Tumgik
#Phéniciens
lauthenticfrance · 2 years
Video
undefined
tumblr
The Phénicien cruises - River Barge Cruise- Lauthentic France
The Phénicien cruises on the Rhone River between Provence and Camargue Yacht of river and canal, & it can accommodate 18 passengers in a luxurious setting.
https://www.lauthenticfrance.com/le-phenicien/
0 notes
peintre-stephane · 2 years
Text
Tumblr media
Southwest spain , Baelo Claudia....Phénicien, Grec, and Roman town until 300, the big big hearthcrack
107 notes · View notes
whencyclopedfr · 2 months
Photo
Tumblr media
Religion des Carthaginois
Carthage fut fondée par la ville phénicienne de Tyr au 9e siècle avant notre ère et, parmi de nombreuses autres pratiques culturelles, la ville adopta des aspects de la religion de ses pères fondateurs. De nature polythéiste, des dieux phéniciens aussi importants que Melqart et Baal étaient vénérés dans la colonie, aux côtés de nouveaux dieux tels que Tanit. Ceux-ci, à leur tour, se répandirent dans les nouvelles colonies puniques autour de l'ancienne Méditerranée, tandis que, dans l'autre sens, des dieux de cultures voisines furent incorporés dans le panthéon carthaginois. Des temples furent construits en leur honneur, des cérémonies comprenant des sacrifices pour les apaiser étaient supervisées par une classe sacerdotale et leur imagerie apparut sur les navires, les pièces de monnaie et dans les arts.
Lire la suite...
2 notes · View notes
oviri7 · 6 months
Text
Tumblr media
« Les peuples comme les Phéniciens, Tyr, Sidon, Carthage, sociétés de commerce exploitant la terre à leur profit et ne mesurant la grandeur de leurs entreprises qu'à l'utilité matérielle et actuelle du résultat; — je suis pour eux comme le Dante, je regarde et je passe. […] Mais ceux qui, peu soucieux du présent qu'ils sentaient leur échapper, ont par un sublime instinct d'immortalité, par une soif insatiable d'avenir, porté la pensée nationale au-delà du présent, et le sentiment humain au-dessus de l'aisance, de la richesse, de l'utilité matérielle; — ceux qui ont consumé des générations et des siècles à laisser sur leur route une trace belle et éternelle de leur passage; ces nations désintéressées et généreuses qui ont remué toutes les grandes et pesantes idées de l'esprit humain, pour en construire des sagesses, des législations, des théogonies, des arts, des systèmes; — celles qui ont remué les masses de marbre ou de granit pour en construire des obélisques ou des pyramides, défi sublime jeté par elles au temps, voix muette avec laquelle elles parleront à jamais aux âmes grandes et généreuses; — ces nations poètes comme les Égyptiens, les Juifs, les Indous, les Grecs, qui ont idéalisé la politique et fai prédominer dans leur vie de peuples le principe divin — l’âme, sur le principe humain, l'utile. Celles-là je les aime, je les vénère, je cherche et j'adore leurs traces, leurs souvenirs, leurs œuvres écrites, bâties ou sculptées ; je vis de leur vie, j'assiste en spectateur ému et partial au drame touchant ou héroïque de leur destinée et je traverse volontiers les mers pour aller rêver quelques jours sur leur poussière et pour aller dire à leur mémoire le memento de l'avenir; celles-là ont bien mérité des hommes, car elles ont élevé leurs pensées au-dessus de ce globe de fange, au-delà de ce jour fugitif. — Elles se sont senties faites pour une destinée plus haute et plus large, et ne pouvant se donner à elles-mêmes la vie immortelle que rêve tout cœur noble et grand, elles ont dit à leurs œuvres: Immortalisez-nous, subsistez pour nous, parlez de nous à ceux qui traverseront le Désert ou qui passeront sur les flots de la mer Ionienne, devant le cap Sygée ou devant le promontoire de Sunium où Platon chantait une sagesse qui sera encore la sagesse de l'avenir. »
Alphonse de Lamartine - Voyage en Orient
4 notes · View notes
deepseaadventures · 2 years
Photo
Tumblr media
Masque funéraire Votif
Argile orangée, h: 18 cm Art phénicien, Ier millénaire av. J.-C.
