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#Otium
capra-persa · 15 days
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Sto al mio letto come Tutankhamon al suo sarcofago
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lounesdarbois · 2 months
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cloama · 2 years
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That amazing watch I saw on here is on ebay for one thousand united states dollars. Why is everything that interests me one thousand united states dollars?
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Doppio stallo, 2022
Doppio stallodi Ermanno Cristini, Rossella Moratto, Giancarlo Noresecollana la c., vol. 41, settembre 202280 pp., col.tiratura: 80 copie Iniziato in forma di corrispondenza tra Ermanno Cristini e Rossella Moratto, il testo che ne è risultato ha percorso il tempo sospeso di un’immaginaria partita a scacchi senza possibilità di soluzione. Nel vuoto della sospensione sono “accadute” due mostre, una…
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aitan · 1 year
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"Quello che ti manca, figlia mia, è un po’ di noia. Quella noia lunga, lenta e produttiva che ti lascia da sola con i tuoi pensieri. Un sereno indulgere alla pigrizia e all’indolenza senza preoccuparsi di riempire il proprio tempo con obblighi, incombenze, appuntamenti, chat, bit, bot, tablet, youtube e videoclip che scorrono sotto le tue dita senza conclusione."
Da una lettera aperta a mia figlia, che ho pubblicato qui:
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symptom3000 · 1 year
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Widowspeak "True Blue" (2022)
director: OTIUM
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dionysus-complex · 4 months
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anyways feeling a bit like otium mihi molestum est and I will be glad when I am teaching again and have some external structure and classroom engagement to counterbalance the dissertation ennui
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hartenlust · 5 months
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its so fucking cold in this graveyard but im almost done memorizing catullus 51 :(
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intermundia · 2 years
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one of my favorite things about latin is that the word for ‘business’ is negotium right and it is a formation of nec (‘not’) +‎ ōtium (‘leisure’), whereas english ‘business’ comes from old english bisignes "care, anxiety, occupation," from bisig "careful, anxious, diligent" so like it’s a description of how it feels to be occupied, where latin is just like, what are you up to this week? well, not fuckin vacation, that’s for sure
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shcherbatskya · 1 year
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CATULLUS 51 STANZA 4??????
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lounesdarbois · 2 years
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Juin
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Lundi 6 Juin. Réveil à la campagne. Chants d'oiseaux, jardin fleuri, enfants qui jouent, rosiers grimpants sur les murs. Grands nuages gonflés dans le ciel comme des spinnakers blancs. Le monde à la bonne distance, au bon rythme. Ce sont les conversations, les "idées", les positionnements et attitudes particulières, les mondanités convenables qui ruinent tout. La société idéale: austérité en apparence, joie sûre et calme en profondeur. L'étiquette, l'uniforme, le silence, chacun à sa place. Un monastère dans le monde, en somme.
A peine assis au petit-déjeuner des bobos rusés suis-je aspiré dans le boucan des "hurleuses" de table qui monopolisent les conversations, martèlent des phrases, n'écoutent rien. Les maisons dans lesquelles elles se trouvent ont été repeintes entièrement par des tiers que l'on ne voit jamais, l'eau rétablie après 3 ans de bataille contre la voirie municipale, or elles viennent juste se mettre les pieds sous la table sans un mot de remerciement et vous enseignent que "c'est sympa, y a de l'eau en continu maintenant, tu as pas vu?".
La famille proche m'épuise (bobos rusés), la lointaine me met en joie (cathos militaires). Eux sont 2e REP, Kolweisi, c'est la légende. Feu mon grand-père était 2ème DB. Ce monde militaire s'est toujours démontré prévenant, simple et généreux, avec du tact et de la retenue, c'est l'école "force tranquille". Au contraire, la vulgarité, la méchanceté, la brutalité, ont toujours provenu des bobos rusés, mélange de gynécée expansif et d'hommes diminués. 
