Tumgik
#Grottes de Jonas
wickedsrest-rp · 7 months
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What’s new in town?:
Is it aliens? Is it cryptids? Is there about to be a rip in the sky to another dimension? No one knows what’s causing these frequent skyquakes, but some suspect it might have something to do with all the missing Resters. Check out our first plot of the week of Season 2 for ways to interact!
Ring in the Spring! There’s a town picnic, a huge caterpillar infestation, and so much more in our seasonal event.
Now that Wild Chase Moose Tours has seen and photographed their first screaming moose, everyone is trying to get on one of their tours. Skeptics point out that you can't hear a scream from a photo. It looks like a normal moose.
Not to be left behind Moose Caboose insists that they have an audio, but no photo. You can eat dinner to the lovely bellows and grunts of a moose that doesn't really sound much like it's screaming.
Something new is forming in Grotte de Fromage. It's sticky, blue, and tastes of earthy gorgonzola. And it smells really, really bad. Come get some!
Starters:
Natalia wants to name some a trash loving bunny, no FNaF names please.
Jonas wants to let the public know, he doesn't sell haunted bagels.
Maggie assures the public that she WILL be the sparkliest vampire.
Regan has a list! Maybe you can help her fill it, you may not have a choice.
Leila needs help with a plant growing in the middle of her shop - please it's letting in the rain.
Frankie requests help in spring cleaning everything. Literally she wants to clean everything. Lend her a hand.
Zofia's allergies are out of control, and so are the exploding flowers.
Laurie isn't finding these skyquakes very cute anymore. How can you stop them?
Jack is annoyed at people review bombing him, after all who doesn't need to throw fists in this town? Give him two stars!
Vic is CERTAIN it's not aliens, and that people should start considering other possibilities - and recycling.
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philoursmars · 2 years
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 53280 photos (environ !)
2012. Fins de vacances d’été, traditionnellement passées chez ma mère dans la maison familiale à Vichel, en Auvergne.
Non loin du village de Saint-Foret, 2 curiosités :
- la Source de la Tête du Lion dont l’aspect rappelle évidemment le fauve
- le village médiéval des « Grottes de Jonas »  qui ma fait penser à la Cappadoce !
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gauthiermorter · 4 years
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Présentation de mon carnet de bord personnel
Dans le cadre de mon formation à l’ESC Clermont Business School, j’ai dû réaliser un carnet de bord. “ Un carnet de bord est un document évolutif où chaque apprenant renseigne ses connaissances, ses compétences et les aptitudes qu’il a acquises et mises en œuvre, lors de ses expériences en entreprise.”
Un projet personnel et professionnel
 Qui suis-je ? Je me présente
Je m’appelle Gauthier Morter, j’ai 21 ans, je suis actuellement en dernière année de Master (PGE3) à l’ESC Clermont Business School, école dans laquelle j’ai également réaliser un Bachelor in International Management.
Mes qualités personnelles
Dans la vie de tous les jours, je suis une personne dynamique, souriante, sociable et toujours de bonne humeur. Je suis un bon vivant, j’aime rire avec ma famille et mes amis.
Traits de caractère : 3 points forts, 3 points à améliorer
Mes 3 points fort sont le dynamisme, l’ambition et le goût du challenge. Les points sur lesquels je dois m’améliorer sont la patience, l’écoute et la concentration.
Mes valeurs
Etant issus d’une famille d’entrepreneur, j’attache une grande importance au dépassement de soi, à la méritocratie et à l’ambition. J’accorde également une grande importance à l’honneur et à la confiance.
Ce qui me motive dans la vie : mes appétences et mes centres d’intérêts
Je suis une personne qui est très attaché à la famille et aux amis, j’aime donc entretenir ces relations. J’aime le sport et toutes sortes d’activités qui pourrait me divertir, car je déteste l’ennuie. Outre ces appétences personnelles, ce qui qui motive dans ma vie professionnelle est le fait de devenir entrepreneur, et donc être à son compte. Je suis donc très friand de conseils qui pourrait me permettre d’atteindre mes objectifs.
Que savais-je faire avant d’intégrer le programme ?
Quelles étaient mes compétences formelles ?
 Travail en équipe
Gestion du stress
Prise de recul
Autonomie
Quelles sont mes compétences informelles ?
 Capacité d’adaptation
Sens de la communication
Autonomie
Persévérance
Travail en équipe
Stages en entreprise avant ma formation
Comme dit précédemment, avant d’intégrer le Programme Grande Ecole de l’ESC Clermont Business School, j’ai réalisé un Bachelor in International Mangement à l’ESC. J’ai donc eu l’opportunité de réaliser deux stages lors de ma première et deuxième année de Bachelor.   En première année, j’ai réalisé mon stage en banque, au sein du CIC. C’était un stage de 2 mois ayant pour but la découverte de l’entreprise. J’ai donc suivi le quotidien des conseillés particuliers et patrimoniaux. J’ai également réalisé deux missions de prospection :
·         L’élargissement famille à je devais appeler les clients du CIC et leurs proposer une offre s’ils ouvraient un compte pour leurs enfants ou petits enfants
·         L’élargissement post bac à je suis allé devant les lycées clermontois à la sortie des épreuves du baccalauréat, leur proposant d’ouvrir un compte dans notre banque, avec à la clé un montant plus ou moins élevé en fonction de leur résultat au baccalauréat.
En deuxième année, j’ai réalisé mon stage dans une entreprise spécialisé dans l’événementiel, et le tourisme, au sein de l’agence Organicom. Durant ces cinq mois de stage j’ai réalisé plusieurs missions au sein de cette entreprise :
·         La mise en place d’événements professionnels ou privées
·         De la prospection commerciale pour le parc d’attraction « Paléopolis »
·         L’accueil des clients pour les « Grottes de Jonas »
Projets menés en dehors de ma formation
En dehors de ma formation scolaire, durant ma troisième année de Bachelor, je suis devenu membre d’une association spécialisé dans l’événementiel. L’association « Boxxon » invitait des DJ de la France entière, à venir jouer dans le Club « One O One » le jeudi soir, lors de soirées étudiantes. Je devais donc assister le fondateur de l’association dans ses démarches pour inviter les DJ. Je devais également faire de la communication sur les réseaux sociaux pour chaque soirée organisée.
A la fin de ma troisième année de Bachelor, j’ai souhaité découvrir le monde de l’immobilier. J’ai donc eu l’opportunité de partir au Portugal, a Comporta pendant quatre mois, en tant qu’assistant commercial pour l’entreprise Terrésens, spécialisé dans la promotion immobilière. L’entreprise venait de développer ses activités au Portugal, en faisant la promotion et la commercialisation d’un programme proposant des appartements, des maisons, et des villas en bord de mer. Cette expérience fût une révélation pour moi, car ce domaine m’a énormément plus. Le contact humain, le challenge de vendre un bien immobilier, et la satisfaction client ont été des éléments révélateurs pour mon avenir professionnel.  
Ma formation actuelle
Les objectifs pédagogiques de ma formation : 
Le Master grande école a pour but de former les étudiants dans un premier temps de manière généraliste, avec des choix d’option qui ont pour but de nous amener sur un choix de spécialisation pour notre dernière année. Nous avons également eu le choix de faire notre formation complète en alternance, ou alors nous pouvons partir à l’étranger, dans le but de découvrir une nouvelle culture et de pouvoir progressé en langues étrangère, et par la suite réalisé notre dernière année en alternance ou sous le format classique avec un stage de fin d’année.
Ayant choisis la spécialisation « Culture Startup et Entrepreneurship » pour ma dernière année de Master en alternance, les objectifs sont d’apprendre à entreprendre et acquérir des compétences et des connaissances entrepreneuriales. Les enjeux fondamentaux des projets de création de services ou de biens sont abordés (créativité, innovation, co-création, financement et levé de fonds…). Cette spécialisation va donc me permettre d’utiliser les enseignements sur des projet concrets. L’alternance est un premier pas dans la vie active, et nous permet de découvrir le monde de l’entreprise en tant que salarié.
