đđ đđđđđđ đđ đđđđđđđđđđ â l'air de la montagne ou l'air de mes souvenirs d'enfance.
La route sinueuse qui me donne encore aujourd'hui mal au coeur et mon fameux « on est bientĂŽt arrivĂ©s ? » Ă mes grands-parents depuis l'arriĂšre de la voiture, aux cĂŽtĂ©s de Lady. Le lac turquoise de Saint-AndrĂ©. La riviĂšre glacĂ©e aux blancs cailloux oĂč j'ai manquĂ©, plus d'une fois, de me faire une cheville. Le rosier de papi accrochĂ© Ă la façade, le plancher qui craque et l'odeur de la maison qui reste accrochĂ©e aux vĂȘtements, aux cheveux. Les fĂȘtes d'Ă©tĂ©, le concours de pĂ©tanque dans tout le village, les apĂ©ros chez les uns et les autres, la bonne cuisine de mamie. Les coccinelles au-dessus de la maison, le pommier, le poney et lâĂąne de la ferme. La cueillette des champignons. La neige et les feux de cheminĂ©e l'hiver. Les couleurs flamboyantes de l'automne. Les parties de rami, de petits chevaux, du jeu de l'oie. La camionnette-boulangerie qui manifestait son arrivĂ©e en klaxonnant dans la ruelle. Le bureau de tabac dont je ressortais avec mille et un magazines.
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Bedroom Wainscoting in Le Havre
Mid-sized coastal guest bedroom idea with wainscoting, a beige floor, and white walls but no fireplace
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Wainscoting Bedroom in Le Havre
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Decking Landscape
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saga: Soumission & Domination 273
Espagne 1
Cela faisait 15 jours que Marc et HervĂ© Ă©taient partis en voyage d'affaire et mĂȘme si notre trajet s'est agrĂ©mentĂ© d'une pause plus qu'agrĂ©able, c'est quand mĂȘme nos mecs respectifs et ça c'est irremplaçable.
Ils s'en aperçoivent car c'est dÚs l'aéroport que nous leur prouvons notre attachement. Nous leur sautons au cou et sans se soucier des autres passagers, nous leur roulons des pelles.
Comme d'habitude, nous avons droit à quelques remarques acides qui font dire à PH (qui attendait son tour pour embrasser Marc) qu'il y a des jaloux autour de nous. Heureusement, d'autres trouvent cela touchant et eux non plus ne se gÚne pas pour nous le faire savoir. Nous partons vers les taxis accompagnés de quelques mots d'approbation.
Dans l'appart d'Ernesto les choses sérieuses commencent. Nous les violons littéralement ! Ils semblent apprécier vu la dureté de leurs bites.
MĂȘme si nous savons que, tout comme nous, ils n'ont pas Ă©tĂ© privĂ©s de sexe, les sentiments qui nous lient donnent une dimension autre Ă la partie de baise.
AprÚs il nous faut raconter notre intermÚde Bordelais. Je préviens Marc que nous avions fait connaissance de deux motards de la gendarmerie et que je les avais invités à passer nous voir quand ils le voulaient. Cela ne l'étonne pas venant de moi.
Le lendemain, nous retrouvons Javier qui comme depuis deux ans nous a trouvĂ© une villa avec piscine et cuisinier au dessus de Sitges. Il ne s'est pas foulĂ©, puisque nous retrouvons et la mĂȘme villa et Paco Ă la cuisine.
L'apĂ©ritif nous attend, tout comme les attributs de Paco qui n'ont pas diminuĂ©s depuis un an. D'oĂč effusions de part et d'autre. Il nous serre contre lui en mettant ses deux grandes mains sur nos fesses pour nous plaquer contre sa bite en pleine extension, enfin PH, Ernesto et moi. Avec Marc et HervĂ©, il est plus... moins dĂ©monstratif.
 Nous faisons le tour de la maison. Nous retrouvons la terrasse équipé de postes de muscu, la piscine est évidement bien chaude et dans la cuisine, les frigos sont pleins.
Nous retenons Javier qui nous dit que Paco nous fait une fleur cette annĂ©e car ce sont ses vacances qu'il va passer Ă nous servir. En effet, il a trouvĂ© un taf de cuisinier dans un grand hĂŽtel de Barcelone. Marc est un peu gĂȘnĂ© et appelle Paco. Il l'engueule (gentiment) d'avoir acceptĂ© d'ĂȘtre notre cuisinier pendant ses 3 semaines de vacances. Paco l'assure que bosser pour nous c'est aussi des vacances car on est pas chiants et qu'il a toute libertĂ© pour la bouffe.
