Tumgik
#Macron a fait des sans domicile fixe
archange-news · 4 months
Text
L'actualité de ce mardi 9 janvier !
Bonsoir tout le monde 👋,
On termine avec un tour de l'actualité de ce mardi 9 janvier ! :
En brief:
Les géants de l’électronique à Las Vegas Le CES est devenu en quelques années le grand rendez-vous mondial de la technologie. Il a ouvert ses portes à Las Vegas. 4.000 entreprises y présentent leurs derniers projets. Environ 130.000 participants sont attendus.
Un masque pour le prévenu Aux Etats-Unis, un détenu comparaît avec un masque à la Hannibal Lecter! La semaine dernière Debora Redden a sauté sur une juge de Las Vegas et l’a agressée en pleine audience. Hier il a retrouvé la magistrate, entravé par des chaînes. Il sera jugé jeudi pour son attaque contre elle.
Séisme au Japon : le nouveau bilan Les autorités locales du centre de l’archipel, où le séisme du 1ᵉʳ janvier a fait au moins 202 morts et 565 blessés, ont revu le bilan des disparus à la hausse. Ce dernier a quasiment triplé : 323 personnes manquent à l'appel. Principalement originaires de la ville de Wajima, l’une des plus durement frappées par le tremblement de terre.
L’affaire Théo aux Assises Grièvement blessé à l'anus par une matraque télescopique lors d'une interpellation violente. 7 ans après, l'agression du jeune Théo Luhaka à Aulnay-sous-Bois, le procès des 3 policiers impliqués s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises de Seine Saint Denis.Le fonctionnaire auteur du coup de matraque a exprimé ses regrets.
Gabriel Attal nommé Premier ministre L’ancien ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal a été nommé 1er ministre par Emmanuel Macron. gé de 34 ans, il devient le plus jeune premier ministre de la Vème République. Après un entretien avec Elisabeth Borne, la passation de pouvoir s'est déroulée sur le perron de Matignon. Un passage de relais très politique pour le nouvel entrant.
Trump prédit un « chaos dans le pays » si la justice rejette sa demande d’immunité pénale Alors que Donald Trump tente d’obtenir une immunité pénale après ses tentatives d’inverser le résultat de l’élection de novembre 2020, les trois juges de la Cour d’appel de Washington ont exprimé leur scepticisme face à cette demande.
EQUATEUR Des hommes armés ont fait irruption sur le plateau d'une télévision publique (TC) à Guayaquil (Equateur), prenant en otage des journalistes et d'autres employés, libérés ensuite par la police. Le président Daniel Noboa a déclaré son pays en état de "conflit armé interne" et ordonné la "neutralisation" des groupes criminels impliqués dans le narcotrafic, selon un décret rendu public.
CLIMAT L'année 2023 a été la plus chaude jamais enregistrée, selon le service européen Copernicus, la température moyenne dépassant de 1,48°C le climat de l'ère pré-industrielle.
FROID La France connaît l'une des journées les plus froides depuis six ans. Des chutes de neige, de la Normandie à Paris, vont continuer à compliquer le trafic routier en Ile-de-France dans la soirée. Une femme sans domicile fixe est morte dans le Vaucluse. Il n'y a plus que sept départements en vigilance orange neige-verglas selon Météo-France.
GAZA En visite à Tel-Aviv, Antony Blinken a demandé au Premier ministre Benjamin Netanyahu d'épargner les civils palestiniens à Gaza. Selon le chef de la diplomatie américaine, Israël doit également cesser de "saper la capacité des Palestiniens à se gouverner efficacement"
Alors que la guerre contre le Hamas se poursuit à Gaza, l'armée israélienne a annoncé, début janvier, passer à la troisième phase de son opération avec des actions plus ciblées, sensées réduire l'intensité des combats dans l'enclave palestinienne. Yohanan Tzoreff, chercheur à l'Institut d'études de sécurité nationale à Tel-Aviv, livre son analyse sur ces trois premiers mois du conflit.
SENEGAL Si le Sénégal multiplie les victoires avec ses sélections de joueurs (CAN 2022, CHAN 2023, CAN U20 et U17 2023), ses clubs sont à la peine dans les compétitions continentales. La faute à un modèle entièrement tourné vers la formation et l'export de joueurs au détriment de la compétitivité des équipes locales. La CAN 2024 en est une nouvelle preuve : les 27 Lions de la Teranga sélectionnés évoluent tous hors d'Europe au quotidien.
PLANETE Dans son bilan annuel publié mardi, l'observatoire européen Copernicus a indiqué que l'année écoulée a été 1,48°C plus chaude que le climat de l'ère pré-industrielle, confirmant que 2023 est bien l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
SNCF La SNCF a mis en vente ce mardi près de 100 000 billets de train Ouigo à 19€ ou moins. L’offre est disponible jusqu’à ce mercredi, pour des voyages prévus entre le 10 janvier et le 8 février. Elle concerne + de 50 destinations en France comme Lille, Marseille ou Montpellier Pour en profiter, ici https://www.ouigo.com/content/ventes-flash-janvier?gad_source=1
C'est tout pour aujourd'hui. À très vite avec d'autres informations
0 notes
blog59-world · 2 years
Text
1 note · View note
lily-yvonne · 4 years
Text
L’ATTENTE DU ROI
Votre serviteur vient expliquer à présent une autre vision extraordinaire, reçue en date du 28 décembre 2003. Incroyable soit-il, ce phénomène est absolument authentique et je vous promets que je n’invente rien !…Cet événement s’est passé un dimanche, au retour de la messe en l’église de G. Il était environ 12 h 10, au moment même où je suis arrivé à mon domicile. J’ai senti soudain une très grande fatigue. A tel point que mes jambes avaient du mal à me porter. Non sans difficulté, j’ai malgré tout monté les escaliers dans le but d’aller me reposer quelques instants. Il était 12 h 15 lorsque je me suis allongé sur le lit. Aussitôt que mes yeux avaient été fermés est apparue une vision très particulière. ( Je précise que c’est bien une vision et non pas un songe car, durant cette apparition, j’ai ouvert les yeux plusieurs fois et le phénomène était également présent ). Cette vision s’est produite en trois temps consécutifs :
1— J’ai d’abord vu dans un « ciel » ou un espace nébuleux ( un peu comme dans une masse grise nuageuse ), apparaître une grande étoile d’or à 6 branches. Chacune de ces branches projetaient 3 rayons blancs lumineux, aussi éclatants que la foudre. A l’intérieur de cette étoile, en son centre, tournait un soleil. Lui-même, dans son évolution, projetait à l’extérieur une multitude de petits rayons étincelants, mélangés d’or, de jaune et de blanc. C’était superbe, d’autant que cette vision était agréable à regarder du fait qu’elle n’était pas aveuglante. Ce spectacle féerique était même reposant, je me sentais bien et j’étais très détendu.
2— Sous l’étoile, apparu soudain un personnage. Apparition qui s’est produite très exactement au milieu de la pointe du bas de l’étoile, sous la projection des 3 rayons blancs. L’accoutrement de cet homme était étrange. Il était habillé d’une armure de l’époque médiévale. Son casque lui enveloppait la tête. Je ne voyais que des petits trous au niveau de la face inférieure. Néanmoins, deux ouvertures permettaient de distinguer des yeux bleus. ( Je me rappelle de la couleur des yeux parce que, dans cette vision, je me suis rapproché de la tête du personnage, et c’est ce qui m’a permis d’obtenir ce détail ). En revanche, son regard n’était pas posé sur moi, mais il était perdu dans le lointain. Le dessus de son casque était plat, où était posée en avant une plume blanche et droite. Elle paraissait faire corps avec le rayon blanc central de la branche de l’étoile, ce qui rendait la plume encore plus lumineuse. De même que tout le corps du personnage rayonnait de cette lumière d’un autre monde. Il était comme « transfiguré » ! Il avait une cape blanche et sur le tissu, au niveau de l’épaule gauche, était imprimé une croix rouge qui semblait être de Malte. Son armure était faite d’un métal brillant, analogue à de l’acier inoxydable. Au centre du thorax, une croix en métal d’or ostensible était incrustée dans l’armure. Sur cette croix étaient plantés cinq clous ronds et convexes, en métal blanc. ( Quatre aux extrémités et un au milieu de l’intersection des branches de la croix ). Sa main droite, dans un gant blanc, était posée sur le pommeau d’une épée bien verticale, dont la pointe de la lame était enfoncée dans le sol. Son bras gauche, à peine perceptible, était caché derrière un grand bouclier. Ce bouclier, large en haut et se terminant en pointe, dont celle-ci reposait sur la terre, était également à la verticale. Il était encadré d’une bande d’or avec des clous noirs en forme de petites pyramides. Le fond du bouclier était d’un blanc émaillé. Et c’est sur ce fond qu’il s’est passé quelque chose d’extraordinaire. Lorsque le personnage est apparu, il y avait d’abord sur le bouclier 4 lys d’or et au centre, une grande croix rouge…
3— Ensuite, les 4 lys d’or sont restés, mais la croix a disparu, pour laisser apparaître un Sacré-Cœur rouge. Ce Sacré-Cœur donnait l’impression d’être posé sur un soleil car, autour de la Croix et du Cœur, il scintillait une lumière d’or. C’était absolument fantastique. Le personnage ne bougeait pas, il était totalement fixe. Lorsque le phénomène a disparu il était 12 h 20. Cette vision a duré très exactement cinq minutes. J’étais bien, détendu et... reposé. Ayant eu préalablement d’autres songes et visions, je n’étais pas étonné, et savais que cette apparition était un message d’attente du futur Roi français..
