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#Jeanne Chauvin
ihaveaweirdidea · 1 year
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October is Breast Cancer Awareness Month. đŸ€ŸđŸ»
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SAINT OF THE DAY (August 30)
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On August 30, the Catholic Church celebrates Saint Jeanne Jugan, also known as Sister Mary of the Cross.
During the 19th century, she founded the 'Little Sisters of the Poor' with the goal of imitating Christ's humility through service to elderly people in need.
In his homily for her canonization in October 2009, Pope Benedict XVI praised St. Jeanne as “a beacon to guide our societies toward a renewed love for those in old age."
The Pope recalled how she “lived the mystery of love in a way that remains ever timely, while so many elderly people are suffering from numerous forms of poverty and solitude and are sometimes also abandoned by their families.”
Born on 25 October 1792 in a port city of the French region of Brittany, Jeanne Jugan grew up during the political and religious upheavals of the French Revolution.
Four years after she was born, her father was lost at sea.
Her mother struggled to provide for Jeanne and her three siblings, while also providing them secretly with religious instruction amid the anti-Catholic persecutions of the day.
Jeanne worked as a shepherdess and later as a domestic servant.
At age 18, and again six years later, she declined two marriage proposals from the same man.
She told her mother that God had other plans and was calling her to a work that is not yet founded.
At age 25, the young woman joined the Third Order of St. John Eudes, a religious association for laypersons founded during the 17th century.
Jeanne worked as a nurse in the town of Saint-Servan for six years but had to leave her position due to health troubles.
Afterward, she worked for 12 years as the servant of a fellow member of the third order, until the woman's death in 1835.
During 1839, a year of economic hardship in Saint-Servan, Jeanne was sharing an apartment with an older woman and an orphaned young lady.
It was during the winter of that year that Jeanne encountered Anne Chauvin, an elderly woman who was blind, partially paralyzed, and had no one to care for her.
Jeanne carried Anne home to her apartment and took her in from that day forward, letting the woman have her bed while Jeanne slept in the attic.
She soon took in two more old women in need of help, and by 1841, she had rented a room to provide housing for a dozen elderly people.
The following year, she acquired an unused convent building that could house 40 of them.
During the 1840s, many other young women joined Jeanne in her mission of service to the elderly poor.
By begging in the streets, the foundress was able to establish four more homes for their beneficiaries by the end of the decade.
By 1850, over 100 women had joined the congregation that had become known as the Little Sisters of the Poor.
However, Jeanne Jugan – known in religious life as Sister Mary of the Cross – had been forced out of her leadership role by Father Auguste Le Pailleur, the priest who had been appointed superior general of the congregation.
In an apparent effort to suppress her true role as foundress, the superior general ordered her into retirement and a life of obscurity for 27 years.
During these years, she served the order through her prayers and by accepting the trial permitted by God.
At the time of her death on 29 August 1879, she was not known to have founded the order, which by then had 2,400 members serving internationally.
However, Father Le Pailleur was eventually investigated and disciplined, then Jeanne Jugan came to be acknowledged as their foundress.
She was beatified by Pope John Paul II on 3 October 1982. She was canonized by Pope Benedict XVI on 11 October 2009.
Jeanne is a saint for every age as she challenges young people to give themselves to God and neighbour.
She is a role model for those who care for the poor, the sick, and the aging.
To those who feel anxious in these tough economic times, she offers an invitation to live the Beatitudes, trusting that God will provide.
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loickbvr · 1 year
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Debout tous (txt 2011)
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On reproche souvent aux Français leur arrogance, leur prétention, leur chauvinisme, et Napoléon en serait la cause.
Sous la RĂ©volution, il fut l’antidote de l’anarchie. Sous le Consulat et le Premier Empire, il devint le gĂ©nie civil et militaire. Il avait cette noble ambition d’apporter l’espoir, la rĂ©ussite, l’honneur et l’amour de la patrie. Sous son impulsion, le peuple retrouva vertus antiques, et franchit les limites du possible et de la gloire. De lĂ , est nĂ© ce sentiment d’invincibilitĂ©...
