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#Philippe Manœuvre
oenodyssee · 10 months
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Pour une lampée de vin langue
Chez la famille Chaume // Domaine Chaume-Arnaud // Vinsobres // Côte-du-Rhône
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« Un point d’écart est-ce désaccord ? » J'ai pondu cette phrase pour Synapses en écho à la défaite de l’équipe bleue contre l’équipe verte en quart de finale de la coupe du monde de rugby. Elle me revient après que Valérie Chaume m’a fait remarquer qu’en traversant la rivière pour gagner le domaine Chaume-Arnaud j’ai changé de département, passant du Vaucluse à la Drôme, mais aussi de région (Provence-Alpes-Côte -d’Azur / Auvergne-Rhône-Alpes) et, surtout, que d’une rive à l’autre le cours d’eau a changé de nom : l’Aygues est devenu l’Eygues. « Une lettre d’écort est-ce désaccard ? »
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« Comprendre qu’il y a un espace infini entre chaque atome de langage » écrit Valère Novarina dans une langue inconnue un merveilleux petit livre dans lequel il réfléchit sur le patois savoyard, ses multiples variations d’un hameau à l’autre, d’une vallée à l’autre ; chatoiement dans lequel il voit « un lien mystérieux ressenti entre le renouvellement des plis du paysage et celui des mots, un sentiment du paysage parlé ». Non loin, se trouve la mosaïque des paysages bus : toutes ces topographies, ces géologies, tous ces écosystèmes, ces microbiotes, qui depuis mon départ, se sont exprimés en moi par le canal du vin. Comprendre que chaque vin est le signal d’une possibilité de langage.
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Avant la présentation de Rhapsode je propose aux vignerons qui m’accueillent de partager un verre avec l’assistance. C’est à partir de cet ancrage liquide que la performance va se dire et s’entendre, qu’elle va prendre sa teinte unique, se distinguer des précédentes, des prochaines. Il arrive cependant que les circonstances en décident autrement et qu’à la place d’une parcelle locale ce soit le coteau d’un ami ou la combe d’une consœur qui soit servie. Et j’apprécie aussi cette curiosité et ce goût pour la manière des autres — « et dans manière il y a main » note Valère —, la joie de s’échanger des bouteilles que je constate souvent dans le petit monde du vin nature. Ce soir c’est Philippe, mari de Valérie et père de leur trois fils Thibaud, Raphaël et Samuel, qui est à la manœuvre.  Le premier verre est un taillis fleuri blanc du Mas de Libian, le deuxième un col oiselé rouge du domaine Gramenon. L’accostage à  Chaume-Arnaud se fait au troisième verre dans une trouée violette en cœur de ripisylve. La performance peut commencer.
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Je bois donc une goulée de Vinsobres : Grenache, Syrah, Cinsault, Mourvèdre, Counoise. « Chaque langue s’ouvre comme un puits de mémoire » écrit le dramaturge suisse. Une généalogie se diffuse en moi, se mêlant à celle d’Orphée. Orphée devenant progressivement vigneron. Vigneron par son dire. Au loin, dans la nuit, on devine la silhouette tourmentée des Baronnies. La famille de Valérie est paysanne, protestante et communiste. Au départ c’est elle qui se lance, sans aucune aide de ses parents, à vendre des abricots au bord des routes puis, au sortir du Lycée agricole où elle a rencontré Philippe, se risque à la vigne, au bio, à la biodynamie.  Son pari : produire des vins nature toujours « loyaux et marchands » tout en maintenant une production diversifiée de fruits et d’olives Nyons. Philippe, lui, est athée et rugbyman. Formé au "machinisme agricole cultures tropicales équatoriales et méditerranéennes", on lui propose de partir Outre-mer. Il reste, pour Valérie. Ils feront grandir le domaine ensemble, 60 hectares aujourd’hui « tout en fermage :  la propriété ne m’intéresse pas » a précisé Valérie. Ils donneront naissance à trois enfants. Deux rugbymen professionnels revenus travailler au domaine, et un agronome, en partance pour la Côte d’Ivoire. Caractère et solidarité. Dans et au-delà l’humain. J’ai donc bu une goulée de Vinsobres.
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Puis j’ai mélangé les verres, les lettres et la ponctuation, j’ai joué de la métaphorminx et nous avons parlé ma « langue à un » selon l’expression de Valère. Puis, sans penser au lendemain, j’ai rebattu les verres, les lettres et la ponctuation.
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france-cinema · 1 year
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Viviane Romance et Philippe Lemaire dans Le tournant dangereux de Robert Bibal, 1954. Synopsis : Dans le dessein d'évincer le mari de sa maîtresse, un homme élabore un stratagème qui implique une rencontre orchestrée entre le mari et une femme, ainsi qu'un vol de cocaïne qui avait été préalablement confisquée par le mari qui est douanier. Le but de cette manœuvre étant de faire peser des soupçons sur le mari, le poussant ainsi hors de l'équation.
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peoplewithcats · 1 year
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Philippe Manœuvre
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suis-nous · 11 months
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yespat49 · 1 year
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Philippe Fontana : “l’extrême gauche utilise les migrants comme masse de manœuvre dans un seul but : la disparition de la frontière” ; “la crainte de l’excision est un sésame pour obtenir l’asile, même si le demandeur vient d’un pays démocratique”
Un campement de migrants installé depuis début août devant l’Hôtel de Ville de Paris a été évacué et 226 personnes mises à l’abri, ont annoncé mardi 22 août les autorités. La loi oblige-t-elle les collectivités à fournir un logement aux migrants? Cette responsabilité incombe (…) à l’État. Deux types de situations coexistent dans le campement qui vient d’être évacué : Continue reading Untitled
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“Le Doc Stupéfiant : Rimbaud, Jeune et Maudit" documentaire de Raphaëlle Baillot et Jérôme Bermyn (2021), présenté par Léa Salamé, avec les participations notamment de Nicolas Sirkis d'Indochine, Philippe Manœuvre, Dominique de Villepin, Francois-Marie Banier, Ernest Pignon-Ernest, Lucille Pennel - Directice du Musée Arthur Rimbaud à Charlevielle-Mézières - et les lectures de l'actrice Rebecca Marder, août 2023.
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patern29 · 1 year
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6 voiliers de 9 mètres des années 60 et 70 qui font référence
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Les années 60 et 70 ont été une période très importante pour la plaisance, et surtout pour la plaisance populaire. Le plastique a permis de créer des voiliers de série innovants et plus accessibles. C’est donc tout naturellement que cette période a donné naissance à des voiliers magiques, qui peuvent être considérés comme des voiliers de collection. Aujourd’hui, je voulais présenter des voiliers de 9 mètres des années 70 qui ont marqué cette période. Ces voiliers avaient des caractéristiques qui restent, aujourd’hui, compliquées à trouver sur des bateaux neufs : - Un esprit Course-croisière - Des voiliers rapides mais simples à manœuvrer - Des voiliers adaptés au côtier, comme à la navigation hauturière - Des voiliers adaptés à la navigation en équipage, comme à la navigation en solitaire - Des voiliers adaptés à la vie en mer - De très belles carènes - Et, de façon plus subjective, de très beaux bateaux. Ces voiliers de 9 mètres das années 70 sont très agréables à naviguer et offrent des sensations vraiment très agréables. Ils sont très confortables en croisière, même si le volume habitable est moins important que sur des unités plus récentes ( maitre-bau moins important et absence de cabine arrière). Enfin, ils sont souvent signés par des architectes de voiliers de plaisance de renom. Je tiens aussi à rendre hommage à tous les propriétaires de ces voiliers de plaisance historiques qui, aujourd’hui, entretiennent avec amour ces voiliers d’une autre époque. A vous qui, souvent, passez plus de temps à réparer les bobos, ralentir les effets du temps qu’à naviguer. Bref, passons les mots doux et voyons ensemble les bateaux de ma sélection.
Arpège : la signature Michel Dufour
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photo Dufour Yachts Michel Dufour est considéré comme un précurseur de l’industrie nautique, mais aussi un architecte de talent. Le Sylphe et l’arpège sont les voiliers qui ont fait entrer son chantier dans l’histoire de la plaisance. Lorsque Michel Dufour décide de produire l’Arpège, son objectif est clairement de venir bousculer les chantiers anglais. L’arpège est un voilier de 9 mètres conçu pour la Half Ton Cup, qu’il gagne l’année de lancement du bateau, en 1967. Plus de 1500 Arpèges seront construits jusqu’en 1974. Le bateau est très élégant sur l’eau et marche fort. Aujourd’hui, le pont, en sandwich, est à surveiller de très près, mais cela se répare. Longueur :9,25m ; largeur : 3m ; Tirant d’eau:1,35m ; Poids : 3500kg
Nicholson 32 : La voile à l’anglaise
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Le Nicholson 32 est un des voiliers les plus mythiques, en Grande Bretagne, avec le SS34. Ce voilier est le fruit d’une collaboration entre la société Halatic et le bureau d’études et le chantier naval Camper & Nicholson. Le Nicholson 32 a été directement dessiné par Charles A Nicholson et son fils Peter. Ce véritable croiseur hauturier est capable d’aller loin et vite, surtout contre le vent et la mer. Plus de 360 bateaux ont été construits, entre 1962 et 1981. Il existe aussi un modèle, construit sous licence, en Australie. Longueur : 9,75m ; largeur : 2,82m ; Tirant d’eau: 1,68m ; Poids : 5534kg
Mallard 9 : Un bateau qui coûtera cher à son chantier
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Le chantier Mallard est l’autre grand chantier des années 70. Il a donné naissance à de nombreux bateaux très populaires, dont l’Ecume de Mer. Le Mallard 9m est un voilier arrivé en 1976, sur le marché. Il a été dessiné par Philippe Harlé. Il s’agit d’un croiseur rapide et très agréable à mener dès le petit temps. Il sera plus gitard dès que le vent monte. Le Mallard 9m est malheureusement un échec commercial. Arrivé un peu tard, sur un marché en pleine évolution, il va coûter très cher au chantier, participant à ses difficultés commerciales. Il n’en reste pas moins un bateau très élégant sur l’eau, et marin. Longueur :8,95m ; largeur : 3,10m ; Tirant d’eau:1,70m ; Poids : 3200kg
First 30 : le début d’une histoire
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Photo Bénéteau Le First 30 est sans doute un des voiliers les plus populaires de notre sélection. Il a non seulement créé l’histoire du chantier Bénéteau, dans la voile, mais aussi participé à celle de la plaisance et de la régate. Il a été le voilier officiel du Tour de France à La Voile, pendant quelques années. Le First 30 a été dessiné par André Mauric, qui a aussi dessiné le Super Arlequin et le Super Challenger. Il n’a que des avantages : il est costaud, marin, performant au près et… beau. Plus de 1100 unités ont été produites de 1977 à 1981. Le plus atypique est que le First 30, à sa sortie, étaient déjà plus ou moins dépassé en terme de dessin. Ce qui n’aura aucune conséquence sur son succès. Longueur : 8,95m ; largeur : 2,86m ; Tirant d’eau : 1,70m ; Poids : 3450kg
Centurion 32 : la jaguar des mers
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Parler de voilier de référence des années 70, sans parler du Centurion 32 serait une grave insulte à deux grandes signatures. Car ce croiseur est forcément bien né. Dessiné par le cabinet Holman & Pye, a été construit par le chantier nordique Wauquiez. Le Centurion sera le premier voilier du chantier Wauquiez, en 1968. Ce voilier, autant côtier que hauturier, est un voilier marin, capable d’avaler les milles dans toutes les conditions. Le Centurion est équilibré et confortable, en mer. Il s’agit, de plus, d’un bateau extrêmement élégant, lui aussi. Enfin, la qualité de construction est, indéniablement au-dessus du lot. Longueur : 9,70m ; largeur : 3m ; Tirant d’eau : 1,78m ; Poids : 4800kg.
Contessa 32 : le survivant de la Fastnet
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Le dernier voilier de 9 mètres des années 70 que je vais vous présenter est toujours disponible à la construction. Oui, oui, vous avez bien lu. Officiellement, la série a été produite de 1977 à 1981, mais le chantier Rogers, du nom du constructeur et architecte, le propose toujours, à l’unité. Le Contessa 32 est un voilier de légende pour avoir été le seul bateau de sa classe, sur 58, à traverser la ligne d’arrivée de la trop célèbre Fastnet 1979. Le Contessa 32 est un voilier anglais est très stable et capable de garder sa route dans toutes les conditions. Longueur : 9,75m ; largeur : 2,90m ; Tirant d’eau : 1,68m ; Poids : 4309kg
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Trouvez votre futur voilier ici Découvrez notre rubrique voiliers d'occasion et les nombreuses offres de voiliers disponibles Les occasions de Mer&Bateaux Read the full article
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latribune · 2 years
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Villa M à Paris, Accor à la manœuvre ?
