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#Ghédalia Tazartès
goats-of-bandcamp · 1 year
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adz · 2 months
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I don't know if I want to date you or hang out and play old records with you and smoke weed and talk about philosophy and the shit...
smoking on that ghédalia tazartès 'diasporas' pack
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unaturalhistory · 4 months
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Ghédalia Tazartès
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diaryofamaniac · 2 years
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Ghédalia Tazartès ‎– Tazartès' Transports(2019)
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 畸形の音楽もまたあらゆる音と同様に現実が接点となり感覚に忍び込む。大別する過剰な異国の電波と聖なる獣の唄声や反復するセリフは混信し変異覚醒していく。他と相違しハッキリと識別された本作オリジナルは1980年、タザルテス交通の経験は、とうの昔に聴いたはずが何らかの組み合わせで度々浮き彫りのように表れはじめ、再生スイッチをまたオンにさせる。Instagramから引越し日記、ところどころ変更してます。
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sputatrevolte · 2 years
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theparanoid · 2 years
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Ghédalia Tazartès - LA.
From The Album: La. (2014)
[Avant-Folk, Central Asian Throat Singing]
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zhanteimi · 2 years
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Ghédalia Tazartès – Diasporas
Ghédalia Tazartès – Diasporas
France, 1979, Central Asian throat singing / avant-folk / experimental / tape music Highly inaccessible, unapologetically experimental, and full to the brim with patience-testing weirdness. This is not casual listening, requiring an attentive ear.
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postpunkindustrial · 4 years
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Ghédalia Tazartès ‎– Diasporas LP
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jgthirlwell · 4 years
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Ghédalia Tazartès 1947-2021 RIP
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allmusic · 4 years
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AllMusic Staff Pick: Ghédalia Tazartès Une Éclipse Totale de Soleil
Arguably the French avant-garde icon's best work, Une Éclipse Totale de Soleil is a typically unsettling yet fascinating collage of quasi-industrial rhythms, children's voices, and Tazartès' own multi-layered howls, whispers, and warbles, mainly delivered in a self-invented language. The CD reissue also includes a later piece called "Il Regale Della Befana," a truly unhinged, theatrical performance which memorably incorporates mangled Sex Pistols samples.
- Paul Simpson
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unaturalhistory · 3 months
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Ghédalia Tazartès – Jeanne
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happinessisluxury · 4 years
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theparanoid · 2 years
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Ghédalia Tazartès - Chris Corsano - Dennis Tyfus - Vooruit 17​.​05​.​2015
(2016, full live album)
[Free Improvisation, Central Asian Throat Singing, Musique Concrète]
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musicmakesyousmart · 5 years
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Ghédalia Tazartès - Jeanne
Vand’Oeuvre
2007
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merzbow-derek · 6 years
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POST-SCRIPTUM 991
AGITATION FRITE 3
Agitation Frite 1 et 2, Témoignages de l’underground français sont donc réédités par Lenka lente. Un troisième volume sort ces jours-ci, fait d’interviews pour moitié, mais aussi de textes cette fois, dont un TOP 606 commenté des meilleures productions en la matière. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, JACQUES DEBOUT (SOIXANTE ÉTAGES, IDIOME 1238, BOB’S LEGS, REVUE & CORRIGÉE, HELLO HAPPY TAXPAYERS).
THE STOOGES, « L.A. Blues »
Je ne crois avoir écouté les Stooges pour la première fois qu’il y a cinq ou six ans. À l’époque de cette sortie, je n’écoutais que du free jazz, le rock me fatiguant. Après leur avoir résisté si longtemps, je crois n’aimer finalement que les dix minutes de « We Will Fall », « maniaquement » déchirées par les frottements étirés de l’alto de John Cale. Les Stooges restaient une référence incontournable dans Soixante Étages, aussi bien pour Dominique Répécaud, Olivier Paquotte ou Yves Botz. Ce qui m’a toujours gêné dans les Stooges ? Iggy Pop ! Ce sérieux qu’il verse à la louche sur les accessoires et les trucs du Grand Guignol Rock... Bon sang ! Il y a chez lui un truc qu’il partage avec les présentateurs de télévision : cette morgue premier degré des vendeurs de lessive pénétrés de leur mission. Il n’y a pas ça chez les Japonais Boredoms, Omoide Hatoba, UFO Or Die, qui tous se vautrent également dans le Grand Guignol, mais qui eux ont un avantage, celui de se contrefoutre du rock, credo existentiel – hélas – de l’Iguane yankee « babyboomée ». Je préfère le MC5 de Kick Out The Jams, ou bien l’ironie (toute warholienne) du Velvet Underground (celui des premiers albums, bien sûr).