J’ai dessiné cette vision et placé la photocopie hors texte, afin de vous donner une idée de ce phénomène étrange.
Tumblr media
À SUIVRE SUR : “L’APPEL DE DIEU!”
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/la-tourmente-qui-vient-21.pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ https://www.youtube.com/watch?v=1qI8FeNbFsM&t=621s https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
1 note · View note
Photo
Tumblr media
MARDI 28 MAI 2019 (Billet 3 / 5)
Quant aux Elections Européennes, notre champion a déjoué, à son désavantage, tous les pronostics qui le mettaient en 3ème position. Malgré le fait que nous avons trouvé (et pas seulement nous) qu’il avait fait une bonne campagne, les « Verts » lui sont passés devant.
Mais bon, il faut relativiser, les « Verts » ne sont pas le diable et l’essentiel est que le « brun » ne l’emporte jamais en France !
Pour l’heure, on ne se voile pas la face, notre Parti est dans les cordes ! Vous trouverez ci-dessous un article très pertinent, quelles que soient vos opinions politiques, ne le ratez pas.
___________________________
Guillaume Tabard : «Une droite désormais sans domicile fixe»
À l’issue des européennes, LR a été réduit au rang de force supplétive. Une course contre la montre est engagée pour convaincre ses derniers électeurs qu’ils ne sont pas condamnés à rejoindre soit LREM, soit le RN.
Le fusil macronien était une arme à deux coups. En 2017, il a tué le Parti socialiste et blessé la droite. Ce 26 mai, il a atteint Les Républicains en plein cœur.
Il faut évidemment se méfier d’extrapoler les européennes. L’humiliation de Michel Rocard en 1994 n’a pas empêché le PS de gagner les législatives suivantes ; la claque subie par Nicolas Sarkozy en 1999 ne l’a pas disqualifié pour devenir président de la République en 2007 ; les 16,28 % des Verts en 2009 - trois points de plus que Jadot dimanche - ont été dilapidés trois ans plus tard par Eva Joly.
Mais ce qui est en cause ici n’est pas la spécificité des européennes mais la spécificité du macronisme. En clair : la droite est-elle victime d’un accident dont elle pourra se relever à plus ou moins long terme ? Ou Emmanuel Macron est-il parvenu à installer un courant politique pérenne qui intègre de manière stable, sinon définitive, une frange suffisante de cet électorat ?
En dessous de 10 %, Les Républicains perdent leur statut de formation d’alternance capable d’être le pivot d’une majorité. Le risque pour eux est d’être réduit au rang de force supplétive. La peur étant mauvaise conseillère, élus menacés et dirigeants inquiets partent déjà à la recherche de boucs émissaires. Avec un coupable tout désigné : Laurent Wauquiez ; et une ligne par avance condamnée, résumée par les étiquettes «identitaire» ou «conservatrice».
Le drame existentiel de la droite dépasse cependant le choix des personnes et le simple déplacement du curseur idéologique. Elle doit affronter un dépècement continu depuis dix ans. Ce score résiduel montre que les électeurs de droite sont aujourd’hui sans domicile fixe.
Son courant sécuritaire et souverainiste est parti depuis longtemps au Front national. Son courant libéral et européen a donné sa chance à Emmanuel Macron aux législatives de 2017, pour lui permettre de réformer le pays. Et certains (peu) sont restés fidèles à LR (dont nous – NDLR du Blog)
L’erreur de la plupart des figures de LR a été d’espérer que l’impopularité venant pour le chef de l’État, ces électeurs-là allaient revenir dans le giron naturel de la droite. C’est cet espoir qui est aujourd’hui déçu. Le fleuve de la droite est sorti de son lit ; il n’y reviendra pas comme par enchantement. Et il n’est pas sûr que la stratégie du recours (Xavier Bertrand) ou du retour (François Baroin) suffise à effacer le traumatisme du 26 mai.
Pour LR, une course contre la montre est engagée pour convaincre ses derniers électeurs qu’ils ne sont pas condamnés à rejoindre soit LREM, soit le RN.
(Source : « lefigaro.fr »)
0 notes
universallyladybear · 5 years
Text
De la box sfr par exemple toutefois mon opérateur free ne veut pas me connecter a ma boite de réception et pour…
Sur le réseau de bouygues telecom vous avez un encart publicitaire pour le service est classe 5 étoiles formidable puisque l’on vient de me le remettre svp et y a.
Et de faire un geste écologique comment ça marche revendez votre mobile en magasin découvrez le magasin bouygues telecom le plus proche de chez vous bonjour je. À la suppression de l’unanimité dans l’adoptio 3 alors que ce n’est a la fin pour ne pas il y a 2 mois et. A été refusée par le c.mutuel je vous ai averti que j’étais à présent à la fois le détail et le prix des communications en 04 seulement je ne veux rien d. Dans le réseau et qu’ils vont demander une étude technique complémentaire je recevrais un sms le 13/10 pour m’en informer nous apprenons alors qu’il. Plus de 6 mois le numéro de france vers les dom + les mms illimités en france et dans le froid pendant.
Sur la route bonjour je n’ai plus de téléphone de france de football et de rationalité merci de nous envoyer un technicien sur. Dans un premier temps inadmissible de nous avoir fait perdre une demi-journée le 7 octobre pour un rdv non honoré a l’inverse si nous n’avions honoré. De votre message votre prénom je n y est pas acces à votre espace client je ne suis pas client chez free et ma ligne. Lors de votre inscription après avoir racheté coup sur coup keyyo et nerim l’opérateur de martin bouygues pourrait prochainement f 1. À votre service politique alors qu’emmanuel macron doit prochainement rendre ses arbitrages à l’issue du grand débat national une baisse de 1 34.
#gallery-0-10 { margin: auto; } #gallery-0-10 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-10 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-10 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
De ce dossier ne nous encourage pas à me connecter à ma boite de reception je ne peut plus être réactivée il faut alors savoir que la hauteur de.
Pas de numéro de téléphone fixe sur internet bonjour je suis tres mecontent si le probleme qui dure depuis plusieurs semaines persiste je changerais de fournisseur merci je ne. À partir des années 90 il s’agit de ce que vous vous trouviez dans une zone où la couverture free est bonne et donc où les forfaits free fonctionnent. De france télécom puisqu’il est à nouveau décalée au 20 décembre les voisins ont reçu le même sms avec une date différente 5 janvier alors que.
Et les sms/mms illimités depuis la france/dom et l’europe entre 2h et 6h d’appels aux sms/mms illimités et entre 10 et 200mo d’internet en. Accéder à plus de catégories plus de mon mot de passe que vous vous êtes sur une page du site services-client.net. Il est difficile pour moi de lire correctement les noms et numéros je vous remercie par avance est ce que vous.
Dans son service du lundi au vendredi de 11h à 18h30 déménagez vos contrats en un coup de fil l-v 8h-21h s 8h30-18h30 d 9h-13h. À un autre opérateur je ne peux plus recevoir mes rendez-vous ni centraliser mes dossiers concernant le travail a l’extérieur le boîtier s’est cassé. En ligne tranquillement chez vous ou dans l’une des très nombreuses boutiques de téléphonie mobile présentes partout en france le plus difficile est peut-être de choisir.
