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#Déforestation et industrie de la viande
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Les dangers de l'industrie laitière : Impact sur la santé humaine et environnementale
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Les dangers de l'industrie laitière sont un sujet d'une importance croissante dans le monde contemporain. Les gens consomment des produits laitiers à un rythme sans cesse croissant, mais il est essentiel de comprendre les implications de cette industrie sur notre santé humaine et notre environnement. Les dangers de l'industrie laitière ne sont pas seulement limités à la santé individuelle, mais ils ont également un impact dévastateur sur l'écosystème dans son ensemble.
Dans notre société moderne, l'industrie laitière est omniprésente. Des produits laitiers tels que le lait, le fromage, le yaourt et le beurre sont consommés quotidiennement par des millions de personnes à travers le monde. Cependant, ce que beaucoup ne réalisent pas, ce sont les dangers cachés associés à cette industrie.
Tout d'abord, examinons les dangers de l'industrie laitière pour la santé humaine. De nombreuses études ont montré un lien entre la consommation de produits laitiers et divers problèmes de santé, notamment l'obésité, les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et même certains cancers. Les produits laitiers contiennent souvent des niveaux élevés de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut contribuer à des problèmes de santé graves. De plus, les produits laitiers peuvent être une source de contamination bactérienne, ce qui peut entraîner des maladies d'origine alimentaire.
En ce qui concerne l'impact environnemental, les dangers de l'industrie laitière sont tout aussi préoccupants. La production laitière nécessite d'immenses quantités de ressources naturelles, notamment de l'eau et de la terre arable. De plus, l'élevage de vaches laitières est une source majeure de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique. L'industrie laitière est également associée à la déforestation, à la pollution de l'eau et à la perte de biodiversité.
Malgré ces dangers, l'industrie laitière continue de prospérer, alimentée par une demande mondiale croissante de produits laitiers. Cependant, il est impératif que nous prenions des mesures pour atténuer les effets néfastes de cette industrie sur notre santé et notre environnement. Cela pourrait impliquer une réduction de la consommation de produits laitiers, ainsi que des changements dans la manière dont ces produits sont produits et distribués.
En conclusion, les dangers de l'industrie laitière sont réels et méritent notre attention. Nous devons reconnaître les implications de notre consommation de produits laitiers et prendre des mesures pour réduire les effets néfastes sur notre santé et notre planète. En prenant des décisions éclairées et en soutenant des pratiques agricoles durables, nous pouvons contribuer à créer un avenir plus sain et plus durable pour tous.
https://enkling.com/read-blog/32918_les-risques-pour-la-sante-de-la-viande-et-des.html
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coursesplanner · 3 months
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Manger moins de viande : une solution pour sauver la planète ?
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Dans notre société moderne, l'alimentation est devenue un enjeu crucial, non seulement pour notre santé, mais aussi pour l'environnement. La consommation excessive de viande a été identifiée comme l'un des principaux contributeurs aux problèmes environnementaux actuels, tels que le changement climatique, la déforestation et la perte de biodiversité. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur les implications de cette surconsommation de viande, discuter des solutions possibles et examiner de près les défis associés à la transition vers des régimes alimentaires moins carnés.
La production de viande est extrêmement gourmande en ressources naturelles et génère une empreinte écologique considérable. Selon les données de la FAO, l'industrie de l'élevage est responsable d'environ 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, principalement sous forme de méthane provenant de la digestion des ruminants et de la déforestation associée à la création de pâturages et à la production d'aliments pour le bétail. De plus, cette industrie utilise une quantité importante d'eau douce et contribue à la pollution de l'eau et des sols par les déchets animaux et les produits chimiques utilisés dans l'élevage intensif.
Les conséquences de cette surconsommation de viande sont multiples et graves. En plus de contribuer de manière significative au réchauffement climatique, l'élevage intensif est également responsable de la dégradation des terres, de la déforestation, de la perte de biodiversité et de la pollution de l'air et de l'eau. En outre, la consommation excessive de viande a des implications néfastes pour la santé humaine, étant associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, de certains types de cancer et de maladies métaboliques comme le diabète de type 2.
Face à ces défis, de plus en plus de voix s'élèvent en faveur de la réduction de la consommation de viande comme solution pour atténuer les impacts environnementaux de notre système alimentaire. Des études montrent que remplacer seulement une partie de la viande par des alternatives végétales dans notre alimentation peut avoir un impact significatif sur notre empreinte écologique. Adopter un régime alimentaire plus végétal, voire végétarien ou végétalien, peut non seulement réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi préserver les ressources en eau, protéger les écosystèmes et promouvoir une meilleure santé.
