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#LE BATEAU ESPAGNOL
argentinechili2024 · 7 months
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Découverte de Ushuaia
Le bateau est arrivé à Ushuaia, la dernière ville habitée de l’Amérique du Sud à 7 h. Nous nous sommes levés vers 7 h 45 pour pouvoir avoir le temps de l’explorer avant notre excursion prévue en après-midi.
Bien équipés de nos coupe-vents, tuques et mitaines, nous sommes partis vers 9 h avec le parapluie qui se trouve dans notre chambre. Il pleuvait un petit crachin qui est un peu toujours omniprésent dans cette partie du monde.
Après un arrêt au bureau de tourisme, où on a obtenu une carte de la ville, nous avons fait les principaux points touristiques de l’endroit en deux heures de marche. J’aurais bien aimé visiter l’ancienne prison de la ville, mais nous manquions de temps. On y reviendra (hahaha) sûrement un jour…
J’ai été impressionnée par la taille de cette ville. Je croyais que ce serait vraiment minuscule, avec rien à voir, mais au contraire… il y a même une université ici. Les routes laissent toutefois à désirer. Plein de gros nids de poule où se ramasse l’eau de pluie. Et ça fait splash quand les autos y passent.
Retour au bateau à 11 h. Et les sirènes d’urgence se déclenchent. Elles ne sont pas pour nous, mais pour les employés qui pratiquent la procédure d’évacuation en cas d’urgence plusieurs fois par semaine. C’est vraiment rodé leur système et c’est rassurant de les voir se précipiter à leur poste respectif dès que les sirènes retentissent.
Nous tentons de dîner à la cafétéria, mais celle-ci n’ouvre qu’à midi, et il est 11 h 30. Nous allons prendre un cappuccino et un muffin au café du navire. Puis, retournons à notre chambre ramasser tout ce qu’il faut pour notre excursion. À midi pile, nous nous précipitons vers les gros chaudrons de soupe pour en avaler une rapido presto avant de nous rendre à notre point de rencontre pour l’excursion. Nous nous sommes dépêchés pour rien, car nous poireautons 30 minutes en file d’attente avant d’embarquer dans le catamaran.
Il pleut vraiment très fort, mais ce n’est pas grave, car le catamaran est couvert. La guide nous explique dans un anglais fortement teinté d’accent espagnol ce que nous verrons. Il est très difficile de la comprendre…
Nous avons vu de splendides paysages sauvages et une faune spécifique à cet endroit du monde. Pas de pingouins en vue, cependant. Ils se trouvent plus au sud, dans la partie antarctique.
Nous avons eu la chance de voir plusieurs baleines qui traversaient le canal de Beagle lors de notre retour vers Ushuaia. C’est toujours un grand privilège d’en apercevoir, même si nous avons déjà expérimenté la chose ici même, au Québec, dans l’estuaire du Saint-Laurent.
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Début de notre marche ce matin.
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Point de vue sur la baie et la ville.
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Du haut de l’observatoire.
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Rue principale le samedi matin.
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Voici les fameux pingouins…
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Départ en catamaran pour explorer la faune du canal de Beagle.
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Colonie de lions de mer.
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Ce ne sont pas des pingouins, mais des cormorans.
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Le phare le plus au sud de l’Argentine.
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Queue de baleine lors de notre retour d’expédition. Nous en avons vu plusieurs.
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elleferrocerium · 9 months
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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duxvonzazer · 2 years
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Les historiens ont mis en évidence certains caractères communs à la course corsaire, qu'elle fût européenne ou antillaise.
La course ne concerna que quelques petites métropoles portuaires, toujours les mêmes : Middelbourg, Flessingue, Ostende, Jersey et Guernesey, Dunkerque, Boulogne, Dieppe, La Rochelle, Bayonne, la Martinique et la Jamaïque, Newport en Nouvelle-Angleterre, etc.
Dans ces cités corsaires, les méthodes étaient étrangement identiques. Les navires, les équipages et les armateurs se ressemblaient à s'y méprendre. Sous des noms fort dissemblables : hourque espagnole ou hollandaise, frégate, sloop, cutter, brigantin, goélette, bateau, demi-galère se retrouvaient des navires aux qualités voisines : faible tirant d'eau, légèreté de la construction, grande vitesse, armement réduit. Quelle que fût sa taille, le principe corsaire était cependant que le navire soit armé par des civils. Là réside la raison d'être de la course et en grande partie de la flibuste.
Elle permit à des princes, des villes-États, voire des nations pauvres ou sans tradition maritime, de se constituer une flotte menant une action de guerre contre l'ennemi sans avoir à en apporter le capital. Se doter d'une marine de guerre coûte et coûtait déjà fort cher, plus encore à partir des xvI° et xvi° siècles.
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Jour 36 - Celestún
Réveil matinal pour un tour en bateau dans une zone protégée regorgeant d'oiseaux ! Les flamants roses sont l'argument marketing numéro 1 mais ils ne sont pas forcément présents au mois de septembre. Le temps est couvert alors on croise les doigts !
