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#Ouham-Pendé
cloudtales · 3 years
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Central African Republic Special Court Announces First Trial
Central African Republic Special Court Announces First Trial
Click to expand Image Judges from the Central African Republic’s Special Criminal Court (SCC) hear arguments on December 17, 2021 on whether to send the case against Issa Sallet Adoum, Ousman Yaouba and Tahir Mahamat to trial for war crimes and crimes against humanity committed in the Ouham Pendé province in May 2019. © 2021 Inès Laure N’Gopot On December 17, the Central African Republic’s…
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DÉPÊCHE/Ouham-Pendé : Bozoum, les “3R” toujours en chasse des bergers peuhls, au moins 7 morts Le triangle BOZOUM - BOUAR - BAORO,  redevenu de nouveau zone à risque. Comme nous l'annoncions le 10 dernier, des miliciens du groupe armé "3R" font la chasse à des bergers peuhls qui avaient réussi à fuir leur contrôle pour les exploiter.
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amnonjakony · 6 years
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World: The Aid in Danger Monthly News Brief - March 2018
World: The Aid in Danger Monthly News Brief – March 2018
Source: Insecurity Insight Country: Azerbaijan, Bangladesh, Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Jordan, Libya, Malawi, Mali, Myanmar, Nigeria, Pakistan, Somalia, South Sudan, Syrian Arab Republic, Uganda, World, Yemen
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Africa
Central African Republic
05 March 2018: In Paoua town, Ouham-Pendé prefecture, and across the wider Central African Republic, fighting among…
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MINUSCA MUSULMANE COMPLICE
Si toutes les villes de la RCA se soulèvaient pour chasser la MINUSCA musulmane ouvertement partiale ravitaillant les groupes armés comme l'a fait la ville de Bozoum(Ouham-Pendé) le lundi 25 sept.2017, la RCA sera libérée. A vous maintenant toutes les autres villes!!!
If all towns in CAR rose up to drive away the MINUSCA forces openly partial supplying armed groups as done in Bozoum City (Ouham-Pendé) on Sept., 25th, 2017, the whole C.A.R will be freed. To You Now ALl Towns!!!
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Breaking News:FRESH VIOLENCE IN CENTRAL AFRICAN REPUBLIC’S WESTERN TOWN DISPLACES THOUSANDS, UN OFFICE SAYS
Breaking News:FRESH VIOLENCE IN CENTRAL AFRICAN REPUBLIC’S WESTERN TOWN DISPLACES THOUSANDS, UN OFFICE SAYS
Severe food insecurity affects eight per cent of the population of Ouham-Pendé, Central African Republic, while another 48 per cent are just moderately food secure. Photo: OCHA Central African Republic   FRESH VIOLENCE IN CENTRAL AFRICAN REPUBLIC’S WESTERN TOWN DISPLACES THOUSANDS, UN OFFICE SAYS Condemning attacks on civilians and non-governmental organizations in a town in Central African…
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Centrafrique/Ouham-Pendé : Que se passe-t’il à BOHONG ? Français | English L’insécurité psychologique s’ajoute à l’insécurité tout court Joseph DECALO BANGUI – L’instabilité dans les provinces centrafricaines hors de tout contrôle étatique a atteint un tel paroxysme, que les populations ne vivent plus que la peur au ventre au quotidien.
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[su_heading style=”flat-blue” size=”15″]Après avoir survendu du vent, l’Union Africaine adopte sans le dire le projet russo-soudanais[/su_heading]
Michal MAMADOU
BOCARANGA [LNC] – “Cette fois-ci c’est la bonne“, criait hier en Sangö un enseignant de la ville à la vue du convoi tant annoncé des soldats centrafricains de retour dans la ville. Expulsés une semaine plus tôt par les rebelles des “3R”, là en force, ils sont une cinquantaine, qui comptent ne plus se laisser faire.
[su_dropcap]6[/su_dropcap]camions bourrés de militaires, reçus dans la joie, dès l’entrée de Bocaranga par une population très heureuse, et surtout rassurée de voir qu’elle n’est pas abandonnée par ses forces de défense nationale.