Cependant, la transition vers des régimes alimentaires moins carnés n'est pas sans obstacles. Elle soulève des questions complexes et controversées, notamment en ce qui concerne l'impact sur les communautés agricoles et les économies locales. Dans de nombreuses régions du monde, l'élevage est une source importante de revenus et de subsistance pour les petits agriculteurs, et une réduction de la demande de viande pourrait avoir des répercussions économiques graves. De plus, la culture alimentaire et les traditions culinaires jouent un rôle central dans de nombreuses sociétés, et le remplacement de la viande par des alternatives végétales peut être perçu comme une menace pour l'identité culturelle et le patrimoine culinaire.
La transition vers des régimes alimentaires moins carnés pourrait également avoir des implications sociales et culturelles importantes. Dans de nombreuses cultures, la viande occupe une place centrale dans les repas traditionnels et les célébrations sociales, et son remplacement par des alternatives végétales pourrait être difficile à accepter pour certaines populations. De plus, dans les pays en développement où la viande est souvent considérée comme un luxe et un symbole de statut social, une réduction de la consommation de viande pourrait être perçue comme une atteinte à la qualité de vie et au bien-être.
Pour illustrer la faisabilité d'une alimentation moins carnée, voici un exemple détaillé de menu pour une semaine : Lundi : Salade de quinoa aux légumes grillés (quinoa, courgettes, poivrons, tomates, oignons) Mardi : Curry de pois chiches et de légumes (pois chiches, carottes, patates douces, épinards, lait de coco, épices) Mercredi : Tacos végétariens avec haricots noirs et guacamole (tortillas de maïs, haricots noirs, avocat, tomates, oignons, coriandre) Jeudi : Risotto aux champignons (riz Arborio, champignons, bouillon de légumes, vin blanc, parmesan) Vendredi : Pizza aux légumes grillés (pâte à pizza, sauce tomate, courgettes, poivrons, champignons, mozzarella végétale) Samedi : Nouilles sautées aux légumes et tofu (nouilles de blé entier, tofu, poivrons, brocoli, oignons, sauce soja) Dimanche : Burger végétalien avec galettes de pois chiches (galettes de pois chiches, pain burger complet, laitue, tomate, oignon rouge, avocat) Ce menu varié et savoureux démontre qu'il est parfaitement possible de se nourrir de manière équilibrée et délicieuse en réduisant sa consommation de viande.
En conclusion, manger moins de viande pourrait représenter une solution prometteuse pour atténuer les impacts environnementaux de notre système alimentaire. Cependant, cette transition nécessite une approche réfléchie et nuancée, prenant en compte les dimensions sociales, économiques et culturelles. Il est essentiel de sensibiliser le public aux avantages d'une alimentation moins carnée tout en respectant la diversité des traditions culinaires et des choix alimentaires à travers le monde. En fin de compte, en adoptant des régimes alimentaires plus durables, nous pouvons contribuer à préserver la planète pour les générations futures.
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Quelques petits trucs pour diminuer son empreinte écologique
Voici quelques petits trucs pour diminuer son empreinte écologique et qui pourraient faire une grande différence...
1- La trousse zéro déchet : Cette petite trousse sert au transport de tout ce qui nous permettrait d’éviter d’avoir à jeter (ustensiles, verres (etc.) jetables). Au sein de cette dernière, nous y trouverions tout ce qui peut être réutilisable, comme une fourchette, une tasse à café, etc. 
2- Manger local et diminuer la consommation des viandes et autres produits de l’animal : Plus de 18% de la production des gaz à effets de serre proviendraient de l’industrie de la viande. Ainsi, diminuer cette consommation pourrait, évidemment, ralentir le processus du réchauffement climatique!
3- Acheter usagé: Aller faire un tour dans les friperies et sur les sites web de seconde main. Pourquoi acheter neuf, lorsque l’on peut avoir une bonne qualité pour moins chère et moins polluant?
4- Acheter en vrac : acheter en vrac (noix, café, friandises, etc.) diminuerait, radicalement, l’utilisation d’emballage (du plastique à emballer, par exemple). Mieux encore, serait d’y appliquer la trousse zéro déchet, dans le but d’utiliser des plats réutilisables, au lieu de sacs en plastique!