Or, NapolĂ©on ne fut que de passage, un soldat parvenu. Il savait qu’il ne pouvait garder sa constance indĂ©finiment et que l’Empire ne survivrait pas aux coalitions successives et dĂ©loyales. Depuis sa dĂ©faite de Waterloo et son abdication en 1815, la France est orpheline. Elle abdique Ă  son tour, et son peuple se condamne Ă  mourir en silence. La perfide Albion avait rĂ©ussi sa revanche sur la guerre de cent ans au prix d’un endettement colossal. L’ùre de la domination anglo-saxonne dĂ©butait. La sociĂ©tĂ© post-empire allait se soumettre Ă  leur systĂšme commercial, se formater Ă  sa langue et en devenir consommatrice.
L’hĂ©ritage matĂ©riel
Il reste une architecture civile et militaire : Le code civil, le code pĂ©nal, le code du commerce, la cour des comptes, le lycĂ©e, le baccalaurĂ©at, l’universitĂ©, l’école spĂ©ciale militaire de Saint-Cyr, la LĂ©gion d’honneur, la banque de France, les prud’hommes, les grands monuments tel l’Arc de triomphe de l'Ă©toile, puis il y a l’art avec ses tableaux, manuscrits et armes que les collectionneurs s’arrachent.
L’hĂ©ritage spirituel
La sociĂ©tĂ© du Premier Empire Ă©tait hĂ©ritiĂšre des VercingĂ©torix, Charles Martel, Roland, Du Guesclin, Jeanne d’Arc et soldats rĂ©volutionnaires, toujours Ă  se lever face Ă  l‘oppression et Ă  dĂ©fendre avec honneur les intĂ©rĂȘts d’une nation libre et indĂ©pendante. Mais les guerres du XXe siĂšcle aux folies destructrices ont fini par rarĂ©fier la descendance et ont apportĂ© des consĂ©quences dĂ©sastreuses. Beaucoup de familles n’ont pu recevoir le savoir de leurs aĂŻeux et subissent des traumatismes inavouĂ©s. Elles se rĂ©signent, perdant l’honneur et la volontĂ© de rĂ©sister. Certaines finissent par brader leur hĂ©ritage pour un besoin financier.
Et il y a ces arrogants, prĂ©tentieux et chauvins... ces grognards, rescapĂ©s de ce dĂ©clin, qui gardent au fond de leur esprit la flamme d’espoir, cette empreinte de la glorieuse Histoire de leurs ancĂȘtres. Ils la recherchent, la retrouvent puis la relatent, d’autres la jouent et se prennent pour les hĂ©ros le temps d‘une reconstitution de bataille. Ce n’est pourtant qu’une illusion, un souvenir, un sentiment nostalgique, une rĂ©action qui n’est, en rĂ©alitĂ©, que l’ultime souffle avant l’extinction.
Le changement
N’avez-vous point remarquĂ© que vous ne savez que peu de choses sur vos ancĂȘtres ? N’avez-vous point remarquĂ© que des familles se dĂ©sunissent ? N’avez-vous point remarquĂ© les dĂ©rives de l’enseignement et de l’éducation ? N’avez-vous point remarquĂ© le dĂ©sintĂ©rĂȘt pour l’Histoire et la suppression de certaines pĂ©riodes d’histoire de France du programme scolaire ? N’avez-vous point remarquĂ© la modification de la langue française ? N’avez-vous point remarquĂ© que la France n’a plus son indĂ©pendance et sa libertĂ©, qu’elle se met aux crochets d’un nouveau systĂšme ?