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Villa M à Paris, Accor à la manœuvre ? On le sait, opérer un établissement hôtelier est un métier et ne s'improvise pas. Pour 'remplir un établissement' et le rentabiliser, l'apport d'une compagnie bénéficiant d'une implantation internationale, d'une distribution éprouvée et  d'une  marque à forte notoriété est souvent nécessaire. Ce support est d'autant plus nécessaire que l'hôtel est jeune, sans enseigne forte,  positionné sur le segment Premium ou Luxe ou bien encore, sur une destination ou un quartier singulier. L'arrivée de Paris Society (Accor) (et d'une partie de l'équipe de l'Abbaye des Vaux de Cernay  début 2022) au sein de Villa M relève de cette logique de marque. Positionné sur " l'eatentertainment", Paris Society ambitionnait de  positionner le produit sur un segment CSP+ et d'y apporter également un côté "lifestyle" avec rooftop et autres recettes de son succès. Cependant, cette arrivée opportune au sein d'un établissement hybride semble avoir ajouté une touche de complexité au millefeuille : espace coworking géré par une société X, espace fitness par une société Y, centre de prévention au sous-sol , chambres de l'hôtel opérées en propre et restauration relevant désormais de Paris Society. Situé dans l'ancien paquebot de Pasteur Mutualité, l'hôtel propriété du premier groupe d'assurances destiné aux professionnels de santé, a coûté prés de 35 millions d'euros. Transformé par le designer vedette Philippe Starck et les architectes de l'agence Triptyque, le bâtiment du « soigner mieux » et du « vivre mieux » s'étend sur une superficie de 8.000 mètres carrés "Imaginer une villa Médicis entièrement tournée vers le bien-être, l’individu. Un lieu hybride capable de prendre soin de nos besoins essentiels: bien dormir, bien manger, travailler, échanger, respirer, créer, se dépenser, innover, se soigner, apprendre, s’émerveiller, rêver. Un havre holistique conçu pour les soignants et ouvert à tous; 8 000 m2 au cœur de Paris pensés par Groupe Pasteur Mutualité, dédiés à la santé, à l’hospitalité et au mutualisme de demain." @ source Dossier Presse Villa M 2021 Si l'on peut parler d'hôtel hybride quant aux prestations offertes, du côté opérationnel on peut facilement imaginer les difficultés de sa gouvernance. En effet, gérer un tel mikado nécessite non seulement du doigté mais un vrai sens de l'équilibre. Charles André, Directeur de Cabinet auprès de la Direction Générale Villa M et Groupe Pasteur Mutualité , est certainement un homme très occupé tant la complexité est grande. Dernier rebondissement en date, le départ acté et récent de l'hôtelier opérationnel Jérôme Bourdais, directeur depuis l'ouverture de  l'établissement. Selon les dernières rumeurs, Accor semble s'être invité définitivement dans le jeu et devrait pouvoir revendiquer prochainement la gestion complète de l'établissement hôtelier ce qui, il faut l'avouer, en simplifierait la gestion. Sous quelle enseigne ?  Pasteur Mutualité n'abandonnera certainement pas le nom si symbolique de Villa M mais pourrait se voir ajouter un "by...".  Quoi qu'il en soit, l'exercice stylistique Villa M est réussi et devrait, à l'avenir, être dupliqué en province. À suivre. Read the full article
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ebouks · 2 years
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Devenir Feldenkrais: Du Shtetl à la Méthode
Devenir Feldenkrais: Du Shtetl à la Méthode
Devenir Feldenkrais: Du Shtetl à la Méthode Philippe Banquet Moshe Feldenkrais est un maître du contrepied. Juif, né en 1904 dans un shtetl russe, il fuit la misère et les pogroms, seul, à quatorze ans, direction la Palestine. Il y survit en faisant le manœuvre sur les chantiers du futur Tel Aviv. Il reprend ses études, invente une technique d’autodéfense, puis s’établit cartographe. On se dit…
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rollingstonemag · 6 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/rockin-1000-stade-france/
1 000 musiciens invités au Stade de France pour le plus grand concert rock du monde !
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Parrainée par Philippe Manœuvre, l’initiative « Rockin’ 1000 » réunira un nombre inédit de musiciens qui viendront jouer une vingtaine d’hymnes rock sélectionnées par le journaliste
Il en parle comme d’un « Woodstock du futur » : Philippe Manœuvre co-organise, avec l’aide du Stade de France (producteur de l’événement), la première édition française de « Rockin’ 1000 ». L’objectif : faire jouer à 250 guitaristes, 250 batteurs, 250 bassistes et 250 chanteurs une vingtaine de titres rock, à l’unisson, dans l’enceinte de l’arène. « Ça va des Rolling Stones à Deep Purple, en passant par Led Zeppelin, David Bowie et Johnny Hallyday » détaille Manœuvre à Culturebox.
Une initiative née en Italie en 2015, lorsque Fabio Zaffagnini fit le pari fou de faire jouer à 1 000 musiciens le titre « Learn to Fly » des Foo Fighters, afin de faire venir ces derniers pour jouer au stade de Cesena. Pari tenu, puisque le projet finit par convaincre la bande à Dave Grohl, qui donna un concert exceptionnel quelques mois plus tard.
youtube
Ouverte à tous, la version française de « Rockin’ 1000 » a déjà reçu plus de 700 candidatures – vous pouvez encore déposer la vôtre en vous inscrivant gratuitement sur le site web du Stade de France. Toutes personnes âgées d’au moins 16 ans peut participer. Mais attention, l’organisation compte sur vous pour le transport et le matériel. « C’est un vrai investissement, c’est sérieux, mais les musiciens qui s’engagent vont le faire à fond » a déclaré Philippe Manœuvre. Une fois sélectionné, « l’heureux élu entrera ensuite dans une phase de formation pour se préparer activement, par le biais d’une application avec laquelle il sera en contact avec un coach. C’est comme un entraînement assez intensif, sachant que les candidats auront trois jours de répétition générale tous ensemble au Stade de France juste avant le concert » raconte Frédéric Souplet, directeur de la communication du Consortium Stade de France. Comme précisé sur le site de l’événement, l’organisation compte sur la responsabilité de chacun des participants, qui devra s’occuper lui-même de son poste, et sera bien entendu tenu d’assister aux trois répétitions générales qui se tiendront quelques jours avant le concert.
Rendez-vous le 29 juin prochain pour un événement qui risque de faire beaucoup de bruit.
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phil1945 · 2 years
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LES TUERIES DU BRABANT WALLON SONT POLITIQUES.
Voici seulement les 10 premières pages de mon manuscrit de 500 pages.
Pourquoi j'intitule un tel titre à mon manuscrit et bien simplement parce que moi De Staerke Philippe j’ai été choisi comme Bouc émissaire par la Hiérarchie politique, judiciaire et militaire de façon que les véritables Tueurs du Brabant Wallon appartenant à ses mêmes Services ne puissent jamais être démasqués. Presque !-, l’ensemble des Services judiciaires comme d’autres appartenant à des Services hiérarchiques de L’État belge, auront systématiquement tous mis en place pour protéger et blanchir l’ensemble des systèmes officiels de l’État et pour y parvenir rien de plus facile il fallait trouver un coupable en fabriquant de toutes pièces factices un bouc émissaire de préférence innocent et pour preuve pendant 40 ans, il ont réussie a truquer, fabriquer, camoufler étouffer les vraies pistes et les vrais coupables ont bénéficié de toutes les protections dans le cadre des attentats relier aux Tueries du Brabant Wallon, et ce, toute en faisant naître des innocents et boucs émissaires comme moi qu'ils auront systématiquement transformés en coupables...
Grâce à ses multiples manœuvres nauséabondes, mais très maladroitement téléguider par les pouvoirs hiérarchiques de
l'époque après 40 ans les vrais Tueurs du BW sont toujours impunis et libre ! Le pire des scandales, c est qu'aujourd'hui après 40 ans d enquête falcifier, truquer, manipuler a
1000 % des hommes politiques, Magistrats ou enquêteurs, osent encore protéger certains Services officielles de
l'Etat en affirmant sans le moindre remord de conscience ou la moindre honte, que les Tueries Brabant Wallon, non absolument aucun rapports avec une quelconque raison politiques ou Judiciaires autrement-dit que les Tueries du BW sont uniquement l'oeuvre sanguinaire de gangster.
Alors, Je vous recommande vivement de regarder c’est cinq vidéos sur le début de ma page principale Facebook.be, car ce n'est surtout pas à moi le bouc émissaire, l'innocent de ses crimes de sang ou 28 innocents auront été tué, assassinée, mais plutôt exécuté froidement, a devoir demander pardon au Peuple, mais aux enquêteurs et autorités judiciaires et politiques, de vous les présentez et ce, en faisant mille courbettes et mille pardons à vous le peuple de Belgique, car c'est uniquement grâces a eu, que 40 années après les Tueurs du Brabant Wallon sont toujours libres et protéger de toute inculpation judiciaire future.
Maintenant vous allez me demander des preuves matérielles et bien pas de soucie je prouve matériellement mes présents écrits par 40 années d'enquêtes judiciaires, manipuler, falsifier, truquer, ou les systèmes judiciaires auront fabriqué des faux coupables de façon plus qu'évidente pour réussir à protéger les vrais Tueurs du Brabant Wallon, ce que je viens d’écrire, c'est en soi la preuve ultime et matérielle !-, de leurs implications partiales dans c'est fait qui je vous le rappelle sont les plus sanglantes de toute l'histoire judiciaire que notre pays aura connue.
Malgré les nombreuses humiliations, et multiples pressions de toutes sortes !-, je n’ai jamais eu peur de ses gens, puisqu’ils ne pourront jamais me tuer une deuxième fois étant donné qu'ils m’auront déjà tué virtuellement et peut-être physiquement… puisqu’ils ont littéralement briser voir, fichu ma vie en l’air avec ses multiples accusations mensongères + cette injuste inculpation dans les Tueries du Brabant wallon.
Heureusement pour moi, que j’ai toujours eu un tempérament opiniâtre et bagarreur du style kamikaze puisque c’est grâce à cette force et volonté de vaincre, qui vaille que vaille, m’aura sans doute permis d’affronter de face 40 années d’enquêtes judiciaires acharnées, falsifier, truquer, manipuler.
Oui j’estime utile, de me répéter, car après 40 années des pires pressions et mensonges que j’aurais injustement vécus, je suis toujours là, occupée à me battre et bien présent, certes très abîmé émotivement, mais sans aucun doute avec autant de combativité qu'au début !
Par conséquent n’ayant d’autre choix, car contraint et forcé de m’adapter, face à certaines pourritures vivantes, et ce, pendant 40 années durant, ou figure cette triste inculpation dans les Tueries du Brabant Wallon, je me serais forcé à m’ajuster à ma nouvelle devise qui sera devenue, ça passe ou ça casse toute en respectant et toujours scrupuleusement et humainement autrui.
Je dois aussi l’admettre que c’est aussi grâce à ce gros défaut qui aura pris naissance dans ma personnalité qu'à partir de cette injuste inculpation dans les Tueries du BW, que je n’ai jamais eu peur des pourries et en toute franchise ci demain je dois mourir et bien, c’est que cela aura été mon destin et rien de plus, car pour moi la vie et la mort sont fatalement devenue le début et la fin d’un humain et par conséquent c’est la suite logique du mot inévitable et suivant ces circonstances et depuis mon inculpation dans les Tueries du BW, je n’avais d’autres moyens de vivre, au jour le jour et par conséquent sans jamais être envahie par la moindre peur de vivre ou de mourir et par logique aujourd’hui en 2022, je me fiche et contre fou, mais alors royalement et à 1000 % des pressions futures et diverses menaces de certains Services judiciaires, alors advienne que pourra !-,:
Aléa Jacta.
Par conséquent j’espère que vous comprendrez que certains de ses notables auront constamment usé de subterfuges ignobles et grotesques pour dissimuler leurs complices, et ce, aux dépens d’innocents qu’ils ont fait jeter en prison de façon à ne pas s’attirer la vindicte de l’opinion publique.
Moi-même, après avoir été condamné à la peine maximale de trois fois dix –ans, pour six vols à main armée (Banques et postes et bijouteries) au cours desquels aucune personne ne sera tuée ou blessée, et où je le précise, jamais les moindres armes a feu aura été utilisé pour tirer sur des civils ou des gendarmes et malgré le faîte que j’aurais toujours été un gentleman !-,car toujours sans la moindre violence physique et ce, dans chacun de mes hold-up, banque, poste, transporteur d’argent, et bijouterie, j’aurais malgré tout, effectué plus de 17 années de détention, attendant le bon vouloir de ces décideurs alors que jamais au grand jamais je n’aurais blessé physiquement ou fait preuve de violences sur qui que ce soit.
Il faut aussi que vous sachiez que dans l’ensemble de ma vie j’aurais commis plus de 200 grosses attaques à main armer et que jamais au grand jamais, je n’aurais frappé des civils ou des agents de sécurité armées de 357 magnums ou des policiers.
C’est quand même incroyable que lorsqu'une Personnalités commerciales ou Politiques vol, derobe, détournes des dizaines millions d’euros aux citoyens, la, ce n’est pas grave du tout et soit ont étouffe l affaire dans les oubliettes de la prescriptions ou alors ont ce contente simplement de lui tirer les oreilles, mais par contre quand moi, je prends essentiellement des millions d’euros dans les caisses de l'état belge, et ce, sans la moindre violence physique alors c'est très grave.
Est ce, cela la représentations de la Justice en Belgique car alors c est vraiment pitoyable!