Aucun "Charles-Henri" dans ma famille (vive la roture). Mes cathos-militaires se nomment Adrien, Hortense, Ariane, Charlotte, ce style. Hommes débonnaires à voix graves, dames serviables, discrètes, souriantes, jeunes filles pensives à grands yeux clairs, taches de rousseur, chapeaux de paille. Les voici qui épluchent au soleil les légumes du déjeuner, essuient les tables. Abstinentes d'alcool elles dévorent à belles dents les rillettes de l'apéritif (les bobos rusés se sont déjà tous carapatés sans rien nettoyer). Pendant ce temps les petites filles se ruent sur la caisse enregistreuse et jouent à la marchande. C'est mon enfance qui recommence.
La course à la carrière, les succès professionnels, nous donnent de l'énergie, parfois de la joie, souvent de l'argent. Il y a d'autres formes de joies, à la fois plus gratuites et plus aristocratiques, qui sont liées à la marginalité, à la contemplation, à la gestion du temps libre, et forcément, à la religion. Tous ces pauvres gens dévorés par les sollicitations le sentent par intuition sans toujours le formaliser. Mais nous sommes très peu nombreux à vouloir aller de ce côté-là de la vie avec tout ce que cela suppose de diète, d'attention portée au geste etc. Je paie parfois ce goût par de méchants retours de balancier notamment en matière de colère. Je ne puis supporter les carcans, les inerties, l'anonymat carcéral où la gestion administrative de masse prétend nous maintenir. Une route fermée de droite et de gauche par des glissières de béton me hérisse d'horreur parce qu'elle est un symbole mais aussi parce qu'elle une technique d'enfermement du bétail dans les abattoirs. Les traînards, les embouteillages me sont beaucoup plus que des retards, ils constituent des symboles, des offenses à un rythme intérieur: entrer dans un troupeau c'est adopter son rythme et bientôt ses goûts, ses renoncements, choses dont je ne veux à aucun prix. Un moine traîné par des franc-maçons hors de son monastère et sommé de travailler comme téléprospecteur : voilà une illustration des injonctions de la "norme" sociale. Ma vie jusqu'ici? Avoir toujours, en apparence, fait n'importe quoi. 
Soir: 90 minutes de téléphone avec la jeunette qui sort d'une longue discussion avec une proche. Elle est remontée contre le "comportement" de certaines personnes de sa communauté, s'insurge que la religion vécue ne devrait pas consister seulement en des rites (ablutions, prières) mais en un comportement exemplaire. Elle déplore que les parents, dans sa communauté, soient si sévères en matière d'éducation des filles et si permissifs en matières d'éducation des garçons. Je lui dis que l'Europe et le Maghreb dans ce domaine sont exactement yin et yang: en Europe les filles ont tous les droits, au Maghreb les garçons ont tous les droits, que cela est visible de manière irréfutable chez les frères et sœurs d'une même famille prise au hasard dans l'une ou l'autre communauté.
Mardi. Quelle pitié de quitter la campagne française au meilleur moment de l'année! Route des Yvelines à Bruxelles. Pénurie d'essence dans les stations. A peine arrivé, ruée sur le travail en retard avant que la jeunette n'arrive quelques heures plus tard. "5 jours sans vous voir!" soupire-t-elle en ouvrant deux bras lisses avec un grand sourire. Elle m'offre des macarons, me couvre de baisers, m'entraîne sur le canapé. "Une heure, pas plus, d'accord?". Elle repart deux heures plus tard aussi vite qu'elle est arrivée, me laissant étourdi comme lorsque l'on a humé longtemps une fleur très parfumée. Soir: entraînement.
Mercredi: Etude, travail. La jeunette a un examen de commentaire de texte le lendemain, qui portera sur la peine de mort. Je lui rédige en 20 minutes les arguments principaux à placer, thèse-antithèse-synthèse, et les lui envoie.