L’arrivĂ©e en masse de communautĂ©s Ă©trangĂšres est la volontĂ© des colons modernes, une nouvelle forme d’esclavage Ă  moindre coĂ»t pour rĂ©pondre Ă  l’hyperconsommation. Ces communautĂ©s pourraient s’intĂ©grer Ă  notre hĂ©ritage matĂ©riel ou pas, mais il est certain qu’elles ne se lieront pas Ă  notre hĂ©ritage spirituel, puisqu’un arbre ne peut renier ses racines. Les tronçonneuses rĂ©publicanistes couperont jusqu’à la guerre civile et la sociĂ©tĂ© uniforme sans frontiĂšre prendra place.
Que feront les héritiers ?
RĂ©sister et s’installer dans des rĂ©serves ou accepter de se fondre dans la masse. La dĂ©mocratie est cruelle, puisque c’est le plus grand nombre qui assoit sa domination. Les paroles prophĂ©tiques de NapolĂ©on se rĂ©aliseraient-elles ?
“Vivez avec les idĂ©es de votre siĂšcle. Vivez pour elles, elles vous entraĂźnent ; vivez contre elles, elles vous renversent”.
Le destin de la “sociĂ©tĂ© nation” serait donc d’accepter de disparaĂźtre au profit d’une sociĂ©tĂ© apatride, ou cosmopolite, ou de consommation, ou individualiste ou peut-ĂȘtre le tout Ă  la fois. À moins qu’un miracle ne se produise, qu’un chef, restĂ© jusqu’à prĂ©sent observateur, apparaisse et intervienne pour la renaissance.
Que peut-on transmettre aux gĂ©nĂ©rations issues de l’ancienne France qui avancent dans ces mĂ©andres avec insouciance, rĂ©bellion et sans boussole ? Elles ne survivront que si elles retrouvent leurs racines
 leur passĂ©, leur origine, leurs vertus antiques, leur terre natale. Elles doivent ĂȘtre attachĂ©es aux institutions et coutumes de leurs ancĂȘtres pour qu’elles soient dignes et garantes de leur avenir.
L’heure n’est plus Ă  l’observation et au silence, mais Ă  la parole et Ă  l’action. FidĂšles de la nation libre et indĂ©pendante, rĂ©veillez-vous de votre lĂ©thargie, renaissez de vos cendres et soyez debout ! Soyez comme ces arbres millĂ©naires qui ont connu bien des tempĂȘtes, ils restent debout grĂące Ă  leurs racines.
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karukeranews · 4 months
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Nous Ă©tions Ă  la fin du XIXĂšme siĂšcle et la partie n’était pas gagnĂ©e pour les candidates Ă  vouloir prĂȘter serment. Jeanne Chauvin, la pionniĂšre, dont...
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jakez19 · 4 months
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Jeanne Chauvin ou le combat d'une femme avocate - Le Nouveau Passé-Présent - TVL
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quietparanoiac · 3 years
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Jeanne Chauvin (1862-1926) was the second woman to obtain a degree in law, and to be allowed to practice it in France. She obtained her degree in 1890 and her PhD in 1892, and was allowed to plead at the bar only in 1900, after a change in French legislation.
Before practicing as a lawyer, she taught in secondary schools, and advocated women’s rights, particularly those of married women to freely dispose of the products of their own labour. After her application to enroll in the Paris Bar was rejected, she led a campaign which eventually led to women becoming practicing advocates.
