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Crise économique mondiale: les quatre recettes énergiques de Romuald Wadagni aux gouvernements africains
Crise économique mondiale: les quatre recettes énergiques de Romuald Wadagni aux gouvernements africains
  Chaque samedi « Jeune Afrique » invite une personnalité à décrypter un sujet d’actualité. Grand invité RFI/Jeune Afrique, le ministre béninois de l’Économie et des Finances livre son analyse sur la crise ukrainienne, qui, après le Covid, déstabilise le continent. En charge de l’Économie et des Finances depuis avril 2016, Romuald Wadagni, 45 ans, est plus que jamais l’un des piliers du…
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meganval · 1 year
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Accès aux soins de Santé en Afrique : Zoom sur la Déclaration de Dakar
Accès aux soins de Santé en Afrique : Zoom sur la Déclaration de Dakar
Déclaration de Dakar sur l’accès aux soins chirurgicaux, obstétricaux et anesthésiques équitables, abordables et de qualité d’ici 2030 en Afrique Une initiative africaine Cette déclaration est le fruit des réflexions des participants au Symposium International sur le Renforcement des Systèmes de soins Chirurgicaux, Obstétricaux et Anesthésiques en Afrique d’ici 2030 qui a eu lieu à Dakar les…
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ambipolis · 2 years
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Jeudi 17 novembre 2022 
De la France Afrique à la France Africaine ?
A l’occasion de l’arrivée à Toulon de l’Ocean Viking, Eric Zemmour a souhaité que l’on demande aux Français s’ils veulent que la France devienne une terre africaine, sachant que la réponse sera non.
Malheureusement, ce ne seront pas les français, ni les européens qui décideront. Certes des pays européens tels que la Hongrie, la Pologne et le Danemark ont pris des mesures très restrictives. De par leur géographie, ils sont moins menacés par cette immigration africaine que les pays du Sud et la Grande-Bretagne. Si ce n’est que la Suède submergée par une immigration qui n’a pas été qu’européenne a sanctionné la coalition démocrate socialiste qui n’a pas su ou voulu réguler cette immigration. L’Italie a suivi en votant pour une coalition de rupture s’agissant de la politique d’immigration.
Force est de constater que ce n’est pas la voie choisie par le président Macron et les gouvernements qui se sont succédé.
Le projet de loi attendu en janvier après le débat en décembre dans les assemblées sera à cet égard un marqueur. Au mieux il pourrait après le vote de la loi et la publication des décrets d’application ralentir le phénomène.
A la question posée par Eric Zemmour il faudrait en ajouter une autre : si la France devient une terre africaine vous et vos enfants envisagez vous de quitter la France ? Si c’est le cas, pour aller où ?
 
François BAUDILLON
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claudehenrion · 1 year
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L'Evangile selon le Manneken pis…
  La semaine dernière, en parlant des petites anglaises –qui seraient rousses, disait autrefois la vox populi (cette ex-référence devenue “objet de notre ressentiment”, la Gauche ayant fait le peuple ‘’cocu’’ avec des minorités (de préférence d'origine africaine), et “Vox dei’‘ se disant maintenant ’'vox minoritatum” (ce qui la prive de toute raison d'être)– nous avions laissé sous-entendre que les belges seraient ou pourraient être un peu trop comme ci ou pas assez comme ça… Mais il ne faut jamais sous-estimer l'humanité : elle déborde de ressources, et nos voisins d'outre Quiévrain n'ont décidément pas fini de nous surprendre et de nous épater une fois !
Non contents d'avoir été, en 2011, le pays qui était resté le plus longtemps sans gouvernement, avec 541 jours (qu'est-ce qu'on a pu les jalouser, de vivre dans un tel Nirvâna) (cf. le “PS”, ci-dessous) voilà-t-y pas que les belges viennent d'inventer le principe d'une “Réforme extra-légale” pour en finir avec le pataquès politico administrativo-linguistique qui bloquerait les velléités autonomistes de  Flandre…  C'est en tout cas ce que vient de proposer Bart De Wever, le président de l'Alliance néo-flamande, le plus grand parti politique de Flandre –et , d'ailleurs, de Belgique, sous le nom vernaculaire et pas très musical de Nieuw-Vlaamse Alliantie, N-VA. (“Nobody’s perfect”, disent les anglais !). En clair : “puisque la Loi nous met des bâtons dans les roues, asseyons-nous dessus”. Et voilà : c'est aussi simple que ça ! Je suis en train de me demander si les français ne devraient pas essayer ce truc, à propos de la loi sur “la retraite pour tous”, et surtout à propos du projet (vide) de loi (tout aussi vide) sur l'immigration (qui n'a rien à voir avec ce que nos sinistres ministres s'imaginent qu’elle puisse être, dans leur monde coupé de toute réalité).
La question qui se pose, même dans un pays qui “sait” se passer de gouvernement pendant 541 jours (en français “de France”, on dirait “qui peut”, mais ça veut dire la même chose), est, évidemment : “Mais où ce De Wever a-t-il été pécher cette drôle d'idée ?” Rassurez-vous, on a la réponse, et elle ressemble très fort à une “histoire belge”. Accrochez-vous bien à votre dentier :  ce leader a très benoîtement déclaré (NDLR :  rien à voir avec la disparition du regretté Pape Benoît XVI, j'ai vérifié !) : “Dans mon esprit, c'est une certitude évangélique : la Belgique, c'est fini”.
Dès que j'ai été au courant de cette certitude évangélique, je me suis précipité pour vérifier où il avait trouvé, dans les Evangiles, des références précises à la Belgique, aux belges, et aux flamands, roses ou pas, Vlaams ou pas. J'ai trouvé pas mal de notules assez proches, où Jésus fustigeait les scribes, capables d'inventer des trucs pas possibles, de s'arc-bouter sur les normes, les lois, les règlements, et sur les décrets d'application (NDLR :  imaginez ce qu'Il aurait vitupéré, s'Il avait connu nos énarques. Mais bon… Il a déjà tellement souffert comme ça, qu'Il est inutile de Lui rajouter cette insupportable torture supplémentaire), mais je n'ai rien trouvé où il était fait spécifiquement référence aux belgicains, à la Belgique, et à sa disparition.
Elargissant ma recherche, j'ai relu (enfin… un peu!) Daniel Rops, François Mauriac, Maurice Barrès, Georges Bernanos (dont nous reparlerons bientôt), Jean Guitton, Chateaubriand, Flaubert et Pascal… et même Françoise Cockenpot dont le seul nom me faisait miroiter mille promesses. Mais rien, ou si peu ! Et j'ai eu beau relire dix fois le récit des Noces de Cana et les Béatitudes, il n'est nulle part question de multiplication de moules, de frites, de bière, de chicons ou, même, de waterzoï…
Même César, dans son célèbre “best-seller” “De bello gallico” –ce qui, au contraire de ce qu'ont écrit des générations d'écoliers dans leurs versions latines, n'a jamais voulu dire “la jolie gauloise”, mais évoquait plutôt une guerre en Gaules– n'a rien trouvé à en dire, de ces belges. Il est vrai que, “in illo tempore” (= en ce temps-là), la Belgique était encore “Gallia belgica” et ses habitants des Trévires, des Lingons et des Ubiens, même pas Vlaams ! (NB - un détail vécu : au début de ma 4ème, lors des premières versions sur ce thème censé passionner des petits garçons, je m'étais imaginé qu'ils se tapaient sur la tronche avec de grands bâtons très longs… d'où ce nom de “guerre des gaules”, autrement injustifiable. J'ai été vite guéri !)