Mes objectifs :
Mes objectifs étaient dans un premier temps de partir à l’étranger pour améliorer mon niveau d’anglais. Je suis donc parti à Dublin en Irlande, au sein de l’école Dublin Business School. J’ai également pu suivre la spécialisation « Ventes ». J’avais également pour objectif de trouver une entreprise spécialisée dans l’immobilier, car c’est un domaine dans lequel je souhaiterai exercer. De plus, le choix de ma spécialisation était primordial car il serait décisif pour ma future carrière professionnelle.
 Quel est l’axe sur lequel j’ai :
Le moins progressé: Les matières qui m’intéressaient le moins (Finance, Contrôle de Gestion, Droit) 
Le plus progressé: Niveau d’anglais (dû à mon immersion dans un pays anglophone).   Techniques de vente et managériale
Quelles sont les compétences sur lesquelles je dois encore progresser ? 
Je dois m’améliorer sur ma qualité de langage. Pour être plus précis, je souhaite travailler dans le domaine de l’immobilier, et je suis en ce moment même commerciale dans ce domaine, et cette compétence est très importante. La qualité du langage est donc primordiale, même si aujourd’hui je m’exprime d’une manière très correcte, j’ai pour objectif d’avoir un langage irréprochable, très fluide, et de préférence soutenu. Cela va donc me permettre de marquer des points supplémentaires auprès des clients et me permettre d’atteindre plus facilement mes objectifs. De plus, cela va me donner une aisance encore plus poussée à l’oral, ce qui pourras également me servir lors de présentations, pitch…
Comment vais-je procéder ?
Pour cela, je m’efforce d’écoute le plus souvent possible la radio, et plus précisément BMF Business, ou il y a la plupart du temps des débats sur divers sujets, ou les intervenants ont un langage « aiguisé » et des tournures de phrases spécifiques.
Parmi les objectifs que je m’étais fixés en rentrant à l’ESC Clermont, quels sont ceux qui sont :
Atteints:  Améliorer  mon niveau d’anglais Trouver  une alternance   Trouver ma  spécialité   Trouver, a  la suite de mes expériences professionnelle, le domaine dans lequel je souhaite  exercer (Immobilier) 
Non atteints: Obtenir mon TOEIC (790)
Mes compétences
Au début de la formation
Lors de ma première année dans le cadre du programme grande école (PGE2), j’ai acquis toutes les compétences de base concernant les matières suivis lors de mon Bachelor. C’est-à-dire des bases en Marketing, Finance, Droit d’entreprise etc… J’ai également acquis quelques compétences en vente commerciale et communication à la suite de mes expériences professionnelles.
A la fin de la 1ère année de formation
A la fin de ma prière année de formation en PGE, j’ai pu perfectionner mes compétences en Marketing, Finance, Contrôle de gestion… J’ai également améliorer mes compétences à l’orale grâce au projet que j’ai pu réaliser tout au long de l’année, comme par exemple le projet « Cartographie des Controverse » ou nous avons dû, par groupe, choisir un sujet controversé, puis le présenter à la fin de la semaine. J’ai également amélioré mes compétences de vente à la suite de mon stage réaliser dans l’entreprise Terrésens, spécialiste de l’immobilier à la montagne.
 Pour chaque expérience professionnelle réalisée pendant le parcours :
J’ai réalisé mon stage de fin d’année de PGE2, comme dit précédemment au sein de l’entreprise Terrésens.
 Détail de ma mission dans son contexte (poste, secteur, niveau de responsabilité, rémunération…)
Formation commerciale à Approche client, construction d’un argumentaire, adapter son discours en fonction du client… Je suis également partit à Megève durant le mois d’août, j’étais sur le bureau de vente et été responsable de l’accueil des clients, tout en leur présentant le projet, les formules locatives proposées, et visite terrain. A titre d’information, étant promoteur, l’entreprise propose des programmes et des appartements sur plan (VEFA), d’où le besoin des visites terrain.   Ma rémunération était celle d’un stagiaire, soit 550 euros par mois. J’ai gagné également pour chaque vente réaliser su le bureau de vente, 500 euros. Une signature à été faite à ce jour, et des dossiers sont toujours en cours.
Contexte de ma mission (type d’entreprise, culture d’entreprise, ville, secteur porteur ?)
Le groupe Terrésens a été créé en 2008 par Géraud Cornillon, son Président. Il a ainsi imaginé un positionnement unique dans le montage et l’ingénierie de résidences avec services. Sa vocation première était de décloisonner le secteur de l’immobilier géré où les conflits d’intérêts entre promoteurs et gestionnaires étaient, et sont encore, un frein à la satisfaction de la demande client alors que les besoins sont nombreux à court et long terme. Les logements touristiques à la mer et à la montagne ont besoin de se renouveler pour attirer et conserver leur clientèle, dans une compétition devenue mondiale. Pour comprendre l’innovation du concept mis en place par Terrésens, il est nécessaire de revenir aux années antérieures et au mode opératoire originel en matière d’immobilier géré. En effet, le développement habituel d’une résidence de services consistait en l’étude d’un dossier par un promoteur établissant un bilan de promotion. Celui-ci déterminait un prix de vente à proposer aux particuliers/investisseurs, puis il se mettait à la recherche d’un gestionnaire à qui il imposait un niveau de loyers nécessaire à la vente du programme. Le risque principal était que le niveau de loyers attendu par les investisseurs et les commercialisateurs soit déconnecté de la réalité économique du site, c’est à dire supérieur à la capacité du gestionnaire à servir un loyer en bon père de famille et permettant une exploitation pérenne. Le promoteur et le gestionnaire disposaient, dans cette combinaison, d’intérêts complètement divergents : le promoteur, avec une vision à court terme, souhaitait vendre le plus cher et le plus rapidement possible. Alors que le gestionnaire réfléchissait sur le long terme et souhaitait un engagement de loyer à verser aux propriétaires le plus modéré possible. Par le passé, plusieurs gestionnaires ont finalement été contraints de revoir les loyers à la baisse, entraînant une chute du rendement annoncé lors de l’achat des biens et donc des déceptions pour les investisseurs. Terrésens a inversé ce processus en partant du besoin du gestionnaire. Il a imaginé et a proposé un projet basé sur la réalité locative du site pour le proposer, clé en main, à un promoteur. Pour ce faire Terrésens est devenu un gestionnaire à part entière à travers une association capitalistique avec des exploitants connus et reconnus sur le marché. Terrésens a répondu à cette demande de nouvelles résidences de services en opérant de façon transversale pour le compte des gestionnaires et des promoteurs immobiliers et/ou en se substituant à eux sur tout ou partie de la chaine de valeur de ce type d’opérations. Le facteur clé de succès a été l’intervention transversale donnant ainsi au Groupe les moyens de maitriser les différents aspects de l’opération et d’établir des opérations saines et équilibrées
 Ce qui m’a plu et ce qui m’a déplu et pourquoi
Très honnêtement, le stage dans son intégralité m’a énormément plu, excepté le fait d’attendre que les clients passent sur le bureau de vente, et nous avons eu certains jours aucun passage.
Ce que j’ai acquis en savoir, savoir-faire et savoir-être
Cette formation commerciale a été très enrichissante pour moi car elle m’a permis d’apprendre à construire un argumentaire complet, savoir traiter des objections, et arrivé à donner l’envie au client d’acheter, sans l’inciter, ce qui est pour moi, une compétence très utile mais compliqué à mener à bien.
Ce qui est important pour moi
Le fait de s’épanouir au travail est essentiel pour moi, car étant une personne qui détestes l’ennui, je me suis vraiment épanoui et pris un réel plaisir à me lever tous les matins et à aller travailler. Aimer son travail est la chose la plus importante, car cela va se ressentir auprès des clients, et donc les mettre en confiance.
  Quel métier vise je ?
