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#Marlène Schiappa
mirrorontheworld · 1 year
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L’association de Mohamed Sifaoui n’est pas la seule à avoir été grassement rémunérée par le fonds Marianne. Une autre structure a touché plus de 300 000 euros alors qu’elle venait d’être créée et n’avait aucune activité connue. Sous couvert de lutte contre le séparatisme, elle a diffusé des contenus politiques à l’encontre d’opposants d’Emmanuel Macron pendant les campagnes présidentielle et législatives.
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lejournaldupeintre · 1 year
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Marlène Schiappa : The case of the Marianne fund.
Marlène Schiappa This fund was created in 2021, a few months after the ination of Samuel Paty. Endowed with an envelope of 2.5 million euros, it aimed to finance initiatives and ociations which promote “the values ​​of the Republic” and fight separatism online, in particular among a young audience (from 12 to 15 years). Of the 71 applications received, 17 were selected to receive the money,…
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Fonds Marianne : favoritisme et soupçons de mensonges
Énième rebondissement dans l’affaire du fonds Marianne qui éclabousse à nouveau Marlène Schiappa. Par Clémence de Longraye Continue reading Untitled
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infoscoop · 1 year
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Le ministre du travail et Têtu : rencontre explosive !
Le ministre du travail et Têtu : rencontre explosive ! https://infoscoop.fr/wp-content/uploads/olivier-dussopt-se-lache-dans-tetu-2795.webp Olivier Dussopt se lâche dans Têtu en mai prochain, le ministre du travail revendique son droit d'être sulfureux et sexy comme Marlène Schiappa. #olivierdussopt #marlèneschiappa #têtu #ministre #sexy #sulfureux #politique #humour #tabou #sexualité https://is.gd/Bk9NFB
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stripnblues · 5 months
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La sombre, sombre histoire des escaliers, partie 1
Dans mon précédent post, j’avais évoqué l’idée de narrer les mésaventures qui ont conduit à mon changement de psychiatre. Je m’étais laissé, je cite, « la liberté de choisir » d'en parler. 
HAH. Quel genre de personne serais-je pour laisser pour laisser mon lectorat sur sa faim (laissez-moi croire que j’ai autant de followers que Baptiste Beaulieu ou Pénélope Bagieu, s’il vous plaît). 
Puis, pour tout vous dire, j’ai un peu honte d'être passée à côté de ces mots doux de Tibo InShape, qui m’auraient donné TELLEMENT de grain à moudre dans le papier précédent :
Merci pour ta contribution, mec. Si tout le monde t’écoutait, l’industrie pharmaceutique serait en PLS et les psys au chômage.
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Je crois aussi qu’une partie de moi a besoin de coucher tout ça sur le papier. Parce que ça a été un sacré calvaire et que, quelques mois plus tard, même si j’ai envie d’en rire, c’est d’un rire encore forcé.
Je consultais cette psychiatre depuis deux ans. J’avais laissé tomber la précédente après une énième soirée à patienter deux putains d’heure dans la salle d’attente jusqu’à m’en aller sans l’avoir vue, la rage au ventre mais sans ordonnance. Dans l’urgence, parce qu’il fallait bien que je chope mes médocs, j’en ai trouvé une nouvelle via Doctolib. Elle me paraissait compétente, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Même si, parfois, ses questions semblaient sortir tout droit du manuel pour psychiatres débutants : « Est-ce qu’en ce moment, vous avez des idées tristes ? »
Euh… Ça dépend de ce qu’on entend par “idée triste”. Si ça veut dire « penser que même Nicolas Sarkozy et Marlène Schiappa publient plus de livres que moi », alors oui, j’ai des idées tristes.
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Si vous avez des idées tristes après avoir lu ce résumé, c'est normal.
