Tumgik
#Détestable moi 4
leszackardises · 2 months
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[Critique] Détestable moi 4 (2024): Minion comme tout
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ouipops · 1 month
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Fuck la psy bitch
Elle veut prendre tout ce que j’ai Et en même temps elle me redonne tout ce que j’ai perdu ces 26 dernières années Surtout les 10 dernières
Voir plutôt les 4 (et encore que je parle pas des 3 derniers mois)
Je suis pas loin de devenir une star Je suis pas loin de finir ma carrière et puis de retourner taffer Jamais été aussi proche de moi-même et en même temps aussi loin de qui j’aimerais être Pcq la vie elle te donne pas ce que tu veux mais ce que tu es
J’m’arrêterais pas tant que je suis pas première de la classe Demain je serais partout à devenir détestable Egotrip jusqu’au brouillard Fake it until you make it en ce moment c un peu faiblard Peut-être après-demain encore à ta table
Angoissée qu’on me laisse  Donc je préfère partir
Je crois que c’est ça grandir Se rapprocher non sans mal de qui on est
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une partie des vers provient du dernier album de jäde, allez écouter <33
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jogallice · 2 months
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09/06/24-07/07/24-17/07/24
Dix-septième billet politique : trente-huit jours que la dissolution a été annoncée par le président de la République et dix jours après le second tour des élections législatives anticipées qui en ont découlé.
Il y a six jours, dans mon précédent billet politique, j’insistais sur l’opacité de plus en plus préoccupante de la situation française et pour moi, le problème devenait inextricable. Je ne me suis malheureusement pas trompé.
En relisant les dépêches sur lesquelles je m’étais appuyé pour la précédente analyse, je me rends compte que rien n’a changé, ou presque. Et surtout, certain·es déclarant·es ne sont pas revenu·es sur leurs déclarations et c’est bien dommage (ah, la politique politicienne, dévastatrice pour les citoyen·nes).
Vu que le président de la République a accepté hier (mardi 16/07/24), la démission de Gabriel Attal et de son gouvernement, je vais revenir principalement sur le désormais Premier ministre démissionnaire.
1. Le Premier ministre Gabriel Attal est "officiellement candidat" à la présidence du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, a indiqué l'ex-président du groupe Sylvain Maillard.
2. L'actuel Premier ministre s'est engagé à "protéger les Français de tout gouvernement" comportant des ministres du Rassemblement National ou de La France Insoumise, dans sa profession de foi pour la présidence du groupe à l'Assemblée nationale.
3. Émmanuel Macron a déploré lors d'une réunion à l'Élysée le "spectacle désastreux" donné par son camp lors d'une semaine marquée par des divergences internes sur la ligne ou la gouvernance du groupe fraîchement élu à l'Assemblée, ont indiqué des participants à l'AFP.
4. Gabriel Attal, seul candidat en lice, est élu président du groupe des députés Renaissance à l'Assemblée nationale le samedi 13/07/24.
5. Le lundi 15/07/24, après une réunion matinale avec leur nouveau président Gabriel Attal, les député·es Renaissance ont validé une nouvelle dénomination, "Ensemble pour la République" (EPR).
6. "Je ne serai pas le prochain Premier ministre" : Gabriel Attal s’explique sur TF1 après la démission de son gouvernement le mardi 16/07/24.
Malgré qu’il y ait encore beaucoup (beaucoup trop à mon goût) de gens qui parlent du “macronisme” qui n’a jamais, d’après moi, véritablement existé, et que toutes ces personnes devraient s’interroger sur leur pertinence politique, elles seraient bien inspiré·es de tenter de se refaire en s’intéressant à la naissance de “l’attalisme” mais je reconnais que la politique n’est pas une science exacte, eheh.
Quant à l’union de la gauche, c’est une véritable descente aux enfers pour les électeurs et les électrices du Nouveau Front Populaire. Ce matin, mercredi 17/07/24, Marine Tondelier s'est dite "désolée du spectacle qu'on donne aux Françaises et aux Français". Comment ne pas être en totale harmonie avec la secrétaire nationale des Écologistes-EÉLV qui était l’invitée des "4 vérités" de France 2. On serait écœuré à moins.
Et depuis plusieurs jours, les éléments de langage de La France Insoumise sont absolument détestables à entendre, à écouter, à relayer. Mais bon, tout était écrit depuis l’intervention de Jean-Luc Mélenchon le 7 juillet dernier et il faut tout de même souligner que ses trois partenaires au sein du NFP ne pouvaient tout de même pas s’attendre à une autre stratégie de la part de LFI. À un moment, il faut ouvrir les yeux.
Pour finir, demain, jeudi 18/07/24, bataille du perchoir à l’Assemblée nationale, les postes clés convoités, la constitution des groupes politiques, etc.
La suite au prochain épisode…
Politiquement vôtre,
J.-O.
📷 JamesO PhotO à Annecy le mardi 16/07/24 📸
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yes-bernie-stuff · 2 months
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« Au reste, frères, que tout ce qui est… aimable… soit l’objet de vos pensées » (Philippiens 4 :8). 
Il est parfois des mots que nous utilisons, sans mesurer toute la richesse qu’ils contiennent. Le mot « aimable » est de ceux-là. J’ai regardé, dans divers dictionnaires, le sens de ce mot, et j’ai relevé les acceptions suivantes : 
1. Qui mérite d'être aimé. (Qui plus que Dieu mérite d’être aimé ? Certainement personne, car Dieu m’a tellement aimé, qu’il a donné son fils Jésus pour me sauver.) Voilà donc un merveilleux sujet de pensées : Pensez à la profondeur infinie de l’amour de Dieu envers vous.
2. Qui mérite d'être aimé en raison de ses qualités conformes à un idéal. (Peut-on trouver modèle plus parfait que celui de Jésus-Christ ?) L’apôtre Paul disait à Timothée : « Souviens-toi de Jésus-Christ ». Pense au Seigneur Jésus, il n’est rien de plus aimable que son exemple.
3. Qui se distingue en raison de sa volonté à faire plaisir. (Est aimable celui ou celle qui est prévenant, attentif à l’autre, soucieux du bien-être de l’autre, qui par des propos agréables, console, encourage, félicite). Quelles pensées entretenez-vous à l’égard de votre conjoint, de votre voisin, de votre entourage ? Des pensées aimables, ou des pensées détestables, des pensées de paix ou des pensées de colère ? Entendez l’exhortation de Paul : Que tout ce qui est aimable, c’est-à-dire ce qui peut faire plaisir à l’autre, soit l’objet de vos pensées.
4. Qui se distingue en raison de sa qualité d'accueil. (Est aimable, celui ou celle qui vous accueille avec le sourire, en vous disant un chaleureux bonjour, qui ne le fait pas par simple convenance polie, mais qui le fait en toute sincérité). Pensez à votre manière d’accueillir l’autre, pensez à la manière dont Christ vous a accueillis (Romains 15 :7). 
