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#Passe ton bac d'abord
frnndlcs · 2 years
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Passe ton bac d'abord, Maurice Pialat, 1978
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apicturespeaks · 1 year
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Graduate First, Maurice Pialat
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king-of-the-road · 2 months
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Passe ton bac d'abord (Graduate First), 1978, Maurice Pialat
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freshmoviequotes · 3 years
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Graduate First (1978)
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filmaticbby · 4 years
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Graduate First (1978) dir. Maurice Pialat
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aldriggodnatt · 4 years
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Passe ton bac d'abord (1978) dir.  Maurice Pialat
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ptrcmr · 5 years
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"Passe ton bac d'abord"
E.N.S.A.M., Lille, Hauts-de-France
©PTRCMR
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killer-klowns · 4 years
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Passe ton bac d’abord… / Un jeune insatisfait émerge d’une serviette éponge dans laquelle est tissé un LOVE ME démesuré.
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lupitovi · 6 years
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Les têtes raides - Educ mon luc
ABCDEFG HIJKLMN OPQRSTU VWXY Z heureusement y en a plus Car moi j'pourrais plus monter Allez, allez! ABC Mettez-vous en rang par deux Et montez les escaliers Celui que j'entends parler Je lui arrache les yeux Maintenant écoutez moi Celui qui me contredit Je lui coupe le zizi Et je lui casse les doigts ABC Mets pas tes coudes sur la table A quoi ça t'sert de fumer Tu f'rais mieux de travailler Y a encore du boulot dans les étables Ecoutez donc c'qu'on vous dit N'allez pas traîner le soir Fais pas ci fais pas ça Mais ça on t'l'a d'jà dit ABC Laissez-moi lui faire comprendre Que dans la vie faut pas voler Faut pas s'droguer ni picoler Sinon tu vas en prendre Et si tu veux t'en sortir Dans cette putain d'société Qui ne fait que prospérer Tu devras bien te conduire ABC Accusés levez-vous Votre crime impardonnable Vous n'êtes vraiment pas raisonnables on va s'occuper de vous (Tous les suppôts de satan) (Ces déchets qu'on jette au trou) (Qu'on enferme chez les fous) (On les brûle ou on les pend)
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pinkcoconut · 6 years
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Bonjour ! J'ai cru lire que tu est à l'esaat de Roubaix ! Je voulais te demander Comment tu as fait pour y rentrer ? Qu'est-ce qu'il faut montrer pour avoir des chances d'être prise ? Et est-ce que c'est difficile d'y rentrer ? Et aussi comment c'est dans cette école ? (Pour la dma animationbien sur)
Hello!! Je me permets de te répondre en public - je m’excuse pour le long post - 
Du coup oui, je suis bien en première année en DMA anim à l'ESAAT !Avant toute chose, il faut savoir que ce que je vais dire à propos du DMA spécifiquement ne s'applique à toi que si tu es actuellement en MàNAA ou en ST2DA. 
Le DMA s'arrête l'an prochain (les STD2A et MàNAA actuels sont donc les seuls à avoir le dernier ticket d'entrée pour la rentrée 2019, vu que tu ne peux entrer en DMA que si tu passes par ces formations-là), et va être remplacé par un nouveau diplôme, le DNMADE (animation) dans lequel tu pourras rentrer directement en sortant du BAC (tous bacs confondus) et qui durera 3 ans avec un équivalent licence. Ils ouvrent à la rentrée 2019 déjà, alors n'hésite pas à te renseigner (je t'avoue que je n'ai pas encore beaucoup d'infos pardon :( …)
Alors euh tout d'abord comment j'ai fait pour y entrer hum … (très bonne question, je me demande toujours). 
Il faut passer par Parcoursup, et la première étape (dossier) se joue sur tes notes, ta lettre de motivation et tes appréciations (+ tes retards et absences). Pas de dessin du tout. Autant dire que plus tu es une élève travailleuse, assidue, et motivée, avec des bonnes notes, plus tu as de chances de passer cette première étape. Tu peux toujours te rattraper avec ta lettre de motiv’ si tes notes sont pas ouf et tes appréciations potables, mais … j'avoue, ça compte quand même pas mal dans l'équation pour le coup :/Je peux donc d'abord dire qu'il te faut être quelqu'un de bosseur et de surtout très motivé pour y entrer. Et oui, c'est plutôt c h o à passer comme étape, étant donné qu'il y a 1000 demandes pour environ 100 personnes qui vont passer l'étape du dossier et être prises aux entretiens (au final, 15 personnes seront prises pour la classe finale en ayant réussi les oraux donc voilà).