5- Réutiliser: Par exemple, au lieu de jeter un sac Ziploc dans lequel nous y avons mis des biscuits, il est possible de le réutiliser et même de le nettoyer, au besoin! Ainsi, la planète et le portefeuille, à long terme, en seront d’une telle reconnaissance! Il est aussi possible de réutiliser des produits maison, comme l’essuie-tout! En effet, pourquoi acheter des essuie-tout jetables qui sont, à long terme, très polluants (surtout s’il est jeté à la poubelle), lorsqu’il est possible d’en acheter à l’unité? Beaucoup de produits réutilisables s’offrent à nous, de nos jours. Que ce soit la couche à bébé, le papier hygiénique, les serviettes sanitaires, presque tout peut être réutilisé!
6-Refuser la paille en plastique: le mouvement est en processus (il était temps!), la paille en plastique, grande pollueuse qu’elle est, est de plus en plus en voie de disparition! Optons, au lieu, pour des pailles réutilisables, comme sont les pailles en bambou ou en aluminium, par exemple!
7-Éviter la bouteille en plastique: Probablement une des choses les plus polluantes, sur notre planète, en raison de leur trop longue décomposition et à leur surconsommation (plus de 1 million de bouteilles d’eau seraient vendus toutes les minutes!) , il est possible de remplacer la bouteille d’eau par, encore une fois, des bouteilles réutilisables. Pourquoi encourager des industries qui se servent de notre or bleu, dans le simple but d’en faire du profit? Aucune excuse n’est valable pour ne pas considérer cette solution et si vous avez un dégoût pour l’eau de l’évier, penser à acheter des filtres de charbon qui ont pour bu de minéraliser l’eau et d’y équilibrer le pH! Mise à part la bouteille d’eau, d’autres objets à base de plastique ont une alternative. Tel est le cas de la brosse à dents qui peut aussi bien fonctionner à base de bambou ( qui est, en plus, 100% biodégradable)!
8-  Le jardin personnel : Pourquoi acheter des aliments, comme les fruits et légumes, aspergés de produits chimiques et qui demandent un transport (polluant), lorsque nous pouvons, au lieu de cela, avoir tous ces aliments à portée de mains! Encore une fois, c’est la planète et le compte de banque qui en seront réjouis! 
9- Le surcyclage: Pratiquement, ce concept consiste en prendre des aliments (ou produit quelconque) que l’on ne croit plus utiles et le transformer en quelque chose d’utile!  Exemple assez simple et courant : Lorsque nos bananes tirent à la fin de leur existence, au lieu de s’en débarrasser, il est possible de les congeler pour en faire des pâtisseries! 
10-Prendre moins de bains et de douches: À quoi prendre plusieurs bains et douches, en une journée, sert, si ce n’est que gaspiller? Le bain moyen utilise plus de 189 litres d’eau (incroyable, non?), tandis que la douche moyenne (de 10 minutes, environ), pour sa part, en utilise plus de 95 !
11- Utiliser le savon en barre: Encore une fois, moins d’emballage de plastique, ce qui créer beaucoup moins de déchets! De plus, contrairement au savon embouteillé, le savon en barre ne contient pas de microbilles (substance qui finit par se déposer dans l’océan).
12- Utiliser des allumettes: Le briquet en plastique est très polluant, puisque trop souvent, ils finissent dans nos cours d’eau et nos poubelles. Pour sa part, l’allumette, une fois brûler, est complètement disparue. Une fois la boite d’allumettes terminée, recyclez-là!
13-Boycotter l’huile de palme: la production de cette huile est fortement associée à la déforestation donc, à l’élimination de territoire pour les êtres sauvages. Il est, à tout prix, d’une importance capitale d’éviter tout ce qui est : nouilles instantanées (même s’il est le sauveur de l’étudiant endetté), les biscuits sucrés et les tartinades à la noisette.  
14-Refuser les brochures: Pourquoi lire des brochures de papier, lorsque l’on peut trouver la même information sur le web? Il est évident qu’une fois la lecture finie, ces brochures finissent dans les poubelles…
15-Recycler et composter :Bien que pour la plupart d’entre nous, cela peut paraître d’une grande évidence, beaucoup de gens n’appliquent pas encore ces pratiques! En Roumanie, par exemple, le recyclage est une idée nouvelle et le compost n’est pas encore connu. Il est ainsi important, sans chercher à discriminer quiconque, d’essayer de sensibiliser les gens à cette pratique! 
