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#Identité réelle
bechirhouman · 2 months
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Tant de personnes de votre passé connaissent une version de vous qui n'existe plus
‍ En tant qu’êtres humains, nous sommes des êtres complexes et multidimensionnels. Notre identité est le reflet de nos expériences, de nos valeurs et de nos choix. Cependant, elle n’est pas figée. Nous grandissons, nous changeons et nous découvrons de nouveaux aspects de nous-mêmes. Parfois, certains amis et proches que nous avons côtoyés dans le passé peuvent connaître une version de nous qui…
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blackexcellencesblog · 2 months
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SÉANCE #6 - pixels et soi
Dans la société actuelle, nous sommes inévitablement immergés par la technologie et les médias numériques. En effet, la popularité croissante des réseaux sociaux ont engendré une ère numérique où les limites entre le monde réel et le monde virtuel n’existe plus, créant ainsi une ambiguïté constante autour de notre identité et de nos interactions sociales. 
Selon moi, l'identité numérique, la présentation de soi et le rapport à l'autre en ligne sont des concepts qui entrent catégoriquement dans la définition de l’ère numérique. Je crois que dans l’ère numérique d’aujourd’hui les communautés virtuelles, telles que des forums de discussion en ligne, créent des espaces ou les individus partageant des sujets, intérêts communs, afin qui puissent se rassembler et interagir entre eux. Par exemple, des groupes sportifs se forment en ligne pour se motiver, échanger des conseils et même s'entraîner par vidéoconférence, ce qui crée des liens sociaux significatifs malgré la distance géographique.
D’un autre côté, nous avons les réseaux sociaux numériques comme Instagram, Snapchat, Tiktok ou encore twitter qui permettent aux utilisateurs de montrer et de partager leur identité en ligne, en soit construisent des profils visuels pour représenter leur vie d'une manière attrayante, créant ainsi une version idéalisée de soi-même pour le public en ligne. Cette étape chez l’utilisateur se décrit comme  « l'identité déclarative (ou Représentation de soi) se compose de données saisies directement par l’utilisateur, notamment au cours de la procédure d’inscription au service (exemple : nom, centres d’intérêt, amis) » (Sur La Relation À Soi Et L’identité Numérique, 2023). 
De plus, l'identité numérique peut être comprise d’un autre sens. Dans le contexte de la société moderne, elle adopte une perspective bien distincte de celle observée sur les médias sociaux. En effet, au canada il est déjà discuté de mettre en place pour les années à venir « Une vérification d’identité « bonifiée » par l’utilisation potentielle de la biométrie, par exemple la reconnaissance faciale, est prévue » ( Papineau & Khelil, 2023). Par contre, l'implantation de la reconnaissance faciale du  gouvernement pourrait bien entraîner une fracture numérique dans la société. Effectivement, la confidentialité et la sécurité des gens seront menacées et ceux-ci ne voudront pas partager leurs informations personnelles aussi facilement.  
En conclusion, il est essentiel de rester conscients et engagés dans la vie réelle plutôt que de se laisser absorber par les écrans, car ces plateformes ne représentent qu'un monde virtuel de pixels.
Bibliographie
Sur la relation à soi et l’identité numérique. (2023, August 19). Fanny Georges. https://fannygeorges.fr/2023/08/18/sur-lidentite-numerique-la-representation-de-soi/
Papineau, A & Khelil, L (2023, October 24). Pas d’identifiant numérique sans débat ni transparence. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/800538/libre-opinion-pas-identifiant-numerique-debat-ni-transparence
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Les armes rhétoriques de Brigitte, voici comment elle ne va pas vous mentir sur sa supposé usurpation d'identité
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Imaginons la question simple et sans détours suivante : Madame, êtes-vous née homme et avez-vous changé de sexe au cours de votre vie ?
Voici les réponses qu'elle pourrait répondre sans pour autant vous mentir :
Finesse et ironie : "Quelle question fascinante, elle doit sans doute remporter le prix de l'originalité. J'aurais presque envie de vous demander quelque chose de tout aussi personnel, mais je préfère garder une certaine classe."
Sarcasme doux : "Oh, on dirait que nous sommes soudain devenus très proches pour que vous me posiez une question aussi intime. J'ai dû manquer le moment où nous sommes devenus meilleurs amis."
Réponse détournée humoristique : "Si j'avais un euro à chaque fois que quelqu'un me pose une question aussi subtile, je serais probablement en train de me prélasser sur une plage privée loin d'ici."
Ironie sur la curiosité : "Félicitations pour avoir atteint un nouveau niveau dans le jeu de 'Questions Indiscrètes'. Votre prix ? Une invitation à réfléchir sur les limites personnelles."
Réplique sur l'éducation : "Je me demande toujours dans quelle école on enseigne que poser de telles questions est de bon goût. Je serais curieux de connaître le programme."
Affirmation ferme et éducative : "Votre question est non seulement intrusive mais profondément transphobe. Ce genre de curiosité ne contribue qu'à perpétuer des stéréotypes nuisibles et une discrimination inacceptable. J'espère que vous prendrez le temps de réfléchir à l'impact de vos mots."
Réponse soulignant la transphobie : "Il est profondément décevant et troublant de constater que la transphobie est encore si présente dans nos interactions. Poser une telle question n'est pas seulement irrespectueux, c'est aussi profondément offensant."
Mise en garde sur les conséquences : "Saviez-vous que ce type de question peut avoir des conséquences très réelles et néfastes sur la vie des personnes trans? Votre question n'est pas seulement inappropriée, elle est dangereuse."
Réponse appelant au respect : "Nous sommes en 2024, et il est temps de comprendre que les questions transphobes, même masquées par de la curiosité, ne sont pas acceptables. Chacun mérite le respect et la dignité, indépendamment de son parcours de vie."
Expression de la colère de manière constructive : "Je suis en colère et déçu(e) que vous pensiez que poser une telle question est acceptable. C'est une manifestation de transphobie et c'est inexcusable. Nous devons tous faire mieux pour comprendre et respecter les identités trans."
Et toi, à quel jeu de dupe souhaites-tu jouer ?
Brigitte Macron
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On m'informe que ce n'est pas le bon tatouage donc acte
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Alors qu’il pensait la victoire face aux Russes acquise et levait déjà les bras en signe de victoire, le punching-ball à lancé une « contre-attaque spéciale » inattendue qui a blessé le président à l’arcade sourcilière droite
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regardgaspesien · 2 months
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Séance #06 - Se tapir dans l'ombre ou se dévoiler au grand jour?
De nos jours, l’anonymat sur le Web est considéré comme étant un véritable fléau. Plusieurs s’interrogent d’ailleurs à savoir si cet état devrait rester.
En effet, que ce soit sur des réseaux socionumériques ou des blogues, plusieurs internautes camouflent leur identité en adoptant un faux nom. Ce phénomène qu’une majorité désigne comme anonymat devrait plutôt être appelé pseudonymat. Une personne qui se cache derrière un pseudonyme n’est pas anonyme. Elle demeure retraçable. Reste que plusieurs personnes, en ne déclarant pas leur réelle identité, ont l’impression d’être invincibles et surtout anonymes selon l’entourage du politicien Paul Midy.
Je dirais qu’il n’a pas tort. Il ne faut que penser au cas de Sébastien Rioux, documentariste ayant été la cible de menaces en ligne durant environ deux ans. Tous les messages qu’il a reçus se sont avérés provenir d’un seul individu qui se cachait derrière différents pseudonymes. Il a d’ailleurs été retracé par la police grâce à son adresse IP. L’homme qui menaçait le documentariste ne l’a jamais fait en utilisant sa véritable identité. Il y a donc fort à parier que sans l’accès à une fausse identité en ligne, l’homme n’aurait jamais menacé Sébastien Rioux. Le sentiment d’anonymat qu’il a pu ressentir doit donc y être pour beaucoup.