Mes futurs métiers : secteurs et métiers
Je souhaite travailler dans le secteur de l’immobilier, et uniquement ce secteur. Commencé pendant environ 5 ans comme conseillé immobilier, et par la suite être à mon compte et acheté des appartements, puis des immeubles, les rénover, les revendre ou les mettre en location.
Référentiel métier par fonction :
Attaché Commercial, Commercial, Directeur Commercial, Conseillé Immobilier
Mon réseau
https://www.linkedin.com/in/gauthier-morter-1b356b135/
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Mardi 21 avril 2020
René
Je reprendrais aujourd'hui le problème abordé dans mon dernier texte concernant le quinquina.
Sans trop vouloir entrer dans la complexité du problème, il convient de comprendre que le paludisme peut être assimilé à une maladie parasitaire des globules rouges ; il est par conséquent une manifestation clinique comportant un impact majeur sur le pigment respiratoire que représente l’hémoglobine.
Lors de leur phase d’invasion sanguine, les parasites se comportent comme de véritables petits vampires et détruisent les globules rouges. Les produits libérés par ces multiples implosions deviennent toxiques et provoquent une inflammation capillaire secondaire avec un risque hémorragique. L’évolution peut être mortelle par la venue d’un coma neurologique.
Le paludisme correspond donc à une attaque directe de la circulation sanguine provoquant une anémie rapide. L’échange d’oxygène et de carbone est perturbé et la congestion céphalique provoque une torpeur. Le corps se consume dans la chaleur, entraînant avec lui la psyché dans ses profondeurs impénétrables.
La crise paludéenne s'apparente à un retour de la vie vers les régions profondes végétatives de ses sources, dans l’obscurité chaude et humide des forêts tropicales où le chaos règne en maître, loin de la lumière.
Cependant, il est possible de revenir avec une conscience épurée de cette excursion périlleuse vers les origines, tel Jonas sortant du ventre de la baleine.
Un des symptômes étonnant de la sortie d’une crise de paludisme évoque étrangement une expérience cathartique, comme si la psyché avait été lavée de toute souillure. Mais peut-être y-a-t-il plus que cela et que retourner vers les sources de l’être dans le monde des mères comme l’évoque Goethe, permet de rapporter un bout de réponse sur le sens de l’existence. 
Le quinquina s’oppose aux forces végétatives puisqu’il s’en émancipe et donc refrène l’essence métabolique du sang au profit des forces neurologiques, assimilables aux forces d’aspiration lumineuses suscitant la métamorphose florale du végétal.  La sensibilité d’une fleur rappelle une ébauche d’organe sensoriel, la fleur goûte le soleil en s’y exposant et en expirant son parfum. 
Nous approchons de l’effet thérapeutique de la quinine sur le sang apparenté au fait qu’au courant métabolique puissant et expansif du sang, s’oppose en son sein un courant de nature neurologique. Il est aisé de concevoir ce courant s’opposant aux forces de vie comme un courant de structuration, poussant à une organisation, tel un sculpteur face à une matière vivante.
Dans le monde animal, cette organisation peut prendre toutes les formes adaptatives possibles et reflète les possibilités quasi infinies de modes de liaison et d’assemblement des forces primitives de vie. Les formes architecturales sont donc innombrables donnant à Bergson l’idée de les associer à une imagination métaphysique.
Rien de tel chez l’homme dont l’unité existentielle n’est pas déterminée par une finalité adaptative. Il faut en conclure que les forces de vie et d’organisation s’opposant dans le sang chez l’homme ne réalisent pas une unité existentielle stable et conforme à une finalité adaptative. L’homme est donc condamné à devoir définir lui-même sa raison d’être qui est son ouverture à lui-même dans le temps, le temps de son devenir. L’animal ne possède aucun autre devenir que de confirmer éternellement sa position mondaine.
Le sang serait donc chez l’homme le lieu où se scénarise cette problématique temporelle d’un inachèvement, le lieu où continuent de s’affronter forces de vie et forces d’organisation sans aboutissement spontané à une unité existentielle évidente en soi, sans qu’aucune finalité ne se précise.
 Avec le sang, nous franchissons le seuil de la composante la plus signifiante de l’organisme dont le lien avec la conscience a été problématisé par les alchimistes sous l’horizon spirituel du solve et du coagula.
 Le sang est pur mouvement pénétrant dans le moindre recoin de l’organisme afin d’en unifier toutes les fonctions pour les élever à une nouvelle finalité qui est la conscience de soi. Le sang acquiert une puissance ontologique du fait de détenir l’unité temporelle de l’organisme, le lieu où s’éprouve la dialectique entre la vie et son issue ou encore entre le biologique et la conscience.
Le soi ou l’être-là surgissant du temps est auto-subsistant, se réfléchissant en lui-même sous un mode infini dans un nouvel espace qui est idéel. Le soi natif n’est donc que l’idée-image de l’homme, se fascinant elle-même dans le miroir du monde comme le montre le mythe de Narcisse.
Le sang humain permet à l’homme d’échapper à la pure contingence de la réalité pour se prendre à son être paraissant dans et par la conscience sans aucune détermination particulière, sinon justement celle de ne pas en avoir. L’homme est donc nécessité à se projeter à l’horizon de son propre être dans le temps de son devenir, les repères extérieurs ayant disparu.
Ainsi s’explique la portée eschatologique du mythe du Graal en rapport avec ce qui est en puissance dans l’être révélé en son ultime métamorphose spirituelle, hors du temps.
 Un sang trop fluide, trop chaud, trop métabolique enflamme le tissu nerveux et transforme la boîte crânienne en œuf primordial où la conscience n’est que couvée, encore dans les limbes de la nuit orphique, attendant que le vent la féconde.
Un sang trop épais et froid immobilise la conscience, la paralyse et la fait accéder à la pureté de son vide originel.
Les alpinistes affrontant les hautes cimes vont à la rencontre d’un point de vue hors limite où la conscience se rapproche de sa possible extase, de son saut au-delà de l’immensité de l’horizon. Il n’y a plus aucun mot pour exprimer ce moment, seul un silence ou la mort y réponde.
Les tropiques favorisent un sang fluide alors que les régions froides privilégient un sang plus épais signifiant une relation plus structurante au temps. On passe des entités chtoniennes aux Dieux tutélaires du ciel. 
 Nous avons vu que les virus ont souvent été comparés au phénomène cométaire par leur provenance des premiers moments de la vie biologique et ils continuent à en témoigner. La complexité de l’objet biologique est sa temporalité qui relève d’une actualisation permanente de toute sa genèse. Parler du cholestérol sans connaître son implication dans toute une chaîne de métamorphoses depuis les premières bactéries ne permettra jamais de connaître de façon concertiste son rôle en l’homme.
Les virus venus du fond du temps sont donc malgré eux comme possédés par la fin et emportent le chaos avec eux, cherchant à court-circuiter les longues métamorphoses qu’impose la spatialisation du temps dans les formes. Ils deviennent des accélérateurs, dangereux pour certains, de l’évolution car ils dynamisent ou parfois dynamitent la relation évolutive complexe entre le biologique et la conscience. La raison pour laquelle on ne prend en compte que l’aspect mortel du virus tient à ce que l’on ne voit pas assez la provocation qu’il est pour la conscience.
 Le paludisme offre les symptômes caractéristiques du difficile passage de l’Être à une temporalité qui le déconfine de la grotte matricielle originelle platonicienne où les idées ne sont que des ombres ou des images flottantes.
Le coronavirus présente énormément de convergence clinique avec le paludisme, mais sa nature de virus le rend plus directement provocateur. Les virus possèdent donc tous un effet pathogène sur le sang puisqu’ils viennent d’un temps originel et en cherchent l’issue, or le flux du temps coule dans le sang et se reflète dans la conscience où le reçoit l’être en son devenir.
