#Marcel Dupré

[clamarcap]

Noël nouvelet - I

Noël nouvelet – I

Anonimo del XV secolo: Noël nouvelet, testo e melodia del XV secolo. Petits Chanteurs du Mont-Royal. Noël nouvelet, Noël chantons ici. Dévotes gens disons à Dieu merci. Chantons Noël, pour le roi nouvelet.  Noël nouvelet, Noël chantons ici. Quand je m’éveillai et eus assez dormi. Ouvris les yeux, vis un arbre fleuri. Dont il sortait un bouton merveilleux,  Noël nouvelet, Noël chantons ici. D’un…

[claudehenrion]

La tristesse d'un conservateur impénitent...

  J'appartiens –sans en tirer ni gloire ni honte-- à la cohorte des gens qui restent fidèles à ce qu'ils ont aimé, des gens qui, par principe, ne crachent pas dans la soupe, des gens qui savent encore dire ''Excusez-moi'' ou ''Pardon, je ne l'ai pas fait exprès'' –et qui non seulement savent le dire, mais... le disent lorsqu'il convient de le faire-- des gens qui aiment dire ''Merci'' et (la liste n'est pas limitative) qui ont le sourire vrai, facile, fréquent et, dans la mesure de ce que me permet ce que je suis devenu avec le grand âge, chaleureux. Mais sincère. Ça, c'est le cadre, le décor..

Les membres de cette cohorte en voie de disparition progressive se lamentent de l’abandon de ce qu'ils trouvaient beau, ou ''à sa place'', ou en harmonie avec tout le reste, et ils sont facilement angoissés à la vue de ce qui remplace ce qui disparaît. L'impératif absolu de devoir s'extasier devant la mode juste parce qu'elle est à la mode, de trouver génial tout ce qui est nouveau au seul motif que c'est nouveau, de dire ''beau'' ce que l'on trouve laid parce que ce serait ça, ''vivre avec son temps'', d'obéir sans savoir pourquoi à la loi du marché puisque c'est ce que recommande la ''pub'' du jour... tout cela nous est étranger et nous laisse, heureusement, de marbre. Le gouvernement, qui ne comprend vraiment rien à rien, nous a, une fois pour toutes, classés ''complotistes'', juste parce que nous cherchons à comprendre et que, parfois, nous osons dire que nous ne sommes pas d'accord avec lui...

Voir disparaître une boutique ''à l'ancienne'' où je plaisantais avec une vieille dame adorable qui me parlait de ses parents, commerçants ici-même pendant 40 ou 50 ans avant qu'elle ne leur succède, et voir ce temple de ''l'humanité-de-quartier'' être remplacé par une boutique de fringues  où fume un brûleur de faux encens dans une musique affreuse hindouiforme, et dont on sait qu'elle va tenir le coup 18 mois au maximum, ou par un ''Mac Do'' dont on est certain qu'il sera encore là dans 10 ou 15 ans mais toujours aussi moche, me fait mal. J'en appelle au témoignage de Baudelaire qui se lamentait des destructions pharaoniques du Baron Haussmann :                                    ''Le vieux Paris n'est plus.                                                                                               La forme d'une ville                                                                                                       Change plus vite, hélas !                                                                                               Que le cœur d'un mortel''                                                     C’est l’expérience désolante qui subissent aujourd’hui les parisiens, soumis à la folie partisane,  ravageuse, et sectaire à en être fanatique, de la mère hidalgo.

Voir Paris, mon beau, mon cher Paris –celui qui s'est révélé à moi par petits morceaux, lorsque, arrivant en 1955 de mon Maroc natal, j'ai découvert la Rive Gauche dans l'hiver ''56'', le plus froid ''de mémoire d'homme''-- s'effondrer dans des chantiers innommables, uniquement destinés à rendre telle rue puis telle autre invivables aux humains, et se couvrir de laideurs que seule une hidalgo pouvait concevoir (on voit toujours le monde et les choses à travers sa propre image, à travers ce que l'on est !) me rend triste, lorsque mes balades à moto me ramènent dans une rue ou sur une place que je n'avais pas revisitée depuis longtemps.

Je voudrais vous raconter le café-restaurant ''Au rendez-vous du Bâtiment –Maison Paradou'', à l'angle des rues de Rennes et d'Assas, ses tables en chêne brut et ''Mélie'', la patronne au si grand cœur...  J'aimerais vous parler des studios ''Hamm'', en haut de la rue de Rennes, où j'ai appris, tout seul, à jouer de l'orgue pour mériter un cours du grand Marcel Dupré, titulaire à Saint Sulpice (la location d'un studio équipé d'un orgue ''neuf jeux'' coûtait 10 francs de l'heure soit l'équivalent de 2 heures de ''petit cours de maths'' aux enfants du Capitaine des Pompiers de la rue du Vieux-Colombier.)... Je voudrais prononcer une oraison funèbre pour toutes ces échoppes ''de bougnats'' (''Vins, Bois et Charbon'') de la rue du Dragon, devenues de sinistres usines à mauvais sushis ou des dark kitchen... d'où ne sortira jamais un vrai ''steack-frites'' ou un ''œuf-mayonnaise'' inoubliable... Je voudrais vous dire le charme oublié du linge qui sèche aux fenêtres et la douceur de ces vieux qui, le soir venu, amenaient une chaise devant leur porte pour parler avec les voisins... Mais tout ça n'intéresse plus  personne...

