Tumgik
#Planète SF
blogapart3bis · 3 months
Text
« Barbares », de Rich Larson
Aujourd'hui sur Blog à part – « Barbares », de Rich Larson Deux contrebandiers, un job louche, un fabuleux trésor. Barbares, la novella de Rich Larson, ne semble pas briller par son originalité. Sauf que… #ScienceFiction #Novella
Deux contrebandiers, un vaisseau qui a vu des jours meilleurs, un job louche, des commanditaires encore plus louches, un fabuleux trésor. Le moins qu’on puisse dire, c’est que Barbares, la novella de l’auteur américain Rich Larson, ne semble pas briller par son originalité. Sauf que… Sauf que la destination de toutes cette joyeuse bande (et de leurs adversaires), c’est le cadavre d’un nagevide.…
Tumblr media
View On WordPress
4 notes · View notes
jefaiscequejepeux · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
43 notes · View notes
aria-comic · 6 months
Text
Tumblr media
Chapitre 1- La désolation
4 notes · View notes
the-witcher-parks · 1 year
Video
Dalmarees
flickr
Dalmarees par The Parks Via Flickr : Dalmarees: lobo-formatted by ocular implants Indigenous, class "C" intelligence, native to the planet Teennacloock Status: Slave Property of the Great Inkiziteuze Used by Galax Central
0 notes
sporcafaccenda · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
《L’anxiété technocratique en France : les romans du Fleuve Noir « Anticipation », 1951-1960》 par Bradford Lyau Traduction de Simon Bréan
Peter RANDA
《La solution de Vandel n’est pas la plus radicale des solutions aux problèmes de la technocratie. Cet honneur revient à Peter Randa, sous le nom duquel soixante-dix-neuf titres d’« Anticipation » ont été signés par André Duquesne. Les trois romans qui se situent dans les limites chronologiques de mon étude sont tous sortis en 1960 et forment une trilogie : Survie, Baroud, et Les Frelons d’or. À chaque fois, Randa exalte, d’une manière plutôt dramatisée, les vertus d’une forme extrême d’individualisme. Le point de départ SF de la trilogie a à voir avec la modification chirurgicale de certains humains, destinée à leur permettre de vivre sur Vénus (sans retour possible sur Terre). Alors qu’ils explorent leur nouvel environnement, ces colons rencontrent une race humanoïde modifiée de la même manière, en provenance de Saturne. Ces groupes vont chacun de leur côté. Mais deux d’entre eux, un ancien Saturnien et un ancien Terrien, suivent une voie à eux. Unis par l’idée qu’ils sont tous deux des individus sans planète, ils décident d’explorer l’univers ensemble. À la fin de "Baroud", leurs voyages les ont conduits à une nouvelle forme de conscience cosmique, que Randa cerne dans ces termes :
"Il existera une mentalité de l’espace qui ne ressemblera en rien aux mentalités planétaires. (…)
"Sur chaque planète, l’évolution s’est poursuivie avec une tendance de plus en plus marquée vers la ressemblance. Dans l’espace, le contraire se produira. (…)
"Finie l’ère des collectivités où la personnalité est contrainte de s’effacer. L’espace ne peut appartenir qu’aux individualités. Le danger constant va remettre tout en haut de la hiérarchie les chefs indispensables. Périmée sur Terre, cette notion reprendra ses droits dans les étoiles où les nécessités quotidiennes ne permettront plus les longues discussions stériles. (…)
"L’hégémonie prendra une nouvelle forme. Ce ne sera plus une nation ou même une planète qui dominera, mais une race intermédiaire (…)
"Une race qui ne sera de nulle part, donc de partout." (p. 180-181)
