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#Marcel Lévesque
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oalvosentado · 4 months
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Para este vídeo da canção "electro luar" do EP homónimo de conde-barão recentemente lançado, trabalhei um pequeno excerto do quinto episódio de "Les vampires", de Louis Feuillade: "L'évasion du mort". A figura à janela é Mazamette, o companheiro de aventuras do herói Philippe Guérande, ex-bandido (pertencia aos malévolos vampiros) que se virou para o bem. As extraordinárias expressões faciais de Marcel Lévesque — que interpreta a personagem e apareceria depois em "Judex", também de Feuillade, e, décadas mais tarde, em "Le Crime de monsieur Lange", de Jean Renoir — aguentam toda a cena. Com meia dúzia de adereços, Lévesque faz o seu pequeno filme, sem necessidade de contra-campo.
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genevieveetguy · 10 months
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Let's Make a Dream (Faisons un rêve…), Sacha Guitry (1936)
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byneddiedingo · 1 year
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René Lefèvre in Le Crime de Monsieur Lange (Jean Renoir, 1936) Cast: René Lefèvre, Florelle, Jules Berry, Marcel Lévesque, Odette Talazac, Henri Guisol, Maurice Baquet, Sylvia Bataille, Nadia Sibirskaia. Screenplay: Jean Castanier, Jacques Prévert, Jean Renoir. Cinematography: Jean Bachelet. M. Lange's crime is murder, and he gets away with it. This droll dark comedy is a vehicle for Jean Renoir's anti-fascist politics, and to enjoy it to the fullest you probably have to have been there -- "there" being Europe in 1936. But it still resonates 80-plus years later with its story of a little guy exploited by a venal fat cat. Lange (René Lefèvre), who writes adventure stories about "Arizona Jim" in the wild West, works for a greedy, corrupt publisher named Batala (Jules Berry), who not only stiffs him on a contract to publish the stories, but also inserts advertising plugs into the story itself, making Arizona Jim pause to pop one of the sponsor's pills before launching into action. Batala is also a shameless womanizer who impregnates Estelle (Nadia Sibirskaia), the girlfriend of Charles (Maurice Baquet), the bicycle messenger who works for him. (In a rather cold-hearted twist you probably won't see in movies today, everyone rejoices when the baby dies.) Fleeing from his creditors, Batala reportedly dies in a train wreck, and to salvage their jobs, his employees, encouraged by Meunier (Henri Guisol), the son of Batala's chief creditor, form a cooperative to run the publishing company. It's a huge success, with Lange's stories becoming incredibly popular -- so much so that a film company wants to buy the rights to make an Arizona Jim movie. Unfortunately, Lange doesn't own the rights, as Batala reveals when he turns up very much alive, disguised as a priest who happened to be standing by him during the crash. When Batala begins demonstrating his old ways, including making a play for all the available women in the company as well as asserting his rights to Arizona Jim and the profits it has made, Lange shoots him, then flees with his girlfriend Valentine (Florelle). Aided by Meunier, they reach an inn near the border -- which one isn't specified -- where, while Lange rests up, Valentine tells his story and leaves it up to the people at the inn whether they will turn him in. There's some famously show-offy camerawork from cinematographer Jean Bachelet, but the real energy of the film comes from Renoir's company of vivid, talkative characters, whose chatter and whose relationships unfold so rapidly that you may want to see the film twice to appreciate them. Le Crime de Monsieur Lange is second-tier Renoir but, with its genuine affection for human beings, it's better than most directors' top-tier work.
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rihistoryofrinema · 5 months
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Les vampiri, The vampires of Louis Feuillade (1873-1925), Entrusted by Leon Gaumont (1864-1946) film producer who to contrast the series starring White Pearl Perils of Pauline of Pathé (film company) created a series in 1915 of 10 episodes. Despite the title making one think of a horror and detective story. At the time the critics considered it not sufficiently high from an artistic point of view and considered it devoid of morals but today it can be said that it is one of the Feulliade's masterpieces. The modernity of the episodes lies in setting the fantastic (robberies, cannon shots and poisonings) in real situations, streets, rooftops of Paris, making the contexts disturbing with the absence of citizens who have left for the war. To lighten everything, Mazamette is introduced, played by Marcel Lévesque, who collaborates with the protagonist, even if the real star is Musidora, played by Irma Vep, who creates a portrait of the "Dark Lady". As American cinema began to experiment with cinema characterized by increasingly complex cuts and camera movements, Les Vampires features minimal editing and an essentially static camera.
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#marcelbrisebois #muséedartcontemporaindemontréal #mac #museedartcontemporaindemontreal #museedartcontemporain #muséedartcontemporain
MARCEL BRISEBOIS (1933-2022) -
Le professeur, animateur de télévision et directeur de Musée, Marcel Brisebois est décédé le 18 août à l'âge de 83 ans.
Je ne connaissais pas intimement le personnage mais je l'ai côtoyé à plusieurs reprises et j'ai toujours été marqué par les rencontres.
La première fois c'était en 1991 alors que je l'avais approché pour être le président de la Fondation René Lévesque que je travaillais à mettre sur pied. Il avait refusé mais m'avait suggéré des noms...
Plus tard, je le verrai souvent lorsqu'il était le patron au Musée d'art contemporain de la conservatrice en chef Manon Blanchette, la conjointe de mon patron d'alors Pierre Péladeau.
Enfin, un jour j'ai croisé Marcel dans un édifice appartement au coin des rues La Montagne et Sherbrooke pour constater qu'il était le voisin de palier de mon amoureuse de l'époque...
J'ai été sous le choc en juin 2015 lorsqu'il a été accusé d'agression sexuelle qui se seraient produits entre les années 1960 et 1980...
Marcel Brisebois était un homme d’envergure et de société; un pilier du milieu culturel québécois.
Chaque fois que je passe devant le Musée d’Art contemporain de Montréal, je pense à lui…
Repose en paix cher Marcel!
https://www.jalarin.com/obituaries/m-marcel-brisebois-2/
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Le crime de Monsieur Lange (Jean Renoir, 1936)
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frankenpagie · 5 years
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6.30.19
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hjfoley · 6 years
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C'est pour les Orphelins 1916
C’est pour les Orphelins 1916
English title – For the Children (1916)
The artist awakens. His maid brings him a letter from the Gaumont Studio. After a quick glance to it, he hastens to get dressed and runs to the studio followed by his wife, his maid and his son, Bout-de-Zan who want a part in the movie. When he finally finds a director, a cameraman and a script, the roles were assigned to everyone and everyone is partially…
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laurent-bigot · 5 years
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S’il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l’entre-deux-guerres, aux chefs-d’œuvre du réalisme poétique, c’est bien Jean Gabin. Après la guerre, il connait tout d’abord une période creuse en termes de succès, puis, à partir de 1954, il devient un “pacha” incarnant la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture jusqu’à la fin des années 1970. 
Jean Gabin (Jean-Alexis Moncorgé, pour l’état civil) naquit à Paris, 23, boulevard Rochechouart dans le 18e arrondissement, le 17 mai 1904, il mourut toujours à Paris, le 26 novembre 1976. La date de naissance que nous rapportons est celle qui est généralement admise. D’autres biographes ne mentionnent pas Paris comme lieu de naissance mais Mériel, en Seine-et-Oise. En fait, Gabin est sans aucun doute né dans la capitale et il a ensuite été élevé à Mériel par l’aînée de ses sœurs (il était le septième enfant de la famille Moncorgé).
