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#Crise économique mondiale
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Crise économique mondiale: les quatre recettes énergiques de Romuald Wadagni aux gouvernements africains
Crise économique mondiale: les quatre recettes énergiques de Romuald Wadagni aux gouvernements africains
  Chaque samedi « Jeune Afrique » invite une personnalité à décrypter un sujet d’actualité. Grand invité RFI/Jeune Afrique, le ministre béninois de l’Économie et des Finances livre son analyse sur la crise ukrainienne, qui, après le Covid, déstabilise le continent. En charge de l’Économie et des Finances depuis avril 2016, Romuald Wadagni, 45 ans, est plus que jamais l’un des piliers du…
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defenderoftheearth · 1 year
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Accusé de sabotage des Nord Stream, Washington cherche à esquiver, selon Seymour Hersh
Selon le journaliste Seymour Hersh, l’hypothèse d’une piste ukrainienne dans l’explosion des Nord Stream, relayée par plusieurs médias occidentaux, vise à détourner l’attention de son enquête désignant Washington comme commanditaire. Il a aussi mis en valeur le non-sens de cette piste, les Ukrainiens n’ayant pas de moyens de réaliser un tel acte. Les États-Unis tentent de passer sous silence…
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bouxmounir · 2 years
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Les Chinois sont dans un état de panique et les gens ne se préoccupent pas du reste du monde
Les Chinois sont dans un état de panique et les gens ne se préoccupent pas du reste du monde
Les banques chinoises font face à une crise importante. Atlantique : Banques locales en La Chine commence à montrer des signes d’insolvabilité, Des clients désespérés ont même assisté à plusieurs manifestations dans différentes régions du pays. Selon les habitants qui protestent, le les banques acceptent les retraites en espèces. Environ 1,49 milliard de dollars de dépôts ont été bloqués par les…
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raisongardee · 4 months
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"Il faudrait néanmoins être d’une candeur extrême pour croire un seul instant que les différentes oligarchies libérales en place – quand on connaît par exemple le cynisme absolu d’un Emmanuel Macron ou d’une Angela Merkel (le peuple grec a quelques raisons de s’en souvenir !) – n’ont pas immédiatement perçu l’immense bénéfice politique qu’elles allaient pouvoir tirer d’une crise sanitaire dont, c’est vrai, elles n’étaient pas directement responsables (sinon, bien sûr, à travers leur politique de démolition méthodique du service public hospitalier) mais qui, en revanche, leur fournissait un prétexte en or pour radicaliser et accélérer la mise en œuvre de l’ensemble de ces réformes politiques, économiques et sociétales (apprendre par exemple – jubilait Emmanuel Macron – à "saluer sans s’embrasser ni se serrer la main") que le caractère de plus en plus impitoyable de la guerre économique mondiale et les difficultés croissantes de la mise en valeur du capital déjà accumulé, rendraient déjà – quoi qu’il arrive - "indispensables" du point de vue libéral."
Jean-Claude Michéa, Extensions du domaine du capital, 2023.
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claudehenrion · 1 year
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La fin des grands empires et des civilisations
  “Nous autres, civilisations, savons que nous  sommes mortelles”, écrivait Paul Valéry au lendemain de la Grande Guerre… Perse, égyptien, inca, aztèque, maya, grec, romain, moghol ou, plus tard, européens puis américain… les   empires se sont effondrés un à un, avec les civilisations qui les avaient portés, le plus souvent non dans la guerre, mais parce qu'ils ont “pourri” de l'intérieur. Et il semble qu'il y ait comme un plafond de verre : très peu d'Empires ont dépassé  les 250 ans de notre “paradigme” européen. L’Histoire pourrait-elle nous convoquer devant son tribunal ?
La naissance et la fin des Empires a toujours exercé une forme de fascination, que montre le nombre de livres sur “The rise and fall of the XYZ Empire”, –Vie et mort de tel Empire. Depuis la nuit des temps, certains peuples ont imposé leur domination, pour une cause identifiable : le fer, l'or, la foi ou l'esprit –mais jamais le hasard. Plus tard, ils ont tous disparu (“Tout empire        périra”, dit un adage jamais démenti), pour des raisons multiples : crises de croissance, allongement sans fin des lignes de contrôle, non-assimilation des populations conquises, épuisement de “la source” (généralement : une ville, un roi guerrier), paupérisation économique, affaissement du modèle, faiblesse militaire ou apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. L’ambition ou le rêve d’être universel et éternel finit toujours par se heurter à la résistance de plus  fort que soi, et le temps-qui-passe multiplie les opportunités de voir se dresser des “challengers’‘ qui rêvent de contester ce qui est, au nom de leur propre ’'être” ou du refus de leur “avoir été” soumis ou vaincus.
“La fin des empires” (Editions Perrin), sous  la direction des historiens Patrice Gueniffey et Thierry Lentz,  raconte, explique et analyse la naissance, le déclin et la chute  des plus grands empires, depuis le génie militaire  d'Alexandre le Grand… jusqu'au soi-disant soft power économico-politique de Washington (le plus brutal et le plus impitoyable n'étant pas forcément celui qu'on croit !), en passant par le modèle romain dit “classique” et son héritier byzantin, par les empires des steppes (Attila, Gengis-Khan, Tamerlan), l'Empire ottoman, les  empires amérindiens et le binôme latino-continental espagnol, précédant le XX ème siècle des idéologies (1914-1991) qui a vu tour à tour s'effondrer l'empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier inhumain et épouvantable de l'impérialisme séculaire de la dynastie des Romanov.