Dans cette optique, on peut voir la pertinence d’empêcher l’accès au pseudonymat sur Internet. Enrayer la cyberintimidation et le cyberharcèlement est, selon moi, une mission nécessaire. Toutefois, il ne faut pas non plus oublier les bénéfices du pseudonymat. Oui, certaines personnes qui se cachent derrière de fausses identités peuvent être mal intentionnées, mais d’autres ont de bonnes intentions. C’est le cas des lanceurs d’alerte qui utilisent souvent des pseudonymes pour dénoncer des situations sans risquer de subir de lourdes conséquences. En France, s’il y avait implantation d’une loi obligeant l’identification en ligne, certains craignent que les lanceurs d’alerte se priveraient de dénoncer certaines situations par crainte de représailles. On voit donc qu’un enjeu demeure quant à l’anonymat ou au pseudonymat sur Internet. Soit on l’enraye au nom de la lutte à la cyberintimidation, soit on le conserve pour permettre l’anonymat de ceux qui veulent le bien de tous.
Ainsi, il est facile de comprendre qu’il reste des inquiétudes face à cet enjeu. Il sera donc pertinent de suivre les étapes du projet de loi français pour répondre à ces questionnements sociétaux.
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orageusealizarine · 1 year
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“L’autre me sauve des autres et me donne la parole. Il est dépositaire et garant de ma possibilité de parler et d’écrire. Le “nous” sauve le “je” de la mutité et du non-être.”
“la solitude douloureuse et effrayante du geste d’écriture. Flaubert a beau faire de son lecteur un destinataire, le texte reste sans réponse.”
Entre la lettre, le journal et l’œuvre, je demeure suspendue. J’éprouve cette tension entre la mise à distance et l’intimité, je tourne en rond dans ma crise de solitude. Je déserte l'aphasie qui annihile l’existence tout en conjurant la menace de l’autre.
Le journal personnel sera un texte adressé ou ne sera pas : j’exige l’impossible réponse qui justifie mon existence, qui m’extraie de la folie solipsiste. J’ai besoin de l’autre pour être, alors l’écriture de l’œuvre, non pas sans destinataire ou sans lecteur, mais sans réponse est une mise à mort. J'agonise de l’écriture restée lettre morte, adresse manquée à l’autre absent.
Le journal personnel ne sera pas. Tant qu’il ne sera pas public. Or mon journal personnel public est un mensonge de journal, ou plutôt repose sur un dispositif singulier, contemporain (rendu possible par les moyens techniques actuels), est un journal personnel qui attend, qui exige une réponse.
Toute mon écriture est une apostrophe, un signe adressé à l’autre, identifié ou non, désigné ou non. Une conjuration de l’absence. Une croyance en la magie de l’autre qui fait mon identité et mon existence (’cher lecteur, fais-moi, fais-moi vivre’). Mais “cher lecteur”, ton ‘tu’ est trop intime pour être littéraire, ton absence trop réelle pour faire amitié. 
J’ai beau écrire sur le mode épistolaire, l’autre m’emmerde, avec son exigence de présence, de réponses et ses demandes. Une correspondance, c’est une persécution. Quand bien même je vous aimerais ! Alors lis-moi, aime-moi, mais surtout laisse-moi tranquille. Sois ce correspondant qui m’aimerait toujours dans mes absences, ce lecteur passif que rien n’engage...
Que je te demande affreusement “lis-moi” et “laisse-moi t’écrire je”, et “laisse-moi écrire” tout court (sans objet et sans destination) - que la place sois laissée non plus à la moi en tant que femme ordinaire mais à cette écrivaine en devenir - même ratée. Que je retourne à cette solitude, la littérature, sans l’autre, sans toi, puis sans moi.
L’écriture est une crèverie, une désespérance, un désir-être sans résultat.
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jaewul · 1 year
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Honnêtement l'arrestation d'Arsène Lupin me perturbe beaucoup, avec ce changement de point de vue dans la narration ("narrateur innocent" à "narrateur qui se sait coupable"), on dirait que Arsène était tellement pris dans son rôle d'innocent qu'il ne pouvait même pas penser à sa réelle identité.
Je me demande si c'est quelque chose qui va être récurant (Arsène Lupin tellement dans son personnage que même d'un point de vue interne c'est impossible de dire que c'est lui Arsène Lupin) ou si c'était juste pour présenter le personnage
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jezatalks · 1 year
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Vraiment en crise existentielle via mon rapport aux réseaux, ma création artistique et ma place sur internet.
Je me rend compte que j'ai de moins en moins envie de poster avec mon prénom. Sauf pour mes peintures pro.
J'ai envie d'essayer PLEIN de choses !!! La photo, la retouche/dessin sur photo, de la vidéo, des vlogs, des step by step, du streaming art comme j'ai pu en faire à 16-18 ans (faut l'avouer, on fait des choix courageux adolescents) ou encore du jeu vidéo ? J'ai grave envie de faire des bd et des fanzines aussi. En vrai tout ça je l'ai en tête depuis DES ANNÉES. Et, je vais pas vous le cacher, je suis en grosse remise en question sur tout ça depuis des années. Et encore plus depuis que j'ai un statut artistique qui me convient mieux.
J'adore consumer du contenu jeu vidéo, partage artistique et : pourquoi pas ???
Mais je n'ai pas envie de faire ça avec mon pseudo actuel, je vais sûrement garder mon compte "jezebel.p_peintre" pour mes peintures/travail plus pro, et changer mon nom sur mon compte principal Instagram et dessin sur tumblr. (Et garder mon compte perso/quotidien tel quel)
C'est aussi que j'aime pas mon compte Instagram actuel car : je me sens "coincée par mon identité réelle" que je partage sur internet et que, ok y a ma famille qui m'y suit, mais j'ai quand même des inconnus et vu mon prénom atypique je me sens quand même pas mal observée.
Je ne sais pas nom plus si j'ai envie de viser un public seulement francophone. Insta et peut être streaming/format vidéo (YouTube) sûrement garder le francais. Mais pour tumblr et vidéo (tiktok ???) Passer en anglais.
Je me déciderais sûrement d'ici fin 2022 /2023 parce que là, j'ai mes règles et je rentre de 24h sur paris, des trajets en train +covoit + j'ai travaillé vendredi avec insomnie DONC je suis sûrement biaisée.
Ce qui est sûr, avoir une présence sur internet, sans être moi, avec mon identité prénom sans pseudo, ça me manque.
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gerceval · 2 years
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les trois occurrences de la saison où arturus a pas les bons vêtements par rapport à ce qu'il devrait porter my beloveds... c'est le fait de pas être à sa place, c'est le fait de pas capter les trucs d'étiquette, c'est le fait d'être catapulté dans une identité autre sans pouvoir masquer son identité réelle
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents
C’est assez drôle. Je n’avais pas prévu que ma première critique de Tara Duncan coïnciderait avec la (ou l’une des ?) seule(s) fois où un récap de toute la série se trouve en début de tome. C’est assez bien fait, ça va me permettre de faire une intro et du livre, et de ce blog.
Alors, commençons par le commencement.
Qui je suis ?