Qu’en est-il aujourd’hui de mon existence: mêmes si ma vie d’adulte aura été encadrée et diriger de manière imperceptible... par l’autorité judiciaire et son appareil répressif, je n’en retire bien sûr, pas que de l’amertume, puisqu’ à cause de ces pourries, c'est multiples malheurs de parcours, qui auront littéralement anéantiet broyer mes illusions sur certaines valeurs morales ce qui fait que par conséquent je crois avoir développé… plusieurs formes d’opiniâtretés dont manifestement j’en retire parfois une satisfaction personnelle, car je n’aurais jamais plié les genoux devant c’est pourritures vivantes.
N’1)... Pour ma part, même la tête sur l’échafaud du pain de la délation, Dieu fasse que je n’en mange jamais … à la différence de nombreuse personnes dite respectable… je ne travaille pas pour les autorités judiciaires ou autres et je ne le ferais jamais !-, car en toute franchise je préfère mourir que de prendre les 30 deniers de la trahison.
N'2)… c’est seulement aujourd’hui en 2022, que j’arrive vaille que vaille, à faire la différence, entre les gens qui méritent le respect, et les autres, ceux, à qui je ne manque pas de laisser paraître mon indifférence ou plus souvent ma colère, cette rage intérieure qui brûle ma vie par les deux bouts, et qui parfois est l’équivalent d’un volcan prêt à exploser et a pulvérisé ses pourritures vivantes comme je le fait maintenant par mes présents écrits, et oui, les mêmes personnes qui a mainte reprise ont tenté de me pulvériser en me noyant dans leurs machinations tordues au possible.
40 années que certains magistrats, enquêteurs et journalistes non de cesse de me salir en m'humilient de mille façons abjectes, vous frappe sadiquement, vous écrase par des mensonges iniques accoupler par des inculpations injustes et machiavéliques relier aux tueries du Brabant Wallon, et ce, pendant des dizaines d’années et après avoir vécu cela, il faudrait encore que je dise merci.
Croyez-moi, qu'avec tout ce que j’ai dû endurer et continue à subir par cette persécution qui dure depuis 40 années d'enquêtes judiciaires, ma présente colère est tous ce qui a de plus justifié et normal.
N’3---Au fil des années et après de longues expériences malheureuses, j’ai appris que la meilleure façon de se protéger des actes malintentionnés de certains individus possédant le pouvoir judiciaire et politique, me place aujourd'hui et de façon légitime dans une position d’agir uniquement de façon imprévisible !-, de manière à me préserver de leurs malveillances répétitives.
N'4) aujourd’hui, je crois qu’a 65 ans dans certaines positions de ma vie ou circonstances rassemblant des valeurs intrinsèques, je serais certainement prêt à donner ma vie, pour mes idées... Ceci dit, lorsque j’écris que je suis prêt-à-donner ma vie pour mes idées, cette phrase me semble aujourd'hui, assez vague, puisqu’en vérité je suis mort depuis le premier jour de mon inculpation dans les tueries du Brabant Wallon en 1986.
En y réfléchissant bien, aujourd’hui en 2022, je ne suis plus vraiment certain d’être encore un pur et dur idéaliste, mais certainement plus resemblant à un zombie possédant un réel bagage d’enrager incommensurable et oui et a corps et âme défendant, je dois l’admettre, je ne suis plus rien d’autre, sauf peut-être une bombe à retardement.
Conclusion : Les calomnies, les mensonges, la délation trafiquer, est la mythomanie des autres parviennent manifestement à faire souffrir un humain, au fer rouge et ce, de la façon la plus atroce que l’on puisse imaginer.
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Il y a quelques années dans les environs de 2012, ou 2013 le très célèbre député a la Chambre des Représentants du Senat belges, Monsieur Laurent Louis, fera une déclaration pour le moins digne d’intérêt par vidéos se trouvant sur ma première page de Facebook, car j'estime que cette déclaration sonne enfin le glas de la fin des mensonges relier étroitement aux Tueries du Brabant Wallon, et ce, en apportant clairement une réponse a vos multiples questions qui seront restées dans l’ombre absolue et ce, aussi injustement que trop longtemps, car voilà presque 40 années que je me bats comme le pire des enragés et seul a l'équivalent d'un martyr !-, contre vent et marrer et ce, en affrontant depuis toutes ses nombreuses années un système, et mêmes plusieurs systèmes hiérarchiques d’État pour le moins devenu mafieux et ce, toutes en affirmant inlassablement que les Tueries du Brabant Wallon sont politiques et il aura fallu que j’attende aussi longtemps pour qu’enfin un homme politique, très courageux et de grandes envergure d’orateur, ose enfin remettre les pendules à l’heure, et ce, devant l’ensemble des députés siégeant au Sénat de la Chambre de représentants de L'état.
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Sachez bien, que mes présents écrits, ne sont que de la légitime défense confortée par 40 années d’enquêtes judiciaires de la honte, car n'ayant aboutie a RIEN, mais alors absolument A RIEN d'impartial, puisque j’aurais été injustement inculpé dans les Tueries du Brabant Wallon alors que tout le monde des systèmes judiciaires et politiques savait pertinemment bien que j’étais et suis innocent !
Maintenant, je m'adresse à vous, la population bien-pensante... car il serait peut-être temps de vous réveiller, car croyez-vous réellement qu'en 1985, il y eût une différence « aussi infime soit-elle » entre les méthodes des vrais gangsters ou braqueurs professionnelles et les méthodes de certains Gendarmes de l’époque "1980", utilisant des méthodes aussi illégales et croyez-moi sur parole et malheureusement, pour moi, je suis bien placer pour le savoir puisque j'aurais été choisie comme bouc émissaire et inculper dans les attentats sanglants des Tueries du BW et ce, à la place des vrais Tueurs du BW.
Cette inculpation téléguider a l'époque par les Pouvoirs politiques, sera dirigée par le premier des suspects que je considère à la base de la mise en place du sabotage gigantesque englobant cette cabale contre moi, sciemment conduit par l’enquêteur et Adjudant Goffinon, il aura d’abord et par ordre chronologique, contacté différents Services officiels ainsi que les petites frappes du milieu, balance et compagnie, pour qu’en force et rapidement sois lancé de multiples rumeurs pour , m’associer a des milieux d’extrême droite et même des organisations a caractère terroriste et politique et aura par la suite contacté le Procureur du Roi de Dendermonde, Mr Acke, de façon a certifiée verbalement mille et un mensonges essentiellement contre ma personne et ce, toute en m’associant a des gens, que je ne connais absolument pas !-, et bien sûr, sans jamais fournir le plus petit indice crédible, rien absolument aucune preuve matérielle n’aura été fournie et malgré un dossier vide de sens logique, mais qui aussi paradoxalement aura contribué a 1000 % pour conduire l’ensemble des enquêtes judiciaires a ce diriger tout droit vers ma personne qui de ce faîte auront automatiquement réussies a complètement dévier les véritables pistes des véritables Tueurs du Brabant Wallon.
Ce qui ait incroyable c’est que cet enquêteur Mr, Goffinon m’aura associé verbalement et sur procès-verbaux à des dizaines de personnes et organisations politiques que je n’aurais jamais au grand jamais fréquentées de près ou de loin, et ce, de toute ma vie, par ce que j’ignorer même jusqu'a leurs existences matérielles et même virtuelles puisque, je ne connaissais absolument rien de la vie de ses gens ou de leurs organisations de super dingues relier a des organisations terroristes ayant ses bases à partir de l’Italie la France et la Belgique.
Je l’affirme, n’y de près ou de loin !-, je ne connais, Madani Bouhouche, Jean Bultot, Eric Lammers, Patrick Hammers, Juan Mendez, et compagnie, puisque jamais je n’aurais eu les moindres contacts ou ayant eu des connexions avec les structures officielles de l'Italie, France, et de l’État belge, parce que j’aurais toujours évité de les fréquenter, car c’était mon principe de base!-, de ne jamais fréquenter des extrémistes de droite ou de gauches, flics, ou tout ce qui touche a l'État ou organisations a caractère politique.
J'étais et suis toujours un solitaire évitant comme la peste
cette catégorie de gens et organisations politiques a des caractères politiques.
L’ex-enquêteur Philippe Vermerche de Dendermonde n’est lui aussi, vraiment pas clair, car jamais il n’aura dirigé une enquête impartiale puisque c’est aussi et en autre, Grâce et à cause de son enquête partiale que je dois ma descente aux enfers par mon injustifiée - Inculpation dans les Tueries du Brabant Wallon et surtout pas oublier que par la suite il aura été inculpé par le Parquet de Charleroi en relation directe avec l'enquête sur les Tueries du BW et les fouilles dans le canal de Ronquiere ou les armes truquer, falsifiez par "X", mais appartenant aux Tueurs du BW seront découverte sur la base unique des déclarations de cet enquêteur.
Heureusement pour moi que j’ai toujours eu un tempérament opiniâtre et bagarreur du style kamikaze.
Pour démontrer et prouver mon innocence j'ai pendant de nombreuses années effectué diverses recherches dans tous les milieux et dossier divers et par conséquent, j’ai enfin acquis l’ultime certitude que cet enquêteur Judiciaires goffinon, connaissait parfaitement les tenants et aboutissants des véritables Tueurs ou sinon pourquoi juste après !-, les massacres d'innocent dans le Brabant Wallon cet adjudant, aurait-il construit un faux dossier d'informations saboté a 1000 % sur l’enquête sur les Tueries du BW, en l’orientant directement et principalement dans ma direction. Madame la présidente et Juge d’instruction des Enquêtes sur les Tueries du BW, je suis profondément persuadée que pour parvenir a trouver le premier fil conducteur a suivre pour parvenir à une véritable vérité sur les raisons et enclenchements des Tueries, c’est d’ouvrir des investigations impartiales concernant les nombreuses et constructions factices et agissements de cet enquêteur Judiciaires Goffinon, pour le moins partial du début des investigations judiciaires, et ce, jusqu’à la fin !-, et alors vous aboutirez a la vérité absolue que plusieurs Services judiciaires évitent d’enquêté depuis 40 ans.
Madame la Juge D'instruction Martine Michel, rien qu'avec les multiples Procès-verbaux, que vous avez dans vos dossiers d'enquêtes, vous pourriez très vite découvrir et comprendre, que sans ses multiples interventions et constructions de mensonges flagrants, inventer de toute pièce auprès des organismes officiels, jamais on n’aurait pensé à m'interroger et encore moins de m'inculper rien que sur des déclarations verbales n'ayant pas le moindre tenant ou aboutissant crédible.
Car en en clair, je dois mon injuste inculpation dans les Tueries du BW, grâces et à cause de l’intervention de Philippe Vermerche et de l’adjudant Goffinon.
Pourquoi, C'est deux enquêteurs Goffinon, avait autant d'intérêt à fabriquer, fausser, truquer les fondements des enquêtes qui auront considérablement reconditionné les dossiers sur les Tueries du Brabant Wallon, en incitant l'ensemble des enquêteurs à perdre leurs temps inutilement sur ma personne de façon à protéger les véritables Tueurs du BW d'une inculpation.
Maintenant pour plus de clarté, je vais revenir en arrière : Bouhouche poursuivie en Justice pour divers faits criminels, etc.​ Commandant François, poursuivie en Justice pour divers faits de drogues, Etc., et je passe sur les détails de dizaines d’autres faits criminels et des noms, englobant des agents officiels de l'État étroitement lier et associer à des mouvements d’actions politiques, "GAP, groupe d’actions politiques englobant officiellement le WNP, Westland New-Post".
Incroyable enquête... judiciaire nationale, qui en final aura uniquement servi à téléguider, truqué, saboté et au nom de qui…
Difficile de ne pas tirer des conclusions objectives me conduisant irrémédiablement vers une stratégie d'État, extrêmement violente visant "entre autres" preuves matérielles à l'appui à favoriser l’installation d’un pouvoir politique pur et dur et surtout beaucoup plus fort !-,​ qu’il​ l'était en 1980 puisque fondé principalement sur le renforcement de la gendarmerie et de l’armée, d'autant que juste après les massacres préméditer et sans précédent dans le Brabant Wallon en 1985, le gouvernement de l'époque, aura enfin réussir a débloquer directement des sommes d'argent astronomiques !-, servant essentiellement à moderniser l'ensemble des forces de l'ordre belges.
Dans le cas présent en 2022 et suivant ses circonstances antonymes, j’estime légitime que tout un chacun puisse être, en droit de se poser la question primordiale, à savoir :​ ​ ​À QUI PROFITE LE CRIME !!!
Pour ce qui concerne les accusations d'Alain Moussa, c'est juste un légume, droguer a l'héroïne dure, croiser d'un mythomane aliéné mental et ressentir de la haine pour cet individu je m'y refuse, car pour moi, cela ne rapportera absolument rien d'intéressant et encore moins de tenter de discuter avec une personne, qui aura passé + du 3/4 de sa vie dans des Asiles de dingues, mais attention dans la catégorie des hyper- dangereux !
Croyez-vous sincèrement qu'un esprit aussi limité qu'Alain Moussa, puisse encore être crédible, car des débiles appartenant à cette lamentable catégorie de mythomane et sociopathe profond, il y en a partout et je vous assure que si vous voulez en trouver des aussi demeurer, il vous suffira d'aller devant n'importe quels asiles d'aliénées mentaux, et moyennant un peu de monnaies en euro, ses gens vous diront n'importe quoi et c'est exactement ce qu'aura fait Alain Moussa.