Même si elle avait souvent du retard dans ses rendez-vous. Mais ça, je sais que c’est tirer sur une ambulance passablement déglinguée. L’état de la psychiatrie en France n’est un secret pour personne. Manque de moyens, plus de patients en détresse, moins de soignants, une pression grandissante… Tout cela, sans doute, joue sur un quotidien certainement bien agité entre les urgences du jour, la patientèle à gérer, etc. Jusqu’ici, j’étais plutôt indulgente.
Et puis… Et puis il y a eu un épisode particulièrement difficile. L’anxiété me submergeait, toute tentative de discernement relevait d’un marathon avant d’être balayée par une vague d’incertitudes, je me retrouvais plus bas que terre, à essayer de faire bonne figure auprès de mes proches avec un sentiment d’imposture qui me rongeait le ventre. Pas la joie, pour résumer. C’est donc dans un état peu glorieux que j’ai vu ma psychiatre pour notre rendez-vous mensuel. Un génocide de mouchoirs plus tard, elle me propose de remplacer un anxiolytique dans mon traitement, et de voir si celui-ci sera plus efficace. Et, notez bien, c’est important pour la suite, elle me précise : « Tenez-moi au courant des effets dès le lendemain. Si ça ne va toujours pas au bout de quelques jours, prévenez-moi et on trouvera une solution au plus vite. »
Je ressors avec l’ordonnance et l’envie de croire que les choses vont s’arranger grâce à cette bidouille chimique. Je vous épargne le suspense, c’est tout le contraire qui s’est produit. Les crises d’angoisse ont persisté tout comme le moral au fond des chaussettes. En plus de ça, je me traînais une chape de fatigue. J’étais devenue incapable de réfléchir. Chaque tâche somme toute banale devenait une épreuve impossible. Dès que je tentais une sortie pour faire ne serait-ce que des courses, j’étais prise d’une douleur face à l’effort. Presque tout de suite, je voulais fondre en larmes et retourner me terrer chez moi. Toutes mes émotions étaient sapées, fondues en un brouillard d’abattement. Heureusement que je ne travaillais pas, à ce moment-là. Peu ou prou, j'étais devenue ça :
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Bien sûr, je l’ai tenue au courant le lendemain. Pas de réponse. Bon, ok, elle doit être occupée… J’ai attendu que le traitement fasse son effet. Un, deux, trois, quatre, cinq jours s’écoulent. Ça n’a l’air de rien mais, avec une santé mentale chaotique et un traitement qui semble empirer la chose, cinq jours, c’est très long. Ma seule envie, c’était que les journées s’écoulent pour que je puisse enfin dormir. M’affranchir quelques heures de mon calvaire qui, de toute façon, allait reprendre dès mon réveil. Il me fallait me changer les idées par tous les moyens, des bouquins, Netflix, YouTube… Je m’abrutissais pour mieux me prendre mon mal-être en pleine gueule ensuite, malgré la môman et l’amoureux en soutien à distance, et le Kraken à mes côtés.
Entre-temps, ma thérapeute, qui voit mon état se dégrader, m’encourage à prévenir la psychiatre. Alors j’essaie de l’appeler, je lui envoie des textos, un mail où je détaille les effets du médicament et qu’on pourrait résumer par « please help »… mais pas de réponse. Que couic.
Je suis d’autant plus désespérée que, dans quelques jours, je dois partir dans ma famille pour les fêtes. Parce que oui, tout ça se déroulait peu de temps avant Noël et autres célébrations. 
Qui c’est qui, en plus d’être pas bien, culpabilise à l’idée de pourrir les réjouissances à venir avec sa santé mentale en carton ?
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Gné...
Donc, parce que chaque journée à macérer dans cette bouillasse noire est d’une longueur infinie, parce que je ne veux pas rester comme ça et que, visiblement, la psychiatre est aux abonnés absents, je me retrouve sur Doctolib pour prendre rendez-vous avec elle. Ben oui, elle n’a pas de secrétariat, donc comment vous dire. J’arrive à choper un créneau la veille de mon départ en famille. Après plus d’une heure d’attente (parce qu’évidemment, il y a eu une couille avec Doctolib et qu’on s’est retrouvés à plusieurs sur le même horaire et qu’il a fallu gérer le bazar…), je la vois, et là, c’est l’occasion de dire que des idées tristes, j’en ai à la pelle, et que le nouvel anxiolytique est un poil daubé du cul. Je me suis renseignée sur ses effets indésirables et, oh bah tiens donc, on est en plein dedans.