Hervé intervient et lui dit qu'il ne restera que s'il nous jure simplifier sa partie et qu'il profite de la piscine et des p'tits mecs qui passeront dans la maison. Je m'assois sur lui et tortillant du cul, lui dis qu'il y en a déjà trois sur place. Je me relÚve et son maillot est déformé par les presque 24cm de sa bite en plein essor.
C'est PH qui pense Ă lui demander s'il n'avait pas un petit copain. Il tergiverse mais fini par nous avouer qu'effectivement il en a un depuis quelques mois. Il nous demande s'il pourra s'absenter de temps en temps pour aller le voir.
Marc décide que ce serait beaucoup plus simple s'il pouvait le faire venir à la villa. Cette derniÚre est suffisamment grande pour accueillir une personne de plus.
Comme Paco confirme qu'il est en vacances mais qu'il est resté à Barcelone, Marc lui dit d'aller tout de suite le chercher.
Une heure et demie plus tard nous le voyons revenir avec un minet tout mimi ! Pas plus de 18ans, dans les 1m70, cheveux noir corbeau et structure fine mĂȘme si ses muscles sont bien dessinĂ©s. DĂ©jĂ bien bronzĂ©, il est vraiment craquant dans son petit short plutĂŽt court et son marcel Ă©chancrĂ©.
Paco nous présente son Juan. Malgré son air timide je vois ses yeux nous déshabiller du peu de tissus que nous avons gardé sur les fesses. Je pense que nous ne serons pas les seuls à nous amuser ici.
Marc confirme Ă Paco qu'il peut vivre ici comme bon lui semblait, il Ă©tait invitĂ© pour la durĂ©e de notre sĂ©jour. Notre cuisto le remercie et nous assure que cela ne changera rien Ă sa " disponibilitĂ© ". Il ajoute mĂȘme que cela nous amĂšne dĂ©jĂ un p'tit mec Ă domicile. Quand HervĂ© lui dit qu'il n'Ă©tait pas question de profiter de son petit ami, Paco nous assure qu'ils ne sont pas dans une relation exclusive et Juan nous confirme qu'il aime bien faire de nouvelle connaissances.
Cela tombe bien c'est notre devise !
Son petit cul m'intéressant au plus haut point, je me dévoue pour lui faire visiter la maison et l'informer des conditions de vie. Nous quittons le groupe sous alors qu'Ernesto prévient Paco que je risque de ne pas me retenir avant la fin du circuit.
Paco lui répond que c'est pas grave car il sait que je serais bientÎt assis sur sa propre bite.
Je fais les honneurs de la villa. Juan me questionne sur le groupe que nous formons. Je lui dis qui est avec qui sentimentalement, et l'assure que sexuellement nous n'avons pas de limites. Il est content car c'est de la mĂȘme façon qu'avec Paco il ont basĂ© leur relation. Il vient tout juste de terminer son cycle scolaire et rentre Ă la Fac en septembre. Je suis surpris de son orientation quand il me dit qu'il veut ĂȘtre mĂ©decin lĂ©giste.
Quand nous entrons dans la chambre de Paco, il me dit que le lit est plus grand que chez lui. Un petit coup de bassin et je le fais tomber dessus. Il se retourne et se redresse pour dĂ©nouer le lacet de mon maillot et le faire glisser Ă mes chevilles. Il m'embouche direct jusqu'aux couilles (il est habituĂ© Ă du 23,5 si je me souviens bien !). J'adore son enthousiasme. Il ne pĂšse rien et sans difficultĂ©, alors qu'il continu Ă me tĂ©ter la queue, je le mets Ă 4 pattes et lui retire son minishort. Son cul est tout bronzĂ© aussi. Ăa changera Marc et HervĂ© de nos trois culs blancs. Pas de poils non plus hormis une mini touffe au dessus de son sexe (15/16cm x 4). Je le retourne et, en 69, je peux admirer sa rondelle lĂ©gĂšrement boursouflĂ©e. Quand je lui dis que cette derniĂšre semble avoir servie il y a peu de temps, il m'avoue s'ĂȘtre fait dĂ©monter vite fait par Paco pendant qu'il prĂ©parait son sac pour venir. Mon puis mes doigts rentrent facilement. Je lui en fais la remarque et il m'assure que se faire dĂ©foncer le cul au minimum deux fois par jour par la bite de Paco, ça formate.
Je lui demande s'il fait des exercices de musculation de son sphincter, il est étonné et ne voit pas ce que je veux dire par là . AprÚs explications, il est partant pour essayer.