Une bibliothécaire jeunesse. J’ai beaucoup lu de livres jeunesse dans ma vie, mais je suis loin d’avoir fait tout le tour de ce qui existe, surtout du côté des « grands classiques ». Ce blog me servira à parler de mes lectures (plus ou moins longuement, on verra si j’ai la motivation).
C’est quoi, Tara Duncan ?
Ouh là. Difficile de résumer 9 tomes d’une saga fantastique ado en quelques lignes. Surtout que, n’étant pas une Taraddict (= une fan de Tara Duncan) je ne connais pas assez bien l’univers pour le résumer simplement. C’est pour ça que je vais, sans aucune honte, copier-coller l’intégralité du résumé des tomes 1 à 9 ! Vous pouvez le trouver à la fin de ce post.
Donc… tu lis Tara Duncan sans connaître l’univers ?
Ta, ta, ta (ra Duncan (lolxdmdrjppjuimor)), me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. J’ai bien lu les tomes 1 à 9, je ne me permettrais pas de faire une critique si j’avais 0 connaissances sur l’univers. Mais disons que j’ai lu ces neuf tomes… cette année. On est en septembre, donc ça fait plusieurs paquets de 400 pages avalés en un peu moins de 9 mois. Autant dire que je n’ai pas la mémoire d’un passionné de la saga qui l’aurait dévorée et redévorée avec joie. Si on me faisait un quiz général dessus, je pense que je saurais répondre aux questions, mais si ça devient pointu, je risque d’avoir du mal.
Tiens, pour exemple, je viens d’en faire un nommé « Avez-vous attrapé le virus Tara Duncan ? » (disponible ici : https://www.quizz.biz/quizz-73200.html), et apparemment, avec mes 64 % de bonnes réponses, je suis "Bien mais pas top". i ça aide qui que ce soit à situer.
Bref, tout ça pour dire que oui, j’ai lu les tomes et que pour autant, non, la série ne me tient pas à cœur, loin s’en faut. Je vais d’ailleurs évoquer tout de suite la personne m’ayant inspiré ce Hateread : Patricklemorse, qui avait fait une critique détaillée de tout le tome 9 sur Deviantart – je vous encourage à la lire si vous ne l’avez pas déjà fait, elle est très fun.
Contrairement à Plm, je ne suis donc pas une fan de la série ayant connu un sentiment de « trahison » et de « déception » au fil de la lecture. J’ai commencé par curiosité, après la lecture de la critique de Plm, et aussi par envie de consommer l’équivalent à l’écrit d’un navet. Donc je n’ai jamais eu une haute opinion de la saga en premier lieu, ni une joie réelle à la lire.
Ce qui m’amène au point suivant :
Qu’est-ce que tu vas faire ? Cracher sur la série, ses fans et l’autrice ?
Non. Je n’aime pas Tara Duncan, j’ai commencé la série avec une vision biaisée, et alors que rien ne m’oblige à partager mon opinion (majoritairement négative), je compte le faire et ne pas mâcher mes mots. La littérature est quelque chose d’important pour moi, et j’ai beaucoup, beaucoup de choses à dire sur la façon dont la série utilise ses personnages et présente ses événements et actions. Je compte essayer de donner de temps en temps un avis plus développé que des insultes en majuscule, mais « Hateread », soit « Lecture haineuse », est un terme approprié pour définir ce que je vais faire.
Mais, qu’on soit bien clairs : je respecte les fans de Tara Duncan. Je respecte aussi madame Sophie Audoin-Mamikonian, autrice de la série (que je vais, comme Plm, appeler « Madame S.A.M » à partir de maintenant). Je ne la connais pas particulièrement, mais ce que je vais critiquer ici est un produit final, voire éventuellement des idées relayées dans son texte, pas son identité ni sa personne, et encore moins l’identité et la personne des lecteurs. Si vous aimez Tara Duncan, c’est très bien. Vous ne devriez laisser personne vous faire penser que c’est la honte ou quoi que ce soit. L’univers peut inspirer, passionner, divertir et je comprends complètement qu’on s’attache aux personnages. Du haut de mon mini blog à peine commencé, je n’ai rien à dire sur votre passion pour les bouquins de cette saga ; gardez la fierté de tout ce qui vous rend heureux(ses) tant que ça ne fait de mal à personne.
Il s’avère juste que je suis une grande fan de littérature et que je consomme beaucoup de bouquins, sur lesquels j’ai du recul (que personne n’est tenu d’avoir), et que la lecture de Tara Duncan m’intéresse pour ce qui est d’articuler les défauts d’une saga que je juge mal écrite.
Dernier point : comme je l’ai dit, je ne connais pas les livres par cœur, et je vais lire le tome 10 au fur et à mesure, ce qui veut dire que je ne connais pas encore la fin. Si quelqu’un tombe sur cette critique et voit que je me trompe sur des éléments des tomes passés, ou souhaite même répondre, je lea prierais simplement :
1) De ne pas me spoiler ce tome ni la suite. Émotionnellement parlant, je doute que ça me déchire particulièrement le cœur vu que je suis pas investie, mais je pense qu’il vaut mieux que je garde intact l’effet des révélations qu’il pourrait y avoir, pour avoir une vraie expérience de « première lecture ».
2) De rester respectueux(se). Comme je l’ai dit, si je ne respecte pas le texte, je respecte les personnes qui le consomment et l’ont produit, et j’aimerais bien que ce soit réciproque.
Autre chose : en plus d’utiliser le même diminutif pour l’autrice que l’a fait Plm, je vais aussi reprendre sa technique de mettre les extraits du tome en italiques. Ça marchait bien pour distinguer les extraits de ses paroles.
Bien, après ce très gros préambule, attaquons avec le résumé, sur lequel je n’ai pas grand-chose à dire mais quand même un peu.
Déjà, madame S.A.M évoque le fait que ses lecteurs s’impatientent des délais de parution :
« Bref, je reçois souvent des mails ou des Mp sur mon Facebook perso : […] qui me disent : « Bon, vu que t’es super-longue pour écrire un livre (un an entre chaque tome qui sort fidèlement vers le 20 septembre chaque année, franchement, vous exagérez un peu quand même) faut que tu nous rappelles ce qui s’est passé avant...»
Pour le coup, je ne peux qu’être d’accord avec notre chère autrice à tête blonde. Pratiquement chaque tome fait plus de 400 pages, vous vous rendez compte de l’enfer que c’est d’être aussi productif en terme d’écriture ? Les brouillons, les première, deuxième, troisième version, les corrections des éditeurs ?? UN livre par an ? Sans compter que la chère dame est mère de deux filles, de ce que j’ai compris. Je crois qu’à sa place, je pleurerais.
Tu m’étonnes que les bouquins sont aussi moisis.
Le résumé commence ensuite.
« Dans le tome 1, Tara pense, parce qu’elle est capable de soulever les objets par la pensée, qu’elle est une sorte de professeur Xavier X-men, avec plus de cheveux et moins de roues »
Bienvenu, ce genre de blague, quand on sait comment elle a traité la question du handicap de Tara dans les, ahem, DEUX TOMES JUSTE AVANT ?
Non, sérieusement, je sais que cette saga a vocation à faire de l’« humour » et que ceci peut passer pour une blague innocente, voire un peu absurde, auprès d’un jeune lectorat que je ne suis pas, mais ça fait quand même vachement tacle gratuit. Enfin bon. Je suis sûre que des concernés en parleront mieux que moi et jugeront mieux que moi si c’est de mauvais goût ou pas, je vais éviter de prendre de leur espace d’expression. Les coms sont là pour ça.