16-Changer vos modes de déplacement: Bien que cela ne soit pas toujours possible, avec notre mode de vie faisant en sorte que nous pouvons allez travailler à des dizaines de minutes, voir des heures, de notre habitation, lorsque nous avons à nous déplacer sur de petites distances, pourquoi ne pas opter pour la marche ou le vélo ? Encore mieux! Si votre ville le permet, utiliser le réseau de transport en commun, qui réduit radicalement le nombre de voitures sur les routes et , d’une pierre deux coups, la pollution atmosphérique et l’exploitation de pétrole.
17- Réduisez les vols aériens: Bien que pour bon nombre d’entre nous, ce serait un grand sacrifice (ce qui s’avère tout à fait compréhensible), il est de fait que les voyages en avion, en raison des gaz à effet de serre qu’ils produisent, sont nuisibles. 
18- Acheter de plus petites maisons: Lorsque le temps sera venu de vous acheter une maison (si ce n’est pas déjà fait), opter pour une habitation de petite taille. Ainsi, vous dépenserez moins en énergie et cette dernière nécessitera beaucoup moins de matériaux de construction. De plus, penser, si cela est possible, à habiter près du travail pour, ainsi, ne pas trop dépenser en carburant!
19-  Opter pour des ampoules fluocompactes: Bien qu’elles soient plus dispendieuses que les ampoules ordinaires, elles demandent beaucoup moins en énergie, en plus d’avoir une plus grande longévité de vie.
20- Faire sécher le linge sur une corde : Au lieu d’utiliser la sécheuse qui demande beaucoup d’énergie, pourquoi ne pas faire sécher ses vêtements au soleil, à l’extérieur? Bien que cela exige un peu plus de temps, à long terme, c’est la planète qui vous remerciera! 
21- Décongélation: Prévoyez vous soupers d’avance! Au lieu de les faire décongeler sous eau chaude (grand gaspillage, de foi), faites-le avec le réfrigérateur, et ce, même si cela peut prendre un peu plus de temps! 
22- Fermer l’eau du robinet: Économiser l’or bleu! Par exemple, lorsque vous vous brossez les dents ou pendant le rasage, fermer l’eau du robinet, lorsqu’elle n’est pas utilisée. Vous économiserez, ainsi, 8 litres d’eau par minutes, ce qui, à grande échelle, est un gaspillage massif!
23- Partager et emprunter : La propriété privée peut parfois et, même, souvent être synonyme de pollution. À la place d’acheter neuf, penser à emprunter. Que ce soit un livre, un CD ou un DVD prêter- le et emprunter-le en retour!
24- Éteindre ses lumières: Saviez-vous que garder ses lumières inutilement, durant une heure, équivaut à plus de 10 jours d’éclairage constant par an?
25- Exploiter le soleil: Au lieu de chauffer la maison, lorsqu’il y a beaucoup de soleil, ouvrer plutôt les rideaux pour laisser la chaleur entrer. Et à l’inverse, lorsqu’il fait chaud, garder vos rideaux fermés., pour éviter de laisser les rayons entrer!
  Bibliographie: 
« 7 gestes quotidiens pour réduite votre empreinte écologique», Éco-peinture, (5 octobre 2015). En ligne, consulté. (https://www.ecopeinture.ca/blogue/7-gestes-quotidiens-pour-reduire-votre-empreinte-ecologique/)
«22 trucs faciles pour réduire votre empreinte environnementale », Les Mins,  (29 octobre 2018). En ligne, consulté le 19 avril  ( https://lesmins.blog/2018/10/29/22-trucs-faciles-pour-reduire-votre-empreinte-environnementale/)
BASTIEN, Alexandra, «Comment réduire votre empreinte », (mars 2009) Guide vert. En ligne, consulté le 17 avril 2019   (http://cegepat.qc.ca/environnement/doc/resum_guide_vert.pdf)
SIMARD,Myriame. , « 4 trucs simples pour diminuer notre empreinte écologique au quotidien» ,Québec huffingtonpost, (7 décembre 2015) En ligne, consulté le 23 avril (https://quebec.huffingtonpost.ca/2017/04/21/empreinte-ecologique-trucs-pour-diminuer-_n_8741508.html) 
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j-crs · 3 years
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Survol’Thé #1 - La Viande
L’exploitation animale est tellement omniprésente dans notre mode de vie qu’elle nous semble aller de soi. Essayons de prendre un peu de recul et de s’en tenir aux faits.