En attendant je prends une kpote sur la table de nuit et l'enfile. Heureusement que je suis super excitĂ© sinon la taille XL utile Ă Paco risquerait de glisser. Juan est super partant et il recule de lui-mĂȘme pour s'emmancher sur ma bite.
Je suis rassuré. Son trou est souple mais colle bien à ma queue. Quand je lui demande se serrer son trou, je me sens pris au plus prÚs. Il apprécie mes coups de rein et laisse échapper des gémissements caractéristiques de la chose. Nous sommes tellement pris à nous faire du bien que nous n'entendons pas son mec entrer. Je ne m'en aperçois que quand son corps se colle à mon dos et que sa bite s'enfonce en moi.
Juan en levrette se retourne alors que j'ai cessé tout mouvement dans son cul le temps que le mien s'habitue à ce qu'il prend facile tous les jours. Il est tout content que son mec nous ait rejoints et se redresse pour lui tendre ses lÚvres. Ils le lÚchent le museau. J'interromps ce moment de tendresse quand je me remets à basculer mon bassin. Juan me trouve plus gros dans son cul. Paco par-dessus mon épaule lui dit que c'est le deuxiÚme effet Kiss Kool !
Je suis bien, la prise en sandwich est trop bonne. Ăa titille mes cotĂ©s Actif comme Passif.
Paco me tue littéralement et m'envoi au 7Úme ciel avec son gros gland qui frotte ma prostate à chaque passage. J'ai le plaisir de sentir Juan juter sous mes derniers coups de boutoir.
Paco se retire de moi, jette sa kpote et va s'enfoncer dans la gorge de son p"tit mec. Il lui lime les amygdales et se retire juste pour Ă©taler sur la gueule quelques longs jets de sperme avant de renfoncer son gland dans sa bouche et de lui faire avaler le reste de sa production.
Quand nous retournons sur la terrasse, Marc et PH me demande alors comment j'avais trouvé le petit nouveau. Je les fais rire en leur disant qu'à 4 pattes il est encore plus bandant.
Ernesto l'attrape et le jette dans l'eau. Il en sort un peu éberlué, peu habitué à ce genre de relation.
Il est 15 h quand Paco nous sert le déjeuner. Nous nous mettons à l'heure Espagnole et faisons dériver les points fixes de la journée de plusieurs heures.
Il nous régale de salades et de plats froids. Légers tout en étant chargés en protéines ce qu'il nous faut pour assurer notre forme.
Petite sieste réelle, la pleine chaleur n'est ni propice à la muscu ni au sexe. Au réveil, nous discutons avec Paco et Juan sur le programme des 3 semaines.
Juan rit quand il m'entend énoncer baise/piscine/muscu/restauration/récupération et on remet ça.
Juan nous dit que nous pourrions aussi trainer dans les soirĂ©es organisĂ©es par certaines boites et cafĂ© branchĂ©s. Nous serions assurĂ©s de trouver les nouvelles tĂȘtes. Il le sait par des copains Ă lui qui sont rĂ©guliĂšrement invitĂ©s. Marc lui demande si ses amis sont aussi mignons que lui. Paco qui entend ça, nous assure qu'ils sont tous aussi canons et qu'il avait eu tellement de mal Ă choisir qu'il ne se privait pas pour se faire, de temps en temps, des plans Ă 3 avec l'un d'eux.
La premiÚre soirée sert à finir de se " caler ". Nous laissons Juan avec Marc et Hervé alors que nous trois profitons de la belle bite de son mec.
En dĂ©placement souvent ensemble, Marc et HervĂ© se sont mis Ă profiter ensemble des petits mecs qu'ils lĂšvent et nous mĂȘme profitons de leur nouvelle complicitĂ©.
En attendant c'est aux 23,5 cm de Paco que nous nous attaquons. Comme quand on baise avec Pablo, ce plan Ă 4 va me permettre de me faire enculer par du lourd en mĂȘme temps que mon PH adorĂ©. Dans ces cas lĂ , ce qu'on aime le plus c'est de se mettre en 69 et que chacun de nous se fasse emmancher en mĂȘme temps.
Je me positionne donc au dessus de lui et coince ses jambes sous mes bras pour bien lui relever le cul et avale sa bite. De son cotĂ©, PH me tĂȘte la queue alors que je reste Ă 4 pattes.
C'est la bite d'Ernesto qui entre dans mon champ de vision et qui se met Ă dilater l'anneau de mon amour. Dans le mĂȘme temps il doit voir ma rondelle s'ouvrir sous la pression du gland de Paco que je sens entrer en moi.