Cette fois-ci, l’état major n’a pas plié comme à Paoua face aux 3R, contraignant les soldats à ne pas bouger pour voler au secours de Bocaranga en détresse.
De gros efforts, avec des moyens limités. Contrairement à la MINUSCA (fantôme), de gros moyens pour un minimum d’effort.
© Janvier 2019 – LAMINE MEDIA – Tous droits de reproduction réservés.
Centrafrique/Ouham-Pendé : Liesse à Bocaranga avec le retour des FACA (armée centrafricaine) Français | English Après avoir survendu du vent, l'Union Africaine adopte sans le dire le projet russo-soudanais…
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[su_heading style=”flat-blue” size=”15″]Le temps d’une valse, et ils sont de retour[/su_heading]
Michal MAMADOU
PAOUA [LNC] – Les sanglants combats fratricides fin décembre 2017 et janvier 2018 (essentiellement dans le village de Bemal, pris en étau) entre les groupes armés Révolution et Justice (RJ) d’Armel Sayo et celui du Mouvement national pour la libération de la Centrafrique (MNLC) d’Ahamat Bahar auront causé l’un des plus grands mouvements de population dans le pays. Dépassant aujourd’hui le chiffre effarant de plus de 80.000 déplacés internes. Et dont la plupart avait fui pour trouver salut à Paoua, depuis, totalement débordés.
DES CHIFFRES INQUIÉTANTS
Élisabeth habite un abri collectif de Paoua avec ses quatre enfants, depuis qu’elle a fui son village. République centrafricaine. 2018. © MSF/Anaïs Deprade
Selon  MSF Centrafrique : “En quelques semaines, près de 100 000 personnes avaient fui les exactions indiscriminées et les violences de masses contre la population : plus de 60 000 (NDLR : 80.000) s’étaient déplacées vers la ville de Paoua, dont la population avait quadruplé, et près de 30 000 s’étaient réfugiées au Tchad voisin.
Les équipes MSF sont retournées en juin et juillet 2018 sur les différents axes de la région de Paoua pour évaluer la situation humanitaire et sanitaire. Le village de Béboura a été relativement épargné, contrairement à d’autres, situés plus au Nord, qui ont été entièrement détruits. Il donne néanmoins une bonne idée des difficultés qui compliquent le retour des habitants.
À une centaine de kilomètres de Paoua, les quelque 29 000 Centrafricains (HCR) réfugiés au Tchad n’envisagent tout simplement pas de retour. Ils ont fui des villages situés au nord de Paoua, une zone dans laquelle la sécurité est encore volatile.”
De janvier 2018 à mars, Paoua suscitait soudainement l’attention des autorités du pays. Malheureusement, comme souvent, pour des déplacements de très courtes durées, d’à peine quelques heures, le temps d’un discours.”
PAOUA ATTRACTION DE PASSAGE
La ville eut même le luxe de la visite l’experte indépendante de l’ONU sur la situation des Droits, Marie-Thérèse Keita Bocoum, le 8 février.
Néanmoins, la situation de toute l’Ouham Pendé fut si préoccupante que la MINUSCA y dépêcha des troupes, conjointement avec un détachement des FACA, les forces armées centrafricaines, pour la mise en place d’une opération mutuelle de protection dite opération « Mbaranga », dont le succès à ce jour reste très mitigé, d’après les observateurs locaux.
De fait, nous sommes loin des prédictions joyeuses d’Addih Alamine Simon, le Chef du bureau régional de la Minusca à Paoua, qui en mars déclarait : « Très bientôt, la situation sécuritaire redeviendra normale à Paoua et dans la préfecture de l’Ouham-Pendé ».
