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#Jean Siméon Chardin
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The Ray (1727) by Jean Siméon Chardin
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moonlit-elixir · 2 days
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Jean Siméon Chardin Soap Bubbles, circa 1733 oil on canvas
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laclefdescoeurs · 6 months
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Still Life with a ray-fish, a basket of onions, eggs, cheese, a green jug and a copper pot, with a mortar and pestle on a stone ledge, Jean Baptiste Siméon Chardin
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Jean-Baptiste Siméon Chardin (French, 1699-1779) Dog and Game, 1730 North Simon Museum
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portraituresque · 1 year
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Jean-Baptiste-Siméon Chardin (1771) - Self portrait
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Soap Bubbles - Jean-Baptiste-Siméon Chardin // Mood Ring - Lorde
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capitalrrealism · 1 year
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The Ray (La raie), 1728 by Jean Baptiste Siméon Chardin
The at once passionate and aggressive touch that brought forth The Ray has another, sexual dimension. It is hard to ignore that if the cavity of the fish is an image of a voracious mouth, half-devoured and devouring, it also comes across as a gruesome visual fantasy of a genital organ. For an eighteenth century viewer this association was put on the table, so to speak, from the start, by the very name of this still life's protagonist, la raie, which in the period's common parlance referred to female genitals. The way Chardin painted the fish played up its connotations as a sexually charged image of mutilated and mutilating femininity that reveals itself as a fantasy of an injured masculinity, an image of male risk. For from the depth of this ghastly image of a bodily wound suggestive of a female organ rise up pendulous elongated forms that evoke a male body. This sexually suggestive and bi-gendered interpretation of the ray, a standard motif of seventeenth-century Flemish still lifes, recurs in Chardin's early work, notably in Cat with Ray, Oysters, Pitcher, and Loaf of Bread of 1728. Although the fish, suspended from a hook, is shown in profile, its gutted orifice is in full view, a product of a brush that seems to have been particularly interested in conveying its gory aspect. Here the orifice is nestled in an oval shape produced by vigorous slashes of red and white pigment that form something disturbingly close to the shape of a vulva exhibiting its wounds. Rendered in vivid red, the pendant forms that appear below the orifice-similar to the shiny tubular vesicle at the center of The Ray's cavity-place masculinity at the core of this genital spectacle. What these spectacular renditions of mutilated organs amount to is an anxious vision of femininity as a domain of male self-identification, a vision that speaks of both a loving attachment to and a violent repulsion of the female body as a site of subjective self-definition. - The Painter's Touch: Boucher, Chardin, Fragonard by Ewa Lajer-Burchart
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archiveofcanvas · 1 year
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Jean Baptiste Siméon Chardin (French, 1699-1779), 'Basket of Plums', 1765, oil on canvas 32.4 x 41.9 cm...
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eirene · 2 years
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The Monkey Antiquarian, 1740 Jean-Baptiste-Siméon Chardin
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castelnou · 1 year
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artwork by jean-baptiste-siméon chardin
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Day 8 is The Attributes of Civilian Music by Jean-Baptiste-Siméon Chardin.
There are several painting of this type by Jean-Baptiste-Siméon. This one depicts instruments available to the average music player: violins, horns, flutes, a hurdy gurdy, tambourines, drums.
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This next one is The Attributes of Music, the Arts and the Sciences also by Jean-Baptiste-Siméon. This one is harder for me to tall what is being shown, but there appears to be some of the instruments from the first one, plus sheet music, books, and an easel.
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andresylupin · 1 year
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Some of the artworks featured in the exhibition Les Choses, at The Louvre (click for full picture)
Cartels de l’exposition pour ces œuvres :
- Pain et Figues, 50-79 de notre ère, peinture murale, Herculanum
Dans ce tableautin très simple, deux figues brunes et un pain doré renvoient à une grande frugalité, que la douceur des fruits, vantée par Pline l’Ancien dans son Histoire naturelle (an 77), tempère à peine. Et pour cause : il n’est pas question ici de susciter l’envie, la gourmandise, mais d’exprimer le contraire, un idéal de diète “philosophique”, dont Socrate (vers 470/469-399 avant notre ère), le mangeur de pain, est le parangon, lui qui critiquait les plus gloutons de ses contemporains. Dans leur dénuement, ces petites choses du quotidien ont leur morale sévère qui en impose.
- Schädel [Crâne], 1983, Gerhard Richter
Au début des années 1980, Richter est fasciné par le motif du crâne, qui lui offre de mettre à distance ses effets, de les canaliser, en inscrivant sa peinture dans la tradition. Il prend alors le contre-pied de la peinture néo-expressionniste allemande, spontanée, subjective, violente. Rien de tel ici, où le memento mori tend même à s’effacer derrière les moyens de la peinture : la géométrie impeccable, la rigueur minimale, le quasi-monochrome. Seule la lumière dégage la coquille renversée du crâne, et rappelle in fine le sens d’une vanité appliquée aux illusions et aux certitudes du siècle.
- Coin de table, 1934, Pierre Bonnard
Sur cette toile presque carrée, rien n’est facilement identifiable. Bonnard ne s’intéresse pas à la représentation mimétique des choses, mais à la beauté simple du quotidien et à ses sensations. Ce Coin de table est un prétexte à expérimenter les moyens de les exprimer : format et cadrage, vue en surplomb des objets, étirés, aplatis, ployés, fusionnés, jeu de la lumière qui émane de la matière picturale elle-même, travaillée d’une touche virtuose. Après Chardin, Bonnard fait encore de la nature morte le lien où se manifeste une magie énigmatique.