 Linda
Toujours d'après Annick de Souzenelle dont je rappelle l'interview sur YouTube, il semblerait que l'humanité s'enfonce dans l'erreur par manque de maturité. Ainsi l'histoire des civilisations ne serait que le témoignage des tâtonnement de l'être à la recherche de lui-même, chaque crise l'invitant à dépasser ses propres impasses. Et toujours d'après Annick de Souzenelle, l'homme ne serait qu'à l'aube de sa maturité et l'histoire qui nous précède relaterait les traces de cette difficile avancée en aveugle.
C'est incontestablement une manière séduisante de replacer la folie des hommes dans le cadre d'une évolution qui laisse une large place à l'expérimentation et à la liberté.
La philosophie et la psychanalyse se rejoignent pour démontrer que l'homme construit son histoire sur un canevas mythique dont il n'a à ce jour, plus la moindre idée et qui, sans qu'il ne s'en doute, guide ses pas et rythme son avancée.  L'âge adulte tel que l'envisage Annick de Souzenelle, ne consisterait-il pas à prendre conscience de ce soubassement mythique qui ouvre tant de perspectives nouvelles ? 
En cherchant une passe vers les tréfonds de l'inconscient, Freud a redonné au mythe une place de choix dans l'œuvre d'exister. Mais sans doute la découverte était-elle trop énorme et trop subversive pour pouvoir être absorbée et replacée dans une juste position.  Progressivement, les psychanalystes ont fait du mythe et particulièrement du mythe d'Œdipe une véritable tarte à la crème accommodée à toutes les sauces. C'est incontestablement une manière de résister à la richesse incroyable qu'offre la mythologie dans la connaissance de l'homme et de sa construction. Freud n'était sans doute pas assez ouvert à l'esprit pour s'apercevoir du trésor incroyable qu'il avait déterré.
Mais bien avant Freud, les philosophes n'avaient certes pas négligé ce trésor laissé à la disposition de l'humanité. 
Pour Schelling, l'auteur qui est sans doute allé fouiller le plus loin dans la mémoire mythique, l'accès à la vérité du mythe n'est possible qu'après que l'homme ait eu la capacité de construire une âme d'entendement suffisamment élaborée pour pouvoir regarder dans les zones profondes de cette construction.
De même, l'accès au soubassement inconscient dont Freud a percé le mystère, est intervenu à un moment où l'homme était prêt à encaisser le choc de cette rencontre avec ses origines sans  tomber dans la béance alors ouverte.
Pour Schelling comme pour Freud, la mythologie retrace les premiers moments de origine de l'homme alors qu'il fait ses premiers pas en quête d'une conscience du monde et de lui-même. La mythologie témoigne de ce moment de la création où les dieux dispersés dans un polythéisme sacrificiel font le don de la puissance de leur esprit à la créature humaine.
Reléguée dans l'inconscient le plus profond, la toile mythique habite l'homme comme une première carte archétypale sur laquelle vient résonner l'histoire individuelle plus ou moins en accord avec ces grands principes existentiels.
En fermant la porte de la mythologie, le Christianisme fermait à double tour les puissantes énergies créatrices issues du premier cadeau des Dieux : Ouranos arrosait d'une pluie de lumière d'or les terres fertiles de Gaïa, sacrifiant sa puissance phallique mais permettant à la première lueur intérieure de jaillir, première étape d'une conscience qui s'ouvre au regard. Dans un deuxième temps, Kronos créait les intelligibles, ces abstractions qui permettent de nommer le monde et qu'il avale afin qu'elles ne soient pas absorbées par la terre. Une fois rassasié, Kronos engendrait Zeus et lui cédait la place afin qu'il ensemence le monde humain.
C'est sur ce socle complexe mais grandiose métaphore de la création plotinienne que le Christ bâtit son église conduisant l'humanité vers une deuxième étape de son évolution que nous avons coutume d'appeler l'étape de l'individualisme.
Le déterminisme mythologique gardien des grands principes de la construction psychique fut scellé dans la tragédie grecque, seul témoignage de ce moment unique afin que l'église du Moi puisse se dresser sur ce socle volcanique plein de vie et de fureur.  
L'individualité repose sur un magma informe dont seule la folie de Dionysos nous permet d'approcher le centre — et encore devons-nous prendre mille précautions —.
 Dans cette extraordinaire épopée de la naissance de l'homme à la conscience, celui qui approcha au plus près cette vérité fut incontestablement Nietzsche qui n'en revint pas tout à fait indemne. Il ne trouva pas l'articulation entre la mythologie, polythéiste en apparence, et le christianisme qui prône le dieu unique. On peut le comprendre car il n'est pas donné à tout le monde d'aller aussi près de divinités telles qu'Apollon et Dionysos.
Ce fut en effet tout l'enjeu du Christianisme qui, tout en fermant l'accès au socle mythologique, mit en place les éléments de l'individuation.
Ainsi, c'est à coup de sentences morales, de culpabilisation de toutes sortes, d'interdits et de transgressions, éléments indispensables à l'homme-enfant pour accéder à une conscience de lui-même, qu'elle bâtit pierre après pierre l'édifice du Moi.
Force nous est de constater que nous n'en sommes qu'au premier étage de cette échelle et même si nous apercevons au loin les rives d'un Je, la route est encore longue.
Longue certes, mais passionnante. Si ce n'était le sacrifice de toutes ces vies qui nous quittent dans une effroyable solitude, on pourrait trouver l'époque exaltante car pour le coup, totalement inédite.
On peut voir dans cette pandémie un fabuleux accélérateur d'évolution dans la mesure où il vient révéler et défier de manière flagrante nos insuffisances et bon nombre d'entre-elles ont trait aux processus d'individuation : notre capacité à affronter la solitude, notre résistance à passer du temps en tête à tête avec sa famille, notre imagination à nous occuper utilement, notre faculté à rentabiliser ce temps, notre réponse face à la mort possible. Autant de facultés qui attisent notre liberté et notre capacité à assumer ce que nous sommes.
 Ainsi le virus navigue à son aise dans les mailles relâchées de notre structure, allant se nicher dans les plis de nos régressions immatures.
Un grand merci à Annick de Souzenelle, depuis longtemps notre inspiratrice avisée.
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(Suite du texte sur le quinquina par René Gandolfi, médecin)
Je reprendrais aujourd'hui le problème abordé dans mon dernier texte concernant le quinquina.
Sans trop vouloir entrer dans la complexité du problème, il convient de comprendre que le paludisme peut être assimilé à une maladie parasitaire des globules rouges ; il est par conséquent une manifestation clinique comportant un impact majeur sur le pigment respiratoire que représente l’hémoglobine.
Lors de leur phase d’invasion sanguine, les parasites se comportent comme de véritables petits vampires et détruisent les globules rouges. Les produits libérés par ces multiples implosions deviennent toxiques et provoquent une inflammation capillaire secondaire avec un risque hémorragique. L’évolution peut être mortelle par la venue d’un coma neurologique.
Le paludisme correspond donc à une attaque directe de la circulation sanguine provoquant une anémie rapide. L’échange d’oxygène et de carbone est perturbé et la congestion céphalique provoque une torpeur. Le corps se consume dans la chaleur, entraînant avec lui la psyché dans ses profondeurs impénétrables.
La crise paludéenne s'apparente à un retour de la vie vers les régions profondes végétatives de ses sources, dans l’obscurité chaude et humide des forêts tropicales où le chaos règne en maître, loin de la lumière.
Cependant, il est possible de revenir avec une conscience épurée de cette excursion périlleuse vers les origines, tel Jonas sortant du ventre de la baleine.
Un des symptômes étonnant de la sortie d’une crise de paludisme évoque étrangement une expérience cathartique, comme si la psyché avait été lavée de toute souillure. Mais peut-être y-a-t-il plus que cela et que retourner vers les sources de l’être dans le monde des mères comme l’évoque Goethe, permet de rapporter un bout de réponse sur le sens de l’existence.
Le quinquina s’oppose aux forces végétatives puisqu’il s’en émancipe et donc refrène l’essence métabolique du sang au profit des forces neurologiques, assimilables aux forces d’aspiration lumineuses suscitant la métamorphose florale du végétal. La sensibilité d’une fleur rappelle une ébauche d’organe sensoriel, la fleur goûte le soleil en s’y exposant et en expirant son parfum.