Voilà déjà quelques pistes à suivre pour cultiver des pensées aimables.
Cultiver des pensées aimables, engendrera des attitudes aimables, des paroles aimables. Ceux qui ont des paroles dures à l’égard des autres, ou ceux qui blessent par leurs propos, démontrent qu’ils ont encore besoin d’apprendre à cultiver des pensées aimables. C’est en cultivant des pensées aimables que nous développerons notre amabilité.
« Seigneur, je veux diriger mes pensées vers ce qui est aimable ; je veux penser à ce qui pourrait t’être agréable et aussi agréable aux autres. Aide-moi, au nom de Jésus ! Amen ! »Avec amour, Paul
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christophe76460 · 8 months
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Ne porte pas envie aux gens de mal (Proverbes 24:1).
Ces personnes malfaisantes ont le diable au corps. Elles sèment le malheur sur leur route et ne songent qu’à faire du tort à leur prochain sous toutes ses formes comme la médisance, le vol ou le meurtre. Leur réussite financière apparente incite les braves gens à les envier. C’est une tentation contre laquelle même des hommes pieux, comme le psalmiste Asaph, ont dû lutter. Je lis ce qu’il écrit :
Il s’en fallut de peu que mes pieds ne trébuchent, un rien de plus, et je tombais. J’étais jaloux des arrogants en voyant la prospérité des gens méchants. Car ils sont exempts de souffrance ; jusqu’à leur mort, ils ont santé et embonpoint. Ils passent à côté des peines qui sont le lot commun des hommes. Ils ne subissent pas les maux qui frappent les humains. Aussi s’ornent-ils d’arrogance comme on porte un collier, et la violence est leur parure (Psaume 73:2-6).
❗❓Quand on voit à la télé la misère des pauvres gens et les inégalités criantes en ce bas monde, il y a de quoi se poser des questions. J’ai lu une fois qu’aux États-Unis, le P.D.G. d’une grosse assurance maladie privée avait reçu pour salaire annuel la modique somme de 1,5 milliard de dollars ; j’ai bien dit milliard ❗ . C’est une obscénité même si c’est légal. L’envers du décor du capitalisme est qu’il a élevé la cupidité au rang des vertus. Remarquez que le communisme ou un autre isme ne vaut pas mieux, car le fond du problème est dans le cœur de l’homme qui est tortueux et méchant. Un auteur écrit :
L’être humain est détestable et corrompu ; il commet l’injustice comme il boirait de l’eau (Job 15:16).
Asaph avoue en toute franchise qu’il a été troublé par la réussite des hommes iniques. Oui, mais plus loin, il écrit :
Je me suis mis à réfléchir : j’ai cherché à comprendre, je trouvais tout cela bien trop injuste jusqu’au jour où je suis entré dans la maison de Dieu et où j’ai réfléchi au sort qui les attend. Car, en fait, tu les mets sur un terrain glissant, tu les entraînes vers la ruine (Psaume 73:16-18).
Je n’ai pas à me soucier de la réussite des malfaiteurs, Dieu s’en occupe et il a déjà écrit leur nom dans son carnet de rendez-vous. Un proverbe dit :
L’Éternel a tout fait pour un but, même le méchant pour le jour du malheur (Proverbes 16:4).
Ma responsabilité devant Dieu est d’accomplir les bonnes œuvres qu’il a préparées pour moi (Ephésiens 2:10) et même chose pour vous.
Il nous faut considérer les choses de cette vie selon le point de vue divin. Les Textes Sacrés donnent beaucoup d’exemples d’hommes mauvais qui ont mal fini depuis Caïn qui tua son frère Abel jusqu’à Lot, le neveu d’Abraham que le Nouveau Testament appelle pourtant un homme juste (2Pierre 2:7). Il avait convoité les plaines verdoyantes de Sodome, s’y est installé et a prospéré. Les années ont passé, mais un jour Lot fut frappé par une succession de malheurs qui étaient les conséquences de sa cupidité. J’imagine qu’il a dû se mordre les doigts en songeant à la funeste décision qu’il avait prise bien des années plus tôt.
Ce qu’un homme sème, il le moissonnera aussi (Galates 6:7).
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iradiei · 9 months
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4 janvier
“Moi, de toute façon, tant que j’ai eu ma dose le matin, faut pas me parler !” A-t-on idée de boire du café ? Cette phrase, prononcée bien trop souvent dans les bureaux où, à peine arrivé, il faut déjà faire une pause, fait passer n’importe quel caféinomane pour le dernier des malotrus. Est-il possible que sur cette terre, pourtant si bien faite, où les fumées de la civilisation nous permettent d’avoir un cancer gratuit - vous vous rendez compte, dans cette économie ? -, il soit convenu - et nous ne parlons pas dudit caféinomane ici, sinon nous aurions dit qu’il est venu, le con - que, puisque nous n’avons pas pu profiter d’un breuvage chaud dès le matin, nous pouvons être exécrable ? N’est-ce pas absolument absurde, comme raisonnement ? La phrase : “Navré, Coco, mais je n’ai pas pu boire mon jus de chaussette qui me fait croire que j’ai dormi plutôt que d’être assailli par les angoisses existentielles de n’importe quel humain conscient, et, pour une fois, je n’ai pas de rat crevé dans la bouche, donc tu iras bien gentiment voir ailleurs tant que tu n’auras pas ramené un gobelet avec un petit noir bien tassé, et avec ton poids en sucre.” ne donne-t-elle pas envie, pourtant, de faire en sorte que ces saules tremblants soient abattus sur place ?
Imaginez un instant à quel point la tolérance que l’on a pour ces drogues-ci semble déplacée lorsqu’on change la substance dont il est question. N’est-ce pas risible, si le même détestable individu arrive dans le même bureau sans personnalité et vous sert le même discours, mais évoque son thé au jasmin plutôt que son café noir ? Outre le fait que le thé est l’apanage des Anglais, et qu’il ne faut pas pactiser avec l’ennemi, vous conviendrez que n’importe quel être civilisé ferait en sorte que le théinomane s’étouffe avec son petit sachet pour bien ressentir “Tout l’effet Lipton” ; de plus, vous nous direz : “Il n’avait qu’à pas me parler tant que j’ai pas eu mon café, le Rosbif, déjà qui sait pas manger correctement”, et c’est précisément pour cette raison que nous vous laisserions accéder au Graal que représente pour vous la sacro-sainte machine à café, tout en songeant qu’il faut être sacrément con pour emmerder le pauvre luwak qui bouffe tranquillement dans son coin, mais surtout, que ça explique l’odeur.