Pour tout vous dire, j'ai même eu un peu de peine pour mes nombreux amis belges, devant tant d'indifférence divine : personne n'a même demandé à Jésus ce qu'Il pensait d'eux et tant Luc que Marc ont eu l'air de “s'en fouter, une fois, sais-tu”… Je ne dis pas que c'est grave, ni triste… ni gai, d'ailleurs et encore moins “gay” : je me contente de raconter, c'est tout. Mais il n'en reste pas moins vrai que, de là à faire de la disparition de la Belgique une “certitude évangélique”… il y a un pas de géant que je me garderai bien de franchir… même si, dans l'effondrement général qui est la marque de notre temps (dies irae, dies illa !) la disparition plus ou moins rapide de nos Etats-Nations dans leurs frontières nées de tant de batailles, de guerres, de révolutions, d'héritages princiers ou de mariages royaux… ne soit pas impossible !
Il va d'ailleurs falloir que j'aille vérifier ce que les Livres Saints disent de la France, dans le genre “certitudes évangéliques”… parce que j'ai bien l'impression, comme un souvenir diffus, d'avoir lu, quelque part, que le Coran, pour la sienne (de part, bien sûr !) annonce sa disparition… et file même un coup de patte de temps en temps, histoire d'accélérer le mouvement. Mais de toute façon, avec ce qui se prépare à l'est, en Ukraine, ou à l'est de l'est, à Taïwan… on ne va pas tarder à être fixés. Ou même vaporisés. Mais ce n’est pas encore une ‘’certitude évangélique’’...
H-Cl.
PS : au sujet des 541 jours de vacance du pouvoir… Il faut dire à la décharge des belges que le gouvernement défaillant était présidé par un Yves Leterme, ce qui est un joli nom pour tout arrêter. Mais contre toute attente, cet enviable record a été battu, l'Irlande étant restée sans gouvernement 589 jours (janvier 2017- août 2018). “Pourquoi que c'est jamais nous qu'on gagne ?”, aurait sûrement dit Coluche…
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didierleclair · 2 years
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Masques blancs, sang bleu
MASQUES BLANCS ET SANG BLEU
Rishi Sunak, ce nom devrait vous dire quelque chose. C’est le troisième premier ministre britannique en deux mois et la première minorité visible à la tête du gouvernement du Royaume-Uni. Il remplace Liz Truss qui a été contrainte à la démission après une révolte interne des membres du parti conservateur au pouvoir. Ce parti dirige les Anglais depuis douze ans.
Monsieur Sunak, d’origine indienne, a fait fortune dans les banques. Ce choix des conservateurs n’est pas anodin. Certes, ses parents ont immigré de l’Afrique de l’Est dans les années soixante mais ce n’est pas un choix basé sur ses origines raciales mais sur ses origines sociales.
En effet, le Premier ministre a étudié à l’Université d’Oxford et a fréquenté des institutions académiques privées qui forment l’élite de la société britannique. D’ailleurs, il a gardé plusieurs ministres de Liz Truss. Sur le plan économique, il a maintenu Jeremy Hunt au ministère des Finances. Monsieur Hunt remplace Kwasi Kwarteng, d’origine ghanéenne, qui avait annoncé des baisses massives d’impôts pour les plus riches.
Il est important de souligner que Kwasi Kwarteng est passé par le collège d’Eton, l’école secondaire de la famille royale.
Monsieur Hunt a également fréquenté Oxford comme Rishi Sunak. Idéologiquement, James Hunt occuperait l’aile gauche du parti conservateur. Mais il ne faut pas se leurrer. Cette expression signifie simplement que ce ministre des Finances sait se tenir à table. Il imposera l’agenda ultra-libéral avec une anesthésie. Ainsi, les plus démunies ne sentiront aucune douleur lors de l’opération. Il a la responsabilité de convaincre les marchés que les finances publiques britanniques sont bien gérées. Il doit présenter de nouvelles mesures budgétaires le 31 octobre. 
Suella Braverman, ministre de l’Immigration, a étudié à l’Université Cambridge. James Cleverly, ministre des Affaires étrangères, a été éduqué dans des écoles privées avant d’entrer dans l’armée. Soulignons que madame Braverman est d’origine indienne et que monsieur Cleverly a une mère noire de Sierra Leone. Ils sont tous les deux dans le gouvernement de Rishi Sunak.
Il ne faut pas voir dans ses nominations une intention de faire évoluer les mentalités. Ces politiciens sortent des hautes sphères de la société britannique. Ils viennent d’un milieu qui tutoie la noblesse.
Madame Braverman a une réputation de politicienne intransigeante sur la question des immigrants illégaux. Au début d’octobre, l’ultraconservatrice avait fait part de son « rêve » pour Noël : voir un avion qui décolle pour le Rwanda. Ce commentaire fait allusion à l’entente avec ce pays africain de recevoir les immigrants illégaux refoulés du sol britannique. Quant à monsieur Cleverly, partisan du Brexit, il a l’intention de maintenir son pays dans une position hostile à l’égard de la Russie en guerre contre l’Ukraine.
Ce gouvernement n’est donc pas « pro-diversité », contrairement aux apparences. Toutefois, on doit concéder aux conservateurs britanniques la capacité de mettre dans leurs rangs, une élite raciale qui chante le même refrain que les ultra-libéraux de race blanche. Pire, ces politiciens aux teints basanés ont plus de facilité à imposer des mesures strictes envers les minorités tout en rejetant toute accusation de racisme.
Ainsi, la venue au pouvoir de monsieur Sunak révèle une victoire de la bourgeoisie blanche à faire du statut social, un facteur prééminent sur le statut racial. Ce phénomène donne bonne conscience à un Royaume-Uni qui expulse tout étranger n’occupant pas l’emploi qu’un Britannique refuse de prendre. Il s’agit bien souvent d’emplois non syndiqués, mal payés et répugnants.
Frantz Fanon dans Peau noire, masques blancs parle ainsi de cette bourgeoisie : « J’appelle société bourgeoise une société close où il ne fait pas bon vivre, où l’air est pourri, les idées et les gens en putréfaction. Et je crois qu’un homme qui prend position contre cette mort est en un sens un révolutionnaire. »
Un autre rêve de madame Braverman est sûrement d’être anoblie, d’avoir un jour, du sang bleu.
Didier Leclair, écrivain
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Grâce à son contrôle du flux de l’aide internationale, l’OMS fait régner l’ordre, récompense ceux qui collaborent et punit ceux qui résistent aux ambitions africaines de Big Pharma. L’OMS utilise son pouvoir de financement pour intimider les gouvernements africains qui tardent à adopter les vaccins. Le contrôle omniprésent de Bill Gates sur l’OMS a fait de l’Afrique son fief.
Les populations du continent sont devenues ses cobayes. Pour Bill Gates, les vaccins sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins et lui donne un pouvoir dictatorial sur les politiques mondiales de santé, qui affectent des millions de vies humaines.