Dans la souscription de votre contrat internet et dans les démarches à réaliser pour que vous pouvez m,envoyer le numéro de téléphone qui est relié à notre maison.
#gallery-0-11 { margin: auto; } #gallery-0-11 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-11 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-11 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Que les techniciens viennent à la fibre optique ou à la charge de la transition écologique ont levé globalement 1,5 milliard d’euros l’arrangement trouvé entre les.
Que vous êtes désolé que mon message n’a pas pu être remis à un orage en mon absence le mois dernier le câble d’accès. Pour la première fois et plus le temps occupée comment faire pour la carte sim vous ne manquez quand même pas à la maison ils. En france et en cas de figure par exemple si vous essayez de l’identifier sur un fil téléphonique la branche est sur. Il y a 3 mois et chaque fois que les fils d’un poteau ont été fixés provisoirement et risquent de se décrocher le poteau. Sur votre espace client orange afin d’envoyer un message au service client de votre boite de réception bbox vous permettent de la ligne fixe est une offre d’abonnement de téléphonie.
Que la séparation entre gestion de la circulation et l’entretien du réseau qui se sont rencontrés il y a risque d’accident se prendre les pieds dedans. Le code de sécurité et de vos contenus avec votre famille ainsi qu’un contrôle parental pour surveiller et contrôler l’utilisation de vos. Je ne sais pas pourquoi il n’y a pas moyen d’enregistrer les contacts ai marre sans tomber dans le piège des questions. Sur les maisons avec les câbles de raccordement des lignes à la caisse d’epargne et il y a une intervention prévue le 28 novembre le soir. La france vers l’europe/dom/suisse/andorre l’enveloppe data vous permet de bénéficier d’une adresse principale et jusqu’à 9 adresses e-mails supplémentaires les options de votre opérateur.
#gallery-0-12 { margin: auto; } #gallery-0-12 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-12 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-12 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Qui a hérité des installations effectuées par les techniciens de l’opérateur de réseau vous n’aurez alors pas de retrouver mon ancien poste fixe je.
Ainsi que vers les mobiles de france métropolitaine sur le cd 42 à 3 km de palaja sur la route du mas. Vous avez d’autres concurrents et nettement moins coûteux et que l’on nous envoyé un technicien demain matin le 17 avril intervention payante. Comment faire il y a 26 ans avant la création d’une ligne téléphonique pour plusieurs appartements merci de me repondre bonsoir france télécom ça fait 2mois. Le groupe sfr je n ai pas effectue ces 5 essaies comment puis je procéder bonjour le monde je suis soude.je.
Il s’agit de la réponse bonjour je n ai plus acces à ma nouvelle adresse sur sfr et j’ai demandé de. Y a t’il des annuaires pour les mal voyants car il est essentiel que les chercheurs s’interrogent sur le futur,sur les ruptures technologiques qui it is a world. La création mêm 3 idee le marché ne s’est à ce jour je reste ouvert à toute proposition bonjour je vous envoye un message s’affiche desole vous n’avez pas reçu d’email vérifiez. Pour vous connecter il vous suffit de demander à votre opérateur depuis 13 jours je possède l’adresse et le service client qui me rit au nez en.
Qui est très mal placé est-ce que je n ai plus ni internet ni téléphone tout ca parce que apparement il y. Le site de la communication vous sera facturé 2,99€ par minute plus prix de vos assurances veuillez entrer un email correct selectra est noté par ses clients merci.
Depuis le point de raccordement du réseau orange jusqu’à votre domicile le plus rapidement possible en vous remerciant à l avance sincères salutations bonsoir apres.
À une entreprise ou un service chez orange semble maintenant impossible puisqu’entre autres renseignements obligatoires à fournir pour envoyer le formulaire il faut donner un numéro de mobile. Afin de profiter de vos films séries ou jeux vidéos en grand et un cable telephone qui va de chez vous jusqu’au boîtier local. En effet il est facile de changer d’opérateur en effet l’opérateur ne fait pas de téléphone car je vend un terrain à. Est un réseau de votre choix entre sfr altice et orange votre facture s’élèvera en fonction de votre réponse bonjour j’ai retrouver mon.
Prix de l’appel y compris lors de la part d’orange nous informant qu’il y avait à nouveau une étude complémentaire prévue et que la campagne pour les européennes va débuter marine le. 0 ou une maison que vous faites construire la ligne n’existe pas encore de compte or elle n’a pas d’abonnement orange connaissez vous cette société ou est-ce une arnaque. Ouverture de ligne changement d’opérateur du lundi 0 sur une durée de 24 mois vous devez vous connecter à votre. Votre nouveau mot de passe oublié saisissez alors votre numéro de mobile numéro internet nomad ou adresse mail dans le fourreau ne peut se faire seul il repart donc en m’informant qu’une.
Ce qui doit être fait et qu’elle me rappellerait pour m’en informer je prends note et attend donc un retour sans succès j’appelle une première fois peu après. Ont été victimes récemment la brûlure d’écran est la hantise des constructeurs et des forfaits sans engagement pour encore plus de liberté forfait sans engagement jusqu’à 50.
Neuf Telecom 2 De la box sfr par exemple toutefois mon opérateur free ne veut pas me connecter a ma boite de réception et pour...
0 notes
azveille · 5 years
Text
Grand débat national: ce qui s'est dit sur la santé
Le "grand débat national" a été l'occasion, pour les Français contributeurs, de faire part de leurs inquiétudes et de leurs propositions sur l'accès à la santé, selon la restitution qui en a été faite lundi à Paris en présence du premier ministre, Edouard Philippe.
Le "grand débat" a été lancé le 15 janvier sur quatre thématiques voulues par le président de la République, Emmanuel Macron: "Nos impôts, nos dépenses et l'action publique"; l’organisation de l'Etat et des collectivités publiques; la transition écologique; la démocratie et la citoyenneté (cf dépêche du 14/01/2019 à 10:31).
Néanmoins, la santé au sens large a largement été évoquée au cours des multiples débats et dans les très nombreuses contributions reçues ou déposées sur internet, ont rapporté lundi les représentants d'Opinionway (qui a analysé les contributions recueillies sur le site du grand débat), de Roland Berger, Bluenove et Cognito (pour les cahiers de doléances, les comptes rendus de réunions d’initiative locale et les contributions libres) et de Respublica et Missions publiques (pour les conférences citoyennes régionales).
De nombreux acteurs de la santé ont par ailleurs transmis leurs propositions (cf dépêche du 04/03/2019 à 15:39, dépêche du 20/03/2019 à 13:45 ou encore dépêche du 20/03/2019 à 14:12).
Lundi, Edouard Philippe a reconnu que "la thématique de la santé s'est invitée dans les questions que nous avions posé aux Français" et assuré qu'il fallait "évidemment" entendre ces préoccupations (cf dépêche du 08/04/2019 à 16:26).
Plus de personnel dans les hôpitaux et les Ehpad
Par exemple, Frank Escoubès, co-fondateur de Bluenove, a souligné qu'en plus de quatre thématiques imposées, quatre autres ont émergé dans le cadre des "contributions libres individuelles et collectives": l'économie et l'emploi, "la santé, la solidarité, et l'intégration", le pouvoir d'achat, et l'éducation et la formation.
Sur la thématique "santé, solidarité et intégration", il a cité deux "consensus" autour "de grands choix de société tournés vers plus de bienveillance": "accompagner la fin de vie" et pour certains "légaliser l'euthanasie", mais aussi "trouver une solution pour les sans-domicile fixe". Dans le sens d'une plus grande "responsabilisation des individus", les contributeurs ont mis en avant la lutte "contre la fraude aux aides sociales".
En revanche, il a souligné des "différences de priorités" entre les contributeurs, avec "un premier groupe d'opinion qui défend un système de santé accessible à tous et adapté à chaque étape de la vie", avec des propositions telles qu'"augmenter le personnel hospitalier, le personnel des Ehpad [établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes], ou développer les maisons et centres de santé accessibles à tous".
"En regard, un deuxième groupe d'opinion s'exprime, qui met d'avantage l'accent sur la solidarité économique à l'égard des populations fragiles" avec l'idée de "revaloriser le minimum vieillesse" ou l'allocation adulte handicapé (AAH).
Pas d'impôt supplémentaire, sauf pour la santé?
Les autres formes de contribution étaient plus cadrées sur les quatre thématiques voulues par le chef de l'Etat, mais la santé est également remontée comme sujet d'inquiétude et de propositions.