D’autant que sur le forum des Tueries du BW ainsi qu'a plusieurs Médias, il aura admis par écrits et verbalement d'avoir lancé ses accusations contre moi, dans le seul projet de tenter de toucher la prime de 250 mille euros des Magasins Delhaize.
Comme je ne cesse de L’affirmer, c’est un pauvre débile mental, très limité sur tous les plans et c’est surtout pour cette raison que je ne trouve aucune justification de ressentir de la véritable colère contre ce malade mental et drogué profond car cet Alain Moussa, n'est n'y plus, n'y moins qu'un pion, que certains services officiels de l'État ont une fois de plus utilisé contre ma personne.
Si ma mémoire est bonne et sauf erreur de ma part, Alain Moussa ne sait pas écrire et de ce faîte la lettre qu’il aura transmise à la presse et au média sont forcément le fruit d’un montage préméditer par les mêmes agents de l’État qui depuis 40 années n'auront de cesse de me salir par des rumeurs et mensonges sans tenant ou aboutissant objective, et ce, manifestement dans l’unique but de protéger les véritables Tueurs du BW puisque 40 années après les vrais tueurs n'auront jamais été poursuivis devant nos Tribunaux.
Faut-il vraiment que notre hiérarchie judiciaire soit tombée aussi bas dans les caniveaux du Royaume de Belgique, pour accepter de manipuler et utiliser ce genre de débile mental profond et qui depuis toujours aura consommé la pire des drogues dures "héroïnes, ammoniaque, gaz hilarant "et je préfère passer sur les noms de toutes les autres merdes qu'il aura consommé dans sa vie".
Alain Moussa , n’est qu’une marionnette, un véritable légume a qui ont peu faire dire n'importe quoi !- et les dernières attaques écrites et verbales à mon encontre sont la preuve matérielle de mes présents écrits qui vient une fois de plus d'être fournis par ses accusations grotesques du 26/12/2021 et ce, dans une grande partie des Médias.
Vous voulez, que cet individu, accuse De Staerke Philippe des attentats en Amérique, du 11 septembre 2001, World Trade Center, ou qu’il déclare que je suis le complice de Ben Laden, pas de souci, proposer lui, des euros et il ira même jusqu’à affirmer qu’il aura été mon complice.
Vous voulez qu’il vienne m’abattre physiquement, pas de souci donner lui quelques centaines d’euros et il le fera direct, car pour lui, ce sont des choses normales puisque c’est un demeurer mental souvent relier a des crises psychopathiques.
Misère de misère de merde, comment c’est possible que certains enquêteurs puissent être aussi idiots pour avoir choisi Alain Moussa pour m’accuser une fois de plus.
C’est incroyable que des gens possedant 36 diplômes commettent des absurdités aussi dingues car vous les universitaires, qui avez utilisé une fois de plus, Alain Moussa, et en final vous avez une fois de plus rater royalement votre tentative de sabotage.
Mais enfin bordel de merde, qu’avez-vous dans votre tête, vous n'avez pas trouvé plus intelligent ou ne fus-que plus crédible, comme individu pour me noircir et m'accuser de façon aussi grotesque parce que oui, cette manipulation absurde à mon encontre c’est vraiment de la débilité profonde qui sont, je l’affirme à l'identique de ce qu'est Alain Moussa, un demeurer mental profond et cette dernière déduction de ma part ce n’est pas moi, qui l’affirme, mais les plus grand psychiatres de Belgique, puisque ce dernier aura été interné le​ trois quarts de sa vie dans des Asiles psychiatriques.
Parce qu'il faut bien comprendre, l’état d'esprit de cet Alain Moussa, car avec lui, rien n'a de limite puisque pour quelques Euros, il serait capable de ventre, père, mère et enfants.
C'est quand même incroyable que ceux qui me lise soient des gens super intelligents, ayant des capacités intellectuelles incroyables avec en plus à la clé des diplômes universitaires en pagailles et malgré 40 années d’Enquêtes pourries, ne parviennent pas à faire l'addition de 1+1=2
​Vous l’opinion public, je vous demande d’imaginer deux minutes ce qu'est ma position actuelle en 2022, j’ai presque 65 ans et voilà 40 ans que je suis méthodiquement et sadiquement persécutée par certains Services judiciaires et en plus relier par une certaines presse et média à leurs bottes, et ce, de toute évidence pour que les véritables Responsables des Tueries du BW puissent continuer à échapper à la Justice.
Par conséquent aussi longtemps que les enquêtes judiciaires continueront à faire une fixation maladive sur ma personne, il tombe sur le sens que les véritables Tueurs et responsables, des Tueries du BW, resteront totalement intouchables par la Justice et qui oseraient encore affirmer le contraire, puisqu’après plus de 40 années d’Enquêtes judiciaires pourries, ils continuent à n’être nulle part !-, sauf sur leurs os à ronger, le bouc émissaire préféré, qui s’appelle De Staerke Philippe.
Ce genre Individues, délateur, menteurs patentés, car attitrer des Services judiciaires comme Moussa-Alain, Karafilis-Nicolas, Vanhemelryck-Yvette, Vanhesbroucke- Léopold, Dominique-Salesse, De Staerke-Robert, Claude Nithelet, comme d'ailleurs les dizaines voire des centaines d’autres individus sans le moindre scrupule n’auront eu de cesse de m’accuser à tort et à travers, pour entre autres tenter de toucher la prime de 250 mille euros des Delhaize ou ne fus que pour mendiez quelques euros en échange de mensonges verbaux contre ma personne.
Ce genre d’accusateurs contre ma personne et appartenant à cette catégorie de vendue capable de vendre père, mère et enfants, se seront systématiquement laissé acheter et ce, pendant 40 ans,, soit en échange de petite faveur ou simplement en échange de monnaies sonnantes et trébuchantes et attention ce n’est pas trois ou quatre personnes qui m’auront noircie de façon totalement absurde, mais des dizaines de gens n’ayant aucune conscience, parce qu’ils auront toujours été téléguidés soit par les médias ou certains services judiciaires.
Mon propre frère Léon, lui aussi, se sera laissé acheter, et ce, pour seulement quelques centaines d’euros, qu’un Journaliste, Monsieur Guy Bouten, aura offerts en échange d’informations négatives me concernant.
Car il faut s'avoir que sans l’acte verbal, à mon encontre de mon propre frère Léon en rapport avec ce Journaliste, Mr Guy Bouten, il ne m’aurait jamais pu me trouver physiquement.
Aujourd’hui en 2022, il tombe sous le sens que cette couche d’individus ne sont en fait que de grands mythomanes, des pourritures humaines sans la moindre conscience ou respect de leurs personnes, m’auront accusé par mille mensonges dans le cadre des instructions sur les Tueries du BW et par conséquent, il me paraît clair que des individus de cette triste catégorie, il en aura encore beaucoup qui suivront, et ce, notamment et toujours à la demande et sous pression constantes de certains enquêteurs de l’époque, car constamment repris par des enquêtes et Procès-Verbaux de 1985 et 1987, et ce, de sorte que cela puisse- être médiatisé à toute pompe dans les milieux d’une certaine presse à scandale.
En clair : Pendant 40 années d’investigations judiciaires, ils auront fabriqué, polluer, truquer, falsifier, étouffer, mais surtout téléguider vers ma personne, certains Pouvoirs hiérarchiques de l’époque, et ce, manifestement pour protéger les véritables responsables des Tueries du Brabant Wallon.
J'aurais été victimes de 40 années des pires enquêtes judiciaires pourries que notre pays aura connues ce qui prouvent matériellement qu’aujourd’hui en 2022, ce que la raison d’État, désir de façon primordial, ce ne sont absolument plus, et surtout pas les vrais coupables des Tueries du BW, mais simplement un coupable, un bouc -émissaire ayant les caractéristiques d'un innocent!-, des faits relier aux attentats commis dans le Brabant Wallon, parce qu’il est important de comprendre, qu’un innocent a cette grande particularité de ne rien savoir et de ce faîte, ne risque pas de confondre les vraies vérités des Tueries du Brabant Wallon. Ce qui me paraît incroyable a plus d’un titre, c’est que mes accusateurs mythomanes ne m’auront pas encore accusé de manger des bébés, et ce, chaque matin pour mon déjeuner.
Mais qui sais, cela viendra peut-être un jour, car avec de telles malades mentales et 40 années d’enquêtes polluer m’auront appris de ne surtout plus rien sous-estimer.
C’est quand même incroyable j’aurais été victimes de 40 années d’accusations judiciaires polluer par certains enquêteurs se servant de mythomanes, et ce, par milliers de mensonges ridicules absurdes, car sans fondement ou aboutissant et fabriquer de toutes pièces factices et malheureusement pour moi et sauf erreur de ma part, j’aurais manifestement battu tous les records sur la longueur d’enquêtes judiciaires de toute l’histoire mondiale !-, car dans le cas présent je ne fais pas allusion a quelques années d’enquêtes judiciaires contre ma personne, mais de 40 années qu’ils auront systématiquement mises sur mon dos, et ce, une fois de plus dans la seule et unique intention de protéger les véritables Tueurs du Brabant wallon.
Vous l'opinion public, je vous demande d'imaginer 40 années d’enquêtes judiciaires incessantes et continuellement saboter de l'intérieur et de l’extérieur, et ce, malgré mon innocence évidente et plus que flagrante, ces pourritures vivantes auront toujours été lâchement cachées... dans l'ombre du Pouvoir d'état, continuent à me tenir au centre des médias.
Le but précis de leurs actions de sabotages est de continuer à noyer le poisson… comme ils ont l’habitude de le faire depuis plus de 40 ans ou malgré leurs méthodes grotesques, ils parviennent encore à convaincre les simples d’esprit que le coupable c’est Philippe De Staerke et ce, pour que les véritables Tueurs puissent continuer à courir libre.
Ce petit passage retirer du brouillon de mon manuscrit démontre matériellement que les Tueurs du BW, sont en réalité des soldats de la mort, oui des Tueurs a gages et pour réussir l'ensemble du plant d'états consistant principalement à exécuter un seul témoin, et ce, par attaques tout en prenant soin de créer un véritable carnage de victimes de façon à faire croire à la piste de vulgaires Prédateurs.
40 années après les Tueries du BW, certains Services de l’État continuent de téléguider les multiples médias belges pour à chaque fois, réorienter les soupçons et l'enquête vers ma personne.
Manifestement et preuves à l'appui, ils auront de cesse de tout mettre en œuvre pour anéantir ma vie et ce, jusqu'à ce jour par un maximum de fait factice, en me salissant systématiquement par mille et un mensonges, plus ridicules les uns que les autres.
Je vous rappelle que par 3 fois consécutives, dans le courant des années 2000 et plus,
Les plus hautes cours de justices du pays m'auront totalement blanchie par trois NON-LIEUX consécutifs et ce, à la demandent express, des Procureurs du Roi de plusieurs Parquets du Royaume de Belgique, qui je vous le rappelle auront pris ma défense en toute légitimité de conscience et auront obtenues trois fois de suite un Non-Lieu en ma faveur ! -, et ce, sur trois Cours de Justice différente et totalement indépendante l'une de l’autre.
Malgré cette évidence de mon innocence, encore aujourd'hui, certains médias et particuliers continuent à se laisser téléguider pour persister et semer le doute sur mon innocence.
Pour preuves ; ils vous suffiraient de taper mon nom et mon prénom, sur internet et vous me verrez dans des milliers d’articles de presse. Partout sur Google et autre site d’internet tous les Articles de presse me noircissant sont systématiquement remis a jours ou d’année en année ses articles de presse sont de plus en plus incisives, car en plus ils vont jusqu'à l'extrême de mettre certains articles de 1985,1987 et plus à jour en 2000 et tout cela pour me noircir encore plus alors qu'aujourd'hui c'est journaliste flamants et francophones savent parfaitement que je suis innocent des​ attentats sanglants et politiques dans le Brabant Wallon.
10.000 fois je suis descendu en flamme sur des milliers d'articles de presse et ce, de façon à mettre le maximum de crédibilité à ma culpabilité dans les crimes sanglants des Tueries et tout cela, uniquement pour protéger les véritables Tueurs du Brabant Wallon.
40 années d’enquêtes infructueuses en sont la preuve formelle de mes presentes affirmations, car les vrais Tueurs courent toujours en liberté.
EN RÉSUMÉ :
N'est-ce pas, la meilleure façon de continuer à protéger les véritables organisateurs et Tueurs du BW, en semant le trouble et la confusion dans l’esprit de l'opinion public, et ce, en continuant injustement à mentir et à m'incriminer dans les faits des Tueries du BW.
Vous ne me croyez pas, alors aller sur Google.be et internet et taper mon nom, et vous trouverez des dizaines de milliers d’articles de presse dans les journaux francophones et surtout certains médias de Flandre.