J'essaie désespérément de tirer Antonio (il a décrété qu'il était espagnol maintenant 🤦🏻‍♀️) hors du lit et il a beau avoir pris un an, c'est toujours un enfant quand il s'agit de réveil 😂
Nous partons donc à bord de notre petit bateau à fond plat (une lancha) pour découvrir la réserve naturelle de la biosphère de Celestún 🌴🐦‍⬛
Nous passons donc devant beaucoup d'espèces d'oiseaux dont le nom nous parlait (même en espagnol) mais alors je ne les ai plus en tête... oupsi 🫣
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Nous continuons la navigation jusqu'au lac où se regroupent les 🦩 . En haute saison - novembre à avril - ils sont présents par centaines !
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Nous passons ensuite dans une mangrove, le décor est vraiment hyper étonnant. Je vous mets au défi de démêler toutes ces branches/racines 🤓
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jojobegood1 · 1 year
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"Les orques frappaient le gouvernail, poussaient le bateau": un équipage suisse témoigne
"Les orques frappaient le gouvernail, poussaient le bateau": un équipage suisse témoigne https://www.rts.ch/info/monde/14185325-les-orques-frappaient-le-gouvernail-poussaient-le-bateau-un-equipage-suisse-temoigne.html
⚠️🤔⚘️
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a2imediagroupe · 5 months
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Enclave de Ceuta : deux passeurs ayant forcé des migrants à se jeter à l'eau condamnés à neuf ans de prison
Deux hommes, pilotes d’un bateau de migrants, ont été condamnés à neuf ans de prison chacun. Le 24 janvier 2023, ils avaient forcé les passagers de l’embarcation à se jeter à l’eau au large de l’enclave espagnole au Maroc. Quatre d’entre eux s’étaient noyés. Deux pilotes d’embarcation ont été condamnés à neuf ans de prison chacun pour leur implication dans la mort, par noyade, de quatre migrants…
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omagazineparis · 6 months
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Quelle probabilité de connaître une nouvelle pandémie dans le futur ?
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Depuis plus d'un siècle, les épidémies de grippe se succèdent, faisant peser la menace d'une pandémie mortelle sur le monde. Quelle est la probabilité pour qu'un nouveau virus voit le jour dans les prochaines années ? Le terme "pandémie" est utilisé lorsqu'une épidémie atteint un très grand nombre de personnes sur une zone géographique étendue. Il y a cent ans, la grippe espagnole a infecté un milliard de personnes.  Cette souche H1N1, extrêmement virulente, a fait entre 50 et 100 millions de morts en un an, soit bien plus que les estimations qui avaient été faites à la suite de l’épidémie de peste noire du XIVe siècle (25 à 45 millions de morts). L'évolution de la médecine nous préservera-t-elle des virus mortels ? Ou notre soif de recherche nous poussera-t-elle à dépasser nos limites dans la création de nouvelles souches destructrices ? Une brève histoire du passé Les maladies infectieuses sont à l’origine de 14 millions de décès chaque année. Les virus proviennent, dans la majorité des cas, de la faune domestique ou sauvage. D’autres sont liées à la réémergence de maladies oubliées en raison d’un déficit de vaccination, de troubles politiques ou de guerres civiles. Les pandémies ont marqué l’Histoire. Elles ont ruiné les économies et anéanti des civilisations. La Banque mondiale a ainsi estimé entre 3,8 et 32,6 milliards de dollars les pertes économiques dues à Ebola pour l’Afrique en 2014 et 2015. Voici les principales épidémies du XXe et XXIe siècle : MaladiesDate d'apparitionProvenanceNombre de décèsGrippe russe1889-90Saint-Pétersbourg1 millionGrippe espagnole1918-20Chine - États-Unis (premiers cas détectés)Entre 20 et 50 millionsGrippe asiatique 1957-58ChineEntre 1 et 4 millionsGrippe de Hong Kong1968-69ChineEntre 1 et 4 millionsEbola1976CongoEntre 11 et 15 000Grippe russe1977-79Chine - Union soviétique0,7 millionGrippe A (H1N1)2009-2010Mexique203 000SRAS2002-2004Chine770 000Covid-192019-21Chine3 millionsGrippe saisonnièreChaque annéePartoutEntre 290 000 et 650 000/anLes pandémies depuis le 20ème siècle. Une menace constante due au réchauffement climatique Avec le réchauffement climatique, les scientifiques observent un déplacement de certaines maladies. La dengue, le chikungunya et le palu, trois maladies infectieuses tropicales transmises par les moustiques, font une marche vers le Nord. D'ici quelques années, elles pourraient se propager et devenir des problèmes occidentaux. Selon l'OMS, "l’incidence mondiale de la dengue a augmenté de manière spectaculaire au cours des dernières décennies. La moitié de la population mondiale environ est exposée au risque". En 2085, elle aura touché plus de