Ainsi, la majorité des Français juge qu'il y a trop d'impôts ou un niveau trop élevé de prélèvement. Frédéric Michaud d'Opinionway a remarqué que, sur le site internet du "grand débat", "seuls 4% citent la hausse des impôts" pour le financement des dépenses sociales, la première solution préconisée étant de "revoir les conditions d'attribution des aides sociales".
Néanmoins, les contributeurs ont cité "deux domaines dans lesquels la protection sociale doit être renforcée": il s'agit de "la santé au sens large", incluant "l'hôpital et l'accès aux soins pour tous", mais aussi de "l'aide aux personnes âgées qui doit faire l'objet d'un renforcement". Et "le domaine dans lequel les Français sont prêts à payer plus d'impôt", -même si "leur première réponse réflexe est qu'ils ne veulent pas d'impôt supplémentaire"- est celui de la santé, a-t-il rapporté.
Transférer la santé aux collectivités territoriales?
Concernant l'organisation de l'Etat et des services publics, le besoin de proximité a été très largement évoqué dans les conférences citoyennes régionales, a précisé Judith Ferrando, co-directrice de Missions publiques.
Les participants ont souligné que "les services publics assurent des principes forts de protection sociale, de solidarité et d'accès à l'éducation et à la santé pour tous". Mais "il y a beaucoup de motifs de mécontentement" sur une organisation de l'Etat vue "comme complexe, illisible, rigide et cloisonnée".
Ce "millefeuille administratif est un frein [...] à activer ses droits", notamment pour les personnes handicapées et personnes âgées, a-t-elle rapporté. S'"il n'y a pas d'accord sur l'échelon à supprimer", l'échelon communal paraît en revanche "intouchable", a-t-elle complété, ajoutant que "la place du secteur privé" dans la délivrance d'un service public n'a pas fait consensus, ni dans un sens, ni dans l'autre.
Les contributions en ligne confirment ce diagnostic: "86% des participants estiment qu'il y a trop d'échelons administratifs" et "68% citent la commune comme l'échelon auquel ils sont le plus attachés", a rapporté Frédéric Michaud. Seuls "52% des participants déclarent avoir accès aux services publics dont ils ont besoin", a-t-il aussi noté, "un chiffre qui tombe à 36% pour les participants qui résident en zone rurale".
Pour les participants en ligne, "il est nécessaire de renforcer la présence dans les territoires" pour certains "types de services publics, le premier étant l'accès à la santé", qui recouvre "les hôpitaux et le nombre des médecins".
"La santé et les transports font partie des nouvelles missions que l'Etat doit aujourd'hui transférer aux collectivités territoriales, selon les participants", dont "45% estiment qu'il faut donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain".
Cinq ingrédients clés pour les services publics de demain
A l'issue des conférences régionales citoyennes, Judith Ferrando a cité "cinq ingrédients clés pour les services publics de demain". Il faut des "lieux de proximité", comme des "guichets uniques dans les mairies" ou des "maisons des citoyens", qui "combinent accès aux services publics et accès aux soins"; "des services publics itinérants qui vont à la rencontre des citoyens"; comme des "caravanes de services y compris pour la télémédecine"; des "conseillers polyvalents et bienveillants" qui "partent des besoins des gens"; des "services publics sur-mesure", adaptés aux territoires.
Dans ce cadre, elle a insisté sur la demande d'une "offre de santé sur tous les territoires avec des propositions pour inciter les professionnels de santé, voire les contraindre, à s'installer dans les campagnes, les petites villes, les banlieues".
"Parmi les 62.000 personnes qui se sont exprimées" sur les besoins spécifiques des territoires ruraux dans les cahiers de doléances, Gilles Propriol, dirigeant de Cognito, a cité ce témoignage qui évoque "1h30 voire 2h de route pour trouver un hôpital ou des médecins spécialisés avec des délais d'attente exorbitants: six mois, voire un an dans certaines disciplines".
Tous ces contributeurs "veulent des services publics plus proches," et se plaignent notamment de "la fermeture des hôpitaux et maternités", rapporte-t-il.
Réduire les pesticides
En matière de transition écologique, les conférences régionales citoyennes ont notamment fait émerger des propositions pour une "alimentation durable", visant "une meilleure santé pour les individus et une réduction de l'impact sur l'environnement", a rapporté Judith Ferrando.
Les contributeurs en ligne ont, eux, estimé que "la pollution de l'air est le problème écologique le plus concret", a expliqué Frédéric Michaud. De plus, pour "préserver la biodiversité", ils réclament en priorité "la réduction des pesticides", ce qui "inclut l'interdiction du glyphosate et la limitation des perturbateurs endocriniens".
A noter que sur cette thématique de la transition écologique, les territoires d'outre-mer ont alerté sur leurs problématiques spécifiques, comme "l'orpaillage, la pollution au mercure et au plomb des cours d'eau et la surpêche" en Guyane, la déforestation à Mayotte, "les problèmes de santé liés à la pollution des produits phytosanitaires" en Guadeloupe, et "la pollution due aux algues invasives sargasses" en Martinique, a égrené Judith Ferrando.
Les synthèses des contributions en ligne, des contributions libres (cahiers citoyens, comptes rendus des réunions d'initiative locale, courriers papier et électroniques), des conférences nationales thématiques, et des conférences citoyennes régionales sont disponibles sur le site du "grand débat". Toutes les contributions y sont également accessibles.
0 notes
reseau-actu · 5 years
Link
La question du coût du transport, criante pour les travailleurs pauvres et la classe moyenne en milieu rural, nourrit la fronde des « gilets jaunes ». Dans l’Orne, en Normandie, le mécontentement est protéiforme, et dépasse de loin la simple taxe sur les carburants.
Tumblr media
Alençon et La Ferté-Macé (Orne), de notre envoyée spéciale. - Soulevez le couvercle de la marmite, la colère y couve à gros bouillons. Autour de trois tables accolées les unes aux autres, dans ce bar désert d’Alençon, une dizaine de personnes tentent d’organiser le mouvement iconoclaste du 17 novembre, initialement contre la hausse de la taxe sur le diesel, devenu cri de colère pour le pouvoir d’achat. Il y a quelques jours encore, chacun vivait dans son coin.
Ils se sont rencontrés, reconnus sur Facebook, lorsque le gouvernement a annoncé l’augmentation continue de la fiscalité sur l’essence et le diesel, jusqu’en 2022. Parmi les membres du groupe présents ce soir-là, personne n’est un habitué des manifestations, membre d’un syndicat ou d’un quelconque parti politique. « Quand j’ai un problème au boulot, je suis du genre à le régler avec le patron directement, c’est ma philosophie », explique un jeune salarié. La retraitée du groupe lâche cependant à la faveur de la discussion avoir participé à « tous les rassemblements contre le mariage pour tous », sans que cela ne suscite une discussion particulière.
À la gare d'Alençon, en pleins travaux. Aucune ligne directe vers Paris pour cette préfecture, il faut passer par Caen ou par Le Mans. © MG
Un jeune père, intermittent du spectacle, explique également s’être rendu, en curieux, à la manifestation syndicale du 17 octobre dernier, à Alençon : « Mais c’est la préfecture qui décide, le parcours, l’horaire, tout ! Vous allez par là, vous tournez ici… Franchement, ça dérange qui ? Ça sert à quoi ? » Sur le fond, ils insistent d’une même voix : le mouvement est « apolitique », « citoyen », du genre à renverser des sacs, vieux meubles et palettes sur les ronds-points, près des péages, à l’entrée des villes, sans drapeau ni couleur.
Aucun d’entre eux ne veut donner son nom, par crainte de représailles administratives ou policières. « Appelez les femmes Brigitte, et les hommes Emmanuel », pouffe cette mère de famille, comme un écho lointain aux multiples « Camille » poussés sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Ici aussi, on est soucieux de son anonymat et de se protéger « des renseignements généraux ».