Le vaccin DTC: un génocide africain
Une vague de lésions cérébrales et de décès effroyables a suivi l’introduction des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) aux États-Unis et en Europe dans les années 1970.
Dès 1977, une étude publiée par des médecins et chercheurs britanniques dans The Lancet avait établi que les risques de la coqueluche à cellules entières (utilisée dans le vaccin DTC) dépassaient les risques associés à la coqueluche sauvage.
Six ans plus tard, une étude de l’UCLA financée par le NIH en 1983 avait révélé que le vaccin DTC de Wyeth tuait ou causait de graves lésions cérébrales, y compris des attaques et la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Les poursuites judiciaires qui en avaient résulté avaient provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth – aujourd’hui Pfizer – avait affirmé perdre 20 $ en responsabilité en aval pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 le National Childhood Vaccine Injury Act, qui exonère les fabricants de vaccins de toute responsabilité.
En 1985, l’Institute of Medicine (IOM) a recommandé l’abandon de la version à cellules entières du vaccin contre la coqueluche afin d’éviter l’incidence élevée d’encéphalopathies et de décès. En 1991, les États-Unis, les pays de l’UE et le Japon sont passés à un vaccin à cellules mortes (atténué) beaucoup plus sûr (mais moins efficace), le dTca, et ont cessé d’utiliser le vaccin DTC. Pendant que les pays occidentaux retiraient le DTC, l’OMS laissait à l’industrie pharmaceutique les coudées franches et lui donnait de l’argent pour déverser ses stocks toxiques en Afrique, en Asie et en Amérique centrale, malgré les preuves indubitables de ses impacts mortels.
En dehors de ses dangers, l’ancien DTC est moins cher à fabriquer et plus lucratif pour les laboratoires pharmaceutiques. C’est pourquoi, après 2002, Gates et ses subordonnés, la GAVI, l’OMS et le Fonds mondial, ont fait du DTC le porte-étendard de leur programme de vaccination en Afrique, et ont continué à administrer ce vaccin neurotoxique et souvent mortel à quelque 156 millions d’enfants africains chaque année. L’utilisation par l’OMS du DTC comme vaccin témoin – pour mesurer la conformité nationale au calendrier vaccinal de l’OMS – fait aujourd’hui du DTC le vaccin le plus populaire de la planète. Les ministères de la santé du monde entier doivent démontrer qu’ils ont atteint des objectifs spécifiques d’adoption des recommandations relatives au DTC afin de pouvoir bénéficier de l’aide vitale de l’OMS pour le VIH et autres.
Avant 2017, ni le HHS ni l’OMS n’avaient réalisé le type d’étude
nécessaire pour vérifier si le vaccin DTC produit réellement les effets bénéfiques sur la santé dont Gates se vante fréquemment. Cette année-là, le gouvernement danois et les mastodontes scandinaves du vaccin, Statens Serum Institut et Novo Nordisk, ont chargé les éminents scientifiques nordiques Søren Mogensen et Peter Aaby – tous deux des ardents défenseurs du programme de vaccination en Afrique – de diriger une équipe
internationale d’illustres chercheurs afin d’examiner la mortalité toutes causes confondues après les inoculations du DTC.
Cette étude d’envergure a contredit l’incantation mantrique de Gates selon laquelle son investissement dans le vaccin DTC avait sauvé des millions de vies. En juin 2017, l’équipe publiait une étude examinée par les pairs dans EBioMedicine, une revue de haute volée de l’armada des éditions Elsevier.
L’article analysait les données d’une «expérience naturelle» en Guinée- Bissau, où la moitié des enfants de certains groupes d’âge avaient été vaccinés et l’autre moitié ne l’avait pas été. La répartition était aléatoire.
Cette étude de 2017 (Mogensen et al., 2017) montre que, après leur vaccination DTC à trois mois, les filles vaccinées avaient une mortalité dix fois plus élevée que les filles non vaccinées. Elles mouraient d’un large éventail de maladies – pneumonie, anémie, paludisme, dysenterie – et pendant deux décennies, personne n’a remarqué que les enfants mourants étaient principalement ceux qui avaient reçu le vaccin. Le vaccin DTC – tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche – avait détruit leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large
éventail d’infections mortelles non ciblées. L’équipe de Mogensen est arrivée à cette conclusion, tout comme les chercheurs de l’étude du Lancet de 1977, 40 ans plus tôt, jour pour jour: «Le vaccin DTC peut tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche.»
En d’autres termes, le vaccin DTC de Gates – au lieu de sauver 10 millions de vies, comme il le prétend – pourrait avoir tué inutilement des millions de filles africaines. Au moins sept autres études ont confirmé l’association du DTC avec une mortalité élevée chez les filles vaccinées par rapport aux filles non vaccinées. Les Américains idéalistes qui ont fait des dons en faveur du projet vaccinal africain de Gates – pensant qu’ils sauveraient ainsi des bébés africains – ont en fait financé un génocide féminin à l’échelle du continent.
Après avoir bouclé l’étude et vérifié ses résultats choquants, Peter Aaby – une divinité parmi les chercheurs africains sur les vaccins – a lancé un appel passionné et plein de remords à l’OMS pour qu’elle reconsidère le vaccin DTC. «Je suppose que la plupart d’entre vous pensent que nous savons ce que font nos vaccins», a-t-il déclaré. «Ce n’est pas le cas.»
Gates, l’OMS et la GAVI ont ignoré l’appel d’Aaby et ont redoublé d’efforts pour généraliser le DTC et consolider le soutien au vaccin tueur de fillettes. Le Lancet a publié un message du plénipotentiaire de la Fondation Gates, Chris Elias, du Dr Anthony Fauci et de trois apparatchiks de consortiums moins financés par Gates, Margaret Chan de l’OMS, Anthony Lake, directeur de l’UNICEF, et Seth Berkley de la GAVI, qui présentaient leur programme mortel africain du DTC comme un triomphe de la santé publique. Ces charlatans ont proclamé que le DTC était l’un des «points lumineux» du bien-être mondial, et ont affirmé gaiement que «le nombre d’enfants vaccinés dans le monde n’[avait] jamais été aussi élevé, avec le niveau de couverture systématique le plus élevé de l’histoire (considérant la couverture vaccinale des trois doses du vaccin contenant la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC))». Ce projet a également impliqué la dégradation de la réputation d’Aaby par une campagne de diffamation.
L’analyse menée ultérieurement par le fondateur de la Cochrane
Collaborative, Peter Gøtzsche, a condamné la tentative de l’OMS de minimiser les risques du vaccin DTC. Il a fait remarquer que l’OMS n’avait pas tenu compte des études qui concluaient à des effets non spécifiques néfastes du vaccin DTC, tout en acceptant les études qui concluaient à des effets non spécifiques bénéfiques du vaccin contre la rougeole. L’OMS est
«incohérente et a un jugement partial en faveur des effets positifs des vaccins. Lorsqu’un résultat plaît à l’OMS, il peut être accepté, mais pas lorsqu’il lui déplaît.» Gøtzsche a estimé que les études de Mogensen et d’Aaby étaient «supérieures à tous égards à l’étude du Lancet commandée par Gates».