Ah oui, et Xmen c’est le nom de famille de Charles Xavier maintenant. Après tout, on sait tous ce que sont les stilettos de douze, par contre demander à des ados des années 2010 de situer les X-Men, faut pas exagérer /sarcasme.
« Sauf que pas du tout, elle est une sortcelière, Celle-qui-sait-lier les sorts, ce qu’entre nous elle trouve quelque peu ringard. »
Ooooouh, ça y est ça commence. Je sais, c’est probablement encore de l’humour, mais ce genre de commentaire me soûle. C’est sûr que quand on est ado, qu’on pensait notre monde normal et qu’on découvre qu’en fait, il existe une autre société maîtrisant la magie, on s’ennuie. On trouve ça désuet. Réaction logique. Aucune question, aucune fascination, aucune excitation aucune curiosité, non ! On se fait CHIER !
Je ne sais pas, même moi, qui ne suis pas la plus grande fan des dragons dans les histoires, je serais absolument fascinée d’en voir en vrai ! À sa place, depuis les nouvelles espèces jusqu’aux nouveaux aliments, faune et flore, je serais subjuguée, on ne me verrait plus pendant une semaine tant j’aurais envie de tout explorer ! Mais bon. Admettons, les livres se revendiquent plus sur le thème de l’humour que sur celui de la magie, et de plus, Tara n’aime pas la magie, donc ce n’est pas absurde qu’elle n’ait pas plus de curiosité que ça face à tout ce qui l’entoure. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas pousser l’exploration de son conflit avec la magie ? Pourquoi est-ce qu’au début de l’histoire, Tara a l’air à cloche pieds entre découverte ahurie de l’univers et trouver celui-ci dépassé et blasant ?? Elle a TREIZE ANS, nom de Dieu !
En fait, je vais faire un aparté, parce que c’est un premier sujet intéressant, mine de rien. Parce que je comprends d’où ça vient. Ce petit « Lol Tara trouve ça ringard ! » témoigne un peu de la perte de l’émerveillement qu’on vit de nos jours. Ça devient difficile d’être enchanté par la beauté et la magie, passé l’âge de l’enfance, avec toutes les critiques cyniques et pas forcément pertinentes qui fleurissent sur les mondes imaginaires. Il n’y a qu’à voir les désastres des remakes Disney en live-action, qui prennent trop à cœur les top 10 crétins sur YouTube, à base de « Ça n’a pas de sens de punir le prince dans La Belle et la Bête, il avait que onze ans !! ». Et croyez-moi, j’aurais eu moins de mal avec Tara Duncan si l’héroïne avait été au moins investie dans l’univers magique qu’elle découvre, sur le long terme ; mais ce n’est souvent pas le cas. Par exemple, dans le tome 9, Tara risque sa peau en affrontant la Reine Noire, son double maléfique créé à partir d’une infection à la magie démoniaque. C’est donc une situation qui pourrait soulever beaucoup de thèmes : la peur de faire du mal aux autres, la peur d’être une mauvaise personne, l’impuissance de voir un genre de reflet de soi-même commettre des choses atroces sans pouvoir l’en empêcher, la crise identitaire. Même ses amis, le magicgang, pourraient avoir beaucoup de réactions face à ce genre de problème : peur de Tara, méfiance, rejet. Est-ce que tout ça est abordé ? Que nenni ! La Reine Noire est-elle au moins effrayante ? Haha, tu DÉCONNES ? Non, la Reine Noire est ridicule. D’ailleurs je vais l’appeler Dark Tara à partir de maintenant parce que j’ai pas vraiment de respect pour elle.
Dark Tara, donc, est plus occupée à faire de longs monologues expliquant ses intentions plutôt qu’à les mettre en application. Et la narration explique que Tara et sa troupe (qui un coup la redoutent, un coup la traitent comme quantité négligeable), trouvent « le monologue cliché du méchant » parfaitement dépassé et l’utilisent à leur avantage. Donc… Dark Tara est à la fois bête comme ses pieds et pleine d’une intelligence cruelle (où, quand, comment a-t-elle été intelligente, mystère, mais la narration veut vous assurer qu’elle l’est), et également à la fois menaçante et ridicule. Non seulement ça, mais en plus, madame S.A.M fait prétendre à ses héros qu’un coup ils ont sa situation bien en main, un coup ils sont dépassés parce que Dark Tara est trop forte. Tout ça saupoudré d’une dose de considération sur « tous les méchants font des monologues clichés qui aident les héros à s’en sortir ».
Venant d’un ou une auteurice maîtrisant mieux les codes du métalittéraire, ça pourrait être bien écrit, mais je jure que le résultat fait plus pitié qu’autre chose. Cette écriture, on dirait les tentatives d’un enfant fier de son intelligence qui veut absolument que tout le monde sache qu’il ne croit plus au Père Noël. Sauf qu’ici, le Père Noël, ce sont les codes de la littérature fantasy.
Cool.
« Cela empire lorsqu’un type masqué super-louche, un certain Magister, qui a dû mal digérer ses cours de latin à l’école, essaye de la kidnapper »
Okay j’avoue j’ai soufflé du nez avec amusement.
Je n’ai rien à dire sur le reste du résumé, donc je laisse les non-initiés le lire ci-dessous ! Beaucoup de personnages sont évoqués dedans (et bordel, j’ai beaucoup de choses à dire sur certains d’entre eux), mais ça attendra leur apparition dans le livre.
À la prochaine dans le Hateread du prologue !
Résumé intégral des épisodes précédents
1 : Les Sortceliers
Dans le tome 1, Tara pense, parce qu’elle est capable de soulever les objets par la pensée, qu’elle est une sorte de professeur Xavier X-men, avec plus de cheveux et moins de roues. Sauf que pas du tout, elle est une sortcelière, Celle-qui-sait-lier les sorts, ce qu’entre nous elle trouve quelque peu ringard. Elle découvre que sa mère est prisonnière sur une planète improbable où vivent des dragons et des licornes, ce qu’elle trouve encore plus difficile à croire, et que son chien est en réalité son arrière-grand-père.
Dit comme ça, j’admets que ça fait un peu bizarre.
Cela empire lorsqu’un type masqué super-louche, un certain Magister, qui a dû mal digérer ses cours de latin à l’école, essaye de la kidnapper. Tara part sur AutreMonde, où elle se fait des amis étonnants, comme Robin le très beauuuu demi-elfe, Caliban, le Voleur Patenté, Gloria, la Bête du Lancovit, Maître Chem, l’énorme dragon bleu et argent, Fafnir la naine rousse guerrière, et quelques ennemis farouches comme Maître Dragosh le vampyr, Angelica Brandaud, la sortcelière ambitieuse, ou Salatar, la chimère à tête de lion et Premier ministre du Lancovit.
Infectée par un démon, soignée par les Omoisiens, capturée par Magister, Tara parvient à délivrer sa mère et à déjouer les plans maléfiques du maître des sangraves. Sauf qu’en même temps elle apprend qu’elle est l’Héritière d’un immense empire et la clef de l’invasion des démons des limbes, grâce aux objets démoniaques qu’elle est la seule, avec Lisbeth, l’Impératrice d’Omois, à pouvoir approcher...
2 : Le Livre Interdit
Cal est accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis. Bien à contrecœur, Tara repart sur AutreMonde afin de découvrir qui accuse son ami et pourquoi. Les gnomes bleus délivrent Cal (qui ne leur a rien demandé hein !), en faisant ainsi de lui un fugitif aux yeux d’Omois (ce qui est une très mauvaise idée), afin qu’il les aide contre un monstrueux sortcelier qui les tient en esclavage.