Quand Ernesto tape le fond du cul de PH il m'enfonce en mĂȘme temps sa bite au fond de ma gorge. Je me recule un peu et achĂšve un peu brutalement de me faire enculer. Un petit temps pour rĂ©gler le tempo de chacun et nous prenons tous les 4 du plaisir. Je fais Ă Paco le coup de frein inopinĂ© alors qu'il met tous son coeur Ă me pĂ©nĂ©trer. D'oĂč un Ă©tranglement de PH que ma bite lui provoque en se bloquant tout au fond de sa gorge Ses incisives en marquent mon bas ventre !
Je relùche la pression et j'entends Paco me dire qu'il va falloir que j'enseigne ça à Juan, que c'était réel trop bon.
Je sens la bite de mon PH prise de spasme. Il va bientĂŽt me juter dedans ! Mais il arrive Ă se calmer et ce n'est pas pour tout de suite. De mon cotĂ© les va et vient puissant de Paco dans mon cul et les passages rĂ©pĂ©tĂ©s de son gland sur ma prostate m'excitent bien. C'est mĂȘme plus agrĂ©able au retrait vu la forme de son gland Ă gros rebord type " champignon ". a force, il rĂ©ussit Ă me faire dĂ©coller et j'explose dans la bouche de PH. Automatiquement mon anus pulse et ses contractions rĂ©pĂ©tĂ©es ont raison de la rĂ©sistance de Paco et il remplit sa kpote, fermement accrochĂ© Ă mes hanches. Alors qu'il me lime plus calmement, façons " rĂ©cupĂ©ration aprĂšs l'effort ", je sens ma bouche se remplir du jus de PH. J'avale pour ne pas en gĂącher une goutte mais garde ses deux derniĂšres Ă©jaculations pour les partager avec lui et Ernesto.
Je vois ce dernier se retirer du cul de mon mec alors qu'il a déjà commencé à juter et achÚve de se vider sur son visage et son torse. J'avale un peu du sperme de PH que j'avais en bouche pour pouvoir aspirer un peu du sien. De son coté, PH ouvre grand la bouche pour en récupérer lui aussi. Par un roulage de pelle à trois langues, nous échangeons les spermes récupérés et Ernesto n'est pas le dernier à lécher les traces blanches qui zÚbrent nos visages. Paco en reste sur le cul de nous voir aussi complices.
AprÚs un bon 1/4 d'heure de récup, nous rejoignons les autres. Ils ont pris leur temps et Hervé et Marc sont encore dans Juan quand nous arrivons. Ils profitent de son petit format pour se le faire à la " broche ". Marc est planté dans son cul alors qu'Hervé se fait le fond de sa gorge et de temps en temps ils interrompent leurs va et vient et le tournent, une fois sur le ventre, une fois sur le dos et de temps en temps ils le boquent sur le coté.
Paco rebande Ă la vue de son petit mec sautĂ© comme cela. Comme on ne peut pas le laisser comme ça, PH se penche et embouche une nouvelle fois son gros gland. Je m'y mets et la tĂȘte en arriĂšre lui mange les couilles alors qu'Ernesto s'occupe de sa rondelle. On fait si bien qu'il est tout prĂȘt Ă juter quand Marc et HervĂ© prennent leur plaisir. On le relĂąche et il explose, envoyant son sperme sur le dos de son mec.
Petite récupération et aprÚs une rapide douche, plongeons dans la piscine pour se rafraichir une derniÚre fois avant le dodo.
Jardinier
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La bouillabaisse fait partie de ces plats qui me rappellent les vacances au bord de la mer !
Cette recette de bouillabaisse (avec sa rouille maison !) est trÚs proche de la recette traditionnelle , tout en restant relativement simple à réaliser.
Pour la bouillabaisse
1Â oignon jaune
1 fenouil , petit
1Â poireau
4-5Â tomates
1 c. à soupe de c oncentré de tomates
1Â livre de pommes de terre
1 c. à soupe de graines de fenouil
10 fils de safran
3 feuilles de laurier
1Â orange
500 g poisson frais rascasse, rouget barbet, Saint Pierre ou autre poisson blanc (cabillaud, lotte etc.)
200 g crevettes 200 g
1 livre moules 500 g
1 litre fumet de poisson
125 ml vin blanc sec
40 ml pastis Pernod Ricard
Sel
Persil frais
Pour la rouille
150 ml dâhuile dâolive
2 jaunes dâĆuf
3 gousses dâail
1 c. à soupe de moutarde de Dijon
2 tranches de pain
6 fils de safran
1 pincée de sel
1 c. à café paprika
1 c. Ă cafĂ©Â Piment dâespelette
Quelques gouttes de jus de citron
InstructionsÂ
Ămincer lâoignon, le fenouil et le poireau. Couper les tomates et les pommes de terre en cubes.