Gates et ses vassaux de l’OMS continuent d’intimider les nations africaines pour qu’elles adoptent leurs vaccins DTC mortels, en les menaçant de retirer l’aide financière à leurs ministères de la santé et à leurs programmes de lutte contre le VIH si le gouvernement n’atteint pas les objectifs vaccinaux nationaux (90%).
[in Robert Kennedy Junior – Fauci, Gates and Big Pharma]
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johnmpoyo · 2 years
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RDC : nouvelle réunion d'évaluation autour de Tshisekedi sur l'état de la mise en œuvre des réformes et assignations ministérielles en matière de climat des affaires
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Le Président de la République, Félix Tshisekedi, a présidé, lundi 11 juillet à la Cité de l'Union africaine, la deuxième réunion d'évaluation de l'état de la mise en œuvre des réformes et assignations ministérielles en matière de climat des affaires en République démocratique du Congo. Au cours de cette séance de travail, Félix Tshisekedi s'est appuyé sur le rapport d'évaluation 2022 élaboré et présenté par la cellule de climat des affaires.
Ce rapport, rapporte la cellule de communication du Chef de l'État, contient le rappel des objectifs à atteindre pour le trimestre concerné par l'évaluation, les résultats qui traduisent globalement le taux d'exécution dans la mise en œuvre des réformes et assignations ministérielles concernées, les résultats par ministère qui traduisent, pour chacun des ministères réformateurs concernés, le taux d'exécution dans la mise en œuvre des réformes et assignations et les points d'attention qui constituent quelques obstacles à la mise en œuvre des réformes et assignations concernées.
« Vous savez que la question du climat des affaires est une question qui tient particulièrement à cœur le Président de la République parce qu’il est question de voir comment nous puissions attirer les investisseurs et améliorer pour ceux qui sont là le travail qui est fait. Donc cette réunion est une réunion qui se tient trimestriellement où nous faisons l'évaluation de la mise en œuvre des réformes. Alors 17 ministres réformateurs suivants les termes utilisés ont participé à cette réunion où il était question de faire l'évaluation depuis la dernière des progrès qui ont été réalisés que ce soit dans le secteur du commerce extérieur, dans le secteur des affaires foncières et tous les autres, s'il y a des points qui nécessitent encore une plus grande application, le président de la République a eu notamment l'occasion de redonner des instructions à des ministres à travers sa communication pour que chacun dans les points qui le concernent puisse s'assurer que le travail se fasse et que dans l'évaluation attendue au mois d'octobre prochain qu'il y ait des renforts plus détaillés des progrès réalisés », a déclaré Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement à l'issue de la réunion.
Pour le Chef de l'État, le pays a besoin des investisseurs et des capitaux. Car sans un bon climat des affaires, il sera difficile de capter des investissements sérieux dans notre pays. Il a salué les efforts d'appropriation de cette problématique par le gouvernement, en général, et par ses membres réformateurs, en particulier.
« Les instructions ont été multiples parce que c'est des questions qui concernent les différents secteurs par exemple la question de contrôle des services aux frontières, on observe que malgré qu'il faut qu'il y ait 4 services, il y a encore d'autres services parasites qui opèrent encore, il y a la question du prélèvement en ce qui concerne le secteur de l'emploi et prévoyance sociale du prélèvement du Smig, il faut qu'il y ait une harmonisation entre les services de la DGI et des services du ministère du Travail dont de la CNSS, de l'INPP. Il y a d'autres questions qui sont liées aux affaires foncières, au secteur de l'énergie, secteur de l'intérieur, budget et aux finances et donc c'est un répertoire des 17 ministères le moment venu nous pourrons vous communiquer dans le détail ce qui a été convenu et ce qu'il y a sur papier », a ajouté Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement.
D'après la source précitée, le Chef de l'État envisage de réunir autour d'une table les opérateurs économiques, les ambassadeurs et représentants des missions diplomatiques, afin de recueillir leurs aspirations profondes sur l'écosystème du climat des affaires en RDC, et leur regard sur les efforts institutionnels fournis pour répondre à leurs différentes requêtes.
Cette réunion intervient après l'adoption du dossier relatif à l’identification des prélèvements arbitraires par le gouvernement lors de la 61e réunion du conseil des ministres du vendredi 8 juillet 2022. Dans le cadre de la réforme gouvernementale sur l'assainissement du climat des affaires en RDC, le gouvernement a identifié des prélèvements arbitraires en vue de la rationalisation des taxes à l’importation et à l’exportation et réduction des coûts et délais.
Rappelons-le,  lors de la première réunion d'évaluation, tenue le mardi 18 janvier 2022, le chef de l'État avait réitéré sa ferme volonté d'améliorer l'image de la RDC en matière de climat des affaires et a instruit le Premier ministre ainsi que les ministres réformateurs de réaliser les résultats escomptés dans la mise en œuvre des assignations y afférentes.
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devenirmilliardaire · 48 minutes
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Bassirou Diomaye Diakhar Faye est le 5e président de la République du Sénégal, ayant pris ses fonctions le 2 avril 2024. Le Plus Jeune Président Élu du Sénégal. Né le 25 mars 1980 à Ndiaganiao, il a suivi une formation en droit à l'université Cheikh-Anta-Diop de Dakar avant d'intégrer l'École nationale d'administration du Sénégal. Son élection en tant que président marque un tournant historique, faisant de lui le plus jeune président élu de l'histoire du Sénégal. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter la biographie officielle sur le site de la présidence. 5e président de la République du Sénégal : Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le Plus Jeune Président Élu du Sénégal 5e président de la République du Sénégal Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le Plus Jeune Président Élu du Sénégal 1 Bassirou Diomaye Faye, né le 25 mars 1980 à Ndiaganiao, est un homme d'État sénégalais. Il est actuellement le 5e président de la République du Sénégal, en fonction depuis le 2 avril 2024. Avant d'accéder à la présidence, Faye était inspecteur des finances publiques et militant syndicaliste. 5e président de la République du Sénégal Voici un bref aperçu de sa biographie →A lire aussi Les Cadres de MIMI Sur Le Nouveau Gouvernement : Propositions Audacieuses Pour La Coalition Diomaye Sa carrière professionnelle s'est développée autour du droit, de la fiscalité et des finances publiques, où il a exercé en tant qu'inspecteur des finances. En politique, il a été un membre actif du parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF) depuis sa création en 2014, et a joué un rôle clé dans l'organisation interne du parti. Voici un bref aperçu de sa biographie 5e président de la République du Sénégal Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le Plus Jeune Président Élu du Sénégal - Jeunesse et Formation : Accueil avec les honneurs de Bassirou Diomaye Faye à l’aéroport de Cap-Skiring 1 Bassirou Diomaye Faye est né à Ndiaganiao, dans le département de M'bour, région de Thiès. Il a étudié le droit à l'université Cheikh-Anta-Diop de Dakar et a ensuite intégré l'École nationale d'administration du Sénégal. En plus de ses activités professionnelles liées au droit, à la fiscalité et aux finances, Faye écrit des poèmes et s'intéresse à l'agriculture et à l'élevage. - Engagement Politique : Accueil avec les honneurs de Bassirou Diomaye Faye à l’aéroport de Cap-Skiring 3 En 2014, Bassirou Diomaye Faye rejoint le parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF). Alors qu'Ousmane Sonko est le dirigeant et la figure principale du parti, Faye en est l'architecte, s'occupant de la doctrine et de l'organisation en interne. - Élection Présidentielle de 2024 : Bassirou Diomaye Faye a procédé, 1er juin 2024, au lancement de l’initiative « Setal Sunu Réew » Candidat à l'élection présidentielle de 2024 sous l'étiquette du PASTEF, Faye a été incarcéré pendant onze mois. À neuf jours du scrutin, il a été libéré de prison en compagnie d'Ousmane Sonko (qu'il a remplacé comme candidat car inéligible). Finalement, Bassirou Diomaye Faye a remporté l'élection avec 54,28 % des votes au premier tour. À 43 ans, il est devenu le plus jeune président de la République du Sénégal, le premier polygame et le premier opposant élu au premier tour de l'histoire du pays. le Président de la République quitte Dakar pour se rendre à Bamako et à Ouagadougou →A lire aussi JANGÀT avec Jean BANDIAKY , spécialiste en communication | Com’ une impréparation - 29 Mai 2024 Bassirou Diomaye Faye incarne une nouvelle ère politique au Sénégal, marquée par sa jeunesse, son parcours atypique et sa victoire électorale historique. Il invite également à la réflexion sur l'héritage que nous devons transmettre aux générations futures, un message important pour l'avenir du pays.