Et alors que nous prions pour que vous restiez très loin, avec votre haleine de cadavre, nous giclons autant d’étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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waitstay · 3 years
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Update #1
Bonjour bonjour les amigos. J'espère que vous allez tous bien. Si c'est pas le cas, mes DM sont toujours ouverts pour vous.
Bon, ça fait 2 mois qu'on a pas discuté. Je remercie encore tous ceux qui m'ont envoyé des messages pour savoir comment j'allais, merci merci merci. Voici un update, divisé en plusieurs points parce que je suis juriste, j'aime les plans en 2 parties/2 sous-parties.
I. La vie en général
A. Les études
J'ai fini les cours le 12 mars, ensuite j'ai eu 1 semaine de révision puis 1 semaine de partiels. J'ai pas vraiment réussi mes partiels pour une raison simple : j'étais hyper malade bordel, j'avais jamais vécu ça. Je vous expliquerai plus tard ce qu'il s'est passé.
Un peu déçue que mes derniers partiels d'étudiante ne soient pas un franc succès. MAIS, en réalité j'avais que 4 partiels, sur 9 matières, parce qu'avec le distantiel, tout est passé en contrôle continu. D'où une quantité énorme de devoirs à rendre. J'ai commencé à bégayer quand une prof a exigé, à 18h, qu'on ait rédigé un contrat en entier pour le lendemain à midi, c'était pas facile. J'ai passé beaucoup de nuits blanches, donc forcément j'étais flagada une bonne partie de février-mars.
Mais bon, sur toutes mes matières en CC j'ai eu plutôt des très bonnes notes. Là il me reste une dissertation de pénal, et un travail de groupe à rendre, et je serai définitivement libérée.
D'ailleurs, aparté : les travaux de groupe. Cette atrocité doit cesser. J'ai dépendu de trop de personnes cette année, dont certaines étaient détestables. PLUS JAJA.
Au sein de ma promo, ça s'est extrêmement mal passé. Tricherie aux examens, harcèlement, propos hautains et parfois discriminants... Pitoyable. A minimum 23 ans, on s'attendrait à un peu de maturité, en particulier quand on est tous en distantiel. Eh ben, non. Et dans tous ça, les profs étaient aux abonnés absents, à part pour nous sermonner et projeter sur nous leurs difficultés à gérer la covid (3 profs nous ont shamé pour des conneries, dont 1 qui a quitté un cours en plein milieu).
Je suis extrêmement soulagée que cette année de M2 soit finie car honnêtement, ça a été ma pire année d'études supérieures et de loin. Place au mémoire, désormais.
B. Le boulot
Et grâce à Zeus, mon boulot a tout sauvé dans cette année. En janvier j'ai postulé pour un poste d'assistante de justice (encore merci à Flo, ma relectrice de lettres de motivation attitrée). Les AJ sont en gros des sous-fifres qui travaillent auprès des magistrats. Suivant les services, ce sont eux qui font les recherches juridiques nécessaires pour rendre une décision, ou bien eux qui rédigent les ébauches de jugement etc. Bref, j'ai postulé en janvier et début février on m'a annoncé qu'il n'y avait plus de poste à pourvoir. J'étais un peu triste, mais bon de toute façon à la base j'avais pas prévu de partir avant avril.
Et fin février, un collègue entre dans mon bureau et me dit, un peu livide : "y'a le président du tribunal au téléphone, il veut te parler". Il m'a proposé un poste, encore mieux que ce que je voulais. Je vous retranscris grossomodo la conversation :
"Vous voulez toujours être AJ ?
- Oui
- Alors, j'ai un poste qui se libère à l'application des peines (cliquez sur le lien si ça vous intéresse). Néanmoins, j'ai un autre service qui a besoin d'un AJ, et je pense que ça vous intéressera plus. Je souhaiterais que vous veniez travailler à l'instruction. Est-ce que ça vous irait ?
- OUI OUI OUI"
Bon, si vous avez pas vu le documentaire sur le petit Grégory, l'instruction c'est en gros les enquêtes criminelles. J'ai passé l'entretien le lendemain avec le juge chef de service. Je vais avoir vraiment, énormément, de travail, mais je vais aider à résoudre des enquêtes criminelles. Je... J'ai envie de chialer tellement ça va être trop bien.
Il a fallu se mettre d'accord entre ancien et nouveau taf. J'ai fait mon dernier jour à la maison de justice le 31 mars, et je prête serment le 6 avril. C'est fou, c'est incroyable et je suis tellement heureuse.
Des fois j'ai la tête qui tourne quand je passe en revue les 5 dernières années. J'étais une gamine qui taffait à McDo et qui avait lâché sa licence d'anglais. J'ai repris une L1, j'ai bossé 6 ans à McDo, j'ai lâché ce taf pour un stage non rémunéré, on m'a proposé un boulot, j'ai eu ma licence, puis mon master (bientôt), et dans quelques jours je prêterai serment, premier d'une longue série. Waow. Started avec un stage. Started with hope.
C'est tout pour aujourd'hui. Le II la semaine prochaine, on parlera santé et spiritualité.
Bisous
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beingdailyfangirl · 4 years
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Une vie moldue ou presque
Rating : K Genres : Romance Chapitres : 22
Hermione G. / Drago M.
4/5
- Histoire niaise avec peu de développement de personnages ou de couples ou alors trop rapide le développement (Elle date de 2005 c’est un peu excusable)
- Quelques incohérences
- Se base beaucoup sur un système français que ce soit au niveau de l’éducation ou de la législation ce qui confond puisque l’histoire se passe au Royaume-Uni
- Drago légèrement OOC par moment
- Histoire géniale qui n’est pas QUE centré sur le couple Dramione ce qui est agréable
- Intrigue intéressante et bien développée avec de bons rebondissements. C’est le gros point positif de la fanfiction
- OC absolument attachants (ou détestable pour certains), très bien écrit et créés
- L’univers des aristocrates bien incrusté dans l’univers de Harry Potter, très bien décrit et très bien présenté
- Bonne écriture et agréable à lire, sans trop de mots compliqués ou de profondeur dans l’histoire
- Hermione surdouée et comtesse est devenue ma Fanon Hermione préférée avec cette fanfiction
SPOILER
Avec une relecture de cette fanfiction 6 ans après ma première lecture, je me rends compte d’un détail de la fanfiction qui me déplaît.
Les derniers chapitres nous présentent une relation entre Ginny Weasley et l’oncle d’Hermione, James Granger. D’après les dires de l’auteur, ils ont 11 ans d’écart, ce qui en soit n’est pas pour moi un GRAND écart. Néanmoins, Ginny, dans la fanfiction, a 15-16 ans et James a 27 ans. Ginny n’est donc même majeur et même si elle pourrait être très mature, je trouve cette relation très malsaine.