Jeudi: travail, puis lecture chez les Araméens, croissant, café, puis rendez-vous variés. La Jeunette m'appelle: son commentaire de texte s'est "très bien passé". Elle vient de 14h à 18h, particulièrement coquette et affectueuse, refuse de partir, très amusante. Message alors qu'elle sort du bus pour rentrer chez elle: des blédards l'avaient prise pour une Caucasienne (méprise fréquente vu son physique), et comme à chaque fois les types se calment, abasourdis dès qu'elle les insulte en arabe. Je lui dis que c'est ce que subissent les Blancs sans pouvoir se défendre de la sorte, et avec tout le système judiciaire et médiatique contre eux...
Soir: entraînement, puis temps supplémentaire au sac de frappe jusqu'à la fermeture, avec deux autres types. En sortant je remarque que le club tient à la disposition du public une trentaine de livres probablement issus de quelque vide-grenier. L'un de ces livres est Le séminaire de Bordeaux de Jean Dutourd. Je n'ai jamais vu ici quiconque ouvrir un seul ouvrage de cette étagère, et il serait très amusant que l'un de ces types en survêtement Foot Korner synthétique ouvrit Le séminaire de Bordeaux.  Retour à pied, 3 litres d'eau et une salade, puis au lit.
Vendredi: Travaux d'arrière plan. Sortie brève pour manger des huîtres chez le poissonnier. Ravissant matin paisible, civilisé, radieux. 
Samedi: En terrasse, audition d'une discussion entre le patron et un professeur d'institut technique de formation. Ce dernier est écœuré que les apprentis plombiers et mécaniciens ratent leurs études à cause des nouvelles matières imposées (comptabilité, gestion etc) qui requièrent des compétences de filière générale qu'ils n'ont pas, raison pour laquelle ils avaient choisi une filière technique. Les puéricultrices ratent leurs études à cause de cours aberrants d'anatomie, physiologie, psychologie, etc. Phénomène accru dans toutes les filières par une pédagogie catastrophique justifiant son existence en compliquant absurdement des notions simples, ce qui les rend inassimilables.
Dimanche: premier office du matin. Croisé en chemin une voiture arrêtée, moteur tournant, avec à l'intérieur un homme occupé à "faire un ballon", complètement défoncé. Plus tard, lecture de Saint François de Sales en terrasse. Filles apeurées qui marchent vite, chargées de paquets, tête baissée. La vitesse est une violence, les horaires une bête féroce qui nous poursuit alors que l'on croit la rattraper. Autre forme de violence, latente et immobile celle-ci, par le statut social: locataire et salarié dans une grande ville.
La jeunette me visite dans une robe en seersucker, plus que jamais ravissante petite preppy classique.
Semaine du 13/6 et fin
Lundi: Tôt levé, travail puis livraisons. Récupéré la jeunette au retour, elle monte sur le siège passager dans une petite tenue blanc-bleu qui fait merveille sur son teint clair et ses taches de rousseurs. Reste de la journée ensemble. Le soir seul au parc, observation des abeilles qui vont de-ci de-là butinant les fleurs. Une abeille gît inanimée dans un pistil, et je médite un temps sur le sens que peut recouvrir l'expression "mourir de sa belle mort".
Mardi: A la première heure du jour, garage à Schaerbeek. Café en terrasse là-bas. Des pilos importunent un tromblon en moquant sa moustache. Affreuse vitesse de dégradation des pauvres par l'alcool (à vous vacciner de la boisson). Bourdons dans les fleurs partout dans la ville. Soir: entraînement.