Pour celui qui est attaché à l'authenticité des ''centres-villes'', sans article comme il convient de le faire si on veut avoir l'air moderne (la destruction de notre langue valant brevet de modernité militante), le plus grand ennemi, ce n'est pas l'Italie comme le blatère l'insupportable Darmanin, ce cuistre XXL, mais c'est ce que les ''ceux-qui-savent'' appellent ''la gentrification'' (de l'anglais Gentry = noblesse sans titre) et leurs ennemis la boboïsation, pour désigner ''la transformation de quartiers populaires par l’arrivée de catégories sociales plus favorisées qui réhabilitent les logements et importent des modes de vie et de consommation qui en changent toute l'ambiance’’, comme le quartier du canal Saint Martin, à Paris. Or il est paradoxal de constater que ceux qui pratiquent le plus cette dénaturation et en tirent le plus parti sont ceux qui se réclament de ''développement durable'', de ''préservation des habitats et des sites'', ou encore de ''produits naturels et de nos terroirs''... tout en uniformisant le monde, en le rendant triste, incolore, inodore et sans saveur, et en chassant ''les petites gens'' (sic !) de leur habitat pluri-séculaire...

Mais pourquoi tout cela m'agace-t-il si fort ? C'est pourtant une vieille histoire...  Je sais depuis mon enfance que Saint Augustin notait déjà, au début du V ème siècle : ''Des gens récriminent sur leur époque. Pour eux, celle de leurs parents était le temps heureux. Le passé que tu crois plus doux à vivre, n'est beau que parce que ce n'était pas le tien''... et il est évident –surtout pour un chrétien-- que le dernier véritable ''Age d'or'' remonte à ''deux minutes avant le péché originel''. Il s'agit donc d'autre chose, peut-être d'une différence infime entre la nostalgie et la mélancolie, le ''spleen'' et la tristesse, l'amertume et la colère, ou entre ''conserver'' et ''sauver''.

En toute honnêteté, on est en droit de se demander si, depuis quelques années, ça n'était pas, effectivement, ''mieux avant'', comme il est interdit de le dire et même de le penser, en ces temps où nos libertés fondamentales sont foulées au pied au nom de principes qui n'en sont pas et de valeurs  qui n'en ont jamais été... Au cours de ces dix, vingt, trente dernières années, le monde, l'Europe et la France n'ont rien gagné en beauté, ni en joie de vivre, ni en fraternité authentique, ni en ‘’progrès’’ culturel... Et, j'ai beau chercher, je ne trouve pas où ni en quoi il y aurait un vrai mieux, en dehors de quelques médicaments et de quelques éléments de confort domestique (pour l'ordinateur, dont je suis ‘’fan’’, il est trop tôt pour faire un bilan).

C'est dans cette destruction systématique de ce qui était notre ''vie intérieure'' que se ressourcent mes ''rêveries d'un promeneur solitaire'' à moi (qui ont peu de points communs avec celles de Rousseau, vous vous en doutez !).  Mais en comparant ce dont je me souviens avec ce que je vois... je n'ai plus envie de flâner dans Paris, que j'ai pourtant adoré : pour moi, ça n'a plus aucun intérêt, aucun sens, aucun charme... et plus aucun plaisir. Et pour vous, que vous soyez parisiens ou pas ?

H-Cl.

[personal-reporter]

Olivier Messiaen, il musicista che amava gli uccelli

Un uomo che amava la natura e il piacere della musica…. Olivier-Eugène-Prosper-Charles Messiaen nacque ad Avignone il 10 dicembre 1908 dalla poetessa Cécile Sauvage e da Pierre, studioso e insegnante di letteratura inglese. Allo scoppio della prima guerra mondiale Pierre venne  arruolato e la famiglia si trasferì a Grenoble, presso il fratello di Cécile, dove Olivier svolse le prime esperienze musicali e,  dopo i primi approcci da autodidatta, iniziò a prendere lezioni di pianoforte e a dedicarsi alla composizione. Nel 1918, al ritorno di Pierre, i Messiaen si trasferirono a Nantes e, dal 1919, a Parigi, dove Olivier fu ammesso al Conservatorio: fu allievo di Jean Gallon per l’armonia, Maurice Emmanuel per storia della musica, Marcel Dupré per organo e improvvisazione, poi nel 1926 iniziò gli studi di composizione con Charles-Marie Widor per proseguirli poi dal 1927 con Paul Dukas, sotto la cui guida conseguì il Premier prix nel 1930. Durante gli studi Messiaen pubblicò i primi lavori e fu organista presso l’Église de la Sainte-Trinité in sostituzione del titolare Charles Quef e alla morte di questi, nel 1931, rilevò l’incarico. Nel 1932 sposò la violinista e compositrice Louise Justine Delbos, soprannominata Claire, dalla quale nel 1937 ebbe un figlio, Pascal. Colpita da un tumore cerebrale, nel 1947 Claire fu sottoposta a un intervento che, pur riuscendo nell’asportazione, avrebbe causato la perdita della memoria della donna, che avrebbe trascorso il resto della vita in un istituto. Nel 1936 Messiaen iniziò ad insegnare presso la Schola cantorum parigina mentre, insieme a André Jolivet, Jean-Yves Daniel-Lesur e Yves Baudrier fondò il gruppo La jeune France, che, in polemica con Jean Cocteau e il gruppo dei Sei,  propugnava un rinnovamento dei linguaggi musicali. In quel periodo il compositore cominciò a rivolgere la propria attenzione alle potenzialità espressive offerte dalle onde Martenot. Chiamato alle armi al principio della seconda Guerra mondiale,  Olivier nel maggio 1940 fu catturato dalle forze naziste preso Verdun e imprigionato a Görlitz nel campo di concentramento VIII-A e venne liberato nel maggio 1941. Rientrato in patria, ottenne la cattedra di armonia presso il Conservatorio parigino, poi  ampliò progressivamente la propria attività nel campo dell’insegnamento attraverso lo svolgimento di corsi privati di analisi musicale e l’esposizione dei principî alla base del proprio linguaggio nel trattato Technique de mon langage musical del 1944. Presso il Conservatorio passò alle cattedre di filosofia della musica nel 1955, analisi musicale nel 1947 e composizione nel 1962 ed ebbe tra i suoi allievi Pierre Boulez, Karlheinz Stockhausen, Karel Goeyvaerts, Iannis Xenakis, Gerard Grisey, Alexander Goehr, Tristan Murail,  Kent Nagano, George Benjamin  e Yvonne Loriod, con cui stabilì un intenso sodalizio artistico. Invitato a tenere corsi di perfezionamento nei centri di primo piano dell’avanguardia musicale, il compositore fu docente a Budapest nel 1947, a Tanglewood nel 1949, a Darmstadt nel 1949 e nel 1950. Dopo che rimase vedovo nel 1959, nel 1961 Messiaen sposò in seconde nozze Yvonne Loriod e nel 1978 lasciò l’insegnamento presso il Conservatorio, ma continuò a dedicarsi alla composizione musicale e allo studio degli uccelli, che fu la sua seconda grande passione. Il grande musicista morì il 27 aprile 1992 presso l’ospedale Beaujon di Clichy e nel 2014, nel sito del campo di concentramento VIII-A,  venne inaugurato il Centro europeo di istruzione e cultura Meetingpoint Music Messiaen. Read the full article