Dans une grande casserole ou un cocotte, faire chauffer lâhuile dâolive Ă feu moyen. Ajouter lâoignon, le fenouil et les poireaux. Faire revenir pendant quelques minutes jusquâĂ ce que lâoignon soit translucide.
Ajouter les graines de fenouil, les fils de safran, les tomates, le concentrĂ© de tomates et le zeste dâorange. Remuer et laisser cuire quelques minutes pour libĂ©rer les arĂŽmes.
DĂ©glacer avec le pastis et le vin blanc. Retirer le zeste dâorange, puis verser le fumet de poisson.
Option : mixer la soupe et la passer au tamis pour Ă©liminer les morceaux. Reverser dans la casserole.
Ajouter les pommes de terre, la feuille de laurier et le zeste dâorange et faire cuire Ă feu moyen pendant 20 minutes.
Rincez bien les moules sous lâeau froide et retirez celles qui sont ouvertes ou cassĂ©es. Couper le poisson en cubes. Ajouter sur le poisson, les crevettes et les moules.
Couvrir la cocotte avec un couvercle et laisser mijoter pendant 5 Ă 7 minutes Ă feu doux, ou jusquâĂ ce que le poisson soit cuit, que les crevettes soient roses et que les moules soient ouvertes. Jeter les moules qui ne se sont pas ouvertes pendant la cuisson.
Retirer la cocotte du feu et verser la bouillabaisse dans des bols. Garnir de persil frais haché.
Sauce rouille
Faire tremper le pain dans de lâeau ou un peu de soupe de poisson. Dans un petit bol, mĂ©langer les fils de safran avec quelques gouttes de jus de citron et laisser infuser quelques minutes.Dans le bol de votre robot ou dans un petit bocal, ajoutez les jaunes dâĆufs, les gousses dâail, la moutarde de Dijon, le pain trempĂ©, le safran avec le jus de citron, une pincĂ©e de sel, le paprika et le piment.
Ă lâaide dâun mixeur ou dâun robot, mixer le mĂ©lange jusquâĂ ce que tous les ingrĂ©dients soient bien combinĂ©s.Le robot Ă©tant toujours en marche, verser lentement lâhuile dâolive en un filet rĂ©gulier. Continuer Ă ajouter de lâhuile dâolive petit Ă petit jusquâĂ obtenir la consistance souhaitĂ©e.GoĂ»ter la rouille et rectifier lâassaisonnement si nĂ©cessaire.TransfĂ©rer la rouille dans un bol de service et la rĂ©frigĂ©rer pendant au moins 30 minutes avant de la servir.
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au dĂ©but des annĂ©es 2000. J'Ă©tais en vacances dans le sud et nous avons dialoguĂ© jusqu'Ă mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'ĂȘtre prononcĂ©. Nous nous sommes rencontrĂ©s au dĂ©but du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionnĂ© entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passĂ© avant ton envie de me voir. VexĂ©e, je t'ai dis que je prĂ©fĂ©rais qu'on en reste lĂ . Le 29 aout, tu m'as envoyĂ© un message pour me souhaiter ma fĂȘte et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quittĂ©. Les premiers mois ont Ă©tĂ© superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller Ă La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant dĂ©couvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le mĂȘme toit que mon ex-mari, nous allions dormir Ă l'hotel rĂ©guliĂšrement. Tu prĂ©voyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivĂ©e aprĂšs toi et tu avais pavĂ© le couloir de l'hotel de pĂ©tales de roses, jusqu'Ă la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emmĂ©nagĂ© dans ta ville, dans la mĂȘme rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© garder chacun notre appartement au cas oĂč. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de mĂȘme conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changĂ© beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'Ă©viter la rupture, nous avons pris la dĂ©cision de nous laisser la libertĂ© de vivre d'autres choses. Nous avons vĂ©cu ainsi quelques annĂ©es. En 2020, mes 3 premiers enfants Ă©tant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer Ă faire chambre Ă part. De toute façon, il y avait dĂ©jĂ quelques annĂ©es qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillitĂ© et l'Ăąge venant, nous avons dĂ©cidĂ© de nous marier, pour mettre Ă l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. MĂȘme si nous sommes trĂšs diffĂ©rents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis prĂšs de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvĂ©, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. DĂ©sormais, nous avons un petit-fils qui, mĂȘme s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les cĂąlins, la sensualitĂ©, le sexe, la sĂ©duction, les projets, les voyages Ă deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais Ă quel point les sentiments sont Ă©phĂ©mĂšres. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important dĂ©sormais, c'est la stabilitĂ© et la confiance et cela, tu me l'apporte jour aprĂšs jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'ĂȘtre l'homme que tu es, avec tes qualitĂ©s et tes dĂ©fauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'Ă ce que la mort nous sĂ©pare.