SUICIDE, « Franky Teardrop »
Même maintenant, bien des années après, l’ayant pourtant écouté, volume maximum, des dizaines de fois, ce morceau me fout encore la chaire de poule ! Je ne lui connais qu’un rival : « My Cock’s On Fire » de Whitehouse, et ce, en dépit du ridicule achevé de son titre. Suicide ? Grand. Très Grand. Toujours maintenant. Suicide ? Cérémoniel !
SONIC YOUTH, « Death Valley ’69 »
En compagnie de Lydia Lunch, belle traversée de cette Vallée de la Mort qui coûta la vie à Sharon Tate et donna ce grand cru « sonic-youthien »… Je me souviens parfaitement des arrivages de disques en direct des USA chez Punk Records, rue des Maréchaux à Nancy, où, à quatre pattes dans les colis de carton brun (était-ce l’année 1982 ou 1983 ?), je dénichai leur premier mini-LP sur Neutral (le label de Glenn Branca, modestement célèbre pour sa renversante Lesson N°1 et ses aventures avec The Static). Dans le groupe, le seul nom qui m’était connu était celui de Richard Edson, et, après écoute, la chose ne m’avait que moyennement emballé. Quelques mois plus tard paraissait l’excellent Kill Yr. Idols, avec sa pochette cartonnée noir et blanc... Depuis, j’achète régulièrement tous leurs disques. Chez eux, certains aspects pop m’agacent, comme « Saucer-Like » sur l’album Washing Machine, quand ils se prennent pour la réincarnation des Beatles (merci, on a déjà donné !), ou tout Daydream Nation, foutaise niaiseuse. Mais quand se taisent leurs vocaux « nia-nia-nia », on voit bien qu’ils sont uniques, qu’ils ont inventé ce truc et que tous les fraîchement vaccinés grungy ne sont que de patauds suiveurs. Pas très loin après « Franky Teardrop » et « My Cock’s On Fire », il y a « Express Way To Yr. Skull ». Sonic Youth est une des rares choses arrivant encore à me bercer d’illusions sur la soi-disant rock culture. Et puis, il y a les expériences solos de Lee Ranaldo...
LOST AARAAF, « Untitled »
C’est le morceau ouvrant le disque, avec cet effet théâtral des trois coups donnés par la batterie, la basse et le piano, et puis hop, la voix, traitée « cheap disto-larsen »... Ils n’étaient pas bien nombreux à faire ça à l’époque... Au sax, façon free seventies relooké collectif à l’économie militante, O.K., il y avait pléthore ; mais de cette façon-là, naïve somme toute, avec cette force spontanée pré-punk, non, on peut pas dire ; chez ESP-Disk’ d’accord, mais ça avait disparu, ESP n’était déjà plus qu’un souvenir qui n’allait pas tarder à hanter les collectionneurs... Je trouve ça finalement excellent que l’on découvre, tout d’un coup, d’un bloc, par palettes entières, les travaux de ce phénomène qu’est Keiji Haino, qui fait dans le hors piste radical depuis plus de vingt ans au Japon. Ça évite d’avoir à suivre quelqu’un pas à pas, de l’accompagner, de le voir se transformer, évoluer. Là tout arrive d’un coup, l’électricité, l’ambient « post-pré-raphaélite », les performances casse-cou, le cabaret psyché pour réveillons psychos, les impros crayonnées du bout du médiator, la danse, les cordes, la vielle, le hautbois, les duos, les trios, les fins de noces et banquets, les grimaces, les claques, etc. Du coup, on peut s'y balader, revenir, oublier, redécouvrir, comparer : c’est l’inverse de la démarche du fan qui a tout suivi, péniblement, en attendant, transi, entre chaque épisode. De ce côté-ci de l’écorce terrestre, Keiji Haino était totalement inconnu il y a deux ans, et en quelques mois à peine, sa discographie fait un rayon complet. Et puis bon, il ne peut être étiqueter, il appartient à peine à la famille des furieux japonais que l’on découvre ici depuis peu aussi. Il joue dans une division à part, un peu à la manière d’Hans Reichel, de Ghédalia Tazartès, de Moondog ou d’Harry Partch qui n’entretiennent d’ailleurs entre eux aucune ressemblance. Keiji Haino et Arto Lindsay sont les seuls..., ..., ...
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