Si tout se passe bien pour toi, tu vas arriver aux entretiens oraux, vers mai. Là, on te demande de ramener des travaux de STD2A ou de MàNAA et tu as 10min d'entretien. Tu dois avoir des projets de design avec une phase complète de recherches de A à Z, qui montrent ta manière de travailler face à un projet, tu dois avoir du modèle vivant, des travaux d'expression plastique … Des carnets persos qui montrent que tu es passionnée (par le dessin, et aussi par d'autres choses), des carnets où tu tentes des choses aussi pour montrer que tu es curieuse, des carnets d'observation (d'animaux, de gens, d'endroits …). Il faut vraiment montrer que tu aimes créer. Si y'a des choses que t'adore vraiment vraiment et genre c'est ta passion (j'en sais rien, les westerns, les magical girls, les films catastrophe très pourris…) hésite pas à l'afficher, en montrant bien sûr que tu es ouverte sur d'autres choses, mais ça te démarque. Le must, c'est si tu peux ramener des animations que tu as fait (tu peux ramener ton ordi pour les montrer) ! Même si c'est pas très réussi, même si c'est court, que ce soit en stop-motion en volume, avec des photos, ou gribouillé sur Toshop, ça montre que tu aimes ça l'anim, et que t'es là pour ça ! On te posera des questions, alors n'hésite pas à essayer de te faire une mini culture en cinéma et en animation pour pouvoir citer quelques noms (surtout, ne pas citer Miyazaki et Disney. On les aime tous, mais justement, c'est ça le problème) Regarde pleins de films différents, ça aide beaucoup ! N'hésite pas aussi à mettre en valeur ce que tu aimes en dehors du dessin, que ce soit la vidéo, si tu chantes du métal, si tu fais du waterpolo en compétition, de la pâtisserie à un niveau pro, ou n'importe quel hobby ou passion qui compte pour toi, c'est toujours ultra chouette et ça te démarque encore une fois :) ! (je dis ça mais moi je fais rien de particulier en dehors hein, c'est pas grave non plus)
Bon désolée ça fait sûrement beaucoup de choses ahhh. Et tout ce que je dis n'est pas forcément bon à prendre, ça dépend aussi des gens, tout le monde de ma classe ne te dira pas la même chose :) Et puis sinon, l'école en soi est super cool. Au sein du DMA, les gens sont vraiment tous des perles. Les professeurs sont (presque) tous des amours, certains nous font des gâteaux, ils sont très compréhensifs, bref, c'est le gros love. C'est très familial. On a aussi des intervenants professionnels qui viennent, des projets concrets en lien avec l'extérieur … L'école est chouette, il y a beaucoup de choses intéressantes et tout le monde est sympa (en plus il paraît que la cantine es bonne.)
Les portes ouvertes de l'école sont le 1 et le 2 mars si jamais tu veux passer nous voir. Je sais qu'en fonction de là où tu es c'est peut-être difficile de venir à Roubaix, mais si jamais tu peux, ça te donnera une idée de l'ambiance et tout :> !
Bon courage en tous cas, dis moi si jamais tu as d'autres questions ou quoi que ce soit !!
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cimono · 6 years
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Passe ton bac d'abord (1978)
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L'odeur des algues, le bruit des mouettes, sans pour autant être à la maison, début du Japon.
Ça faisait un moment que je trépignais d'impatience de quitter l'Asie du Sud Est pour partir vers des nouveaux cieux plus hivernaux. L'affichage de la météo dans la préfecture d'Osaka sur mon application chinoise me laissait déjà saliver un brin: températures bien fraîches et très peu de pluie. Cela promettait de bien se les peler sous la tente, mais aussi de retrouver un espèce de plaisir à devoir s'organiser au quotidien pour créer une bulle de confort dans ce froid un peu hostile. Sentir le doux tissu d'un pull sous la rêche toile de ma vareuse, se réjouir de zoner dans une superette pour se réchauffer un instant, s'activer, relancer la circulation, marcher, profiter du rythme de la journée changé autour de ce tempo chaud-froid.