cinq milliards de personnes selon les scientifiques. De plus, la fonte des zones arctiques dévoilent une couche composée de glace et de matières organiques : le pergélisol. Il représente près du quart des terres de l’hémisphère nord. Sa fonte relâche du carbone dans l'atmosphère qui, à son tour, alimente le processus du réchauffement climatique. Cela libère également des bactéries et virus alors disparus. En Lakoutie, la Russie creuse le pergélisol à la recherche de diamants. En effet, la fonte des glaces rend désormais l'accès accessible en bateau. Depuis, les Russes creusent des mines pour extraire des ressources telles que le pétrole, l'or et le diamant. Jean-Michel Claverie, professeur de médecine, a découvert en 2014 deux virus datant de 30 000 ans dans le pergélisol sibérien. Il a déclaré être allé "jusqu’à 30 mètres de profondeur, qui correspond à l’âge de Néandertal. Il y a des virus qui sont encore parfaitement vivants, qu’on peut réactiver après 40.000 ans de congélation dans le permafrost. On a pu découvrir que les gens qui étaient enterrés là étaient morts de la variole". La présence de souches génétiquement modifiées dans les laboratoires D’un côté, nous avons les virus naturels créés à la suite d'un changement dans notre façon de consommer. La déforestation emmène de plus en plus d’animaux sauvages dans les villes. Les interactions que les hommes ont avec ces animaux sont la cause de la propagation des virus. La grippe aviaire provient des oiseaux. Le porc est à l'origine de la grippe porcine. Quant au coronavirus, il semblerait provenir d'animaux sauvages comme le pangolin et la chauve-souris. Les zoonoses sont les maladies transmissibles entre l'Homme et les animaux, responsables de 75 % des maladies infectieuses émergentes. Elles peuvent être transmises par le biais de piqûres, morsures, manipulation d'animaux malades, consommation de viande sous-cuite, de lait non pasteurisé ou d'eau contaminée. De l’autre, nous avons les laboratoires qui manipulent des souches dangereuses nécessaires à la recherche et au développement de nouveaux vaccins. Depuis le début de la pandémie du Covid-19, des chercheurs se rendent dans des grottes et capturent des chauves-souris. Le but est de rechercher des virus et de les comparer avec la souche qui nous impacte. Grâce à toutes ces recherches, des vaccins "anti-cancer" sont en phase d'étude. Toutefois, il faut sans cesse se préparer à une éventuelle fuite. https://twitter.com/LMPositif/status/1382332821792968704 L'amélioration de la médecine provoquera-t-elle une baisse de l'émergence des épidémies ? Ces dernières années, la marchandisation et le tourisme augmentent la probabilité de contamination à l'échelle mondiale. Cependant, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) soutient près de 350 laboratoires sur le territoire français. Avec un budget initial en 2020 de 927,28 millions d'euros, l'ensemble des équipes regroupent 14 000 chercheurs. Répartition des domaines de recherche en santé de l'Inserm. Après avoir drastiquement réduit les épisodes de guerres, de famines et de pandémies mortelles, notre espérance de vie a doublé en un siècle. Les recherches dans le domaine de la santé ont également participé à améliorer nos conditions de vie. Ainsi, en 2017, l’espérance de vie en France atteignait 79,5 ans pour les hommes et 85,4 ans pour les femmes. Au début du 20e siècle, elle s'élevait à 48 ans. En décembre 2020, des chercheurs annonçaient des résultats prometteurs dans une première phase d'essai clinique pour un vaccin universel contre la grippe. Un vaccin innovant, conçu pour être efficace contre toutes les souches du virus de la grippe, pourrait voir le jour dans les prochaines années. Une autre alternative telle que le CRISPR permettrait aussi de supprimer des maladies porteuses chez les moustiques comme le palu, en utilisant la modification génétique. Au niveau gouvernemental, le Sénat se mobilise régulièrement afin d'établir des mesures de gestion en cas de crise sanitaire. En 2010, il publiait un rapport sur l'imminence d'une contamination majeure de la grippe H5N1. Malgré la menace de l'émergence de nouveaux virus, l'évolution de la médecine n'a jamais été aussi propulsée qu'aujourd'hui. Cela laisse encore beaucoup de travail à l'Homme pour tenter de percer tous les mystères des virus et des bactéries. Read the full article
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alexisgeorge24 · 7 months
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2 mars:
Bus le matin pour la ville de Temuco puis 2e bus pour le village de Melipeuco à l'entrée du parc Conguillío. Je comptais bivouacer dans le parc mais j'arrive trop tard pour espérer trouver un stop pour y aller. Camping au village donc, moins sexy que prévu mais la vue sur le volcan Llaima au couché du soleil est d'un bon réconfort.