Cette relation n’est pas la seule avec un écart d’âge dans la fanfiction : Sam (16 ans) et Will (22 ans) ou Elisabeth (16 ans) et Andrew (21 ans). L’écart est moins grand et c’est moins choquant, et leur relation dans la fanfiction est si mignonne qu’il est difficile de ne pas les aimer. Mais je suis légèrement déçue de la façon dont l’auteur a abordé ces relations entre un mineur et un adulte de cette façon. Après bien sûr, la fanfiction est faite en 2005.
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montagnarde1793 · 4 years
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8 prairial an III : la Convention décide d’envoyer ses membres décrétés d’arrestation le 1er prairial devant une commission militaire
Le Courrier français donne la version la plus succincte (n° 83, p. 5) :
Clauzel, après avoir résumé tous les crimes de certains membres de la convention, a fait adopter le projet de décret suivant :
           La convention accuse Rhull [Rühl], Romme, Duroi [Duroy], Goujon, Forestier, Albitte, Bourbotte, Duquesnoi [Duquesnoy], Soubrani [Soubrany], Prieur de la Marne & Peyssard, comme auteurs ou complices de la conspiration des premiers jours de prairial.
Ils seront en conséquence traduits devant la commission militaire, établie à Paris, pour y être jugés.
Décrété au milieu des applaudissemens.
Celle des Annales patriotiques (n° 160, p. 776) est encore plus orientée :
Clauzel, après avoir esquissé le tableau des crimes de la faction des septembriseurs, fait une peinture énergique de nos dangers et de la mollesse du gouvernement ; il demande que le comité de sûreté générale soit autorisé à envoyer à la commission militaire les représentans arrêtés dans la nuit du premier prairial, ils sont atteints et convaincus, je demande que vous rendiez le décret suivant :
           La convention nationale accuse de haute trahison Albitte aîné, Forestier, Goujeon [Goujon], Soubrani [Soubrany], Prieur de la Marne, Bourbotte, Duroi [Duroy], Duquesnoi [Duquesnoy], Rulh [Rühl], Peyssard, assassin de Féraud, Romme ; elle enjoint à son comité de sûreté de remettre les pièces et les prévenus à la commission militaire, qui les jugera dans le plus court délai. Décrété.
Enfin, le Moniteur universel (Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 24, n° 252, p. 561-563) retranscrit le discours de Clauzel : on découvre ainsi les “crimes” des accusés :
Clauzel : Je demande le décret d’accusation, et à cet égard je ferai une observation. Dans les circonstances ordinaires, la Convention avait bien fait de renvoyer à son comité de législation l’examen de la conduite des représentants ; mais, dans les circonstances présentes, il est nécessaire d’attribuer ce droit aux comités de gouvernement. (Des murmures s’élèvent.) Le fléau le plus funeste pour un peuple, c’est la faiblesse du gouvernement. En effet, ce qui est arrivé n’a été que le résultat naturel de votre faiblesse lors de la révolte du 12 germinal.
           Quoi ! des représentants ont organisé la révolte, ont dirigé le fer assassin, et ils ont tranquilles dans une prison, d’où ils peuvent combiner de nouveaux mouvements ! La France entière doit s’étonner de voir qu’on ait fait tomber la tête de quelques gendarmes, de quelques canonniers, qui avaient secondé les révoltés par leur faiblesse, et que les chefs, les instigateurs principaux de la révolte ne soient pas punis. (On applaudit.)
           On avait décrété que la commission militaire jugerait les représentants qui ont pris part à la révolte de prairial. On a rapporté ce décret à l’instant que la représentation nationale devait être entourée d’un triple rempart. Eh bien ! avec un tel système, il m’est démontré que les scélérats qui ont organisé la première révolte trouveront les moyens d’en élever une seconde, et chercheront de nouveau à s’emparer du gouvernement. Je vais vous faire connaître les hommes dont je parle, et si vous devez avoir pour vos propres assassins de l’indulgence.
           Dans la nuit du 1er prairial, cette tribune était encore fumante du sang du brave Féraud, Ruhl [Rühl] monte sur son banc, harangue les révoltés, convertit en motion la demande contenue dans leur signe de ralliement. Notre respectable collègue Garran-Coulon, témoin du fait, a lui-même demandé l’arrestation de Ruhl [Rühl].
           Romme, dans les bourreaux de son collègue, ne voit que de bons citoyens, que des républicains prêts à couvrir de leurs corps la représentation nationale ; il fait rendre une foule de décrets, et ensuite il dit : « Il ne suffit pas de décréter, il faut faire exécuter. Que les sections soient en permanence ; que les autorités soient renouvelées, que les patriotes soient mis en liberté, qu’il soit fait des visites domiciliaires, etc. »
           Duroy est monté sur son banc, il réclame la liberté des patriotes ; les membres siégeant à la crète [sic] l’applaudissent avec transport. On demande aussi le rapport de la loi du 5 ventôse, qui, si elle eût été bien exécutée, vous aurait évité bien des malheurs. Duroy ajoute la demande de la liberté des députés, la rentrée de ceux qui se sont soustraits au décret d’arrestation ; il les met sous la sauvegarde des bons républicains.
           Goujon, le détestable Goujon, appuie cette demande : plus ardent que ses complices, il demande la destitution du gouvernement et l’établissement d’une commission dictatoriale. Duquesnoy, nommé déclare qu’il en remplira les fonctions avec zèle.
           Forestier s’oppose à la suspension des comités de gouvernement. « Ils ne peuvent, dit-il, aller contre vos décrets. » Forestier nommait des décrets les motions sanguinaires de quelques conspirateurs, sanctionnées par les cris de quelques cannibales en fureur et d’une populace ivre…
           Albitte prévoit le danger qui menace les décréteurs [sic]. — « Je demande qu’on établisse des formes ; vos décrets, dit-il, se succèdent avec tant de rapidité qu’il est impossible de les recueillir exactement. Je demande que les représentants qui ont été aux armées fassent les fonctions de secrétaires… (La foule : Oui ! oui ! — Les chapeaux sont levés.) »
           Albitte, du témoignage de Vernier qui présidait, a eu l’impudence de venir lui proposer des paroles de paix et de fraternité, « pour prouver à la France entière, disait-il, que la Convention nationale était libre. » (Mouvement d’indignation.)
           Bourbote [Bourbotte] dit à la Convention de prendre d’excellentes mesures, etc. Il demande l’arrestation des journalistes. Nommé à la commission dictatoriale, il déclare qu’il en remplira les fonctions avec zèle.