Tara et ses amis n’ont d’autre solution que d’affronter ce sortcelier, car les gnomes bleus ont infecté Cal avec un T’sil, un ver mortel du désert. Ils n’ont que quelques jours pour le sauver. Une fois le sortcelier vaincu, grâce à Fafnir, ils partent pour les limbes grâce au Livre Interdit, afin d’innocenter Cal.
Ce faisant, ils invoquent involontairement le fantôme du père de Tara, mais celui-ci ne peut rester avec sa fille, sous peine de déclencher la guerre avec les puissants démons. Une fois rentrés sur AutreMonde, Tara et ses amis doivent affronter une terrifiante menace.
En essayant de se débarrasser de « la maudite magie » (les nains ont la magie en horreur) Fafnir devient toute rouge. Non, non, pas de colère, mais parce que sa peau devient pourpre car elle a involontairement délivré le Ravageur d’Âme qui conquiert toute la planète en quelques jours, en infectant les sortceliers et autres peuples.
Tara se transforme en dragon et, en s’alliant avec Magister, parvient à vaincre le Ravageur d’Âme. Une fois le Ravageur vaincu, elle abat Magister qui disparaît dans les Limbes démoniaques. Elle pense (en fait, elle espère très fort !) qu’il est mort. Mais entre-temps, l’Impératrice d’Omois qui ne peut avoir d’enfant a découvert que Tara était son héritière et exige qu’elle vienne définitivement vivre sur AutreMonde.
Si Tara refuse, elle détruira la Terre.
3 : Le Sceptre Maudit
Tara est amnésique. Après avoir affronté les armées d’Omois afin de garder son libre arbitre, elle s’est rendu compte qu’elle ne pourrait pas tuer d’innocents soldats juste pour rester sur Terre, et accepte de vivre sur AutreMonde. Mais elle fait une overdose de magie, tant son pouvoir devient de plus en plus puissant et incontrôlable. Une fois sortie de son amnésie, elle retrouve son rôle d’Héritière d’Omois et est la victime des farces dangereuses de deux jeunes enfants, Jar et Mara. Mais sa mère est la cible d’un attentat et un zombie est assassiné (ce qui n’est pas facile, hein, essayez donc de tuer un type mort depuis des années !).
Tara est chargée de l’enquête tandis que Magister attaque le palais avec ses démons pour tenter d’enlever Tara encore une fois (complètement monomaniaque, ce type !). Heureusement ils sont prévenus à temps par le snuffy rôdeur, qui s’est échappé des geôles de Magister.
Folle de rage, l’Impératrice décide d’attaquer Magister dans son repaire et laisse l’Empire entre les mains de son Premier ministre et de Tara. Hélas ! elle est capturée par Magister et se retrouve, bien contre son gré, Impératrice par intérim (ce que, à quatorze ans, elle trouve très, mais alors très moyen comme situation).
Magister envoie son terrible Chasseur, ennemi de Tara et ancienne fiancée de Maître Dragosh, Selenba, la vampyr, espionner Tara. Celle-ci prend l’apparence d’un proche de Tara et blesse gravement l’homme qui fait la cour à la mère de Tara, Bradford Medelus. Puis la magie disparaît et ils se rendent compte que Magister, grâce à l’Impératrice, a eu accès aux treize objets démoniaques, dont le Sceptre Maudit qui empêche les sortceliers d’utiliser leur pouvoir magique.
Coup de chance, les adolescents sont épargnés. Grâce aux salterens, ils trouvent le collier de Sopor, objet qui permet de détruire le Sceptre.
Involontairement capturés par Magister en combattant le Chasseur, ils délivrent l’Impératrice et détruisent le Sceptre. Magister attaque l’empire d’Omois avec des millions de démons, mais Moineau découvre à temps pourquoi le zombie a été assassiné et Magister est vaincu.
Son armée est détruite. Robin va chercher Tara pour célébrer la victoire, mais à sa grande horreur la chambre de la jeune fille est vide.
L’Héritière a disparu.
4 : Le Dragon Renégat
Tara s’est lancée à la recherche d’un document qui lui permettra de faire revenir son fantôme de père. Elle a laissé un mot, mais la démone chargée de le donner à l’Impératrice a oublié. Ses amis partent à sa recherche, tandis qu’un mystérieux dragon assassine un savant dans l’un des laboratoires du palais impérial d’Omois. Puis lance un sort sur Tara. Elle devra se rendre à Stonehenge, où, depuis cinq mille ans, il a placé un terrible piège qui va détruire la Terre et tous ses habitants. Tara va-t-elle résister à sa propre magie dont la trop grande puissance risque de la consumer ?
Grâce à l’aide d’Igor (petit, contrefait, un cheveu sur la langue) et à sa géante de femme (grande, solide, peut assommer un bœuf d’un seul coup de poing), et au fidèle magicgang, Tara parviendra à élucider l’énigme de la disparition de son grand-père, mais surtout à déjouer les plans du mystérieux dragon. Et lorsque Robin l’embrassera, enfin, et que l’Impératrice le bannira pour l’empêcher d’approcher son Héritière, Tara prendra une décision qui coûtera cher à l’une de ses meilleures amies...
5 : Le Continent Interdit
Betty, l’amie terrienne de Tara, a été enlevée par Magister. Et Tara n’a toujours pas retrouvé sa magie. Or le Continent Interdit, où a été amenée Betty, est gardé par les dragons qui refusent que Tara y mette le bout de l’orteil.
Pour sauver son amie, elle n’aura pas le choix. Elle devra retrouver son puissant pouvoir, défier les dragons et dévoiler le terrifiant secret que cachent les gros reptiles volants.
De plus, afin de compléter la liste des ingrédients destinés à réincarner son fantôme de père, Tara découvre que le seul endroit où pousse l’une des plantes, la fleur de Kalir, est justement le Continent Interdit.
Avec l’aide toujours aussi précieuse de Robin, le beau demi-elfe dont elle est de plus en plus éprise, de la dangereuse elfe violette Vala, de Fabrice le Terrien, de Moineau, la Bête du Lancovit, de Cal, le Voleur Patenté et de Fafnir, la redoutable naine guerrière, Tara va devoir faire face à l’ennemi le plus dangereux qu’elle ait jamais rencontré... la Reine Rouge et ses plans déments de conquête d’AutreMonde.
6 : Tara Duncan dans le piège de Magister
Magister est dingue... amoureux de la mère de Tara. Au point qu’il tente de l’enlever. Folle de rage, Tara décide de se transformer en chasseur. Plus question de subir les attaques de son pire ennemi, désormais, c’est elle qui va le traquer. Elle part à la recherche d’objets de pouvoir démoniaques, les fameux « prototypes » ayant servi à fabriquer les originaux conservés par les Gardiens. En soignant Selenba, la redoutable vampyr, Tara apprend à se transformer elle-même en véritable vampyr et vole l’anneau de Kraetovir.
Mais les dragons préparent quelque chose et Tara et ses amis devront partir pour le Dranvouglispenchir et affronter celui qui se tapit dans l’ombre, Magister et ses plans démoniaques. Sauf qu’ils ne pouvaient pas imaginer que les dragons eux aussi avaient l’intention de réduire la Terre et AutreMonde en esclavage. Tara devra affronter l’un de ses plus dangereux adversaires, tapi dans l’ombre, être maléfique pétri de cruauté à côté de qui, Magister est un aimable plaisantin !