Aujourd’hui encore, le bétail vit une vie de souffrance (même s’il est bio !). Même si certains producteurs décident de changer leur façon de diriger leurs exploitations,  cela n’est rien face aux industries traditionnelles correspondant à 80% de la consommation. A l’échelle mondiale, l’élevage de bétail est pratiqué de telle manière qu’il exerce une pression trop forte sur l’environnement : il dérègle le climat (au moins 14% des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont causées par ce secteur), pollue les nappes phréatiques et s’approprie des terres au détriment des forêts (la déforestation cause une perte de la taille du Panama par an) ou des cultures destinées à la consommation humaine. Au-delà des discours bucoliques, où il est question de «fermes à taille humaine et de bétail batifolant dans les prés, la réalité est que la production de viande s’opère dans des conditions totalement contraires au respect du vivant.
En fait, ne pas manger d’animaux est le moyen le plus efficace de réduire notre impact sur l’environnement : il permet de réduire d’au moins 70 % l’empreinte individuelle. Nous pourrions voir la fin de la faim dans le monde (83 % des aliments cultivés dans le monde étant créés pour le bétail) ainsi que de la soif (pour 1 kg de bœuf, 15 000 litres d’eau sont nécessaires, soit l’équivalent de 300 douches). Les aliments à base de plantes sont quant à eux produits avec au moins 8 fois moins d’énergie et contiennent tous les nutriments nécessaires à notre santé.
L’antispécisme considère que l’espèce d’un animal n’est pas un critère pertinent pour décider de la façon dont il doit être traité. Se pose donc l’enjeu de se comporter de manière plus globale en considérant les conséquences de nos actions.
Nous savons que les épidémies les plus graves de l’histoire sont passées des animaux aux humains (75% durant la dernière décennie) la mondialisation aggravant la transmission et les répercussions.  Au cours de la tragique pandémie que nous connaissons actuellement, peut-être que certaines réflexions nous amèneront à redéfinir notre relation avec les autres formes de vie et notre environnement.
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limagaou · 5 years
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Petite intro au Mouvement des Sans Terre (MST)
Le Brésil est le pays qui présente le taux de concentration foncière le plus important au monde.
-      1% des latifundistes dont les propriétés détenues dépassent les 1000 hectares se partagent 45% de la surface agricole disponible (en France 17% des exploitations sont supérieures à 100 hectares et représentent 36% de la surface agricole, elles sont considérées comme des très grandes exploitations). Dans l’état de Mato Grosso certaines de ces propriétés dépassent les 10 000 hectares (un petit département de l’île de France quoi).
Seul 15% de ces terres sont mises en culture, la majorité sous la forme de céréales destinées à l’export pour l’alimentation animale. Le reste, en friche, est laissé à la spéculation foncière. En effet sur les 353 millions d’hectares de surface agricole au Brésil, seul 52 millions sont exploitées (par l’agriculture conventionnelle).
-     50% des agriculteurs paysans disposent de moins de 10 hectares et se partagent 2% de la surface agricole du pays.
Ceci est le résultat d’une longue histoire coloniale qui dure toujours. Du temps des colonies, les terres étaient propriété de la couronne portugaise, l’usufruit des terres était réparti entre quelques sesmeiros, des capitaines héréditaires qui usaient de la force des indigenas e africanos esclaves pour une production unique et homogène…la canne à sucre ! Puis les européens se sont mis à fumer, et donc de la canne on est passés au tabac, puis du tabac au café, et de là au caoutchouc…pour arriver aujourd’hui à la première production de soja et deuxième production de viande dans le monde. Et tout cela en arrosage massif de produits bayer et monsanto, le glyphosate n’étant que l’enfant de cœur des pesticides utilisés au Brésil.
La crise de la fin du millénaire mit en évidence l’insécurité alimentaire dans laquelle vivait les Brésiliens. Après les réformes structurelles des années 90, 450 mille familles paysannes durent abandonner leur terre au profit des banques. Aujourd’hui le pays privilégie toujours l’exportation de produits agricoles à l’autosuffisance alimentaire. Ainsi avant la mise en place de programmes sociaux sous la mandature de Lula, 25% de Brésiliens vivaient sous le seuil de pauvreté. La réforme agraire au Brésil n’a cependant jamais pu aboutir dans les faits : manque de volonté politique ou encore pression des latifundistes… et encore moins sous la mandature du duo Lula-Dilma durant laquelle l’agro-industrie ne s’est jamais aussi bien portée.