           Duquesnoy prévoit ce qui allait arriver, il dit : « Si nous ne prenons de bonnes mesures, il nous arrivera encore un événement semblable au 12 germinal ; les patriotes seront une seconde fois opprimés. Je demande qu’on s’empare du local des comités de gouvernement. » Et lorsque Legendre et Delecloy paraissent à la tribune pour déclarer à la Convention qu’elle ne peut délibérer en cet état, Duquesnoy dit : « Vous voyez que les comités de gouvernement marchent contre vous ; je demande leur arrestation. »
           Soubrany est invité à prendre le commandement général de la force armée ; il invite ses collègues à compter sur son zèle, et ensuite les membres de la commission à se réunir de suite, afin d’éviter un 12 germinal.
           Prieur (de la Marne) sort de la salle avec la commission ; il rencontre un chef de la force armée ; il demande à ce chef s’il a des ordres du président. Le militaire répond à Prieur que cela ne le regarde pas… Prieur se retourne, et s’écrie : « A moi, sans-culottes, à moi !… »
           Ce même Prieur, le 12 germinal, s’écriait : « Président, mets aux voix que le peuple aura du pain. »
           Du rapprochement de ces faits, je conclu que les conspirateurs que vous avez arrêtés étaient vos plus dangereux ennemis, étaient les chefs de la révolte ; que leur intention bien manifester était de renverser le gouvernement et d’y substituer une dictature sanguinaire.
           Je demande que les représentants que vous avez décrétés d’arrestation dans la nuit du 1er prairial soient traduits à la commission militaire, pour y être jugés comme chefs et complices de la révolte du 1er prairial… (On applaudit très-vivement.)
« […]
           Clauzel relit la rédaction de sa première proposition ; elle est adoptée en ces termes :
           « La Convention nationale accuse Ruhl [Rühl], Romme, Duroy, Goujon, Forestier, Albitte aîné, Bourbote [Bourbotte], Duquesnoy, Soubrany, Prieur (de la Marne), Peyssard, représentants du peuple, d’être auteurs, fauteurs ou complices de la rébellion du 1er prairial et jours suivants contre la représentation nationale et la république française, les renvoie pour être jugés devant la commission militaire établie à Paris par la loi du 4 prairial, et charge le comité de sûreté générale de surveiller et accélérer l’exécution du présent décret. »
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M
Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu nous détruis ? Pourquoi tu nous violentes psychologiquement ? Pourquoi t’es égoïste ? Pourquoi tu ne penses qu’à toi ? Pourquoi tu te refuses de te comporter comme une adulte ? Pourquoi tu es dans le déni ? Pourquoi tu es aigrie, mauvaise, détestable ? Pourquoi c’est du poison tes mots ? Pourquoi tu es moche de l’intérieur comme ça ? Pourquoi tu nous fais souffrir ? Pourquoi tu veux nous faire couler avec toi ? Pourquoi tu veux notre peau ? Pourquoi tu refuses de reconnaître les choses ? Pourquoi tu as pu avoir des enfants ? Pourquoi la nature ne t’a pas stoppé ? Pourquoi tu peux pas être aimante ? Pourquoi tu peux pas être une mère normale ? Pourquoi tu peux pas te faire passer en second plan ? Pourquoi tu te sacrifies pas pour nous ? Pourquoi tu t’es remise à boire ? Pourquoi tu mens, manipules, caches ? Pourquoi je trimballe des casseroles à cause de toi ? Pourquoi je suis pas bien dans ma peau? Pourquoi je me méprise, me dégoute, me violente, me détruit ? Pourquoi à 30 ans j’arrive pas à être normale ? C’est quoi ce lien dégueulasse et malsain que j’arrive pas à couper ? Pourquoi t’es jalouse de moi avec mon père ? Pourquoi tu te fais passer pour une victime ? Pourquoi t’es à vomir ? Pourquoi je te vomis matin midi et soir depuis 4 ans ? Pour te rendre toute la merde que tu nous injectes au quotidien? Parce que j’arrive pas à m’exprimer autrement ? à exister autrement? à être suffisante ?
Pourquoi la violence et la haine que j’ai en moi, je me l’inflige ? pour pas te la foutre en plein visage ? pour pas que tu te foutes en l’air ? pour pas que tu nous fasses du chantage ?
Tu te souviens de toutes les fois où tu m’as fait pleurer, où tu m’as brisé de l’intérieur, avec tes remarques ? tu t’en souviens, hein, quand tu m’as dit que je marchais comme un camionneur avec mes talons, à 16 ans ? Tu te souviens quand tu m’as dit que j’étais belle de l’extérieur, mais qu’à l’intérieur c’était pas joli à voir ? Que j’étais une mégère, une conne ? Que tu me soignerai plus, que je me démerderais toute seule, que j’étais pas chez moi à la maison ? Que je ferai mieux de balayer devant ma porte avec ma boulimie que de te parler de ton alcoolisme ! Tu sais ce que tu fais comme dégât ? Tu le sais ça ? Bordel, regarde autour de toi ce qu’il se passe, regarde ce qui tourne autour de toi et de ta petite personne, regarde, sil te plait, lève le nez et REGARDE ce que tu fais ! Tu le vois le parallèle que l’on a ? Tu le sais ça que je deviens aussi dingue que toi, que je suis addict de tout?