A PHOENICIAN ORANGE TERRACOTTA FUNERARY MASK, 1ST MILLENIUM B.C.
47 notes · View notes
Text
Tumblr media
SAMEDI 15 JUILLET 2023 (Billet 4 / 5)
La veille du départ de Marrakech, JM a fait l’excursion d’Essaouira, une ville qu’il connaît bien pour y être allé à plusieurs reprises. Mais se souvenant du séjour que sa nièce Maïlys y avait fait au printemps, avec son mari Jérôme et leurs deux enfants, il a voulu se rafraîchir la mémoire. Marina, rebutée par les 6 heures de bus, n’a pas voulu le suivre.
Ci-dessous, un petit texte extrait de la brochure donnée par le Service Excursions du Club.
_________________________
Le « fils du pays » : c’est ainsi que les habitants ont ironiquement surnommé le vent qui, toute l’année, s’engouffre dans les ruelles de la ville. Cet alizée vaut à Essaouira la douceur de son climat : ici, le mercure atteint à peine les 25°.
Depuis sa fondation au XVIIIe siècle, la ville s’est voulue un carrefour d’influences : arabes et berbère, juives, mais aussi africaines avec les descendants des esclaves d’Afrique noire. S’y côtoient aussi religieux et artistes, marocains et occidentaux, venus confronter leurs talents dans les nombreuses galeries de la ville.
Essaouira, c’est aussi le charme de ses ruelles et de son port, ses maisons blanches, la beauté de ses remparts, une plage de sable fin longue de plusieurs kilomètres et la gentillesse spontanée des habitants. Bref, la ville la plus séduisante du littoral marocain
Cette ville historique a une riche histoire qui remonte à l'Antiquité. Elle a été fondée par les Phéniciens, puis a été occupée par les Romains, les Carthaginois. Les Portugais y érigèrent une forteresse au XVIe siècle (Mogadouro), mais la ville telle qu’on la connaît aujourd’hui doit sa création au sultan alaouite Mohammed ben Abdallah qui, en 1764, fait appel à un architecte français, Théodore Cornut. Il dessine une cité fortifiée dans la plus pure tradition de l’architecture militaire de Vauban qui rappelle beaucoup celle de Saint Malo. Dans la médina, les rues rectilignes se coupant à angle droit sont un exemple unique d’architecture planifiée au Maroc. Elles valurent à la cité, son nouveau nom : Essaouira, la « bien dessinée ».
Dans les souks on trouve de nombreux produits artisanaux tels que des tapis, des bijoux en argent et des articles en bois de thuya.
Une grande partie de la ville est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
________________________________
Nous avons déjeuné sur le toit terrasse de l’Hôtel « L'Heure Bleue » (« Relais & Châteaux), aménagé dans un ancien Riad, situé au cœur de la médina. Il possède une piscine sur le toit offrant une vue panoramique sur la médina et l'océan.
JM garde un souvenir très mitigé de cet Hôtel. A part le rez-de-chaussée (et encore…), le roof top est très quelconque, ce qu’il a mangé aussi. Si « L’Heure Bleue » fait partie de la chaîne très haut de gamme des « Relais & Châteaux », il connaît à Marrakech au moins 3 Riads qui mériteraient l’appellation « Relais & 5 Châteaux », quant au Riad du Club Med, ce serait « Relais & 10 Châteaux » !!! (voir le Billet suivant).
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
the-witcher-parks · 1 year
Video
L'Empoisonnement d'Hawksongsucett... par The Parks Via Flickr : Comme un sinistre symbole adressé aux adeptes d'Hawksongsucett, Bathdy passa à l'acte le jour de l'éclipse de la Lune Rousse. La Princesse Prêtresse s'était rendu dans un petit lagon d'eau thermale connu d'elle seule, accompagnée seulement de son garde du corps "Crocs Odile" et de sa plus fidèle servante... Pourquoi Bathdy a-t-elle trahi ? Hawksongsucette l'avait pourtant sauvé de l'esclavage en la rachetant à des marchands phéniciens, qui lui avaient arraché toutes ses dents... À découvrir en lisant The Witcher Parks...