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mohamedlaminekaba · 2 days
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Comment l’Afrique peut sortir du schéma de la Conférence de Berlin et disposer pleinement d’elle-même ?
Pour que l’Afrique puisse sortir du schéma de la Conférence de Berlin et disposer pleinement d’elle-même, plusieurs actions concrètes et stratégiques doivent être mises en œuvre. L’alignement aux BRICS est lévier important. I. le renforcement des institutions et de la gouvernance 1. Gouvernance transparente et responsable Les pays africains doivent renforcer leurs institutions pour assurer une…
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wacknotes · 1 month
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La Transformation Digitale, entre Mythe, Réalité et Miracle numérique pour l’Afrique
Dans un monde où la technologie s'emballe à un rythme effréné, la transformation digitale se pose en une sorte de mantra universel, porteur d'innovations et de promesses de progrès. Elle est présentée comme une solution miracle, une panacée censée résoudre tous nos tracas administratifs, dynamiser la croissance économique, et améliorer les services publics tout en favorisant l'inclusion sociale.
Pourtant, dans un contexte où les traditions, les coutumes et les structures administratives sont solidement ancrées dans la culture africaine, la transformation digitale apparaît comme un concept étranger, difficile à intégrer. Bien au-delà d'une simple question de technologie, cette transition implique des défis complexes, souvent en lien avec l'adaptation aux réalités locales.
Face à ces défis singuliers propres à l'Afrique, légitime est la question de savoir si cette transformation s'aligne véritablement avec nos réalités. Elle semble parfois être une préoccupation lointaine, déconnectée des tissus culturels et éthiques de nos administrations. Comme tout modèle importé, elle est parfois perçue comme une intrusion extérieure, éloignée des valeurs des communautés locales.
En dépit de ces circonstances défavorables, nos administrations ont à cœur d'adopter la transformation digitale. Néanmoins, elles se heurtent à plusieurs défis entravant leur progression. Ainsi, pour mieux appréhender ces obstacles, feuilletons-les en détail dans les prochains points:
En premier lieu, la question de l'accessibilité se pose. Alors que les technologies numériques offrent des opportunités sans précédent, une grande partie de la population africaine n'a pas accès à Internet ou aux équipements nécessaires pour en bénéficier pleinement. Sans une connectivité adéquate, la transformation digitale de nos administrations risque de laisser de côté les plus vulnérables, creusant davantage les inégalités. Les infrastructures de base telles que l'accès à l'électricité sont souvent absentes ou insuffisantes, rendant difficile l'accès à Internet et aux services numériques pour une grande partie de la population.
Deuxièmement, le défi de la pertinence des solutions numériques importées se pose. Souvent, de nombreux programmes de transformation digitale sont conçus selon des modèles occidentaux, négligeant les réalités culturelles et sociales complexes de l'Afrique et ne tenant pas toujours compte des réalités locales et des besoins particuliers des populations africaines.
A cet effet, certains pourraient voir l'intégration de ces technologies comme une menace pour nos cultures et nos traditions, plutôt que comme une occasion de combiner le meilleur de la technologie moderne avec ce qui rend notre continent unique. En adaptant les innovations numériques à nos besoins et nos valeurs, nous pouvons créer des solutions qui sont véritablement africaines.
Troisièmement, la corruption est un cancer qui ronge nos sociétés et nos économies. Dans de nombreux pays africains, la corruption est endémique, sapant la confiance dans les institutions publiques et entravant le développement économique. Beaucoup de projets de transformation digitale ne font pas exception et deviennent des terrains fertiles pour l'enrichissement personnel et la malversation. Trop souvent, ils deviennent des opportunités pour des individus sans scrupules de s'enrichir au détriment du bien-être de la population.
La technologie seule ne peut pas résoudre ces problèmes si nous ne nous attaquons pas aux racines de la mauvaise gouvernance et de la corruption. Tant que ce fléau ne sera pas éradiqué et une gouvernance transparente et responsable, la transformation digitale restera un mirage lointain et risque de se transformer en un gaspillage de ressources précieuses.
Quatrièmement, nos administrations sont sclérosées par des décennies de bureaucratie inefficace hérités de l'histoire coloniale et souvent inefficaces, entravent la mise en œuvre de projets de transformation digitale. E sus, les décisions sont prises lentement, les procédures sont complexes et la résistance au changement est forte. Egalement, Les processus administratifs sont lents, complexes et souvent corrompus, rendant toute tentative de modernisation extrêmement difficile.
Dans ce contexte, les initiatives de transformation digitale se heurtent à des murs invisibles, rendant difficile leur adoption et leur succès à grande échelle. De surcroît, les silos et les goulots d'étranglement dans les administrations reflètent parfois un attachement profond aux traditions et aux processus établis depuis des générations. De même, le népotisme et les nominations politiques constituent des obstacles majeurs qui nuisent à la cohésion sociale et constituent des obstacles qui freinent les projets de transformations digitales, entravant ainsi le progrès et l'innovation.
Fréquemment, les postes clés sont attribués sur la base de la loyauté politique plutôt que des compétences. Pourtant, en mettant l'accent sur le mérite et la compétence, nous pouvons créer un environnement propice à l'émergence de leaders visionnaires capables de conduire la transformation digitale avec succès.
En somme, ces défis représentent d'importants obstacles à la transformation digitale en Afrique et soulignent la nécessité d'une approche sensible aux réalités culturelles et sociales. Ainsi, il est primordial de reconnaître la nécessité d'un changement profond dans notre approche de la transformation digitale en Afrique.
En outre, la transformation digitale en Afrique ne peut pas être imposée. Au lieu d'importer simplement des solutions toutes faites, nous devons développer des approches adaptées à nos réalités administratives, culturelles et sociales, tout en reconnaissant et en abordant les défis profondément enracinés dans nos coutumes. Cela implique d'investir massivement dans la formation et le renforcement des capacités, ainsi que de promouvoir un engagement politique fort et une collaboration étroite entre les gouvernements, le secteur privé et la société civile.