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Rien que ce petit passage de mon manuscrit démontre matériellement que pour réaliser l'ensemble des Tueries du BW, les tueurs, auront mis des mois et même, des années pour préparer leurs futurs crime de sang​ et ce, en faisant des dizaines de vol avec violences et cambriolages, vol de gilets pare-balles, bonbonnes d'acétylènes, chalumeaux, voiture, armes, ETC. et cet ensemble de préparations méticuleuses de faits délictueux serviront uniquement pour réussir à éliminer physiquement une seule personne par tueries et en aucun cas comme ils l'auront tenter de faire croire que c’était pour voler des peccadilles, bouteilles d'huile d'olive, cigarettes et bêtises absurdes correspondant à de vulgaires voleurs de poules.
40 années d’enquêtes ... judiciaires... de trucage, de mensonges, de sabotage et de fabrications de faux coupables et bouc- émissaire, pour que 40 années plus tard, les véritables coupables ne puissent et ne doivent surtout jamais être identifiés.
NE SURTOUT PAS PERDRE DE VUE QUE DURANT DES DIZAINES D'ANNÉES
D'ENQUÊTES... DES MILLIERS DE PREUVES MATÉRIELLES ET PIÈCES A CONVICTIONS DE PREMIÈRES IMPORTANCES AURONT MIRACULEUSEMENT.... DISPARUES...DES DOSSIERS D'ENQUÊTES...
En écrivant ceci, je dois vous avouez que je suis mort de rire, car malgré 40 années de magouilles judiciaires quelques enquêteurs continuent à intoxiquer les médias par
L’utilisation de certains journalistes à leurs bottes pour me noircir un maximum par
l’utilisation d'éléments d'accusation absurde n'ayant aucun tenant ou aboutissant crédible.
Malheureusement pour moi, on trouvera toujours dans la population ce genre de lecteurs à l’esprit radical, car trop simple et par conséquent qui serait capables de croire et de prendre pour argent comptant les pires rumeurs et mensonges que certains systèmes judiciaires et d'une certaine presse qui diffusent a grande pompe sur mon dos, et ce, depuis 40 ans !
J'estime être un homme d'expérience, et après 65 ans de vie, j'ai appris que les gens les plus dangereux, n'étais pas et ne seront jamais les gens intelligents ou méchants, mais uniquement les simples d'esprit, puisque totalement incapable d'analyser ou de comprendre le vrai du faux parce que cette catégorie de gens sont manifestement trop limités sur le plan de l'objectivité et par conséquent sont très bien capable de me juger coupable sans le moindre procès, et ce, simplement sur la base de rumeurs et mensonges grotesques de certains enquêteurs et médias.
Pour eux, cette certaine couche de la population, c’est-à-dire la plus ignare du pays, tout ce qui aura été écrit par les médias, c'est la pureté même, parce qu'aussi limpide que les écrits de la Sainte Bible de Notre Seigneur Jésus Christ.
40 années d'enquêtes judiciaires de tricheries abjectes et sans les moindres résultats et malgré cette évidence des faits, cette même population pour le moins ignares, tous ce qui compte ​ encore et malheureusement pour moi ce compte par centaines et après 40 années d'enquêtes judiciaires truquer !-, non encore rien compris !-, et à mon sens, ce n'est pas demain la vielle que cela risque de changer.
Alors, croyez-moi, qu'avec ce genre de lecteurs coincé du cerveau qui manifestement réagissent uniquement sur leurs émotions primitives et par conséquent, j'ai la fâcheuse impression que je ne suis pas encore sortie de l'auberge, car avec ce genre
d esprit très limiter, il tombe sous le sens qu’ils seront toujours les premiers à jeter la pierre en ne cherchant jamais à faire la différence entre le bien et le mal, car aujourd'hui en 2022, la chose la plus évidente c'est que le bien absolu c est a dire intrinsèque c’est moi, Philippe De Staerke, l'innocent des attentats dans les Tueries du BW, oui je suis le bouc émissaire qui c est battu comme un enrager !-, contre les pourries.
Pour ce qui ait du mal, c'est l'intervention multiple et partiale et aujourd'hui incontestable, de certains enquêteurs et hiérarchiques pour réussir à saboter certes, de façon très maladroitement, l’ensemble des enquêtes sur les Tueries du BW.
Seuls les Pouvoirs d'États ont les moyens d'étouffer dans l'œuf une affaire d’État.
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Les faucons planent sur l’Europe
Enquête (CC BY-NC-ND) : Philippe Engels
Publié le 26/08/2020
Tom Cochien. CC BY-NC-ND.
Bombes à Bologne et Munich, pylônes et équipements stratégiques détruits à Luxembourg, tueries sauvages autour de Bruxelles : de 1980 à 1986, l’Europe bascule dans la terreur. Et les États-Unis y obtiennent une politique mieux alignée sur leurs préoccupations sécuritaires. Jamais, à ce jour, un lien formel n’a pourtant été établi entre ces différents « attentats ».
2 août 1980, à Bologne. La gare explose et ensevelit 85 victimes. À Munich, deux mois plus tard, une bombe éclate à l’occasion d’une fête populaire. Dans la province du Brabant, en Belgique, de 1982 à 1985, des tueurs portant des masques de carnaval liquident des clients ordinaires aux abords de supermarchés. Au Luxembourg, entre le 30 mai 1984 et le 25 mars 1986, c’est un aéroport, un centre de télécommunications et des conduites électriques qui sont ciblés, sans faire de morts.
Sous une poussière accumulée durant près de quarante ans, ces dossiers sont autant d’affaires d’État. Outre le mystère qui les entoure, elles pourraient avoir un point commun : l’ombre des services secrets américains. Ont-ils laissé faire ou facilité ces agressions ? L’objectif consisterait à secouer l’opinion publique en Europe occidentale, obliger les gouvernants à serrer la barre à droite et renforcer la lutte contre la menace soviétique. Une vraie obsession dans l’état-major de l’armée américaine, à mesure que l’URSS (aujourd’hui, la Russie) développa son arsenal nucléaire.
Et si c’était « ça », la prise de contrôle des États-Unis sur la vieille Europe ? L’amorce d’une politique d’hyper-surveillance.
« La marque américaine qui semble la plus évidente : des attentats ciblés au Luxembourg comme pour l’obliger à renforcer ses frontières. »
En toute discrétion, au printemps 2014, une équipe de hauts magistrats belges a avalé les 200 kilomètres qui mènent au Grand-Duché de Luxembourg. C’était la première fois qu’une véritable réunion de travail rassemblait les enquêteurs en charge des Tueries du Brabant (28 morts) et ceux pistant les Bommeleeër, ces poseurs de bombes ayant récidivé à 17 reprises au Luxembourg. D’un côté, des braquages sanglants à l’arme lourde. De l’autre, des attaques ciblées visant manifestement à éviter la moindre victime physique. Jusque-là, ces dissemblances manifestes avaient incité la justice des deux voisins à perpétuer les habitudes : chacun chez soi. Mais il y a six ans, donc, la sixième juge d’instruction « dépêchée » sur les traces des tueurs masqués dits « du Brabant », l’Hennuyère Martine Michel, a ravivé la piste de l’extrême droite, recentré l’enquête sur un possible mobile terroriste et poussé l’investigation sur les connexions américaines de plusieurs suspects au passé néonazi.
Qu’est-il advenu de ces échanges entre magistrats belges et luxembourgeois ? Rien. Même chose qu’en 1998 quand les prédécesseurs de la juge Michel s’étaient rendus en Italie avec la même intention (lire l’épisode 1). Pas de suivi. Aucune coopération judiciaire véritable à propos de ces mystérieuses « années de plomb ».
L’agent « américain » Joël Lhost
Pourtant, les indices d’une implication américaine n’ont pas manqué. Il y a cinq ans, Martine Michel et ses enquêteurs ont notamment tenté d’authentifier le témoignage précis, émanant d’un ancien agent des services de renseignement. Son nom est inconnu du grand public, car le dossier des Tueries n’intéresse plus qu’une poignée de fanatiques et quelques journalistes : l’ex-agent Joël Lhost vit reclus, menacé, caché en France pour éviter les mauvais coups. Il est certain aujourd’hui qu’à l’époque des Tueries, Lhost travaillait pour la Sûreté de l’État belge (les renseignements civils) et le SDRA-8 (l’équivalent militaire de la Sûreté). Mais aussi et surtout… pour la DIA (les services secrets de l’armée américaine).
Audition Lhost 8 juillet 2014.jpg
Audition de l’ex-agent des services de renseignements Joël Lhost, le 8 juillet 2014, par la Cellule d’enquête en charge des Tueries du Brabant. Dans cet extrait, il y parle d’une reconnaissance de parcours, le 27 septembre 1985, établit un lien avec les tueries du même jour et estime que la mission lui a été confiée par un officier américain (le « colonel Cassidy ») que lui a présenté un officier belge (le colonel Remy/Ulens, membre du SDRA.8, le renseignement militaire).
Cassidy Shape.jpg
Le colonel John Cassidy, tel qu’identifié par l’agent Lhost, sur cette photo du Shape, à Mons.
Code vert pour Chièvres
La justice belge n’a trouvé aucune raison de contester les déclarations détaillées de l’agent secret Joël Lhost quant à la journée spéciale du 27 septembre 1985. Vers 10 heures du matin, il aurait réceptionné une mallette contenant un ordre de mission et un émetteur de radio. Il s’agissait de surveiller une route menant à l’aéroport militaire de Chièvres (au nord-ouest de Mons), occupé par l’armée américaine. Aucune présence policière ? Il devait délivrer un code vert. Si la voie n’était pas libre, taper bleu. Le « go ! » fut envoyé entre 21h30 et 22 heures. Ce qui correspond pile poil au timing des Tueurs du Brabant, dont il est tout aussi certain qu’ils venaient de braquer les magasins Delhaize de Braine-l’Alleud puis d’Overijse, à 80 kilomètres de là. Huit morts en quelques minutes. De l’ultra-violent. À l’image d’un commando militaire, ont convenu tous les témoins.
À son insu, l’agent secret aurait-il ouvert la voie aux assassins, qui se sont volatilisés ce soir-là ? Ont-ils été exfiltrés par les airs, via cet aéroport de Chièvres où tout plan de vol est « secret defense » ? L’enquête judiciaire a révélé que la fameuse mission du 27 septembre 1985 aurait été confiée à l’agent secret par un officier de… la DIA (l’équivalent militaire de la CIA, les services secrets américains). Lors d’une confrontation, il y a cinq ans, c’est ce qu’a sous-entendu aux enquêteurs l’ancien employeur de Lhost, le colonel Rémy Ulens, travaillant pour le SDRA-8.
Le vrai donneur d’ordre pour cette mission spéciale de 1985, à Chièvres, aurait travaillé à l’époque pour le Shape, le QG européen des forces alliées : l’officier belge Ulens a confirmé aux enquêteurs ce qu’a toujours affirmé l’agent Lhost, à savoir que les ordres venaient de plus haut.
Le Shape ? Basé à Mons, il est l’équivalent de l’OTAN, mais pour toute opération militaire. Aujourd’hui, l’énigmatique donneur d’ordre américain du 27 septembre 1985 n’a toujours pas été retrouvé et la justice belge a décidément renoncé à touiller dans ces eaux troubles.
LES PV QUI BRÛLENT LES DOIGTS
Audition de Lhost
Médor publie ci-dessous une partie des auditions judiciaires de l’agent secret Joël Lhost. Celui-ci affirme notamment qu’il a rempli une mission s’apparentant à un coup de pouce aux Tueurs du Brabant, le 27 septembre 1985, jour de l’avant-dernière tuerie. La justice belge dit avoir tout fait pour isoler le commanditaire de cette mission. Tout converge vers un officier américain de la DIA. Son nom ? Cassidy. Là, c’est le black-out.
Confrontation avec l’officier belge Remy Ulens
Le 30 mars 2015, les enquêteurs belges donnent du crédit aux déclarations de l’agent Joël Lhost. Le 17 avril 2015, ils vont le confronter à son officier traitant au SDRA-8 (les services de renseignements de l’armée, tels qu’ils se nommaient à l’époque). Lhost pense que cet officier se nomme « le colonel Remy ». Sa vraie identité semble être « Remy Ulens ». Il y est question des missions confiées à Lhost par la Sûreté de l’État (SE), le SDRA-8 ou la DIA (les renseignements militaires de l’armée américaine). Selon Lhost, les ordres venaient du « colonel Cassidy », de la DIA, qui n’a jamais été retrouvé.
L’étouffoir
La thèse d’une implication américaine dans les Tueries du Brabant a agité les esprits autant qu’elle a divisé. Jusqu’à son dernier souffle, en avril 2015, l’avocat des victimes Michel Graindorge aura plaidé pour qu’on explore cette thèse. Voici ce qu’il nous répétait juste avant son décès : « Vous trouvez normal, vous, que ni par la voie officielle ni par un quelconque autre canal, les États-Unis n’ont jamais apporté la moindre collaboration à la justice belge, alors que la Belgique était à feu et à sang et que l’OTAN ou le Shape auraient pu être visés par les attaques terroristes des Tueurs du Brabant ? » Comme plusieurs acteurs ou témoins, l’avocat Graindorge a toujours estimé que ces Tueries résultaient d’une volonté terroriste de bousculer l’’État, que l’extrême droite était à la barre et que la CIA ou la DIA ont manipulé des fanatiques néofascistes.
« Dès qu’on s’approche de la vérité, cela bloque. » Pourquoi un tel fatalisme ?