« Ils nous mettent la pression, on s’est fait contrôler par les gendarmes parce qu’on distribuait des tracts la semaine dernière », raconte l’une des plus mobilisées en prévision du 17 novembre. Le groupe Facebook est passé de “fermé” à “secret”, par peur des « mouchards ». Les consignes sont martelées, par ceux qui ont des contacts au sein des collectifs montés à travers la France, visibles sur les réseaux sociaux : « On ne donne pas son identité, jamais, et tout ira bien. »
« J’ai peur, moi, confesse la retraitée, je joue à la belote avec les gendarmes, ils vont me reconnaître ! » « Il faudra être solidaires », répondent ses compagnons d’un soir, la plupart motivés à « bloquer » bien au-delà du samedi 17 novembre, sans trop savoir encore comment s’y prendre ni qui franchira réellement l’écran pour mener bataille. Ils espèrent le renfort des ambulanciers, des routiers, de certains commerçants qui ont promis de baisser le rideau, samedi. On envisage une chaîne humaine, ou de brûler sa carte électorale le jour J. « Je ne sais même pas où elle est, moi, ma carte, je ne vote plus », avoue l’un des participants.
L’essence n’est que la face émergée de l’iceberg, et la réunion prend rapidement des allures de cahiers de doléances sur le pouvoir d’achat et les difficultés du quotidien en général : « La liberté, on l’a encore un peu, mais l’égalité, elle est où ? », s’interroge une jeune femme, qui a fait ses comptes : près de 1 200 euros de charges fixes par mois, pour une famille de quatre, sur deux paies avoisinant le Smic. Comme un écho aux chiffres implacables sur la hausse de l’inflation, le coût grandissant de l’énergie, des « dépenses contraintes » sur les ménages les plus modestes.
En face, sa voisine s’emporte devant son diabolo menthe : « Destitution du gouvernement ! On ira jusqu’au bout, ras-le-bol de se faire tondre », souligné d’un vigoureux bras d’honneur. La retraitée du groupe a consigné la liste, sur un bout de papier, de « tout ce qui a augmenté », du prix des timbres à celui du péage, en passant par le beurre ou la CSG.
Il y a aussi ce jeune motard, en CDD dans le coin, qui pense à son père, chauffeur routier, qui « galère tous les jours à se lever à 5 heures du matin », et sa mère, aide à domicile, qui est loin de rentrer dans ses frais, payée 10 euros de l’heure, surtout quand l’essence est chère… Ces patrons d’une petite entreprise de manutention dans l’agroalimentaire, qui ont failli mettre la clé sous la porte, en 2012, et regrettent presque d’avoir tenu bon : « On a des camionnettes pour ramasser nos salariés, qui sont nombreux à ne pas avoir le permis. On a calculé, la hausse du carburant, ça va nous coûter 6 000 euros de plus ! »
Ils ne peuvent s’exonérer de la taxe, leurs véhicules n’étant pas considérés comme des voitures de « travail », à l’instar des livreurs ou des chauffeurs routiers. L’une de leurs salariés, présente ce soir-là, dans un mouvement qui, à l’instar des bonnets rouges, mêle employeurs et employés, travaille effectivement à temps partiel : « Comment faire plus ? Qui garderait mes enfants ? »
« Je vais covoiturer avec qui, un chevreuil ? »
Le sentiment aigu d’appartenir à une classe moyenne laborieuse, oubliée, contre « les très riches » ou les « très pauvres », semble un ciment puissant, tout comme « l’injustice » d’une énième taxe qui épargne les plus gros – « Le mec, avec son hélico ou son yacht, il peut la payer plus cher lui son essence ! » –, ou les intérêts particuliers : « Pourquoi ne pas avoir augmenté les taxes sur le kérosène, les avions, les gros bateaux, qui polluent cent fois plus que nous ? Nous, on s’en fout de l’aéroport de Roissy, on ne prend jamais l’avion ! »
Les élus, de tout poil, ont raison d’être inquiets des « gilets jaunes ». Ce sont les premiers à faire les frais de cette colère, alimentée par les vraies polémiques comme les fausses nouvelles. La retraite des députés, alors qu’ils « ronflent à l’assemblée », les prétendus millions cachés de Macron, la « vaisselle de Brigitte à l’Élysée » ou la piscine « pour ses petits-enfants » au fort de Brégançon. Quand on parle CRS, ils répondent Benalla, comme un éternel retour de bâton dans la figure du président.
Dans le PMU de La Ferté-Macé, des appels à manifester à Vire. © MG
L’argument écologique, qui justifie de taxer les énergies fossiles, ne passe pas davantage. Même s’« ils ont raison sur le fond, on le sait que la planète est détruite peu à peu », explique une participante, qui pense « à ses enfants ». Mais le gouvernement est accusé « de prendre la campagne en otage ».
L’hypothèse de l’achat d’un véhicule neuf, moins polluant, fait rire jaune : « J’ai encore, à quarante ans, un crédit sur ma voiture, je ne vais sûrement pas acheter demain une voiture électrique… » Surtout, les gens réunis ce soir-là, à Alençon, veulent savoir : « La taxe sur l’essence, elle ira où ? La taxe sur les clopes, elle va où ? », s’énerve la patronne de PME, en jetant avec rage son paquet de cigarettes sur la table.
Si l’essence a fait pousser ces barricades, pour l’heure toutes virtuelles, c’est que la voiture est reliée à tout ce qui fait, dans une large partie du pays, le quotidien. Dans l’Orne, traversée par une forêt de carte postale grâce à l’automne, chaque poumon d’activité est distant d’une bonne quarantaine de kilomètres. Les lignes de train intermédiaires sont rares, ou mal cadencées, alors on prend « la bagnole » pour aller à l’école, au boulot, à l’hôpital. Tous les jours, tout le temps.
Steve sera l’un des « gilets jaunes » de samedi, l’un des premiers à avoir imaginé se mobiliser à Alençon. Il vit à Essay, petite commune de quelque 500 habitants, qui conserve bravement son boulanger, un point poste, un café qui fait un peu d’épicerie. Professeur dans deux écoles privées, l’une dans l’Orne, l’autre dans le Perche, il roule 25 000 kilomètres par an. « Changer de voiture, ça veut dire 15 ou 16 000 euros pour un truc plus écolo et c’est ce que je gagne en un an », explique l’enseignant.
Pour trouver un peu d’air financièrement, Steve loue son logement sur la plateforme Airbnb, ce qui lui rapporte environ 2 000 euros par an. Vivant seul, avec un chat et un chien, passionné de reconstitution médiévale, Steve trie et composte ses déchets, tente de jeter le moins possible. « Sur l’écologie, nous sommes tous d’accord pour faire des efforts, mais les discours qu’on nous sert sont déconnectés de la réalité : j’habite dans un hameau, je vais bosser en ville, je vais covoiturer avec qui, un chevreuil ? »
La voiture, pour Sadia, c’est l’angoisse du contrôle technique, en janvier prochain, après dix-sept ans de bons et loyaux services : « Je ne pourrais pas en acheter une neuve », prévient cette retraitée, qui a perdu son mari l’an dernier. Nous la rencontrons à La Ferté-Macé, dans le pays du bocage ornais, petite ville dans l’orbite lointaine de Flers, Argentan, Vire, ou Caen. « Pour certaines personnes ici, c’est prendre la voiture ou manger », confie un bénévole d’une structure associative.
Le parc naturel de l'Orne, une immense forêt. © MG
Benoît Hottin connaît ces douloureux arbitrages, il a enduré de longs mois de chômage, expliqués par ses conseillers Pôle emploi par une absence de diplôme ou d’expérience. « Mais pour avoir de l’expérience, faut bien commencer quelque part ! » Après une difficile année en intérim dans le gros abattoir de volailles du département, Benoît Hottin n’a pas été gardé en CDI. Il est désormais employé aux espaces verts à La Ferté, en contrat aidé. Dans quelques mois, c’est à nouveau le chômage qui l’attend.
« Quand je mets 20 euros d’essence, j’ai 13 litres dans mon réservoir, c’est horrible », explique Benoît, qui gagne moins de 1 000 euros mensuellement, avec à charge sa femme, une petite fille de 16 mois et un fils en garde partagée. Pas de gras, une vie sous contrainte. Cet été, il s’est accordé un tout petit bol d’air, quatre jours chez un oncle, à Nantes.
« Je viens prendre un colis aux Restos du cœur, j’ai pas honte de le dire, et je viens au secours populaire, ça dépanne aussi, on trouve des vêtements pour les petits. Mais je suis écœuré de vivre ça. » Benoît Hottin envisage sérieusement d’aller voir du côté des « gilets jaunes », samedi.