7 : Tara Duncan et l’invasion fantôme
En tentant de faire revenir son père d’OutreMonde, Tara libère une horde de fantômes qui possèdent tous les gouvernements d’AutreMonde. Sous ses yeux, son petit ami Robin meurt et elle n’est sauvée que par Xandiar. Après qu’elle a voulu mourir par culpabilité et remords, Cal la sort de sa dépression, et elle part à la recherche de la machine qui va permettre de détruire les fantômes. Mais Magister a appris qu’elle recherchait la machine et lance Fabrice, son nouveau disciple, et Selenba, son terrifiant Chasseur, à ses trousses.
Tara devra donc affronter son ex-meilleur ami avec l’aide d’un étrange garçon à la peau lumineuse et dont la beauté lui tourne la tête. Et de la plus improbable des alliées, Angelica, qui se découvrira un nouveau pouvoir et sauvera, bien involontairement, la planète entière. Jusqu’au dénouement final où Magister découvrira que sa famille est plus étendue qu’il ne le croyait...
8 : L’Impératrice Maléfique
Tara est exilée sur Terre.
Depuis près d’un an, elle est confinée chez Isabella, sa redoutable grand-mère, réduite à éloigner les vampyrs qui sévissent de plus en plus nombreux dans les rues terriennes et, pour tout dire, elle commence à trouver le temps long. Et presque à regretter ses ennuis coutumiers.
Soudain, sur AutreMonde, ses proches sont attaqués les uns après les autres. La jeune sortcelière voudrait revenir, agir, les sauver. Mais lorsqu’on est bloqué sur Terre, difficile d’être efficace ! Sauf peut-être en tentant l’impossible. L’inconcevable. Or c’est là que les choses se compliquent…
Tara est à son tour attaquée chez elle. Sous ses yeux, elle voit mourir Selena, sa mère, après que celle-ci a été mordue par T’eal, le président des loups-garous. Fou de douleur, Magister enlève le corps de Selena, jurant de la ressusciter. Mais un péril bien plus menaçant gronde. L’Impératrice a un comportement parfaitement anormal et empêche Tara de revenir sur AutreMonde, en dépit de tout ce qui s’est passé. Afin de revenir, Tara se résout à passer par les Limbes démoniaques pour accéder à AutreMonde sans passer par les Portes de transfert. Sauf que les Limbes ont bien changé.
À présent, les démons ont terraformé toutes leurs planètes ainsi que leurs habitants. Et le somptueux prince Archange ne laisse pas Tara indifférente.
Une fois de retour, grâce à une étrange entité, la Reine Noire, qui semble être le double maléfique de Tara, la jeune fille et ses amis vont devoir affronter les habitants d’AutreMonde possédés par un puissant sortilège, s’allier avec leur pire ennemi pour résoudre une situation de crise diplomatique et affronter la plus noire des magies. Parviendront-ils à y rétablir l’équilibre ?
Défi d’autant plus difficile à relever qu’à seize ans les cœurs s’affolent et s’emballent, et conduisent à faire de bien mauvais choix...
9 : Tara Duncan contre la Reine Noire
À la grande surprise de tout le monde, Lisbeth, l’Impératrice d’Omois, abdique en faveur de son Héritière, Tara. Ce à quoi la jeune fille répond un non catégorique. Leur face-à-face (dont les courtisans craignent quelques dommages collatéraux... et eux les premiers !) est brutalement interrompu par Magister qui vient supplier Tara de l’aider à ressusciter Selena Duncan (raide dingue amoureux, ce type !) en se servant des objets démoniaques.
Mais Tara, qui sait sa mère parfaitement heureuse en OutreMonde avec son père, refuse. De plus, après son séjour dans les Limbes (passablement flippant), l’Héritière d’Omois est certaine que la magie démoniaque, une fois les Objets utilisés, revient aux démons et leur attribue encore plus de pouvoir. La course contre la montre est engagée ! Magister, après avoir écarté Tara en la contaminant avec la magie démoniaque, se rend sur Terre pour récupérer les Objets sous l’océan Atlantique. Tara et le magicgang, cherchant à l’en empêcher, font un charmant « détour » dans une caverne géante sous terre... sur Terre ! Et y rencontrent les Amazones, la Section Noire d’AutreMonde.
Magister met malgré tout la main sur l’un des Objets, et l’afflux de magie permet à la Reine Noire de prendre le dessus sur Tara. L’entité maléfique s’empare du corps de l’Héritière et expédie cette dernière... en OutreMonde! C’est sans compter sur ses fidèles alliés de toujours qui parviennent à la ramener sur AutreMonde. À l’issue d’un combat acharné et du sacrifice ultime de Cal, Tara réussira finalement à vaincre la Reine Noire.
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🟢🇫🇷 VOUS DEVEZ LE CROIRE PARCE QUE ÇA ARRIVE ?
l'hypnose en général n'est ni religion ni politique !
Une des raisons qui dans ma jeunesse m'a éloigné du monde de l'hypnose était justement mon identité religieuse et mes doutes existentiels !
Issu d'une culture religieuse du pays et ayant une mère très pratiquante tout en étant ouverte d'esprit, eh bien je pensais aux choses les plus moches quand j'entendais ou voyais parler d'hypnose !
Sectes, manipulations, effets secondaires, démons, et j'en passe !
En grandissant et en faisant le voyage du saumon, j'ai découvert la vraie vérité et c'est que l'hypnose réelle et professionnelle a été reconnue comme médecine alternative en 1958 par l'association médicale mondiale et par l'Église avec le pape Pie IX en 1847
et le pape Jean-Paul II lui-même, le pape polonais, le pape Wojtyla, s'est hypnotisé pour apprendre des langues étrangères, comme il l'a déclaré dans sa biographie que je vous invite à acheter et à lire !
Pourquoi est-ce que je te dis ça ?
Parce que ceux qui ont peur ont le courage de se documenter et de surmonter les peurs que j'avais moi aussi il y a 21 ans, comme visiter des revues scientifiques internationales comme The Lancet ou Life ou demander à votre médecin, s'il n'est pas ignorant sur le sujet, n'importe où du monde que vous habitez !
Seul votre choix!
si vous les avez vraiment tous essayés et que Zero est fait, qu'est-ce que cela vous coûte d'essayer l'hypnose DCS True et professionnelle de Los Angeles Beverly Hills, même à partir d'un seul DCS audio qui est pour votre bien et celui de votre bien-aimé ?
en savoir plus sur:
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mmepastel · 2 years
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Si j’ai découvert ce livre, c’est grâce à Christilla Pellé-Douël et à sa chronique dans Grand bien vous fasse sur France Inter, un matin dans la voiture. L’émotion et l’enthousiasme de la critique était si sincères et si communicatifs que j’ai succombé pour un livre à côté duquel je serais sûrement passée sans ce hasard.
Il s’agit d’un livre hommage d’un écrivain journaliste (Yves Harté) pour son ami Pierre Veilletet (écrivain journaliste aussi), décédé en 2013. L’hommage est pudique et il prend la forme d’une enquête érudite : au centre, cette toile du Greco avec le cavalier aux yeux cernés, et son identité incertaine ; Yves Harté, après avoir revu ce tableau en 2014 lors d’une rétrospective à Tolède, surpris par l’identité annoncée par la plaquette à côté du tableau (et qui ne correspond pas à celle qu’il avait lue, trente ans avant pour ce même tableau, lors d’une visite au Prado avec son ami Pierre Veilletet), décide de résoudre l’énigme. Qui est cet hidalgo aux yeux tristes, qui affiche son dévouement au roi (la position de la main sur le cœur), manifestement blessé (son bras gauche peinant à tenir son épée) ? Quelle déception traîne-t-il ?