Il y a deux ans, quand ils étaient encore à la supervision de l’enquête, les procureurs généraux Christian De Valkeneer et Ignacio Della Serna nous ont indiqué ceci : « Dans cette investigation à rallonge, dès qu’on s’approche de la vérité et du mobile d’extrême-droite, on a l’impression qu’il existe des forces occultes pour s’en écarter. »
En Italie, où les premiers attentats avaient commencé à la fin des années 1960, des tribunaux ont récemment permis de percer une part du mystère. La surprise pourrait venir de là : petit à petit, les Italiens découvrent à quel point leurs services secrets, des formations d’extrême droite et l’œil de Washington ont regardé dans la même direction (lire l’épisode 3, demain).
Au Luxembourg, le procès des poseurs de bombes (les Bommeleeër) s’est arrêté net il y a six ans, en juillet 2014. Du jamais vu au Grand-Duché ! Deux présumés coupables, des gendarmes sans grade, ont manifestement empoisonné la vie politique et compromis la réputation du gouvernement luxembourgeois de l’époque en mettant en cause les services secrets. À la barre ou dans les médias, les avocats des deux gendarmes, Gaston Vogel et Lydie Lorang, ont ouvertement mouillé les services de renseignement américains. Et le procès a été ajourné sans fixer de délai.
Le patron de la Sûreté a « oublié » les noms
Au début des années 1980, l’Europe s’imaginait libérée du duel à distance entre l’allié américain et l’URSS à bout de souffle. Mais Washington avait d’autres projets pour les petits cousins européens, qui pouvaient faire office de premiers remparts contre le communisme et les chars de l’armée rouge. Des déclarations d’officiels américains indiquent qu’à l’époque, les USA ont testé la capacité de résistance de tous leurs partenaires d’Europe occidentale. Ils ont pu favoriser ou laisser faire des attentats perçus comme autant de signaux d’alerte : les forces de l’ordre, en Europe, n’étaient pas organisées pour contrer une menace sérieuse. Cela paraît insensé près de quarante ans plus tard, mais les faucons entourant le président Ronald Reagan voulaient être sûrs que le Luxembourg, la Belgique ou même l’Italie et l’Allemagne pourraient faire barrage en cas d’invasion de la Pologne, par exemple.
« Le réseau Gladio est resté un mystère. Il était contrôlé par les USA. »
Outre les moyens diplomatiques classiques, la sensibilisation d’officiers de la gendarmerie ou de l’armée ainsi que l’infiltration de groupes radicaux souvent d’extrême droite, les États-Unis disposaient d’une armée secrète qui a fait couler beaucoup d’encre : le réseau « Stay Behind » ou « Gladio » a fonctionné jusqu’au début des années 1990. Il était composé des résistants de la première heure. Des militaires, le plus souvent, formés pour espionner et chargés d’organiser la contre-offensive en cas d’occupation de l’Europe par l’Union soviétique.
En 1991, à l’occasion d’une commission d’enquête parlementaire, la Belgique politique et médiatique exigea des patrons de la Sûreté de l’État et du SDRA-8, Albert Raes et Bernard Legrand, qu’ils donnent les noms des 52 membres belges du Gladio. L’idée était de confronter ces noms à la liste des suspects dans le dossier des Tueries du Brabant. Le lieutenant-colonel Legrand estima qu’il fallait protéger l’identité de ces soldats clandestins. Albert Raes affirma qu’il avait oublié les noms.
Fin de cet article de presse
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Malin comme un singe… un billet égyptien d’Audrey
Pour les plus de 16 ans et les adultes
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Louxor, Égypte Haut-relief du socle d’un obélisque du temple de Louxor : babouins Vers 1279-1213 avant J.-C. Granit rose Paris, musée du Louvre
https://www.louvrelens.fr/work/haut-relief-socle-dun-obelisque-temple-de-louxor-babouins/
© RMN-GP (musée du Louvre) / Christian Decamps
L’Egypte à Paris !
14h30, le 25 octobre 1836, 200 000 Parisiens applaudissent : l’obélisque de Louxor se tient droit sur la place de la Concorde. Le roi Louis-Philippe apparaît sur le balcon de l’hôtel de la Marine. Il peut souffler : ses ingénieurs ont réussi à ramener cet immense bloc de granit rose de plus de 230 tonnes et à le dresser sur la place. Et surtout, à réussir cet exploit avant la Grande-Bretagne ! 
Mais savez-vous comment cet obélisque s’est retrouvé là ? Il faut remonter un peu plus loin dans le temps...
En 1828, Jean-François Champollion est en Egypte. Celui qui a retrouvé la traduction des hiéroglyphes a une mission bien précise : sélectionner des antiquités égyptiennes susceptibles de pouvoir être ramenées en France. En effet, les Français de l’époque sont fascinés par ces objets tandis que le pouvoir égyptien les utilisent comme cadeaux diplomatiques. 
Jean-François Champollion a alors une idée en tête : ramener en France les deux obélisques de Louxor et les sculptures de babouins qui les accompagnent. Mais alors qu’il expose cette idée au pacha Méhémet Ali, ce dernier lui confie un problème : ces obélisques sont promis aux Britanniques. 
Champollion ne veut pas céder si facilement… Il suggère au pacha que la Grande-Bretagne serait probablement heureuse d’avoir des obélisques plus grands que ceux des Français… Ceux de Karnak par exemple ? Méhémet Ali trouve l’idée pertinente et modifie l’arrangement : les Britanniques auront les obélisques de Karnak et les Français ceux de Louxor. 
Bien sûr, la proposition de Champollion est loin d’être innocente : les obélisques de Karnak ne sont pas déplaçables !
Pour ramener un obélisque et ses babouins, une péniche à voile capable de traverser deux mers, un océan et deux fleuves est construite : le Louxor. Depuis sa construction jusqu’à l’érection de l’obélisque sur la place de la Concorde, il aura fallu cinq longues années de labeur. 
Mais si l’obélisque s’élève fièrement sur la place, qu’en est-il des babouins qui l’accompagnaient? Dès leur arrivée à Paris, les babouins furent immédiatement enfermés au Louvre. La raison ? Leurs attributs virils choquaient les Parisiens de l’époque !  
Aujourd’hui, les babouins sont fièrement exposés dans la Galerie du Temps, et ils font même l’objet d’un record : avec leur 5 700 kg, ils sont l’œuvre la plus lourde exposée au musée!
Compte-tenu de la difficulté de l’opération, des moyens techniques à mettre en place et du coût de la manœuvre, le deuxième obélisque de Louxor ne viendra jamais en France et sera officiellement restitué à l’Egypte en 1981. 
Et Champollion dans tout ça ? Mort en 1832 de la maladie du Nil, il n’aura pas pu prendre part à cet exploit. Mais toujours est-il que nous pouvons affirmer qu’il a été malin comme un singe !
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plumedepoete · 5 years
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  ou L'HOMME  AUX YEUX DE LAPIN       Je n'ai jamais su son nom de famille, les Manouches le surnommaient  «HAZO YAK » l'homme aux yeux de lapin.     Alors que j'exploitais un com­merce de récupération de métaux, son beau-frère « Bougodon », un beau jour a débarqué, et me l'a fourré dans les pattes.     «Je te présente mon beau frère, il a quelque chose à te demander».     Le garçon devait  être âgé de 18 à 20 ans, mesurant 1,70 mètre, maigre, portant un pantalon de costume sombre rayé,   une che­mise qui, autre fois, a été blanche, un gilet de costume et... pas de chaussures.     Ses cheveux, noirs de geai, tombaient sur ses épaules. Sa  figure basanée en lame de couteau était disgracieuse, et pour arranger le tableau, un nez aquilin et des dents plantées dans le désordre n'étaient pas ce que j'appellerais, des atouts pour plaire.     Lorsqu’il s'exprimait avec difficulté, dans un français de base, il tournait la tête de biais. La nature lui ayant offert un dernier cadeau, il  ne pouvait voir de face la personne à qui il s'adressait.      Il est planté devant moi, la gueule de travers et il m'observe.     «Il va se marier et a besoin de lovés, tu veux  pas lui donner du travail».     Que sait-il faire? : «Chépas mon Philippe, t'as vu, nous on est des trimards !, mais si tu veux, après, il te prêtera sa femme!».     Mon interlocuteur est sérieux. Depuis plusieurs années je côtoie cette famille, et fort d'une certaine expérience, nous nous estimons. C'est très rare chez les Manouches.      Ce sont ce que j’ap­pellerai des hommes des bois, des «  Schwartz » des noirs, tant leur peau est cuivrée et sombre .     Leur mode de vie est rudimentaire et près de la nature. Habitués à la rudesse de la vie,  en proie au ra­cisme, pauvres parmi les pauvres, ils sont victimes de leur aspect et des moqueries d'autres groupes des gens du voyage.     Ils sont, en définitif,  le bas de l'échelle de ce cirque humain qui, il y a des siècles, a jeté sur les routes de l'Europe des peuples de nomades. Plusieurs vivent ou végètent dans des voitures, en compagnie de leur épouse et de leurs enfants, c'est leur seule résidence.     Ils venaient régulièrement vendre des métaux, de la ferraille et de la brocante. Petit à petit nous avons établi des règles entre nous qui n'ont jamais été transgressées.     Mon épouse apportait une aide très appréciable dans l'établissement de dossiers administratifs entre autres.     Lorsqu'ils travaillaient pour moi, je les nourrissais et les hébergeais. Quand nous brûlions le cuivre, la chaleur était telle qu''ils se met­taient torse nu même en plein hiver.     À la fin de la journée avait lieu la cérémonie du «Jourdain».     Un ruisseau, qui servait de réserve de pêche, bordait la propriété. Ils s'en servaient pour se laver, se frottant le corps avec des berlingots d'eau de javel. Le noir de fumée partait dans l'eau et par consé­quence le chlore aussi, nous repêchions les truites qui flottaient au fil de l'eau. Le soir c'était festin.     Un jour Bougodon était venu m'emprunter  une fourgonnette, la sienne étant tombée entre les mains de la maréchaussée.     A ce propos, force est de constater que la Gendarmerie a fait  preuve de beaucoup de tolérance dans les rapports entretenus avec la communauté des Gens du Voyage.     Il est vrai que nous étions dans les années 1980, et en Auvergne.     Le lendemain, en début d’après midi, une patrouille de Gendarmes de la localité voisine s'est présentée chez moi.     Notre ami avait été contrôlé au volant de ma fourgonnette, des traces de sang avaient aspergé le tableau de bord.     Suite à mes explica­tions pour le moins foireuses,  les anges de la route sont repartis, convaincus que je devais  être un sacré menteur, mais il n'y avait pas eu de suite.     Rapidement je me suis rendu à leur campement, et là, j'ai pris conscience du service que je ve­nais de rendre à cette famille. Le père du Bougodon était mort la veille dans ma voiture. Du sang maculait le siège et le tableau de bord du véhicule.     Le soir même, un nouveau siège et un tableau de bord étaient installés par un des membres de cette famille. Dès lors, il y eu un respect et une confiance qui se sont installés entre nous. Lorsqu'un coup louche se préparait, ou qu'une arnaque m'était présentée, j'étais prévenu, et les auteurs étaient écartés de mon chemin parfois rudement     A ce jour je n'ai jamais révélé,  et ne révélerai jamais ce qui s'est  déroulé, concernant la mort de cet homme. Cela restera notre secret.     Son père trimbalait encore sa famille dans deux « verdines » tirées par les chevaux.  Il était de la vieille époque, et lorsque je partageais des moments en leur compagnie, je retournais au moyen âge, inconscient alors de vivre des instants magiques. Les membres de sa famille suivaient  ses déplace­ments en voiture, attendant que les chevaux veuillent bien finir de brouter l'herbe du fossé, ou qu'ils terminent enfin de grimper une des côtes nombreuses sur les routes d'Auvergne.     Dans les descentes trop rapides, un pneu de voiture, attaché à une corde et solidement amarrée au châssis de  la roulotte, servait de frein pour ralentir la course de l'attelage, les enfants s'asseyaient dessus.     Pas de moulin à café électrique, le fameux trépied avec la marmite lui servait de gamelle univer­selle, les fioles contenant je ne sais quelles potions, pendaient accrochées au mur de son habitation, rien que des images d’Épinal et du décorum cinématographique.     Le personnage collait à la description, les us et coutumes étaient strictement appliqués, et aucun de ses enfants n’auraient imaginé ou osé transgresser l'autorité paternelle. L'alcool faisait des ravages dans ce milieu, causant des dégâts irréversibles sur l'avenir de cette famille, marquant les hommes tout comme les femmes.  La consanguinité était un fléau.     Mon récit n'est pas le témoignage d'un voyeur,  il est rempli de tristesse car la déchéance de tout être humain est pour moi une réelle déchirure, surtout quand j'assiste  impuissant au malheur des autres.     