Certaines idées ici pourraient s’entendre comme venant de Stapledon. Mais il s’avère que ce n’est pas le cas. Randa est complètement opposé à toute sorte de « collectivité », qui serait de toute façon hostile à l’individualisme qu’il revendique. S’il faut en chercher une, il a plutôt une affinité avec le libertarianisme à la Heinlein. De fait, beaucoup d’aspects de "Baroud" peuvent nous rappeler plus spécifiquement le "Between Planets" de Heinlein (1951), dont le protagoniste en vient à cette révélation : « il ne resterait pas sur Terre… Pas plus que Vénus – ou sur Mars. Il connaissait maintenant sa place – dans l’espace… L’espace était son foyer » (p. 216). Que Randa, quand il mentionne une « nouvelle forme » « d’hégémonie » ne soit pas en train de penser à une forme spécifique d’organisation sociale devient évident au cours des "Frelons d’or". Cette œuvre montre la première rencontre extraterrestre que l’ex-Terrien et l’ex-Saturnien aient faite depuis qu’ils s’étaient lancés ensemble dans l’espace. Ils tombent sur une planète où une espèce de frelons intelligents contrôle mentalement une race humanoïde (une simple piqûre suffit à placer un individu sous la coupe des frelons). Les frelons ont quant à eux un esprit ruche et suivent les instructions d’un pouvoir central. Les explorateurs finissent par découvrir le centre de commandement pour le détruire. Mais ils se refusent à rester pour aider les humanoïdes. Leur logique, comme le dit l’un d’entre eux, est que ces créatures « des hommes, après tout… ils repartent à zéro, mais ils ont leur intelligence et de nouveau un instinct de la conservation humaine. » (p. 188) De par cette posture, les personnages de Randa se distinguent clairement des Chevaliers de Vandel, du Corps Stellaire de Steiner, et de leurs équivalents. Les premiers sont prêts à se battre pour la liberté des gens, mais pas à intervenir dans leurs vies de toute autre manière. De plus, les deux voyageurs eux-mêmes demeurent des esprits indépendants, des individus sans attache – ni lien contraignant – avec aucun ordre social particulier ; et cela correspond bien à l’emphase anarchiste de Randa, l’importance qu’il accorde (comme dans Les Frelons d’or) à la destruction d’un système social oppressif. De ce fait, même s’il ne fournit pas de représentation négative de la technocratie en tant que telle (le monde des frelons est au mieux un exemple marginal), on ne peut douter que Randa partage les inquiétudes d’un Vandel ou d’un Guieu en ce qui concerne les conséquences d’une telle société pour la liberté humaine.
#Peter Randa #Anticipation
4 notes · View notes
lignes2frappe · 2 years
Text
« LE PRINCE DE BEL-AIR » : QUE SONT-ILS TOUS DEVENUS 30 ANS APRÈS ?
Le tout premier épisode de la série culte était diffusé le 10 septembre 1990…
Tumblr media
« Now this is a story all about how my life got flipped turned upside down… »
Pour beaucoup, il s’agit du générique le plus célèbre des nineties. D’ailleurs, il s’agit très certainement de l’une des séries télé les plus nineties qui soit.
Le Prince de Bel-Air ou l’histoire de Will, un ado tchatcheur des rues de West Philadelphie qui suite à une embrouille de trop avec des mauvais garçons est envoyé illico par sa mère vivre chez sa tante à l’autre bout du pays dans le très cossu quartier de Bel-Air, Los Angeles.
Là-bas s’ensuivent six saisons durant moult péripéties articulées principalement autour du décalage avec les codes sociaux et culturels de la famille Banks.
Alors certes avec le recul (nan, mais 30 ans quoi…) la mécanique n’a pas forcément toujours très bien vieilli, mais l’ambiance « feel good » reste de mise – et les blagues de très bonnes facture.
Largement donc de quoi donner envie de se demander ce qu’est devenu le crew depuis tout ce temps.
Will Smith (51 ans)
Tumblr media
Petite vedette du rap grâce à son duo bon chic bon genre avec Jazzy Jeff (leur album He’s the DJ, I’m the Rapper sorti en 1988 s’est écoulé à 3 millions d’exemplaires), à l’orée des années 90 Willard Carroll Smith Jr. n’en est pas moins endetté jusqu’au cou : non content de dépenser sans compter (genre faire fermer un magasin Gucci d’Atlanta pour que ses potes viennent se servir), le fisc vient en sus taper à sa porte pour lui réclamer 2,8 millions d’arriérés d’impôts.