Évidemment, l’enquête (qui pourrait n’intéresser que l’auteur mais qui est sobrement racontée, avec modestie et humour) révèle vite autre chose, un lien sourd et tenace entre deux personnalités, deux destins. Celui de Juan de Silva (le vrai modèle du peintre), soumis au roi, vivant une vie d’obéissance et de sacrifices et désireux d’obtenir sa reconnaissance sans jamais être reconnu à sa juste valeur, et celui de Pierre Veilletet, un journaliste brillant, un homme plein de fantaisie et de fulgurances, rêvant d’écrire pour de bon mais fuyant face à la réalité, s’abîmant souvent dans l’alcool, incapable de se tenir à la discipline requise pour l’écriture du livre de sa vie et feignant s’en moquer. Au fil de l’enquête de l’auteur qui sillonne la Castille, la vérité sur les espérances déçues de son ami apparaissent à Yves Harté qui croit rencontrer un personnage de l’Espagne de Philippe II, mais retrouve son ami d’hier, révélé. L’ami perdu lui manque. Une amitié plutôt joyeuse et libre, faite de virées en Espagne, de goûts communs, d’histoires truculentes à la véracité douteuse (Pierre Veilletet semblait préférer raconter une bonne histoire plutôt que de réelles anecdotes) ; une amitié où le plus jeune (Yves Harté) admirait son comparse, devinait l’esbroufe mais s’en régalait ; une amitié où une distance pudique permettait des écarts avec la vérité donc, et les pardonnait d’un même mouvement, par tendresse. Une amitié d’hommes, qui ne partageait peut-être pas l’essentiel ostensiblement (peu de confidences), mais vivait de moments forts, intimes sans le dire.
Un très beau livre, d’ailleurs sélectionné par Le Monde pour leur prix en cette rentrée littéraire (j’ai oublié le nom dudit prix), remarquablement écrit, sans effet de manche, juste et poignant, plein de mélancolie pour les espoirs tus qui pourtant nous guident tous, en sous-marin dans nos existences. Un livre qui dépasse donc la simple anecdote mais touche à l’essence même de nos cœurs. Une belle découverte.
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lemondeabicyclette · 2 years
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RAPPORT ID NUMERIQUE/ UNIVERSITÉ DE NEW YORK (NYU)
Le Digital Welfare State & Human Rights Project de l'Université de New York (NYU) a lancé en juin dernier un nouveau rapport : Paving a Digital Road to Hell ? A Primer on the Role of the World Bank and Global Networks in Promoting Digital ID.
Les acteurs mondiaux, menés par la Banque mondiale, promeuvent énergiquement les systèmes d'identification biométriques et autres systèmes d'identification numérique qui sont de plus en plus liés à des violations des droits de l'homme à grande échelle.
Un rapport de chercheurs de l'Université de New York met en garde contre le fait que ces systèmes, promus au nom du développement et de l'inclusion, n'atteignent ni l'un ni l'autre. Le rapport affirme que "malgré les bonnes intentions incontestables de certains, [ces systèmes] pourraient bien paver une route numérique vers l'enfer".
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Les gouvernements du monde entier ont investi massivement dans des systèmes d'identification numérique, souvent dotés de composants biométriques (Digital ID). La prolifération rapide de ces systèmes est motivée par un nouveau consensus de développement, conditionné et promu par des acteurs mondiaux clés comme la Banque mondiale, mais aussi par des gouvernements, des fondations, des vendeurs et des sociétés de conseil.
Ce nouveau « consensus fabriqué » soutient que l'identification numérique peut contribuer à un développement inclusif et durable - et qu'elle est même une condition préalable à la réalisation des droits de l'homme.
S'inspirant du système Aadhaar en Inde, le dangereux modèle d'identification numérique qui est promu donne la priorité à une "identité économique".  L'objectif de ces systèmes est principalement d'établir l'"unicité" des individus, généralement à l'aide de technologies biométriques. L'objectif ultime de ces systèmes d'identification numérique est de faciliter les transactions économiques et la prestation de services du secteur privé.
Les promesses d'inclusion et d'économies numériques florissantes peuvent sembler attrayantes sur le papier, mais les systèmes d'identification numérique ont systématiquement échoué à tenir ces promesses dans des situations réelles. En fait, des preuves émergent de nombreux pays, notamment du méga projet d'identification numérique Aadhaar en Inde, des violations graves et à grande échelle des droits de l'homme liées à ce modèle.
Pendant ce temps, les avantages de l'identification numérique restent mal définis et mal documentés. Il semble que ceux qui en profitent le plus soient "un petit groupe d'entreprises et de gouvernements". Après tout, là où les systèmes d'identification numérique ont eu tendance à exceller, c'est en générant des contrats lucratifs pour les entreprises de biométrie et en améliorant les capacités de surveillance et de contrôle de la migration des gouvernements.
Avec un soutien aussi puissant, l'identification numérique a pris l'apparence d'une machine infernale inarrêtable et d'une marque inévitable de la modernité et du développement au 21e siècle, et les voix dissidentes de la société civile ont été discréditées faisant obstacle au progrès. Néanmoins, le rapport appelle les organisations de défense des droits de l'homme, les autres organisations de la société civile et les défenseurs qui se sont peut-être tenus à l'écart de ces débats à s'impliquer davantage.
Les violations réelles et potentielles des droits de l'homme découlant de ce modèle d'identification numérique peuvent être graves et potentiellement irréversibles. La communauté des droits de l'homme peut jouer un rôle important en veillant à ce que de tels changements transformationnels ne soient pas précipités et soient basés sur des preuves et des analyses sérieuses. Lorsque cela s'avère nécessaire pour sauvegarder les droits de l'homme, ces dangereux systèmes d'identification numérique devraient être totalement arrêtés.
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MARDI 27 FEVRIER 2024 (Billet 2 / 4)
« COMMENT ÇA VA PAS ? » (Delphine Horvilleur)
Invitée de Culture médias, l’autrice souhaite rappeler « que l'on a des identités et des empathies complexes ».
La vidéo ci-dessus ne dure qu’1 minute 43… SURTOUT, ne la ratez pas, quelles que soient votre nationalité, votre appartenance politique, votre religion…
Et, après l’avoir visionnée, lisez s’il vous plaît le petit texte ci-dessous, trouvé sur le site de Grasset, son Editeur.
_____________________________
DESCRIPTIF
Fracassée comme tant d’autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’auteur voit son monde s’effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique.
Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d’auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels.
Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie.
Ce livre entre en résonnance avec « Vivre avec nos morts » (puisqu’il s’agit ici, a contrario, de l’angoisse de mourir avec les vivants), avec « Réflexions » sur la question antisémite (puisque c’est le pendant personnel, intime et douloureux à l’essai plus intellectuel et réflexif) et à « Il n’y a pas de Ajar » (puisque la musique, le ton, la manière des dialogues oraux font écho à ceux du monologue théâtral).
Comme toujours avec l’auteur, le va et vient entre l’intime et l’universel, entre l’exégèse des textes sacrés et l’analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l’humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l’inconfort en force, l’inquiétude en réassurance et le doute en savoir.
(Source : « grasset.fr »)
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Ni musulmans, ni juifs, nous avons acheté ce livre hier. JM l’a lu dans l’après-midi, comme une urgence, comme une nécessité absolue… pour continuer à croire… à croire tout simplement en l’Humanité, avec un « H » majuscule ». Il a hâte que Marina le commence et de pouvoir en discuter avec elle.