Mercredi: Grand débarras du superflu: 7 heures consécutives à brasser du matériel. Se libérer c'est se dés-embarrasser chaque jour un peu plus. Sortie pour une course et coïncidence amusante, la jeunette sort de chez son père à deux rues de là: nous nous identifions de loin mais ne pouvons aller l'un vers l'autre car nous sommes pour le moment tenus au secret. Plus tard je remarque l'ouverture d'un "restaurant américain" non loin. Entrant m'enquérir du concept des lieux, une grosse dame scandinave me répond dans un français hésitant, fortement teinté d'accent africain. Je ne puis réprimer un rire vu le ridicule de la scène, mais je comprends d'où provient cette dichotomie, surtout lorsque son "mari" paraît. Toutefois dans ce domaine plus rien ne m'étonne depuis longtemps. Les gens, surtout les femmes, foncent tête baissée au plus outrancier, au plus grossier. Tendance visible chez beaucoup de gens à vouloir oublier. Partout, le sauve-qui-peut, la déglingue.
Jeudi: Tôt le matin, appel d'un ami qui a dîné la veille au restaurant Georges Blanc en France dont j'ignorais l'existence, camarade désormais établi dans la "grande vie" et les hauts standards sociaux. De notre bande d'amis qui totalise une vingtaine de gars, 3 ont opéré une indéniable ascension sociale et cela me réjouit pour eux: joie de savoir que les efforts soient tout de même payés de retour parfois, et qu'ils permettent de quitter le statut de galérien... Nous rigolons en détaillant les bouteilles stockées par son patron dans la cave à vins aménagée sous le bureau.
Matinée difficile. J'aime de moins en moins ce genre de vitesse imposée par des contingences externes, cette agitation qui met la patience à rude épreuve. Suis à cran mais lorsque la jeunette arrive à midi elle apparaît comme un tel cadeau, tellement pimpante et affectueuse que c'en est désarmant à l'instant. 12h-17h ensemble. Soir: entraînement.
Vendredi: Lecture, travail. Jeunette de 14h jusqu'au soir, canapé puis fauteuil, où nous parlons religion. Contraste facile, mais dans la vie réelle, l'un appelle forcément l'autre, à moins de penser strictement profit à court-terme. Grand vide quand elle part, et je n'aime pas du tout ce froid qui me prend soudain étant seul, cet enfermement rampant, ce déduit d'entonnoir par où je transite ces derniers jours. Sortant prendre l'air, je m'écroule sur un banc. Une bande de 5 jeunes filles européennes probablement mineures, classes aisées, s'installe à même le trottoir pour boire du Monster Energy et s'apostropher les unes les autres. Elles emploient un langage étonnant mêlé de français et de globbish: "Eh mais meuf crie pas comme ça bro, you're totally out of the way et en plus c'est la 3ème cigarette que je te file that's enough!" etc. Echange avec la jeunette qui me dit que les Européennes parlent en effet ainsi depuis 3 années environ, mais pas les Carthaginoises comme elle qui à la maison parlent un mélange d'arabe et de français. J'entrevois un avenir fait de dialectes bas-français variés selon les régions francophones et les milieux sociaux, sous le patronage d'un globbish de plus en plus officiel et simplifié, bientôt remplacé par 200 mots de post-hébreu ou de langage-machine. 
Samedi: Tôt le matin, en terrasse devant la boulangerie, observation d'un pilo qui a visiblement passé nuit blanche et qui tient la jambe du patron 40 minutes pour l'adjurer de s'associer avec lui en affaires. "Moi je sens, je sens l'argent moi!". 
Entraînement. Sparring contre un blédard à physique de fellaga. Il est courageux mais un peu crispé, je le domine et il s'énerve, avance trop, s'expose trop. Il fait 40 degrés dans la salle, 37 degrés dehors, jour de canicule. Je sors complètement lyophilisé, fais quelques courses sur le chemin et rentre m'abreuver d'eau et de jus de carottes. Le pèse-personne indique 68 kilos et le miroir renvoie l'image d'une sorte de fakir abstinent. Téléphone éteint depuis le matin pour la première fois depuis très longtemps: cela fait un bien fou. Le monde nous dévore, Dieu nous fortifie.
Après-midi à Schaerbeek, en terrasse au soleil, pour lire. Le nombre de gens sur leur téléphone en rue... Et de plus en plus chaque année. Manifestation d'un vide intérieur grandissant? Un jour nous devrons faire un choix probablement.