[Ou pour le citer : « Before I was getting in trouble with Uncle Phil, I was in trouble with Uncle Sam »]
Joie du mektoub, son chemin croise celui de la légende Quincy Jones (lire ci-dessous) qui décide de miser sur lui en lui confiant ce premier rôle, quand bien même Smith n’a jamais fait l’acteur de sa vie auparavant.
Hyper à l’aise face caméra, le Fresh Prince se met alors en tête de devenir « la plus grande star de la planète » en dupliquant son personnage dans des films d’action à gros budgets (Bad Boys, Independence Day, Men in Black…), non sans oublier de revenir au rap à échéances régulières – notamment avec Big Willie Style en 1997 vendu à 9 millions de copies à ce jour.
Omniprésent dans les années 2000 (I Robot, Hitch, I Am Legend…), il s’autorise brièvement de changer de registre avec le biopic de Muhammad Ali dirigé par Michael Mann qui dans un monde parfait aurait dû lui valoir l’Oscar du meilleur acteur devant Denzel Washington, puis avec le mélodrame The Pursuit of Happyness où il donne la réplique à son fils Jaden.
[Jaden qui pour info est prénommé d’après sa mère Jada, tandis que sa fille Willow est prénommée d’après lui. Maintenant vous savez.]
En 2013 les deux remettent d’ailleurs le couvert avec After Earth de M. Night Shyamalan, un film de SF qui bide tellement que ni l’un ni l’autre n’ont failli s’en remettre.
Will Smith fini toutefois par rebondir au box-office en refusant Django Unchained avec Suicide Squad (2016) et Aladdin (2019).
À la base pas forcément fan des réseaux sociaux (car pas forcément fan de la proximité engendrée avec le public), il s’est depuis reconverti en youtubeur, (voir cette séquence où il saute à l’élastique d’un hélicoptère) quand il ne rend pas visite à femme dans son émission web Red Table pour évoquer leurs problèmes conjugaux et autre histoire « d’entanglement » (coucou August Alsina).
Oh, et si cette biographie expresse est allée un peu trop vite pour vous, là voici ici rappée par le Christ.
Quincy Jones, le producteur (87 ans)
Tumblr media
Assuré d’apparaître en majuscules dans les livres d’histoire pour avoir été le producteur historique de Michael Jackson (Off The Wall/Thriller/Bad), Quincy Jones c’est aussi et peut-être surtout une carrière débutée dans le monde du jazz dans les années 50 et qui lui vaut d’avoir son patronyme crédité sur près de 3 000 chansons !
Multi instrumentiste, il a collaboré au fil du temps avec les monuments que sont Ray Charles, Miles Davis ou encore Franck Sinatra (qui le premier l’a surnommé ‘Q’).
En 1990 il change cependant totalement de registre en fondant sa propre société de production, Quincy Jones Entertainment, avec dans la ferme intention de se lancer à la conquête des écrans.
Inspiré par la vie de Benny Medina (un exécutif de maisons de disque qui dans son enfance a vécu entre Watts et Beverly Hills), il jette ainsi les bases du Prince de Bel-Air avant d’engager Will Smith après lui avoir fait passer une audition de 10 minutes au beau milieu d’une réception.
Chauffeur de taxi du générique (lui qui n’a jamais passé son permis de conduire), depuis que l’aventure s’est terminée il refait régulièrement l’actualité, que ce soit pour avoir marié l’une de ses filles à 2Pac, publié sa biographie en 2003 dans laquelle il révèle que sa grand-mère cuisinait des rats pour le nourrir, survécu à un AVC en 2015 (son second) ou plus récemment avoir tourné dans un clip de Travis Scott et Young Thug, OUT WEST.
Toujours fringuant à l’approche de la nonantaine, il a fait l’objet d’un documentaire Netflix en 2018 tandis que l’année dernière il s’est offert un jubilé sur la scène de Paris Bercy, lui qui en 1957 était venu apprendre sur nos terres comment écrire de la musique pour instruments à cordes, là où aux États-Unis il était « très mal vu d’enseigner ce genre de chose à des noirs ».