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àŒ A DROP IN THE OCEAN ;; ouverture
Il y a dans l'air une odeur spĂ©ciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cĆur de la cĂŽte est. L'exotisme des palmiers s'entremĂȘle Ă la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mĂ©lange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorĂ©es des planches de surf se perdent dans l'eau bleutĂ©e. Les rayons omniprĂ©sents du soleil se reflĂštent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrĂȘte jamais, pas mĂȘme dĂšs que la lune apparaĂźt. Dans la nuit, les lumiĂšres et la pĂ©nombre se mĂ©langent pour former la beautĂ© de cette ville oĂč les espĂ©rances peuvent devenir rĂ©alitĂ© ou ĂȘtre emportĂ©es par la marĂ©e. Parfois, le bleu de l'ocĂ©an se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer.
Dans la ville magique, les Ăąmes aussi ont des couleurs diffĂ©rentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la mĂȘme saveur, les accĂ©lĂ©rations du cĆur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spĂ©ciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique Ă Miami.
Nous avons l'immense plaisir de vous annoncer l'ouverture officielle de notre petit projet, A Drop In The Ocean. Milles mercis Ă celles et ceux qui ont suivi le projet, qui nous ont soutenu et contenu de le faire, ça nous fait vraiment chaud au coeur. đ
Nous espĂ©rons que notre maison deviendra la vĂŽtre Ă©galement. âïž
NOUS REJOINDRE
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Je suis dans la maison de mes parents mais tout seul parce que ma mĂšre est en vacances et je crois que c'est la premiĂšre fois que ça arrive depuis huit ans qu'ils ont achetĂ© ici, ça fait bizarre, il y avait une bouteille de vino verde et un cadeau sur la table avec Ă©crit que je devais les ouvrir que samedi prochain quand ça sera mon anniversaire et qu'il y aura d'autres gens qui m'auront rejoint. En attendant j'ai prĂ©vu de poncer un meuble et deux Ă©tagĂšres, de me balader dans la campagne avec les chiens et de virer toute la dĂ©co adolescente de ma chambre. Il pleuvait quand je suis arrivĂ©, j'ai voulu me changer, mais au lieu d'aller au 2eme je suis entrĂ© dans la chambre de mes parents j'ai dis Ă mon pĂšre qui est mort "je peux t'emprunter un t-shirt ?" et j'en ai pris un dans ses affaires (toutes ses affaires sont encore Ă leur place, ça fait un an et 5 mois, ma mĂšre a jetĂ© sa brosse Ă dents y a quelques mois mais sinon j'ai pas vu d'autre chose manquante), j'ai peur d'ĂȘtre tout seul alors j'aime mieux imaginer qu'il fait la sieste dans son lit comme ça arrivait souvent Ă la fin, et que d'un moment Ă l'autre y a l'escalier qui va grincer parce qu'il me rejoint en bas
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Contexte
Peu importe ce qui vous menait sur les routes du Nebraska : travail, rĂ©union de famille, vacances⊠Toujours est-il que vous ĂȘtes sorti de lâautoroute Ă un moment, pour une pause repas peut-ĂȘtre ? Ou pour profiter du charmant paysage qui vous entoure. Et, lorsque vous avez repris votre chemin, vous avez dâabord rencontrĂ© une route barrĂ©e en faisant demi-tour : la mĂȘme par laquelle vous ĂȘtes arrivĂ©s, vous pourriez le jurer.Â
En bifurquant, vous arrivez dans une petite ville qui nâen a que le nom : une route principale qui traverse la bourgade, quelques maisons, quelques commerces, quelques habitants. Vous demandez votre chemin, on vous rĂ©pond vaguement et avec un air las et triste quâil suffit de continuer votre route. Et vous poursuivez donc, pour revenir inlassablement dans cette ville.Â
Vous ĂȘtes Ă Derry, bloquĂ© dans un espace-temps coupĂ© du monde que vous connaissez, une commune oĂč le temps semble sâĂȘtre Ă©trangement figĂ© entre plusieurs Ă©poques mĂ©langĂ©es : il y a ici et lĂ des maisons typiques des annĂ©es soixante, des voitures dont le modĂšle date de lâan passĂ©, des gens portant des habits qui Ă©taient Ă la mode dans les annĂ©es 90. Et vous ne pouvez plus repartir, quels que soient vos efforts, vous revenez sans cesse au mĂȘme point : Derry.Â
Il y a bien les bois qui entourent Derry mais on vous prĂ©vient : ils sont dangereux. Car en plus dây ĂȘtre coincĂ©s, on vous apprend que la nuit, rĂŽdent des crĂ©atures qui ont lâapparence dâhumains, de personnes que vous connaissez. Tout le monde peut les voir et les entendre, mais si elles entrent, elles vous dĂ©vorent, ne laissant derriĂšre eux quâun cadavre vidĂ© de tous ses organes. La nuit, il faut vivre portes barricadĂ©es, fenĂȘtres calfeutrĂ©es, ne pas prĂȘter attention Ă ces voix familiĂšres qui vous demandent de leur ouvrir. La nuit, les crĂ©atures rĂŽdent.