Si un calme relatif était revenu grâce aux opérations de la Minusca : patrouilles, mises en place de bases temporaires sur les axes principaux entre autres, les rebelles comme le soulignait Hervé, un cultivateur et déplacé :  « ces hommes armés qui sont toujours là. Ce sont des gens qui se déguisent. Parfois, la Minusca patrouille mais après, ces hommes reviennent. La population ne peut pas aller au-delà de 5 kilomètres du village pour cultiver. C’est notre souci. On est obligés de cultiver proche du village. » Et précise au autre : « Leurs patrouilles ne dépassaient pas les 20km autour de Paoua. »
Les miliciens attendaient juste la fin de la valse de la MINUSCA pour de nouveau réinvestir le terrain, et reprendre de plus belle leurs exactions.
DES VILLAGES FANTÔMES
Avec l’insécurité toujours très volatile dans l’Ouham-Pendé, la quais totalité des villages sont quasiment vidés de leurs populations. Soit en fuite vers Paoua, soit pour les frontaliers, passés la frontière vers le Tchad.
Actuellement, Ahmat BAHAR a la main mise sur au moins six communes de Paoua (Bah-bessar, Mia-Péndé, Nana Barya, Banh, Môm et Malé), et y fait régner sa loi de prédation en toute impunité. Mais lorsque des villageois osent lui résister, il sévit.
Derniers incidents en date, il y a deux jours, quand le village de Bémaïdé – localisé à quelques 47km de Paoua – fut pris d’assaut en fin de matinée. Des villageois encore aux champs se sont fait tirer dessus; Quatre personnes blessées par balles, mais pas de mort.
A Bédaka, à 52 km de Paoua, ce sont deux paysans qui ont été kidnappés en signe de représailles.
Et pourtant, des sections FACA sont stationnées à Bedaïa 2, Bédaka, et Bébenguéré.  Mais explication du commandement : « Il y a de grandes difficultés pour se déplacer sur des pistes défoncées, et des ponts souvent effondrés».
Toutefois, même si, selon les populations, les soldats centrafricains ne sont pas en nombre suffisant pour protéger la région, ces derniers parviennent tout de même à tenter de sécuriser la frontière très poreuse d’avec le Tchad. En exemple un violent affrontement qui le 26 août dernier, les avait opposé à des mercenaires tchadiens bien armés, tentant de passer en RCA en chevauchant des motocyclettes. Trois des leurs resteront sur le carreau.
LE FEU A MARKOUNDA
Moins d’une semaine plus tôt, c’est à Markounda qu’a eut lieu de violents combats fratricides entre des ex-Séléka, ceux du MPC, mais fractionné en deux, avec d’un côté Al khatim et Bahar de l’autre. Le sanglant désaccord est né d’une simple histoire de contrôle de barrière, au niveau du village frontalier de Wéroui. Bilan, 17 morts, 12 blessés.
© Septembre 2018 – LAMINE MEDIA
Centrafrique : DOSSIER/Ouham-Pendé, une région toujours dans la déliquescence sécuritaire Français | English Le temps d'une valse, et ils sont de retour Michal MAMADOU PAOUA  – Les sanglants combats fratricides fin décembre 2017 et janvier 2018 (essentiellement dans le village de Bemal, pris en étau) entre les groupes armés Révolution et Justice (RJ) d'Armel Sayo et celui du Mouvement national pour la libération de la Centrafrique (MNLC) d'Ahamat Bahar auront causé l'un des plus grands mouvements de population dans le pays.