3 mars:
Pour aller au parc qui est à 27km de route + piste de Melipeuco j'ai le choix entre taxi, faire du stop ou louer un vélo. Mon genou ne s'étant toujours pas bien remis du choc et le stop m'assure-t-on fonctionne très bien, je loue un VTT... 700m d+ à faire en majeure partie sur un chemin en terre cabossé, sous le soleil et la chaleur, des voitures m'envoyant leur poussières en doublant, le genou qui tire, la selle qui me torture, je fais ça plus pour le sport que pour le confort d'être autonome. Après quelques pauses pour voir lacs, cascade et vues sur le volcan encapé par une mer de lave etteinte, j'arrive enfin au début du sentier de rando que j'avais repéré (def. encaper: enrober comme une cape un mousquetaire. Malheureusement ce verbe existe vraiment est n'a rien à voir avec la définition que j'invente). J'effectue donc ma dernière monté de mon congé sabbatique au mirador de la Sierra Nevada. Le panorama est digne d'un clap de fin de cette belle année remplie de paysages montagneux. Araucarias, lac, volcan, glaciers, tout y est. Le retour se fait bien plus facilement que l'aller, merci Newton. Pourtant en vélo je n'avancerai pas très vite, non pas parce que je me suis mangé "un mur", mais parce que je tombe sur "des mûres" ! Oui c'est nul, mais ça fait 15min que je rumine avec "manger", "mur" et "mûres" et mon obsession m'empêche de passer à autre chose sans avoir tenter un jeu de mot. Bref je mange mon poid en mûre. De retour au camping je papote avec le seul autre campeur qui m'offre une bière. Je me rends compte tout de même que mon niveau en espagnol a progressé en 6 mois malgré le peu d'interactions sociales avec des homos sapiens sapiens.
Bilan: 54km, 800m d+ (VTT) / 12km, 600m d+ (pied)
4 mars:
Bus pour Temuco où j'y passe l'après midi. Les très peu d'attractions touristiques à visiter sont fermées et je glande dans cette ville sans charme. J'y mangerai cependant les meilleurs empanadas de ma vie au marché Mapuche ("indigène"). Le soir je prends un bus de nuit pour Valparaíso.
5 mars:
J'arrive à Valparaíso de nuit à 6h30. J'attends que la lumière se fasse et me dirige vers mon hostel. Je redecouvre les joies d'une grande ville, de la pollution, des voitures, des immeubles, des rues de magasins, etc. En fin de matinée je me baladerai aléatoirement dans la ville aux 40 colinnes située au bord de la mer. Valparaíso étant réputé pour son street art et ses graffitis, c'est avec plaisir que je découvre celle jolie ville tout aussi urbaine que colorée. Pas une rue n'a pas un grand graffiti. C'est pas du Diego Rivera mais l'ensemble des œuvres murales donne une forte identité artistique et sociale qu'on découvre sur des km. Je visite aussi le Museo Universitario del Grabado où sont exposées des oeuvres de gravures (sur tout type de support), rien de transcendant mais je découvre cette technique de peinture, puis le Palacio Baburizza, un bel édifice où sont exposées de très beaux tableaux européens et chiliens du siècle passé. Ayant dépassé mon quota de culture pour la journée, en fin d'après midi je compense en regardant le PSG en ligue des champions. Ils gagnent et j'en suis satisfait.
6 mars:
Je reprends mon parcours culturel du Chili en allant à la Isla Negra, à 1h30 de Valparaíso, pour visiter la maison que Pablo Neruda a construit pour méditer et écrire ses poèmes au son, odeur et vue des écumes des vagues. La maison rappel la forme d'un bateau puis d'un wagon et sa décoration est à la hauteur de son œuvre littéraire (que j'ignore admettons le, mais il détient un prix Nobel, donc ça ne doit pas être de la merde). Des collections de statues de proue, de pipes, de masques, de maquette de bateau, de verre, d'insecte, de coquillage, etc. Chaque pièce est richement décorée mais on ne s'y sent pas envahie. De retour à Valparaíso je fais enfin un break gastronomique dans un restaurant et je réveil mon sens de la gustation, et de manière plutôt agréable. Pour le coucher de soleil je grimpe aux hauteurs des collines et appercoit une jolie vue d'ensemble sur le port industriel, la baie et la ville colorée qui s'étend sur toute la côte. Par contre je me dépêche de redescendre avant la nuit vers le centre animé car j'ai l'impression d'être dans une favela déserte. Le soir je bois des pintes de bières dans une brasserie de quartier où je papote avec 2 chiliens. Ils parlent vite, ont un bon accent chilien, sont déjà bien alcoolisés, un concert de rock est en court au bar, je comprends un mot sur 5. Néanmoins j'arrive à tenir 2 heures à faire semblant de comprendre.
7 mars:
Je finis la visite de la ville avec le musé maritime puis la maison de Pablo Neruda à Valparaíso (sa 2e donc que je découvre). De belles vue sur la ville et le port industriel avec ses grues en marche avant de quitter "Valpo" pour Santiago. Le soir je m'éclate le bide avec une pièce Tomahawk de 1kg.
8 mars:
Ballade dans Santiago où je visite entre autres le musé d'histoire, celui d'art précolombien, la maison de Neruda (sa 3e donc) et le Cerro San Cristóbal en funiculaire. Le soir je prendrai des verres avec Guillaume dont j'ai fait la connaissance à mon hostel et avec qui je m'entends très bien.