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Olivier Messiaen (1908-1992) La Colombe (Piano sheet music)

Olivier Messiaen (1908-1992) La Colombe (Piano sheet music, partition) from Préludes for Piano Olivier Messiaen (1908-1992) Biography Please, subscribe to our Library. Thank you! Best Sheet Music download from our Library.

Olivier Messiaen (1908-1992) La Colombe (Piano sheet music, partition) from Préludes for Piano

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Olivier Messiaen (1908-1992) Biography

OLIVIER-EUGENE-PROSPER-CHARLES MESSIAEN (b. Dec. 10, 1908, Avignon, France.d. April 27, 1992, Clichy, near Paris), Olivier Messiaen was the son of Pierre Messiaen, a scholar of English literature, and of the poet Cecile Sauvage. Soon after his birth the family moved to Ambert (the birthplace of Chabrier) where his brother, Alain was born in 1913. Around the time of the outbreak of World War 1, Cecile Sauvage took her two sons to live with her brother in Grenoble where Olivier Messiaen spent his early childhood, began composing at the age of seven, and taught himself to play the piano. On his return from the war, Pierre Messiaen took the family to Nantes and in 1919 they all moved to Paris where Olivier entered the Conservatoire. From very early on, it was clear that Messiaen would be a composer who would stand alone in the history of music. Coming not from any particular 'school' or style but forming and creating his own totally individual musical voice. He achieved this by creating his own 'modes of limited transposition', taking rhythmic ideas from India, Ancient Greece and the orient and most importantly adapting the songs of birds from around the world. He was a man of many interests including painting, literature, and the orient where he took in not only the musical culture but theater, literature and even the cuisine of foreign countries! ​The single most important driving force in his musical creations was his devout Catholic faith. MESSIAEN AND SYNAESTHESIA This is what Messiaen had to say regarding his relationship with colours and synaesthesia " When I was 20 years old I met a Swiss painter who became a good friend by the name of Charles Blanc-Gatti, he was synaethesiac which is a disturbance of the optic and auditory nerves so when one hears sounds one also sees corresponding colors in the eye. I unfortunately didn't have this. But intellectually, like synaethesiacs I too see colors- if only in my mind - colors corresponding to sound. I try to incorporate this in my work, to pass on to the listener. It's all very mobile. You've got to feel sound moving. Sounds are high, low, fast, slow etc. My colors do the same thing, they move in the same way. Like rainbows shifting from one hue to the next. It's very fleeting and impossible to fix in any absolute way. It's true I see colors, it's true they're there. They're musician’s colors, not to be confused with painter's colors. They're colors that go with music. If you tried to reproduce these colors on canvas, it may produce something horrible. They're not made for that, they're musicians colors. What I'm saying is strange, but it's true. I believe in natural resonance, as I believe in all natural phenomena. Natural resonance is in exact agreement with the phenomena of complimentary colors. I have a red carpet that I often look at. Where this carpet meets the lighter colored parquet next to it, I intermittently see marvelous greens that a painter couldn't mix - natural colors created in the eye". Messiaen's particular condition was chromesthesia, a type of synesthesia in which sound involuntarily evokes an experience of color, shape and movement.