Mes premiers pas en dehors de l'aéroport d'Osaka Kansai ont été à la hauteur de cette attente que j'avais presque oublié. Quand je suis sorti du hall du terminal pour fumer ma clope après de longues heures d'abstinence, j'avais oublié ce qu'étais le froid (oui oui c'est le genre de phrase méprisante qu'on peut se permettre auprès d'un lectorat français congelé dans son hiver - déso pas déso tu vis dans ton frigo). Je plongeais directement dans ce genre de journée d'hiver délicieuse, avec un petit soleil éclatant dans un ciel pur rempli de la buée qui sort des bouches des passants. Il est alors 16h, il doit faire 3 ou 4°C et le soleil est déjà en route pour se coucher. Tout ceci me met dans un état d'attente des images rêvées du Japon, et je suis ainsi depuis notre arrivée.
Quand je pense au Japon, il y a certes des images plus ou moins classiques qui me viennent à l'esprit; la profusion architecturale des temples et autres lieux traditionnels, les sakuras embourgonnés qui fleuriront dans quelques semaines, des séquences subliminales des animés de Miyazaki, la high tech et toutes ses déclinaisons hasardeuses, du distributeur de boisson lumineux-kawaï aux chiottes qui te lavent la raie alors que tu pensais appuyer sur le bouton "chasse d'eau". Mais ce qui me saisit de façon plus brutale quand je pense à l'archipel nippon, c'est le littoral et tout ce qu'il condense. J'ai peut étre un peu trop joué à GeoGuessr, mais pour moi le Japon, d'abord, c'est le lieu du littoral infini et divers, de toutes les ambiances qui en émanent. Les montagnes, toufues, rondouillardes mais parfois saillantes dans mon dos, la route qui longe la mer, quelques épiceries d'un petit village, le port de pêche, modeste mais développé, ses docks de béton qui courent lentement jusqu'aux eaux bleu-vert remplies de moules et autres crustacés dissimulés, un filet de péche qui traîne ici, les voitures électriques qui passent, petit cubes ergonomiques sur 4 roues qui passent sans dire un mot derrière mois, quelques mouettes faisant la navette entre les thons du large et les graviers de l'embarcadère, et une odeur d'algue, légère, diluée dans celle d'un embrun qui s'évapore lentement d'une mer calme, au repos, presque un océan stagnant, dormant jusqu'au prochain déchaînement, jusqu'au prochain tsunami.
Hier, nous avons pris le ferry depuis la ville de Wakayama, pour rallier l'île de Shikoku, au port de Tokushima. C'était en effet l'option la plus simple pour aller sur l'île, sinon il aurait fallu passer par toute la métropole d'Osaka (aka purgatoire du stop) pour rejoindre un pont qui relie Honshu (l'île principale du Japon) à Naruto (oui, Naruto), au Nord-Est de Shikoku. On est arrivé un peu en avance sur le quai, ce qui nous a offert un peu de temps à tuer. J'arrivais enfin sans le vouloir dans le monde du fantasme. Premiers pas dans le Japon de l'océan, premières impressions, impressions portuaires dans cette zone industrielle de Wakayama. Assis un bite d'amarrage, à quelques centimètre du bord, je jouais avec la fumée de ma clope, épaissie par le froid et le filtre tranchant de la lumière hivernale. Une petite mouette, un cormorran qui rase l'eau et se faufile entre les pilliers de notre salle d'attente sur pilotis. Mon esprit s'accrochait indistinctement à différentes images impulsées par chacun de mes sens; ici je voyais un cargo en départ pour je ne sais où, là quelques algues passant des profondeurs aquatiques à l'enrobage d'un sushi, nori sacré. Le port était comme désert, il laissait difficilement la place à la peinture d'une agitation économique frénétique. Un silence tranquille, non pas méditatif mais juste peinard, c'est ce qui semble irriguer le Japon quand je le regarde sur ses côtes; tout se passe comme si ce qui permettait la vie se réalisait sans qu'on soit là, pour ne laisser au voyageur de passage que la sensation d'un sourd écho de rien, la mer, le ponton, le dock, la mouette, et puis c'est tout.