9 mars:
Je me réveil à 12h00 juste pour aller manger des sushis. Partout dans la ville on en trouve de très bons, en grande quantité et pour pas cher; je ne pensais pas trouver le paradis du Sushi au Chili. Puis je retourne faire une sieste pour le reste de la journée. En fin d'après midi je me baladerai dans la ville pour finir la visite de la ville avec comme épilogue des Andes, une vue depuis le Cerro Santa Lucía. J'ai l'impression d'y voir sa majesté Aconcagua. Le soir je dîne en dégustant l'autre spécialité du Chili: la cuisine peruvienne.
10 mars:
Vol pour Lima. Au décollage les Andes me font leur dernier coucou et cette fois je suis certain d'y voir l'Aconcagua qui domine nettement ses voisins. Arrivé à Lima je fais un tour aux marché artisanaux pour chercher des souvenirs mais c'est soit de la mauvaise qualité pour touriste soit très (très) cher. De manière générale j'avais oublié combien Lima était cher, presque autant que le Chili finalement. Je prends aussi conscience de l'avantage d'avoir sillonné l'Amérique du Sud en bus afin d'y voir les transitions de cultures progressivement; en avion c'est un changement brutal que je constate entre le Pérou andin et le Chili occidental.
11 mars:
Je glandouille toute la matinée au hostel et l'après midi je visite le site archéologique de Huaca Pucllana où se sont succédés les civilisations Lima, Wari et une autre dont j'ai oublié le nom. Le soir je mange mon dernier ceviche et autres mets péruviens avant de me diriger vers l'aéroport. Je suis heureux de rentrer pour retrouver mon quotidien et c'est sans plus d'émotions que je prends l'avion. Comme d'habitude il faudra attendre pour prendre conscience de la richesse de ce voyage sans précédent.
Mamba out.
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Dimanche 17 décembre 2023
Ce matin, la dépression était presque partie, mais nous avons quitté Fort Lauderdale pour rejoindre St Augustine, à 4 heures de route plus au nord. Puisqu’elle migrait dans la même direction, nous l’avons suivie un peu contre notre gré. Rien de comparable à ce que nous avons eu hier, mais le début d’après-midi a été encore sous le ciel gris avec un peu de pluie et du vent.
St Augustine est la plus ancienne ville fondée par des européens sur le territoire des États-Unis : l’espagnol Pedro Menéndez de Avilés (monument sur le photo 3) s’y est établi le jour de Saint Augustin, le 28 août 1565 (pour l’anecdote, il a dû combattre et chasser des Français qui avaient choisi un emplacement à peine plus au nord pour leur colonie). La région de St Augustine marque aussi les débuts de l’histoire de l’implantation des européens sur le continent nord-américain puisque le conquistador Juan Ponce de León avait été le premier européen à reconnaître le territoire, le 27 mars 1513, jour du Dimanche des Rameaux, nommé Pascua Florida (Pâques des fleurs) dans l’espagnol de l’époque : le nom fut donné à la terre aperçue ce jour-là, Florida.
St Augustine a également été un lieu de prédilection pour le richissime homme d’affaire Henry Flagler (1830-1913), ayant fait fortune dans le pétrole aux côtés de Rockefeller et comme créateur du réseau de chemins de fer de la Floride. Il a notamment fait construire le luxueux hôtel Ponce de León (photos 1 et 2), de style renaissance espagnole, à la fin des années 1880. Pour y séjourner du début janvier au début avril, on ne demandait que la coquette somme de 4000$ comptant, soit environ 127 000$ d’aujourd’hui. Lors de notre visite, nous avons pu admirer la magnifique coupole surplombant la rotonde du hall (photo 4), ainsi que les vitraux réalisés par Tiffany dans la salle à manger (photo 5).
Nous avons également marché dans le cœur historique de la ville, notamment sur St George Street, où l’on peut voir plusieurs bâtiments du 18ème siècle (photos 6 et 8). Parmi ceux-ci, l’un attire particulièrement l’attention (photo 7): une inscription y mentionne “The oldest wooden school house in the USA”, ce qui ne serait pas exact, mais l’édifice aurait été construit entre 1702 et 1716 d’après ce que j’ai trouvé en ligne. Le plus intéressant, c’est de constater que la maison est enchaînée et attachée à une ancre de bateau, qu’on peut voir en bas à droite. Le tout aurait été installé dans les années 1930, pour ne pas que l’édifice parte au vent pendant les ouragans !
Enfin, St Augustine organise un grand festival de lumières de Noël. Nous avons pu en voir énormément, mais la plupart du temps, elles sont bien difficiles à photographier convenablement. Il faut dire qu’il y a foule pour l’événement et qu’on se pile sur les pieds un peu partout. Bref, deux seules images (photos 9 et 10), qui ne sont pas représentatives de l’opulence dont nous avons pu être témoins. Nous revenons à St Augustine pour la nuit de vendredi à samedi: peut-être vais-je réussir à prendre quelques images plus intéressantes. Pour l’instant, nous nous tapons 8 heures de route lundi pour rejoindre la Nouvelle-Orléans.
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argentinechili2024 · 7 months
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Deuxième journée à Puerto Madryn
Levés à 8 h, nous nous sommes dépêchés pour débarquer du navire afin de marcher jusqu’à l’Écocentre, situé à 4,4 km de nous. Bonne petite brise encore ce matin, mais tout de même un peu moins venteux.