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
à ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'aprÚs ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ăa va ! Et toi ? Comment Ă©tait ton voyage Ă Londres ?
C'Ă©tait trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les Ă©tudes ?
Snow: HonnĂȘtement, je suis fatiguĂ©. J'ai vraiment hĂąte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible.Â
En parlant d'exotique; jâai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystĂšre qui est rĂ©cemment devenu obscur et je savais que tu Ă©tais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom TrithĂšme, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventĂ© la cryptographie et communiquĂ© avec les esprits ?Â
Câest lui. Je suis tombĂ© sur une Ă©trange maison d'Ă©dition qui rĂ©Ă©dite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: RĂ©Ă©dite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a mĂȘme Ă©tĂ© traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça.Â
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-ĂȘtre qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliquĂ©s ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drĂŽle. Chaque lettre qu'on veut dĂ©coder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut dĂ©coder le mot "secret", le texte dĂ©cryptĂ© devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement ĂȘtre une vraie priĂšre latine, bien que peu crĂ©ative. Son deuxiĂšme livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'Ă©criture. Â
Les gens ont dĂ» penser qu'il Ă©tait fou.
Snow: Oui, probablement mĂȘme aprĂšs son premier livre StĂ©ganographie.Â
Ah, c'est ça. StĂ©ganographie est le livre que Mars Ăditions a rĂ©Ă©ditĂ©.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. StĂ©ganographie se compose de trois parties. La derniĂšre partie est incroyablement compliquĂ©e et contient des tableurs de donnĂ©es planĂ©taires. Quelqu'un dĂ©couvrait rĂ©cemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas Ă comprendre moi-mĂȘme.
Et les deux premiĂšres parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui TrithÚme mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ?Â
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planĂšte. Chaque esprit a mĂȘme son propre symbole, un sceau. Et, bien sĂ»r, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais cachĂ© dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression prĂ©cise. Quand Pamersiel apparaĂźt, on peut lui donner un message Ă transmettre Ă n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit ĂȘtre cryptĂ© avec des rĂšgles spĂ©cifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la premiĂšre lettre de chaque mot.Â
Si je veux transmettre le mot "secret", j'Ă©cris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: Câest un peu plus compliquĂ©. On doit prendre chaque deuxiĂšme lettre de chaque deuxiĂšme mot. TrĂšs diffĂ©rent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le dĂ©coder, tu dois savoir quel esprit l'a dĂ©livrĂ©.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple Ă©crire "c'est assez, tu Ă©cartes or et argent".Â
Snow: Tu es incroyablement douĂ© pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement TrithĂšme-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire tĂ©lĂ©phonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui Ă©tait le plus important pour TrithĂšme : le spiritisme ou la cryptographie.Â
Je pense que pour lui, les deux sont liĂ©s. Ăvidemment mĂȘme l'astronomie si tu inclus le dernier partie de StĂ©ganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscitĂ© l'intĂ©rĂȘt de nombreux astronomes et mathĂ©maticiens de renom et mĂȘme de linguistes, c'est ainsi que je suis tombĂ© sur son travail. Mais je ne suis jamais allĂ© trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement lĂ oĂč je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide.Â
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout Ă l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
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tous les mois d'août depuis quasi dix ans je vais en vacances dans une maison de famille de potes, et c'est un peu les seules personnes dans ma vie qui connaissent aussi bien les vraies refs donc à chaque fois le ratio de citation de "regardez moi cette meule, j'ai affiné cette saloperie de frometon pendant des mois et des mois" par jours passés ensemble est hyper ressourçant
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J'organise nos vacances d'octobre et j'ai acheté des tenues de Noël pour l'enfant.