Ses parents faisaient tous les deux partie du monde du spectacle : son père était chanteur d’opérette et de café-concert ; sa mère, Hélène Petit, était chanteuse fantaisiste, comme on disait alors. Jean passa ses premières années à Mériel et c’est là qu’il prit goût à la campagne, qu’il acquit des habitudes qu’il ne devait plus perdre et qui, beaucoup plus tard, devaient le pousser à se replier le plus souvent possible dans son domaine où il se consacrait à l’élevage. Il fréquenta l’école primaire du village, puis revint chez ses parents à Paris, afin de suivre les cours d’une école de la rue de Clignancourt. Son père le fit ensuite entrer comme pensionnaire au lycée Jeanson-de-Sailly, mais les études ne l’attiraient pas. Il voulait lui aussi, comme ses parents, se consacrer au théâtre. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Madeleine Renaud dans La Belle Marinière (Harry Lachman, 1932)
Josephine Baker et Jean Gabin dans Zouzou (Marc Allégret, 1934)
Gaby Basset et Jean Gabin dans Chacun sa chance (Hans Steinhoff, René Pujo, 1930)l
Jean Gabin, Josseline Gaël, Marcel Lévesque dans Tout ��a ne vaut pas l’amour de Jacques Tourneur (1931)
Fernandel et Jean Gabin dans Paris béguin (Augusto Genina, 1931)
Premiers pas sur scène
De fait, il fit l’école buissonnière plus souvent qu’à son tour, puis s’échappa de l’école pour s’essayer à différents métiers : il fut manœuvre à la gare de La Chapelle, ouvrier dans une fonderie à Beaumont, magasinier aux Magasins généraux de Drancy, jusqu’à ce que son père prît en compte la volonté de son fils de faire du théâtre. Il le présenta enfin à Pierre Fréjol, l’administrateur des Folies-Bergère ; Jean avait alors dix-neuf ans. C’est à ce moment qu’il devint figurant et prit le nom de Gabin, un pseudonyme qui avait déjà été le nom de scène de son père.
Jean Gabin, Annabella, Fernand Gravey dans Variétés (Nicolas Farkas, 1935)
Jusqu’à la fin de l’année 1929, Jean Gabin fit ses premières armes dans le spectacle en participant à ces fameuses revues qui ont fait la célébrité de Paris dans le monde entier. Ses débuts eurent lieu le 14 avril 1923, au Vaudeville, dans une revue de Rip ; il faisait de la figuration dans quatre silhouettes ; c’est ainsi qu’il était tout à tour garde égyptien, contrôleur, mendiant et pirate. De nombreux autres spectacles suivirent : la même année, aux Bouffes-Parisiens (il joua dans cette opérette pour la première fois au côté de son père) ; puis en 1927, un tour de chant en province et en Amérique du Sud.
Josephine Baker et Jean Gabin dans Zouzou (Marc Allégret, 1934)
En 1928, il fut remarqué par Mistinguett qui le fit engager comme “boy” au Moulin-Rouge pour “Paris qui tourne” ; en chantant et dansant avec la “Miss”, il allait attirer l’attention des critiques. Dans “Allo’… Ici Paris”, toujours au Moulin-Rouge, il avait déjà quelques chansons et deux numéros comiques. Enfin, la même année, de nouveau aux Bouffes- Parisiens, il fut le jeune premier (et toujours comique) de “Flossie”, une opérette en trois actes. L’année suivante, on revit Gabin dans “Arsène Lupin banquier”, où il joua avec son père. Ce spectacle lui valut d’élogieuses critiques pour ses talents comiques.
Jany Holt, Louis Jouvet, Jean Gabin et Junie Astor dans Les Bas-fonds (Jean Renoir, 1936)
A la fin de 1930, toujours aux Bouffes-Parisiens, il apparut encore dans une opérette en trois actes, “Les Aventures du roi Pausole”, où figuraient aussi, dans de petits rôles, Simone Simon et Edwige Feuillère. Il revint exceptionnellement au théâtre en 1949 pour interpréter, avec Madeleine Robinson et Claude Dauphin, “La Soif” d’Henry Bernstein. Dès le début des années 30 et jusqu’à sa mort, il ne se consacra plus qu’au cinéma. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin dans le rôle de Ponce Pilate – Golgotha (Julien Duvivier, 1935)
Jean Gabin dans Variétés (Nicolas Farkas, 1935)
Madeleine Renaud et Jean Gabin dans Maria Chapdelaine (Julien Duvivier, 1934)
Un grand professionnel
Après une série de petits rôles, Jean Gabin connut très vite la consécration. Star de l’écran dès les années 30, il le resta jusqu’à sa disparition et ne connut guère la désaffection du public. Peu d’acteurs de sa génération pourront se flatter d’avoir connu, et su préserver, une telle popularité, qu’il devait autant à sa présence physique qu’à ses incontestables qualités de professionnel de l’écran.
Jean Gabin et Annabella dans La Bandera (Julien Duvivier, 1935)
Les premières années, la carrière cinématographique de Gabin fut liée, fort logiquement, aux rôles comiques d’opérette ou de vaudeville qui l’avaient révélé au théâtre. C’est ainsi que Gabin fut engagé dans une opérette filmée, Chacun sa chance (1930) de Hans Steinhoff. Jusqu’en 1934, année de sa consécration comme acteur dramatique, il tourna quelques rôles souvent comiques qui étaient loin d’annoncer les futurs “personnages” que Gabin incarnerait bientôt : le prolétaire révolté, le “parigot” désenchanté mais toujours prompt à l’action, l’aventurier respectueux du code d’honneur, le “mauvais garçon”.
Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos, Charles Dorat et Raphaël Médina  dans La Belle équipe (Julien Duvivier, 1936)
Le tournant de sa carrière se situe au cours de 1934-1935. Après l’avoir utilisé dans Maria Chapdelaine (1934) et Golgotha (1935), Duvivier lui confia le rôle principal de La Bandera (1935), d’après le roman de Pierre Mac Orlan. Ce personnage de Français fugitif s’engageant dans la légion étrangère espagnole fut pour Gabin le premier d’une série de rôles d’aventuriers désespérés et “romantiques”. A partir de ce film il allait en effet collectionner les personnages d’homme traqué, de réprouvé, de révolté un peu fruste.