2 notes · View notes
philoursmars · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016. Marseille à Noël, Au MuCEM, l’expo “Après Babel, Traduire”
- alabastre - Guerriers scythes - Athènes, 400 av. J-C.
- amphore - Athènes, 500 av. J-C.
- stèle d'Anne, mère du clerc Grisanthe, en hébreu, grec, latin et arabe - Palerme, 1149
- lamelles d’or en étrusque et phénicien : dédicace à Astarté - Pyrgi, Etrurie, 500 av. J-C.
- vase d'apothicaire - Marseille, XVIIe s.
2 notes · View notes
claudehenrion · 2 years
Text
La magie de Noël – ( II ) : Retour sur images...
  Deux phrases situent tout ce qui sépare ce qu'était ''la joie de Noël'' des ripailles saturnales actuelles, qui ne peuvent être dites ''magiques'' que par anti-phrase : ''Rien à Paris ne donne l'idée de ce qu’est Noël. Vous n'avez même pas la messe de minuit'' (E. de Guérin - Journal, 1834, p.29). Et : ''Quelle douceur, le soir, que la ribambelle de petites bottines, rangées pour Noël dans la cheminée et attendant saint Nicolas'' (Goncourt - Journal, 1863). Une ''Fête'', c'était avant tout une émotion profonde. C'était à leur horrible ''faire la féte'' ce que leur ''vivre ensemble'' est à notre ''amour du prochain'': même pas une caricature ! Il faut, de temps en temps, retourner aux fondamentaux et se demander ce que veut dire la ''Magie de Noël''.
Il ne faut jamais perdre de vue que, jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était omni-présente, mais était une référence locale et tribale, fermée sur elle-même, et les religions monothéistes antérieures n’avaient pas dérogé à ce critère : Adonaï, le Dieu d’Abraham et de Moïse est “le Dieu d’Israël”, sans ambiguïté (ex. : “Seigneur, sauve Israël, ton peuple” - Ps 28-9. Ou bien : “Le Seigneur dit : je suis un père pour Israël ’’ - Jr 31, 7-9), tout comme Amon-Rè ou Aton étaient à l'Egypte, Ahura Mazda aux aryens, Tangata Manu rien qu’aux pascuans (ce qui limitait sa ’'toute puissance” aux 160 km² de Rapa-Nui !) ou Yo aux phéniciens… Zeus, sur son Olympe, était aux grecs, Jupiter au monde romain, Manitou aux seuls algonquins (et non à tous les “peaux-rouges”, comme on le croit souvent), Quetzalcóatl aux aztèques ou Mango-Capàc aux incas –et cetera…
NDLR : Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon la totalité des dieux adorés par les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum… et ce, jusqu'à l'absurde : vers la fin du temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, on “adorait” à Rome 30 000 ‘’dieux’’ de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains ont d’ailleurs vu dans cette “foultitude” l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !“). On peut se demander quel rôle a joué cette dilution extrême de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire géant et surpuissant, qui s'est trouvé désarmé devant la simple apparition d'une majuscule à “Dieu”. Cette voie, que je sache, n'a jamais été étudiée sérieusement.
Tout à coup éclate à la face de l’Humanité cette grande nouvelle : Dieu est un, et Il est universel ! C'est le sens de ''la Nuit de Noël'' : Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais Il est là pour le monde. Et comme il est dit qu’Il “s’est fait Homme”, Il devient l’un des nôtres. Dieu oui, sans doute, mais à jamais solidaire de l’humanité, de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quels que soient ses religions, ses croyances, ses choix philosophiques : un homme-Dieu et un Dieu-homme, tout en un… et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas complètement remise du choc d’une révélation qui dit : ”Il n'y a plus ni juif ni grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme,“ (Gal 3-28), malgré tant de tentatives bien ratées, en ”–isme’’, pour s'approprier cette idée “géniale” !