He entered the Paris Conservatoire at the age of eleven and stayed until his early twenties learning his 'craft' from eminent teachers including Georges Falkenberg, piano, Jean Gallon, harmony, Noël Gallon counterpoint and fugue, professor Baggers, timpani & percussion, Paul Dukas composition & orchestration, Maurice Emmanuel history of music and Marcel Dupré organ and improvisation, of which Messiaen excelled, becoming organist of La Sainte Trinité in Paris when he was 22 and remained there until his death. It's sometimes easy to forget that Messiaens' contribution to the organ repertoire is probably the greatest since Bach. The term 'craft' is purposeful here as Messiaen developed into a true craftsman in every respect with immensely detailed scores including string bowing, woodwind articulations, fingerings for keyboards and even sticking for percussion.  Since the age of eighteen, Messiaen had been collecting the songs of thousands of birds throughout France and the world. Early works showed an inkling of birdsong influence but after the war in the late 40s and 50s he began notating their songs in great detail and this became a vital musical source for him. An important event in 1952 was his meeting with ornithologist and author Jacques Delamain, of which Messiaen declared: 'It was Delamain who taught me to recognize a bird from its song, without having to see its plumage or the shape of its beak.' Messiaen would begin by selecting a bird, say a warbler where he would notate hundreds of different warblers and then creates a composite of the best elements of all the warblers notated, thus ending up with an 'ideal' warbler. The song is usually combined with the birds' habitat, surroundings and time of day. 'It's the process of transformation' that Messiaen enjoys and relates this to the paintings of Monet, who is not interested in putting say a water lily directly on the water of a picture but representing one variation of the light on the water lilies. His researches were so intense that he became an authoritative ornithologist, able to recognize almost any bird that he heard. Several works have been devoted entirely to birdsong namely Catalogue d'Oiseaux, Réveil des oiseaux, Oiseaux Exotique, Le merle noir, Petites esquisses d'oiseaux and almost all other works include substantial references to the songs of birds. At the age of 19 the young Messiaen witnessed the death from consumption of his beloved mother. He moved to his paternal aunts in the countryside of the Aube region of France where, in Yvonne Loriod's words, 'the aunts took their nephew in to revive his taste for life and restore his health with good country air whilst he continued to compose'. Messiaen married his first wife Claire Delbos in June 1932. The daughter of a Sorbonne professor, she was a member of La Spirale, a prominent new music society, an accomplished violinist and composer (works include Primevere 5 Songs for soprano and piano, Deux Pièces for Organ 1935, Parce, Domine {Pardonnez,Seigneur, à votre peuple...} pour le temps du Carême for organ and Marie, toute-puissance suppliante for 4 Ondes Martenots) she sadly became physically and mentally ill and entered a psychiatric hospital (where she eventually died in 1959) leaving Messiaen a single parent bringing up their only son Pascal (born in 1937 a teacher of Russian, died 31st January 2020) throughout the late 30s and 40s. Olivier Messiaen and Claire Delbos gave many recitals in and around Paris during the early 1930s featuring the Romantic repertoire for violin and piano and in 1932 he composed Theme and Variations for her, and they premiered the piece at a concert held by the Société Nationale. A second work for violin and piano recently came to light entitled Fantaisie composed in 1933. His song cycle Poemes pour Mi is also dedicated to Claire Delbos, Mi being a 'pet' name for her. Both music and words were written by Messiaen and celebrates the joy and sanctity of marriage. Messiaen was to continue to write the texts for most of his choral and vocal works, including the Trois Petite liturgies de la Presence Divine, which caused some negative if not hostile reactions from many critics at the first performance. He believes that this reaction was due to the fact that the work is full of passion but with a deep religious foundation and this took the critics by surprise and much of the criticisms were not directed at the music. In 1936, with the composers Andre Jolivet, Daniel Lesur, and Yves Baudrier, he founded the group La Jeune France ("Young France") to promote new French music. From 1934 to 1939 he taught piano sight-reading at the École Normale de Musique and an organ improvisation course at the Schola Cantorum. Undoubtedly it has been Messiaens' devout Christian faith and Catholicism that has driven his compositional output through the years and there was no greater test of his faith than in June 1940 when he was captured by the Nazis and interned in prisoner of war camp Stalag 8A, Gorlitz, Poland. He recalls that at the time he and everybody in the camp were freezing, starving and miserable. The starvation was such that it heightened his 'colored' dreams and this coupled with the experience of seeing the 'aurora borealis', colored waves of clouds, led him to compose what is probably his most performed work: Quatour pour la Fin du Temps (Quartet for the end of Time). He befriended a German officer Carl-Albert Brüll who smuggled him manuscript paper, pencil and eraser which enabled him to retreat to the priest's block after morning duties and compose. The instrumentation was governed by the musician friends that were with Messiaen in the camp. These were; violinist Jean Le Boulaire, cellist Etienne Pasquier, clarinetist Henri Akoka and with himself on a rather dilapidated piano premiered the work on January 15th 1941 in front of fellow prisoners who although maybe never understood the new harmonies etc. it took them away from the routine mundane life in the camp. He says that his music 'is not "nice" - it is certain. I am convinced that joy exists, convinced that the invisible exists more than the visible, joy is beyond sorrow, beauty is beyond horror'.  