Brisés dans leur histoire par les deux guerres mondiales, par la faillite des totalitarismes et par le déclin de l'Europe qui avait peu ou prou dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler condamnés avec “La Fin de l'histoire” (F. Fukuyama –1992). Mais si les empires  existants disparaissent, tout se passe, en fin de compte, comme s'il existait une cause cachée, de nature humaine, que mon maître André Siegfried désignait par “L'Ame des peuples” (une anecdote “perso” : dans les années ‘55, j'empruntais les “cartes” de mes amis pour aller suivre ses  cours à Sciences Po, avant de le retrouver, plus tard et plus officiellement, au Collège de France où j’ai eu la chance de mieux le connaître)
Car l'impérialisme, même mort, semble renaître sans cesse de ses cendres : les avatars de la Chine, l'éternel retour de la Russie, les rêves “ottomaniaques” d'Erdoğan, le poids sans cesse renouvelé des Etats-Unis, et même “l'Umma” arabo-musulmane, ce rêve de la “renaissance” d'un califat fantasmé… tout, dans l'Histoire, exprime la nostalgie de temps “heureux”, même inventés, comme le rêve islamiste (cf. “La gestion de la Barbarie”–2004). A l'opposé de ce programme ravageur, “La fin des empires” est essentiel pour connaître hier,      comprendre aujourd'hui, et prévoir demain. C’est, plus qu'un livre d'histoire, une étude sur l'Histoire, car… quels points communs peut-on trouver, intuitivement, entre la Grèce antique, les empires mongol puis moghol, le IIIe Reich allemand, les empires coloniaux français ou portugais et l’empire aztèque, par  exemple ?
Et pourtant, il ne se peut pas qu'il n'y en ait pas : depuis 5000 ans, des organisations politiques ont rassemblé des peuples, des langues et des religions sous la férule d’un empereur “en armes” prétendant peu ou prou à une vocation ou à un destin universels. Résultat : un “Empire” ne se définit pas par son      étendue (l’empire napoléonien “fait’'8,6 millions km² en 1811, et l’empire des steppes fondé par Gengis Khan, 33 millions km² à son apogée, du Pacifique à la Turquie actuelle)… ni par la durée (mille ans pour l’Empire byzantin, sept ans pour le IIIe Reich)… ni par une religion (il existait 30 000 dieux, vernaculaires ou importés, dans la Rome Impériale… d'où sans doute la célèbre expression : ’'Ils sont fous, ces romains’’ !)… et encore moins par le mode de gouvernement qui va d'une large autonomie aux peuples soumis (Athènes, Rome) à une centralisation paranoïde (la Sublime Porte, la Grande Russie, ou la tentation de  l'ogre  dit ‘’européen’’ actuel).
Les raisons de la création d'un Empire sont peu nombreuses et bien connues : il faut et il suffit d'un homme qui en rêve, d'un dieu qui le soutient, et de quelques critères de nature militaire : les armes de cuivre des hittites ne pouvaient que se rompre devant les épées de fer des égyptiens, les flèches des Incas  devant les tromblons des Conquistadores, la flotte vénitienne devant le ’'feu grégeois” et l'Europe de 1800 devant l'idée de  Napoléon de faire se déplacer les unités de la Grande Armée plus vite que tous ses ennemis, “d'Espagne en Autriche” (cf le célèbre monologue de Flambeau). Mais aussi notre belle infanterie devant la ruée des Panzers de Gudérian, en mai 40, et notre armée conçue pour l'Europe devant les mille ruses des “Bộ đội” fanatisés  de Ho Chi Minh… L'idée motrice, finalement, serait une tentative d'arrêter l'histoire (en la figeant dans une structure dont la taille assurerait une forme d'éternité) même si cette tentation a toujours été vouée à l’échec… ce qui n'empêche pas la vraie fascination qu'elle continue d'exercer.
En revanche, les causes de leur effondrement sont multiples : l’ambition  d’universalité se heurte aux résistances… le temps qui multiplie les opportunités … l'administration de territoires immenses… les mécanismes de succession (cas de l’empire carolingien et de l’empire mongol, qui éclatent en autant de royaumes que d’héritiers)… la désagrégation interne (pour l’empire soviétique)… la faiblesse ou la folie (Hitler et Staline, ces frères ennemis)… le coût du maintien d'un un appareil militaire suffisant (la principale menace pour les États-Unis)… les intrigues pernicieuses de la Cour ou du Harem (la Sublime Porte)… et le recours aux troupes mercenaires (Rome, et dynastie Qing, en      Chine)… l'inconscience des menaces et la trahison (Byzance)… l’inutilité de la super-structure du Saint Empire romain germanique…. Les causes sont nombreuses : presque autant que les Empires !