Parmi tant d'autres apports méconnus, ignorés ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été l'idée d'un Dieu unique pour la terre tout entière a certainement été la plus bouleversante dans ses conséquences, et jusqu'à ce jour, c'est la seule “mondialisation” positive réussie ! Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées… dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige la conversion des hommes, et il est donc à la fois universel et spécifique, appelé, disent-ils, à régner sur toute la Terre... si elle se donne à Lui..  D'autres copies de très mauvaise qualité ont pris des formes plus avariées que variées, comme le communisme et les socialismes, spéculations à prétentions internationalistes qui prétendaient représenter une “vérité” qui n'était que leur mensonge… et qui ont très vite trouvé et prouvé les limites catastrophiques de leur projet sans issue possible.
Quoi qu'il en soit, voilà soudain le monde pourvu d'un Dieu unique, universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes, femmes, “juifs ou gentils”, pécheurs ou saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Une séparation du type “je t'aime… moi non plus” entre ceux qui croient et ceux qui refusent de croire va se trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Après la réhabilitation en cours des contenus si vilipendés de la Bible par la science, la suite de l'histoire de la longue aventure de l'Homme sur la Terre va se retrouver marquée à jamais par la révélation christique.(NDLR : ne devrait-il pas y avoir un peu tout ça... dans leur ‘’magie de Noël’’ ?).
Je suis toujours rempli d’admiration devant les récits bibliques, si proches de ce que nos découvertes scientifiques nous proposent de plus nouveau, tellement à l’opposé des théories empiriques et “orientées” (qui étaient baptisées “la Science” il y a un demi-siècle à peine), si poétiques aussi mais si limpides dans leur vérité assez proche de ce que les hommes voyaient ou sentaient intuitivement... mais ont mis tant de temps à (re) trouver, à comprendre et à démontrer (parfois dans la douleur) : tout était disponible depuis les premiers âges de notre conscience en tant qu’humanité structurée en société... Quant à savoir comment un petit peuple pauvre, sans ressources, qui errait sur des terres arides il y a 5 mille ans, a pu entrevoir autant de réponses à des questions qui ne se posaient pas encore… c'est une autre histoire, dont nous parlerons peut-être, une autre fois.
Mais les actuels soubresauts du monde et les hoquets de l'Histoire devraient nous encourager à remettre sur ''le métier'' une des questions ''interdites'' : est-ce qu'une des clés du futur ne se trouverait pas dans une convergence  et dans une harmonie retrouvées, entre les sciences et le judéo-christianisme, ces deux façons jusque là présentées comme antagonistes de regarder l’humanité ? Cette hypothèse, comme tout ce qui est nouveau, est séduisante et inquiétante… mais la situation actuelle de notre planète est trop éloignée du succès pour qu'il ne soit pas recommandé d'explorer des avenues qui ont été jusque là négligées… Je voudrais tant espérer que les “billets” de ces derniers jours aient, même un tout petit peu, fait “bouger les lignes” chez quelques lecteurs. Ce serait un beau cadeau de Noël !
Devant le paradoxal '’échec du succès’’ de notre civilisation, on ne peut plus continuer à regarder le monde avec un seul œil : comme l’a dit le philosophe des sciences et épistémologiste Paul Feyerabend (cf. * infra), le risque est grand que ‘’la science telle que nous la connaissons aujourd'hui engendre un monstre, à l'avenir’’… A la question suivante : “où sont les Plans ''B’’, vous connaissez la réponse, comme moi : il n'y en a pas. C'est un drame, au moment où les progrès de la science nous ont entr'ouvert une porte de sortie, via l'éternité de l'ADN : la vie a désormais une autre ’'fin’’ que le tombeau, et nous un autre destin que celui de la fourmi écrasée. Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'Humanité.