Soir. La jeunette rentre d'une journée en famille à la mer. Discussion sur la vie familiale. Émotion de voir combien ce mode de vie coule de source pour elle. La vie stable, une maison, 5 frères et sœurs... Vers 1h du matin sa mère appelle et la jeunette qui avait oublié l'heure fonce vers la sortie sans hésiter en étouffant des rires ("Je dois partir!"), je la regarde descendre l'escalier et s'arrêter à mi-chemin comme elle fait à chaque fois pour esquisser un ravissant dernier salut.
Dimanche: A l'office, vieille dame très bien habillée, la "totale": souliers vernis à boucles, jupe longue plissée, veste de tailleur, foulard Hermès, minceur et gravité. Une vraie vieille dame pour moi, qui incarne le cliché-repoussoir de la "vieille de droite" pour les gens qui ignorent leur propre histoire. Ma grand-mère française était vêtue ainsi, pourtant issue de la gauche valenciennoise militante.
Matinée passée à lire en terrasse jusqu'à 14h, en mangeant force viennoiseries arrosées de café. 
Fin de ce petit journal de bord intitulé Nepsis. Quatre mois d'attention portée à la forme, au geste, à la chose en soi, à la vie concrète. Très grande joie de la réforme, de l'Otium, de la diète, de l'étude et du travail, de l'exercice et de la vénusté. Cette grande paix, cette clarté sur les choses, ce dégagement, ce détachement que j'ai toujours cherché... La plus fabuleuse façon de vivre, don gratuit de la liberté que je n'aurais jamais imaginé. Quelques leçons: ni lait, ni sucre, très peu d'hydrates de carbone. La vie commence tôt le matin. Se taire et laisser parler. Aucune ambition. Méditer son Idéal. Rencontrer son Idéal. "Restez à jamais fidèle - contre l’univers entier et surtout contre vous-mêmes - à ce que vous avez entrevu et désiré durant les heures les plus pures de votre vie" (Gustave Thibon).
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abba-enthusiast · 2 years
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Where’s the you are not immune to otium post i need it
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niobefurens · 11 months
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Dolce Far Niente
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Jiang Yanli contemplates Jin Zixuan, who she has turned into a parrot, as she sprawls on Wen Xu.
John William Godward - (1897)
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justzawe · 4 months
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THE WALT DISNEY COMPANY POST-EMMYS® CELEBRATION - The Walt Disney Company Post-Emmys® Celebration at Otium on January 15, 2024 in Los Angeles, California. (Stewart Cook/Disney via Getty Images) TOM HIDDLESTON, ZAWE ASHTON, TORIAN MILLER, CHARLIE BARNETT, BRITTANI NICHOLS, CAROLINE JOYNER
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tinyhousetown · 1 year
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Otium Shipping Container Cabin
Millersburg, Ohio
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fluentmoviequoter · 4 months
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Hi,
Happiest late birthday to you! 💐🎂
I hope you had a nice day!
I have a scenario from your list 🙈
➣ A gets slightly jealous while out, so they grab B's hand to establish the relationship
A: Deacon
B: Reader
Thank you so much! I love this request; jealous Deacon is a need, not a want. There's quite a bit of set-up in this, but I promise I get to the prompt! Hondo (who acts a lot like Derek Morgan in this for some reason) and Luca are in quite a bit of this. I hope you enjoy and let me know what you think! :)
Warnings: jealous!Deacon, fluff, meddling, teasing, more fluff
Word Count: 1.6k+ words
Picture from Pinterest
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You stare at the ceiling in the locker room with your fingers locked behind your neck. It's been a long day, and you want nothing more than to go home, take a hot shower, and go to bed. But Hondo asked you to stay overnight because of a developing hostage situation. 20-David is on standby, and with nothing better to do, you try to relax in the small quiet area.
"Are you good?" Hondo asks with a laugh as he walks in.