Sur le terrain, ce contexte est féroce pour les pauvres et les minorités : éviction et massacre des autochtones, déforestation massive, pollution des sols et des cours d’eau par l’agro-industrie, esclavage à peine déguisé des ouvriers de l’agroalimentaire, mépris du bien-être animal, répression de la contestation et des militant.e.s (notamment via des assassinats réguliers, le plus emblématique de ces derniers temps étant celui de Marielle Franco, femme noire lesbienne, conseillère municipale de Rio de Janeiro et devenue un symbole de la lutte des minorités).
Dans ce contexte d’injustice sociale et de violence étatique le MST lutte sans relâche :
OCUPAR : Parce que la terre est un bien commun !
Vous l’avez compris, la réforme agraire au Brésil ne se fera pas par les institutions. Le MST considère que la lutte pour la réforme agraire passe nécessairement par l’occupation des terres pour l’installation de familles. Héritage des quilombos, les communautés formées par les esclaves noir.e.s échappé.e.s, les communautés du MST sont peuplées par les travailleur.e.s pauvres, les oublié.e.s, les opprimé.e.s, les discriminé.e.s…bref tout.e.s les renégats du capitalisme.
La stratégie du MST s’appuie cependant sur quelques lois, notamment la Loi n°4504 qui établit les conditions d’expropriation (avec indemnisation par l’état) de terres sous-utilisées et soumet la propriété de la terre à une fonction sociale obligeant ainsi l’état à cartographier ces terres improductives. Les occupations s’appuient sur ces cartes pour légitimer leur action. Elles donnent lieu à des acampamentos lesquelles, après expropriation éventuelle des latifundistes, deviennent des assentamentos. 
Grâce aux actions du MST plus de 350 mille familles ont été installées depuis 1984.
PRODUZIR : Parce que la terre est nourricière et non spéculative 
Le MST défend une agriculture saine et respectueuse de l’environnement, la très grande majorité des cultures est donc garantie sans toxiques – et absolument TOUT est produit : des légumes verts au tubercules de toutes sortes, de la cachaça au café, de la vannerie aux produits de soins naturels… Produire selon les principes de l’agro-écologie est aussi une manière de reconnecter avec les traditions des peuples natifs.
RESISTIR : Porque o MST ! A luta é pra valer !
Le MST avance sur plusieurs fronts : l’éducation, la santé, le bien-vivre, l’alimentation, la paysannerie, l’engagement politique, le féminisme…agir avec les communautés rurales comme urbaines pour faire corps, se former en tant que collectif uni et solidaire, et se préparer à résister à la répression pour renverser l’ordre établi.
Le MST s’attaque donc à la spéculation foncière mais aussi au racisme, au patriarcat, aux violences de genre, bref à toutes les formes de domination. Sur les sillons de Freire et de la théologie de la libération les théories du MST nous amènent à considérer tous les opprimés de ce monde comme des sans terre.
La vie au quotidien dans la brousse est rude, et la lutte est dangereuse : en moyenne depuis 1984 un.e militant.e du MST est tué.e chaque semaine, souvent en toute impunité.
Depuis quelques temps la vague répressive grossit, les perspectives pour 2019 sont sombres, mais les sans terre sont déter et ils ne lâchent rien.
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jojobegood1 · 6 years
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Ton steak m'a tué - Mehdaly produit par Kreezy R
Ajoutée le 8 déc. 2017
L'INDSUTRIE DE LA VIANDE NE TUE PAS QUE DES ANIMAUX... ELLE TUE AUSSI DES HUMAINS ! Familles expulsées manu militari, enfants qui meurent empoisonnés au Glyphosate, déforestation et pollution de leur environnement, c'est la tragédie qu'ont à affronter au quotidien les paysans d'Asunciôn au Paraguay à cause de l'industrie de la viande. Une industrie meutrière et immorale. Un clip de MEHDALY qui relate en musique ce triste constat..