Alfonso Ribeiro/Carlton Banks (48 ans)
Tumblr media
Si vous vous êtes toujours demandé pourquoi dans Le Prince de Bel-Air Will Smith a choisi comme nom de scène son véritable nom, sachez qu’il a suivi là le bon conseil que lui a donné Alfonso, selon qui, si la série marchait, tout le monde allait l’appeler jusqu’à la fin de ses jours par le nom de son personnage.
L’idée était ainsi de faire d’une pierre deux coups en optant d’une part pour un blaze cool, et de l’autre en faisant de sorte que par assimilation le public se souvienne toujours de lui.
Sachant cela, impossible de ne pas se demander pourquoi diable Ribeiro ne s’est-il pas appliqué son propre conseil, lui qui se fait appeler Carlton partout où il va ?
À sa décharge, il se trouve qu’il était à l’époque persuadé que le rôle ne dépasserait pas en popularité celui qu’il avait tenu l’année de ses 13 ans dans The Tap Dance Kid, une comédie musicale jouée sur les planches de Broadway qui lui avait valu de tourner plusieurs publicités – dont une aux côtés de Michael Jackson.
Mal lui en a pris puisque de son propre aveu il est depuis stéréotypé en éternel cadet de la bourgeoisie, lui qui a pourtant vécu dans le Bronx.
Avec le temps Alfonso Ribeiro est toutefois parvenu à se renouveler en touchant à tous les domaines, qu’il s’agisse de la présentation de jeux et émission télé (ABC’s America’s Funniest Home Videos, Spell-Mageddon, Money Tree…), de la participation à divers télé réalités (I’m a Celebrity…Get Me Out of Here!, Celebrity Duets…) ou de la réalisation d’épisodes de sitcoms (All of Us, Meet the Browns, Are We There Yet?, Shake It Up…), sans oublier un peu d’acting à droite à gauche (dont un début de série avec Soulja Boy en 2010).
Fou de danse, le créateur de la fameuse « Carlton dance », ce pas inspiré par le déhanché de Courteney Cox dans la vidéo de Dancing in The Dark de Bruce Springsteen, s’est également illustré en 2014 en remportant non sans panache la 19ème édition de Danse avec les stars.
Tatyana Ali/Ashley Banks (41 ans)
Tumblr media
Âgée de 11 ans au début de la série, la fille cadette du clan Banks s’est muée au fil des 148 épisodes en adolescente un peu rebelle-mais-pas-trop.
N’hésitant pas à pousser la chansonnette dès que le scénario lui en laissait l’occasion, c’est sans surprise qu’elle enregistre en 1998 un premier l’album intitulé Kiss The Sky. Le succès n’est toutefois pas spécialement au rendez-vous, et ce malgré la certification or du remix de son single Boy You Knock Me Out en compagnie de Will.
[Il lui faudra alors attendre 2014 pour sortir un nouveau projet, l’EP autoproduit Hello.]
En 2002 Ali ajoute une nouvelle corde à son arc en décrochant l’équivalent d’une licence à Harvard dans le domaine des « African-American Studies and Government ».
Toujours très active sur le petit écran comme sur le grand (beaucoup de direct-to-dvds, beaucoup de sitcoms), en 2008 elle s’engage en parallèle auprès de Barack Obama avec qui elle fait campagne sur les campus.
Rayon potins, en 2013 elle a admis à demi-mots avoir eu une aventure d’un soir avec Drake.
Mariée en 2016 à un professeur d’anglais, Tatyana Ali est depuis mère de deux enfants.
Karyn Parsons/Hilary Banks (53 ans)
Tumblr media
Beaucoup plus snob que la plus snob de tes copines, et qui plus est même pas ta copine, si Hilary était clairement insupportable, grâce à Karyn Parsons elle n’en demeurait pas moins la préférée de beaucoup.
Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que le personnage a pu être vu aux génériques d’autres séries diffusées concomitamment comme Petite Fleur et Out All Night.
La carrière d’actrice de Parsons va néanmoins vite passer à la trappe quand en 1996 la série Lush Life dont elle est respectivement coproductrice, coscénariste et covedette est annulée par la Fox après quatre petits épisodes faute d’audience.