Nous approchons de l’effet thérapeutique de la quinine sur le sang apparenté au fait qu’au courant métabolique puissant et expansif du sang, s’oppose en son sein un courant de nature neurologique. Il est aisé de concevoir ce courant s’opposant aux forces de vie comme un courant de structuration, poussant à une organisation, tel un sculpteur face à une matière vivante.
Dans le monde animal, cette organisation peut prendre toutes les formes adaptatives possibles et reflète les possibilités quasi infinies de modes de liaison et d’assemblement des forces primitives de vie. Les formes architecturales sont donc innombrables donnant à Bergson l’idée de les associer à une imagination métaphysique.
Rien de tel chez l’homme dont l’unité existentielle n’est pas déterminée par une finalité adaptative. Il faut en conclure que les forces de vie et d’organisation s’opposant dans le sang chez l’homme ne réalisent pas une unité existentielle stable et conforme à une finalité adaptative. L’homme est donc condamné à devoir définir lui-même sa raison d’être qui est son ouverture à lui-même dans le temps, le temps de son devenir. L’animal ne possède aucun autre devenir que de confirmer éternellement sa position mondaine.
Le sang serait donc chez l’homme le lieu où se scénarise cette problématique temporelle d’un inachèvement, le lieu où continuent de s’affronter forces de vie et forces d’organisation sans aboutissement spontané à une unité existentielle évidente en soi, sans qu’aucune finalité ne se précise.
Avec le sang, nous franchissons le seuil de la composante la plus signifiante de l’organisme dont le lien avec la conscience a été problématisé par les alchimistes sous l’horizon spirituel du solve et du coagula.
Le sang est pur mouvement pénétrant dans le moindre recoin de l’organisme afin d’en unifier toutes les fonctions pour les élever à une nouvelle finalité qui est la conscience de soi. Le sang acquiert une puissance ontologique du fait de détenir l’unité temporelle de l’organisme, le lieu où s’éprouve la dialectique entre la vie et son issue ou encore entre le biologique et la conscience.
Le soi ou l’être-là surgissant du temps est auto-subsistant, se réfléchissant en lui-même sous un mode infini dans un nouvel espace qui est idéel. Le soi natif n’est donc que l’idée-image de l’homme, se fascinant elle-même dans le miroir du monde comme le montre le mythe de Narcisse.
Le sang humain permet à l’homme d’échapper à la pure contingence de la réalité pour se prendre à son être paraissant dans et par la conscience sans aucune détermination particulière, sinon justement celle de ne pas en avoir. L’homme est donc nécessité à se projeter à l’horizon de son propre être dans le temps de son devenir, les repères extérieurs ayant disparu.
Ainsi s’explique la portée eschatologique du mythe du Graal en rapport avec ce qui est en puissance dans l’être révélé en son ultime métamorphose spirituelle, hors du temps.
Un sang trop fluide, trop chaud, trop métabolique enflamme le tissu nerveux et transforme la boîte crânienne en œuf primordial où la conscience n’est que couvée, encore dans les limbes de la nuit orphique, attendant que le vent la féconde.
Un sang trop épais et froid immobilise la conscience, la paralyse et la fait accéder à la pureté de son vide originel.
Les alpinistes affrontant les hautes cimes vont à la rencontre d’un point de vue hors limite où la conscience se rapproche de sa possible extase, de son saut au-delà de l’immensité de l’horizon. Il n’y a plus aucun mot pour exprimer ce moment, seul un silence ou la mort y répond.
Les tropiques favorisent un sang fluide alors que les régions froides privilégient un sang plus épais signifiant une relation plus structurante au temps. On passe des entités chtoniennes aux Dieux tutélaires du ciel.
Nous avons vu que les virus ont souvent été comparés au phénomène cométaire par leur provenance des premiers moments de la vie biologique et ils continuent à en témoigner. La complexité de l’objet biologique est sa temporalité qui relève d’une actualisation permanente de toute sa genèse. Parler du cholestérol sans connaître son implication dans toute une chaîne de métamorphoses depuis les premières bactéries ne permettra jamais de connaître de façon concertiste son rôle en l’homme.
Les virus venus du fond du temps sont donc malgré eux comme possédés par la fin et emportent le chaos avec eux, cherchant à court-circuiter les longues métamorphoses qu’impose la spatialisation du temps dans les formes. Ils deviennent des accélérateurs, dangereux pour certains, de l’évolution car ils dynamisent ou parfois dynamitent la relation évolutive complexe entre le biologique et la conscience. La raison pour laquelle on ne prend en compte que l’aspect mortel du virus tient à ce que l’on ne voit pas assez la provocation qu’il est pour la conscience.
Le paludisme offre les symptômes caractéristiques du difficile passage de l’Être à une temporalité qui le déconfine de la grotte matricielle originelle platonicienne où les idées ne sont que des ombres ou des images flottantes.
Le coronavirus présente énormément de convergence clinique avec le paludisme, mais sa nature de virus le rend plus directement provocateur. Les virus possèdent donc tous un effet pathogène sur le sang puisqu’ils viennent d’un temps originel et en cherchent l’issue, or le flux du temps coule dans le sang et se reflète dans la conscience où le reçoit l’être en son devenir.
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30 Most Unusual Hotels in the World
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For the adventurous and offbeat traveller who prefers to break free from everyday life’s routine, a regular luxury hotel is just simply boring. If you’re one of them, or you just wish for something unusual on your following trip, then you should consider a thrilling, remarkable stay in one of the most eyes popping and unique hotels. After you’ve been wandering a while, every hotel begins to seem the same. Hotels can be extremely repetitious, soulless, and unimaginative. They commonly have similar amenities, setups, breakfasts, etc. Some are better than others, but the maximum of the time hotels are essentially the ground from which you explore the area. From plush cushions and flat-screen TVs to minibars and continental breakfasts, maximum good hotel brands essentially give similar amenities. The only thing that actually differs is the perspective. Unless that is, you’ve reserved an unusual place to dwell.
For those who’ve gotten bored of the standard overnight setup, here are 30 of the most unusual hotels in the world.
Jumbo Stay, Sweden
Ever wished to spend the night in the cockpit of a genuine, renovated jumbo jet – on the ground. The plane is a used out jumbo jet model 747-212B from 1976, which was originally constructed for Singapore Airlines and later assisted with celebrated Pan Am. It has been granted a brand new, unique interior decoration, granting visitors a remarkable overnight experience. It’s an exhilarating budget hotel for aviation lovers and families with children but furthermore caters to business people since it’s placed at the entrance to Arlanda airport.
Fantasyland Hotel, Canada
Everyone likes a nice theme. And while amusement parks are popular for making the decent practice of them, it’s difficult to discover hotels that are themed through and through. In Canada, Edmonton’s Fantasyland Hotel is in a shopping mall, however, that’s merely the most unusual thing about it. Credible to its title, Fantasyland gives 120 fantasy-themed rooms, and you select your surroundings. Choices at this curious hotel encompass rooms that seem like a spaceship, a gas station, Polynesia, Rome, the Arabian desert, and a prison cell. Also, the connected mall has a waterpark, thrill rides, miniature golf, and a bowling alley.
Giraffe Manor, Kenia
The deluxe boutique hotel Giraffe Manor is situated in one of Nairobi’s most iconic structures, and its timeless beauty recollects the 1930s when European travellers initially flocked to East Africa to rejoice in safaris. With its grand façade, gorgeous interior, lush green gardens, and delightful courtyards, visitors frequently comment that it’s like walking into the movie Out of Africa. However, the most interesting thing about this unique hotel is its pack of inhabitants Rothschild giraffes who explore morning and evening, pushing their long necks into the windows in the expectation of a treat, before returning to their jungle sanctuary.