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books-in-media · 3 years
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Masterlist of books mentioned & read in The Lovely Bones (2009)
—Baby and Child Care, Benjamin Spock (1946)
—Dr. Seuss’s Sleep Book, Dr. Seuss (1962)
—Exile and the Kingdom, Albert Camus (1957)
—Feeding Your Baby and Child, Benjamin Spock, Miriam E. Lowenberg (1969)
—Fondue, Chafing Dish, and Casserole Cookery, Margaret Deeds Murphy (1974)
—Home Guide to Trees, Shrubs, and Wildflowers, William Carey Grimm (1970)
—Horton Hears a Who!, Dr. Seuss (1954)
—Male Chauvinism: How it Works, Michael Korda (1975)
—Mastering the Art of French Cooking, Julia Child (1961)
—New Illustrated Encyclopedia of Gardening: Volume 5, T.H. Everett (1972)
—New Illustrated Encyclopedia of Gardening: Volume 11, T.H. Everett (1960)
—The Encyclopedia of French Cooking, Elisabeth Scotto (1982)
—The Good Cook's Guide, Hilary Fawcett, Jeanne Strang (1974)
—The Female Eunuch, Germaine Greer (1970)
—The Ladies Aid Cookbook, Beatrice Vaughan (1971)
—The Language of Gardening, George Frederick Hull (1967)
—The Lord of the Rings Trilogy, J.R.R. Tolkien (1955)
—What Cooks in Suburbia, Lila Perl (1961)
—Working With Nature; A Practical Guide, John W. Brainerd (1973)
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les-monumentales · 4 years
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Marguerite Durand
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1864-1936 Journaliste, féministe et femme politique France
Marguerite Durand est une actrice, journaliste, politicienne et militante pour les droits des femmes. NĂ©e dans une famille bourgeoise, elle est d’abord actrice Ă  la ComĂ©die Française oĂč elle joue des rĂŽles de jeune femme ingĂ©nue.
Elle Ă©pouse ensuite Georges Laguerre, avocat et dĂ©putĂ© boulangiste, dirigeant du journal La Presse. Elle se lance alors dans le journalisme et co-dirige La Presse. À la mort du gĂ©nĂ©ral Boulanger en 1891, elle quitte son mari et les idĂ©es boulangistes.
C’est comme journaliste pour Le Figaro qu’elle dĂ©couvre le fĂ©minisme. On l’envoie couvrir en avril 1896 le CongrĂšs fĂ©ministe international Ă  Paris. Elle en ressort transformĂ©e et refuse d’écrire l’article Ă  charge demandĂ© par Le Figaro.
En 1897 elle fonde La Fronde, premier journal entiĂšrement dirigĂ©, Ă©crit et conçu par des femmes. Longtemps quotidien puis hebdomadaire, il traite, en dehors des sujets concernant les femmes, toute l’actualitĂ©. Parmi ses illustres collaboratrices, on compte Jeanne Chauvin ou Alexandra David-NĂ©el.
Parmi les combats relayĂ©s par le journal : le droit de vote des femmes, l’égalitĂ© des salaires, l’accĂšs Ă©galitaire aux professions et aux syndicats ou encore la lutte contre les dispositions du Code civil. GrĂące aux combats du journal les femmes obtiennent le droit d’entrer Ă  l’AssemblĂ©e, ce qui leur Ă©tait auparavant interdit, mais aussi d'accĂ©der au barreau.
En 1907 elle tente de lancer un Office du Travail féminin, puis crée le journal Les Nouvelles en 1909. Elle tente de se lancer en politique pour les élections législatives de 1910 mais sa candidature est rejetée. Elle retente sa chance en 1927 aux élections municipales, aux cÎtés des socialistes réformistes, sans succÚs.
Quoique pacifiste, elle engage les femmes Ă  participer Ă  l’effort de guerre en 1914, espĂ©rant que leurs efforts seraient rĂ©compensĂ©s Ă  l’issue du conflit. C’est une amĂšre dĂ©ception. Les femmes n’obtiennent pas le droit de vote et le contrĂŽle sur leurs corps s’alourdit en 1920 par l’interdiction de l’avortement et de la propagande en faveur de la contraception.
À la fin de sa vie, elle lĂšgue toutes les archives sur le fĂ©minisme qu’elle possĂšde. La bibliothĂšque qui les rassemble porte son nom Ă  Paris.
Photo : BNF /  Copyright : domaine public
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desviesennoiretblanc · 5 years
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Peu s'en souviennent, certains l'ignorent (22)
Peu se souviennent de Marie-Madeleine Milcent, fille de Joseph Milcent, cultivateur, et de Marie-Jeanne Chauvin ; quant à sa descendance, il semblerait qu’elle n’ait pas voulu voir le jour. 