He returned from captivity in March 1941 and became a teacher and lecturer at the Paris Conservatoire giving his first class on 7th May the same year. He held classes in analysis, theory, aesthetics and rhythm but it wasn't until 1966 that he was officially appointed Professor of Composition (although he had in effect been teaching composition for years). Many famous 'names' passed through these classes including Pierre Boulez, Karlheinz Stockhausen, Iannis Xenakis, Alexander Goehr and later George Benjamin who Messiaen had a particular fondness and admiration of. Perhaps the one thing that rubbed off on all these composers is Messiaen's' avoidance of regular meter, citing it as artificial relating to marches and more popular music. Messiaen supports his argument by pointing out that in nature things are not even or regular. For example, the branches of a tree and the waves of the sea are not even patterns. However, what is true is 'natural resonance', and this true phenomenon is what his music is based on.   This period produced a great outpouring of music including the Trois Petite liturgies de la Presence Divine, the song cycle Harawi, Chant des deportes for choir and orchestra, Turangalila Symphonie, the mammoth piano cycles Vingt Regards sur l'Enfant Jesus and Visions de l'Amen for two pianos. These last two works and many more to follow were dedicated to Yvonne Loriod a young and highly gifted pupil who turned up in Messiaens' first class held at the Conservatoire in 1941. She says of that first encounter that 'all the students waited eagerly for this new teacher to arrive, and finally he appeared with music case and badly swollen fingers, a result of his stay in the prisoner of war camp. He proceeded to the piano and produced the full score of Debussys' Prelude á l'apres-Midi d'un Faune and began to play all the parts. The whole class was captivated and stunned and everyone immediately fell in love with him'.   Messiaen never imparted his own compositional techniques in his classes but rather steered students along their own paths. Messiaen has not always been in the favour of the musical establishment not least by the BBC who broadcast next to nothing on the then Third programme (later Radio 3) right up until the sixties by which time the composer was in his 60s. It was Felix Aprahamian who brought Messiaen to London in the late 30s to play La Nativite and has been a champion and formidable writer on Messiaen ever since.    In the forties and fifties, Messiaen was shunned on the one hand by the new 'avant-garde' as too sweet and sentimental and on the other hand by the more conventional musical public as too austere and discordant. Boulez in particular could not come to terms with and reacted against works like Turangalila with its rich mix of tonal and atonal language saying that he prefers the ones that remain true to one style or the other. However, one gem of a composition was to turn 20th century music on its head. This was 'Mode de valeurs et d'intensites' part of four studies in rhythm for piano. It took Schoenberg's theory of serializing pitches a whole leap forward whereby Messiaen effectively serialized all musical parameters i.e. pitches, durations, dynamics and articulations. Thus, each note has a character and identity all of its own which is maintained throughout the piece. For example, middle C will always appear as a dotted minim value, forte dynamic and have a tenuto articulation mark. Although this paved the way for the young generation of composers such as Stockhausen, Boulez, Nono etc. to explore previously uncharted territory, Messiaen himself never pursued the idea beyond that study but continued to turn to nature and his faith as the inspiration and starting points for his music continuing to use his own modes, complex rhythmic ideas and the songs of birds. Having said that, there are occasions when, for instance, he wanted to describe the horror and blackness of the night in the opening of "The Tawny Owl' from Catalogue d'Oiseaux where he uses a 'Mode de valeurs et d'intensites' in a poetical sense to portray this. Indeed, it must be said that Messiaen did more to advance rhythmic forms and ideas than any other composer of the 20th century. In 1975, Olivier Messiaen embarked on his most ambitious project of his life, the opera Saint Francois d'Assise, a work that would occupy him for the following eight years. Saint Francois represents his life work, combining all his compositional techniques gathered over fifty or so years. Scored for 22 woodwinds. 16 brass, 68 strings, 3 ondes Martenot and 5 keyboard percussions playing xylophone, xylorimba, marimba, glockenspiel & vibraphone. There are 6 percussionists playing tubular bells, claves, wind machine, snare drum, triangles, temple blocks, wood blocks, cymbals of various kinds, whip, maracas, reco-reco, glass chimes, shell chimes, wood chimes, tambourine, tôle (thunder sheet), gongs, tam tam, crotales tom toms and geophone (sand machine) together with 7 main solo characters and a choir of 150 it is certainly the largest forces Messiaen considered. Among the best essays on this work are Paul Griffiths' account in The Messiaen Companion and Messiaens' own comments in an interview with him. Soon after Messiaen's death I happened to be visiting Paris and felt the need to pay my respects at La Sainte Trinité, the church where Messiaen conceived so many of his great organ works. I was lucky enough to meet Father Yves de Boisrehen, who for many years read the lessons etc. and said how he would be amazed when his words would suddenly 'come to life' for the congregation through the improvisations of Messiaen responding at the organ. Some would say 'an impossible act to follow' but in 1993 Naji Hakim entered that revered organ loft at la Trinité as successor to Messiaen. An accomplished composer and improviser, Naji Hakim was the one-person Messiaen felt comfortable in the knowledge that the great French tradition of organist - composer and improviser would continue at la Trinité. Naji Hakim's reign came to an end in 2008 the centenary of Messiaen's birth.  Fragments of Messiaen's music have found their way into several feature films including: Ken Russell's Dante's Inferno (Et expecto resurrectionem mortuorum), Oren Moverman's The Dinner (Quatuor pour la Fin du Temps) and Alejandro G. Iñárritu's The Revenant (Oraison-L'eau from Fêtes des Belles Eaux). Messiaen received many honours and prizes globally including: 1959 Nomination as an Officier of the Légion d'honneur 1967 Member of the Institut de France 1969 Calouste Gulbenkian Prize 1971 Erasmus Award 1975 Ernest von Siemens Award 1975 Associate Member of the Royal Academy of Science, Literature and Art of Belgium 1975 Gold Medal of the Royal Philharmonic Society 1978 The White Cliffs in Utah were renamed Mount Messiaen 1980 Presentation of the Croix de Commander of the Belgian Order of the Crown 1983 Wolf Foundation of the Arts Prize (Jerusalem) 1985 Inamori Foundation Prize (Kyoto) 1987 He was promoted to the highest rank, Grand-Croix, of the Légion d'honneur  1989 Primio Internazionale Paolo VI 1988 Read the full article