À côté du bureau du tourisme, il y avait deux danseurs de tango en plein air. Ils étaient pas mal, mais pas aussi bons que le couple de danseurs d’hier soir sur le bateau.
Nous avons marché d’un bon pas vers le musée. Sur le chemin, nous avons rencontré deux chiens errants qui s’amusaient à poursuivre les autos qui roulaient sur la route. J’ai bien cru que l’un d’eux se ferait frapper, mais les conducteurs ralentissaient et essayaient de poursuivre leur chemin sans les écraser. Je n’avais jamais vu ça! Où ces chiens ont-ils appris ce comportement?
Nous avons été accueillis au musée comme si nous étions attendus avec impatience. Je crois que nous étions les premiers visiteurs de la journée. Il y avait un étudiant en biologie et une dame qui lui servait d’interprète. Elle nous a dit être une traductrice qui travaillait au musée à temps partiel.
Nous avons appris quelques faits intéressants sur les baleines du coin. Nous avons entendu leur chant et appris également que les fonds marins de la baie où nous nous trouvons actuellement sont plus profonds que ceux de la mer.
Nous sommes revenus en partie sur la plage avant de reprendre notre chemin habituel sur la rambla. Notre promenade a duré un bon quatre heures en tout. Comme j’ai eu des problèmes intestinaux la nuit dernière et ce matin, j’ai jugé plus sage de ne rien manger sur la terre ferme et de revenir plutôt dîner sur le bateau.
Nous reprenons la mer à 17 h et nous ne toucherons de nouveau terre que samedi, à l’autre bout du monde.
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Danseurs de tango en plein air à côté du bureau du tourisme.
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En s’en allant au musée, une dame nous a proposé de nous prendre en photo. Au loin, on voit notre bateau et celui de NCL qui est arrivé ce matin.
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Sur le chemin du retour, statue de l’indien de la tribu Tehulche, peuple qui habitait la région avant la venue des Espagnols.
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Du haut de la falaise, on voit une partie de la baie.
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Ces trous de grotte constituent les vestiges des habitations d’une centaine d’immigrants de la région de Welsh en Angleterre. Ils y ont vécu quelque temps avant de s’établir plus loin dans les terres. Il y avait d’ailleurs une excursion qui nous conduisait dans leur village si on le souhaitait.
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christophe76460 · 11 months
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Tout ira bien ! 5
Le vaccin
C’est étonnant pour nous, tout à coup, le monde entier a quelque chose de commun : un p’tit virus. Pas une version bridée pour la Chine, une hollywoodienne pour l’Amérique, une colorée pour l’Afrique et une… propre en ordre pour la Suisse. Non. Tous le même.
Tous touchés, tous arrêtés, tous de la même façon. Tous sans exception… et sans aucun remède.
Une mondialisation par la maladie qui me fait penser que, face à elle, et finalement face à la mort… on est tous dans le même bateau. Pas de différence de culture, de couleur de peau, de statuts. On est tous égaux à ce niveau-là.
Tous les laboratoires se sont mis en route pour être le premier à trouver LE remède, la parade…
Je me surprends à penser que, celui qui va développer le vaccin, pourrait devenir le maître du monde.
Et pourtant, à bien y réfléchir, c’est pas une première ! Et je ne pense même pas à la grippe asiatique, ni espagnole, ni à la peste, ni à la peste noire… Il y a eu un premier virus qui nous a tous atteints. Absolument tous ! Un virus rassembleur, universel, intemporel. Mais, celui-là, ça fait tellement longtemps qu’il s’est installé en nous qu’on s’y est adaptés. Tellement longtemps qu’on l’a négligé, oublié, jusqu’à croire qu’il n’existe pas.
Et pourtant, les conséquences sont les mêmes que pour notre virus actuel : angoisses, peurs, souffrances, isolements, maladie… et toujours, au bout, la mort.
Un jour ou l’autre, il se rappelle à nous. Alors, comme pour le Covid-19, on cherche, on cherche un peu partout, un peu n’importe où, le fameux antidote, le moyen d’aller mieux… le moyen d’éviter la mort.
Et pourtant, pour ce virus-là, le vaccin a été donné. Pas trouvé, mais donné, parce que l’enjeu de ce vaccin-là n’est pas la puissance, l’argent ou la domination. Son enjeu c’est l’Amour, parce que ce vaccin-là a coûté le prix fort à Dieu. Sacrifice d’Amour testé par Lui-Même. Ce vaccin-là a coûté la vie du Fils.
Mais Le Fils a su résister et gagner sur la mort, alors le vaccin a été approuvé, pour nous.
Jésus a été notre vaccin contre le péché et Il est devenu définitivement Le Maître du monde. Et il n’y en aura pas d’autre. Tant pis pour les chercheurs de tous bords !
Jésus, Prince de Paix, qui peut et veut devenir ton antidote si tu le choisis pour qui Il est : Dieu, Sauveur… et Maître.
Est-ce que tu voudrais vraiment refuser ce vaccin ?