You drop your head to the side to look at him. "I'm great."
"You're good to go, we got the all-clear from Hicks." You nod but don't get up. "You sure you're alright?"
"Mhmm," you hum. "I think I'm part of this bench now."
Hondo laughs as he pulls his backpack from his locker. "I'm heading out if you need a ride or anything. Deac and Luca are still here, but they're leaving soon too."
"I'm good. Thanks, Hondo."
Hondo nods, giving you a sarcastic salute as he backs out the door. You lean back on the bench, putting your hands behind your head as you lay down. The door opens quietly, and you close your eyes against the light outside.
Deacon says your name, and you open your eyes to see him standing over you. "Let's go," he says, offering you a hand.
"I live here now," you mumble.
Deacon chuckles before slipping a hand under your arm and hoisting you up to a sitting position. If you weren't so tired, maybe you'd care about being manhandled, but you don't.
"I'll drive you home. Grab your stuff," Deacon says.
You sit up suddenly, tilting your head back to look at him. "Weren't we supposed to go to dinner tonight?"
Deacon nods as he closes his locker, smiling as he walks to you. "Yes, we were. I called earlier and changed the reservation to tomorrow. Hopefully, it'll be a shorter day."
You nod, taking Deacon's hand and allowing him to pull you to your feet. Stumbling into his chest, you sigh as his arm wraps around your shoulders.
"Carry me home?" you say against his shoulder.
"And listen to our team?" Deacon reminds you.
Huffing, you step back and open your locker, grabbing your things before following Deacon to the parking lot. He opens the passenger door for you and kisses your temple.
"I got you from here," he promises as your eyes close.
Deacon has no problem showing people he cares about and loves you, but you both learned the hard way that your team will take every chance to tease you, albeit lovingly. For that reason, you minimize the PDA and relationship-related activities and discussions while at HQ. They mean well, but sometimes they don't know when to stop.
✯✯✯✯✯
You get to work before Deacon, and he smiles at you when he passes you in the hall. Looking forward to your dinner date, you hope everything goes smoothly and Los Angeles stays relatively safe today.
"Oh, you're going out tonight," Hondo teases when he sees you.
"Let me guess," Luca interjects. "Otium."
"Nah, man, fancier. 71Above?"
"I got it!" Luca cheers, pointing at you. "Fleming's."
Hondo nods, fist-bumping Luca as they smile at you.
"What's going on?" Deacon asks as he walks in.
"You takin' her to Fleming's?" Luca asks.
Deacon's brows furrow as he answers, "No."
Hondo shakes his head as he clicks his tongue. "You should."
"Why do you guys even care?" you ask. "You tell us to tone everything down, that we're too 'couple-y.'"
"That had to have Street," Hondo mutters. "Why can't we be interested?"
"Because you haven't been interested before," Deacon points out.
"Whatever, man, just have a good time. Alright? And if you're lying about Fleming's, bring me a doggy bag," Luca says as he backs out of the office.
"We mean well," Hondo says.
"You do it loudly," you tease, smiling.
Hondo shakes his head before shooing you away. "Go train or something. And leave room!"
✯✯✯✯✯
Your shift ends, marking the conclusion of an uneventful work day and the beginning of date night with Deacon. He's waiting for you at the door after you clean up and change.
"You look beautiful," Deacon says as he takes your arm.
"Thank you. You look great, too," you reply.
"The guys were wrong about Fleming's but I think you'll like this place."
Deacon holds your hand over the console on the short drive from HQ to the restaurant. It's smaller than most places in LA and tucked off the road like it's only there for the people worthy enough to find it. Once inside, you see a patio decorated with fairy lights that opens up to an overlook with a view of the hills. You gasp as you walk to the window, looking into the night as Deacon tells the hostess his name.
"This is gorgeous," you whisper as you return to Deacon's side. "How'd you find this place?"
"I know a guy," Deacon teases.