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alancienneco · 6 years
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3 bonnes résolutions à prendre en 2018 pour une alimentation durable
Saviez-vous que l’agro-industrie est responsable de plus d’I/3 des émissions de gaz à effet de serre. Changer notre alimentation peur avoir un impact considérable sur l’environnement.
Que pouvez-vous mettre ne place facilement pour limiter l’impact de votre alimentation sur la planète. 
Manger de saison
Si vous mangez encore des tomates en janvier, arrêtez tout de suite ! Primo parce qu'elles n'ont aucun goût et deuxio parce que ça coûte cher en énergie ! Un fruit ou un légume qui n'est pas de saison a été soit importé soit cultivé sous serre chauffée. Pas très écolo dans les deux cas ! Alors pour avoir une alimentation durable, rien de tel que de respecter le calendrier des saisons ! Cerise sur le gâteau, des légumes de saison sont gorgés de nutriments et plein de saveurs.
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L'hiver fait la part belle aux courges, aux choux, aux poireaux... La nature a prévu des dizaines de variétés pour qu'on ne risque pas de se lasser ! Munissez-vous d'un calendrier des fruits et légumes de saison et révisez la liste des fruits et légumes à privilégier en début de chaque mois. Vos papilles, votre porte-monnaie et la planète vous diront merci !
 Manger plus de produits locaux   
Devenez locavore ! Privilégiez les produits qui sont cultivés et préparés près de chez vous. Idéalement, à moins de 150km de votre lieu de résidence. Les bénéfices sont nombreux ! Les produits sont plus frais - jusqu'à être cueillis du matin chez Alancienne - et contiennent plus de nutriments que les produits qui ont passé plusieurs jours en chambre froide dans les transports.
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Vous soutenez l'économie locale et vous participez au dynamisme des campagnes alentours. Achetez directement vos produits chez le producteur ou en circuit court  pour être sûr que le prix que vous payez revient en grande partie à l'agriculteur. C'est ça aussi une alimentation durable, une alimentation qui permet au producteur de gagner un revenu décent.   
Manger moins de viande  
Savez-vous que 18% des émissions de gaz à effet de serre sont dues à la production de viande et de produits laitiers ! La viande produite de manière industrielle consomme énormément d'eau et est responsable de la déforestation. Il est temps de réduire sa consommation de viande pour  protéger la planète. Adoptez un régime "flexitariste" : consommez de la viande seulement 1 ou 2 fois par semaine et choisissez-la de qualité et issue de filières durables.
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    Pour replacer la viande au quotidien, misez sur les légumineuses (lentilles, pois cassés, pois chiche, fèves, etc.), les céréales complètes (épeautres, blé, boulgour, etc.), les noix et les graines. Les protéines végétales peuvent suffire à vous apporter les protéines dont vous avez besoin, il suffit de les combiner pour avoir tous les apports nécessaires.
N’attendez plus pour prendre les bonnes décisions ! Alancienne est là pour vous aider à manger mieux et de manière plus durable :) RDV sur www.alancienne.co pour découvrir nos produits locaux de saison 
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zehub · 7 years
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Au Brésil, la folle ascension du secteur de la viande - Magazine GoodPlanet Info
En deux décennies, le Brésil, secoué par un scandale international de viande avariée, est devenu le 1er exportateur mondial de viande bovine et de volaille, au prix d’un fort soutien public, d’une déforestation accrue de l’Amazonie et de contrôles sanitaires variables selon les acheteurs. Alors que le pays a perdu d’un coup plusieurs de ses principaux marchés à l’exportation depuis vendredi, la crise alimentaire en cours oblige le gouvernement à voler au secours de la filière viande après la découverte d’un réseau de corruption présumé au sein de géants de l’agro-industrie comme JBS et BRF, accusés de certifier et revendre de la viande avariée.
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Les Avantages du Véganisme pour la Santé : Comment une Alimentation Sans Produits Animaux Peut Améliorer Votre Bien-être
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Le véganisme est bien plus qu'un simple régime alimentaire; c'est un mode de vie qui exclut l'utilisation de tout produit d'origine animale, y compris la viande, les produits laitiers, les œufs et même le miel. Les avantages du véganisme pour la santé sont nombreux et bien documentés, et adopter ce mode de vie peut avoir un impact significatif sur votre bien-être général.