Que nous réserve la suite ? En fin de compte, se pencher sur la fin des empires, c’est s’interroger sur leur retour, favorisé par le déclin de l'Europe : la chute de l’Union  Soviétique semble avoir été le dernier épisode de la notion      classique d'Empire… (en pire… si j'ose !), même si l'évolution de la construction bruxelloise nous fait régresser vers l’époque médiévale du Saint Empire romain germanique –qui avait réussi à coiffer des duchés et des cités dans un ensemble à peine moins inconsistant que l’actuelle Union Européenne, en      tentant –c'est patent dans le second cas–  de contrer l'Etat-Nation, en le décrétant, contre toute évidence, populiste, réactionnaire, démagogue ou europhobe, voire “illibéral” – ce qui ne veut rien dire. Mais rien ne les arrête : ils se croient à l’abri et osent tout et n'importe quoi
Ce concept d'Etat-Nation, qui a “fait” l'Europe, est né au XIII ème siècle en France quand Philippe Auguste a décrété : “Le Roi est Empereur en son royaume”, illustration d'une volonté de renforcer l'institution royale et d'assurer sa suprématie sur toute autre puissance. L’État-Nation  connaît ses débuts réels à la Renaissance et devient la forme normale d’organisation politique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Paradoxalement, c’est en Europe et par l'Europe-institution qu’il semble se déliter maintenant, dans un  pas de deux entre les “modèles” d'Empire et d'Etat-Nation.. Que nous réserve la suite ? L’avenir semble hésiter entre  des empires économiques (USA), théocratiques (l'islam) ou iso-messianiques (Chine), la pérennité d’États-Nations, l’Europe-institution déjà ratée, d’autres formats à créer…
H-Cl.
PS. : Dans mes recherches pour cet éditorial, je suis tombé sur la liste des dix  plus grands empires de l'Histoire, ce qui pourrait intéresser certains d’entre vous, Amis lecteurs. ‘‘Sic transit gloria mundi‘’ : voilà comment disparaît la gloire  du monde… Cette liste, recopiée ‘’in texto’’, raconte une autre vision de l’Histoire du monde : une nette domination des pays ‘’du Croissant d’or’’ jusque vers l’an mil de notre ère, puis l’Asie jusqu’au XIIIè siècle… et l’Europe  ensuite (l’Empire Américain qui en est le pseudopode n’est pas mentionné dans cette étude : il est trop flou dans ses limites mais nous savons qui est le chef, aujourd’hui). Et demain ? Qui ? Où ?
          1 - Empire britannique (35 500 000 km2 en 1920)           2 - Empire Mongol  (33 200 000 km2 en 1279)           3 - Empire russe (22 800 000 km2 en 1895)           4 - Empire espagnol (22 000 000 km2 en 1810)           5 - Dynastie Qing (14 700 000 km2 en 1790)           6 - Empire colonial français (13 500 000 km2 en 1939)           7 - Califat abbasside (11 100 000 km2 en 750)           8 - Califat omeyyade (11 000 000 km2 en 720)           9 - Dynastie Yuan (11 000 000 km2 en 1310)           10- Empire colonial portugais (10 400 000 km2 en 1820)
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yespat49 · 4 months
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En 1932, la Gauche française vote les lois de préférence nationale
Entre les deux guerres mondiales, la reconstruction du pays nécessite un apport de travailleurs étrangers. En 1926, ils seront 2,5 millions. A partir de 1928, la crise économique mondiale a pour conséquence une montée du chômage de masse. La xénophobie contre les Polonais, Italiens et Espagnols progresse en France. Dès 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste) lance une…
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lemondeabicyclette · 6 months
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🇫🇷 👀 WHOA 👀
Dans une vidéo récente, l'archevêque Vigano lâche quelques lourdes bombes de vérité.
- Il dénonce Slade Sommer le "collaborateur" médiatique d'Hillary Clinton et de John Podesta qui a œuvré pour étouffer le Pizzagate.
- affirme qu'Epstein et Ghislaine Maxwell menaient des opérations de chantage pour le compte du Mossad
- Il affirme que les dirigeants occidentaux ne parlent pas des massacres à Gaza parce que les services secrets israéliens les font chanter.
- Le COVID est considéré comme une fausse urgence par le Forum Économique Mondial et l'ONU
- La crise ukrainienne est une farce
🇺🇸 👀 WHOA 👀
In a recent video Archbishop Vigano drops some heavy truth bombs
- Calls out Slade Sommer, the media "collaborator" of Hillary Clinton and John Podesta who worked to cover up Pizzagate
- Says Epstein and Ghislaine Maxwell were running blackmail operations on behalf of Mossad
- Says Western world leaders aren't talking about massacres in Gaza because Israeli intelligence has blackmail on them
@StoryOfBlackBond
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iferhounene · 1 year
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la guerre atomique
La 3eme guerre mondiale sera nucléaire
La troisième guerre mondiale est inévitable. Elle sera nucléaire. Elle sera déclenchée par une puissance nucléaire mais causée sous le prétexte d’une cause d’un petit pays. Les causes de la guerre mondiale nucléaire existent et ne peuvent être ni ignorées, ni évitées. Les système politiques qui s’opposent et s’excluent sur la planète sont purement économiques et échappent donc au raisonnement humaniste. D’un côté, le monde libre, capitaliste, démocratique, de l’autre le système dirigiste, autocratique, dictatorial. D’un côté la libre entreprise, de l’autre l’État entrepreneur. La crise du capital ne peut être résolue que dans une optique de libre échange mondial. L’émergence de puissances communistes constituent une barrière aux desseins de prospérité du capitalisme. La réduction du champ d’action du capitalisme accentue la crise. La conquête d’autres planètes est fastidieuse, onéreuse et longue, alors que l’humanité est menacée par la faim, la maladie, le réchauffement climatique, la pollution. Il est urgent de trouver des solutions aux problèmes qui menacent la survie de l’humanité entière. L’Amérique est un vaste et très populeux territoire, le maintien d’une organisation a même d’assurer la stabilité dépend de la prospérité de l’économie américaine. Une guerre civile qui se déroulerait aux USA, aura un effet dévastateur sur le monde, par son impact géostratégique, l’Amérique est puissante. Mais elle est plus vulnérable qu’un petit pays africain dont les besoins sociaux sont réduits à leur plus simple expression. L’Amérique a atteint un stade de non-retour dans le développement.