His eyes drift from you momentarily, and you glance over your shoulder but don't see anything out of the ordinary. When you turn around, Deacon is back to acting like himself, though he seems to stay closer to your side than usual.
The waiter's eyes linger on you a little too long every time he comes to the table, which Deacon thinks happens more than it should. Deacon's hand rests over yours as the waiter returns with the check, but the man sets it down while looking at you.
You notice the Deacon's attitude shift but can't place what caused it. He's not mad at you or anything like that, but he's not quite himself tonight. He seemed fine at work, so if something happened since then, you should have seen it.
"Are you okay?" you ask as you walk out.
Deacon's jaw clenches once before he nods. "He kept looking at you."
"Oh," you whisper.
Someone whistles, and you roll your eyes as you turn to face Deacon. "You know I don't care, don't even notice, right? I don't want anyone but you."
"I do, I know that, but it's uncomfortable I guess," Deacon explains.
"Want to go to the beach? No waiters or catcalls, just you, me, and the ocean?" you offer.
Deacon nods, opening the passenger door as his jealousy dissipates with your confirmation that he's all you want. Jealousy has never been a conscious decision, though, and it will reappear when given an opportunity.
✯✯✯✯✯
Someone bumps into you on the beach; the sun has gone down, but there's enough light to see the man and Deacon beside you. You begin to apologize but stop when he speaks first.
"Whoa, sorry about that, beautiful," he says, offering a hand. "You alright?"
"Yeah, sorry," you reply, stepping back.
"I don't even know what happened," the guy says, smiling as he brushes his fingers through his hair. "Maybe your beauty just distracted me. You come to this beach often?"
Did he really just ask that? you think, and Deacon does, too.
"Uh, no, we're just trying to walk on the beach," you answer, stepping toward Deacon to go around the guy.
"Okay, cool. So, are you just visiting family, or?"
At the implication that Deacon isn't with you, the jealousy from earlier not only reappears but grows in strength. Deacon presses his lips together to stop himself from saying anything.
He does, however, slide his hand into yours and pull you closer to establish your relationship: not siblings, cousins, or anything else that can be separated by some random guy on a beach.
"Well, uh, sorry again for bumping into you," you say when Deacon's hand tightens on yours.
"No apology necessary," the guy says, his eyes dropping to your joined hands. "Have a good one."
"You too," you mumble before bumping into Deacon to ask him to leave.
Deacon keeps his hand in yours, his thumb brushing over your knuckles as he walks to the water.
"The hand holding was a nice touch," you say. "Although you could have just pulled me away."
"I shouldn't have gotten jealous," Deacon says, to himself, you think.
"I'm not worth getting jealous for?" you tease, pouting as you turn to look at Deacon. He rolls his eyes, and you place your arms over his shoulders and pull yourself closer to say, "I'm not upset with you, Deacon. He was making me uncomfortable anyway. I get jealous too, there's nothing wrong with it as long as you handle it in a healthy way."
Deacon nods. "Thank you. I'll work on it."
You hum, leaning up to peck Deacon's lips. "It was kinda hot."
Deacon laughs, shaking his head as he loops his arms around your waist. "This is why the guys at work tease us."
"No, they're just trying to get under your skin. And it works."
You're right, and Deacon knows it. But now he's wondering, what if he didn't let him bother him?
✯✯✯✯✯
"You bring me Fleming's?" Luca asks, perking up as you and Deacon walk in, hand-in-hand.
"We didn't even get Fleming's," you argue. "We got something way better."
"What's better than Fleming's?" Hondo asks.
"Shoes full of sand," you say, sighing wistfully.
"Hey, if you ever want a better date, you know where to find me," Hondo says, winking at you.
Deacon's hand inches toward yours. He's catching on; they've been trying to get under his skin and make him jealous.
"If he takes you to Fleming's, bring me something," Deacon says, leaning over to whisper in your ear.
His hand slips into yours, and you let him pull you closer.
"We need to change tactics," Luca says, looking at Hondo. "Right now."
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