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leszackardises · 8 months
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L'avenir des Zackardises
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Harold Mildward
Harry Styles
23 ans
Ex Mannequin
Rive Gauche
Une mère anglaise, un père français. C'est le mélange qui donna naissance, 23 ans plus tôt, le 1 février 1995, à un jeune petit bouclé aux yeux émeraudes. Au jeune Harold. Un prénom dont sa mère était tombée amoureuse. Un prénom royal en Angleterre. Un prénom signifiant « chef d'armée. ». Mais qui ne correspondait pas vraiment au caractère du garçon. Harold succédait à une fille, âgée de 2 ans de plus que lui, et un garçon de 4 ans de plus.. Une fille et un garçon qui avaient eu la chance de passer deux et quatre ans avec leur père. Chose que Harold n'avait pas pu connaître. En effet, abonné à sa naissance, les deux femmes, le petit garçon et ce bébé s'étaient retrouvés bien vite seuls. Et c'est ainsi que Harold avait passé les deux premières années de sa vie, sans père. Sans futur modèle, jusqu'au jour où sa mère rencontra un nouvel homme, un nouveau père pour ses enfants. Âgé de 5 ans, Harold avait rapidement adopté cet homme comme étant son père. Et inversement, il avait prit les enfants comme sien. C'est ainsi que Harold était devenu un Milward. Adopté par son nouveau père pas longtemps après le mariage de sa mère. Un soulagement pour elle qui allait voir ses enfants grandir dans une famille heureuse. Malgré tout, Harold était un enfant très solitaire, qui aimait passer des heures seul à jouer dans sa chambre. À se créer des histoires avec des jouets. Un garçon rempli d'imagination vivant dans son propre monde. Mais cela ne l'empêchait pas d'être proche de sa grande sœur et de son grand frère, bien que ceux-ci passaient leur temps à l'emmerder et le faire tourner en bourrique. C'était normal pour lui, c'était leur façon de s'aimer bien qu'Harold soit collant avec eux. Toujours à la recherche d'un signe d'affection quelconque. Niveau scolaire, Harold à toujours aimé se rendre à l'école. S'instruire. Et cela, depuis sa première année de classe. Un rien l'émerveillait et il ne s'en cachait pas pour raconter chaque soirs, à ses parents, tout ce qu'il avait pu apprendre. Il adorait cela. Vraiment. Et lorsqu'il avait apprit à lire, la vie sociable d'Harold avait prit fin. Il ne sortait plus. Son monde se constituait de tout les livres possibles et inimaginables. Sa primaire se résumait à passer son temps, le nez plongé dans ses livres. Il adorait apprendre. Beaucoup trop sûrement. Et c'est sûrement pour cela que les résultats brillants du garçon l'avaient menés à partir en internat à Londres. La capitale anglaise. Seul. Sa vie avait changé d'un coup. Il se retrouvé seul, entouré de garçons qu'il ne connaissait pas. Dans une ville inconnue. Il n'y avait jamais mit les pieds. Mais Harold ne s'était pas défait pour autant. Il continuait d'étudier, de briller, malgré les saloperies que ses camarades de chambres lui faisaient subir. Insultes, paries, humiliation, bizutage. Harold était le bouc émissaire de ses amis. Photos nu dans les douches. Affaires souillées, lit piégé, farces. Harold était le garçon que l'on poussait à bout. Mais jamais il n'en avait parlé. Il avait subis cela. Et malgré tout, il continuait de briller. Un élève hors norme. Tout ce qu'il lisait l'aidait énormément. Il adorait cela, tout savoir. Harold était formaté au monde auquel les livres lui faisaient croire. Un monde de gentillesse où tout le monde s'aime et où tout le monde est gentil. Il ne voyait de mal nul part. Jamais. Il quitta Londres à ses 15 ans, pour rentrer à Manchester. Sa ville d'origine. Où un lycée prestigieux lui ouvrait ses portes. Malheureusement pour lui, le jeune Milward n'avait pas de famille fortunée pouvant lui payer ses cours. C'est alors qu'il avait essayé de postuler dans quelques boutiques pas loin de chez lui. Il se devait de trouver de l'argent durant les vacances pour financer son rêve d'intégrer une grande école où il pourrait se lancer dans la psychologie, et comprendre encore mieux l'être humain. C'est lors d'une de ses recherches d'emplois en ville que Harold à rencontré Léo. Un garçon qu'il n'a pu s'empêcher de regarder et se forcer de recroiser les jours suivant avant que celui-ci ne l'aborde. C'est à partir de ce moment là que Harold passait beaucoup plus de temps dehors que chez lui enfermé avec ses livres. Ce garçon l'intriguait beaucoup. Et malgré son caractère détestable, Harold voyait en lui quelque chose de bon et qu'il aimait. Qui lui donnait toujours envie d'être avec lui. N'ayant pas trouvé de boulot, Harold s'était lancé à la recherche d'un job sur internet, s'inscrivant innocemment sur tout un tas de forum, jusqu'au jour où un homme lui proposa de travailler pour lui. Escort boy. Mineur. Il lui avait assuré que ce travail allait être sympas et qu'il gagnerait assez pour ses études, en échanges de dîner avec des inconnus. Harold avait plongé tête la première dedans. Et C'était vrai. Il avait pu payer ses études à la rentrée. Et commencer le lycée, tout en voyant Léo lors de ses pauses, et en allant travailler le soir. Au début tout semblait bien se passer, mais plus les jours passaient, et plus les rendez vous changeaient. Raccompagné chez lui, ou à l'hôtel, Harold trouvait cela de plus en plus bizarre bien qu'il savait que son « patron » gardait un œil sur lui. Harold menait une double vie. Et il détestait cela de plus en plus. Il était victime d'attouchements, par des hommes, beaucoup plus que les femmes. Et rares étaient les personnes ayant la vingtaines. Harold se sentait de plus en plus sale. Il développait un refus du touché de plus en plus important. Jusqu'à craquer. Complètement. Jusqu'à ne plus supporter d'être toucher. Se plaignant tout de même rarement, Harold avait vécu cela jusqu'à ses vingt ans. Jusqu'à ce qu'il décide d'arrêter tout et suivre Léo qui avait prit une place assez importante dans sa vie. Et cette décision n'avait pas plus à son boss qui le qualifiait comme son meilleur atout. Harold s'était fait tabassé après les cours, de mauvais coups dont il garde quelques séquelles. Malgré cela, le bouclé n'a jamais parlé. De cette double vie, gardant se secret bien enfouit en lui. Et dont il ne veut plus entendre parler. Débarrassé de cela, Harold était rentré à la fac. En psychologie. Enchaînant toujours les bons résultats, tout en développant une passion pour la musique. Il avait un carnet dont il ne se débarrassait jamais, notant tout et n'importe quoi, dont il pourrait se servir dans ses chansons. Il adorait cela. Créer et chanter. Il avait développé cela assez rapidement, en quelques années. Et rêvait maintenant de se produire un jour sur les plus grandes scènes. Et il y avait toujours ce Léo qu'il suivait partout. Violent, beaucoup trop même, avec le jeune Milward, il n'arrivait pas à le repousser ni à voir qu'il lui appartenait. Pourtant, Harold le suivait partout où il allait, quittant même sa famille sans problème. Il dépendait de plus en plus du garçon. Et il aimait cela. Il en avait comme besoin. Harold s'est même mit à prendre soin de lui, enchaînant les heures de sports, et tombant presque dans l'anorexie, pour plaire au garçon. Enfin. Harold agissait avec lui comme il agissait avec ses clients. Sans attirance. Juste par envie que le garçon le complimente. Ayant tout quitté pour suivre ce garçon, Harold suit désormais des cours par correspondance pour avoir son diplôme. Mais un beau jour, Harold s'était réveillé seul, son Léo avait disparu. Les mois étaient passés, et c'est lors de ses vingt-et-un ans que le bouclé s'était décidé à partir à Paris. Une ville qui le passionnait complètement. Une ville, où une fois installé, il s'était lancé dans le mannequinat, posant pour de petites marques, jusqu'à aujourd'hui. Il travaille désormais pour la célèbre marque Yves Saint Laurent. Et ce luxe lui rappel son Léo, ce monde qu'il lui avait offert pendant quelques années, et dont Harold était clairement sous le charmes. Durant ses premières années dans la capitale française, Harold à fait la rencontre d'un violoniste, Masha, un garçon qui le laissait pas indifférent, et avec qui il gardait un contact assez simple. Un ami? Un peu plus qu'un ami? Il ne savait pas vraiment. Il n'arrivait pas à mettre de mot sur eux. Et cela avait le dont d'énerver le petit anglais qui avait ce besoin constant de qualifier les choses. Harold reste tout de même un garçon assez renfermé sur lui même, peureux. Il n'est jamais tombé amoureux, n'a jamais eu de relations intimes, et ne sait pas s'il est intéressé par les femmes ou par les hommes, il ne s'est jamais remis en question à ce sujet. Pour le moment, il n'y pense pas et n'y a jamais pensé. Il ne connaît que ce que les livres lui ont apprit. Et malgré cela, il est très accroché à son Léo, qu'il n'a jamais oublié et rêve de revoir un jour.