La guerre nucléaire est inscrite dans la logique du développement de l’humanité et de l’évolution naturelle des choses.
Quand sera-t- elle déclenchée ? ce n’est qu’une question d’années. Elle interviendra de façon imprévue, soudainement, quand un dirigeant d’une puissance nucléaire aura perdu la raison. Attention ! cette guerre, la dernière de l’humanité peut être déclenche aussi bien par le petit communiste de Corée du Nord, que par le géant Xi chinois. Erreur pour ce qui croient que la guerre atomique est le monopole de Poutine ou de Joe Biden ou encore Benjamin Netanyahu.
Mais le développement de l’industrie militaire est devenu incontrôlable, et si tout se passe bien ,en l’absence d’une guerre nucléaire précoce, les palestiniens, les kurdes, et autres mouvements indépendantistes auront leur petite bombe atomique portable.
Mais restons sur notre sujet pressamment préoccupant. C’est la réaction à la première attaque nucléaire qu’Il faut craindre. Car celle-ci sera fulgurante, et interviendra dans un geste de panique. Elle ne sera pas, je veux dire, la réaction, mesurée, calculée, mais dans un réflexe de légitime défense contre la mort. Il ne s’agit pas d’une simple bagarre d’enfants à mains nues. Il s’agit bien de coup fatal, imparable, mortel! C’est donc celui qui aura a faire usage de l’arme atomique en réponse à une première attaque qu’il faut craindre et non pas celui qui tentera en premier de dissuader l’adversaire par une seule ou 2 oignes. Hiroshima et Nagasaki ne se reproduiront plus, car la Russie, la Corée du Nord, le Pakistan, l’Inde, la France, l’Angleterre, l’Afrique du Sud, Israël, la Chine, ne sont pas le Japon ou l’Allemagne de la 2eme guerre mondiale.
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aurevoirmonty · 11 months
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Jacques Attali, piégé par des prankers, annonce la crise financière en août.
Les prankers russes Vovan et Lexus ont encore fait deux victimes de choix – Bernard Henri Lévy et Jacques Attali, qu’ils ont appelé en se faisant passer pour l’ex-président ukrainien Petro Porochenko. Ils ont publié les vidéos sur internet – elles ont été partagées par les plus grands titres russes, dont les Vesti, l’équivalent russe de France Télévisions, et sur les réseaux sociaux mondiaux. L’entretien a eu lieu en anglais (disponible ici)
Entre autres, Jacques Attali a assuré aux prankers qu’il « ne fallait pas faire de compromis avec la Russie » et que « l’Occident a eu l’illusion que la Russie sera une démocratie » ; pour l’Ukraine aujourd’hui, il estime qu’il « n’y a pas d’autre solution qu’une victoire totale et de se débarrasser de Poutine. Nous devons prendre tous les risques possibles. ». 
Il fait état d’une « longue conversation il y a un mois avec Henry Kissinger », autre idéologue atlantiste de renom, sur le devenir d’une Russie « divisée en trois, une Russie de l’ouest qui peut être une part de l’Europe, une Russie de l’est qui sera avalée par la Chine et au milieu nous aurions une espèce d’Irak ou d’Afghanistan plein d’islamisme et qui sera un cauchemar pour nous tous». 
Washington, le maillon faible ?
Jacques Attali a aussi exposé sa crainte que les Etats-Unis ne lâchent l’Ukraine : « il y a un scénario cauchemar où les Etats-Unis disent, ça suffit, nous ne voulons plus aider l’Ukraine, vous devez négocier. La France, l’Angleterre et l’Allemagne ne pourront pas le faire, mais les Etats-Unis peuvent forcer votre gouvernement en disant ”nous voulons un cessez-le-feu à tout prix”. Le plus important est d’éviter cela […] le maillon faible, c’est Washington  ». 
Pour l’éviter, il conseille à son interlocuteur de mentir et de dramatiser la situation : « à votre place, je dramatiserai plus que le fait Zelenski. Il faut dire que vous pouvez manquer de munitions et d’armes, même si ce n’est pas vrai, vous devez dramatiser les risques ». 
Il reconnaît au passage la faiblesse de l’industrie européenne, qui peine à suivre le rythme d’un conflit de haute intensité : « Les Russes font de leur mieux pour affaiblir l’Europe de l’Ouest, mais c’est vrai que nous sommes faibles, notre industrie militaire ne produit pas assez. Nous ne sommes pas en économie du temps de guerre. J’ai poussé il y a deux ans pour qu’on y soit, ensuite l’année dernière. Nous ne sommes pas mobilisés et ne ressentons pas l’urgence de faire plus ». 