Treehotel, Sweden
Treehotel is a hotel that provides people an opportunity to experience nature amongst the tree-tops, while also providing a uniquely designed housing experience. Treehotel in Harads, a hotel where rooms are made 4-6 meters (13-20 ft) above ground with amazing perspectives of the Lule River valley, miles of wilderness, and a large river. The Mirrorcube is the hotel’s most exhilarating accommodation, covered by mirrored walls that reflect their surroundings. Treehotel was stimulated by the movie ”The Tree Lover” by Jonas Selberg Augustsen.
The Yays Crane Apartment, Netherlands
It was assigned Dutch designer Edward van Vliet to construct a trendy interior for a three-story apartment with unsteady perspectives over the IJ River. The crane operator’s box was left unchanged, so visitors can still listen to his recorded stories play.
Apparently, renovating cranes into hotels isn’t one-off stuff to do in the Netherlands: There’s moreover the 164-foot-high Crane Hotel Faralda, as well as the Harlingen Harbour Crane, whose actions you can control yourself.
Sun Cruise Resort, South Korea
Placed on a coastal cliff in Jeongdongjin, a traveller destination recognized for possessing the best perspective of the sunrise in South Korea, Sun Cruise Resort is one of the nation’s greatest traveller destinations. The hotel is a specially developed cruise ship on land. It is assembled high on the boundary of a mountain so that a walk on the sun deck helps its visitors to sense they are out at sea without agonizing from motion sickness. Sun Cruise Resort accentuates 211 rooms, both condominium and hotel style, a Western and a Korean restaurant, a rotating sky lounge, a nightclub, a karaoke, and a seawater pool.
Conrad Rangali Island, Maldives
Conrad Maldives Rangali Island greets visitors to dive into an incredible experience both above and below the surface of the Indian Ocean in the world’s initial underwater hotel villa, named the ‘Muraka’. This villa is a victory of unique structure and technology, providing a completely transformative excursion fitted to astonish the most sophisticated adventurers across the world. Situated further than 16 feet (5 m) below sea level in the heart of the Indian Ocean with glass walls, the Muraka is a two-level aquarium where you can fall asleep to fish swimming overhead and wake up to the swaying parts of coral.
Costa Verde, Costa Rica
Costa Verda is situated on a coastal rainforest cliff lay together between the dense green of Manuel Antonio National Park and the stunning blue of the Pacific Ocean. The resort is residence to one of the world’s greatly unique hotel suites, a refurbished Boeing 727 airframe (built-in 1965), which in its initial life accommodated travellers on South Africa Air and Avianca Airlines (Colombia). This completely adorned, meticulously intricate, two-bedroom, Boeing 727 fuselage suite jets out from the forest canopy, affording you perspectives that will make you sense like you’re flying.
Palacio De Sal, Bolivia
Situated on the shores of the magnificent Salar de Uyuni in Bolivia, only 25 km (15 mi) from the town of the similar title, you will discover the Palacio de Sal hotel, unusual in its class for being completely constructed with salt: walls, floors, ceilings, furniture, sculptures everything! The hotel was built in 1998 by the wild ambition of a hidalgo man, Juan Quesada Valda, a pioneer in salt hotels globally. With an unusual and sui generis architecture, the hotel gives its guests a spot to discover a balance with nature and relish a pleasant and memorable sleep.
Icehotel, Sweden
Icehotel is the globe’s initial hotel build of ice and snow. Established in 1989, it is reborn in a fresh appearance every winter, in the Swedish town of Jukkasjärvi, 200 km (125 mi) north of the Arctic Circle. The hotel has around 150 warm and cold compartments respectively. The latter has an ice décor and a bed made of ice which is wrapped with reindeer furs. The hotel moreover encompasses an ice church, ice bar, ice sculpting place, and pillar hall, in expansion to two heated restaurants, lounge, four meeting rooms, and two forest camps.
No Man’s Fort, UK
Constructed as a line of defense against enemy assaults on the Solent and Portsmouth, No Man’s Fort is the vastest of three extravaganza man-made forts that shape the united, Solent Forts in Portsmouth. From the minute you notice a glimpse of the extraordinary No Man’s Fort on the horizon, as your private boat makes its way, it’s impossible to feel anything short of fascinating. Showing off 22 elegant rooms and suites, the genuine attraction of this extraordinary but unique hotel is the enormous and diversified nature of the facilities and recreations on offer.
Hotel Marques De Riscal, Spain
Since its revelation in 2006 this masterpiece hotel established by Frank Gehry has become an extremely sought-after modern, extravagance resort. Architecture, art, gastronomy, wine, and the dense landscape all combine to build a remarkable sojourn among medieval cities in Elciego. The hotel’s elegant interior bears the apparent signature of Gehry’s design. Tilted walls, zigzag windows, cathedral-height ceilings, and a host of bespoke features establish the idea of accommodation as an endeavor of art in its 43 rooms & suites.
Casa Caracol – Isla Mujeres, Mexico
Located away from active Cancun, the Seashell House is on the gorgeous island ‘Isla Mujeres’ and is certain to impress. What's a better way to have a tropical holiday than inside this extremely unusual hotel. Precisely constructed like a seashell, every feature inside and out resembles a similar theme.
Sextantio Le Grotte Della Civita– Matera, Italy
The caves of Matera, Italy exhibit indications of civilizations living in them from nearly 9000 years ago! Recently this hotel group took 10 years to mightily carve out 18 wonderful hotel rooms, without offending the virtue and essence of the caves. Everything about the room pulls you back in time. Antique fabric bed linens, room details carved literally into the walls, and even relishing dinner in the old church.
Finn Lough Resort, Northern Ireland
Possibly one of the most unusual hotel rooms on the globe. These idyllic bubble domes are established back into the lush wilderness of Northern Ireland and offer visitors a genuine retreat. The transparent walls provide you a perpetual 180° perspective of the trees and the sky, which prior visitors have said is marvelous on a clear night. Just visualize the star gazing!
Nido De Quetzalcoatl, Mexico City
This snake whirling through the wilderness near Mexico City is precisely an assortment of 10 houses assembled by architect Javier Sanosiain. The photo above is only ONE of those houses, as the whole development extends out over five thousand square meters.
Cockpit Cottage, Costa Rica
It doesn’t get further unusual than an airplane hotel room in the trees. AV geeks will cherish the opportunity to sleep inside an MD-80 airplane! The inside is extensively more cozy than you would anticipate because a regional teak log has been inaugurated on the walls, providing it some significant ambiance. It was all the creature relieves that you require, like AC and tons of plugs. One of the nicest parts is it comes with an ocean perspective from the bed!
Cube House, Rotterdam, Netherlands
When an architect was encountered with a challenge on how to construct homes over a pedestrian bridge, this is how he responded to the need, with unusual and strange cube homes. Not merely are the exterior of the homes memorable, but the interior too. Each room is oddly constructed with angled walls and fascinating skylights. The cubes are straight in the heart of Rotterdam, creating an incredible jumping-off point to explore the town.
Kakslauttanen Resort, Finland
The Kakslauttanen Resort has both glass and additional conventional snow igloos for visitors to select from. Their world-renowned glass igloos are most prominent because in season visitors can see a Northern Lights show while resting in bed! When you’re not relishing the perspective from your room, the hotel proposes tours like dog sledding and a reindeer safari.
The Manta Resort, Tanzania
The underwater room at Manta Resort is the absolute honeymoon escapade. Not merely do visitors amass a totally underwater bedroom, but furthermore an above-water living space on a private floating island. The sole way to get to it is by speedboat.
And who requires to snorkel? Fish and different creatures swim right up to the windows of the bedroom! It’s an enchanted and memorable experience.
Ccasa Container Hotel – Nha Trang, Vietnam
Utilizing old shipping containers and modern recycled pieces of equipment, the team at Ccasa generated an unusual and environmentally responsible hotel! Not merely are the rooms super unique and relaxed, but the rates are insanely reasonable.