Une alimentation végétalienne est naturellement riche en fibres, en antioxydants et en nutriments essentiels tels que les vitamines C et E, ainsi que le magnésium et le potassium. Ces éléments nutritifs sont connus pour leur capacité à renforcer le système immunitaire, à favoriser une peau saine et à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
En évitant les produits d'origine animale, vous réduisez également votre consommation de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut aider à prévenir les maladies cardiaques et à abaisser votre taux de cholestérol sanguin. De plus, les régimes végétaliens ont été associés à une meilleure gestion du poids et à un risque réduit d'obésité, ce qui peut avoir des avantages considérables pour la santé à long terme.
Les avantages du véganisme pour la santé ne se limitent pas seulement aux aspects physiques, mais s'étendent également à la santé mentale. De nombreuses personnes qui adoptent un mode de vie végétalien rapportent une amélioration de leur bien-être émotionnel, une plus grande clarté mentale et une augmentation de l'énergie. En outre, la compassion envers les animaux et l'environnement qui sous-tend le véganisme peut contribuer à un sentiment de satisfaction personnelle et à un état d'esprit positif.
L'une des préoccupations courantes concernant le véganisme est la possibilité de carences nutritionnelles, en particulier en ce qui concerne les protéines, le calcium et la vitamine B12. Cependant, avec une planification appropriée et une alimentation variée, il est tout à fait possible d'obtenir tous les nutriments nécessaires à partir d'une alimentation végétalienne équilibrée. De plus, de nos jours, il existe de nombreuses alternatives végétales aux produits d'origine animale, ce qui rend plus facile que jamais de suivre un régime végétalien tout en maintenant une alimentation nutritive et délicieuse.
En conclusion, les avantages du véganisme pour la santé sont multiples et variés. Adopter une alimentation sans produits animaux peut non seulement améliorer votre santé physique en réduisant le risque de maladies chroniques, mais aussi favoriser un bien-être émotionnel et mental optimal. En embrassant le véganisme, vous contribuez également à la protection des animaux et de l'environnement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire de gratification personnelle à ce mode de vie éthique et durable.
https://www.quora.com/profile/Tonu-55/D%C3%A9forestation-et-industrie-de-la-viande-Les-liens-souvent-ignor%C3%A9s-La-d%C3%A9forestation-et-lindustrie-de-la-viande-http
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j-crs · 4 years
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Survol’Thé #1 - La Viande
L’exploitation animale est tellement omniprésente dans notre mode de vie qu’elle nous semble aller de soi. Essayons de prendre un peu de recul et de s’en tenir aux faits.
Aujourd’hui encore, le bétail vit une vie de souffrance (même s’il est bio !). Même si certains producteurs décident de changer leur façon de diriger leurs exploitations,  cela n’est rien face aux industries traditionnelles correspondant à 80% de la consommation. A l’échelle mondiale, l’élevage de bétail est pratiqué de telle manière qu’il exerce une pression trop forte sur l’environnement : il dérègle le climat (au moins 14% des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont causées par ce secteur), pollue les nappes phréatiques et s’approprie des terres au détriment des forêts (la déforestation cause une perte de la taille du Panama par an) ou des cultures destinées à la consommation humaine. Au-delà des discours bucoliques, où il est question de «fermes à taille humaine et de bétail batifolant dans les prés, la réalité est que la production de viande s’opère dans des conditions totalement contraires au respect du vivant.
En fait, ne pas manger d’animaux est le moyen le plus efficace de réduire notre impact sur l’environnement : il permet de réduire d’au moins 70 % l’empreinte individuelle. Nous pourrions voir la fin de la faim dans le monde (83 % des aliments cultivés dans le monde étant créés pour le bétail) ainsi que de la soif (pour 1 kg de bœuf, 15 000 litres d’eau sont nécessaires, soit l’équivalent de 300 douches). Les aliments à base de plantes sont quant à eux produits avec au moins 8 fois moins d’énergie et contiennent tous les nutriments nécessaires à notre santé.
L’antispécisme considère que l’espèce d’un animal n’est pas un critère pertinent pour décider de la façon dont il doit être traité. Se pose donc l’enjeu de se comporter de manière plus globale en considérant les conséquences de nos actions.
Nous savons que les épidémies les plus graves de l’histoire sont passées des animaux aux humains (75% durant la dernière décennie) la mondialisation aggravant la transmission et les répercussions.  Au cours de la tragique pandémie que nous connaissons actuellement, peut-être que certaines réflexions nous amèneront à redéfinir notre relation avec les autres formes de vie et notre environnement.
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