« Nos médias sont excellents » (et serviles)
En revanche il a loué les médias – il est vrai, abondamment financés et bien tenus : « nos médias sont excellents, les médias français et américains sont à fond derrière l’Ukraine ». Et toutes les voix discordantes comme RT ou Sputnik ont été interdites, au nom de la liberté d’expression, comme le fonds européen pour la paix a été mis au service de la guerre en Ukraine. La paix c’est la guerre, la liberté c’est l’esclavage…
Au passage, il a affirmé – au sujet du refus réitéré de la Hongrie de livrer des armes à l’Ukraine, « la Hongrie est un désastre, ne perdez pas votre temps avec eux ». Un certain Soros en sait quelque chose… « Il y a des pays plus importants, comme l’Italie, l’Espagne, qui importe toujours du pétrole russe ». 
Une autre partie de la conversation portait sur les risques financiers et notamment ceux d’une nouvelle crise, alors que les sanctions et contre-sanctions, puis l’attentat sur le gazoduc North Stream entre l’Allemagne et la Russie – Attali « pense réellement qu’il n’est pas impossible les Américains soient derrière », ont conduit à un renchérissement de l’énergie en Europe, donc des difficultés importantes pour l’industrie, et un renchérissement des coûts pour les divers acteurs économiques et les ménages. La mauvaise santé de l’économie européenne a déjà des conséquences sur ses fournisseurs – notamment la Chine, locomotive de l’économie mondiale, dont les exportations chutent et qui ralentit – tandis que la crise de l’immobilier n’a pas été réglée et couve toujours. 
« Mon bureau a rédigé une note il y a deux jours sur le scénario catastrophe […], elle est confidentielle, destinée à certains chefs d’Etat, nous produisons des notes hebdomadaires sur la situation à destination de quelques chefs d’Etat. Le pire scénario c’est un krach de la Deutsche Bank, suivi d’un krach du système financier américain. Ce sera une vraie crise qui va conduire à la restriction des crédits et une récession globale  Et cela va créer des problèmes pour l’aide à l’Ukraine ».
Interrogé sur l’augmentation passée des taux d’intérêts par la FED, Attali réagit au quart de tour : « c’était une terrible erreur de le faire ; nous n’aurions pas du augmenter les taux car cela a mené à une crise. Il y a un réel danger pour les banques […] l’économie américaine a beaucoup de problèmes […] La crise globale a 30% de chances d’arriver »  […] il va y avoir de nombreux problèmes devant nous. Il y a de sérieux risques d’une crise mondiale en août ». 
Les Etats-Unis ont une dette colossale, et la seule façon de financer le budget, c’est de s’arranger entre les partis au congrès [pour remonter le plafond de la dette – NDLR] Comme ils sont proches d’élections, les démocrates veulent augmenter les impôts et les républicains couper dans les dépenses, ils n’arrivent pas à s’entendre. Il y a le risque d’une impasse, et d’un manque de confiance dans le dollar, le dollar peut plonger. Tous les spécialistes pensent qu’une crise majeure est possible en août ». 
Et pour l’Ukraine, en cas de crise mondiale ? Attali « ne pense pas que quelqu’un va abandonner l’Ukraine. Mais supposez qu’il y a un problème de crimes de guerre, de crimes de guerre ukrainiens ou un grand scandale de corruption ukrainienne, c’est le cas où le soutien [financier et militaire] à l’Ukraine diminuerait […] Votre point faible, c’est la réputation […] le danger c’est que les gens disent que l’Ukraine et la Russie, c’est pareil ».
Attali enfonce Macron ? 
 Attali a rappelé une fois de plus qu’il était « très proche de [s]on président qui a été mon assistant. Il me consulte aussi souvent que possible, et je suis opposé à sa politique, car j’estime qu’il commet beaucoup d’erreurs. Il est extraordinairement impopulaire et ce n’est pas bon ». Il affirme que la réforme des retraites est « une terrible erreur, mais il est buté. Les manifestations ne sont pas l’équivalent du Maïdan [le coup d’état en Ukraine en 2014, à l’origine de la sécession de la Crimée et du début de la guerre civile entre l’Ukraine et les républiques du Donbass, où la Russie est intervenue en février 2022] mais c’est sérieux »
Louis Moulin
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jloisse · 2 years
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🔴 Michel Chossudovsky : "Le Forum Economique Mondial est l'architecte de cette fausse pandémie et de cette crise économique. Leur projet était de détruire la vie des gens."
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Crise sanitaire de 1 an et demi qui a détruit notre santé mentale, problème économiques et politiques et maintenant ça parle de troisième guerre mondiale avec Taïwan mais on a fait quoi pour mériter ça là
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Lorsqu’une fin d’année approche, on ressent généralement tous la même envie savoir ce que nous réserve la nouvelle année qui s’annonce
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Ce qui nous attends une troisième guerre mondiale pourrait éclater et devrait durer sept mois. Les premiers pas sur la planète Mars. L’apparition d’une nouvelle crise économique. L’aggravation de la crise climatique. L’arrivée d’un nouveau pape parmi les prédictions les plus troublantes de Nostradamus, la mort du Pape François. Pour lui succéder, un nouveau pape sera désigné. Ce dernier, plus jeune, sera à l’origine d’un énorme scandale qui secouera l’église jusqu’en 2029.