Free Spirit Spheres– British Columbia, Canada
Who doesn’t wish to dwell in a floating ball in the heart of the coastal rainforest on Vancouver Island!? The Free Spirit Spheres are possibly the greatly unusual accommodations you’ll ever set eyes on. Created from regional cedar and spruce woods, these round rooms are cozy even in the cooler summer evenings. Fall asleep with the natural influence of the trees and wake up to the sounds of nature emerging all around you.
Schlaffass – Pfaffstätten, Austria
Yes, this is genuine, you can sleep inside a wine barrel in the Austrian countryside. They really just re-opened this year with additional containers and conveniences, like wifi, keyless entry, and breakfast provided to your barrel.
Dog Bark Park Inn, Idaho
Idaho’s Dog Bark Park Inn is on practically every list of the planet’s most unusual hotels for a promising reason: It’s formed like a dog. Furthermore, everything inside the homey B&B is over-the-top dog-themed, comprising the cushions, the bedrest, the books, the cookies, the board games and riddles, and the curtains, handmade by the property’s greeting mom-and-pop landlords. Further, then a peculiar roadside attraction, though it’s that, too—” Sweet Willy,” constructed in 2003, is created from wood, metal, and stucco. And yes, you can carry your own dog.
Helga’s Folly, Sri Lanka
One of the globe’s completely unusual hotels, this estate in Kandy, Sri Lanka, is camouflaged from top to bottom in psychedelic hand-painted sculpture, skeletons, wax-dripped candelabras, and a jumble of other creepy-cool sets. Living here is ensured to make you feel like you’ve walked into a Tim Burton film. If you’re not quite up for a full-on overnight, you can travel only for dinner.
Book and Bed Tokyo, Tokyo, Japan
A paradise for bibliophiles, Book and Bed Tokyo appears like a used bookstore until visitors slide open a bookshelf and uncover a cozy corner with a simple bed, reading light, and electrical platform. Unabashedly bare-bones and not for the claustrophobic, 30 piled cubbies, each large enough for one person, is accessible behind the racks restored with 3,000 possession in Japanese and English. Bathrooms are shared, and sofas in the region outside of the bookshelves deliver a collective reading and meeting room.
Magic Mountain Hotel, Huilo Huilo Reserve, Chile
The Magic Mountain Hotel is in the Huilo Huilo Reserve, which encompasses 60,000 hectares of Valdivian wilderness, and has natural hot springs, untouched lakes, and a direct entrance to the Mocho Choshuenco volcano. Accommodation varies from rooms in the central lodge, which has a waterfall cascading from the peak of the ceiling to secluded wilderness hotels.
Das Park Hotel, Linz, Austria
Who would have reckoned concrete could be comfortable? These revamped sewage pipes are, thankfully, neat and functional and settle on the banks of the Danube, rendering them an ideal post-industrial bolthole.
Skylodge Adventure Suites, Sacred Valley, Peru
These aluminum and polycarbonate pods that clench to a granite ramp above the Urubamba Valley are completely unusual. With the night sky shimmering overhead as you rest, you sense more like you're dwelling in a spaceship than a hotel.
Henn na Hotel Nagasaki
Welcome to a future run by robots -sans the massive mistakes of humanity. Of course, all of this takes place in Japan – a center for technological growth for years now. Everything from your check-in to fetching your bags transmitted to your room is allocated robotically, with facial recognition renewing key cards and room keys. In fact, your robot hosts can do just about everything, encompassing giving you temperature updates.
Regardless there’s extra – the two wings of Nagasaki’s Henn na Hotel both demonstrate a variety of impeccable structure and high-tech interior climate solutions that incorporate enthusiasm with convenience, each in its own unusual character.
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celinemaltere · 3 years
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Non loin des grottes de Jonas, de la vallée de Chaudefour et du lac Pavin, l'embarras du choix !
Ici, Super Besse. Maison du tourisme. Pas de neige, mais des livres.
Avec Martine Hermant. 🔑😊
Fanpage Céline Saint-Charle
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patric-jonas · 4 years
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Jonas - #24 - novembre confiné - 24 nov.2020
“le chat confiné d’Arcy” - Art pariétal et muralisme contemporain - galets/pastels secs aux ocres du Lubéron + crayons lithographic N°1 - 15x21
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“le chat confiné d’Arcy” -  (grottes d’Arcy sur Cure - Yonne)  - moins connu que les poissons de la grande grotte et le bouquetin de la découverte, “le chat confiné d’Arcy” (ainsi que beaucoup d’autres graffitis)  a été découvert au début des années 1990  dans une autre partie de la grande grotte. Ces découvertes majeures datées d’environ 28.000 ans sont parmi les plus anciennes du monde.  (Jonas)
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contacts et renseignements : [email protected]
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souslajaquette · 4 years
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« Le singe et le virus »
Ne sachant plus que faire avec la crise du coronavirus, le gouvernement se tourne vers un singe mutant pour trouver une solution à sa recherche de vaccin. On le capture et lui implante une intelligence superpuissante dans le cerveau ! Ce singe, on l’appelle Jonas.
Jonas s’enfuit après avoir été obligé de créer un vaccin contre la covid. Le pauvre, il s’est fait exploiter par les humains. Pourtant, il n’est pas tellement à plaindre, car il n’a pas donné le vaccin contre le coronavirus aux humains. Plutôt, il l’a pris pour son compte personnel et celui des singes. ‘’Ainsi les humains mourront tous pendant la crise et les singes règneront sur le monde, MOUHA HA HA !’’ De plus, Jonas a entraîné dans son jeu Paul, un ami qu’il s’était fait pendant qu’il était en captivité au gouvernement. Jonas trouva refuge chez lui à Montréal, dans le centre-ville désormais laissé à l’abandon. Pour l’instant, le singe gagne, que va-t-il se passer ? Vous le saurez en continuant la lecture !
Un jour, le gouvernement a l’idée géniale de tendre à Jonas un piège en infectant un singe. En essayant de sauver le singe infecté, Jonas se fait capturer. Jonas doit donner l’antidote s’il veut sa liberté ! Celui-ci, qui a plusieurs tours dans son sac, donne un poison à la place et s’enfuit. Après une analyse complète des médecins, ils voient bien que c’est un poison. Par contre, l’empreinte de main sur la seringue dans lequel se trouve le poison peut les mener à son repaire ! Car comme chacun sait, les singes marchent sur leurs mains. Il suffit alors de suivre ses empreintes digitales laissées au sol. Une semaine plus tard, les agents du gouvernement savent exactement où est le repaire de Jonas et sont suffisamment armés pour l’attaquer !
Pendant qu’on cherchait ses traces, Jonas installait des systèmes de protection sur la grotte où il se trouvait : chemin labyrinthique avec certains murs en hologrammes et un champ de force de magma condensé. Comme ce singe diabolique a mis une très puissante protection, il ne croit pas utile de s’armer. Il est prêt à se battre. Il branche les égouts à sa base, puis il passe sa soirée en regardant un film tout en jetant un œil sur les caméras de surveillance. L’attaque commence. Des hélicoptères font diversion en mitraillant et bombardant, en vain, un seul et unique endroit du champ de force. Au même moment, un groupe de personnes intègre le labyrinthe. Tout à coup, l’un d’eux hésite. Les autres lui demandent :
-Qu’est qu’il y a ?
-Bob : Peut-être qu’il s’est relié aux égouts !
-Ha ! Ha ! Ha !
-Bob : Quoi ?
-Personne ne ferait une erreur aussi stupide !
-Bob : Moi, en tous cas, je tiens à vérifier !
-Pas avec nous, de toute façon !
Ainsi, neuf hommes entrèrent dans le labyrinthe et un autre creusa un tunnel. Les neuf hommes se retrouvèrent rapidement perdus. Ils virent un rat qui connaissait bien le chemin et ils le suivirent. Au moment où le rat allait leur échapper, ils lui implantèrent le COVID-19. Le rat s’enfuit. Les neuf pauvres personnes ne sortirent jamais de là. Bob trouva rapidement le passage où coulait de l’eau. Le chemin des égouts sera long et difficile pour aller voir le singe. Le rat par contre, prend un chemin très rapide et arrive déjà devant le singe, qu’il touche… C’est assez pour que le virus se propage ! Le singe se fait une analyse et il voit bien qu’il est positif ! Il court vers le bureau où est rangé le vrai antidote, mais Bob sort des égouts et dit au singe :
-Quoi ? Tu possèdes donc le vrai antidote ?