Dans trois jours, retour à la maison et à la réalité avec (quasi) un rdv médical par jour la semaine prochaine, entre l'enfant et moi.
J'ai trouvé mes dérobades.
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espĂšre), chĂątain clair Ă©bouriffĂ©, imberbe et dĂ©jĂ bien bronzĂ© avec un shorty trĂšs court. Dans les 1,75m plutĂŽt fin mais avec des muscles bine dessinĂ© quand mĂȘme.
Je tombe Ă genou Ă cotĂ© de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence mĂȘme Ă caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarquĂ©s notre groupe hier aprĂšs midi dĂ©jĂ .
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ?
Il ferme un oeil et, aprÚs avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mÚtre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto.
Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est trÚs, trÚs bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derriÚre le premier rideau d'arbre.
Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager.
Je me penche alors et pose mes lĂšvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas.
Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lĂšvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer.
J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraßche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin.
AprĂšs un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutĂŽt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fĂȘter ses 18ans, des parents au travail qui, l'Ă©tĂ©, s'installent dans la station oĂč nous avons louĂ© et qui font les trajets tous les jours Ă Bordeaux et un frĂšre plus ĂągĂ© qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard oĂč plutĂŽt tĂŽt le matin, aprĂšs tout c'est les vacances.
Je lui demande s'il serait intĂ©ressĂ© par une invitation Ă une soirĂ©e privĂ©e chez nous ce soir mĂȘme.
Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dÚs maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramÚne, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intÚgre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprÚs d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui.
Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutÎt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermĂ© et nous nous mettons Ă poil le temps de traverser la maison. Jules hĂ©site mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent dĂ©jĂ , il baisse son maillot et nous fait dĂ©couvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutĂŽt ovale avec deux petites couilles rasĂ©es. Quand Ernesto se retourne, il reste quand mĂȘme bloquĂ©, le regard fixĂ© sur les attributs de notre espagnol.
C'est sur que tùtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons.
Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau !
Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'Ă©trangle avec son gland ! PH lui glisse Ă l'oreille qu'il n'a rien Ă prouver avec nous.
En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle.
Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitĂŽt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans ĂȘtre fermĂ©e, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relĂąche mes lĂšvres et halĂšte un peu sous l'effort. J'ai droit Ă son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment trÚs chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé.
Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relÚve les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complÚtes avant de me renfourner au chaud.
Il attire ma tĂȘte et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal Ă me retenir quand je sens, projetĂ© sur mes abdos, son sperme. Je lĂąche les vannes et callĂ© tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'Ă©croule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lĂšche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau.
Je me retire avant de débander.
Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrÚte. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle.
Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner.
Les deux gendarmes nous rejoignent Ă ce moment lĂ . Ils encadrent Jules, le soulĂšvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm).
Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire.
PH et moi sommes restés au spectacle. DÚs que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
AprÚs la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût.
Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui Ă©tait encore jamais arrivĂ© un plan pareil. Ăa le changeait des locaux de son Ăąge.
Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher.
Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment.
Contrairement Ă la veille chez eux, pas de mĂȘlĂ©e commune, mais des actions par petits groupes.
Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxiÚme fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutÎt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a Ă©tĂ© content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis mĂȘme pas abaissĂ© Ă leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à trÚs tÎt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me rĂ©veille en mĂȘme temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je dĂ©cide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. MalgrĂ© les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'Ă Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin.
On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans.
Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dĂšs qu'ils pourront.
En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'Ă ceux de son collĂšgue.
Nous touzons tranquillement toute l'aprÚs midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontiÚre et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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Je dĂ©couvre aujourd'hui que j'Ă©tais heureuse.... Pourquoi on ne sait pas ces choses-lĂ ? Pourquoi on ne les mesure pas? Parce qu'on croit que le lendemain sera mieux, on demande plus, on trouve que le prĂ©sent est minable, comparĂ© Ă ce qui va arriver. On attend d'amĂ©nager dans une nouvelle maison,..., on attend d'ĂȘtre en vacances, on attend d'avoir un deuxiĂšme enfant, on attend de publier un livre, ... on attend d'avoir de l'argent pour travailler moins, on attend d'ĂȘtre libre. On a les yeux rivĂ©s sur l'avenir... On attend d'ĂȘtre tranquille, ..., on attend demain. A force d'attendre on piĂ©tine chaque jour qui passe, on le vit comme un Ă©tat provisoire, on ne s'installe pas vraiment.
Brigitte Giraud
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