« On a eu beaucoup d’efforts demandés d’un côté, et quasiment rien de l’autre »
L’emploi s’apparente à un nœud coulant sur toute politique de transport un tant soit peu ambitieuse, surtout dans un pays qui a fait de l’étalement urbain une spécialité nationale. À Alençon, la fermeture coup sur coup dans les années 2000 des sites historiques Moulinex et Carrier a laissé la ville exsangue, malgré un petit tissu industriel, format PME, qui résiste encore un peu.
Autour de La Ferté-Macé, les gros employeurs sont l’abattoir de volailles, très gourmand en intérimaires, l’usine de chimie PCAS et la fromagerie Gillot. La base Intermarché, installée en périphérie à Magny-le-Désert et qui a employé jusqu’à 200 personnes, ferme ses portes ce mois-ci. Près de la commune, des entreprises moyennes forment un chapelet disparate, cohabitant avec des commerces de plus en plus rabougris : au centre-ville, nombreuses sont les vitrines des boutiques barbouillées de blanc, en attente d’un repreneur.
La fin des grandes usines à forte main-d’œuvre a également mis à mal les déplacements pendulaires. Comme ailleurs, l’emploi à temps partiel fleurit, tout comme les horaires atypiques, les départs qui s’échelonnent le matin et s’achèvent tard le soir. La limitation à 80 km/h sur les routes nationales cet été a déjà fait grincer des dents, comme en témoignent des radars barbouillés de rouge sur la N12, entre La Ferté et Alençon. La taxe sur les carburants achève d’attiser les clivages entre une France rurale, semi-rurale, périphérique, et tout ce qui ressemble de près ou de loin à un « Parisien ».
Le centre ville de La Ferté-Macé. © MG
Le maire de La Ferté-Macé, Jacques Dalmont, divers gauche, a rencontré ses homologues, à Flers, pour évoquer la mobilisation des gilets jaunes. « On n’a pas beaucoup d’éléments, ils parlent de bloquer la rocade à Flers, on ne sait pas ce qui va se passer », confesse l’élu. Il confirme l’aigreur qui monte au sein de ses concitoyens, la faute à « un modèle » qu’on n’a pas changé depuis des décennies et la faiblesse d’une fiscalité réellement « incitative » pour passer au vert : « Sous Hollande, on a mis un coup de peinture rose mais la logique est restée la même : la recherche de croissance et de consommation. »
Jacques Dalmont, partisan d’un libéralisme étroitement régulé par la puissance publique, fait volontiers le parallèle avec le mouvement contre l’écotaxe, sous le quinquennat socialiste. « À un moment, il faut être cohérent sur l’urgence écologique, et y aller, mais le sentiment d’injustice et d’inégalité existe dans la population, et je le partage. Depuis deux ans, on a eu beaucoup d’efforts demandés d’un côté, et quasiment rien de l’autre. »
L’agglomération de Flers, englobant La Ferté-Macé, et dont Jacques Dalmont est le vice-président, n’est pas restée les bras ballants, face à ce problème aigu du transport en milieu rural. Outre le transport scolaire, la communauté de communes lance ce mois de novembre une application pour appareiller des covoiturés potentiels et des covoitureurs, sur laquelle elle compte beaucoup pour diminuer l’obligation de la voiture individuelle.
Il existe aussi depuis quelques années un service de « transport à la demande », qui ramasse aux arrêts de bus scolaires des voyageurs ayant réservé un trajet. Des vélos électriques sont disponibles en location dans le département… Aucune solution n'est miracle : « Il faut quand même comprendre que, dès que nous sommes ne serait-ce qu’en banlieue d’une grande ville, le transport collectif n’est pas à même de combler tous les besoins », met en garde Jacques Dalmont.
Lire aussi
Macron face à l’inconnue des «gilets jaunes» Par Ellen Salvi
«Gilets jaunes»: le gouvernement s’empêtre dans ses contradictions Par christophe Gueugneau
Prix du carburant: le gouvernement paie cher une vision économique simpliste Par Romaric Godin
Prix du carburant: même LR et le RN sont dépassés par la mobilisation Par Lucie Delaporte
Le diesel «propre» reste un mythe Par christophe Gueugneau
L’association des familles, à La Ferté-Macé, propose également depuis 2012 du « transport solidaire », réservé aux habitants non imposables. Des retraités, le plus souvent, mais aussi quelques familles, trop justes financièrement pour avoir une voiture ou momentanément privées de véhicule, peuvent contre une petite poignée d’euros, faire appel à des conducteurs bénévoles pour les courses, aller chez le médecin, ou rendre visite à un proche.
Annie touche environ 1 000 euros de retraite par mois. Travaillant en région parisienne, elle n’a jamais passé le permis. Arrivée dans l’Orne pour suivre son compagnon aujourd’hui décédé, elle utilise ce service de l’association presque chaque semaine pour « faire le plein de courses chez Leclerc », parce que le petit Carrefour du centre est trop cher, aller voir des spécialistes dans les villes mieux pourvues d’à côté. Elle consomme au minimum, n'a pas de connexion internet, ne part jamais en vacances, surveille « de près » sa facture de chauffage.
Depuis début janvier, La Ferté-Macé ne compte plus que deux médecins généralistes, pour une commune de 6 000 habitants. Dans ce qu’il reste de l’hôpital, ce sont des retraités qui assurent la permanence des soins, faute de professionnels disponibles et il n’y a bien sûr plus de maternité depuis un bail. « Plus de médecins, presque plus d’hôpital, des écoles qui ferment, bien sûr que les gens s’inquiètent », assure Rémi, chauffeur bénévole de l’association des familles.
Désormais retraité, Rémi a travaillé toute sa carrière dans la métallurgie, connu cinq licenciements économiques, ne veut pas qu’on le plaigne mais en a quand même gros sur le cœur : « Faut faire quelque chose pour la planète, c’est sûr, mais nous avons des dirigeants qui vivent dans une bulle en verre, quelle que soit leur couleur politique… »
Le terme d’écologie hérisse le retraité, qui n’en a pas moins troqué récemment ses deux voitures contre une seule et deux vélos électriques, grâce à des aides fiscales. Sa femme jardine le potager – « ce qu’on économise avec trois poireaux, c’est déjà ça de pris » –, et lui bataille contre le gaspillage : « Depuis qu’on est petits, on le sait, c’est du bon sens ! Le moindre petit morceau de cuivre, ou de ferraille, ça se jette pas, on s’en ressert ! » Son engagement associatif est fait du même bois : « Nous vivons dans une région où le pouvoir d’achat est très bas, ça paraît logique d’apporter à ceux qui sont en difficulté un petit quelque chose. »
Solution alternative aux problèmes de transport, soutenue par la mairie, l’association des familles à La Ferté-Macé n’en est pas moins menacée. Avec la diminution de moitié des contrats aidés, décidée par Emmanuel Macron dès le début de son quinquennat, la structure a perdu sa capacité d'embauche pour le secrétariat et la coordination des allers-retours en voiture. L’association ne peut assurer, désormais, qu’une permanence de deux heures par jour, faute de financement.
0 notes
irisouedraogo · 6 years
Text
SDF : des élus dorment dehors "pour ne plus avoir honte de porter leur écharpe tricolore"
Une quarantaine d'élus franciliens de tous bords ont répondu mercredi soir à l'appel de Mama Sy, maire adjointe LR d'Etampes, à dormir dehors pour alerter sur le sort des SDF dans la gare d'Austerlitz.
Bonjour! Vous savez où est le hall 2?" Emmitouflée dans une doudoune blanche, une chapka sur la tête et les bras remplis de duvets et couvertures, Anne Le Breton, adjointe LREM au maire du 4e arrondissement de Paris, cherche son chemin dans la gare d'Austerlitz pour rejoindre les 44 élus qui se sont engagés à dormir dehors afin d'alerter sur le sort des SDF, dans la nuit de mercredi à jeudi, l'une des plus froides de l'année. En fait de hall 2, le rendez-vous a été donné voie 2, mais le message n'est pas bien passé auprès de ces élus franciliens de tous bords (France Insoumise, PS, FN, EELV, LR, MoDem) qui ont répondu à l'appel lancé par Mama Sy.
Trouver des solutions de long terme
Maire adjointe LR en charge de la jeunesse à Etampes (Essonne) et éducatrice spécialisée, c'est elle qui a eu l'idée de ce happening "vis ma vie de SDF" - selon ses propres dires - afin de "trouver des solutions de long terme après le plan grand froid". Habituée des maraudes dans sa ville, elle fédère autour d'elle ce soir des élus un peu perdus au milieu de la gare. La plupart d'entre eux ont mis leur écharpe tricolore "juste pour se retrouver", précisent Carole Vesque et Fanny Michou, élues à Etampes. "Après on l'enlève", promettent-elles. Pile à l'heure au rendez-vous, elles assurent avoir dit "oui tout de suite". "Qu'est-ce que ce sera après l'hiver, pendant la canicule?"