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ordinairementvrai · 6 years
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14 février 2019
Lise,
Voici ma dernière lettre. Je range ma plume.
Est-ce le moment de camper sur mes positions? De décider une fois pour toute de faire le point?
Tu sais, j’ai été heureux il y a peu. Il était tard un soir, et sorti de nul part, un inconnu m’a remercié pour mes mots. Mes mots lui avaient donné envie d’écrire à nouveau. Et jamais je n’avais été aussi fier de toute ma vie.
Jamais aussi fier d’être faible, et de confier ça sur la page blanche. Jamais aussi fier d’afficher aux restes du monde mes noires faiblesses.
Suis-je doué pour écrire? Pourquoi le fais-je avec autant d’insistance? Cela ne mène à rien, je ne suis pas doué pour conter, je suis doué pour exprimer ce que je ressens, je suis le plus égocentrique des hommes, j’aurais de quoi écrire trois roman sur ma propre vie, trois romans à huis-clos entre les 4 murs de ma chambre, effrayé par les ombres de ma propre fumée.
Je suis ce pauvre type qui s’épanche pendant des heures, je suis ce pauvre à qui l’on a jamais appris à parler, alors j’ai appris à écrire.
Mais piégé par moi-même, je n’ai jamais su m’en échapper.
Je suis mon propre geôlier, mon propre prisonnier, je ne peux échapper au regard de haine que me jette mon reflet dans le coin d’une fenêtre.
Tu sais Lise, ton nom ne veut plus rien dire, tu n’es plus qu’un prétexte, une page blanche pour mes maux d’encre.
Tu sais Lise, au fond, j’aimerais ne plus t’écrire. Parce que c’est pas un désir, c’est une nécessité, une addiction dont je n’arrive pas à me débarrasser.
L’écriture c’est pire que la clope, ça ne raccourcit pas ta vie, ça l’accapare, ça la ronge. C’est une malédiction, mes doigts me rongent quand je ne le fais pas, mais une fois fini, je ne me sens pas mieux, j’ai simplement envie de dormir.
Tu sais Lise, je rêverais de trouver les mots bleus. Ceux qui rendent les gens heureux, pour une fois. Peut-être que si je les trouvais, je pourrais rendre ma vie un peu plus bleue aussi.
Mais les roses sont rouges, les violettes sont bleues, ma vie craint tout autant que moi.
J’ai puisé l’encre de mes mots au plus profond de moi, je suis plus faible à chacun de mes mots lâchés, je sens que la fin approche, j’ai bientôt fait le tour.
Je ne sais plus quoi dire, je suis en bout de course, pourquoi lirait-on les mots d’un type qui a honte de ce qu’il raconte?
Pourquoi irait-on partager les mots d’un type aussi détestable?
Ma chanson est monotone, je fais signe au chef d’orchestre d’y mettre fin.
C’est un au revoir, je dois cesser de t’écrire, je ne peux plus continuer ainsi, je ne peux plus me contenter de raconter ma vie. Quelque chose doit changer, et malheureusement, cela doit être moi. Je tire ma révérence pour l’ombre, Alexandre n’est plus, seul Alex restera. Il ne restera de lui, que ces vieilles lettres et un manuscrit d’une piètre qualité.
C’est un au revoir, je ne peux plus parler de moi. Il n’y a rien à dire. Je suis cet intrus, distrait, arrogant, déplacé, je suis la balle que Verlaine a tiré sur Rimbaud, je suis le type qui assassine les fées, je suis le type qui a refusé de grandir, et qui a tué les gamins perdus. Je suis la face sombre de Peter Pan, la nuit je mens pour maintenir mon pays imaginaire.
Je trace ces derniers desseins, parce que c’est un adieu. Je n’ai plus le droit d’être ça. Je dois briller, je dois me battre, pour prouver que je mérite d’être autre chose que ce malentendu.
J’ai adoré t’écrire pendant toutes ces années, merci d’avoir été là il y a maintenant quoi, plus de 3 ans? Cela me parait une éternité, alors qu’au final, ce n’est pas grand chose. Si un jour tu tombes sur ces lettres, alors retiens-En que tu m’as rendu meilleur, que tu m’as rendu conscient de moi. Mais c’est fini, j’en ai marre, je dois vivre, je dois cesser d’écrire.
Avec tous mes remerciements, et surtout toute mon amitié,
Le solitaire qui a peur de la solitude.
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yes-bernie-stuff · 4 months
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« Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres » (Philippiens 2:4).
Alors que nous sommes sur le thème de l’unité, et que celui-ci nous amène à nous intéresser au « nous », il ne faudrait pas hâtivement en conclure que tous les « je » sont détestables, et que tous les « nous » sont vertueux.
La prière de Jésus dans Jean 17 est une prière pour l’unité des chrétiens ; or, dans cette prière, Jésus utilise vingt-huit fois le pronom « je », et vingt-six fois le pronom personnel « me » ou « moi ». 
Cela peut sembler paradoxal ! Comment se fait-il qu’une prière faite pour l’unité, c’est-à-dire pour que le « nous » l’emporte sur le « je » ? 
Nous savons tous à quel point Jésus n’était pas centré sur sa personne, il était aux antipodes de l’égoïsme, sa préoccupation centrale était le salut du monde au travers du don total de sa propre vie. L’utilisation du « je » dans cette prière n’a rien de détestable, bien au contraire. Il prie pour l’Église, il pense à l’Église, et il se sacrifie pour elle. C’est le « je » du don de soi.
Son désir est là : « Garde en ton nom ceux que tu m’as donnés, afin qu’ils soient un comme nous » (Jean 17:11).  « Afin que tous soient un, comme toi, Père tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous… » (Jean 17:21). 
Jésus nous enseigne, ici, un principe fondamental concernant l’unité. Lorsque notre identité est en Christ, nous pensons d’abord aux autres, comme lui l’a fait.
Une bonne compréhension de mon identité en Christ va me permettre d’être ouvert aux autres.