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Remplacez « agneau » par « anxio », et le tour est joué.
Je glisse au passage que j’ai voulu la prévenir, que je n’ai pas eu de nouvelles, etc. Curieusement, elle élude, plaide la surcharge de textos de tous les côtés, et me conseille de la spammer les prochaines fois. Mais avait-elle bien reçu mon mail ? Avait-elle pris le temps de le lire ? À cela, elle ne me donne pas de réponse claire. Je trouve ça bizarre, mais bon. On réajuste le traitement, on revient à ce que j’avais avant en plus léger, parce que sinon, je serais en surdosage. Ce qui me fait tiquer, parce que mes psychiatres précédents n’hésitaient pas à y aller yolo sur les anxios. Okay, ça fait plaisir de savoir que les confrères ne sont pas forcément au fait niveau posologie et état de la recherche sur ce qu’ils prescrivent. Mais soit. Elle me file aussi l’adresse des urgences psychiatriques de Saint-Anne si jamais ça ne va vraiment, vraiment pas. Ce qui ne me rassure paradoxalement pas, je dois l’avouer. Je repars avec l’adresse, le traitement changé et l’espoir, cette fois, que les choses vont vraiment revenir à la normale.
Alors… Passé les deux-trois jours de soulagement post-traitement daubé du cul, j’ai dû me rendre à l’évidence : ça n’allait toujours pas. Sauf que, andouille que je suis, j’ai préféré ATTENDRE de rentrer de vacances pour en parler à ma thérapeute et reprendre rendez-vous avec la psychiatre. Quand j’y repense, j’ai envie de me secouer très fort comme un prunier. 
« So, il y a une météorite qui te fonce tout droit sur la gueule, tu devrais peut-être changer d’endroit ou demander à Bruce Willis de te filer un coup de main pour empêcher la catastrophe. — Euh mais je sais, mais là, je suis avec des potes et j’ai pas trop envie d’y penser… Je vais plutôt faire ça quand je serai rentrée. »
Des fois, je m’auto-saoule d’une force…
Arrive donc le rendez-vous avec la psychiatre (en visio, car les transports avaient décidé de faire de la merde, bref, c’était une journée du caca absolue). Ma tête de blob larmoyant lui permet de déduire que le traitement n’est pas très efficace (euphémisme). Elle me propose une nouvelle solution. Or elle n’est pas anodine, c’est plutôt du type « ajouter un médoc lourd avec plein d’effets secondaires pour personnes à la santé mentale façon puzzle, youhou ». J’appréhende, mais elle m’assure que ça peut tout à fait convenir dans ma situation. Elle doit juste faire quelques recherches pour s’assurer que c’est compatible avec le reste de mon traitement, mais promet de m’envoyer l’ordonnance dans la journée. Et que je n’hésite pas à la relancer le cas échéant.
Devinez quoi ? L’ordonnance n’est jamais arrivée. J’ai spammé, j’ai appelé, laissé des messages. Que dalle. Nichts. Un jour passe, deux jours, trois jours… 
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Alors je connaissais le ghosting sentimental (souvenez-vous, le gaufrier), amical (soit c’est ça, soit le pote est mort ou parti dans un monastère sans téléphone cellulaire, je ne vois pas d’autre explication). Mais par une professionnelle de santé, c’était tout nouveau. Hésitez pas à me proposer d’autres plans foireux à tester, hein, je crois que j’ai un potentiel là-dedans.