Vue ensuite dans quelques métrages pas des plus mémorables, en 2002 elle décide de passer à autre chose et fonde Sweet Blackberry, une société de production d’animés pour enfants mettant à l’honneur des héros afro-américains méconnus de l’histoire US.
Remariée en 2003 avec le réalisateur Alexandre Rockwell rencontré sur le tournage de 13 Moons (elle avait convolé en noces une première fois à 21 ans), le couple a ensemble deux enfants.
L’année dernière Karyn Parsons a publié son premier livre pour enfants, How High the Moon, qui relate sur le parcours d’une mère célibataire au temps des lois raciales.
DJ Jazzy Jeff/Jazz (55 ans)
Tumblr media
Moitié du DJ Jazzy Jeff & the Fresh Prince, ce n’est faire injure à Jeffrey Allen Townes de dire qu’il n’est ni né pour jouer la comédie, ni que sans l’aide de son pote Will Smith jamais il n’aurait été engagé pour jouer le rôle du pote de Will Smith.
Toujours est-il qu’il a réussi à marquer les esprits en serrant Hilary grâce à sa poignée de main culte en « Psshhh ! », ainsi que pour s’être fréquemment fait jeter des lieux (14 fois pour être exact) par un Oncle Phil jamais à court de prétextes pour se débarrasser de lui.
Suite à la parenthèse Bel-Air, Jeff est cependant logiquement retourné à ses platines.
Invité à venir scratcher sur les albums des plus gros noms de la scène philadelphienne (les Roots, Jill Scott, Musiq Soulchild…), mais pas que (Eminem, les Black Eyed Peas, les Little Brother, Mac Miller…), entre ses mixtapes et ses soirées, il prend le temps de sortir deux albums solo de très bonne facture : The Magnificent en 2002 et The Return of the Magnificent en 2007 qui contient notamment un interlude bien golri avec Willou (déso y’a pas de lien).
Proposé en perso dans le jeu vidéo DJ Hero en 2009, Jazzy Jeff continue depuis d’arpenter inlassablement clubs et salles de concert de par le monde.
Joseph Marcell/Geoffrey Butler (71 ans)
Tumblr media
Employé de maison le plus pince sans rire de Bel-Air, outre le fait d’avoir délivré parmi les meilleures punchlines du show, Geoffrey le Majordome (« butler » signifie réellement « majordome ») incarnait bien souvent la voix de la raison au sein d’une famille Banks aux manières pas toujours des plus aristocratiques.
Tout comme son personnage qui la fin de la sixième saison s’en allait rejoindre son fils à Londres, le très british Joseph Marcell est revenu sur ses terres.
Acteur de théâtre de formation, il s’est fait voir dans différentes pièces (dont Le Roi Lear de Shakespeare) ainsi que dans plusieurs soap operas anglais (The Bold and the Beautiful, EastEnders…).
Sa dernière apparition remonte à la série Le garçon qui dompta le vent produite par Netflix en 2019.
Janet Hubert/Vivian Banks (64 ans)
Tumblr media
La toute première Tante Vivian de la série, et entre nous la meilleure.
Congédiée à la fin de la saison 3 pour « différences créatives », c’est peu dire qu’elle n’est pas partie en bons termes avec une partie du casting, Will Smith en tête qui lui reprochait son égo démesuré – « Elle aurait voulu que la série s’appelle ‘Tante Viv’ de Bel-Air’ » dans le texte.
Ayant plutôt mal pris la chose, Hubert revient régulièrement sur le sujet que ce soit à dans la presse (en 2011 elle traitait Smith « de trouduc’ et d’égoïste » au micro de TMZ), dans ses mémoires publiées en 2009 (Perfection Is Not a Sitcom Mom) ou plus récemment sur Facebook lorsqu’en 2017 elle s’en est pris à ses anciens petits camarades qui se sont réunis sans elle.
Bisbilles mises à part, elle a été aperçue ensuite dans bon nombre de séries télé comme NYPD Blue, Friends ou encore depuis 2018 dans l’éternel General Hospital (56 saisons au compteur).
Voix dans Grand Theft Auto 5 en 2013, Janet Hurbert consacre également son temps à combattre l’ostéoporose, une maladie osseuse dont elle est atteinte, en tant qu’ambassadrice de la National Osteoporosis Foundation.