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Épitaphe de Marie-Madeleine Milcent - Cimetiùre du Pùre-Lachaise :
Ici repose Madame Marie-Madeleine Milcent, épouse de M. Etienne Fournier, décédée le 10 mars 1824, ùgée de trente-huit ans. Elle fut le modÚle des épouses et la plus sincÚre des amies. Sa mort fut accélérée par de longues souffrances qu'elle supporta avec courage. Sa douceur et sa bonté l'avaient rendue chÚre à tous les malheureux. Elle a porté dans son sein un enfant de douze mois vivant et sept ans mort, ainsi que l'ont constaté, aprÚs son décÚs, les docteurs Dubois et Bélivier, ses médecins, qui ont retiré cet enfant bien conformé et parfaitement conservé.
Photo : Le cimetiĂšre du PĂšre Lachaise, par Jules Moiroux
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tomub · 6 years
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C’ÉTAIT UN 1 DÉCEMBRE 1900
Ce jour lĂ , les femmes françaises accĂšdent au barreau. En 1897 Jeanne Chauvin, pourvue de tous les diplĂŽmes, n'avait pas eu le droit de prĂȘter serment devant la Cour d'Appel de Paris . Aujourd’hui les avocates reprĂ©sentent prĂšs de la moitiĂ© des effectifs.
Via @PhotoParisienne
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SAINT OF THE DAY (August 30)
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On August 30, the Catholic Church celebrates Saint Jeanne Jugan, also known as Sister Mary of the Cross.
During the 19th century, she founded the Little Sisters of the Poor with the goal of imitating Christ's humility through service to elderly people in need.
In his homily for her canonization in October 2009, Pope Benedict XVI praised St. Jeanne as “a beacon to guide our societies toward a renewed love for those in old age."
The Pope recalled how "she lived the mystery of love in a way that remains ever timely while so many elderly people are suffering from numerous forms of poverty and solitude and are sometimes also abandoned by their families.”
Born on 25 October 1792 in a port city of the French region of Brittany, Jeanne Jugan grew up during the political and religious upheavals of the French Revolution.
Four years after she was born, her father was lost at sea.
Her mother struggled to provide for Jeanne and her three siblings, while also providing them secretly with religious instruction amid the anti-Catholic persecutions of the day.
Jeanne worked as a shepherdess and later as a domestic servant. At age 18, and again six years later, she declined two marriage proposals from the same man.
She told her mother that God had other plans and was calling her to a work, which was not yet founded.
At age 25, the young woman joined the Third Order of St. John Eudes, a religious association for laypersons founded during the 17th century.
Jeanne worked as a nurse in the town of Saint-Servan for six years but had to leave her position due to health troubles.
She later worked for 12 years as the servant of a fellow member of the third order, until the woman's death in 1835.
During 1839, a year of economic hardship in Saint-Servan, Jeanne was sharing an apartment with an older woman and an orphaned young lady.
It was during the winter of this year that Jeanne encountered Anne Chauvin, an elderly woman who was blind, partially paralyzed, and had no one to care for her.
Jeanne carried Anne home to her apartment and took her in from that day forward, letting the woman have her bed while Jeanne slept in the attic.
She soon took in two more old women in need of help. By 1841, she had rented a room to provide housing for a dozen elderly people.
The following year, she acquired an unused convent building that could house 40 of them.
During the 1840s, many other young women joined Jeanne in her mission of service to the elderly poor.
By begging in the streets, the foundress was able to establish four more homes for their beneficiaries by the end of the decade.
By 1850, over 100 women had joined the congregation that had become known as the Little Sisters of the Poor.
However, Jeanne Jugan – known in religious life as Sister Mary of the Cross – had been forced out of her leadership role by Father Auguste Le Pailleur, the priest who had been appointed superior general of the congregation.
In an apparent effort to suppress her true role as foundress, the superior general ordered her into retirement and a life of obscurity for 27 years.
During these years, she served the order through her prayers and by accepting the trial permitted by God.
At the time of her death on 29 August 1879, she was not known to have founded the order, which by then had 2,400 members serving internationally.