En parallèle, je m'apprête à commencer un nouveau boulot, toujours avec l’impression de passer mes journées dans l’équivalent psychique du Mordor. Même ma psy, qui pourtant en a vu d’autres avec moi, trouve que quelque chose cloche. À force de ne pas avoir de nouvelles, je sens ma confiance s’éroder. On m’encourage à peut-être consulter quelqu’un d’autre. Je fatigue, je tiens tant bien que mal. J’arrive à obtenir une liste de praticiens recommandés. Je me résous à reprendre rendez-vous avec la psychiatre pour tenter d’élucider tout ce bordel, et lui dire que j’en ai légèrement marre de me faire traîner en bateau. Sauf que j’appréhende. Dans mon état, je ne me sens pas sereine pour me confronter seule à cette personne. Je sens que j’ai peur. Et ça, face à quelqu’un qui est censé vous aider à aller mieux, malgré mon sale état, je sens que ce n’est pas normal. Dans la détresse, j’appelle ma mère. 
Faisons une pause dans le récit, le temps que je vous présente ma môman. Si je devais la résumer en un personnage, c’est Brienne of Tarth dans Game of Thrones (sans le crush pour ce couillon de Jamie Lannister).
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Eh ui c'est ma MÔMAN À MOI.
Loyale, valeureuse, elle est l’une des personnes les plus fortes et courageuses que je connaisse. Mais, pour rester dans le même univers, dès qu’on ose toucher à sa précieuse progéniture, ma mère se transforme en Daenerys (la vibe cryptonazie de la saison 8 en moins) :
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L’un de ses adages, c’est « Don’t mess with my kids ». Mais vraiment. S’il vous prend la folie de mess with ses kids, vous pouvez être sûr de finir la journée au fond d’un lac, les pieds dans un bloc de béton armé. Et peut-être pas en un seul morceau, en fait. 
Je vous laisse donc vous mettre à la place de ma môman lorsqu’elle reçoit un appel de sa fille aînée aux prises avec une psychiatre qui la ghoste après lui avoir proposé des traitements chelous. 
Alors que je finis à peine de bredouiller « est-ce que tu voudrais m’accompagner à mon rendez-vous sitoplé ? », ma mère me répond d'emblée à l’affirmative : « Mais bien sûr, ma chérie. Ça tombe bien, j'avais besoin d'aiguiser mon épée de feu. »
And this is where the fun begins. Ah oui, parce que tout ça n’est que le contexte de l’aventure à laquelle mon post doit son titre fabuleux.
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À plusse pour la suite, les p'tits choux !
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romainmeynier · 1 year
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Juillet-août. De retour au travail après avoir nagé dans un lac tout juste rempli – après vidange : poissons neufs, algues fraîches, pierres non polies sur plages vides. Rien d’aimable pour le dos. En haut, une pluie bienfaisante pour l’humanité nous a poussés devant la télévision de l’hôtel, pas regardée depuis les années 10 : clips le matin, policiers le soir. Elise découvre chaque fois le coupable et dénoue les intrigues avant l’heure. Tu devrais être scénariste, lui dis-je. Je ne peux pas, me dit-elle, il faut que ça existe déjà.
J’ai filmé tout l’été en gros plan : le soleil, les traînées d’avion, et, sur la route, quand elle conduisait, les châteaux d’eau et éoliennes. On oublie le zoom moche des téléphones qui donne un grain si beau.
Actuellement dans l’openspace, donc, où une collègue présente des arguments pour la fessée éducative, que j’écoute d’une oreille distraite en tentant d’illustrer une couverture sur la psychiatrie. “Quand il pleure, je le fous sous la douche, ça le calme. C’est qui le patron ?” Je ne lui réponds plus depuis que j’ai appris à la considérer comme une entité irréelle, un PNJ ronchon sans incidence. On ne se met pas en colère contre un programme sans lien avec la suite de l’histoire.
Le soir, avant de dormir, avec Elise, nous jouons à Wikipédia. C’est au premier qui, partant par exemple de la page Citron, arrivera à Marlène Schiappa en n’utilisant que les hyperliens bleus, sautant d’une page à une autre. Elise perd souvent car elle se met à lire les articles qui l’intéressent en cours de jeu. J’étais sur la page Fromage, me dit-elle.