Alors ? Dieu : avec nous, ou contre nous, à Noël ? La magie, c'est... ''tous ensemble'' ou ''les uns contre les autres'' ? Si les nombreuses usines à gaz qu'a tire-bouchonnées l'humanité depuis 3 siècles avaient offert la moindre alternative ou le plus petit intérêt, cela se serait su et propagé, et cette question serait inutile. D'autant qu’on sait, maintenant, que “Dieu n’est plus seulement la conséquence d’une foi héritée de nos ancêtres crédules, mais la conclusion de références enrichies par les progrès les plus récents des sciences” (Harari, Homo Deus).
La rigidité des ultimes adorateurs, complètement démodés, de théories qui, datant de 1775, sont plus démodées encore, a fait perdre tout sens à Noël… remplacé par un RIEN majuscule, sans aucun profit pour personne. Devant les dangers qui nous menacent de toute part, ayons le courage de tourner le dos aux mensonges démontrés de la ''doxa''.  De tout cœur, je vous souhaite d'avoir la chance de retrouver la véritable Magie de Noël : ''il le vaut bien” !
H-Cl.
( * ). Paul Feyerabend, que j'ai découvert pendant mes études sur l'épistémologie, en Sorbonne, mérite mieux que l'injuste anonymat où la cuistrerie ambiante –et ses propositions incompatibles avec le soi-disant ''macronisme'' (qui n'est rien, et donc n’existe pas) l'ont confiné. Il fut sans doute le premier des ''complotistes'' ! Nous lui consacrerons très bientôt un ''billet'' qu'il mérite. C'est lui qui s'insurgeait contre la tentation de faire de la science un prescripteur d'ordre social, ce qui n'a aucun rapport avec elle. Et c'est à lui que je pense quand j'entends nos nuls-au-pouvoir prouver leur inculture en se retranchant (du covid à la réintégration des soignants non-vaccinés)  derrière une pseudo- ''autorité scientifique'' dont ce n'est ni le boulot ni l'objet, pour des décisions-horreur-erreur hors de toute approche scientifique.
4 notes · View notes
notrebellefrance · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Éze
Les plus anciennes traces d’occupation des sols sur la commune remontent au néolithique vers 2000 ans avant J.-C. au Mont Bastide. A l’âge du fer les Celto-Ligures , populations pastorales de la région, élèvent de nombreux castellaras. Ces enceintes en blocs de pierres sèches étaient généralement construites sur des hauteurs comme à l’emplacement du village ou du Mont Bastide qui domine, à 567 m. d’altitude, la mer et la voie héracléenne. La commune et ses alentours seront aussi occupés par les Romains et les Gallo-Romains.
Le nom d’Eze viendrait soit du port d’Avisio, situé dans la baie de Saint-Laurent d’Eze mentionné dans l’itinéraire maritime d’Antonin, soit comme le rapporte la tradition orale, de la déesse Isis que les Phéniciens auraient vénérée sur le rocher.
Avec la fin de l’Empire romain, la région est traversée par des vagues d’invasions barbares qui obligent les populations à réoccuper ces sites. Eze acquiert vite son caractère défensif.
Peu après l’établissement du village, les Ezasques subissent au Xe siècle l’occupation des Maures. Pendant près de quatre-vingts ans ces derniers, établis au Fraxinet derrière Saint-Tropez, rançonnent les populations du Sud-Est. Guillaume de Provence et ses alliés mettent fin à leurs exactions vers 973. Au milieu du Moyen Age, Eze s’étend de la mer jusqu’à la rive droite du Paillon, comprend le prieuré de Saint-Laurent d’Eze ainsi que les localités de La Trinité et de Laghet qui seront détachées en 1818 par décret du comte de Savoie, Victor Emmanuel Ier.
A partir de 1388, Eze appartient à la Maison de Savoie. Dès lors sa destinée sera liée à la politique de ce petit royaume souvent opposé à la France. Conscients de l’intérêt stratégique du Comté de Nice, leur seule ouverture maritime, les comtes de Savoie améliorent les fortifications d’Eze et protègent la cité d’une double porte fortifiée, « la Poterne ».