Jean Gabin dans Pépé le Moko  (Julien Duvivier, 1937)
Ayant débuté dans le Paris des ouvriers et des employés de caf’ conc’, Gabin, enfant de la balle, se révéla l’interprète idéal de ce prolétaire plutôt “grande gueule” que réellement contestataire, sombre et individualiste, ironiquement parisien, parigot même, mais sans vulgarité, et enfin assez malheureux pour susciter la sympathie des spectateurs. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Viviane Romance dans La Belle équipe (Julien Duvivier, 1936)
Jean Gabin et Simone Simon dan La Bête humaine (Julien Duvivier, 1938)
Jean Gabin et Mireille Balin dans Gueule d’amour (Jean Grémillon, 1937)
Michèle Morgan et Jean Gabin dans REMORQUES (1941) de Jean Grémillon
Jean Gabin et Gina Manès dans Le Récif de corail (Maurice Gleize, 1939)
La grande occasion de “Pépé”
Après l’expérience pseudo-russe des Bas-Fonds (1936) de Renoir, Il se vit offrir par Julien Duvivier le rôle principal de Pépé le Moko (1936), un rôle qui allait l’imposer définitivement en créant le “mythe” de Gabin. Dans le monde lourdement exotique de la Casbah d’Alger où évolue le dangereux caïd campé par Gabin, ce ne sont qu’aventures pittoresques et haletantes, défilé de personnages stéréotypés, dignes des meilleurs romans populaires, amour fou et perdu… Gabin conservera des années durant le charisme dont l’entourèrent Jeanson et Duvivier, charisme qui s’était déjà manifesté dans un autre film de Duvivier : La Belle équipe (1936). La France qui s’identifia à Gabin était celle de l’avant-guerre, ballottée entre le Front populaire et les frissons de la guerre prochaine ; et quand cette France là disparut, Gabin dut changer d’emploi.
Jean Gabin dans La Grande illusion (Jean Renoir, 1937)
Durant ces années il fut le lieutenant Maréchal de La Grande Illusion (1937), Lucien Bourrache dit “Gueule d’amour” dans le film du même nom réalisé en 1937 par Jean Grémillon, Jean, le déserteur, et François, l’ouvrier en révolte, respectivement dans Le Quai des brumes (1938) et Le Jour se lève (1939) de Marcel Carné, puis Jacques Lantier, triste héritier de la noire lignée des Rougon-Macquart, dans La Bête humaine de Renoir.
Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline, Arletty dans Le Jour se lève (Marcel Carné, 1939)
Cette brève mais remarquable galerie de personnages le fit rapidement devenir le symbole de tout un cinéma mélancolique et populiste, sombrement, mais toujours poétiquement, réaliste, un cinéma composé de grands ports noyés dans la brume, de petits bars de province (comme celui où Gabin retrouve Mireille Balin des années après que celle-ci l’eut quitté en gâchant sa vie, dans Gueule d’amour), de rues parisiennes, d’ombres et de révoltes soudaines, d’amours intenses et toujours malheureuses. Ces repères nous aident à déterminer tout ce que ce cinéma, en dépit de son apparente nouveauté, pouvait avoir de conventionnel, sinon de convenu. Il était l’héritier de la tradition littéraire populiste, une longue filiation qui, à travers Zola, Eugène Sue, Eugène Chavette, puis Henri Poulaille et Pierre Mac Orlan, avait posé les bornes de l’univers où se croisent la tragédie, le peuple et l’aventure. Cinéma de rêves et de fantasmes tout autant que les pires productions hollywoodiennes, mais auquel Gabin a prêté son visage, le rendant par là même vraisemblable. Car il était «peuple», ce qui ne s’apprend pas dans les cours d’art dramatique…
Jean Gabin, Mireille Balin dans Gueule d’amour (Jean Grémillon, 1937)
Dans les années qui précédèrent immédiatement la guerre sa popularité fut indiscutable en France et à l’étranger. A la création de son mythe avaient contribué de manière décisive non seulement les cinéastes déjà mentionnés, mais aussi certains scénaristes dont le travail fut tout aussi décisif tant pour l’acteur que pour l’ensemble du cinéma français de l’époque : Jeanson, déjà cité (sa contribution ne fut importante que pour Pépé le Moko) , et surtout Charles Spaak – La Bandera, La Belle équipe (1936), Les Bas-Fond, Gueule d’amour et Le Récif de corail (1939) de Maurice Gleize – ainsi que Jacques Prévert – Le Quai des brumes, Le Jour se lève et Remorques (1939) de Grémillon. Certains d’entre eux collaborèrent aussi aux films d’après-guerre de Gabin, mais ce fut surtout pendant les années 30 qu’ils réussirent à mettre en valeur, par leurs textes, la personnalité de l’acteur, et à transformer le joyeux comique de caf’conc’ en un sombre champion des causes perdues. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Michèle Morgan dans Le Quai des brumes (Marcel Carné, 1938)
Jean Gabin, Simone Simon et Julien Carette La Bête humaine (Julien Duvivier, 1938)
Pierre Fresnay et Jean Gabin dans La Grande illusion (Jean Renoir, 1937)
Mireille Balin et Jean Gabin dans Pépé le Moko  (Julien Duvivier, 1937)
Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty dans Le Jour se lève (Marcel Carné, 1939)
Les années de guerre et la seconde carrière
Appelé sous les drapeaux le 2 septembre 1939, Gabin gagna le dépôt de la marine de Cherbourg. En avril 1940 il obtint une permission pour terminer Remorques puis, par la suite, le gouvernement de Vichy l’autorisa à s’embarquer pour les Etats-Unis afin de tourner un film pour la Fox, à condition qu’il revienne dans les huit mois. Gabin tourna deux films, Moontide (La Péniche d’amour, 1942), d’Archie Mayo et The Impostor (L’Imposteur, 1943) de Duvivier qui s’était lui aussi réfugié en Amérique.
Jean Gabin et Ida Lupino dans Moontide (La Péniche de l’amour, Archie Mayo, 1942)
En avril 1943, il s’engagea comme volontaire dans les Forces navales françaises libres, la marine gaulliste. Il fut affecté à Norfolk et en Afrique du Nord, au sein de la 2e D.B. de Leclerc. Il débarqua en France en 1944 et fut démobilisé en juillet 1945 avec le grade de second maître fusilier ; il reçut la médaille militaire et la croix de guerre. La France qu’il retrouvait n’était plus celle qu’il avait quittée deux ans plus tôt. Elle avait changé, comme lui dont les cheveux grisonnants annonçaient qu’il allait devoir changer de personnages (il n’était d’ailleurs pas dans le tempérament de Gabin de chercher à faire “jeune” s’il ne l’était plus).
Jean Gabin et Nicole Courcel dans La Marie du port (Marcel Carné, 1950)
Jean Gabin et Danielle Darrieux dans La Vérité sur Bébé Donge (Henri Decoin, 1952)
Jean Gabin dans La Nuit est mon royaume (Georges Lacombe, 1951)
Il était temps pour Gabin de donner un nouveau départ à sa carrière. Après avoir refusé le rôle principal des Portes de la nuit (1945) de Carné et Prévert, qui fut attribué à Yves Montand, il accepta celui de Martin Roumagnac (1946), un film de Georges Lacombe qui n’eut aucun succès, mais dans lequel il donnait la réplique à Marlene Dietrich. Il tenta un retour à son personnage des années d’avant-guerre avec Au-delà des grilles (1949), réalisé à Gênes par René Clément dans un esprit assez proche de celui de Pépé le Moko. Mais Gabin ne persista pas dans cette voie qui pouvait être dangereuse pour son image de marque.