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defenderoftheearth · 1 year
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Nouvel Ordre Mondial:Les États-Unis, un géant entravé au bord de l'abime
La nouvelle réjouira tout ce que la France compte d’antiaméricains et de pro-poutiniens, à l’extrême gauche ou dans les rangs ultranationalistes : les prémices de la campagne présidentielle de 2024 pèsent déjà, de manière négative, sur la politique extérieure de Washington. À l’issue du sommet du G7, le 21 mai à Hiroshima, Joe Biden a dû annuler une mini-tournée en Asie destinée à consolider le…
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duxvonzazer · 1 year
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4. La thèse de la révolution managériale
C’est l’émergence de cette nouvelle classe dirigeante qui révèle l’émergence d’un nouveau cadre institutionnel dans les sociétés développées. Burnham estime que les managers supplantent les capitalistes et les actionnaires passifs en ce qui concerne le contrôle de l’usage des instruments de production. Mais ils contrôlent également la distribution des richesses en exerçant le pouvoir dans les administrations étatiques, dont les interventions augmentent dans le sillage de la crise des années trente. La Seconde Guerre mondiale renforce cette tendance à la mise en sommeil du marché comme mécanisme de coordination économique au profit de la planification mise en œuvre par des bureaucraties privées et publiques. Au niveau politique, le pouvoir parlementaire caractéristique du régime capitaliste se réduit tandis que les prérogatives des agences et comités représentant le secteur exécutif du gouvernement s’élargissent.
La révolution managériale se caractérise dès lors par la fusion des sphères politiques et économiques, puisque les entreprises et les administrations sont aux mains de ceux qui les administrent. Burnham tient également la fusion des syndicats et de l’État comme une caractéristique de la société à venir. Cela s’explique par le fait qu’il pense que la société russe et la société allemande sont les plus avancées sur la voie de cette révolution managériale, tandis que le New Deal aux États-Unis constitue un premier pas dans cette direction. La multiplicité des États-nations entre selon notre auteur en contradiction avec les réquisits économiques et technologiques. Il prévoit alors l’émergence de grands blocs autour de trois superpuissances – les États-Unis, l’Allemagne et le Japon – ainsi que la scission de la Russie entre sa partie occidentale et sa partie orientale.
Enfin, il considère que les idéologies qui soutiennent cette révolution managériale sont les mêmes dans toutes ces sociétés : recherche d’efficacité productive, rationalisation des mécanismes de coordination et élitisme technocratique – soit autant de valeurs permettant de résoudre les problèmes créés par le régime capitaliste. C’est cette société bureaucratique de contrôle que voit naître Burnham qui inspire à son contemporain Georges Orwell sa fameuse dystopie 1984.
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Sommet De Séoul | Akufo addo Plaide Pour Un Partenariat Renforcé Entre L'Afrique Et La Corée. Lors du sommet Corée-Afrique 2024 à Séoul, le président ghanéen Nana Addo Dankwa Akufo-Addo a appelé à une collaboration plus profonde et à une croissance mutuelle entre les deux régions. Akufo addo Plaide Pour Un Partenariat Renforcé Entre L'Afrique Et La Corée Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar ce matin pour le Nigéria et le Ghana S’adressant à un auditoire comprenant le président coréen Yoon Suk-yeol et d’autres chefs d’État, Akufo-Addo a exposé sa vision d’un avenir partagé, durable et solidaire, souligné par le thème du sommet, « L’avenir que nous construisons ensemble ». Akufo-Addo a rappelé les relations de longue date entre le Ghana et la Corée, établies en 1977, et a salué la Corée comme un partenaire et un ami fiable. Il a mis en avant les échanges économiques, culturels et politiques fructueux entre les deux nations. Trois Piliers Essentiels pour l’Avenir Président Bassirou Diomaye Faye Au Nigéria Et Au Ghana, Les 16 Et 17 Mai Le président ghanéen a identifié trois piliers clés pour l’avenir des relations Afrique-Corée. Akufo-Addo a souligné l’importance de la collaboration économique, notant que les ressources naturelles de l’Afrique et sa population jeune sont des atouts majeurs. Il a encouragé le commerce, l’investissement et l’innovation pour créer une relation synergique bénéfique pour les deux régions. Il a mentionné les progrès significatifs dans la coopération économique, avec des échanges accrus et des entreprises communes prospères dans des secteurs tels que la fabrication, l’agriculture et les technologies de l’information. →A lire aussi Biographie du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye Abordant la crise climatique mondiale, Akufo-Addo a appelé à des pratiques durables pour protéger l’environnement et promouvoir les énergies renouvelables. Il a salué le leadership de la Corée en matière de technologies vertes et de développement durable, et a encouragé l’Afrique à tirer parti de ces innovations. Il a souligné la nécessité d’une solidarité mondiale, en particulier à la lumière de la pandémie de COVID-19 et d’autres défis mondiaux. Il a souligné l’importance de se soutenir mutuellement pour assurer une résilience collective. Renforcement des Relations Trilatérales Crise économique au Ghana le président Nana Addo réduit son salaire de 30% Akufo-Addo a également fait référence à la récente réunion trilatérale de la Corée avec le Japon et la Chine, notant son importance pour l’Afrique. Il a souligné que le renforcement des relations entre ces puissances économiques devrait conduire à une augmentation des investissements, à l’ouverture de nouveaux marchés pour les produits africains et à des transferts de technologie. L’Innovation et la Technologie Qui était Jerry John Rawlings, l'ancien président du Ghana décédé Le président ghanéen a mis en avant le potentiel de l’innovation et de la technologie pour stimuler le développement durable. Il a appelé à une collaboration accrue dans la recherche et le développement, à l’avancement de la culture numérique et à la promotion de l’esprit d’entreprise afin de tirer parti des avantages de la quatrième révolution industrielle. Akufo-Addo a exprimé sa confiance dans l’avenir des relations entre l’Afrique et la Corée. Il a affirmé que « l’avenir que nous construisons ensemble devrait être caractérisé par la croissance partagée, la durabilité et la solidarité ». Akufo addo Plaide Pour Un Partenariat Renforcé Entre L'Afrique Et La Corée →A lire aussi Biographie du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye Il a exhorté les deux régions à saisir l’opportunité d’approfondir leur collaboration et de construire un avenir plus brillant et prospère. Le sommet Corée-Afrique 2024 se poursuivra avec diverses sessions visant à renforcer les liens et à explorer de nouvelles voies de coopération, où les dirigeants et les délégués des deux régions s’engageront dans des dialogues significatifs pour faire avancer leurs objectifs communs.