Un peu plus tard, lorsque nous étions pris dans un stop, nous avons longé le bord d'une sorte de péninsule, à Komatsushima. Nos conducteurs cherchaient un endroit pour qu'on campe, ce qui fait que le lieu était assez désert. Sur cette petite route épaisse comme une camionette, il y avait à droite un tableau du Japon périphérique, du Japon déjà un peu rural. Des champs (de blé?) laissés vides pour l'hiver, desquels poussaient des maisons au style variable, sinon toujours simple et fonctionnel. À gauche, la mer, le large. Et juste avant, baignant dans leur soupe océanique, chose étrange, des espèces de structures en béton armé emboîtées les unes dans les autres. Trop petites pour être une digue (quoique? Après tout j'ai pas un bac +7 gestion de risque tsunamique), trop grandes pour être une installation artistique conceptuelle. Imaginez des X en béton armé dont chaque pattes fait 2m de long pour 60cm de diamètre, empilés les uns sur les autres de façon chaotique en apparence, mais enfait agencé de manière secrètement régulière par le plus furtif des tractopèles. Tu comprends pas, mais c'est là. Ca ne doit surement pas avoir une place centrale dans la vie des habitants, c'est juste dans l'eau, caché derrière un muret, mais c'est là. Très fonctionnel, j'imagine, c'est pourtant beau, enfin presque. Ca produit un effet bizarre, un effet qui va de paire avec la vision de la mer, derrière tout ça. Habituellement, le large et son horizon perpétuel, ca suscite au moins un peu le sentiment de vertige dû à l'infini. Bon j'avoue, je suis un peu ce genre d'energumène qui aime bien le thème archi-romantique du vide et de l'infini (je vous avait déjà fait un caprice avec un descriptif des étendues sibériennes). Ce qui cloche ici avec le Japon, c'est que quand tu regardes la mer, tu n'es pas projeté vers la ligne d'horizon. Je ne sais pas pourquoi, mais ça accentue l'impression de tranquilité silencieuse dégagée par la littoral. Ça ne voudrait pas pour autant dire que le Japon semble tourné sur lui même. Je ne sais pas, cet archipel tout décousu est pourtant un ensemble cohérent. Peut-être est-ce parce que l'arrière pays côtoie tellement de mers et d'étendues d'eau différentes qu'il n'arrive pas à s'élancer vers une ligne d'horizon en particulier. Ce faisant, marcher et être sur le littoral japonais, c'est comme être en parfait équilibre sur une corde magique, à cheval sur l'eau et la terre, sans mysthicisme, sans romantismes, juste être le funambule nippon content et plein d'entrain.
Le second aspect du Japon qui m'a saisi ces premiers jours, c'est celui de la fonctionnalité et de l'organisation. En tant que voyageurs, si certes l'imprévisible et le chaos léger nous plaît, la lisibilité et le pratique nous servent également beaucoup. J'ai l'impression que dans ce pays, on va pouvoir avancer sans soucis, tant tout semble équipé pour les nécessités les plus vitales. Le réseau routier est super clair, super bien indiqué, il y a des konbinis (superette japonaises) partout sur la route, et on peut y trouver aussi bien de la chaleur qu'une table,une photocopieuse, une machine à eau chaude en libre service, des toilettes plus propres que chez ta grand mère, un parking tellement lisse et propre que t'as envie d'y planter la tente pour la nuit, et des bentos (plats préparés franchement pas mauvais comparé à ce que serait la meilleure des Pasta Box chez nous) pour environ 3 euros. En soi, voyager comme des rats semble simple ici, on verra si ça se confirme. Ainsi donc, tout appraît comme extrêmement fonctionnel et confortable à la fois. Le train que l'on a pris pour aller à Wakayama (plus un tram qu'un train à vrai dire) était vraiment à ce créneau fonctionnel et confortable. Les sièges étaient chauds, et le parquet au sol donnait l'impression d'être dans une salle de jeu. Dans le bateau pour Tukoshima, en plus des traditionels sièges, il y avait tout un espace "repos" : sur une surface d'environ 200m carré, une sorte de tatami-moquette avec un rebord en coussin pour s'allonger le temps de la traversée. J'y ai fait un somme au milieu de travailleurs exténués et de familles allongées à côté de leur nourrisson rieur. C'était carrément le pied. On imaginerais jamais chose pareille en France. Ce qui est assez choquant dans tout cela au fond, c'est qu'ici, au Japon, tout les aspects essentiels de la vie semble avoir été parfaitement intégrés à un réseau-système organisationnel. Les besoins vitaux sont pris en charge de façon remarquable, et ce bien plus que chez nous. Pourtant, dans le même temps, toute cette infrastructure générale donne l'impression de ne pas pouvoir faire un pas de travers. En d'autres termes, si tout ou presque est pris en charge dans cet énorme cadre pratique et agréable, tout ce qui en dépasserait serait automatiquement rejeté. La déviance et l'anticonformisme "social" est, je pense, ici quelque chose connoté de façon très péjorative. Il suffit de voir par exemple un des articles du contrat de coopération qu'on a signé avec les gars de la télé à l'aéroport (il ne nous suivront d'ailleurs pas, snif..) qui disait "j'affirme ne pas faire partie d'un groupement des forces anti-sociales". J'imagine que même si on a pas notre carte d'adhérent chez les Yakuzas, s'étaler sur nos convictions et activités politiques n'aurait pas été le bienvenu ici. Je pense par ailleurs qu'il y a surement une raison pour laquelle nous, voyageurs étrangers européens, nous éprouvons une difficulté à sous-peser l'aspect extrêmement normatif de la société japonaise: c'est qu'ici de nombreux comportements qui chez nous relèverait de l' "incivilité" ou de la déviance sont intégrés au système socio-pratique japonais. Jamais vous ne verrez en employé de bureau s'allonger pour faire un somme dans une gare de RER ou dans un quelconque bateau pour faire une sieste. Au Japon si, il y aura même des espaces dédiés.