Jean Gabin, Marilyn Bufferd dans Touchez pas au grisbi
Les années avaient passé et le “mauvais garçon” de jadis, avec l’âge, avait acquis la physionomie d’un homme mûr ; on l’imaginait plus aisément désormais du côté de la loi que contre elle. Il eut quelque mal à retrouver la voie du succès, malgré le film de Marcel Carné, La Marie du port (1949), inspiré de Georges Simenon, où il bénéficiait d’un rôle à sa mesure. En 1951, le film de Georges Lacombe La Nuit est mon royaume lui permit de remporter la coupe Volpi à Venise, et Le Film français lui attribua le titre de meilleur acteur français de l’année pour La Vérité sur Bébé Donge d’Henri Decoin, autre adaptation d’un roman de Simenon.
Jean Gabin et Nadja Tiller dans Le Désordre et la nuit (Gilles Grangier, 1958)
Jean Gabin et Bourvil dans La Traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956)
Roland Lesaffre et Jean Gabin dans L’Air de Paris (Marcel Carné, 1954)
Jean Gabin dans L’Affaire Saint-Fiacre (Jean Delannoy, 1959)
Lino Ventura et Jean Gabin dans le Rouge est mis (Gilles Grangier, 1957)
La même année, il côtoya Madeleine Renaud et Danielle Darrieux dans “La Maison Tellier”, un des trois épisodes du Plaisir de Max Ophuls. Mais ce n’est qu’en 1953 qu’il rencontra enfin celui qui allait le servir pleinement. En effet, dans Touchez pas au Grisbi, il campa magistralement pour Jacques Becker Max le Menteur, pittoresque figure de la “Série noire” issue de l’imagination pleine de verve d’Albert Simonin. Avec ce rôle en or, Gabin renouait avec ses anciens personnages de voyous du cinéma, mais avec plus de “puissance ”, affichant un optimisme tranquille en toutes circonstances qui annonçait la plupart de ses interprétations des années 60.
Jean Gabin dans Le Cave se rebiffe (Gilles Grangier, 1961)
Parmi les personnages marquants de sa seconde carrière, on se souviendra du peintre de La Traversée de Paris (1956) de Claude Autant-Lara, de l’ancien boxeur malin et paternel de L’Air de Paris (1954) de Marcel Carné, de l’imprésario de French Cancan (1954) de Jean Renoir, du vieil avocat confronté à la jolie Brigitte Bardot dans En cas de malheur (1958) de Claude Autant-Lara, d’au moins deux Maigret peu orthodoxes mais agréables et de l’inspecteur Valois du Désordre et la nuit, du vieil homme politique bourru, sorte de Clemenceau du régime, dans Le Président (1961) d’Henri Verneuil, du patriarche réactionnaire, très proche de l’homme Gabin dans ses vieux jours, de La Horse (1969) de Pierre Granier-Deferre, et d’un impénétrable Gaston Dominici de l’assez banale Affaire Dominici (1973) de Claude Bernard-Aubert.
Jean Gabin dans Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil,1963)
Jean Gabin dans Le Président (Henri Verneuil, 1961)
Jean Gabin et Jeanne Moreau dans Gas-oil (Gilles Grangier, 1955)
Micheline Presle et Jean Gabin dans Le Baron de l’écluse (Jean Delannoy, 1960)
Il ne faut pas oublier la foule de personnages pittoresques et truculents qu’il a interprétés devant les caméras plus ou moins inspirées de Denys de La Patellière, de Jean-Paul Le Chanois, de Gilles Grangier (11 films en tout), d’Henri Verneuil et de Jean Delannoy. Enfin il n’avait pas son pareil pour “sortir” les dialogues – faits sur mesure, il est vrai – de Michel Audiard (qui a signé les scénarios d’une vingtaine de ses films), de Pascal Jardin et d’Alphonse Boudard. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Annie Cordy dans Le Chat (Pierre Granier-Deferre, 1961)
Pour aller plus loin…
COUP DE COEUR Estimant que l’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, Gabin a souvent acquis lui-même les droits de romans qui pouvaient lui offrir de belles compositions, c’est ainsi que sont nés des films aussi majeurs que La Bandera et Quai des brumes. Lire la suite…  [Photo : Martin Roumagnac (Georges Lacombe, 1946)]
FILMS EN COSTUMES Sur les quatre-vingt-quinze films tournés par Gabin au cours de sa carrière, six seulement appartiennent au genre historique, pourtant fort à la mode durant toutes ces années : s’estimant trop “typé”, l’acteur ne se sentait à l’aise que dans l’univers du XXe siècle. Lire la suite… [Photo :  Les Misérables (Jean-Paul Le Chanois, 1958)]
LA STAR ET L’ARISTO S’il n’est pas le réalisateur avec qui Gabin aura le plus tourné, Denys de La Patellière peut se targuer d’avoir dirigé l’acteur dans pas moins de six films, dont la plupart ont connu un grand succès public. Retour sur une relation faite de respect et d’estime réciproques. Lire la suite…  [Photo : Rue des Prairies (Denys de La Patellière, 1959)]
UN ACTEUR MYTHIQUE De La Bandera au Clan des Siciliens, en passant par Le Jour se lève et Un singe en hiver, Jean Gabin a mené durant près de cinquante ans un parcours en tous points exemplaire. Retour sur l’étonnante carrière d’un artiste de légende.  Lire la suite…
D’autres publications seront régulièrement ajoutées…
S'il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l'entre-deux-guerres, aux chefs-d'œuvre du réalisme poétique, c'est bien Jean Gabin. Après la guerre, il connait tout d'abord une période creuse en termes de succès, puis, à partir de 1954, il devient un "pacha" incarnant la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture jusqu'à la fin des années 1970.  S'il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l'entre-deux-guerres, aux chefs-d'œuvre du réalisme poétique, c'est bien Jean Gabin. 2,812 more words
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pangeanews · 5 years
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“E io sono un pazzo Che Ama Dio”: Ipotesi per un Dizionario Kerouachiano. Parte seconda: dalla M di Madre alla Z di Zen
“Fu da cattolico […] che un pomeriggio andai nella chiesa della mia infanzia (una delle tante), Santa Giovanna d’Arco a Lowell, Mass., e a un tratto, con le lacrime agli occhi, quando udii il sacro silenzio della chiesa (ero solo lì dentro, erano le cinque del pomeriggio; fuori i cani abbaiavano, i bambini strillavano, cadevano le foglie, le candele brillavano debolmente solo per me), ebbi la visione di che cosa avevo voluto dire veramente con la parola ‘Beat’, la visione che la parola Beat significava beato”.