- Pipes et vases à boire, dit La Tabagie, vers 1737, Jean Siméon Chardin
Chardin a représenté une série d’objets qu’il possédait, de petites choses sans qualité extraordinaire, en particulier une tabagie de palissandre. La grande simplicité, l’équilibre de l’ensemble sont remarquables. Tout s’assemble, tout s’épanouit harmonieusement pour suggérer le charme de la vie telle qu’elle est, dans ses choses mêmes. Diderot prêtait une magie singulière à la peinture de Chardin. Cette Tabagie la contient, où agit le mystère de la présence des choses, comme des personnages de l’histoire, animées d’un mouvement et d’une lumière intérieure.
- Intérieur d’un magasin de porcelaines et d’objets chinois, 1680-1700, peintre anonyme néerlandais
Un anonyme néerlandais, fasciné comme nombre de ses contemporains par les objets de luxe asiatiques, s’est inspiré des représentations de cabinets de collectionneurs pour inventer une boutique imaginaire qui rassemble avec fantaisie et jubilation tous ces trésors tant convoités. L’artiste a peint cette chinoiserie sur une feuille d’éventail, lui-même un article de luxe décrivant les merveilles d’Orient et d’Extrême-Orient. Une fois mise au carré pour être encadrée, cette feuille est devenue à son tour un objet d’art européen ouvrant sur le vaste monde.
- Natura Morta, 1944, Giorgio Morandi
Cette nature morte est exemplaire de l’art de Morandi à traduire le mystère et la poésie des choses. L’artiste a élu des objets simples, ordinaires, qu’il collectionnait, et il les a mis en scène selon un dispositif réglé, avec une grande économie de moyens. Disposés en frise sur un fond neutre, de formes et de hauteurs différentes, peints dans des harmonies sourdes de blanc nacré rompues par la boule de hochet jaune et bleue, ils sont comme figés dans le temps, silencieux et secrets. Morandi les a ainsi rendus présents au monde d’une manière qui excède leur fonction, intrigants, voir obsédants.
- La Chambre de Van Gogh à Arles, 1889, Vincent Van Gogh
Pour Van Gogh, sa chambre de sa maison jaune, à Arles, devait être très simple et “vide”, comme un intérieur japonais. Il détestait les choses de la bourgeoisie, l’accumulation des bibelots, source de confusion mentale. Il lui fallait de l’ordre, et ce tableau devait créer les conditions du repos, une sorte d’asile de paix, avec juste les choses nécessaires, où calmer la tête et l’imagination. L’artiste devait tenir à cette projection mentale rassurante, qui le dépeint en creux : la première peinture de cette chambre (1888) ayant été endommagée, il la refit en effet deux fois (1889).
- Six coquillages sur une table de pierre, 1696, Adriaen Coorte
Une sorte de paradoxe gît dans cette petite composition, d’une infinie délicatesse, où ces quelques coquillages, presque insignifiants de prime abord, renvoient pourtant à la puissance de l’économie coloniale néerlandaise, fondée sur la Compagnie des Indes orientales depuis 1602. Tous, en effet, viennent des mers du Sud, rapportés par bateaux. Alors que le goût des curiosités se développait en Europe, au contact d’autres mondes, les tableautins de Coorte devaient être appréciés par des collectionneurs qui doublaient leurs précieux trésors de leurs représentations.
- Livret de dévotion, vers 1330-1340, ivoire polychrome et doré, Cologne
Ce double feuillet représentant les Arma Christi (les “Armes du Christ”) fait partie d’un petit livret de dévotion. Aux scènes de la Passion du Christ, qui y sont également représentées, sans texte, répondent les instruments de cette Passion, soigneusement inventoriés dans l’image : des trente deniers reçus par Judas pour prix de sa trahison au tombeau vide, en passant par le roseau et le fouet de la flagellation. Rien ne manque, excepté le Christ lui-même, absent, mais présent dans chacune de ces choses qui devaient faire récit, engager à la prière et à la méditation.
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myownprivate · 21 days
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Le melon entamé, a still life by Jean-Siméon Chardin to be offered for sale by Christie’s in Paris on June 12. Image © Christie’s Images limited.
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bottegapowerpoint · 7 months
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Left: James Wilson Carmichael, A British Opium Schooner And Other Shipping Off Hong Kong Center: Charles Chaplin, A Quiet Moment Right: Jean-Baptiste-Siméon Chardin, Still Life with Kitchen Utensils and Vegetables
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Progress on the Chardin reproduction :
I did the first layers over my graphite sketch in acrylics because it dries faster. I also learned NOT to use acrylics over oils because then, it would never stick, which makes sense, especially after you learn that fact!
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Then, I started with oils. It was my first time using oils, I had no idea what I was doing, and it shows a bit. Every picture is one session, Maïlys because it took me fucking FOR EVER to realize I was diluting (?) my paints waaaaaay too much and was basically only working in washes.
Lucky for me, I wasn’t using a oil as a medium, but something called liquin, which dries fast and thoroughly so I could layer and layer over and over again.
That being said, it was my teacher who suggested liquin, and it actually also dries super shiny, which I realized I hated because it made working in anything other than diffused natural light à pain in the ass. I think it’s better suited for final layers.
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Here’s where I left it at. It’s not varnished so I can definitely go back to it at some point, but by this point, I had spend over 10 hours on it and I wanted to try something else. Honestly though? I’m proud of it for a first try!
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byneddiedingo · 1 year
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 aic-drawings
Self-Portrait with a Visor, Jean Baptiste Siméon Chardin, 1771, Art Institute of Chicago: Prints and Drawings
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