Ce qui ressort de tout ça, c'est que la vie au Japon apparaît comme toute prise en charge. Un drôle d'Etat-société-providence qui carbure tout seul et enveloppe tout les aspects de la vie. C'est peut être un version accomplie de ce que Foucault aurait appelé le "biopouvoir". Tout est assemblés de façon intelligente dans un tout, un réseau de lieux, d'infrastructures et de transport qui donne la vie simple. Comme un gigantesque puzzle fonctionnel. Le Japon est à l'image de ses îles flottant les unes avec les autres: un méga puzzle fonctionnel. C'est bien, c'est confort, c'est agréable, c'est plaisant, mais comme me disait Noé hier " on dirait qu'ils ont oublié de mettre de l'humain dans tout ça ".
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indie-struggle · 6 years
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So, what’s the “Slice of Life” genre anyway?
How bedazzled I was when approached by a man in the street inquiring about something I made. He was tall and skinny with patches of white stubble mixed with unkempt hair on his face. He had dreads, or at least I think they were dreads. Could of just been dirt. He knew me. He said, "In dis place I knows ya, som' bitch. You da one makin' subversive shit, not givin' da tributes to da important shit, at duh same motha fuckin' time not 'bout da gender or da black man," he cocked his head, "That's all good doe-- you got a smoke, nigga?” I didn’t. “Why da motha fuck you ain't make no motha fuckin' movie 'bout people like me n'shit? No one give a fuck 'bout da poor. Only them rich white motha fuckas, no offence, got da time ta worry 'bout dumb shit like LTRB or whateva da fuck dat shit 'bout gay stuff is, or da military and all dat, ya know? I seen them stickas on cars and whateva, I ain’t stupid..." I just nodded, and then after a moment, "Make a story 'bout a real motha fuckin' struggle, not some bullshit ya shit out fo no reason like a bullshittin' bullshitter, motha fucka. Fuck dat. Be real. Don't be a bitch. All these people today out here talkin’ ‘bout dis and dat, and me and dis bitch ova here, it don't make no sense. ‘Oh, I’mma-offended’ fuck you, ho! I can’t pay rent! That's the issue... so, be real. Fuck everything else, know what I’m sayin’?! Tired of it." A bit of his spittle landed on my shirt. I told him I will, I promise. And he grabbed his rusted, noisy grocery cart, that looked like some sort of mobile tent with a dirty blue tarp over it and squeeked off down the sidewalk. I don't know who he thought I was. But, it's always nice to meet a fan. He reminded me of some important things about filmmaking. I'm actually going... to... wait. The Slice of Life genre! I want to explain what the Slice of Life genre is and why it isn't made in America anymore. Some Americana films are slice of life, like Five Easy Pieces. Actually, I'm going to back up because I don't want to explain why they aren't in American cinema anymore, that's boring. I'd rather just tell you what the genre is in detail, how it qualifies, why it's important, and a small list of films that qualify in no particular order. I've already wasted more of your time than I want to.