Fr. Le Pailleur, however, was eventually investigated and disciplined. St. Jeanne Jugan came to be acknowledged as their foundress.
She was beatified by Pope John Paul II on 3 October 1982. She was canonized by Pope Benedict XVI on 11 October 2009.
She is the patron saint of the elderly. She is a role model for those who care for the poor, the sick, and the aging.
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ilya100ans · 3 years
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Il y a 100 ans
Mars-Avril 1922 - des Annales de Lyre No. 187.
1. Vente de la Maison de Jeanne d’Arc.
REVUE DE MOIS
Du 17 FĂ©vrier au 10 Avril 1922
___________
FRANCE
12 mars. – Eglises dĂ©vastĂ©es. Le 1er emprunt pour leur restauration est couvert en trois jours.
ETRANGER
ANGLETERRE. – 28 fĂ©vrier. L’Angleterre abandonne son protectorat sur l’Egypte, Fuard-Pacha se proclame roi.
HONGRIE. 1er avril. Mort, Ă  MadĂšre, de l’Ex-Empereur Charles de Habsbourg, prĂ©tendant au trĂŽne de Hongrie.
LYRE ET LA RÉGION
MONUMENT ET MÉMORIAL
L’idĂ©e d’un square sur une place est discutable. – Quoi qu’il en soit, notre square n’englobe pas le Calvaire comme une annexe – ce qui vaut mieux – et les pelouses que M. Paris, de la Barre, vient d’y dessiner, s’annoncent bien. L’encadrement de lauriers, les massifs, les plates-bandes, les arbres surtout, quand ils auront quelque hauteur, attĂ©nueront ce que l’obĂ©lisque a de lourd.
L’inauguration aura lieu le 4 juin. – Le mĂȘme jour, inauguration du MĂ©morial de l’Eglise.
NEUVE-LYRE. – MAISON JEANNE D’ARC
 La Maison Jeanne d’Arc – Maison paroissiale de la Neuve-Lyre – avait dĂ» ĂȘtre mise en vente, le 19 dĂ©cembre, au Notariat de Me Renard, avec la propriĂ©tĂ© dont elle faisait partie. Le tout fut adjugĂ© Ă  M. Leclerc, marchand d’antiquitĂ©s, qui a revendu la Maison Jeanne d’Arc, le 12 avril, Ă  M. le curĂ© de la Neuve-Lyre. Celui-ci ne pouvait pas ne pas l’acheter. Il y allait de l’honneur et de l’avenir de la paroisse que cette maison ne devĂźnt pas plus tard, sous le patronage de Jeanne d’Arc, un foyer de dĂ©moralisation .
 Le prix d’achat et les frais dĂ©passant de beaucoup les sommes dont il dispose, M. le CurĂ© a Ă©tĂ© contraint Ă  un emprunt de 3.500 francs, qu’il dĂ©sire rembourser au plus tĂŽt. Il a pleine confiance dans ceux qui ont Ă  cƓur les intĂ©rĂȘts supĂ©rieurs du pays, - si leurs facultĂ©s leur permettent de l’aider. – La souscription ouverte atteint dĂ©jĂ  quinze cents francs. Mmes M. et P. veulent bien se charger de recueillir les offrandes.
Mars-Avril 1922 - des Annales de Lyre No. 187.
2.
BENEDICTION DU CALVAIRE DE BOIS-NORMAND
Le dimanche 19 mars, la paroisse de Bois-Normand put se croire privilégiée.
 Etaient venus bĂ©nir son Calvaire, splendidement restaurĂ©, Mgr du Bois de la Villerabel, archevĂȘque de Rouen, primat de Normandie, et Mgr Chauvin, Ă©vĂȘque d’Evreux, rĂ©pondant gracieusement Ă  l’invitation du zĂšle desservant de la paroisse, M. l’abbĂ© Bretocq, et de M. le vicomte de Channac-Lanzac, proche parent de l’ArchevĂȘque.