È una frase tratta da Scrivere bop di Jack Kerouac che deve inchiodare per sempre ogni lettore del grande romanziere, statunitense sì ma quebecois ergo francofono, con profondo legame col paese d’origine dei suoi avi, con la sua lingua, con i suoi autori. È una frase che deve inchiodare anche nel viaggio, sulla strada, in un letto, nelle ebbrezze date da donne, alcol e droga, nelle visioni più o meno deliranti o lucide, altrimenti non si avrà mai in mano un libro del vecchio, piccolo Jack, ma uno stereotipo…
C’è chi, come Alberto Beretta Anguissola, tra gli infiniti fiumi d’inchiostro profusi per le molte possibili interpretazioni della Recherche du temps perdu, ha osato proporre l’ipotesi di un Proust quasi fulminato da una visione cristologica nei paraggi di Balbec, vicino forse a una conversione mai realizzata, anche se la forma della madeleine resta quella della conchiglia di Santiago alias San Giacomo e la pietra d’inciampo sarà tra i piedi del suo narratore fino alle ultime pagine della sua grande esplorazione nella memoria. Invece molto poco pare esser stato scritto del più evidente, a un tempo fragile e potente, schietto ma anche zigzagante, confondente, stordente cattolicesimo di Kerouac. Un tema da riscoprire, per non cadere nei cliché imposti dai suoi primi lettori e promotori, da scelte ideologiche, distrazioni, superficialità e mode ormai molto vecchie. La madeleine, oggetto nascosto, sotterraneo del blues apocalittico e visionario anche nei suoi di romanzi, è d’altronde ciò che i cliché li spezza, come notava Deleuze.
Kerouac non solo generazionale ma anche eterno. Kerouac non solo stelle e strisce ma anche francese. Kerouac non solo beat ma anche proustiano. Kerouac non solo nomadista ma anche sedentario. Kerouac non solo droghe e alcol ma anche cattolico. Kerouac non solo scrittore ma anche pittore. Kerouac non solo celibe in macchina sulle strade d’America. Kerouac anche a scrivere nella casa di sua madre. Kerouac anche alla ricerca del padre nelle chiese di Francia. Kerouac da rileggere, riscoprire e ridefinire, dalla A alla Z…
*
Dizionario Kerouachiano (parte seconda):
Madre – Al termine di ogni suo viaggio attraverso gli Stati Uniti, Kerouac faceva ritorno alla casa della madre e qui componeva i suoi libri. I suoi periodi di sedentarietà a fianco della madre furono indubbiamente più lunghi di quelli dei nomadismi sulle strade d’America. Morì nella sua dimora a St. Petersbourg in Florida. Con lei condivise la passione maledetta per il bere. Cf. Alcol.
Neal – Neal Cassady. Il grande amico di Jack. Il Dean di Sulla strada… “E così in America quando il sole tramonta e me ne sto seduto sul vecchio molo diroccato del fiume a guardare i lunghi lunghi cieli sopra il New Jersey e sento tutta quella terra nuda che si srotola in un’unica incredibile enorme massa fino alla costa occidentale, e a tutta quella strada che corre, e a tutta quella gente che sogna nella sua immensità, e so che a quell’ora nello Iowa i bambini stanno piangendo nella terra in cui si lasciano piangere i bambini, e che stanotte spunteranno le stelle, […] e che nessuno, nessuno sa cosa toccherà a nessun altro se non il desolato stillicidio della vecchiaia che avanza, allora penso a Dean Moriarty, penso perfino al vecchio Dean Moriarty padre che non abbiamo mai trovato, penso a Dean Moriarty”.
Orfismo, Orrore – Se il primo romanzo pubblicato, nel 1951, appena un anno prima di Sulla strada, fu La città e la metropoli, tra il 1944 e il 1945 Kerouac scrisse Orfeo emerso, edito negli Stati Uniti soltanto nel 2002. Orfica è tutta la sua opera, costante discesa agli inferi e riemersione per raccontare le visioni, spesso allucinate, apocalittiche. Tra nomadismo e staticità. Tra metropoli e provincia. Tra isolamento e amicizie. Tra gioia e disperazione. Tra estasi e desolazione. Tra ebbrezza e lucidità… Kerouac dionisiaco. Kerouac apollineo. (“Senz’Apollo, chi saprebbe che Dioniso è passato?”, scrive Pierre Drieu La Rochelle in un testo sulla poesia, tradotto anch’esso ne L’eroe da romanzo). Orfismo di Kerouac. Orrore del mondo. Ricerca della pace. Big Sur è esemplare. Cf. Alcol; Beato; Madre.
Proust e il Padre – Al di là delle divagazioni sincretiste nel nichilismo orientale, ogni pagina di Kerouac è colma di una brama quasi mistica di Dio, presenteassente, figura umana e divina, corporea e spirituale a un tempo, fondamentalmente compassionevole e legata a quella del Padre che lo scrittore sempre ricercò lungo le strade d’America e credette identificare nelle radici europee del suo sangue, materializzate nelle cattedrali di Francia. Altre analogie con l’amato (al pari di Louis-Ferdinand Céline) Marcel Proust cui fa riferimento quale modello l’intera opera di Kerouac, che appare come una vera e propria ricerca del tempo, e del padre, perduto, in versione americana. “La mia opera forma un unico grosso libro come quella di Proust soltanto che i miei ricordi sono scritti di volta in volta. A causa delle obiezioni dei miei primi editori non ho potuto servirmi degli stessi nomi di persona in ogni libro. […] non sono che capitoli dell’intera opera ch’io chiamo La Leggenda di Duluoz […] veduta attraverso gli occhi del povero Ti Jean (io), altrimenti noto come Jack Duluoz” (in esergo a Big Sur). Cf. Cattolicesimo, Francia e Francofonia; Neal.
Québec – Kerouac era figlio d’immigrati canadesi di origine francese. Il padre nacque Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup nel 1889. La madre era cugina di René Lévesque, primo ministro dello stato francofono canadese tra la metà degli anni Settanta e la metà degli anni Ottanta. Cf. Francia e Francofonia.
Route 66 – La grande strada che va da Chicago, Illinois, a Santa Monica, California, attraversando il Missouri, l’Oklahoma, il Texas, il Nuovo Messico e l’Arizona, parte del viaggio di Sulla strada. Ben più breve la strada percorsa in dieci giorni di Francia, da Parigi alla Bretagna con volo aereo, Rennes, Saint-Brieuc, dov’è sepolto lo scrittore Roger Nimier, Brest e infine Chartres.
Sedentario – Eterne alternanze di Kerouac. Tra nomadismo e staticità. Tra isolamento e amicizie. Tra metropoli e provincia. Tra la madre e le altre donne. (Satori a Parigi: “Le donne mi amano – così mi pare – ma poi capiscono che sono ubriaco ebbro di tutto il mondo e che non posso dedicarmi a loro, solo a loro, per molto, e questo le rende gelose, e io sono un pazzo Che Ama Dio. Sì”). Negli ultimi anni, tra il 1966 e il 1969, visse per lo più in modo stabile con la madre e la moglie Stella in una classica villetta della provincia statunitense, bevendo i suoi amati ma famigerati shot and a wash, giocando a biliardo con amici, e scrivendo. L’esperienza in Francia del 1965, pagato dalla sua casa editrice Grove Press e vissuta per lo più vagabondando, bevendo, contemplando le chiese e le strade, e trovando compagnia nelle puttane, come testimoniato dalle pagine di Satori a Parigi, non porterà a nuovi stimoli letterari e di viaggio. Cf. Madre; Orfismo, Orrore.
Tradizione – Quella di Kerouac è una ribellione contro il tradizionalismo della middle-class borghese americana per riabbracciare la vera Tradizione nello spirito cristiano-cattolico, il Padre sempre bramato, anche attraverso la ricerca delle radici europee e con uno “sregolamento dei sensi” stile voyant di Rimbaud… Cf. Beato; Cattolicesimo; Proust e il Padre.