Daphne Maxwell Reid/Vivian Banks (72 ans)
Tumblr media
Nouvelle venue à l’entame de la saison 4, Reid a repris le rôle de Tante Vivian.
Et plutôt que de faire comme si de rien était, les personnages s’en sont gentiment amusés que ce soit Will qui dans le premier épisode se demande « Qui joue la mère cette année ? » ou Jazz qui lorsqu’il tombe sur elle remarque « qu’il y a quelque chose de différent chez elle ».
Discrète depuis, Reid a donné la réplique aux jumelles Tia et Tamera Mowrydans dans Sister, Sister en 1996, puis à la rappeuse Eve dans sa série du même nom de 2003 à 2006.
Mariée à l’acteur télé Tim Reid, elle possédait en sa compagnie et jusqu’en 2014 son propre studio de cinéma.
James Avery/Philip Banks (décédé à 68 ans)
Tumblr media
Patriarche aux faux-airs de Suge Knight, en parallèle du Prince de Bel-Air Oncle Phil s’est fait entendre dans Les Tortues Ninjas où il a doublé de 1987 à 1993 le méchant Shredder.
Régulièrement sollicité pour sa voix bien particulière (War Machine dans Iron Man et Spider-Man, Aladin…), sans nécessairement retrouver de rôle du même acabit, il a tourné à la chaîne avec pas loin de 80 rôles à son actif (dont des apparitions dans les séries That ’70s Show, Star Trek: Enterprise et Grey’s Anatomy).
Victime en 2013 de problèmes cardiaques, sa disparition a énormément touché ses anciens comparses avec qui il était resté très proche au fil du temps.
Tous lui ont rendu publiquement hommage avec au premier rang Will Smith qui a déclaré que « James Avery lui a transmis parmi ses plus grandes leçons de vie ». Alfonso Ribeiro a quant à lui a tweeté qu’il était comme « un second père pour lui ».
R.E.P.
Publié sur Booska-p.com le 10 septembre 2020.
2 notes · View notes
marasutopia · 1 year
Text
Tumblr media
Dernier achat : "Apprendre, si par bonheur" de Becky Chambers. Aux éditions nantaises L'Atalante.
Mi amis ĉi tiun libron. Mi rekomendas ĝin.
Cela faisait un moment que je voulais lire ce roman décrit comme étant représentatif du "hopepunk". C'est un petit livre qui nous emmène en voyage pour apprendre. Un voyage doux, paisible et captivant, qui ne met pour autant pas de côté les objectifs scientifiques de l'expédition.
Pas de conquêtes, pas de pillage, pas d'instrumentalisation du monde et de la nature.
En le refermant, je me suis sentie bien.
On a besoin de plus de récits comme celui-ci. En tout cas, c'est mon avis. Je n'ai pas besoin de me miner davantage le moral avec de la SF dystopique au vu de ce qui se passe et du futur qu'on va se taper.
La planète brûle. Ok, j'ai compris. Ricevis ĝin. Je vais pas ouvrir un bouquin pour angoisser encore plus. Un bouquin sans doute écrit par un mec déjà mort ou qui le sera quand le monde s'effondrera.
Je sais pas. J'ai l'impression qu'on nous a menti. Quand on est petit, on croit que la vie ce sera simple. Des études, un travail, consommer, faire du shopping, les cadeaux de Noël commandés sur Amazon, se mettre en couple, acheter un pavillon dans une banlieue, une voiture, partir en vacances au soleil, tout ça. Quand on est petit, on s'imagine que ce sera aussi simple que ça. Que la vie c'est un film. Et en fait non. En fait, tout va s'effondrer et on ne pourra rien y faire.
Enfin bref.
Sinon, rien de neuf. J'essaie toujours d'apprendre l'espéranto (j'ai hésité avec l'interlingua). J'ai abandonné mon idée de blog littéraire car je ne sais pas. Pas la foi.
Je devrais lire un autre livre de Becky Chambers.