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Centrafrique : BOZOUM (Ouham-Pendé), blocage général des écoles primaires
Centrafrique : BOZOUM (Ouham-Pendé), blocage général des écoles primaires
Français | English V.M BOZOUM [LNC] – Faute de moyens pour financer des enseignants professionnels dans l’éducation nationale, le gouvernement centrafricain use et abuse des contractuels et des stagiaires dans des conditions de travail inadéquates, mais surtout, pas payés. A Bozoum, les dits stagiaires et contractuels enseignants dans les écoles primaires, de la ville et des environs, depuis deux…
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Centrafrique : Paoua (Ouham-Pendé), l'opération "Baranga" de la MINUSCA ne convainc pas les élus locaux
Centrafrique : Paoua (Ouham-Pendé), l’opération “Baranga” de la MINUSCA ne convainc pas les élus locaux
Français | English Eve Malonga PAOUA [LNC] – Lancée le 12 janvier dernier, l’opération “Baranga” de la MINUSCA censée procéder au déguerpissement des bandes armées qui grouillent dans la zone, serait un succès selon les dires de l’organe onusien dans un communiqué. Un point mis en défaut par les élus locaux de l’Ouham Pendé, déclarant en cœur que tout au contraire, ce serait un échec patent.…
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Centrafrique : Paoua (Ouham-Pendé), vives protestations de la foule après des arrestations d'hommes du MNLC
Centrafrique : Paoua (Ouham-Pendé), vives protestations de la foule après des arrestations d’hommes du MNLC
Eve Malonga PAOUA  [LNC] – Des bruits d’armes automatiques déchiraient le début de l’après-midi hier à Paoua, aux alentours de la base de la Minusca. Informations prises par la suite, il s’agissait de tirs de sommation des casques bleus pour disperser une foule très en colère. [su_dropcap]Q[/su_dropcap]uelques jours avant, en prévention d’un risque de contamination de la ville par les bandes…
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DEPECHE/Ngaoundaye (Ouham Pendé), sous la coupe des Séléka
DEPECHE/Ngaoundaye (Ouham Pendé), sous la coupe des Séléka
La crise sécuritaire centrafricaine se poursuit et s’amplifie. Il y a quelques heures, après de violents combats mettant en prise des factions Anti-Balaka et Séléka, la ville vient de tomber aux mains de ces dernières. Ceci n’étant que le sommet des violences dans cette localité, en cours depuis des mois. Eve Malonga – LNC
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V.M
BOCARANGA (LNC) — Il y a 9 mois, la ville de Ngaoundaye, dans l’Ouham Pendé, située au carrefour des frontières entre le Tchad et le Cameroun subissait une attaque qui avait tourné au bain de sang. La MINUSCA avait déjà réussi péniblement à contenir les assaillants par la négociation. Mais moins d’un an plus tard, c’est bis repetita.
[su_dropcap]C[/su_dropcap]’était Mardi dernier, à l’aube que le MPC, s’alliant au RJ attaquaient la localité, en  investissant les bâtiments officiels ainsi que la mission catholique, pour une assaut de simple banditisme. Car ils venaient là juste pour voler. Ce qui bien évidemment, comme à l’accoutumée, forçait les populations à fuir dans la brousse.
Ngaoundaye ville stratégique à la croisée des frontières tchado-camerounaise, le MPC et les RJ voulaient s’en emparer, car c’est une zone très importante de  transhumance des bergers peuls, convoyant leurs troupeaux de bovins vers le Centrafrique ou le Cameroun.
 LA CAVALERIE ARRIVE
Dans l’après-midi de ce mardi, comme le raconte RFI, les casques bleus alertés sont arrivés sur place et après discussions, ont obtenu le retrait des combattants.
Le fait est que, cette même procédure, la Minusca l’avait déjà faite un an plus tôt, ne faisant que reculer l’échéance sans rien résoudre. La preuve !
L’argument complètement fallacieux du MPC basé à Kaga-Bandoro, consiste à dire qu’ils investissent la zone, pour bloquer les peuls armés qui seraient tentés d’attaquer Kaga-Bandoro, afin venir en aide à l’UPC.
Mardi, Ngaoundaye avec toutes les communications coupées étaient hors du temps. Depuis les nouvelles arrivent, au moins 10 morts et autant de civils blessés.
In English
© Avril 2017 – LAMINE MEDIA
DEPECHE/OUHAM PENDE : Ngaoundaye encore en crise du fait des groupes armés V.M BOCARANGA (LNC) — Il y a 9 mois, la ville de Ngaoundaye, dans l'Ouham Pendé, située au carrefour des frontières entre le Tchad et le Cameroun subissait une attaque qui avait tourné au bain de sang.
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