Quelques phrases :
Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris. (Oscar Wilde)
Mauve roule et n’en revient pas. Les gens sont vraiment des putains de grosses merdes, légère averse et ils font tous comme si c’était de l’acide. (Clémentine Haenel, dans Pleins Phares, à paraître le 7 septembre)
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katewalker · 1 year
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Marlène Schiappa a vraiment voulu faire un buzz/contrefeu en posant pour Playboy et essuyer ses pieds sur le féminisme au passage et quand on voit la qualité objectivement merdique des photos....... je suis là genre.... tout ça POUR CETTE MERDE ? Il y a absolument RIEN QUI VA ! Marlène, vu que tu poses en “Marianne” on peut discuter du détournement qui a bénéficié à tes petits copains sur le fond du même nom que tu as créé ?
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«Quand le shampooing coule sur mes épaules, mon ventre, mes jambes, j’en ai partout, je me lave avec ce liquide blanc, je patauge dedans...»
Marlène Schiappa n’a rien à envier à Bruno Le Maire dans ses dilatations littéraires…
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claudehenrion · 1 year
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Si c'est un réveil, il est lent, tardif, et poussif...
  Malgré Marlène Schiappa, la Femme serait-elle l'avenir de l'homme ? Cette affirmation d'Aragon (que je conchie par ailleurs, pour parler comme lui), reprise ensuite par Jean Ferrat –voix de velours, beauté des airs et richesse des rimes... le tout dévoré par un engagement politique mortifère-- me dérange et me réjouit, tout-à-la-fois : portée par de vraies femmes, à l'opposé complet de la caricature que sont les fausses féministes, elle est très belle. Des Charlotte d'Ornellas, Maryse Bastié, Sonia Mabrouk, Elisabeth Lévy, Michèle Tribalat, Chantal Delsol et tant d'autres prouvent qu'Aragon a peut-être pu ne pas avoir tort, une fois dans sa vie.
Je dois à l'une d'elle, Maryse Bastié, la bonne idée de m'être plongé dans un livre confidentiel qui vient d'être republié (d’un point de vue ''marketing'', c'était une mauvaise idée. Mais ça a été un don du ciel, pour moi...). Il s'agit d'un opuscule de Charles Péguy, de 150 pages –les plus courts sont souvent les meilleurs-- au titre improbable : ''De la situation faite au parti intellectuel dans le monde moderne devant les accidents de la gloire temporelle'' (OUF ! 18 mots pour un seul titre ! C'est à peu près le maximum de ce qu'un homme ''moderne'' est capable de lire en 24 heures : je le sais par certaines réactions à mes ''éditos''). Mais que de pépites !
Ce livre a été écrit, donc, par Charles Péguy en 1907, à un moment de sa vie où cet homme de gauche, dreyfusard engagé, vient de perdre toutes ses illusions avec le vote de la Loi ''de 1902'' qui réformait l'enseignement secondaire… et qui a été ''la'' référence pendant plus d'un demi-siècle, jusqu'à l'effondrement total post-1968 et la mise en œuvre des concepts suicidaires responsables du délabrement actuel. C'est dans les attendus de cette loi que sont nées les phrases vides (mais qui ont fait florès) de ce énième épisode de l’interminable affrontement entre Anciens et Modernes : ''Adaptation au milieu moderne... afin de répondre au progrès des connaissances... et de préparer les jeunes français à... la compétition à laquelle prennent part tous les peuples civilisés, etc... On ne s'est jamais remis, on ne s'est plus jamais sorti de cette logorrhée (NB - Jospin ajoutait même : ‘’remettre l’élève au centre de la classe’’ ! Mais on l’a jugé sur pièces !). De ce combat inégal entre le christianisme (conservateur de ce qui est éternel ou durable en l'Homme) et le modernisme (uniquement intéressé par la fabrication d'un ''homme nouveau'' --nouveau... mais non défini, à l'époque... et toujours pas, depuis !), Péguy écrira : ''Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à la retraite'', ce qui fait de lui le plus crédible de tous les philosophes de la politique en... 2023 !