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valavelo · 11 months
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J34 ~ "Nada mejor que volver a casa"
Faro~Huelva (111km)
Le mauvais temps s'est calmé et me laisse reprendre mon chemin. Après un petit tour sur les quais du port de Faro, me voilà reparti. Je prends la route pour gagner du temps. Dernier jour sur les routes portugaises, ça vaut bien de prendre encore quelques risques.
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J'arrive assez tôt à Vila Real de Santo António, la dernière ville avant l'Espagne. Ici il faut prendre un ferry pour Ayamonte en Espagne. Le bateau est bien plus petit que ce que j'avais imaginé. Sur le ferry je rencontre un couple d'allemands assez âgés. La communication n'est pas évidente car ils parlent encore moins bien anglais que moi ! J'arrive quand même à comprendre que le monsieur a réalisé des films documentaires sur Hambourg et que je devrais les trouver sur Youtube. Embarquement sur le ferry à 13h30 pour une traversée d'un quart d'heure; arrivée côté espagnol à 14h45 (C'est ça la magie des fuseaux horaires).
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Me voilà du côté espagnol et honnêtement, j'ai un peu l'impression d'être rentré à la maison. Il faut le dire, ma maîtrise du portugais est plus qu'approximative, ce qui n'aide pas à entrer facilement en contact avec les gens. Et puis il y a la route, source d'insécurité, de stress et d'énervement. Rouler à nouveau en Espagne est vraiment très plaisant. Cela demande un petit temps d'adaptation. Je trouve les automobilistes tellement courtois de ce côté-ci qu'ils en paraissent un peu mous !
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Je traverse maintenant une zone de marais très sauvage. Le parcours est rendu un peu difficile par les fortes pluies de la veille qui ont transformé le chemin en pédiluve. Il me faut slalomer sans cesse entre d'énormes flaques d'eau. Je tente de récupérer une route afin de me donner une chance d'arriver à Huelva avant la nuit.
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À l'approche de la ville, je choppe le wifi d'un Mc Donalds pour repérer un hotel disponible où me poser. A Huelva c'est vendredi soir le centre ville est très animé. Sur la Plaza de las Monjas il y a toutes les générations, des enfants qui jouent au foot aux anciens vissés sur leur bancs qui discutent en parlant fort. Tout autour de la place, rien que des bars et restaurants aux terrasses pleines à craquer. C'est aussi tout ça qui contraste avec l'ambiance un cran plus sage de toutes les villes où j'ai pu passer au Portugal.
🎶 Dans le ferry, le commandant met la radio à fond, alors ça reste en tête :
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yespat49 · 1 year
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Des migrants secourus par un navire néerlandais se retournent contre l’équipage et menacent ses membres avec des couteaux (MàJ)
06/10/23 Certains d’entre eux ont finalement été arrêtés par la police locale de Fuerteventura, dans les Canaries, a indiqué jeudi Vroon Offshore Services, propriétaire du bateau concerné. Selon les médias espagnols, neuf migrants ont été interpellés pour soupçons de piraterie. La compagnie explique que son navire de soutien offshore a répondu à un appel de détresse au large des côtes marocaines…
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biereetboutades · 1 year
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Voyage Espagne 2023 - Fin et Bilan
Le reste du séjour, on a assez peu fait d'activités... à part une.
Nous sommes retournés à Cambrils pour faire du bateau. Vous avez plusieurs options pour aller vous balader mais nous on a choisi la formule fin d'après-midi chez Creuers Costa Dorada. Ils sont supers sympas et drôles. On part à 16h du port pour naviguer sur un catamaran pendant une petite heure en longeant la côte. On s'arrête une heure pour pouvoir se baigner. Et ensuite on rentre au port. Musique et open bar pendant toute la durée, super ambiance.
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Au retour, on fait un petit tour dans les rues commerçantes de Cambrils et je m'arrête dans la boutique Sabor a España pour acheter une cargaison de Turron (si j'en ramène pas pour les collègues, je vais me faire lyncher). Je prends donc un assortiment pour le boulot, et pour ma petite gueule j'en prends une barre à la pistache et une barre à la myrtille (à l'heure où j'écris ses lignes je ne suis pas encore rentrée chez moi donc je n'ai pas encore goûté mais je vous tiens au jus). Bonne nouvelle, je viens de découvrir qu'ils ont une boutique en ligne !
Sinon à part ça, nous sommes aussi allés au marché de L'Hospitalet de l'Infant, connu pour être vraiment le marché des contrefaçons. Mais c'est aussi un vrai grand marché aussi bien alimentaire que vestimentaire et autres babioles. Il y avait énormément de monde et on crevait de chaud, donc on s'est arrêté sur la plage boire un coup dans une payote.
On a aussi été acheter de l'huile d'olive (en vrai c'est surtout ça que j'attendais) à la coopérative de Mont-Roig. Si ça vous intéresse, la marque c'est Olis Solé. Là aussi je vous dirais si c'est bon. J'ai pris un bidon parce que bon je viens pas en Espagne tous les jours hein.
Voilà pour le tour des activités.