Ils apportent aussi de nombreuses modifications au Château, bâti dans le courant du XIIe siècle, afin de l’adapter aux progrès de l’artillerie.
Cet édifice a toujours relevé de l’autorité supérieure quelle soit de Provence ou de Savoie.
En 1543 La flotte turque et son allié français commandés par Barberousse dans leur lutte contre Charles Quint, s’emparent du village.
En 1706, Louis XIV porte un coup décisif à la cité pendant la guerre de Succession d’Espagne en ordonnant la destruction des remparts et du château afin de supprimer un éventuel point de résistance entre Villefranche et Monaco.
Des vestiges de lignes fortifiées en pierres sèches témoignent aussi de la présence sur la commune de troupes françaises, alliées cette fois, pendant la guerre de Succession d’Autriche au milieu du XVIIIe siècle.
Entre la Révolution française et la fin du Ier Empire la commune est annexée à la France et y est définitivement rattachée après le vote à l’unanimité des Ezasques les 15 et 16 avril 1860.
En dépit des aléas de l’histoire, la vie des habitants, rythmée par le cours des saisons, a peu évolué jusqu’à l’époque moderne. Pendant une partie du Moyen Age la commune est aux mains de quelques familles seigneuriales dont les noms résonnent toujours dans les ruelles : Riquier, d’Eze, Badat, Blacas… Avant le Xe siècle, Eze, comme Nice et une quinzaine villages, appartenaient à une seule famille apparentée au comte de Provence.
Au fil des ans, donations, mariages et legs mirent fin à l’indivis des communes.
Ces seigneurs, puis les comtes de Savoie eurent régulièrement des heurts, parfois violents, avec la Communauté au sujet des droits de moyenne ou de haute justice.
Si le rôle des juges préoccupait peu les Ezasques, il n’en était pas de même de celui du bayle chargé de la basse justice . Ce personnage choisi par le comte veillait en effet à l’application des lois, constatait les infractions telles le non paiement des tasques sur les productions agricoles, la production de chaux, ou le non respect des bandites ou bandita, ces pâturages réservés à des propriétaires de troupeaux.
Jusqu’à la fin de la première guerre mondiale, les Ezasques vivaient surtout du revenu de leur terre complété par l’élevage de quelques chèvres, brebis et, dans une moindre mesure, du vers à soie. La culture sur « planches », ces parcelles soutenues de murets en pierres sèches nécessitait de nombreux efforts. L’hiver était essentiellement consacré à leur remise en état. Sur ces reliefs escarpés, l’âne, cet animal à tout faire, fournissait une aide appréciable. Il n’était pas rare d’en croiser chargés de légumes ou de fruits, fèves, pois chiches, courges, noix, amandes… sur le chemin du village ou d’un marché voisin. Parmi les arbres fruitiers, certains étaient plus précieux que d’autres, le figuier (la figuiera), le caroubier, la vigne (la souca), l’olivier et les agrumes, cédrats, orangers ou citronniers. Rien d’étonnant donc que l’on ait très tôt cherché à les mettre sous la protection de saints.
Dans le comté de Nice on invoquait volontiers saint Grat contre les maladies des végétaux. Son portrait figure sur un des retables de l’église aux côtés de saint Sébastien que l’on priait pour se protéger de la peste. Peu à peu, les cultures vivrières ont cédé la place à celle des fleurs, des œillets en particulier.
Avec l’arrivée dans le village du Prince Guillaume de Suède et des musiciens Balokovic et Barlow dans les années folles, tous séduits après George Sand et Friedrich Nietzsche, par la luminosité et la majesté du lieu, la commune s’ouvre timidement au tourisme.