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claudehenrion · 1 year
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Etre ''complotiste''... ou disparaître ?
  Devant leur incompréhension des mécanismes qui dirigent (mal), gèrent (encore plus mal), désorientent ou esquintent --c'est selon le moment-- nos sociétés, nos pays, les gens, et le monde, les gouvernants accroissent,  dangereusement, leur mainmise sur l'intimité des citoyens. Le spectre permanent d'une guerre mondiale, la montée incontrôlable de techniques qui finiront par écraser l'homme (il suffit d'attendre), et !e remplacement de tout débat rationnel par un ''narratif'' d'Etat au profit d'une censure institutionnelle... jettent peu à peu les bases d'une sinistre gouvernance totalitaire, dont la première manifestation est une tentative de prise de contrôle du cerveau de la population civile (à tout le moins... de son contenu !).
Les torrents qui nous menacent et dont certains ont déjà commencé à nous engloutir, ont un potentiel de nuisance catastrophique. En deux petites années, le monde a enduré et encaissé la pandémie dite du COVID-19, la contrainte d'un confinement sauvage et ridicule mais démontré totalement inutile, une extrême volatilité économique, les terreurs crées par une dramatisation culpabilisante du réchauffement du climat, une guerre ''impossible, et pourtant...'', des pénuries de matières premières et autres... et les tentatives du Forum économique mondial pour exploiter cette cascade de crises et justifier (?) une Grande Réinitialisation structurelle –''The Great Reset''-- tendant à une stricte régulation de tout ou peu s'en faut par une ''cabale'' non élue mais auto-choisie sur... aucun critère. Au nom d'une lutte contre un "changement climatique" mal compris, contre un covid mal géré, ou contre toute autre mauvaise raison ''ad hoc'' qui surgirait ou serait inventée ou fabriquée, les gouvernements exercent un contrôle subreptice de plus en plus serré, autour de "narratifs" obligés, créés de leur propre (?) main. Et, parallèlement, ils pourchassent sauvagement toute dissidence, mais là, pas ''subrepticement'' !.
Les bureaucrates de la santé et les politiciens, au prétexte mille fois ressassé qu'ils ''suivent ce que dit la science'' (ce qui est un mensonge et une absurdité), nous ont fait obligation d'obéir à des règles idiotes, inventées par eux seuls (cf. ''le confinement'' !), dans un interdit féroce de tout débat raisonné. Le résultat était prévisible : les conséquences mortelles du virus fabriqué à Wuhan se sont ''recyclées'' en conséquences bien plus mortelles, à cause de politiques sanitaires absurdes. La fermeture des écoles a entraîné un malheur invisible que nos enfants paieront cher, très longtemps... Le dysfonctionnement volontaire des services ''non-covid'' de nos hôpitaux a nui aux patients dont les diagnostics et les soins préventifs ont été retardés ou annulés, sans profiter du tout aux victimes du ''SARS II'', honteusement ''intubés'', comme pour accélérer leur mort... Par milliers, des petites entreprises ont dû déposer leur bilan... Beaucoup de français survivent avec des ressources moindres ou ''suspendues''...  L'État est endetté à un niveau jamais atteint (et personne ne sait comment ce drame pourrait finir)... au profit de lobbies, de McKinsey, de marottes présidentielles, ‘’progressistes’’ donc néfastes, d’une immigration en folie, ou de pirates ''Geek'' étrangers... Les folies politiques, fiscales, monétaires et de crédit adoptées par nos gouvernements pour faire face à des urgences à court terme ont mis en danger la solvabilité à long terme de la nation et affaibli notre capacité à investir. Mais avez-vous entendu une seule ''excuse'' pour toutes ces erreurs et ces tromperies ? Jamais, bien entendu !