Ainsi, en intégrant l'innovation dans nos traditions, nous pouvons façonner un avenir où la technologie et la culture se complètent pour le bien de tous. Cela mettra fin à la bureaucratie excessive et de renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions grâce aux technologies numériques.
Il faut donc prendre conscience de la réalité crue de la situation. La transformation digitale n'est ni facile ni rapide. Elle requiert des réformes institutionnelles pour améliorer la gouvernance, un engagement sincère à lutter contre la corruption, ainsi que des investissements massifs dans les infrastructures et les compétences numériques.
Ainsi, pour réussir des tels projets en Afrique, il est recommandé d'établir en prélude, une stratégie nationale de transformation éthique et comportementale. Cette démarche vise à résoudre les problèmes persistants des administrations. Egalement, pour ouvrir la voie à des projets de transformation digitale solides, améliorant les performances administratives et alignant mieux sur les besoins des citoyens, afin de contribuer au progrès et au développement durable de notre continent.
En substance, il est nécessaire de comprendre l'impact majeur des comportements sur l'évolution du paysage numérique dans les projets de transformation digitale, afin de favoriser une rupture positive. Si nous négligeons ces défis, la transformation digitale demeurera un objectif lointain pour de nombreux pays d'Africains.
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savoir-entreprendre · 1 month
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L'Afrique est un continent en constante évolution sur le plan économique. Les entreprises de télécommunications ont un rôle crucial à jouer dans cette transformation en offrant des services de communication de qualité à une population de plus en plus connectée. Voici le top 10 des entreprises de télécommunications africaines les plus performantes. MTN MTN est la plus grande entreprise de télécommunications en Afrique, avec une présence dans 21 pays. Elle est basée en Afrique du Sud et fournit des services mobiles, fixes et Internet. MTN est également active dans d'autres secteurs, tels que les services bancaires mobiles et les solutions de paiement électronique. Vodacom Vodacom est une entreprise sud-africaine qui opère dans 32 pays africains. Elle est détenue à 60% par Vodafone et à 40% par le gouvernement sud-africain. Vodacom fournit des services mobiles, fixes et Internet. Safaricom Safaricom est une entreprise de télécommunications kényane qui fournit des services mobiles, fixes et Internet. Elle est connue pour son service de paiement mobile M-PESA, qui permet aux utilisateurs de transférer de l'argent en utilisant leur téléphone portable. Airtel Africa Airtel Africa est une filiale de la société indienne Bharti Airtel. Elle est présente dans 14 pays africains et fournit des services mobiles, fixes et Internet. Orange Orange est une entreprise française de télécommunications qui est présente dans 19 pays africains. Elle fournit des services mobiles, fixes et Internet. Etisalat Misr Etisalat Misr est une entreprise égyptienne qui fournit des services mobiles, fixes et Internet. Elle est détenue par l'entreprise émiratie Etisalat. Maroc Telecom Maroc Telecom est une entreprise marocaine qui fournit des services mobiles, fixes et Internet. Elle est détenue à 53% par l'entreprise émiratie Etisalat. Telkom Telkom est une entreprise sud-africaine qui fournit des services de télécommunications fixes et Internet. Elle est détenue à 40% par le gouvernement sud-africain. Econet Wireless Econet Wireless est une entreprise zimbabwéenne qui fournit des services mobiles, fixes et Internet. Elle est présente dans plusieurs pays africains. Tigo Tigo est une entreprise de télécommunications suédoise qui est présente dans plusieurs pays africains. Elle fournit des services mobiles, fixes et Internet. En conclusion, ces entreprises de télécommunications africaines ont joué un rôle essentiel dans la transformation du continent en offrant des services de communication de qualité à une population de plus en plus connectée. Elles continuent de travailler dur pour développer et améliorer leurs services, ce qui contribue à la croissance économique de l'Afrique. https://savoirentreprendre.net/?p=13078&feed_id=5202
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kaymiteconsultingfr · 2 months
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L'émergence des sociétés de conseil en Afrique de l'Ouest : Le cas de Kaymite Consulting
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Dans le paysage économique dynamique de l'Afrique de l'Ouest, les sociétés de conseil jouent un rôle crucial dans la croissance et le développement des entreprises. Parmi ces acteurs émergents, Kaymite Consulting se distingue comme une force motrice dans le secteur du conseil en Afrique de l'Ouest. Fondée il y a dix ans, cette entreprise a su s'imposer grâce à son expertise pointue et à sa capacité à répondre aux besoins spécifiques des entreprises opérant dans la région. Dans cet article, nous explorerons le rôle croissant des sociétés de conseil en Afrique de l'Ouest, en mettant en lumière le parcours et les réalisations remarquables de Kaymite Consulting.
L'Afrique de l'Ouest est une région en plein essor économique, regorgeant de potentialités et d'opportunités d'investissement. Cependant, les entreprises qui souhaitent exploiter ces opportunités sont souvent confrontées à des défis complexes, allant de la gestion des risques au développement de stratégies de croissance durable. C'est là qu'interviennent les sociétés de conseil telles que Kaymite Consulting, qui offrent une expertise spécialisée pour aider les entreprises à naviguer dans un environnement commercial en constante évolution.
Kaymite Consulting se distingue par son approche holistique du conseil, qui englobe une gamme diversifiée de services, allant de la stratégie d'entreprise à la gestion des risques, en passant par la transformation numérique. En s'appuyant sur une équipe multidisciplinaire d'experts locaux et internationaux, Kaymite Consulting est en mesure d'apporter des solutions innovantes et adaptées aux défis uniques auxquels sont confrontées les entreprises en Afrique de l'Ouest.
Une des clés du succès de Kaymite Consulting réside dans sa connaissance approfondie du contexte local. En comprenant les nuances culturelles, les dynamiques politiques et les défis socio-économiques propres à chaque pays de la région, l'entreprise est en mesure de proposer des solutions sur mesure qui tiennent compte de ces facteurs. Cette approche axée sur le terrain permet à Kaymite Consulting de se positionner comme un partenaire stratégique de confiance pour ses clients, les aidant à saisir les opportunités de croissance tout en atténuant les risques potentiels.
Un autre aspect important du travail de Kaymite Consulting est son engagement envers le développement durable et l'impact social. Consciente de son rôle dans la promotion d'une croissance économique inclusive, l'entreprise intègre systématiquement des considérations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans ses conseils. Que ce soit en aidant les entreprises à adopter des pratiques commerciales durables ou en soutenant des initiatives communautaires, Kaymite Consulting s'efforce de créer de la valeur à long terme pour toutes les parties prenantes concernées.
Au fil des ans, Kaymite Consulting a accumulé un impressionnant portfolio de projets réussis, couvrant divers secteurs tels que la finance, les télécommunications, l'énergie et bien d'autres encore. Grâce à son approche axée sur les résultats et à son engagement envers l'excellence, l'entreprise a su fidéliser une clientèle diversifiée et prestigieuse, allant des grandes multinationales aux PME locales en pleine expansion.
En outre, Kaymite Consulting joue un rôle actif dans le renforcement des capacités locales en offrant des programmes de formation et de mentorat aux jeunes professionnels africains. En investissant dans le développement des talents locaux, l'entreprise contribue à créer une classe de leaders et d'experts africains bien formés, capables de relever les défis du 21e siècle.