Updike – Kerouac, a parte la tra l’altro poco spiegabile eccezione de I vagabondi del Dharma, ebbe sempre critiche negative. John Updike si spinse fino a scrivere una breve parodia dello stile kerouachiano in un breve testo, On the Sidewalks. Sono aperte le scommesse su chi verrà dimenticato per primo, se l’autore di Corri, Coniglio! o quello di Sulla strada.
Viaggi, Visioni, Vanità – Viaggi in movimento. Viaggi sul posto. Visioni in movimento. Visioni sul posto. Satori in strada. Satori in chiesa. Satori sui monti. (L’ascesa de I vagabondi del Dharma, il Desolation Pick in Angeli di desolazione…). Rivelazioni zen. A chiudere la Recherche kerouachiana, “La Leggenda di Doluoz”, nello stesso anno di Satori a Parigi, ecco Vanità di Duluoz, l’ultimo libro pubblicato in una vita di cui ripercorre alcuni episodi fondamentali dalla giovinezza a Lowell agli anni alla Columbia University, al servizio nella marina durante la guerra, al movimento Beat. Vanità di un ego. Vanità del satori. (La parola giapponese significa “illuminazione improvvisa”, “improvviso risveglio”). Vanità dello zen. Verità del Cristo. Cf. Zen.
Zen – Leggere Satori a Parigi per comprendere il senso dello pseudo buddhismo zen di Kerouac, di un Kerouac pseudo orientalista per ciò che riguarda lo spirituale. Cercare il satori. Andando, dove? A Rennes, o a Chartres, o a Parigi, alla Madeleine, alle Tuileries, a un Requiem di Mozart nella chiesa di Saint-Germain-des-Prés, “coi violinisti rapiti trasognati dai gomiti frementi di gioia perché i banchi e persino i posti riservati erano affollati di tanta gente distinta”, o alla Sainte-Chapelle o in Saint-Louis-en-l’Île, per ritrovare l’eterna infanzia, il tempo perduto, la vera religione: “Morivo dalla voglia di visitare la Sainte-Chapelle dove San Luigi, re Luigi IX di Francia, aveva collocato un frammento della Vera Croce. […] E morivo dalla voglia di vedere la chiesa di San Luigi di Francia nell’isola di San Luigi sulla Senna, perché così si chiama la chiesa dove fui battezzato a Lowell, Massachusetts”.
Marco Settimini
*la prima parte del Dizionario Kerouachiano è stata pubblicata su “Pangea” qui
L'articolo “E io sono un pazzo Che Ama Dio”: Ipotesi per un Dizionario Kerouachiano. Parte seconda: dalla M di Madre alla Z di Zen proviene da Pangea.
from pangea.news http://bit.ly/2CLvzrQ
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if-you-fan-a-fire · 4 years
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“Réduits à L’Eau de Pluie - La Faim Et la Pluie Minent Les Mutins,” La Presse. August 27, 1980. Pages 01 & 04. --- Raymond Gervais --- La pluie, le froid, la fatigue, la faim et le manque de cigarettes, auront-ils raison des neuf mutins qui détiennent depuis maintenant 18 heures, 11 otages devant l'enceinte du pénitencier à sécurité maximum Laval ? C'est la question que se pose la direction du pénitencie r aprè s la nuit plutôt humide et fraîche que les mutins ont passé.
Les détenus toujours adossés au mur du pénitencier, réfugiés derrière une barrière humaine constituée des otages ont essuyé des averses dispersées et des vents modérés de puis hier après-midi. La temperatur e s'est égalemen t rafraîchi e sensiblement et les mutins comme leurs otages frissonnent dans leurs vêtements mouillés. 
Au début des averses, les mutins s'attendaient à ce que la direction du pénitencier leur distribue des couvertures, mais l'administration du pénitencier en a décide autrement et espère même que la température pousser a les mutins à rendre les armes. Ils espéraient également qu'on leur permettent d'entrer à l'intérieur du pénitencier avec leurs otages, mais la direction n'a pas bougé les position s actuelles permettant aux francs tireurs de continuellement tenir les mutins enjoué.
Hier matin, les détenus ont consenti à ce qu'un des otages M. Marcel Ostiguy, âgé d e 62 ans, un moniteur de soudure, soit échangé contre des sandwiches et des boissons gazeuses. Les mutins en sont réduits maintenant à utiliser leurs tasses pour boire Peau de pluie.
M Ostiguy, qui souffre d'une insuffisance cardiaque, a été conduit à l'infirmerie de l'institution ou les médecins ont constate qu'il était fatigué mais en bonne santé.
L'échange a eu lieu à la suit e de deux rondes de négociations durant lesquelles de violents propos ont été échangés entre les négociateurs du pénitencier et celui des mutins, Roger Duhamel. Même si les autorités ont précisé qu'elles étaient toujours ouvertes à la négociation, aucun échange veritable ne s'est amorcé depuis la liberation de M. Ostiguy hier matin.
Au moment de sa libération, M. Ostiguy a déclaré que les otages semblaient tous en bonne santé sauf que quelques tins avaient reçu des éclats de plomb de calibre .12 dans les jambes à la suite de la fusillade entre les mutins et les gardiens survenue lundi matin lors de la tentative d'évasion.
Toujours selon M. Ostiguy, les détenus n'auraient infligé aucun mauvais traitement à leurs otages.
Selon M. Guy Verreault , gérant régional des communications pour le service des pénitenciers, les rencontres n'ont donne que des échanges de «propos» .
Durant la première nuit passée à la belle étoile, quelques uns des mutins ont pu dormir, se relayant pour assurer la garde . Quant aux otages assis, recroquevillés sur eux mêmes et saris couvertures, rares sont ceux qui ont pu fermer l'oeil.
Même si la circulation a repris son cours normal sur le boulevard Lévesque à Saint Vincent-de-Paul, la Montée Saint Francois est complètement fermée a toute circulation . De plus, les visites aux détenus à L'Institut Leclerc, au Centre de développement correctionnel, au pénitencier Saint-François ainsi qu' à celui de Laval ont été suspendues.
“Mieux vaut s’évader que de se suicider - Edgar Roussel,” La Presse. August 27, 1980. Page 04. --- Raymond Gervais --- Edgar Roussel âge de 34 ans, un des neuf bagnards qui détiennent 11 personnes en otages depuis lundi matin en est à sa troisième prise d'otages et sa deuxième évasion en 9 ans.
Roussel avait déjà déclaré devant le juge Jean-Guy Boilard en janvier dernier lors du procès de Roland Simard que les prisonniers qui ne peuvent “prendre leur temps" avaient deux grands moyens à leur disposition, le suicide ou l'évasion.
Roussel avait également déclaré qu'il valait mieux s'évader que de se suicider.
C'est d'ailleurs ce qu'il avait fait le 19 juin 1974  en compagnie de Richard Blass.
Roussel purge présentement une peine d'emprisonnement à vie pour sa participation a l'incendie du bar Gargenlua en 1978 où 13 personnes avaient perdu la vie après avoir été enfermées dans un débarras. Roussel avait été reconnu coupable de deux de ces meurtres.