☀️🏖️☀️
Bilan :
Cela fait du bien de partir en vacances, ça fait une éternité que je n'étais partie. Par contre, plus jamais je pars avec mes parents. J'avais oublié qu'on ne se supportait pas très longtemps... Mais c'est une destination que je referais volontiers avec des amis !
Je pense que si vous ne voulez pas faire beaucoup de kilomètres pour visiter, il vaut mieux prévoir une semaine, pas plus. La zone est tout de même un peu moins touristique que Lloret de Mar par exemple.
Les bémols maintenant. Les routes sont atroces. Il faut s'accrocher à son slip pour ne pas se cogner la tête dans la voiture tellement il y a de nids de poules, de bosses, et ils adorent les dos d'ânes qui sont violents. Selon où vous allez, les rues et les plages sont assez crades. De notre côté à Miami Platja il y a énormément de détritus sur le bord des routes, dans les chemins, sur la plage... Rien n'est jamais nettoyé et les gens sont des porcs. En revanche dans les villes plus "touristiques" comme Cambrils, c'est un peu plus propre. Les égouts puent tout le temps. Il faut le savoir, les infrastructures espagnoles sont assez vétustes et les odeurs bien présentes. Pour finir, on voit bien qu'il n'y a pas d'équivalent des bâtiments de France en Espagne. Les développement des villes, des constructions, l'architecture... tout est un peu au petit bonheur la chance. On a visité des lieux magnifiques gâchés par les constructions autour qui ne ressemblent à rien. Il n'y a aucun plan de conservation du patrimoine, même si cela tend à changer dernièrement.
Néanmoins, il y a beaucoup de belles choses à voir, surtout si vous aimez la vieille pierre, les petits chemins cachés, et le patrimoine en général. On a très bien mangé et les gens sont très sympathiques. Les commerçant sont très accueillants et font beaucoup d'effort pour dépasser la barrière de la langue (après j'ai appris à commander une bière, je peux désormais survivre en autonomie). On arrive à trouver pas mal d'activités et de restaurants pas chers du tout.
Bref, c'est une destination à faire au moins une fois. Si je n'étais pas logée gratos par ma maman, honnêtement, je ne suis pas sûre que j'y retournerais une seconde fois. Mais ça restera une belle semaine et demi dont je me souviendrais.
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tma-du-taomapa · 1 year
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VISITE DU RESTE DE G.C. (SUITE&FIN) : SARDINA & CENOBIO DE VALERÒN
Le dimanche 20/08/2023, dernier jour de location de la voiture, nous sommes retournés nous baigner à SARDINA, comme nous l'avions programmé en début de semaine ; mais après avoir déjeuné, nous avons visité un petit site archéologique...
On se souvient de SARDINA, le "célèbre" port du nord où il n'y a aucun bateau : on l'aperçoit en haut et à droite sur la photo ci-dessous
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Et voici une vue de la petite plage naturelle de sable clair (alors que, par exemple, le sable clair de la plage de ARGUINEGUIN a été entièrement livré par camion-benne)
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Après la baignade, nous avons bu
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et mangé dans un petit restaurant de SARDINA, dont la spécialité était évidemment....
.... le poulpe ! Il va sans dire que nous avons quand même goûté les sardines locales qui étaient délicieuses.
Ensuite, avant de rentrer sur LPGC par de nouvelles petites routes, nous avons visité à SANTA MARIA DE GÜIA ce qui avait paru être un monastère (cénobio en espagnol+penser aux moines cénobites) et qui s'est avéré être un grenier à grains ; et même du grain prélevé au titre de taxes...Il fut construit avant la période romaine, et les habitations (reconstituées) intégrées au site étaient celles des gardiens qui "veillaient aux grains" comme disent les marins ! Voici quelques vues en plus de celle de l'en-tête. Ici une habitation
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et là quelques silos fermés
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et quelques silos ouverts
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Cet amas de silos était gardé et disposé en hauteur, donc camouflé, pour ne pas attirer les voleurs (pirates et autres). Voici à présent une vue plongeante donnant une idée de la hauteur
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et pour terminer un jeune dragonnier (datant de 1974, loin des 500 ans d'âge qu'ils peuvent atteindre) avec M. à ses côtés :
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En quittant ce site, nous sommes allés dans le centre historique de LPGC manger une bonne vraie glace artisanale
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C'est avec ce souvenir rafraîchissant que j'interrompt ce blog une fois de plus...
Je remercie mes 10 millions d'abonnés d'avoir eu le courage et la patience de me suivre !
R.
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a2imediagroupe · 1 year
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Un canot avec à son bord 280 migrants, parti du Sénégal, débarque aux Canaries
Près de 300 migrants sont arrivés mardi à bord d’un seul et même bateau sur une île de l’archipel espagnol des Canaries. La pirogue surchargée a pris la mer depuis les côtes sénégalaises. Il s’agit du plus grand nombre de passagers jamais arrivés sur une seule embarcation. C’est un débarquement hors norme. Mardi 3 octobre, 280 migrants à bord d’une même pirogue sont arrivés sur l’île d’El…
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