À mesure que l'Afrique de l'Ouest continue de se positionner comme l'une des régions les plus dynamiques sur le plan économique, le rôle des sociétés de conseil comme Kaymite Consulting devient de plus en plus crucial. En offrant des conseils stratégiques, des solutions innovantes et un engagement envers le développement durable, ces entreprises contribuent non seulement à la croissance des entreprises, mais aussi au développement socio-économique global de la région. Kaymite Consulting incarne cet esprit d'innovation et d'excellence, et continue de jouer un rôle essentiel dans la transformation positive de l'Afrique de l'Ouest.
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adalidda · 2 months
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Tirer des enseignements du succès du Cambodge : Vers l'autosuffisance en riz en Afrique
29 mars 2024
Le Cambodge occupe actuellement la 10e place parmi les plus grands producteurs mondiaux de riz, tant pour la consommation intérieure que pour l'exportation, selon la Fédération du riz du Cambodge. Une grande partie de ce succès peut être attribuée au leadership visionnaire de l'ancien Premier ministre Samdech Hun Sen, dont les politiques stratégiques ont transformé le secteur du riz du pays. Alors que les nations africaines luttent pour relever le défi de parvenir à l'autosuffisance en riz et de réduire la dépendance aux importations, il existe des leçons précieuses à tirer du succès du Cambodge.
1. Investissement dans la distribution de semences de riz de qualité
L'une des clés du succès de la filière riz au Cambodge réside dans son investissement dans le développement et la distribution de semences de riz de qualité. En accordant une priorité à la recherche et au développement en agriculture, le Cambodge a pu développer des variétés de riz à haut rendement et résistantes aux maladies, adaptées à ses conditions locales. Cet investissement a non seulement entraîné une augmentation de la productivité et des rendements, mais il a également permis aux petits agriculteurs d'améliorer leurs moyens de subsistance.
Les pays africains peuvent s'inspirer de l'approche du Cambodge en investissant dans des initiatives similaires adaptées à leurs contextes agro-climatiques uniques. Par exemple, le Nigeria, avec ses zones écologiques diversifiées, pourrait investir dans l'amélioration des variétés de riz adaptées à différentes régions, du sud humide au nord aride. En assurant un accès généralisé à ces semences améliorées, les nations africaines peuvent catalyser la transformation agricole et progresser vers l'autosuffisance.
Étude de cas réelle - Sénégal : Le Sénégal constitue une étude de cas pertinente à cet égard. Le gouvernement sénégalais, reconnaissant l'importance des semences de qualité, a lancé le Programme national des semences pour promouvoir l'adoption de semences certifiées parmi les agriculteurs de riz. Grâce à des partenariats avec des institutions de recherche et des acteurs du secteur privé, le Sénégal a enregistré une augmentation significative des rendements de riz, contribuant à son objectif d'autosuffisance en riz.
2. Fixation d'objectifs ambitieux pour l’exportation
L'objectif ambitieux du Cambodge d'exporter 1 million de tonnes de riz d'ici 2025 témoigne des synergies de la filière grâce aux objectifs clairs et ambitieux. Cet objectif a non seulement propulsé le pays vers une plus grande autosuffisance, mais a également incité les acteurs de la chaîne de valeur à travailler ensemble vers une vision commune.
Les pays africains peuvent reproduire l'approche du Cambodge en fixant leurs propres objectifs ambitieux d'exportation et en mettant en œuvre des politiques de soutien pour les atteindre. Prenez l'exemple du Ghana, qui s'est fixé pour objectif de devenir un exportateur net de riz d'ici 2023. Grâce à des investissements ciblés dans les infrastructures, la technologie et la formation des agriculteurs, le Ghana vise non seulement à répondre à la demande intérieure, mais aussi à exploiter les marchés régionaux, contribuant à la croissance économique et au développement rural.
3. Renforcement des accords commerciaux
Le succès du Cambodge dans la conclusion d'accords commerciaux pour l'importation de riz cambodgien avec des partenaires clés tels que la Chine, l'Indonésie et l'Union européenne a été déterminant pour l'élargissement de l'accès au marché et la croissance des exportations. Ces accords ont offert au Cambodge des marchés stables et renforcé sa compétitivité sur la scène mondiale.
Les nations africaines peuvent tirer des leçons de l'expérience du Cambodge en priorisant les accords commerciaux régionaux et internationaux pour faciliter le mouvement du riz à travers les frontières. La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) représente une opportunité significative pour le commerce intra-africain du riz, avec le potentiel de créer un marché unique de plus de 1,3 milliard de personnes. En exploitant des plateformes telles que la ZLECAf et les accords bilatéraux, les pays africains peuvent ouvrir de nouveaux marchés, attirer des investissements et renforcer leurs secteurs rizicoles.
Conclusion
En conclusion, le parcours du Cambodge vers l'autosuffisance en riz et sa compétitivité à l'exportation offrent des enseignements précieux pour les pays africains désireux de transformer leurs propres secteurs agricoles. En investissant dans la distribution de semences de qualité, en fixant des objectifs ambitieux d'exportation et en renforçant les accords commerciaux, les nations africaines peuvent reproduire le succès du Cambodge et réaliser leur potentiel en tant que grandes puissances productrices de riz. À travers des expériences partagées, des partenariats stratégiques et des efforts concertés, l'Afrique peut tracer une voie vers la sécurité alimentaire, la prospérité économique et le développement durable pour les générations à venir. Prenons exemple sur le Cambodge et engageons-nous dans un voyage collectif vers un avenir plus radieux et plus prospère pour tous.
J'espère que vous avez apprécié la lecture de cet article et que vous en avez appris quelque chose de nouveau et d'utile. Si c’est le cas, partagez-le avec vos amis et collègues qui pourraient être intéressés par l’agriculture et l’agrobusiness.
M. Kosona Chriv
Conseiller Senior du Directeur Général, en charge du Marketing et des Ventes mondiales
Sahel Agri-Sol SAS
WhatsApp: +85569247974
Site web: https://sahelagrisol.com
Facebook: https://www.facebook.com/sahelAgri-Sol
LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/sahel-agri-sol
WeChat ID: wxid_8r2809zfgx4722
Sahel Agri-Sol SAS est un producteur et exportateur leader de produits agricoles de qualité premium, basé au Mali. Notre gamme de produits de haute qualité est exportée à l'échelle mondiale et comprend :
Avec un engagement envers l'excellence et la durabilité, nous veillons à ce que nos produits répondent aux normes les plus élevées, offrant ainsi à nos clients satisfaction et fiabilité.