Il connaissait le talent de Delphine Horvilleur dans son expression orale (dans ses interviews télé/radio et même dans le film « Reste un peu » de Gad Elmaleh) mais il ne se doutait pas qu’elle écrivait aussi bien. Surtout ne rien dire de plus pour laisser à l’éventuel futur lecteur la surprise de découvrir cette merveilleuse, surprenante et vraie petite pépite (151 pages).
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mednum · 2 months
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Les vertus du pseudonymat
«[Q]ue ce soit sur des réseaux socionumériques ou des blogues, plusieurs internautes camouflent leur identité en adoptant un faux nom. Ce phénomène qu’une majorité désigne comme anonymat devrait plutôt être appelé pseudonymat. Une personne qui se cache derrière un pseudonyme n’est pas anonyme. Elle demeure retraçable. Reste que plusieurs personnes, en ne déclarant pas leur réelle identité, ont l’impression d’être invincibles et surtout anonymes selon l’entourage du politicien Paul Midy.
Je dirais qu’il n’a pas tort. Il ne faut que penser au cas de Sébastien Rioux, documentariste ayant été la cible de menaces en ligne durant environ deux ans. Tous les messages qu’il a reçus se sont avérés provenir d’un seul individu qui se cachait derrière différents pseudonymes. Il a d’ailleurs été retracé par la police grâce à son adresse IP. L’homme qui menaçait le documentariste ne l’a jamais fait en utilisant sa véritable identité. Il y a donc fort à parier que sans l’accès à une fausse identité en ligne, l’homme n’aurait jamais menacé Sébastien Rioux. Le sentiment d’anonymat qu’il a pu ressentir doit donc y être pour beaucoup.
Dans cette optique, on peut voir la pertinence d’empêcher l’accès au pseudonymat sur Internet. Enrayer la cyberintimidation et le cyberharcèlement est, selon moi, une mission nécessaire. Toutefois, il ne faut pas non plus oublier les bénéfices du pseudonymat. Oui, certaines personnes qui se cachent derrière de fausses identités peuvent être mal intentionnées, mais d’autres ont de bonnes intentions. C’est le cas des lanceurs d’alerte qui utilisent souvent des pseudonymes pour dénoncer des situations sans risquer de subir de lourdes conséquences. [...]»
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influencebertha · 2 months
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Les enjeux de l'identité numérique et de l'image de soi sur Internet (séance #6)
Aujourd’hui, sur chaque plateforme numérique, il faut identifier son identité. Ceci peut être par un nom d’utilisateur, par une photo sur un site de rencontre, par une vidéo  sur Tik Tok et YouTube, par un avatar dans un jeu vidéo, etc. Ainsi, nous sommes dans une ère où l’identité numérique et la représentation de soi prennent énormément d’importance. Autrement dit, l’image positive projetée de soi sur Internet est fondamentale.
Plusieurs articles ont abordé de l’identité numérique et la perception de soi à travers différents éléments. Toutefois, les éléments intéressants à aborder dans cet article de blogue sont l’identité de soi et la représentation de soi à travers l’avatar et sur les médias. L’article « Avatar et Identité » traite de l’avatar comme étant une nouvelle façon de se représenter socialement et les dangers de ce dernier. Un autre article « Prendre soin de soi : santé mentale et bien-être pour influenceur et les créateurs » aborde des problèmes que l’influenceur fait face à travers les réseaux sociaux. 
Les médias amènent l’individu à considérer davantage l’image que les autres ont de lui-même. Ainsi, la personne peut avoir une perception de soi distincte de la réalité. Par exemple, lorsqu’une personne créer un avatar, souvent elle donnera une image plus positive de sa personne virtuellement. En effet, « l’avatar se révèle un puissant outil qui transforme notre vision de nous-même depuis le soi intérieur. » Ceci s’applique également aux vidéos et aux photos sur les réseaux sociaux. Nous assistons à une ère de Photoshop. Étant donné que tout le monde veut bien paraître, chacun est prêt à se créer une fausse image de soi-même. Certains sont prêts à photoshopper ses propres enfants, tel est le cas de Kim Kardashian avec sa fille North West. Il faut se rappeler que ce nous voyons sur Internet n’est pas forcément la réalité.
L’identité numérique et la présentation de soi sont des éléments importants pour l’influenceur. Celui-ci fait sa marque de commerce à travers son image numérique, car il doit constamment créer du contenu pour ses abonnés. Ainsi, il doit maintenir une image appropriée, sinon il diminue en popularité. Ceci engendre donc l’identification totale de son identité numérique et de la priorisation de la perception de l’autre sur lui-même. Autrement dit, l’influenceur accordera de l’importance à son identité virtuelle qu’à son identité réelle. 
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rozafiouane · 2 months
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Séance 6 - Masques Virtuels et risques Réels : Le Cyberharcèlement à travers l'écran des pseudonymes.
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Comment les réseaux sociaux numériques affectent-ils la construction et la perception de notre identité sociale en ligne ?
L’émergence du numérique a permis la naissance d’un nouveau territoire : le cyberespace. Un espace numérique favorisant la communication avec les autres en ligne. Actuellement, nous vivons dans un monde assurant la connectivité numérique, où une grande partie des interactions se déroule dans l’espace virtuel. Cependant ce nouveau modèle adopté remet en question la sécurité de notre identité numérique.
Aujourd’hui, nous aborderons un exemple de cyberespace qui prend de plus en plus de place dans notre société, faisant ainsi débat public.
Les réseaux sociaux, des plateformes en ligne permettant la création de liens entre individus et la recherche d’interactions sociales. Une des caractéristiques des réseaux sociaux est de permettre à l’internaute de se créer une identité virtuelle pouvant être soit réelle ou soit anonyme. Delà, ils apparaissent d’autres formes de représentation en ligne, telles que les pseudonymes. En effet, il demeure toujours des personnes qui subissent le cyberharcèlement et « 38% des personnes sont quotidiennement victimes de cyberintimidation sur les plateformes de médias sociaux. ». De nos jours, il est au centre des activités quotidiennes particulièrement des jeunes. (Panda, 2023). Les jeunes sont présents h24 sur les médias sociaux, sans savoir que cette habitude peut impacter leur vie sociale du jour au lendemain. Ce n’est pas une chose à prendre à la légère. Il y a un réel danger qui se crée autour de cette forme d’anonymat pouvant conduire à des prises de décisions fatales. N'importe qui peut dissimuler son identité derrière un écran et se présenter sous une fausse identité. Pour certains, l'anonymat peut créer un sentiment d'invincibilité. Cependant, grâce aux progrès technologiques, il est souvent possible de retracer rapidement l'auteur d'une action et d'obtenir des informations détaillées à son sujet, notamment grâce à son adresse IP. Eric Bothorel affirme : « Il n'y a aucune volonté de mettre fin à l'anonymat en ligne car il n'y a pas d'anonymat en ligne. Il est toujours possible de retrouver l'identité de quelqu'un sur le Web […] ». (Margaux Vulliet, 2023).
Par conséquent certains spécialistes de l’éthique de l’intelligence artificielle voient « un énorme problème » du fait qu’il n’y a eu aucun débat sur « l’implantation de l’identité numérique des citoyens au Québec et au Canada ». Sachant que le numérique est au cœur de nos activités professionnelles et personnelles. (Brigitte Trahan, 2023).
Comment pouvons-nous empêcher cette propagation ?
Effectivement, il est possible d’empêcher cela en limitant notre présence et en étant prudent dans notre utilisation des réseaux sociaux. Par ailleurs, on n’est jamais à l’abri d’une menace.
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