Eze Bord de Mer, desservi par le chemin de fer, se développe à l’abri d’une pinède. Artistes et artisans s’installent dans le village
5 notes · View notes
newbuyitnow · 9 days
Text
Tipaza, la perle de l'Algérie : un voyage à travers l'histoire, la culture et les paysages époustouflants
Tipaza, nichée entre la mer Méditerranée et les montagnes de l'Atlas, est une ville qui sait séduire les visiteurs par sa beauté éblouissante et sa richesse historique. Fondée au 5ème siècle avant Jésus-Christ par les Phéniciens, Tipaza a connu une histoire mouvementée, marquée par l'influence de diverses civilisations qui ont laissé leur empreinte sur la ville. Les Romains, les Byzantins, les Arabes et les Ottomans ont successivement occupé la ville, laissant derrière eux un patrimoine architectural et culturel exceptionnel.
Un patrimoine historique exceptionnel
Les ruines phéniciennes et romaines qui parsèment la ville témoignent de l'importance de Tipaza dans l'Antiquité. Le site archéologique de Tipaza, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, est l'un des plus importants d'Algérie. Les visiteurs peuvent explorer les vestiges du théâtre romain, du forum, des temples et des thermes, qui offrent un aperçu fascinant de la vie quotidienne des anciens habitants de la ville. Les mosaïques byzantines qui ornent les sols des églises et des maisons particulières sont également un témoignage de la richesse culturelle de la ville.
La plage de Tipaza, un havre de paix
La plage de Tipaza, bordée de palmiers et de restaurants qui servent des plats traditionnels algériens, est l'endroit idéal pour se détendre et profiter du soleil et de la mer. Les amateurs de sports nautiques pourront pratiquer la plongée, le kayak ou la planche à voile, tandis que les amateurs de nature pourront observer les oiseaux migrateurs qui font escale sur la plage. Les pêcheurs pourront également profiter de la pêche en mer, pour déguster les poissons frais du jour.
Le parc national de Tassili n'Ajjer, un écrin de verdure
Le parc national de Tassili n'Ajjer, situé à proximité de Tipaza, est un véritable écrin de verdure qui abrite une faune et une flore unique. Les visiteurs pourront explorer le parc à pied ou à cheval, et découvrir les merveilles de la nature qui s'y trouvent. Les montagnes de l'Atlas, qui s'élèvent à plus de 2 000 mètres d'altitude, offrent des paysages époustouflants et des vues imprenables sur la mer.
Conclusion
Tipaza est une ville qui offre quelque chose pour tous les goûts. Que vous soyez passionné d'histoire, de culture, de nature ou simplement de détente, Tipaza est une destination qui sait séduire les visiteurs. Alors, n'attendez plus et planifiez votre voyage à Tipaza pour découvrir la beauté éblouissante de cette ville algérienne.
0 notes
alsadeekalsadouk · 3 months
Text
Tumblr media
Didrachma of Sidon (27,91 g), issued 450-425 BC. Most probably minted during sidon king Baalsillem I (𐤁𐤏𐤋𐤔𐤋𐤌), King of Persia being driven left in royal chariot; its exceptional issue .
من اروع النقود المبكره لمدينه #صيدا ، لبعل شليم الأول (لفظ صوتي( بعلشليم) ، بمعنى "تعويض البعل" ونقشت بالعربيه الفنيقيه ( 𐤁𐤏𐤋𐤔𐤋𐤌) وهو كان ملكًا فينيقيًا في صيدا (حوالي 450 - 366 قبل الميلاد) ، وكان تابعًا للإمبراطورية الأخمينية. وخلفه ابنه عبد امون على عرش صيدا.