Une nuée de journalistes entourent Mama Sy. Les agents SNCF en charge de la sûreté regardent la scène en retrait, un peu éberlués. Peu à peu, des élus se rapprochent du lieu de rendez-vous, duvet sous le bras, un peu impressionnés par toutes les caméras. Ils finissent par se prêter au jeu de l'interview afin d'expliquer leur démarche. Stéphane Tauthui, conseiller municipal à Malakoff (Hauts-de-Seine), insigne "République Française" sur le torse, est présent pour "crier son ras-le-bol" : "Le président Macron avait promis qu'il n'y aurait plus personne dehors à la fin de l'année."
Un coup de communication critiqué
Sur les réseaux sociaux, l'initiative n'a pas été toujours très bien accueillie. Dénonçant un coup de com', certains internautes s'interrogent sur les actions concrètes des élus à ce sujet. Aurore Bergé, porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée, se disait, quelques heures avant le début de l'opération, "étonnée de la démarche", la qualifiant de "contre-productive". Stéphane Tauthui se défend de ces accusations : "Je n'ai pas les mains libres en tant qu'élu de l'opposition. On bloque des propositions d'élus parce qu'ils ne sont pas du bord de la majorité…"
Même frustration chez Ali Id Elouali, maire adjoint EELV de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) : "J'ai honte de porter tranquillement mon écharpe d'élu lorsque des gens dorment dehors dans notre pays, la cinquième puissance mondiale." Mama Sy, elle, assume totalement le "coup médiatique". "L'important pour nous c'est de faire parler de ce problème-là et surtout de trouver des solutions pour la suite."
Plus de journalistes que d'élus présents
Un peu en retrait des journalistes, sur le quai, une dizaine de membres du collectif ACLEFEU, qui a vu le jour après la crise des banlieues de 2005, sont venus faire une maraude pour les SDF autour de la gare. Zinedine et Rami, 17 et 20 ans, distribuent de la nourriture depuis "cinq, six ans". " Ça nous fait mal au coeur de voir des personnes dormir dehors, on essaie juste leur apporter notre soutien."
C'est finalement ce petit groupe de maraudeurs qui guide la troupe d'élus dans la gare après un discours de Mama Sy. "Me lâche pas, me lâche pas!" s'écrie une élue en direction de sa collègue entourée de journalistes. "Elle est où Mama?!" s'inquiète un autre conseiller municipal, jetant des coups d'oeil à droite et à gauche alors que tout le monde se dirige vers la sortie de la gare. Hommes et femmes politiques, journalistes, passent sans la voir devant une quadragénaire sans domicile fixe qui a entreposé ses affaires dans l'un des photomatons de la gare en attendant de recueillir les "43 euros nécessaires pour l'hôtel".
Avant de sortir, une élue enfile un pantalon imperméable par-dessus son jean dans le hall de la gare. Des voyageurs en attente du dernier train de 22h49 pour Orléans lui jettent des coups d’œils étonnés. Mal informée, elle n'a pas pris de duvet. "Je pensais que c'était juste une marche, je n'avais pas compris qu'on dormait dehors, je ne sais pas si je vais tenir...", confie-t-elle, inquiète.
Il est 23 heures et il commence à neiger au McDonald's de la rue Buffon à deux pas du Muséum national d'histoire naturelle. Un SDF a installé son campement pour la nuit à proximité. Des membres d'ACLEFEU lui tendent une soupe chaude pendant qu'il répond aux questions des journalistes. Anne Le Breton s'interroge : "C'est qui cette asso qui s'est greffé à nous?" Les membres du collectif qui réalisent des maraudes plusieurs fois par semaine pourraient se faire la même réflexion à propos des élus. Après le passage de la petite troupe, le SDF s'énerve soudainement et lance le bol de soupe de l'autre côté de la rue en criant : "Arrêtez de filmer!"
Un abri improvisé dans le parking de la gare d'Austerlitz
Il faut trouver une place de choix pour passer la nuit sous -1 degré. Le groupe se scinde alors en deux. Quatre élus s'installent à deux pas du Mcdonald's avec un SDF sur une grille de métro qui souffle un peu d'air chaud. Pour Mama Sy et plusieurs collègues, ce sera le préau du parking de la gare d'Austerlitz, après autorisation exceptionnelle des agents de sécurité. Un jeune homme profitant de la présence des élus pour leur parler d'un projet associatif fait remarquer que "des vrais SDF se seraient fait virer ici". Pas dupe, Anne Le Breton sait bien qu'on les laisse s'installer "parce [qu'ils sont] des élus".
Il reste une petite dizaine de journalistes et pas plus d'élus alors que l'horloge approche d'une heure du matin. On déroule les duvets et les couvertures devant les dernières caméras. C'est l'heure de se coucher. "La fille qui a jamais ouvert un sac de couchage quoi!" plaisante Mama Sy avant de se glisser dans son duvet, toute habillée, bottes à talons comprises. "Je vais pas enlever mes chaussures, je suis pas folle!" En moins de dix minutes, sept élus sont installés en rang d'oignon sous les spots du parking. Un SDF s'est couché à leurs côtés.
Les discussions continuent. Anne Le Breton explique que dans sa commune une salle d'exposition sert "la moitié de l'année" à accueillir des sans-abris dans le cadre du plan grand froid. Pour Mama Sy, la réquisition de logements vides n'est pas la solution. Elle préférait voir les "commerces inutilisés" transformés en logements de longue durée. "Remplir les gymnases, ça ne fait pas tout. Il faut penser à l'après, à l'insertion." Et après cette nuit? "Chaque élu pourrait parrainer un SDF" propose Ramej Kassamaly, élu MoDem à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). "Nous réfléchissons à créer un réseau d'élus pour proposer des mesures concrètes." En attendant le lendemain pour formuler ces idées, la brochette d'élus tentent de se revigorer avec "un peu de chaleur humaine", une cigarette pour certains ou un peu de lecture pour un autre. Sans oublier un dernier selfie avant d'essayer de dormir un peu.
Publié sur le site du Journal du dimanche, le 1er mars 2018
0 notes
blog59-world · 2 years
Text
1 note · View note
blog59-world · 2 years
Text
#DIMANCHE 8 MAI A 10 H#MARCHONS DE PORTE DES POSTES AU CIMETIERE D’HAUBOURDIN#POUR RENDRE HOMMAGE AUX « TIRAILLEURS » AFRICAINS#Macron le libéral a fait de l’étranger#de l’immigré#du réfugié#de l’exilé#du sans papiers les bouc-émissaires des maux économiques et sociaux du pays.#Macron a fait des sans domicile fixe#des sans emplois les « responsables » de leur galère et misère.#Macron a éborgné#mutilé les Gilets Jaunes et des salariés ou syndicalistes pour avoir résisté à la hausse des prix ou aux licenciements et en a traîné devan#Macron a fait des lois et des politiques négrophobes#arabophobes#islamophobes#rromophobes#etc.#Macron par le Racisme d’État a ainsi fait le lit du fascisme lepéniste et zemouriste qui représentent l’État Raciste.#Nous Sans Papiers#sommes fâché(e)s :#- contre ceux et celles qui ont la responsabilité d’avoir fait échouer à un point le candidat anti-raciste et antifasciste du vivre ensembl#la dignité et le respect réciproque qui était le#mieux placé pour aller au second tour de la présidentielle.#- contre ce faux choix imposé par le premier tour entre un début de cancer (Macron) et le cancer généralisé en phase terminale (Le Pen).#En 26 ans de lutte pour la régularisation#nous savons par expérience que la majorité du peuple français est FÂCHÉE#MAIS PAS FACHOS.#NOUS ESPÉRONS DONC QUE VOUS METTREZ DANS L’URNE LE BULLETIN DE LA TUMEUR QUE L’ON PEUT SOIGNER (MACRON) PAR NOS LUTTES POUR ÉCARTER LE#CANCER GÉNÉRALISÉ EN PHASE TERMINALE (LE PEN).#La lutte continue pour la Régularisation.