 Le temps s’était mis lui-mĂȘme en fĂȘte avec son radieux soleil 
 Heureuse et providentielle circonstance ! car toute la cĂ©rĂ©monie devait se passer en plein air, l’état dĂ©labrĂ© de l’église ne permettant pas d’y introduire l’assistance, que d’ailleurs elle eĂ»t Ă©tĂ© incapable de contenir, malgrĂ© ses vastes proportions.
        Le clergĂ© du canton de Rugles avec son Doyen et plusieurs prĂȘtres des cantons limitrophes, formaient une couronne d’honneur autour des pontifes. Les CharitĂ©s et ConfrĂ©ries des paroisses voisines dĂ©ployaient leurs riches banniĂšres et en tĂȘte de la procession, les pompiers de Rugles et de la Neuve-Lyre marchaient militairement pour apporter leur hommage Ă  leurs grands frĂšres d’armes, morts pour la patrie, auxquels le Calvaire a Ă©tĂ© spĂ©cialement dĂ©diĂ©.
 La chorale des jeunes filles de Lyre, dirigĂ©e par son curĂ© et par M. l’abbĂ© Dabin curĂ© de Bourth, prĂȘtait le concours des ses voix aux chants liturgiques et contribuait Ă  rehausser l’éclat de la cĂ©rĂ©monie 

 
.. EspĂ©rons que grĂące Ă  un Ă©lan semblable Ă  celui qui s’est manifestĂ© pour le Calvaire, le clocher rĂ©parĂ© de Bois-Normand continuera Ă  dominer les vastes horizons qu’il embellit, et Ă©merger, avec sa croix, de l’immuable verdure des sapins 

                           (Chanoine ACARD, Semaine Religieux d’Evreux, du 1er avril)
MARCHÉS
 Lyre. – 24 avril. Beurre, 6 fr. la livre. – ƒufs, 3 fr. 50 la douzaine.
        « Si le bĂ©tail sur pied a baissĂ© de prĂšs de moitiĂ© depuis un an, la viande n’a baissĂ© de moitiĂ© que pour les bas morceaux. Pour le porc, il en est de mĂȘme. » (Journal d’Evreux). – On signale une amĂ©lioration 
. aux Andelys.
 Etat de la plaine. – Une semaine exceptĂ©e, le mois de mars a Ă©tĂ© fidĂšle Ă  sa rĂ©putation : pluies, grĂ©sil, giboulĂ©es. TempĂȘtes le 7 et le 8. 
 Beaucoup de « Mars » se feront en avril ou en mai. Mais la campagne se console : les blĂ©s lĂšvent et les mares sont pleines.
_____________
 SĂ©bĂ©court. – NoyĂ©e accidentellement. – Mme. V, soixante-quinze ans, 
 rinçait du linge, l’autre jour, sur un lavoir bien dangereux ; une planche avançant dans la mare, appuyĂ©e, mais non clouĂ©e, sur deux pieux. A midi et demi, on l’appela au dĂ©jeuner. On aperçut son caboret au-dessus de l’eau : quant Ă  elle, elle Ă©tait noyĂ©e.
 Fidelaire. – Loyer du PresbytĂšre. – En Ă©levant Ă  600 francs, plus les impĂŽts, le loyer du PresbytĂšre, la municipalitĂ© du Fidelaire se figurait sans doute que l’on n’avait pas besoin de se gĂȘner avec les catholiques. L’EvĂȘque ne l’a pas entendu ainsi. M. le CurĂ© du Fidelaire est nommĂ© doyen de Saint-AndrĂ© et le Fidelaire est laissĂ© sans curĂ©. Cela rĂ©jouira les sectaires qui rĂȘvent la destruction de la religion. Nous doutons que cela fasse plaisir Ă  la majoritĂ© des habitants.
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... et l’on prenait le train à Lyre!!!
N.W.