C'est la quatrième prise d'otages à survenir dans un établissement carcéral au Québec depuis le début de l'année . La première a eu lieu le 17 février dernier à la prison de Sainte-Anne-des-Plaines quand Claude Montreuil et Claude Charbonneau se sont empares de deux gardiens pendant 60 heures. La deuxième est survenue à Saint-Vincent-de-Paul lorsque trois detenus, Richard Coulombe, Pierre Leblanc et Gilles Racicot se sont emparés de trois gardiens durant huit heures a Ia suite d'un spectacle du groupe les «Northern Light».
Finalement la troisième est survenue à la prison de Bordeaux où Brian Mali, Alain Lipiec, Claude Laferte, Michel Bouchard et Daniel Valade se sont emparés de trois gardiens durant trois heures pour enfin se rendre en échange de cafe et de cigarettes. Photos, at left: M. Guy Verreault, gérant régional des communications pour le service des pénitenciers, compte beaucoup sur le temps pour venir à bout des mutins. At right: Un mutin a tenu M. Marcel Ostigwy en respect en lui appliquant un couteau sur la gorge. M. Ostguy âgé de 62 ans est devenu hier le premier hotage libéré par les détenus.
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A Masterlist of Underused French Names
So as a French person, I grew a little bit tired of seeing the same old French names over and over again. So under the cut is a list of 260 (185 first names and 105 surnames) underused French names, based on my experience, with the bolded ones being my favorites! And now don’t get me wrong, many of those names are not strictly French, and are in other languages too. But just know they are used in French too, so they can be used for your French character if needed. And there are obviously a lot of other names you can go for!
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Female Names
Agathe
Alexandrine
Amélie
Andréa
Andréanne
Angélique
Anne
Apolline
Ariane / Arianne
Audrey
Brigitte
Cadence
Camille
Cécile
Céleste
Céline
Chantal / Chantale
Charlotte
Chenelle
Christelle
Christiane
Christine
Claire
Clara
Claudie
Clémence
Coralie
Darcie
Delphine
Desirée
Dianne
Élaine / Élène / Hélène / probably a lot of other variations
Éléonore
Éloïse
Émilie
Estelle
Èvelyn
Félicia
France
Geneviève
Giselle
Isabelle
Jacinthe
Jacqueline
Jeanie
Joanne
Joceline
Joséphine
Julie
Juliette
Laure
Laurie
Lavinia
Léa
Liliane
Linette
Loraine
Madeleine
Maia / Maya
Mallory
Margaux
Margerite
Marianne
Marjolaine
Marjorie
Mathilde
Maude
Mélanie
Mélodie
Mélusine
Myriam
Nancy
Nathalie
Noémie
Ophélie
Rachel / Rachelle
Rosalie
Rosemarie
Roxane / Roxanne
Solange
Stéphanie
Susanne / Suzanne
Thérèse
Valérie
Véronique
Violette
Virginie
Viviane
Male Names
Adrien
Alain
Antoine
Arnaud
Baptiste
Benjamin
Benoit
Bernard
Bruno
Charles
Christian
Christophe
Clovis
Colin
Damien
David
Didier
Dilan
Edmond
Edouard
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Ernest
Étienne
Fabrice
Félix
François
Gaspard
Gaston
Gauthier
Geoffrey / Geoffroy
Grégoire
Guillaume
Henri
Hubert
Ivan / Yvan
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Jérémie / Jérémy
Jérôme
Joseph
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Léon
Léonard
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Mathieu / Matthieu
Maurice
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Nicholas / Nicolas
Olivier
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Philip / Philippe
Pierre
Quentin
Raymond
Rémi / Rémy
Richard
Robert
Roland
Romain
Sébastien
Simon
Sylvain
Thierry
Thomas
Tristan
Victor
Vincent
Xavier
Unisex Names
Carol (male) / Carole (female)
Claude
Daniel (male) / Danielle (female)
Denis (male) / Denise (female)
Dominic (male) / Dominique (female)
Eugène (male) / Eugénie (female)
Fabien (male) / Fabienne (female)
Frédéric (male) / Frédérique (female)
Jasmin (male) / Jasmine (female)
Jean (male) / Jeane (female)
Joël (male) / Joëlle (female)
Jordan (male) / Jordane (female)
Justin (male) / Justine (female)
Louis (male) / Louise (female)
Lucien (male) / Lucienne (female)
Marcel (male) / Marcelle (female)
Michel (male) / Michelle (female)
Noël (male) / Noëlle (female)
Pascal (male) / Pascale (female)
Patrice
Samuel (male) / Samuelle (female)
Valentin (male) / Valentine (female)
Surnames
Adam
Allaire
Allard
Archambault
Beauchêne
Beaulieu
Beaumont
Bélanger
Béranger
Bernard
Bertrand
Blanchard
Blanchet
Boivin
Bouchard
Boucher
Brisbois
Brodeur
Bureau
Caron
Charbonneau
Cloutier
Comtois
Côté
Courtemanche
Cousineau
Couture
Delacroix
Desautels
Deschamps
Descôteaux
Desjardins
Desrochers
Desrosiers
Duboit
Duchamps
Dufort
Dufour
Duval
Fabron
Faucher
Faucheux
Favreau
Félix
Fontaine
Fortier
Fournier
Gagné
Gagnon
Girard
Giroux
Gosselin
Granger
Guérin
Hébert
Jacques
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Lachance
Lambert
Langlois
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Lécuyer
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Martin
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Moreau
Morel
Paquet
Parent
Patenaude
Pelletier
Perrault / Perreault
Petit
Plamondon
Plourde
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Poulin
Richard
Richelieu
Robert
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Roux
Samson
St-Martin
St-Pierre
Taillefer
Thibault
Thomas
Tremblay
Villeneuve
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moviessilently · 7 years
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No actual vampirism is involved in this serial, it’s about a criminal gang called the Vampires and their attempts to… well, I’m not really sure what. Kill people and break things, I guess. We also follow the efforts of a heroic reporter to bring these ne’er-do-wells to justice or something.
Home Media Availability: Released on DVD and Bluray.
Toxic Relationships
Before I begin, a hearty thanks to the late David Shepard for helping me research this review. It is dedicated to his memory.
Most classic movie fans are familiar with the cliffhanger serials of the 1930s-1950s and even the most casual film buff knows about The Perils of Pauline, often cited as the quintessential silent serial (but it’s not actually very good). However, America was never the only game in town when it came to serialized entertainment. The French are no slouches in the serial department and the most famous French director of these entertainments is Louis Feuillade.
Stylish villainy, here we come!
Readers of the site may recall that I am a huge fan of Judex, Feuillade’s 1916 caped crusader series. It’s one of my top five silent films of all time, in fact. After watching Judex, I decided to watch Les Vampires, Feuillade’s far more famous serial of 1915. It shares a significant number of cast members from Judex and boasts an anarchic plot with zaniness to spare.
I guess this is a bit of a spoiler but my reaction to Les Vampires thirteen years ago was a resounding “meh.” I liked parts of it but I was simply unimpressed. So now we’re going to see if over a decade of silent movie experience has changed my mind about the serial.
But in a shocking twist, our hero has a comedy sidekick!