ملحوظه : بعل / إيل معبودات وجمعت للمذكر
البعليم: جمع بعل (أطلب " بعل "). وجمع للتأنيث بعلوت: اسم عبراني معناه " سيدات - جمع بعلة ". وجاءت زوجه او وجاءت زوحه في الواح تبنيت واشمون ( لربتي ) اي زوجتي . كتبه الصديق الصدوق
#archéologie#Baalbek#byblos#château##echmoun#fort#forteresse#jbeil#jupiter#liban#maritimephénicien#phéniciens#romain#saint#site#temple#terrestreoli#Lebanesearchaeology #tyrelebanon #sidonlebanon #discoverlebanon
#sidon #saida #tyre #Beirut #Phoenician #الصديق_الصدوق
0 notes
whencyclopedfr · 10 months
Photo
Tumblr media
L'Afrique du Nord à l'Époque Classique
Les commerçants phéniciens arrivèrent sur la côte nord-africaine vers 900 av. J.-C. et fondèrent Carthage (Tunisie actuelle) vers 800 av. J.-C. Au 6ème siècle av. J.-C., il existait une présence phénicienne à Tipaza (à l'est de Cherchell, Algérie). Depuis leur principal centre de pouvoir à Carthage, les Carthaginois s’étendirent et établirent de petites colonies (emporia, en grec) le long de la côte nord-africaine; ces colonies servirent finalement de comptoirs ainsi que de mouillages. Hippo Regius (Hippone, aujourd'hui Annaba) et Rusicade (Skikda moderne) font partie des villes d'origine carthaginoise sur la côte de l'Algérie actuelle.
Lire la suite...
3 notes · View notes
christophe76460 · 6 months
Text
Tumblr media
( Jésus a dit : ) Je vous donnerai à chacun selon vos œuvres. Mais à vous, aux autres qui sont à Thyatire, à tous ceux qui n’ont pas cette doctrine, qui n’ont pas connu, comme ils disent, les profondeurs de Satan, je dis : Je ne vous impose pas d’autre charge ; seulement, ce que vous avez, tenez-le ferme jusqu’à ce que je vienne. Apocalypse 2. 23-25
➡ Lettres aux assemblées : Thyatire (4)
Lecture proposée : Apocalypse 2. 18-29
Thyatire était une petite ville célèbre pour ses teintureries (la couleur pourpre en particulier) et ses corporations d’artisans avec leurs fêtes, leurs sacrifices aux dieux et leurs orgies. Dans cette lettre à Thyatire, la plus longue des sept, il est parlé d’une femme nommée Jézabel. Ce nom renvoie à une période sombre de l’Ancien Testament : Jézabel, l’épouse du roi Achab, avait introduit l’adoration des faux dieux phéniciens Baal et Astarté dans le culte d’Israël. De même à Thyatire, le monde idolâtre et corrompu était entré dans l’église et prétendait parler de la part de Dieu.
À Pergame, certaines personnes, par leur enseignement dans l’église, cherchaient à dévoyer les fidèles. Ici, à Thyatire, une partie de l’assemblée, séduite, formait des adeptes. Aussi l’apôtre parle des “autres qui sont à Thyatire”, qui n’ont pas cette doctrine.
Aujourd’hui le christianisme est fortement influencé par l’évolution rapide d’un monde sans Christ. Ne perdons pas courage et continuons d’agir pour Dieu en nous posant chacun cette question : Est-ce que l’enseignement accepté ou recherché parmi les chrétiens que je côtoie trouve sa source et sa force en Jésus Christ et dans sa Parole ?
À Thyatire, Jésus se présente comme le Fils de Dieu. Il n’est pas un maître parmi d’autres. Il nous invite à refuser tout ce qui n’est pas conforme à la Parole de Dieu, et à tenir ferme ce que nous avons reçu de lui, jusqu’à ce qu’il vienne.
0 notes
farmaroc5 · 6 months
Text
Far Maroc
Tumblr media
Forces armees royales
Le Maroc est une nation chargée d'histoire. Les découvertes archéologiques récentes font remonter ses racines à des temps immémoriaux. Sa civilisation, plusieurs fois millénaire, résulte notamment de la présence sur son sol de nombreux conquérants : phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins, wisigoths. La conquête islamique introduisit l'Islam et marquera l'histoire du Maroc.
1 note · View note
lonesomemao · 7 months
Text
POUTINE C'EST LE MONDE PERDU
Avec la civilisation
Hellénistique
Les guerres entre peuples
Et tribus disparurent
Les phéniciens enclins
A commercer partout dans la Méditerranée
Gauche humanisme
Qui sera tue par Rome
Et un ciel contre les hommes
Mercredi 28 février 2024
0 notes