[productions-sarfati]

Interview croisée – Épisode 7

ORCHESTRE NATIONAL SYMPHONIQUE DE LETTONIE | ANDRIS POGA – IVETA APKALNA 24/02/23 | PHILHARMONIE DE PARIS Un chef, une organiste, une interview croisée ! Pour ce 7e épisode, Iveta Apkalna revient sur son parcours aux côtés des orchestres et de son travail autour des œuvres orchestrale : notamment sur la version de Marcel Dupré de la Fantaisie et Fugue sur le choral «Ad nos, ad salutarem undam » , l’une des œuvres les plus redoutable de la littérature pour orgue.

Retrouvez Andris Poga (chef d’orchestre) et Iveta Apkalna (organiste) avec l’Orchestre national symphonique de Lettonie, à la Philharmonie de Paris, vendredi 24 février à 20h !

Et continuez à nous suivre pour le dernier épisode de cette interview !

🎫 https://productions-sarfati.fr/productions/orchestre-national-de-lettonie/

[classicarte]

70 Chorales, Op. 28 : XVI. Jésus sur la croix – Marcel Dupré

Cathédrale de Rouen, façade et tour d'Albane, effet de matin (Rouen Cathedral Façade and Tour d'Albane, Morning Effect) Claude Monet, 1894

[focusmonumentum]

La Cathédrale américaine de Paris

La prestigieuse avenue George V délimite l'ouest du Triangle d'or parisien, arborant pour monumental étendard la cathédrale américaine de la Sainte-Trinité.

Bâtie dès 1881 par l'architecte anglais George Edmund Street, elle ne sera achevée qu'en 1911 par son fils Arthur. Dévolue au culte anglican, elle fait office de cathédrale pour la Convocation des Églises épiscopaliennes en Europe. Dans un épilogue de XIXème siècle mouvementé, le retour au classique fleurit en architecture, et particulièrement pour les édifices sacrés, qui prônent un certain "revival" du Moyen-Âge, d'où la construction de cet édifice dans le style néogothique. Le Grand-Orgue de chœur fut amélioré dans les années 20 par le fameux organiste Marcel Dupré. 

La flèche du clocher, ornée d'un fleuron, culmine à -très précisément- 85,35 mètres de hauteur, ce qui en fait la plus haute de Paris depuis le tragique incendie de celle de la cathédrale Notre-Dame en avril 2019...  

Crédits : ALM’s

[lesser-known-composers]

Marcel Dupré, Jésus tombe pour la troisième fois - Mélodie Michel, orgue / CRR de Versailles

[dorkmanboy]

Sunday morning listening: Dupré - Symphony in G Minor; Rheinberger - Organ Concerto No. 1 in F

[sunset-supergirl]

Happy birthday Marcel Dupré

[ladylabsinthe]

Ambrose McEvoy - Monsieur Marcel Dupré at the organ of Notre Dame

[clamarcap]

Sinfonia con organo - II

Marcel Dupré (3 maggio 1886 - 30 maggio 1971): Sinfonia in sol minore per organo e orchestra op. 25 (1928). Daniel Jay McKinley, organo; Columbus Indiana Philharmonic Orchestra, dir. David Bowden. Modérément lent – Allegro Scherzo: Vivace [7:58] Lent [14:32] Final: Animé [22:00]

[claudehenrion]

Digressions sur une belle fête dans une bien belle église...

   En 1955, je débarquais à Paris de mon Afrique natale, micro-Rastignac dans la griserie juvénile d'avoir intégré une ''Grande Ecole''... Quelques années plus tard, études terminées et presque 3 ans sous les drapeaux après, jeune père de famille, j'ai repris, rue de Rennes, ''l'appartement--loi de 48'' d'une vieille tante malade, et j'ai découvert les grandes orgues de Saint Sulpice, que l'immense Marcel Dupré faisait alors tonner de tout son immense talent. Et je me suis ''donné'' à cette belle église : c'est là que je me suis essayé puis jeté dans un amour pour l'orgue qui ne m'a plus quitté. C'était une belle histoire d'amour entre un moucheron... et Saint Sulpice.

Mais pourquoi ai-je vécu assez longtemps pour la voir être profanée, la semaine dernière, par des lectures du Coran, des sourates et des hadiths, et voir le maître autel abîmé par des paroles d'un prophète que je respecte (et toute mon histoire, toute ma culture le prouvent)... sauf là où il ne doit être en aucun cas : ma très grande proximité intellectuelle, culturelle et affective avec le monde arabe n'est pas en cause... tant que les limites de l'indécence ne sont pas franchies. Mais devant une telle débauche de ''fautes graves'', j'ai ressenti en moi, comme une brûlure, la profondeur éternelle des ''sept dernières paroles'' du Christ sur la Croix : ''Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?" (Eli, Lama sabachtani, en araméen -- Mat 27/46). Le moderne abandon de Dieu par les hommes m'a remis en mémoire le "Tout est accompli !" (Tétélestaï -- Jean 19/30) : la dernière des ''Sept paroles'' annoncerait-elle, en ces jours de colère (Dies irae, dies illa !), la fin de notre merveilleuse civilisation, la plus douce à l'homme de toutes --de très loin--  et celle qui a rendu comme aucune autre --fut-ce relativement--  l'Homme heureux sur ''sa'' planète ? Car ''ils savent parfaitement ce qu'ils font'' ! En plus, ils chantent (mal) ''Sala sala salamalikoum... nous annonçons la paix et la joie'' en se trémoussant et en tapant dans leurs mains. Dieu sait que j'adore les souks ! Mais pas à cet endroit-là !