Ainsi un soir, après avoir passé une dure semaine durant laquelle j'avais embauché Bou­godon et deux autres manœuvres, je me suis rendu chez eux pour leur porter le «  salaire de la peur ».     En chemin j'avais acheté de quoi boire et manger,  la soirée s'est terminée bien arrosée. Le père après avoir in­gurgité une bouteille de Cognac à lui tout seul a cru bon, pour me remercier, de m’offrir un agréable moment en compagnie de sa fille aînée Sonia.     Elle avait dix huit ans, et scandale, elle était encore céliba­taire et surtout sans enfant.     Mes refus et remerciements commençaient sérieusement à offenser le pater, et  je voyais que la situation allait dégénérer. Il parlait de fusil, de malheur, de manque de savoir-vivre, tout s'est très vite emballé et je me suis retrouvé dans la roulotte en compagnie de mon cadeau, qui comme moi, ne trou­vait aucun intérêt à la chose.     Plusieurs jeunes enfants dormaient pêle-mêle dans le lit et sur le plan­cher.     D'un commun accord, nous avons passé un moment dans cet abri nuptial, secouant la verdine pour lui donner du mouvement, réveillant les mômes qui, étonnés de nous voir,  restaient  les yeux écarquillés.     Le subterfuge ayant fonctionné, à notre sortie, j'ai vu le père écroulé sous une couver­ture, qui ronflait de bien être. L'honneur était sauf pour les deux parties...merci  mademoiselle.     J'en reviens au début de mon récit :     «..Il veut me prêter sa femme, mais je rêve, c'est ta sœur ».. »     « ova mon Philippe elle a 16 ans».     Je coupais court à toutes transactions, et lui donnais rendez-vous pour la fin de la semaine, ce qui est complètement abstrait et sans aucune valeur pour ces fils du vent.     Les jours, les horaires, les rendez vous... que des futilités, le temps n'existe pas, les engage­ments, les contrats ne sont que des paroles de gadgés.  « tu viendras demain, tu me rendras mon ou­til, tu m’amèneras  chez tel gadjo pour faire du commerce ?....bien sûr... si Dieu le veut...et si le vent n'a pas soufflé trop fort»     Les chiens menaient un sacré tapage en cette nuit d'orage, ils se jetaient sur le portail et couraient comme des fous le long du mur clôturant le chemin de terre menant à ma casse automobile.  Les éclairs illuminaient cette nuit, je suis sorti à plusieurs reprises avec la lampe torche.     Éclairée par les zébrures de l'orage, j'ai aperçu tout au fond du chemin, une forme sombre qui lentement s'avançait. Le temps de démarrer le groupe électrogène, le chantier s'est éclairé laissant apercevoir une roulotte hippomobile tirée par une rossinante qui brinquebalait, agitée par les rafales de vent     L'homme aux yeux de lapin arrivait avec femme et bagages pour s'installer sur mon chantier.     Comme il se faisait tard, son cheval a été lâché dans la parcelle de maïs du voisin « pauvre grail, il avait la bockeless» ( pauvre cheval il avait faim).     La roulotte, quant à elle, est restée posée sur le chemin surplombant la propriété. Ses occupants ont été logés pour la nuit dans une des nombreuses caravanes se trouvant en résidence sur le terrain.     Bien m'en a pris car, dans la nuit, une violente bourrasque a basculé la roulotte vide dans le fos­sé.     Au petit matin, nous voilà en présence des  nouveaux locataires. La roulotte a été remise sur roues,.     Le cheval est rassasié, les traces de son passage dans les cultures en disent long sur la fin de son jeûne.     Rassemblés devant un pot de café fumant, nous faisons connaissance du  futur «employé», d'une jeune adolescente, de sa petite sœur  accompagnée d' un bébé. A vrai dire, je ne sais à qui ap­partient cet enfant, tant il est différent d'aspect. Il est beau, blond.     Ma sainte femme est  mise rapidement à contribution, faisant la toilette du poupon, enseignant à cette hypothétique jeune maman comment s'occuper d'un nouveau né.     Elle et sa jeune sœur tombent des nues.  Ponctuées par des expressions sonores, elles découvrent une vie différente, s'ex­clamant sur le fait de déjeuner le matin, de faire la toilette, de ne pas se prendre de coups par son conjoint, de monter une mayonnaise, de faire une purée, de ne pas mettre de l'alcool dans les bibe­rons pour que le bébé s'endorme plus vite, et tant d’autres moments forts de la vie d'une ménagère !     Il n'y a là aucune exagération de ma part. Dans certaines familles le rôle de la femme se ré­sume à une vie de bête.     Elles ne sont là que pour être des esclaves au service d'un ou de plusieurs hommes, et pour procréer.     L'avenir va, par ailleurs, confirmer l'opinion que j'ai sur les us et coutumes de cette famille.     Quelques jours se sont écoulés depuis le départ « de la tribu prophétique» .   Je me suis rendu à leur campement pour régler une affaire. Grosse effervescence dans cette ruche où, si tu ne prends pas garde, tu es attaqué par les guêpes ; bien sûr très imagée, cette comparaison, mais très proche de la réalité.  Leur unique moyen de faire entrer de l'argent c'est le commerce et le troc, et là, j'ai vu de tout.     La misère t'apprendra tout... trop  (paroles de Gitan)     Ce que je vais vous rapporter est entièrement vrai, et dépasse  les limites du raisonnable.     Un attroupement d' une dizaine d'hommes s'est formé au cul d'une BMW rutilante, de couleur noire.     Celui qui semble en être le conducteur est négligemment appuyé contre l'intérieur de la por­tière ouverte, avant gauche, le moteur tourne au ralenti, prêt à partir.     La malle arrière est grande ouverte, dans le coffre je distingue trois petites valises. Dans leur écrin de velours noir,  apparaît une collection de montres de grande valeur me semble t il.     Le deuxième homme, sapé comme un milord, porte beau. Grand brun, de carrure imposante, ses deux mains sont ornées de nombreuses bagues en or, représentant une tour Eiffel, un fer à cheval, une tête de lion et d'autres motifs tous aussi proéminent, ayant deux buts : celui d'impressionner et de faire très mal en cas de bagarre.     Les discutions vont bon train et me donnent le loisirs d'approcher sans que personne ne me re­marque. Bougodon me capte du coin de l'œil, il me fait signe de me taire et pour me «fondre» dans ce groupe m'adresse quelques mots dans sa langue maternelle... et paternelle.     «jalla phral itsa, came te pilles birra ? ( ça va frère il fait chaud, tu veux boire une bière?)     «ova, iman douye birra drein wagi ape ky (bien sûr, j'ai deux bières dans la voiture tu viens?)     La conversation n'a pas échappé au «vendeur à la sauvette» qui, me montrant du doigt, de­mande «kouni kava» (qui est-ce) Avant que quelqu'un ne réponde, je m'adresse à lui «kichi bicraves le» (combien tu les vends ).  Ouf ! Nous parlons la même langue. Des informations se font entendre dans le groupe: « ilo Philippe, le chiffonnier, il rachète tout, c'est un homme, un voyageur... ».     Mais à ce moment précis, l'homme aux yeux de lapin, caché par le groupe, apparaît.      Il porte au poignet droit, trois superbes montres d'homme, rendant jaloux le poignet gauche qui, pourtant, en porte autant.     Six montres pour un garçon qui ne sait pas lire et ni écrire, voilà de quoi occuper ses longues journées.     Après quelques mots rapides, le coffre est refermé.  J’aperçois sur la banquette arrière une jeune fille qui gesticule et que le vendeur calme d'une magistrale paire de gifles.     Dans un nuage de poussière, la voiture et son contenu disparaît, laissant là le groupe  qui ne dit mot.     Venant vers moi, me serrant dans ses bras pour me dire bonjour il me dit :  « mon beau-frère vient d'échanger sa femme contre six montres! il est fou, quant l'homme (l'acheteur) verra que ma sœur est enceinte il voudra reprendre ses montres ! Quelle histoire ça va faire»     La fin de cette aventure tragi-comique est rocambolesque. Le bébé du couple a été recueilli  par une des femmes de la famille qui  ne pouvait avoir d'enfant et qui deviendra sa mère de façon tout à fait illégitime. Certains actes de naissance ont été arrangés pour le plus grand bien de tous, je le reconnais, de façon illégale... mais parfois, seul le résultat compte.     La jeune femme, alors âgée de seize ans, a été livrée à la prostitution dans la périphérie de Lyon.  Trois mois plus tard alors qu'elle venait d'être vendue à un réseau de prostitution, elle s'est échappée parcourant le chemin du retour en  trois semaines. Son acheteur a été confondu entre temps, pour le casse de la bijouterie dans laquelle il avait dérobé les montres.  Happy-end me direz-vous.     Ce benêt d' œil de lapin s'est fait voler les montres, sa femme a été récupéré par un jeune ma­nouche, avec qui elle ne tarda pas d'avoir plusieurs enfants.  Quant au héros de cette épopée, je ne sais ce qu'il est devenu, enfin je le prétends.     Les acteurs de ce théâtre ambulant de la comédie de la vie ont été nombreux. Chacun a joué un acte, une scène, puis après avoir fait trois petits tours sont repartis dans ce tourbillon de la vie...   ©Philippe X - 02/03/2020  
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claudehenrion · 5 years
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Ça va s'arranger, jusque dans les détails...                                   Mais ce serait à partir de 2065 environ. Pour le moment.
  Devant le nombre des demandes, il est inutile d'essayer de me ''défiler'' : lorsqu'un événement heurte de plein fouet autant de monde que ce qui se passe ces jours-ci, il FAUT (même si ça ne suffit pas !) en parler. Je m'exécute donc...  en faisant un emprunt à l'Ecclésiaste (étym. :  hébreu קהלת Qohelet, ''celui qui parle à la foule''), un livre de la Bible hébraïque, riche en mises en garde morales (dont le cruel Vanité des vanités... tout est vanité), et en conseils politiques tels que cet avertissement, qui est terrible pour nous : ''Malheur à la cité dont le prince est un enfant...''.
  Ces mots terribles traduisent l'idée, que chacun peut vérifier empiriquement, qu’un enfant est dangereux de par son rapport à la vie, qui est, comme lui, à l’opposé de la raison : l’enfant ne se maîtrise pas, et ne cherche pas à le faire d'ailleurs, et il est difficile à contrôler... Dépendant de ses passions et du principe de plaisir (ce que Freud définit comme ''pervers polymorphe''), il est la figure même de l’aléatoire. Héraclite comparait la logique d’un enfant à celle, hypothétique, du cosmos, idée qui a été reprise par Renan (dans ''Qohelet'') et par Nietzsche  (dans ''Ainsi parlait Zarathoustra''). J'ai toujours été frappé par la clairvoyance de ces recommandations (émises entre le XI ème et le III ème siècles av JC) pour tous les hommes à venir : on pourrait presque penser qu'elles ont été écrites pour nous, français de 2019...
  Car c'est entre 7 et 800 000 manifestants officiels (on peut donc dire le double, sans grand risque de se tromper) qui ont battu le pavé le jeudi 5 décembre, soit plus de deux fois le chiffre que le Pouvoir s'apprêtait à rendre public (NDLR : sous Hollande, à cause de l'immensité des ''manifs pour tous'' contre les dérives taubiresques, la Place Beauvau a pris l'habitude de ''fixer'' à l'avance le chiffre des manifestants qui allait être annoncé comme ''résultat de comptages''). Mais la différence est telle que même un Tonton Cristobal n'a pas osé sortir ses gros mensonges, d’autant plus que tout le monde a remarqué que cette ''manif'' ''contre la réforme des retraites'', a tourné en ''référendum populaire contre Macron''. En disant cela, je ne suis pas séditieux : je raconte les slogans et les pancartes.
  Nul doute que les syndicats, qu'on donnait pour morts, vont ''pousser'' cet avantage inespéré et se venger des ''Gilets jaunes'' : pour les cheminots, c'est 86% de conducteurs grévistes, soit 10 points de plus qu’au pic des manifs contre la réforme de la SNCF, l’an dernier. Quant aux traminots, ils ont déjà reconduit le mouvement : quand on aime, on ne compte pas ! Pour les syndicats, la pression est au maximum, et pour les usagers, les transports sont au minimum. On imagine mal le coût pour l'économie française, déjà si mal en point... Et pour changer, notre gouvernement réagit comme il ne devrait pas. C’est pathologique, cette habitude !
  On distingue habituellement plusieurs types de ''pensée''. Tout d'abord et un peu ''hors épure'', une pensée dite ''irrationnelle'', qui n'est pas à ranger dans''les bonnes pratiques''. Mais comme elle inclut ''le sentimental'' et ''l'émotionnel'', elle a été chauffée à blanc, en France macronienne, au point d'être LE responsable principal de la paralysie politique ambiante où l'action est remplacée par des cérémonies aux Invalides,  des ''marches blanches'', et des célébrations ''propter maximam gloriam Macronis''... En réalité, ce n'est pas une ''pensée'', mais une réaction épidermique qui, de ''anecdotique'', est devenue ''fondamentale'' dans la France de 2019.