First, a quick word about the story: I won’t be covering every plot twist and turn because a) the serial is over 400 minutes long and b) Feuillade and co. kind of made everything up as they went along. There’s no real central story except for the idea of a criminal gang called the Vampires and a reporter’s attempts to bring them to justice. The two sides are locked in a battle of wits and it’s all fun and games until they haul out the poison. Both sides engage in multiple kidnappings, plus a spot of murder and the body count is pretty high.
I never joke about silk long johns.
Philippe Guérande (Edouard Mathé) is a reporter with one goal in life: to bring down a criminal gang known as the Vampires, a band of powerful criminals who rob, murder and manipulate with impunity whilst wearing black silk long johns. They are led by the Grand Vampire (Jean Aymé) and his most trusted operative, Irma Vep (Musidora). Philippe, meanwhile, is assisted by Mazamette (Marcel Lévesque), a silly little fellow with certain useful skills and a connection to the Vampires.
Our first look at Irma Vep.
The first episode is not very promising with its slow pace and interminable shots of the Grand Vampire walking across rooftops but things quickly pick up with the introduction of Irma. Musidora (BFF of author Collette) is a natural on the screen and makes an immediate impression as the vicious Miss Vep. She hisses and spits through an introductory musical number. (Are you sure this is a silent film?) Feuillade clearly thought he had something special as well, he takes the time to show a poster advertising Irma’s stage show rearranging itself to spell VAMPIRE.
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Musidora follows through on this promise with a reign of terror; burglary, kidnappings and other nefarious deeds. And, of course, she does it while stylishly clad in Vampire gear, as well as assorted posh frocks, maid uniforms and even in the garb of a young viscount.
Everyone talks about Musidora and that’s great but can we take a minute to discuss Philippe’s awesome mother? Feuillade did seem to love his powerful mothers and it’s a refreshing change from modern Hollywood, believe you me. Delphine Renot is marvelous as a woman who dotes on her son but also is perfectly capable of stabbing her kidnapper with a poisoned pen nub in order to escape. Go, mom, go!
After poisoning a henchman, Philippe’s mom went to her PTA meeting.
Alas, Edouard Mathé is not a terribly compelling hero (he was demoted to tweedy brother of the titular hero in Judex) and as we spend most of our screen time with him, it’s a bit of a problem. The fact that his romantic interests are reduced to living plot devices does not help matters. Marcel Lévesque, on the other hand, is a droll figure as comedy sidekick Mazamette and the character becomes even more amusing with the introduction of child actor Bout-de-Zan as his young son. (You may recall that Bout-de-Zan played the Licorice Kid in Judex.)
Me? Spy for the Vampires? The very idea! … Oh, all right. Do you have any idea how expensive boarding school is?
Another major misstep in the serial is the introduction of Moreno (Fernand Herrmann). It starts promisingly enough with Moreno and his criminal gang starting a turf war with the Vampires but soon becomes unbalanced when the screenwriters decide to make this new villain a master hypnotist. It simply makes him too powerful and removes considerable suspense from the resulting picture, at least in my opinion. This strange new power was likely due to some personnel problems that we will discuss in the next paragraph.
She became his total slave but on the plus side, she never smoked another cigarette either.
To say that Les Vampires is chaotic is an understatement. In fact, its anarchic plotting and anything-goes madness are major contributors to its overall appeal. Some of the chaos was due to Feuillade’s drill sergeant manner on the set, which seems like an oxymoron but isn’t. For example, the rotating leader of the Vampires developed because the actor playing the original Grande Vampire, Jean Aymé, was habitually late and Feuillade responded by firing him. (Don’t worry, Aymé’s career lasted another three-and-a-half decades. No word as to whether he became more punctual.) SPOILER: The Grand Vampire neatly murdered by a hypnotized Irma Vep, Feuillade was free to open a revolving door and let in Satanas and Venomous. (One wonders why the Vampires did not simply promote Irma. Oh well.)
Irma and the Grand Vampire posing as father and son. Take it away, amateur shrinks!
Other bits of chaos were due to the war and film shortages. At certain points, Feuillade spliced in scenes from an entirely different movie to complete an episode. “Let me read you a story about my ancestors, complete with flashbacks!” Um, okay.
Every crime serial needs a few scenes from the Napoleonic Wars.
I’m going to be honest here: I found Les Vampires to be a bit of a letdown after the more structured madness of Judex thirteen years ago and I feel the same way now. While I have rewatched Judex numerous times over the years, I have only dusted off Les Vampires once and it was for this review. While anarchy and madness and murder are all very fun in a serial, there’s only so much of it you can take. Les Vampires has a slow start, which further increases the difficulty for first-time viewers. I know some people just adore this serial and that for them, the anarchic tone and wild plotting are a feature, not a bug, which is why I’m not really going for a deep takedown of the series. That would be like watching a Garbo/Gilbert romance and complaining about overblown love scenes or going to a Star Wars movie and complaining about all that Jedi stuff.
Come for the title, stay for the severed heads.
My advice? If you don’t like Judex, try Les Vampires. If you don’t like Les Vampires, try Judex. If neither suits you, try Fantômas, Feuillade’s other famous serial. If you like all three, good for you! There seems to be a Feuillade series for everyone so do give them a try. I’m sure you will find something to delight you.
Where can I see it?
Les Vampires is available on DVD and Bluray from Kino Lorber and features a score from the Mont Alto Motion Picture Orchestra.
I was corresponding with David Shepard in preparation for this review before he passed away. He produced the original English home video release of Les Vampires and while it is now out of print, he asked me especially to mention Robert Israel’s fine orchestral score. It really is wonderful and you can still get a used copy of the Image release that includes it.
***
Like what you’re reading? Please consider sponsoring me on Patreon. All patrons will get early previews of upcoming features, exclusive polls and other goodies.
Les Vampires (1915) A Silent Film Review No actual vampirism is involved in this serial, it’s about a criminal gang called the Vampires and their attempts to… well, I’m not really sure what.
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auxgalops · 6 years
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Montréal 1865. Rue Saint-Laurent >Nord.
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Montréal 1865. Rue Saint-Laurent >Nord. par Philippe Du Berger Via Flickr : Document archives / photo: J.G.Parks, coll. Marcel Paquette. En se référant au commerce de J.A.Rafter (à droite) qui porte le no. civique 29, nous sommes ici en plein coeur du faubourg Saint-Laurent, entre les anciennes rues Craig, Vitré, de La Gauchetière et Dorchester. La rue est bordée d'intéressants bâtiments, des commerces pour la plupart, tous jumelés à des logements, des passants déambulent sur un trottoir de bois, des charrettiers circulent sur la rue en terre battue et on voit, à gauche, un tramway hippomobile. Cette photo aurait été prise depuis une fenêtre du studio du photographe J.G. Parks. Selon l'annuaire Lovell de 1865, J.G. Parks est au no. civique 18, rue Saint-Laurent, donc tout concorde. En haut, à l'arrière plan droit, on distingue la structure du clocheton de l'ancien General Hospital qui était situé coin Sud-Est des rues Saint-Dominique et Dorchester (actuel boul. René-Lévesque). Le tracé de l'autoroute Ville-Marie, le Palais des Congrès et d'autres multiples aménagements urbains ont balayé à jamais ce secteur témoin de l'histoire de Montréal.
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