Je n'assistais pas --évidemment-- à cette mascarade dégoulinante de ''moraline'' et de fausses bonnes intentions (la pauvre Vierge Marie a dû frémir, dans son éternité !), mais j'ai lu qu'on y avait lu la ''Fatiha'', cette sourate initiale dont la récitation est primordiale à chaque moment de la journée. Moi, je veux bien, car je sais à quoi cela correspond. Cette sourate réputée grandiose, qui aurait été ''donnée'' par Allah Lui-même --''Glorifié soit-Il, le Prophète, la paix et le salut sur lui, ainsi que ses compagnons, qu’Allah les agrée tous'', est-il rituel d'ajouter--   est appelée Oum El Kitab, la Mère du Livre (= le Coran), dite aussi El Kafiyah, La Suffisante, car elle réunit tout ce dont le croyant pourrait avoir besoin. Elle commence par louer Le Seigneur des Mondes  (...) et Sa Royauté, puis elle L’implore en reconnaissant qu’Il est Le Seul Digne d’être adoré (...). Enfin, elle lui demande de mettre le récitant sur le ''Chemin Droit'', parmi les bien-guidés qu’Il a comblés de Ses Bienfaits, et de le préserver de Sa Colère. Tout ça devant la Maître-autel de Saint Sulpice... On n'en sortira pas : l'un de nous deux est complètement dingue. C’est soit eux, soit moi !

Un dernier point : je ne peux pas imaginer qu'elle ait pû être récitée sans que le lecteur ait en tête le texte de la Chahada, le premier ''pilier de l'islam'', tiré des sourates n°37, ''As-Saaffat'' -verset 35,  et n°48, ''Al-Fath'' -verset 29) : ''Je proclame qu'il n'est de Dieu qu'Allah et que Mahomet est son prophète'' (transcrit, en écriture latine par : ''Ach'hadou ʾan lâ ʾilâha ʾillâ -llâh, wa-ʾach'hadou ʾana Moḥammadan rassoûl ou-llâh ''. Les arabisant retraduiront, s'ils doutent de ma traduction). Mais une chose est limpide : il n'y a pas la moindre place pour un autre Dieu. On se demande à quoi peuvent penser, en entendant ces mots, les irresponsables qui se lancent dans une telle provocation, tellement risquée si on sait que toute terre où la chahada a été prononcée devient, pour tout musulman, ''terre d'islam'' à jamais ? (NDLR -- Pardon d'entrer dans tant de détails. Ce n'est pas pour faire étalage d’une pauvre culture étriquée, mais pour montrer les conséquences de l'ignorance, qui devient un danger mortel, à ce degré ‘’encyclopédique’’ !).

La France, me dit-on, serait déchristianisée. Je le déplore évidemment très fort pour elle --que j'aime tant, malgré ses trahisons à répétition et qui deviennent de plus en plus fréquentes... -- car l'histoire de l'humanité peut se résumer à la poursuite d'une félicité inatteignable tant qu'on s'absout de ses ''fondamentaux''. Malgré tout, je ne me résous pas à croire qu'elle pourrait tourner le dos à ses seules vraies racines, à tout son passé, à son histoire, à ses fondations et aux fondements de ce qu'elle est. Mais les responsables de l'Eglise catholique de France n'ont même pas pensé à demander la réciprocité : le refus net et définitif aurait peut-être douché leur naïveté

L'émotion corporatiste suscitée par les menaces de mort proférées contre la jolie journaliste Ophélie Meunier et le juriste et militant associatif Amine Elbahi après la diffusion, sur M6, d'un reportage terrifiant sur les quartiers salafistes de Roubaix ne retombe pas : les membres de la confrérie journalistique se serrent les coudes. Tant que c'était ''des autres'', ils s'en fichaient et ils discouraient sur ''des impressions de violence''. Mais là... ça tombe sur une des leurs, bien notée, bien dans le système, et si jolie, en plus ! C'est intolérable ! Alors... des ''confrères'' (devenus fraternels !) jusque-là terrifiés de dire un mot contre l'islamisme (tout... pour ne pas risquer d'être taxé d'islamophobie !) ont même pris leur plume ! Ah ! Mais... Même pas peur !  Ces lamentables suivistes incultes, myopes, confits en clichés périmés et spécialistes de la conduite avec le nez dans le guidon, n'ont même pas vu qu'on était déjà passé ''à autre chose'' et que demain rimait désormais avec outrance.

J'en veux pour preuve un livre, ''Sept pas vers l'enfer'' (Ed., Flammarion), d'Alain Chouet, qui décortique comme ils doivent l'être le danger salafiste et la menace islamiste (voire même ''-ique'', ce qui est nouveau, urgent... et espéré !) : l'affaire dite de Roubaix, au sens large (les faits, les causes, les suites, les conséquences), est bien plus grave qu'on ne le croit : le salafisme grignote sans cesse des bouts de territoires ‘’ex- de la République’’, ''cela ne fait aucun doute'', affirme Alain Chouet, arabophone diplômé de ''Langues-O'', ayant opéré au Liban, en Syrie et au Maroc, ancien chef du Service de Renseignement de Sécurité à la DGSE : pas un ''nul''.

Dans ce nouveau livre ''sorti'' officiellement hier (mais avoir été un des Directeurs généraux du groupe Hachette donne des avantages !), il démontre que tous nos responsables irresponsables refusent d'entendre les avertissements et ferment les yeux sur ce qu'ils ne veulent pas voir (par exemple; des années durant, ils ont refusé toute possibilité d’existence à des ''loups solitaires'', rendant ainsi possible les assassinats d'un Mérad !). Des silences et des aveuglements coupables, allant jusqu'à la complaisance délibérée, ont créé des liens étroits entre les pseudo-élites politiques ou économiques françaises et les riches monarchies pétrolières aux mains des Frères musulmans... qui financent le terrorisme international ! Lucide, Alain Chouet appelle à entrer enfin en lutte (mais ''pour de vrai'') contre ''le salafisme des wahhabites et des frères musulmans, comme de tous ceux qui promeuvent, de près ou de loin, un islam qui est, comme le savent tous ceux qui en connaissent, ''incompatible avec la modernité et la démocratie''.