  En dehors de cette anomalie omniprésente, il est habituel, en sciences comportementales et en neurosciences, de distinguer quatre ''types de pensée'', très différents l'un de l'autre dans leur origine, leurs modalités, leur ''déroulé'' et leurs conséquences : une pensée immédiate, tout d'abord, qui est au niveau de l'instantané et de l'arc réflexe de la réaction. Puis une pensée ''tactique'' (dont les objectifs se situent entre un et 18 mois), et une pensée dite ''stratégique'' (entre 18 mois et 5 ans environ). Et pour finir, une pensée ''politique'' (à partir de 5 ans, jusqu'à... quand il faut, selon les problèmes). Or le drame (car c'en est un, au plein sens du terme !) de la mandature actuelle est que les deux dernières façons d'envisager l'action se sont ratatinées dans la première... elle-même phagocytée, nous l'avons dit, par l'irrationnel, l'instantané, l'anecdotique (même quand il est tragique), la réaction, et des émotions que j'oserai qualifier de ''primaires''.
  L'actualité offre bien des exemples de cette confusion entre ce qui est tactique, ce qui devrait être stratégique et ce qui ressortit du politique : tout est ramené au stade élémentaire de calculs médiatiques (NDLR : il se dit, dans ''les milieux bien informés'', que le Pouvoir actuel serait fasciné par ''la Comm' et les communicants'', à en être prisonnier. Et pourtant, il n’est pas doué, on le constate).   La crise des gilets jaunes et l’actuelle, dite ''des retraites'', ont été largement dues à la myopie-par-principe d'un Pouvoir qui refuse de discuter des sujets qui fâchent... dans l'attente de savoir l'étendue de la contestation et de la mauvaise humeur.   Et à chaque fois, il réalise qu'il était urgent de ne pas attendre, Mais c’est trop tard !
  Quand, au lendemain d'une manifestation immense (et de l'annonce de nouvelles grèves et de nouvelles journées de rapports de forces), la seule réponse est ''il reste des marges de négociations'' (d’après Sibeth Ndiaye, la ''porte-bobards'' du Gouvernement), ou ''je donnerai (enfin ! NDLR) les détails de la réforme vers le milieu de la semaine prochaine'' (dixit Edouard Philippe), il existe un mot pour parler d’un gros échec en voie de formation : ''Après l'heure, c'est plus l'heure'' !
  Ce qui est dramatique, aussi, c'est qu'une réforme est indiscutablement nécessaire : tout le monde sait que le système actuel n'est pas viable, à terme proche. Oui, mais voilà ''la ville dont le Prince est un enfant'' ne connaît que des solutions uniques, donc simplistes, verticales à en mourir (et elles en meurent !), du genre ''je ne veux voir qu'une seule tête'' ! C'est étrange :  ce Président qui n'a pas fait de Service militaire et qui ne sait rien de rien de la ''chose militaire'' (même pas se tenir au ''garde- à-vous'' !) n’imagine que des solutions militaro-courtelinesques !
  Nous voilà donc (mal) partis pour une solution universelle à un problème polymorphe : une même retraite, calculée de la même manière pour un ''start-upper'' et un manœuvre du bâtiment, pour un ''rond de cuir'' promu à l'ancienneté et un agriculteur soumis aux aléas de la météo, pour un cadre sup qui ne compte ni ses jours ni ses heures et un intermittent du spectacle, pour un marin-pêcheur ou un lieutenant au Mali et un agent ''ancien statut'' de la SNCF ou de la RATP... Loin de l'égalité annoncée, c'est ''une usine à gaz universelle'' mais vide de sens !         Et de plus, toujours à cause de son idée fixe d'une ''politique-stratégie qui n'est que de la tactique et de la comm'', le gouvernement se tait, temporise, lance des ballons d'essai et attend de voir jusqu'où ''ils'' vont râler... Valeur du point, carrières longues, maternités, maladies, accidents de la vie ? ''Votons-la loi d'abord, et vous verrez bien, ensuite'' ! Comment des gens normaux ne ''baliseraient''-ils pas ?
  Le risque (qui n'en est plus un : c'est une certitude), c'est que nos ''faux durs/vrais mous'' qui promettent qu'ils ''ne céderont sur RRRRien'' (mot favori des deux têtes de l'exécutif) avalent leur chapeau et repoussent des décisions qui ne peuvent pas attendre... à 2065, autant dire aux calendes grecques. Sauf que... lors des terribles crises de 2009, j’envisageais déjà pour nous un possible destin ''à la grecque'',..
H-Cl.
PS : hier encore, grande nouvelle (prévisible, mais redoutée plus qu'attendue) : l'OCDE annonce que la France reste le pays où le taux de prélèvements obligatoires est le plus élevé au monde (46,1% en 2018) devant le Danemark et la Belgique, que nous avons rattrapés, puis dépassés avant de les ''semer’’, loin derrière... le tout en 2 ans et demi ! Quand je vous dis que ça s'arrange !
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christophe76460 · 2 years
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Jésus Sauve ❤️
La guerre entre Satan et Jésus-Christ (2)
Il est écrit : « L’enfant fut enlevé vers Dieu et son trône » (Apocalypse 12. 5).
Cette si petite phrase désigne à la fois la Résurrection et l’Ascension de Jésus. Aucune hésitation n’est possible à ce sujet.
La garde romaine postée près du tombeau jusqu'au troisième jour n'a pas pu empêcher la résurrection de Christ, cette manifestation éclatante de sa divinité.
En sortant triomphalement du tombeau, Christ démontrait qu'il avait définitivement gagné la bataille sur Satan, le prince de la mort, et qu'il échappait ainsi à toutes ses manœuvres.
Les versets suivants sont un hymne de triomphe à la gloire de Dieu :
« Le lendemain, qui était le jour après la préparation, les principaux sacrificateurs et les pharisiens allèrent ensemble auprès de Pilate, et dirent : Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, quand il vivait encore : Après trois jours je ressusciterai. Ordonne donc que le sépulcre soit gardé jusqu'au troisième jour, afin que ses disciples ne viennent pas dérober le corps, et dire au peuple : Il est ressuscité des morts. Cette dernière imposture serait pire que la première. Pilate leur dit : Vous avez une garde; allez, gardez-le comme vous l'entendrez. Ils s'en allèrent, et s'assurèrent du sépulcre au moyen de la garde, après avoir scellé la pierre. Après le sabbat, à l'aube du premier jour de la semaine, Marie de Magdala et l'autre Marie allèrent voir le sépulcre. Et voici, il y eut un grand tremblement de terre; car un ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre, et s'assit dessus. Son aspect était comme l'éclair, et son vêtement blanc comme la neige. Les gardes tremblèrent de peur, et devinrent comme morts… Pendant qu'elles étaient en chemin, quelques hommes de la garde entrèrent dans la ville, et annoncèrent aux principaux sacrificateurs tout ce qui était arrivé. Ceux-ci, après s'être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une forte somme d'argent, en disant : Dites : Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions. Et si le gouverneur l'apprend, nous l'apaiserons, et nous vous tirerons de peine. Les soldats prirent l'argent, et suivirent les instructions qui leur furent données. Et ce bruit s'est répandu parmi les Juifs, jusqu'à ce jour » (Matthieu 27. 62-66 ; 28. 1-4, et 11-15).
Le jour de la Pentecôte, l’apôtre Pierre a proclamé avec des accents de victoire : « Dieu l'a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle » (Actes 2. 24).
Parlons enfin du grand Triomphe de Christ sur Satan, après la croix et la Résurrection :
Au mont des Oliviers, le diable n'a pas pu empêcher l'Ascension de Christ : « Et son enfant [l’enfant de la femme, l’enfant d’Israël] fut enlevé vers Dieu et vers son trône » (Apocalypse 12 : 5b).
Par sa mort et sa résurrection, Christ a donc vaincu le prince de ce monde. Jésus a dit : « Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors » (Jean 12. 31).
Par son ascension, toutes choses ont été mises sous ses pieds. L’apôtre Paul écrit : « Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance. Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort. » (1 Corinthiens 15. 24-26).
Satan n'est pas parvenu à dévorer le « fils mâle » qui a été « enlevé » vers Dieu, ce qui consacre sa défaite totale, sans rémission.
Le verbe grec traduit par « enlever » est « arpazo » qui signifie « enlever, ravir, saisir à la hâte, s’emparer vivement de ».
On retrouve le même verbe dans Actes 8. 39, où il est écrit : « Quand ils furent sortis de l'eau, l'Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l'eunuque ne le vit plus » ; et encore dans 1 Thessaloniciens 4. 15-17 : « Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d'après la Parole du Seigneur: nous les vivants, restés pour l'avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur ».
Nous le savons, le grand dragon rouge ne s'est pas avoué vaincu. Il s'est acharné et s’acharne à poursuivre la femme, Israël / l’Église, sachant bien que le Messie ne reviendra pas sans qu'Israël, sans que l’Église, ne soit là pour l'accueillir, et sans que Lui, le Messie, n’établisse son Trône à Jérusalem.
Dès à présent, serrons sur notre cœur les encouragements que nous donne le Seigneur Jésus dans sa Parole.
Si le diable attend pour dérober, égorger, dévorer, et détruire, Dieu a la puissance d’ « enlever » les siens de diverses manières pour les mettre à l’abri. Ce que Paul a écrit aux Corinthiens est toujours d’actualité pour tous les enfants de Dieu : « Dieu nous fait toujours triompher en Christ » (2 Corinthiens 2.14).
Grâces soient rendues à l'Eternel Dieu !
Amen !
Ousmane Sarr
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patern29 · 2 years
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Jeanneau Fantasia, la croisière confortable comme ADN
Avec le Fantasia, le chantier Jeanneau a marqué l’histoire de la plaisance. A son époque, ce voilier est presque une révolution. Retour sur un petit voilier marin et confortable pour naviguer en famille. Lorsque le chantier vendéen Jeanneau présente le Fantasia, au salon de Paris de 1981, il marque un grand coup dans la plaisance. Le Sangria commence à dater et le chantier décide de le remplacer. Dans un souci de s’adapter au mieux à un marché en pleine évolution, Jeanneau décide de faire appel à Philippe HARLE pour dessiner un véritable voilier, de croisière côtière, pour une famille de deux adultes et deux enfants.
Fantasia, un voilier innovant et toujours d’actualité
Le Fantasia, qui s'appellera, par la suite Fantasia 27, puis Sun Way 27, sera donc un des premiers voiliers à mettre de côté la course pour faire la place belle au confort en croisière. Philippe HARLE aura la lourde tâche de faire rentrer, dans moins de 8m, une cabine arrière, un cabinet de toilette, une table à carte et une cabine avant. De fait, le résulta est là et le Fantasia sera le premier voilier de grande série avec une véritable cabine arrière (des petites séries s’y étaient déjà essayées, mais sans le même confort). Pour y arriver, l’architecte sort des standards de l’époque en augmentant le franc bord et la largeur du voilier. Si le bateau semble plus pataud que ses concurrents directs comme le Kelt 7.60 ou le First 25, cette ligne sera vite reprise par les gros chantiers de l’époque avec les Gib sea 76, First 26,…
Jeanneau Fantasia, un voilier pensé pour la croisière
C’est donc un voilier avec beaucoup de volume intérieur qui sort du chantier Jeanneau. La cabine arrière peut aisément accueillir deux enfants, voir deux adultes encore maintenant (on a tous un peu grandit). La hauteur sous barrots, sous le roof est de 1.80m. Le bateau est très actuel lorsqu'on s'intéresse aux aménagements et au volume habitable. Les voiliers plus récents, comme les polonais, n’ont rien inventé. Les rangements sont suffisants pour partir un week-end à quatre, sans aucun souci. Pour une semaine, il faudra, peut-être, faire preuve d'organisation, mais c'est largement suffisant pour profiter de nos côtes, voire plus. Le bateau étant en stratifié, il y a de la place dans les coffres. Seules les finitions seront sans doute à revoir. Le vaigrage se décolle et les boiseries des premières unités demanderont d’être entretenues. Le Fantasia était proposé en 3 versions: - Une version quillard, - dériveur lesté - et biquille. La version quillard est la plus performante mais la version DL se défend très bien. La version biquille est beaucoup moins performante en vitesse et en cap. Le bateau est un bon marcheur pour son programme. Un peu moins performant que le First 25 ou le Gib sea 76, il tient très bien la mer et apprécie la brise, malgré ses rondeurs. Le bateau était proposé avec deux motorisations, In Bord ou Hors Bord, sur tableau arrière. Enfin sa construction, en stratifié comme tous les voiliers Jeanneau, est irréprochable et le bateau tient très bien le poids des années. Pour conclure, le Fantasia est un très bon bateau de croisière familiale. Il permettra à une famille de découvrir nos côtes dans un confort certains. Il est aussi capable d’aller plus loin.  Un fantasia a effectué un tour du monde, Kouros avec Alfonso PASCUAL. Il excusera les erreurs de manœuvres, sera capable d’affronter le gros temps et ne se trainera pas sous voile. N'hésitez pas à visiter le site des amoureux du Fantasia, vous y trouverez de nombreuses informations.
Fiche technique Jeanneau Fantasia
- Longueur : 7.70m. - Largeur : 2.88m. - T.E.: 1.50/0.80-1.72m. - Poids : 2400Kg ( 2500KG en DL). - Lest : 750Kg. - Voiles : 12.80m², Génois : 22.40m², Spi : 48.10m². - Moteur : HB sur chaise ou IB 10ch. Retrouvez tous nos avis bateaux Explorez nos nombreuses fiches voilier avec présentation, histoire, avis et fiche technique. Des fiches que vous ne trouverez pas ailleurs. Nos avis sur de nombreux voiliers Read the full article
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