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manualstogo · 5 years
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For just $3.99 Released on September 13, 1961: A madman on an uncharted island kidnaps young people and sets them loose on his island so that he can hunt them down and kill them for sport. Genre: Horror Duration: 1h 32min Director: Ralph Brooke Actors: Wilton Graff (Dr. Albert Balleau), June Kenney (Betty Scott), Walter Brooke (Dean Gerrard), Robert Reed (Johnny Randall), Eugene Persson (Pete Garwood), Joan Lora (Jeanne Perry), Troy Patterson (Captain Tony), Lilyan Chauvin (Sandra Balleau), Bobby Hall (Jondor), Bill Coontz (the insane man in the woods), Harry Wilson (Trophy) *** This item will be supplied on a quality disc and will be sent in a sleeve that is designed for posting CD's DVDs *** This item will be sent by 1st class post for quick delivery. Should you not receive your item within 12 working days of making payment, please contact me so we can solve this or any other questions. Note: All my products are either my own work, licensed to me directly or supplied to me under a GPL/GNU License. No Trademarks, copyrights or rules have been violated by this item. This product complies with rules on compilations, international media, and downloadable media. All items are supplied on CD or DVD.
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quietparanoiac · 3 years
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— Pour rentrer chez moi, j'ai ma bicyclette. — Vous en faites depuis longtemps ? — Et donc ?
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carolejouy · 5 years
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🌈đŸŒč đŸ’Ș🔑🧬 Alors les filles, vous ĂȘtes prĂȘtes Ă  rayonner ??? Et oui, la condition des femmes Ă©volue doucement mais sĂ»rement.Contactez-moi en MP sur Messenger si vous avez un projet Ă  mettre en place đŸŒˆđŸ™đŸ»đŸŒˆ 40 % des entreprises individuelles sont crĂ©Ă©es par des femmes en 2015, contre 38 % en 2014 et 2013. Les femmes sont plus diplĂŽmĂ©es que les hommes : 72 % des femmes sont de niveau Bac+5 Ă  doctorat et MBA contre 62 % en moyenne. L'indice entrepreneurial, la part des Français qui sont dans une dĂ©marche entrepreneuriale, est de 27 % pour les femmes en 2016. Chiffres et donnĂ©es sur les inĂ©galitĂ©s femmes-hommes Partiellement rĂ©actualisĂ© en2017(recherche Google) Les rapports sociaux entre femmes et hommes sont caractĂ©risĂ© selon les pays, par des inĂ©galitĂ©s plus ou moins marquĂ©es, notamment en matiĂšre de reprĂ©sentation politique et d’accĂšs aux postes de dĂ©cision, de niveaux de salaires et d’accĂšs Ă  des emplois diversifiĂ©s, de partage des fonctions dites "reproductives" (sphĂšre domestique : soins aux enfants, repas, mĂ©nage, etc.). D’aprĂšs les Nations unies, partout dans le monde, les violences Ă  l’égard des femmes constituent une entrave majeure au dĂ©veloppement humain et les Etats sont amenĂ©s Ă  lĂ©gifĂ©rer sur cette question. 🌈Dates clés de l'histoire des droits des femmes françaises qui ont lentement acquis les mêmes droits que les hommes, cette avancée est extrêmement récente. Ces quelques repères historiques illustrent la longue marche des femmes vers l’égalité. 1791 : La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne est publiée : « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits ». 1836 : L’ordonnance du 23 juin organise l’enseignement primaire pour les filles. 1861 : Julie DAUBIE est la première femme autorisée à se présenter au baccalauréat.1880 : L’enseignement secondaire est autorisé pour les filles. 1900 : Le barreau est ouvert aux femmes : Jeanne CHAUVIN devient la première avocate. 1907 : Les femmes mariées peuvent disposer librement de leur salaire.1909 : Le congé de maternité (huit semaines) est créé (sans traitement).1938 : Les femmes peuvent s’inscrire à l’université. #startup #entrepreneure #entrepreneur (Ă  Marseille, France) https://www.instagram.com/p/B1VvQ7WHEvX/?igshid=afym5j2gbvh9
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