’impegna nella guerra civile spagnola. Deve realizzarsi, ed è già sposato – ispira Louise al romanzo. Lei pubblica Sainte-Unefois (ora Gallimard; 1934) e trova il suo stile: con la ferma isteria di un’unghia, screpola il cristallo del ‘bel mondo’, è elegante e crudele, arcana, una divina strega nell’Arcadia parigina.
*
Si fatica a star dietro a Louise de Vilmorin, regina del Settecento accaduta due secoli dopo, in piena modernità. È l’amante dello scrittore tedesco Friedrich Sieburg – tradotto in Francia da Pierre Klossowski – salvo darsi in sposa al conte e magnate ungherese Paul Pálffy d’Erdod, nel 1938, e mollarlo una manciata di anni dopo. È amata dall’ambasciatore inglese in Francia, Alfred Duff Cooper, che alterna al principe Paul V Esterházy. Nel 1947 conosce Coco Chanel, di cui diventa intima: di lei redige la biografia più densa, Mémoires de Coco (1957). Viaggia con l’aristocratico Sadruddin Aga Khan, poi Alto commissario delle Nazioni Unite per i rifugiati; partecipa alle feste esclusive di Charles de Beistegui. La Correspondance avec ses amis censisce rapporti con Paul Morand, Roger Nimier, René Clair, Marthe Bibesco, Gaston Gallimard. Nel 1951 pubblica Madame de…, il suo romanzo più noto, “specie di scherzo sulla menzogna e le sue conseguenze a catena, scatenate” (edito in Italia da Sellerio, insieme ad altri libri di Louise, come I gioielli di Madame de…). Due anni dopo Max Ophuls ne trarrà un film con Danielle Darrieux e Vittorio De Sica. Non è la prima volta che i libri di Louise de Vilmorin vengono tradotti al cinema; tra l’altro, è un’abile sceneggiatrice. Il lavoro più noto lo fa per Orson Welles, aiutandolo a ridurre un racconto di Karen Blixen, Storia immortale. Il film esce nel 1968, naturalmente c’è chi suggerisce una relazione fugace tra Welles e Louise – lei ha 65 anni e la sua vita è cambiata. Per sempre.
*
Louise e André Malraux: amanti nel 1933, si ritrovano trent’anni dopo, a un pranzo organizzato da Chanel
Pierre Galante racconta l’abboccamento così. “Fu durante un pranzo da Chanel che Louise de Vilmorin e André Malraux si incontrarono, dopo essersi persi di vista per molto tempo… ‘Addio, Signor Ministro!’, gridò Luise, bussando sul finestrino dell’automobile. ‘Tutto, fuorché un addio’, rispose Malraux, mandandole un bacio, con le labbra. ‘Ci rivedremo presto’. Aveva mantenuto la promessa. Trentatré anni dopo. Era ritornato da Louise come un uomo ricco, un ministro inamovibile, il potente consigliere rispettato dal generale de Gaulle”. Terminato il matrimonio con la ricca ereditiera tedesca Clara Goldschmidt, nel 1947, Malraux si era unito a Marie-Madeleine Lioux, pianista di talento, amica di Stravinsky e adorata da Jackie Kennedy, già moglie del fratellastro di André, Roland. In quegli anni la scalata di Malraux era stata micidiale, diventando il plenipotenziario degli affari culturali francesi. Il matrimonio si era intiepidito, fino a spegnersi. André e Marie-Madeleine si separarono nel 1966.
*
Su “André Malraux et Louise de Vilmorin, une passion au long cours” è uscita una lunga articolessa firmata da Thierry Clermont, su “Le Figaro”. Ciò che non si dice, al di là della candida storia d’amore tra due plurisessantenni ancora audaci, è che Louise de Vilmorin per quell’amore, letteralmente, morì. Lo ha raccontato, una manciata di anni fa, Jean Chalon, scrittore, giovane accompagnatore della Vilmorin. “Lei aveva 62 anni, io 29. Mi piacque subito. Nacque un’amicizia spontanea, invidiata. Louise mi invitava alle sue famose cene della domenica sera, a Verrières-le-Buisson. Piccolo borghese, scopro un altro mondo, un’arte del vivere, una donna che vive per sedurre. Ricordo il suo motto, la sua professione di fede: ‘Ti amerò per sempre. Questa notte’. Collezionò mariti affascinanti e amanti clamorosi. Non sopportava di stare da sola: grazie a lei, conobbi Louis Aragon, Françoise Sagan, Léo Ferré… Cambiò tutto quando, nell’estate del 1969, si trasferì a Verrières Malraux. Per riconquistarlo, gli aveva scritto per due anni, ogni giorno: Malraux non chiedeva che di essere sedotto. Diventarono amanti, le cene finirono. Abituata a brillare, Louise deve cedere il passo a lui, il nuovo re della sua corte. Quando parla il Ministro della cultura tutti raggelano, sull’attenti. In un momento di esasperazione, lei mi sussurra all’orecchio, ‘Non sono più Louise de Vilmorin, mi chiamo Marilyn Malraux’. La vita quotidiana tra l’elefante Malraux e la farfalla Louise diventò insopportabile. Quella donna spiritosa, erudita, estrosa, leggera, si era trasformata. La vedo l’ultima volta – senza sapere che sarà l’ultima – il 6 dicembre del 1969. Le chiedo se è felice. Con un gesto della mano mi risponde di no. Il 26 dicembre, rapita da un male, muore, d’improvviso”.
*
Malraux morirà nel 1976, inseguendo il Malraux che fu. Nel 1971 vuole arruolarsi nell’esercito indiano che lotta per l’indipendenza del Bangladesh; l’anno dopo si presenta da Richard Nixon come massimo esperto di questione cinesi, a fronte della sua antica amicizia con Mao Tse-tung. Henry Kissinger lo giudica un mitomane, un mentitore. Tra un ricovero per esaurimento nervoso e l’altro, appare in tivù, sciancando i perbenismi: “Politicamente, l’unità europea è un’utopia. Avremmo bisogno di un nemico comune per avere l’unità politica in Europa. L’unico nemico comune che potrebbe esistere è l’Islam”. Nel 1970 era morto Charles de Gaulle, nello stesso anno Malraux aveva introdotto le poesie di Louise de Vilmorin. Nel bene e nel male, de Gaulle e Louise sono stati gli amori della sua vita: da allora, Malraux è uno spettro. Scuro. (d.b.)
*In copertina: Vittorio De Sica e Danielle Darrieux, protagonisti del film di Max Ophuls del 1953, tratto dal libro di Louise de Vilmorin
L'articolo “Ti amerò per sempre. Questa notte”. Louise de Vilmorin, la donna che ha sedotto Saint-Exupéry, André Malraux, Orson Welles proviene da Pangea.
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