Il a tout de suite compris l'étendue des dégâts qui devaient découler de la victoire du positivisme sur les ''Humanités'', et de l'embrigadement administrativo-éducatif sur la vie de l'esprit. Il a vu dans l'abandon de la culture hellénique ''un avilissement programmé'' (Macron, s'il avait su ça, l'aurait pourchassé comme ''complotiste'', il serait interdit d'accès aux réseaux sociaux, et Libé et le Monde ne sauraient quoi inventer pour le mettre hors jeu, c'est certain !). Il redoutait aussi le nouvel idéal dit républicain qui est une volonté exclusive de n'exister que par opposition au catholicisme et à toute culture –qui ne peut voir le jour, pourtant, qu'autour de, à partir de, et en référence à une religion, on sait ça, depuis.  Là, était ''en potentialité une volonté de détruire le spirituel, ce qui ouvrait la route au règne du seul argent''. Il a vu juste avec un siècle d'avance... (tué d’une balle dans la tête en 1914...).
Dans ces pages, Péguy ''recense'' les trois tentations majeures qui, d'après lui, menacent les élites : Tout d'abord, la tentation de la puissance temporelle qui, dit-il, est la moins dangereuse , car elle est universelle : tous les détenteurs d'une autorité ont toujours rêvé d'une parcelle de richesse, et la réciproque est vraie... La deuxième, dit-il, est plus pernicieuse : c'est vouloir ce qu'il y a de socialement intellectuel dans le pouvoir temporel (d'où la réputation totalement imméritée de ''cultivés'' à laquelle s'accrochent nos cuistres-au-pouvoir et leur besoin d'écrire des livres (tirage moyen : de 25 à 30 exemplaires, y compris les ''services de Presse'' gratuits ! Les ventes sont fonction du nombre de membres de leur famille proche !). Et la troisième tentation est celle de la gloire : dans tous les anciens régimes, dit Péguy, d'autres formes de puissance contrebalançaient celle de l'argent, que ce soit la force de l'Histoire, celle des traditions,  la Chevalerie, la religion et ses rites, la force des hiérarchies et, par dessus tout, celle(s) des races (NB rien à voir chez Péguy avec les borborygmes caricaturaux que charrie ce mot-maux de nos jours).
Dans ce fatras, explique-t-il, des équilibres et des déséquilibres de ''puissance'' de genre différent vivaient, se côtoyaient, et s’annihilaient... mais ce fatras, justement, était la définition de la Liberté... puisqu'il y avait plusieurs sources, formes manières et étages de pouvoir... tout ça remplacé par ''le grand cadavre mort du monde moderne qui soumet tout au seul critère de l'argent''.. Et comme si cette vision qui évoque si bien notre ''vécu quotidien'' ne suffisait pas, Péguy  reprochait (déjà !) aux ''modernes'' leur arrogance et leur sentiment de supériorité par rapport à tous les temps qui les ont précédés, la stupidité de ''la table rase'' de tout, sans exception, depuis le commencement du monde, qui n'a d'après eux jamais été ''créé'' par personne, sauf à partir du ‘’14juilletmilseptcentquatrevingtneuf’’, où un merveilleux monde, révolutionnaire subversif et progressiste, aurait été créé en un clin d’œil.