Bob lui implanta le poison. Jonas mourut sur-le-champ. Bob prit l’antidote, le rapporta au gouvernement, et le gouvernement le reproduisit. Ainsi se termina le confinement !
Texte: Vincent Bélanger, mai 2020
Dessin: Catherine St-Antoine
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lmv-h · 7 years
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 Le chamanisme, c’est la chasse aux âmes qui sautent d’animal en animal dans la double immensité des mondes visible et nocturne, c’est-à-dire réel et onirique. Cette chasse est un voyage dont il faut revenir. C’est la culpabilité paléolithique : être capable de ramener la proie qui s’est faite le prédateur de son prédateur.  Un bon chaman est un ventriloque. L’animal pénètre celui qui le hèle dans son cri. Le dieu entre dans le prêtre. C’est l’animal qui chevauche, c’est l’esprit qui met en transe celui qu’il possède. Le chaman se bat avec lui. Il devient la proie du chaman. Le chaman devient boîte-à-dieu. Il n’imite pas le sanglier : c’est le sanglier qui grogne en lui ; c’est le bouquetin qui bondit en lui ; c’est le bison qui talonne le piétinement de sa danse. Le bon sorcier est ce ventre qui a mangé et dans lequel l’animal qu’il est coupable d’avoir tué et mangé parle. La grotte de même est marquée par la ventriloquie : c’est l’écho de la bouche qui a avalé l’initié-aux-bêtes dans le ventre de la terre.  Dans Jonas.
La haine de la musique - Pascal Quignard
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Place des pyramides : à leur place se peuvent mettre des obèses   Phrases Talc d’une fée morte Bouée Qui eut jumelle en son palais? Égyptienne Jeanne Des pires pyramides.
Si l’extirpé est loin Moins n’essaime Moins est nécessaire ? Réussir à être tous les jours devant Pour devenir. Robe pas devant les autres, les docteurs, les familles. Tous les jours se rouvrent, trouver Ce temps qui m’est alloué Décompose mon corps L’endimanche. Grandes artères il faut les verser Colonne de vivres drapés Allumage, chablis, râteau glose Colette de villes apnées Fêtard, tuile, visite du souvenir déjà écrit Qui se noie en noyant les autres Fils sous pont enlacé de cordes Noyés dérivés Fils de noyer Que suis-je beau à cernes Retenu au sous sol Dans les toilettes que suis-je beau La terre sous moi se brise J’ai reposé mon verre sur la table je l’ai senti J’assiste au paradis des chevaux J’écoute La sympathie qui s’exerce morne et vitale La blague du joueur La répartie du sable Abbaye à W Perdue Perte Une petite voix Suivre le sentier de la corde Le dame y Le drame du suricate Sur l’ombre de l’olivier Les ratés de la bible, râleurs, fugitifs, et menteurs grâce à Pinnochio Prénom est l’entrée et le nom de famille la sortie de la baleine Sous la lèvre de la baleine, collé. Lever yeux croire miroir mais lumière Baleine sur scène, ajoute boyaux, poissons, toboggan souvenirs Ouvrir portée de chat Prends le Sylex et allume, reste incompris en parole L’allemand est la robe Frisson sapin, ça me fait souvent qu’ils s’offusquent, Sophocle  Je suis beau et mortel Dignes aimants ! Ma proue s’est écorchée Arrachez Mines, fauchés sont les diamants Bafoués les pélicans Et les maussades armées Bousculées par une moindre réponse Agitent l’eau trouble et charment.
Pour chanter ils faut dire des choses Ajouter un plus à un moins C’est se souvenir. La Shoah électrique L’électricité Prenant des bains il s’offre Déposer Déchausser la remorque de l’autre Échanger nos chaussures Attendant devant soi Les autres sont rien Dans le miroir je dessine une tornade Pied bleu ainsi sur la table comment Faut la filmer Table Quand discute oublie corps Drap sur les valises Rabatteur, chasseur en a besoin, pour n’oublier pas de chasser Sur la ligne du chasseur Clin d’œil pourquoi Car l’Émile de la cible Pour mieux être vu ou voir le clin en œil ? Cible prendre un œil fermer Et l’ouvert, plus ouvert que les deux normalement Le chasseur est le restaurateur  Reste assise. Va crever en même temps que la lave. Cette phrase ne laisse pas de traces Elle arrive comme cela Au milieu des terrains vagues Rodrigue et Salomon Je veux acheter de l’argent Tournées des pouces-milles Elle oublie qu’elle rigole Aime dans le noir Lune Perte garçon je lui dis Elle défend Je transforme vélo en nage Elle perd ses cheveux Frère se ressemblent deux Joanna premier pas vers Jonas Jaune ou Laura John Lancer l’élan Espagnole la route Le H où je me tiens Tatouage lu Tatouage mur au marteau piqueur Elle lue l’entrée prisonnière de la grotte Abîmer la surface du mur Encre prisonnière mur Corps repousse Encre vivante Peau vivante Mur pas vivant Est-ce un pas que de vivre ? Ce n’est pas une bague armée de main Ne le dites pas Disparaître corps fait divers et multiples Lubriques Cigarette disparaît tatouage Mot dit et échappe pas Je saigne du doigt avec mon bleu Le sin La sine Le laser des Tuileries  Manière nonchalante cigarettes Tu le vois énerver je vais hurler Chirurgien bout de la rue Elle m’a vouvoyé pour que je reste Galope ration Agglomération Ruse de la poupée Amoureuses les filles Nous connaissons la tristesse.
J’arrête et ne change De gestes fins Deux personnes amoureuses sans le savoir. Eau et cheminée Savent pas je sais Aime des R Jouer Fait un r Croiser doigts Majeur index M et apostrophe confond avec cicatrice Image et œuvre mais image de l’oeuvre Amour amour Vacances Ennui S’y soustraire Pour le coup il a vraiment une âme
Un poulet à la mode s’il vous plaît, j’ai demandé en rentrant dans la brasserie.
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vfseriestreaming · 6 years
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DARK Saison 1 Episode 6 VF En streaming Sic Mundus Creatus Est Ulrich cherche des réponses dans le passé et cherche des secrets de famille troublants. Armé de nouveaux outils, Jonas sonde les profondeurs obscures de la grotte.
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philoursmars · 2 years
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52620 photos (oui, ça a encore augmenté !).
2007. Avec Nours, un de nos derniers voyages, en Auvergne…
Les étonnantes Grottes de Jonas aux allures cappadociennes. 
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philoursmars · 2 years
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52377 photos.
1996, fin d’été en Auvergne.
- les 4 premières : Saint-Floret. La première, dans la partie haute du village, montre des tombes mérovingiennes taillées à même la roche. Les autres montrent le château en contrebas.
- Saurier et son pont portant une chapelle
- les 2 dernières : les Grottes de Jonas et leur faux air de Cappadoce.
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philoursmars · 2 years
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52620 photos (oui, ça a encore augmenté !).
2007. Avec Nours, un de nos derniers voyages, en Auvergne…
Les étonnantes Grottes de Jonas aux allures cappadociennes.
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philoursmars · 4 years
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Une longue série sur les colonnes. Ici, des colonnes romanes et médiévales (?), principalement d’Auvergne sauf les 2 dernières.
- Issoire - 2003
- Brioude - 2006
- Issoire - 1996
- village troglodyte des Grottes de Jonas - 2007 (on y devine Nours, dans sa dernière année...)
- Chambon-sur-Lac - 1996 
-  Lavaudieu - 2008
- Aix-en-Provence - cathédrale, le cloître - 2001
- Bruges - Basilique du Saint-Sang, chapelle basse - 2014
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