Les autorités françaises du jour, qui nous éblouissent par leurs erreurs sur tous les chapitres, par les résultats catastrophiques (grâce auxquels de plus en plus de citoyens français ''ne sont plus chez eux dans leur pays'' et qui nous conduisent à une catastrophe sans précédent... et sans doute sans rattrapage possible), disent d'André Chouet (je cite  :ça ne s'invente pas  !) : ''sur le fond, les opinions de M. Chouet ne sont pas seulement fausses et injurieuses : elles sont aussi indécentes'' (sic !). On les comprend : ce qui est ''décent'' à leurs yeux grands fermés, c'est de voir des petites filles voilées venir écouter des imams déclamer des sourates ''anti tout ce que nous sommes'' en plein cœur de notre ''Quartier latin'', dans notre magnifique église Saint Sulpice. C'est à se demander si, d'après ces ‘’leaders du pire’’, nous n'aurions pas déjà perdu une guerre qui s'annonce, qui est déjà là ?

H-Cl.

[deadnburied13]

THE "OCCULTIC" INVERTED CROSS ORIGIN?

An inverted pentagram is a more common symbol attached to the Church of Satan and Satanism, but an inverted cross is also used, such as in the Satanic Temple’s ceremony unveiling the Baphomet statue.

In popular culture, such as in music and movies, the upside down cross can mean anti-Christian and Satanist sentiments specifically or rebellion against social and political power in general. In Hollywood films like Rosemary’s Baby and The Conjuring, upside down crosses are associated with demonic activity and overall evilness to viscerally creep the audience out.

The symbolic nature of the upside down cross is best determined by its context.

The inverted cross is a recurring motif in metal music. One well-known example is Glen Benton of the band Deicide who branded an inverted cross onto his forehead.

Former Black Sabbath drummer Bill Ward suggested that the use of an inverted cross on the inner gatefold sleeve of their debut album by their label Vertigo may have been a promotional ploy or a misunderstanding of the nature of the group. Many horror films use inverted crosses as part of their imagery and marketing, especially if the film involves demonic themes.

In the music video for the Lady Gaga song "Alejandro", Gaga's robes featured inverted crosses over her crotch to resemble a penis.[5]

In the Chemin de la Croix by French composer Marcel Dupré at the part where Simon of Cyrene helps Jesus carry the cross an inverted cross motif appears at bar 7 and then twice more before it is replaced with a pastoral theme.

EUGENE VINTRAS

Pierre-Michel-Eugène Vintras , known as Pierre-Michel-Élie , born in Bayeux on April 7, 1807 and died in Lyon on December 7, 1875, is a cardboard worker from Tilly-sur-Seulles , who claimed to be the reincarnation of the prophet Elijah and was the creator of a sect . HE WAS CONSIDERED BY SOME AS THE ORIGINATOR OF INVERTED CROSS IN OCCULTISM.

The doctrine of Vintras affirms that God first reigned over the world, it is Mosaic ; next came God the son, that's Christianity; the time of the reign of the Holy Spirit , known as the “freedom of the children of God”, now arrived, Vintras is the messiah and the prophet.

In this reign of the Holy Spirit , placed under the sign of liberation, the movements of concupiscence are neither good nor bad, and one can consequently abandon oneself without crime, freedom which Vintras uses widely. The sect, which gives itself the name of "Work of Mercy", is organized into "septaines", action centers composed of seven people each, corresponding with each other, and working together to spread the news doctrine. All the followers have the names of angels, with the Hebrew ending in "ael", revealed by Saint Joseph, which also indicates the names of the people who died in grace, as well as the order in which they are placed in the other world: "legions, thrones, dominions", etc.

The “Sacred Septaine we”, which takes precedence over all the others and whose headquarters was in Tilly-sur-Seulles, has a larger number of members. Having as its object to maintain the unity of action and to prevent any schism in the work, it has the gift of infallibility; her decisions become acts of faith and she controls the acts of the other septaines. Despite the proclamation by these groups of their membership of the Catholic Church, the Holy See and the bishops condemn this doctrine.

Baron de Razac became involved in this sect and his castle, called the "Tent", became its spiritual center. The sect, then had nearly two thousand followers in the cities of Rouen , Le Mans , Paris , Angers , Tours , Cahors and Albi . A clergyman from Savoy becomes the logographer of the sect. He published anonymously at Locquin, in 1841, the first publication of "Children of the Work", the Opuscule on communications announcing the Work of Mercy. From this moment, the sect publishes several pamphlets collectively written, then, at the end of 1842, a periodical called the Voice of the Septaine , of which appear forty-eight deliveries until 1846. Most of the writings of the sect emanate from the pen of Charvoz, who had published in 1846, under the pseudonym of Father La Paraz, the Prisons of a current prophet pursued by all powers .

From 1841 , Vintras said that he had obtained, during ceremonies, mysterious bloody hosts, some of which were transmitted to the occultist Joanny Bricaud . Another occultist, Éliphas Lévi visits Vintras. Stanislas de Guaita devotes a long study to him which concludes with: "The bloody hosts are true, but they are demonic!" "

The following year, Vintras, accused of fraud, was imprisoned for six years.

He resumed his preaching in 1848, he was then exiled by the Second Empire and did not return to France until 1862 . When he died in 1875, Father Boullan tried unsuccessfully to succeed him at the head of the sect.

[classicarte]

Symphonie pour orgue et orchestre en sol mineur, Op. 25 : IV. Finale, anime – Marcel Dupré

Métro George V, Champs-Elysées Édouard Léon Cortès