Pourtant, face à l'explosion insoutenable de la dette publique, on voit poindre le risque d'une grave dépression. Entre le revanchisme russe et l'expansionnisme chinois, les grandes puissances se retrouvent engagées sur une voie dangereuse, ’’à l’insu de leur plein gré’’, et tombent dans tous les pièges de Zélansky... ce qui est peut-être plus grave encore. Mais plus l'avenir proche rend les décideurs (?) nerveux, plus on dirait qu'ils ne voient d'autre issue que de s'entêter dans leurs erreurs et de nous contraindre à subir leurs non-solutions. Pour ce faire, ils mettent en œuvre des moyens immenses pour contrôler soit les informations auxquelles nous avons accès, soit la manière dont nous traitons ces informations et, en fin de compte, ce que nous pensons et disons : nos gouvernants sont comme fascinés par l'idée (mortelle) d'utiliser les nouvelles armes numériques de surveillance et de communication de masse pour diffuser leurs mensonges, manipuler l'opinion et influencer le comportement de leurs semblables. C'en est au point que toutes les manipulations psychologiques du passé semblent rudimentaires, voire  primitives.
Aujourd'hui, les podiums d'où ''beuglaient'' les anciens dictateurs ont été remplacés par Twitter, Facebook, YouTube, TikTok, etc, où un public captif peut être déformé''en ligne'', puisqu'il est même demandeur. Les stimuli visuels qui enthousiasmaient les foules nazies, fascistes ou communistes sont remplacés par la libération d'endorphines génératrices de plaisir qui inondent le cerveau après que chaque déclaration "politiquement correcte" en ligne a été "récompensée" par l'approbation d'illustres inconnus (''le Professeur (?) Dukhon, chef du Service de Mpfchzyction à l'Hôpital Duchnock''... et inconnu jusque là) dont les titres donnent l'impression qu'il serait imprudent de ne pas être d'accord avec ce qui vient d'être dit, même si ces titres sont sans le moindre lien avec le sujet : un médecin est un médecin, avec sa superbe compétence, et un scientifique est tout autre chose, avec de jolies préoccupations aussi... le double talent étant rarissime (deux ou trois noms me viennent, et ce sont des amis... mais évidemment pas un seul de ces morpions accros au ''20 heures'', qui récitaient 3 fois par jour les mêmes inepties, au mot près). Quant aux soi-disant ''influenceurs'', ce sont des intermédiaires qui marchent au pas de l'oie dans le cadre de campagnes de propagande, qui touchent plus d'humains en une journée que les discours d'Hitler, Mussolini et Staline n'en touchaient en dix ans.  Paradoxalement, à une époque où l'information n'a jamais été aussi facilement accessible, le monde est inondé de mensonges.
Au lieu d'encourager le débat public et les arguments rationnels, les gouvernants s'accrochent à un ''narratif'' mensonger qu'ils inventent ou qu’ils modifient au gré des événements... ou de leur besoin d'orienter les masses vers ceci aujourd'hui et cela, demain. Et là... soit le citoyen se soumet aux règles absurdes et intrusives du gouvernement (en matière de confinement, de vaccins à répétition, de Giécophilie punitive et confiscatoire, de théorie du genre, de féminisme guerrier, de livraison de chars lourds à l'Ukraine au risque d'une réplique nucléaire, de grand remplacement (nié !) par migrants pour ''métiers en tension'' --c’est encore un scandaleux bobard ''marketing'' !--, etc..., soit il est qualifié de ''négationniste'', d''anti-vax'', de climato-sceptique, de féminicide, de ''poutinophile'', de ''raciste islamophobe''... ou encore –honneur suprême pour ceux qui en sont dignes-- de ''Complotiste''. Dit autrement : soit on accepte docilement les règles indémontrables et changeantes (toujours intrusives, c'est  important) du gouvernement, soit on devient un ''ennemi'' qu'il est hyper-jouissif d'emmerder –pour parler comme à l'Elysée. Oser contredire le récit officiel vous fait bannir des réseaux sociaux, et vous vaut une sanction professionnelle, voire un licenciement... à ceci près que tous les "narratifs" officiels au nom desquels on vous punit sont mensongers : la communication ‘’en ligne’’, si elle propage bien les ou des mensonges, exclut toute vérité.
Plus des événements mondiaux les déstabilisent et moins nos gouvernants acceptent la diversité des points de vue et le débat. Au contraire, plus le problème est grave, plus ils tremblent devant toute dissidence, et plus ils nous  imposent leur ''narratif'' obligatoire mais mensonger. Tout argument raisonné étant interdit, le citoyen doit accepter le baratin du gouvernement, sous peine de s'attirer les foudres de la technocratie. En ces jours où le Séminaire de Davos bat son plein de vide-- que c'est une vraie guerre pour le contrôle de huit milliards de cerveaux qui vient de commencer. Et la France joue ''en première division'', dans cette galère ''à qui perd, perd''. Les citoyens doivent donc être vigilants comme jamais dans le traitement et l'évaluation de ce qu'ils voient, entendent et lisent (NB : une bonne recette : ''Tout ce qui vient ''d'en haut'' est suspect. Pas toujours faux, mais toujours orienté, présenté sous l'angle le moins favorable aux futurs souhaitables pour l'Humanité''!). De nouveau, nous re-voilà encerclés par une ‘’Propaganda’’ totalitaire qui se dit ''vérité'', à ceci près que, en 2023, la portée et l'ampleur de l'endoctrinement de masse n’ont aucune limite. En sommes-nous conscients ?
Et si, devant la perspective des lendemains qu''on'' nous prépare, la seule ''posture'' à prendre ne serait-elle pas de devenir, résolument, ''complotiste'' ? Car n'allez pas me dire que tout ce qui se concocte contre nous, à Davos ''mais pas que'', ne ressortit pas d'une forme de complot --mais mondial, lui !
H-Cl.
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