« Seigneur, aide-moi à réaliser qui je suis en toi, pour qu’assumant pleinement cette identité, je puisse de plus en plus être uni aux autres. Dans le nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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christophe76460 · 8 months
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Les Proverbes - Chapitre 24 Verset 1 à 34
Introduction
Je crois me souvenir que l’envie fait partie des péchés capitaux. Que celui qui n’a jamais été jaloux de son prochain lève la main ? Je doute fort qu’un seul être humain puisse, en son âme et conscience, faire ce geste. Nous sommes assez facilement envieux de la réussite professionnelle et financière des autres, de leur succès, mais aussi de leurs biens mal acquis. Celui qui réussit à dévaliser une banque la nuit sans se faire prendre fait non seulement la une des journaux, mais aussi l’admiration de beaucoup.
* * *
Ne porte pas envie aux gens de mal et ne recherche pas leur compagnie, car ils ne songent qu’à détruire et ils ne parlent que de nuire (Proverbes 24:1-2).
(19e maxime)
Cette sentence a déjà été prononcée et l’est à nouveau un peu plus loin (Proverbes 24:19; 3:31; 23:17). Les répétitions ont pour but de mettre en garde le lecteur contre certains travers comme la mauvaise langue, les voies de l’insensé, la tromperie ou l’orgueil. On rencontre ces vices dans la vie de tous les jours, et pas seulement dans les grandes banlieues défavorisées, mais dans ma ville et la vôtre. Ce sont des tares éminemment humaines qui font qu’il est assez facile d’appliquer un proverbe aux personnes qu’on connaît bien ainsi qu’aux personnages bibliques.
Ne porte pas envie aux gens de mal (Proverbes 24:1).
Ces personnes malfaisantes ont le diable au corps. Elles sèment le malheur sur leur route et ne songent qu’à faire du tort à leur prochain sous toutes ses formes comme la médisance, le vol ou le meurtre. Leur réussite financière apparente incite les braves gens à les envier. C’est une tentation contre laquelle même des hommes pieux, comme le psalmiste Asaph, ont dû lutter. Je lis ce qu’il écrit :
Il s’en fallut de peu que mes pieds ne trébuchent, un rien de plus, et je tombais. J’étais jaloux des arrogants en voyant la prospérité des gens méchants. Car ils sont exempts de souffrance ; jusqu’à leur mort, ils ont santé et embonpoint. Ils passent à côté des peines qui sont le lot commun des hommes. Ils ne subissent pas les maux qui frappent les humains. Aussi s’ornent-ils d’arrogance comme on porte un collier, et la violence est leur parure (Psaume 73:2-6).
Quand on voit à la télé la misère des pauvres gens et les inégalités criantes en ce bas monde, il y a de quoi se poser des questions. J’ai lu une fois qu’aux États-Unis, le P.D.G. d’une grosse assurance maladie privée avait reçu pour salaire annuel la modique somme de 1,5 milliard de dollars ; j’ai bien dit milliard. C’est une obscénité même si c’est légal. L’envers du décor du capitalisme est qu’il a élevé la cupidité au rang des vertus. Remarquez que le communisme ou un autre isme ne vaut pas mieux, car le fond du problème est dans le cœur de l’homme qui est tortueux et méchant. Un auteur écrit :
L’être humain est détestable et corrompu ; il commet l’injustice comme il boirait de l’eau (Job 15:16).
Asaph avoue en toute franchise qu’il a été troublé par la réussite des hommes iniques. Oui, mais plus loin, il écrit :
Je me suis mis à réfléchir : j’ai cherché à comprendre, je trouvais tout cela bien trop injuste jusqu’au jour où je suis entré dans la maison de Dieu et où j’ai réfléchi au sort qui les attend. Car, en fait, tu les mets sur un terrain glissant, tu les entraînes vers la ruine (Psaume 73:16-18).
Je n’ai pas à me soucier de la réussite des malfaiteurs, Dieu s’en occupe et il a déjà écrit leur nom dans son carnet de rendez-vous. Un proverbe dit :
L’Éternel a tout fait pour un but, même le méchant pour le jour du malheur (Proverbes 16:4).
Ma responsabilité devant Dieu est d’accomplir les bonnes œuvres qu’il a préparées pour moi (Ephésiens 2:10) et même chose pour vous.
Il nous faut considérer les choses de cette vie selon le point de vue divin. Les Textes Sacrés donnent beaucoup d’exemples d’hommes mauvais qui ont mal fini depuis Caïn qui tua son frère Abel jusqu’à Lot, le neveu d’Abraham que le Nouveau Testament appelle pourtant un homme juste (2Pierre 2:7). Il avait convoité les plaines verdoyantes de Sodome, s’y est installé et a prospéré. Les années ont passé, mais un jour Lot fut frappé par une succession de malheurs qui étaient les conséquences de sa cupidité. J’imagine qu’il a dû se mordre les doigts en songeant à la funeste décision qu’il avait prise bien des années plus tôt.
Ce qu’un homme sème, il le moissonnera aussi (Galates 6:7).
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clempaquito-blog · 6 years
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Bird Box (2018)
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Durée : 1h57
                    “N’ouvrez pas, n’ouvrez pas la cage aux oiseaux....”
 Après le très intéressant "Sans un bruit”, où le silence était d’or, sous peine de trépasser, voici venir son pendant visuel, “Bird box”. Après qu’un mystérieux phénomène se propage sur la Terre, entraînant des hallucinations pour ceux qui gardent les yeux ouverts, et les conduisant à se suicider, Sandra Bullock trouve refuge dans une maison où elle va devoir cohabiter avec ses occupants et apprendre à survivre alors qu’elle est enceinte... 
Après une impressionnante scène d'ouverture, flippante, “apocalyptique”, vraiment très prenante, nous permettant de découvrir l'apparition soudaine de ce mal, nous voilà plongé en plein survival, et disons le tout de suite, le film parvient à maintenir une pression constante et un intérêt certain pour le devenir de notre héroïne qui cherche à trouver un refuge pour sa progéniture.
Pour moi, il s’agit d’une franche réussite dans la mesure où Susanne Bier parvient à nous tenir en haleine sur toute la durée du film, nous réservant notre lot de frissons, de suspens, et de rebondissements scénaristiques, notamment grâce à une construction en aller-retour passé/présent très bien menée, une rupture entre la vie de groupe en huit-clos et la vie plus solitaire en “pleine nature”, une réalisation efficace et un casting impeccable, dont une Sandra Bullock au top comme elle ne l'a pas été depuis longtemps, et un John Malkovich détestable à merveille...
Au final, si le film ne fait pas la lumière sur le mal qui a dévasté la planète, et pourra donc rebuter les adeptes des films à réponses, si il est impossible de ne pas penser à  M. Night Shyamalan avec son “Phénomènes”, et si la fin est un peu trop “facile”,  il n’en reste pas moins que “Bird Box” réussi son pari avec son ambiance particulièrement réussie de survival surnaturel où l’angoisse le dispute à l’espoir. 
Ma note : 4/5
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