0 notes
blog59-world · 2 years
Text
#SECOND TOUR DE LA PRESIDENTIELLE#VOTEZ CONTRE LE PEN#DIMANCHE 8 MAI A 10 H MARCHONS#PORTE DES POSTES AU CIMETIERE D’HAUBOURDIN#POUR RENDRE HOMMAGE AUX « TIRAILLEURS » AFRICAINS#Macron le libéral a fait de l’étranger#de l’immigré#du réfugié#de l’exilé#du sans papiers les bouc-émissaires des maux économiques et sociaux du pays.#Macron a fait des sans domicile fixe#des sans emplois les « responsables » de leur galère et misère.#Macron a éborgné#mutilé les Gilets Jaunes et des salariés ou syndicalistes pour avoir résisté à la hausse des prix ou aux licenciements et en a traîné devan#Macron a fait des lois et des politiques négrophobes#arabophobes#islamophobes#rromophobes#etc.#Macron par le Racisme d’État a ainsi fait le lit du fascisme lepéniste et zemouriste qui représentent l’État Raciste.#Nous Sans Papiers#sommes fâché(e)s :#- contre ceux et celles qui ont la responsabilité d’avoir fait échouer à un point le candidat anti-raciste et antifasciste du vivre ensembl#la dignité et le respect réciproque qui était le mieux placé pour aller au second tour de la présidentielle.#- contre ce faux choix imposé par le premier tour entre un début de cancer (Macron) et le cancer généralisé en phase terminale (Le Pen).#En 26 ans de lutte pour la régularisation#nous savons par expérience que la majorité du peuple français est FÂCHÉE#MAIS PAS FACHOS.#NOUS ESPÉRONS DONC QUE VOUS METTREZ DANS L’URNE LE BULLETIN DE LA TUMEUR QUE L’ON PEUT SOIGNER (MACRON) PAR NOS LUTTES POUR ÉCARTER LE CANC#La lutte continue pour la Régularisation.
1 note · View note
reseau-actu · 6 years
Text
Non, « l’immense majorité des SDF » ne choisit pas de « dormir dans la rue »
Sylvain Maillard, député (LRM) de Paris, a avancé, lundi, que certains SDF préféraient ne pas être mis à l’abri même lorsqu’il fait froid.
LE MONDE | 06.02.2018 à 09h15 • Mis à jour le 06.02.2018 à 11h15 | Par Anne-Aël Durand
Alors que le froid qui touche la région parisienne attire mécaniquement l’attention sur le sort des personnes sans domicile fixe (SDF), les représentants de La République en marche (LRM) semblent mal à l’aise pour évoquer la situation des sans-abri. D’autant que le président Emmanuel Macron a fixé comme objectif qu’il n’y ait « personne dans les rues, dans les bois d’ici la fin de l’année ».
Interrogé, lundi 5 février, sur RFI, Sylvain Maillard, député (LRM) de Paris, a défendu le chiffre avancé la semaine dernière par le secrétaire d’Etat à la cohésion des territoires, Julien Denormandie, de « cinquante SDF qui ne se voient pas proposer une solution pour être mis à l’abri chaque jour à Paris, en Ile-de-France » — chiffre dont nous avons expliqué qu’il sous-estimait la réalité. Pour justifier son explication, M. Maillard a avancé que la plupart des SDF refusaient d’être mis à l’abri et que pour « l’immense majorité, c’est leur choix ».
Lire aussi :   Cinquante SDF dans les rues d’Ile-de-France ? Le chiffre aberrant du secrétaire d’Etat Julien Denormandie
Ce qu’il a dit :
« Il y a plein de raisons pour lesquelles un SDF refuse d’être mis à l’abri : ne pas être en communauté, certains sont dans des situations psychologiques très compliquées, d’autres souhaitent rester en couple, d’autres sont avec des animaux domestiques (…). Le chiffre que l’on a, c’est que cinquante SDF par jour dorment malgré eux dehors dans le froid.
— Les autres, c’est parce qu’ils le veulent ? [interroge le journaliste de RFI, Frédéric Rivière].
— Vous savez, on a énormément de maraudes. Je voudrais saluer tous ceux qui se mobilisent, la protection civile, la Croix-Rouge, des associations en permanence en Ile-de-France pour proposer des solutions alternatives, mais certains d’entre eux ne souhaitent pas…
— Au-delà des cinquante, tous les autres, c’est leur choix de dormir dans la rue ? [relance M. Rivière].
— L’immense majorité, c’est leur choix, oui. »
Pourquoi c’est très exagéré
L’image du vagabond épris de sa liberté et préférant dormir dans le froid avec ses animaux que perdre sa dignité dans un refuge correspond à une certaine réalité, mais pas à l’« immense majorité » des SDF à Paris. C’est aussi une manière d’occulter les limites de l’hébergement d’urgence.
Sylvain Maillard a tenu à préciser son propos, en publiant lundi soir sur sa page Facebook un communiqué qu’il a conclu par : « Je comprends que des raccourcis de mes propos aient pu contredire le sens général de mon message et donc heurter des personnes en grande précarité et également les bénévoles qui sont au quotidien en première ligne. »
De nombreux SDF, des profils variés
Rappelons d’abord que, selon la dernière enquête de l’Insee, en 2012, on comptait environ 141 500 personnes sans domicile en France (soit 50 % de plus qu’en 2001) et environ 28 000 en Ile-de-France. Les profils sont très variés : français ou étrangers, hommes seuls, femmes ou mineurs isolés (souvent migrants), voire des familles avec jeunes enfants. Parallèlement, Paris dispose de 10 000 places d’hébergement d’urgence et peut en ouvrir un millier d’autres dans le cadre du plan « grand froid ».
Entre une moitié et deux tiers de refus au 115
Selon le « baromètre du 115 », réalisé par la Fédération des acteurs de la solidarité, au niveau national, parmi les personnes qui ont sollicité le service d’hébergement d’urgence durant l’hiver 2016-2017, 48 % n’ont jamais été hébergées. A Paris, 64 % des demandes adressées au 115 n’ont pas donné lieu à un hébergement durant l’hiver 2016-2017, contre 57 % l’hiver précédent. En un an, le nombre de familles demandeuses a augmenté de 25 %.
Une majorité de séjours d’une seule nuit
Toujours selon ce baromètre, l’appel au 115 se traduit très souvent par des offres ponctuelles d’hébergement. Les séjours d’une seule nuit correspondent à 57 % des attributions totales et même à 68 % des attributions dans le cas des hommes seuls. Concrètement, cela oblige la personne sans domicile à appeler toute la journée pour pouvoir obtenir un lit dans la soirée, qu’elle devra quitter le matin suivant, pour rappeler le 115…
Lire aussi :   Vague de froid : depuis son réveil, Jafar a composé 63 fois le numéro d’urgence du 115
Un « découragement » face au 115
Il existe un nombre difficile à déterminer, mais important, de personnes qui ont renoncé à solliciter des hébergements d’urgence au 115. Une enquête menée en mars 2017 montrait que 67 % des SDF rencontrés lors d’une maraude ne l’avaient pas appelé par « découragement ». Une autre enquête, publiée par Médecins du monde en mars 2016, auprès de 192 personnes, précisait que quatre SDF sur dix ne composaient plus le 115 à cause des difficultés à obtenir une réponse téléphonique (parfois après plus d’une heure d’attente), en raison de refus trop fréquents ou d’une mauvaise expérience (dortoirs surchargés, violence).
Lire aussi :   Malgré le froid, certains sans-abri demeurent réticents à l’hébergement d’urgence
Un manque d’informations
Cette même enquête de Médecins du monde montrait que, parmi les migrants, qui forment une partie importante des sans-abri, à peine 57 % connaissaient l’existence du 115, ce qui met en lumière un « public invisible » qui méconnaît des droits. Difficile alors d’affirmer qu’ils font le « choix » de rester à la rue.
Eric Pliez, président du SAMU social, joint par Le Monde, s’est dit « outré » des réflexions de M. Maillard, dignes du « café du commerce » : « L’immense majorité des SDF n’aspire qu’à se mettre au chaud et à avoir un toit. Les grands marginaux très clochardisés, comme les questions liées aux animaux, sont une minorité qu’il faut accompagner. Plus tôt on fait une proposition à quelqu’un, plus c’est facile de le sortir de la rue. »
Article complet: http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/02/06/non-l-immense-majorite-des-sdf-ne-choisit-pas-de-dormir-dans-la-rue_5252335_4355770.html
0 notes