C'est dans ces pages, qui donnent parfois le vertige devant tant de puissance dans les analyses et tant de force dans les prévisions, qu'on trouve sa célèbre diatribe : ''Le monde moderne avilit. D'autres mondes idéalisaient, matérialisaient, bâtissaient ou démolissaient, utilisaient la justice ou la force, faisaient des cités, des communautés, des hommes ou des dieux. Le monde moderne achète et vend, c'est sa seule spécialité et elle est avilissante....''. Il est difficile de ne pas penser qu'il avait envisagé, avec un bon siècle d'avance, le macronisme déshumanisant, le crétinisme militant de la Nupes, des féministes ou des Woke, la prééminence de l'argent comme ultima ratio et comme seule ''valeur''. Et il est difficile, aussi, de ne pas déplorer que ces gens qui ont tellement vilipendé la bourgeoise et ses belles valeurs, ont fait un étendard de la seule qui était vraiment condamnable : l'esprit ''petit bourgeois'', qui règne sans conteste sur ce qui ne reste même plus de ce qui fut ''La France'', conquérante, ambitieuse, ''gonflée à bloc'', tournée vers son avenir... et vers celui du monde –à qui elle voulait offrir de partager ses rêves de grandeur de l'Homme''... Et ratatiné, en plus !
Dans la haine (fabriquée) de Dieu, le français actuel a tourné le dos au Paradis… mais s'est dépêché de le remplacer par ''la retraite à 62 ans et pas une heure de plus'' :  dans un monde dont les rêves et les ambitions ont été revus à la baisse et ramenées au seul au refus de Dieu, mais où la totalité des idées sont filles de la culture chrétienne, comment nos conceptions morales et sociales pourraient-elles être vierges des valeurs judéo-chrétiennes ? Il n'est toujours pas démontré que Dieu soit mort, mais il semble que Sa parole demeure... et ses recommandations pour notre félicité à venir puisqu'il semble bien que la seule urgence du moment (on est d'ailleurs prêts à arrêter le pays pour ça !) semble être de remplacer les travaux pénibles et les dos courbés...  par 8 heures/jour de jardinage (boulot pas fatigant du tout, et sans aucune  conséquence sur les vertèbres, tout le monde sait ça !).
Depuis, le ''progressisme'' nous a bien fait... progresser, mais c'est vers notre néant. Affranchi des anciens catéchismes, des prières répétées, des formules toutes faites, des bénitiers, des drapeaux tricolores et de la ''Marseillaise hors-foot'',  le nouveau citoyen (nouveau au sens ''Davos'' du terme) peut se vautrer sans limites dans la récitation des mantras des centrales syndicales, dans la répétition sur ordre des slogans de la doxa, et brandir des pancartes et des banderoles en chantant le ''On est là...'' des gilets jaunes. Péguy, réveille-toi, ils sont fous...
H-Cl.
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mongolitofragola · 20 days
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SCANDALE de Marlène SCHIAPPA : chef-d'œuvre + NOUVELLE AFFAIRE ?
youtube
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Quand le fonds Marianne sert à rémunérer la chasse aux prétendus complots
Quand le “pognon de dingue” ne sert que la propagande idéologique de gauche, sommes-nous toujours en démocratie ? Par Clémence de Longraye Continue reading Untitled
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memitodu29 · 20 days
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SCANDALE de Marlène SCHIAPPA : chef-d'œuvre + NOUVELLE AFFAIRE ?
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valentin10 · 22 days
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Marlène Schiappa agressée par "quelqu’un de connu", elle sort du silence
Actu People. Dans une récente interview, Marlène Schiappa a fait des confidences bouleversantes. En effet, elle a raconté avoir été agressée par une personne… — À lire sur www.starmag.com/actu-people/marlene-schiappa-agressee-par-quelquun-de-connu-elle-sort-du-silence-860322.html/amp
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culturevsnews-blog · 2 months
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Scandale de Marlène Schiappa (Auteur)
« Mais enfin, Madame la ministre, vous ne pouvez pas rester à New York ! »Et pourtant, Jasmine reste Chronique : “Scandale” de Marlène Schiappa, paru le 19 juin 2024, est une œuvre audacieuse qui explore les limites entre devoir et désir, politique et vie privée. Marlène Schiappa, connue pour son engagement politique et ses essais sur des sujets sociaux, se lance ici dans la fiction, offrant un…
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