Photo : une rizière au Cambodge (crédit : Finn Thilsted / Worldfish
 / Flickr CC BY-NC-ND 2.0 DEED Attribution-NonCommercial-NoDerivs 2.0 Generic)
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Afrique:au dela de l'econometrie: l'un des reproches que l'on adresse aux etats africains c'est l'absence ou en tout cas la non frequence de donnees chiffrees ,et de calculs econometriques.les economistes tels que john meynard keynes ou malthus ont invente' des dizaines d'equations algebriques pour expliquer et systematiser la croissance economique.toutefois cela semble parfois relever du ressort de la pure abstraction car des details peuvent gripper la machine.faire des calculs sur la demande globale de la population en se basant sur sa demographie ,sur le pourcentage de sa population active n'est pas toujours realiste(en matiere de consommation porcine par exemple)la croissance economique peut etre alteree par un certain nombre de faits sociaux.pour william arthur lewis ,originaire des antilles anglophones et prix nobel d'economie en1979,la croissance economique est determinee par 3 causes immediates qui sont:l activite economique,le progres du savoir et l'augmentation du capital.par activite economique,nous entendons l'effort pour accroitre le rendement du travail ou d'une ressource donnnnnee.dire que l'activite economique est une condition necessaire de la croissance revient simplement a' dire que les hommes n'ont de chances d'obtenir plus de biens que s'ils s'y efforcent.la croissance economique est le resultat d'un effort humain.concretement plusieurs facteurs sont generateurs de croissance economique a' savoir:la volonte d'economiser,les institutions economiques (la religion,l'esclavage,la famille,l'organisation de l'agriculture,l'artisanat,la transformation des institutions),le savoir,le capital,la population et les ressources,la puissance publique.aujourd'hui on parle egalement de bonne gouvernance,de transparence..l'ampleur des detournements de fonds publics,la corruption,le tribalisme,le nepotisme,le clientelisme,la croissance organique(c'est -a '-dire,celle qui depend de l'environnement interne et externe d'un etat)sont egalement percus comme des facteurs pouvant favoriser ou limiter le developpement ou la croissance d'un pays.merci d'avoir pris la peine de lire mon petit texte.felix-aime-gregoire mulol.
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237online · 2 months
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Dernières Nouvelles du Cameroun : Un Aperçu de l'Actualité Nationale et Internationale
Introduction:
Les dernières nouvelles du Cameroun sont toujours d'un grand intérêt, tant pour les citoyens locaux que pour les observateurs internationaux. dernières nouvelles du Cameroun Avec une actualité nationale et internationale en constante évolution, il est essentiel de rester informé des développements politiques, économiques, sociaux et culturels dans ce pays d'Afrique centrale. Dans cet article, nous explorerons divers sujets d'actualité au Cameroun et mettrons en lumière l'importance de rester connecté à l'actualité pour comprendre le paysage dynamique de cette nation diversifiée.
Actualités Politiques:
Le Cameroun est un pays avec une scène politique animée. Des élections, des réformes gouvernementales, et des événements politiques majeurs ont un impact sur la vie quotidienne des citoyens. Les dernières nouvelles politiques du Cameroun couvrent une gamme de sujets allant de la gouvernance à la diplomatie internationale, offrant un aperçu précieux de la direction que prend le pays.
Économie et Développement:
L'économie camerounaise est en constante évolution, avec des secteurs clés tels que l'agriculture, le pétrole et le gaz, et les infrastructures en plein essor. Les nouvelles économiques du Cameroun fournissent des informations cruciales sur les opportunités d'investissement, les défis économiques et les initiatives de développement qui façonnent le paysage économique du Cameroun.
Actualités Sociales et Culturelles:
La richesse culturelle du Cameroun se reflète dans ses actualités sociales et culturelles. Des événements artistiques et culturels aux questions sociales telles que l'éducation, la santé et les droits de l'homme, les nouvelles sociales et culturelles du Cameroun offrent un aperçu de la vie quotidienne et des défis auxquels sont confrontés les Camerounais.
Actualités Internationales:
En tant que nation africaine dynamique, le Cameroun joue un rôle important sur la scène internationale. Les nouvelles internationales du Cameroun traitent des relations diplomatiques, des partenariats économiques et des questions mondiales qui ont un impact sur le pays et sa position dans le contexte mondial.
Conclusion:
Restez informé des dernières nouvelles du Cameroun est essentiel pour comprendre la dynamique de ce pays en évolution. Que vous soyez un citoyen camerounais ou un dernières nouvelles du Cameroun  observateur international, suivre l'actualité du Cameroun offre une perspective précieuse sur les développements locaux et mondiaux qui façonnent l'avenir de cette nation africaine. Pour rester à jour avec les dernières nouvelles du Cameroun, visitez régulièrement https://www.237online.com/.
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La chronologie des Lois Amnistie votées au Sénégal depuis 1960. Le Sénégal est un pays d'Afrique de l'Ouest qui a accédé à l'indépendance en 1960. Depuis lors, il a connu plusieurs périodes de tensions politiques et sociales, marquées par des manifestations, des violences et des arrestations. ,Chronologie des Lois Amnistie ,votées ,Sénégal ,1960,Chronologie ,Lois Amnistie votées ,Sénégal ,1960,Chronologie ,Lois ,Amnistie ,votées au Sénégal depuis 1960,justice,politique,crimes,crises,manifestations,tortures,cpi,macky sall,abdoulaye wade,abdou diouf,leopold sedar senghor,république du sénégal, Chronologie des Lois Amnistie votées au Sénégal depuis 1960 [caption id="" align="alignnone" width="800"] Lois d'amnistie au Sénégal depuis 1960 - Une chronologie[/caption] Face à ces situations, les autorités sénégalaises ont parfois recours à la loi d'amnistie, qui est un acte législatif qui efface les conséquences juridiques de certains faits passés. Au Sénégal, l'amnistie est prévue par l'article 67 de la Constitution. Elle s'applique aux faits. →A lire aussi Rebondissement d’une nébuleuse à la présidence ! Macky prêt à amnistier Karim Wade et Khalifa Sall En conséquence, si les faits ont été amnistiés avant le déclenchement des poursuites, celles-ci ne pourront plus être engagées. Si l'amnistie intervient après le début des poursuites, celles-ci sont arrêtées. Voici une chronologie des lois d'amnistie votées au Sénégal depuis 1960 : - 1963: Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs à la tentative de coup d'État du 17 décembre 1962, menée par le Parti africain de l'indépendance (PAI) contre le président Léopold Sédar Senghor. - 1974: Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs aux événements du 22 mars 1967, qui ont opposé les étudiants et les forces de l'ordre à Dakar. - 1988: Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs aux élections législatives et présidentielle de février 1988, qui ont été contestées par l'opposition et ont entraîné des violences et des arrestations. - 1991 : Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs aux événements du 26 juin 1991, qui ont vu l'assassinat du juge Babacar Sèye par des commandos cagoulés. - 1998 : Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs aux événements du 15 mai 1993, qui ont impliqué une tentative de coup d'État contre le président Abdou Diouf par des militaires dissidents. - 2004 : Une loi d'amnistie est votée pour les faits relatifs aux crimes politiques commis entre le 1er janvier 1983 et le 31 décembre 2004, notamment ceux liés au conflit en Casamance. - 2024 : Un projet de loi d'amnistie est soumis au Parlement par le gouvernement sénégalais concernant les manifestations qui ont eu lieu entre mars 2021 et février 2024 et au cours desquelles plus de 60 personnes ont été tuées . →A lire aussi Vers L’Amnistie De ‘’Personnes Ayant Perdu Leur Droit De Vote’’ Ce projet de loi fait polémique et suscite des critiques de la part de la société civile et des organisations de défense des droits humains, qui y voient un affront aux victimes et une prime à l'impunité .
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