How the story qualifies as Slice of Life: 1. The story must be what it was like to live (as that person) in that / this time or place. 2. Character must carry the plot, not vise versa. 3. Character drifting always occurs at some point (uncertainty). 4. Must be as realistic and true to the characters, elements, time and circumstances as possible. 5. Sentiment, no sentimentality. 6. Something to say / substance. 7. Can not be fictionally / fantastically creative about characters or places or behavior / auto-biographical (creative-fiction: the "what-if this happened" idea), without being true to the time-line in which events took place and the character(s)-- This contradicts being realistic in the portrayal of a character or a life lived (#1, #4), and the events taken place-- Examples: Trainspotting's plot leads its characters, and the events, although they may of happened, are dramatized in a way to achieve an affect from the audience rather than be realistic about the lives they each lead (or one person). The portrayal is dishonest in its execution even though the events may have actually happened. It's unbelievable because it's exaggerated for "affect" which slice of life cannot do-- It cannot exaggerate or intentionally fictionalize / fantasize / sensationalize unnaturally. Last Days, which is a fictionally creative account of the last moments of Kurt Cobain's life. Its very nature-- Basing its story off a real event but fictionalizing it with made up, fantastical events that are not supposed to be an honest portrayal-- Simply lead the story to exaggerated fiction about something which should be realistic, or true to its subject matter. But, in this case it's plotless and treading water*. Characters drift but there is no substance, and since it isn't trying to be realistic or accurate to the events. It is more like a day in the life creatively captured which is completely fantasized. Not trying to accurately portray anything as it happened falls under the "what-if this happened, or what if they did this" line of exaggerated fiction. Slice of life genre can only exist with those elements above. And there are only a few films which meet them all, however, there can be elements of slice of life within a non-strictly slice of life story. Borderline slice of life, which often have certain degrees of exaggerated happenstance. The Last Picture Show is a perfect example of a borderline slice of life story. Whereas the most minimal slice of life, like Passe ton bac D'abord or some of Pialat's films, are so minimal they're like still-life: capturing that time and place or era, to simply capture it before it's gone. Those types of stories stretch the genre so thin, they almost slip out completely and into documentary reenacted.
The perfect example of a slice of life film is by Kobayashi Masahiro, titled: Bashing Slice of life stories contain real substance: more than meets the eye and have something to say. They open and broaden your mind about how others may live in different places, and in different ways. And at the same time hopefully give you a little bit of culture in the process. They are the most important stories in cinema in my opinion, the hardest to make, and stand the test of time.
These films make you feel more emotions than just joy or excitement. They’re meant to make you think, and they’re meant to make you ponder, to move you. Unfortunately, for some people this translates into boring, sometimes code for: I don't get it.
Here are some other films I can think of which qualify:
What time is it there? 
400 blows 
Early summer 
Alice in the cities 
Late spring 
Kings of the road 
Comme une image 
Band of Outsiders 
Dare mo Shiranai 
Code Inconnu 
Anything by Kieslowski
Happiness 
Storytelling
Uzak 
Welcome to the dollhouse 
Sharasôju 
Zui Hao de Shi Guang 
A Nos Amours 
Kids 
Easy Rider 
A Woman Under the Influence 
Pelle the Conqueror
Those are just a few. I have nothing to sum up this post, and I know it all sounds matter-of-factly, but that’s because it is. It’s the definition of the genre.
I’ll just end by saying if you haven’t yet, broaden your mind and try to step outside your comfort zone once in awhile when it comes to film. If you’re a filmmaker, it isn’t wise to have a limited history of film. You should watch everything you can get your hands on. You just might find something you love... motha fucka.
*Gus Sant’s own written and directed stories are synonymous for this type of formula: plotless to the point where the entire movie leads to one single event at the end (known as chewing shoe-leather). They’re cut in a way which is essentially coverage-backtracking: you cut to scenes before they occured, after you’ve seen the end of them already through another character, and then move onto it from another. Also, two straight guys always need to kiss for some reason.
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freshmoviequotes · 3 years
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Graduate First (1978)
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villefrancois · 4 years
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PASSE TON BLACK D'ABORD ! Un visuel à personnaliser ici : https://t.co/JnfMZFUYOa #RENTREE2020 #LMvsMonde5 #Parcoursup #LinkedIn #sexy #amour #love #coquin #black #bac #Blanquer #éducationNationale #COVID19 #profs #JeuxDeMots #FrancoisVille #drôle #humour #parodie #détournement #tshirt #teeshirt #mug #casquette #tablier #sacentissu #badge #coussin #ideecadeau https://www.instagram.com/p/CEnu2mdCUjT/?igshid=1sx88dtmetxxs
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aldriggodnatt · 4 years
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Passe ton bac d'abord (1978) dir.  Maurice Pialat
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