4 notes · View notes
scififr · 12 days
Text
Donovan, par W.Michael Gear (DAW, février 2018 à octobre 2022)
Tumblr media
Depuis la fin de ce siècle nous sommes gouvernés par « The Corporation », issue des familles de super-riches, dans un système politique assez comparable à celui de la Chine actuelle ; à part pour les fameuses familles, bien entendu. Une technologie de voyage FTL a été mise au point, mais elle est assez peu fiable : de temps en temps on arrive au bon endroit au bon moment, d’autre fois ce n’est pas le bon endroit, d’autre fois le temps qui s’est écoulé dans l’Univers ne correspond pas du tout à celui du vaisseau… Et à trente AL de la Terre il a la planète Donovan qui contient une quantité inconcevable de terres rares et de pierres et métaux précieux. Problème : la planète grouille d’une vie exubérante qui, de la plus petite bactérie jusqu’au bêtes les plus énormes, adore se nourrir d’êtres humains ! La série raconte les péripéties de l’établissement d’une colonie minière dans cet environnement déroutant.
Fun ! Etonnant que ces bouquins n’aient pas été traduits car c’est de la SF d’aventure de la meilleur qualité ; comme une bonne série sur une plateforme où l’on enchaine les épisodes avec avidité !
0 notes
Text
Tumblr media
Saru no Gundan (SFドラマ 猿の軍団[NB 1], Army of the Apes) is a 1974 Japanese science fiction television series, that ran on the Tokyo Broadcasting System, from the 6th October 1974 to 30th March 1975. Consisting of twenty-six hour-long episodes, the series capitalised on the success of Pierre Boulle's 1963 novel La Planète des singes, which was known in English as Planet of the Apes, and the film and television franchise. Beyond the basic plotline of a futuristic Earth ruled by apes, Saru no Gundan takes nothing from the Planet Of The Apes franchise.
0 notes
gerardlesudiste · 5 months
Text
Tumblr media
Le film de SF Doppelgänger (Journey to the Far Side of the Sun) de 1969, avec Roy Thinnes, Ian Hendry, Lynn Loring, Patrick Wymark, Loni von Friedl et Herbert Lom.
Se déroulant en 2069, le film concerne une mission conjointe européenne- NASA visant à enquêter sur une planète récemment découverte située directement en face de la Terre, de l'autre côté du Soleil . La mission se termine par un désastre et la mort de l'un des astronautes, à la suite de quoi son collègue se rend compte que la planète est une image miroir de la Terre dans les moindres détails, avec une chronologie parallèle et dupliquée.
0 notes
celadonebetty · 8 months
Text
Venez voter pour Rouille
Tumblr media
0 notes
blogapart3bis · 1 month
Text
Sol-13
Aujourd'hui sur Blog à part – Sol-13 Sur Sol-13, d’anciens terriens se retrouvent esclaves d’un peuple autochtone à la technologie avancée. La Confrérie des Étoiles se retrouve impliquée. #ScienceFiction #BandeDessinee
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
claytonecarpe · 9 months
Text
Tumblr media
🥥 Idée lecture d’été. 🍍
🤍
T.O.
(dystopie)
🤍
QUATRIÈME DE COUVERTURE
2534. Les siècles précédents ont connu guerres généralisées et destructions phénoménales, engendrant une fin du monde plutôt terrifiante et catastrophique pour les habitants de la planète Terre. Aujourd’hui, il n’y a plus d’hommes pour se battre. Des femmes, oui, des hommes, non. Ils sont tous morts durant le XXIIe siècle.
L’Ère Cruelle. C’est comme ça que nous l’appelons toutes. L’ère qui a fait de nous une moitié d’espèce et qui a changé la face du monde.
Les femmes cohabitent désormais avec les androïdes dans notre gigantesque cité, Brydie, aux tours si élevées que leurs flèches s’égarent fréquemment dans les nuées de passage.
Nos viriloïdes, à la pointe de la technologie, sont remarquables. Tellement réalistes qu’il est parfois difficile de se souvenir qu’ils ne sont que cela, finalement, des machines.
Mais, pas de crédit, pas d’androïde.
Si, en plus, vous êtes la risée de toute une génération de femmes, en vous distinguant de la masse par vos différences physiques, la vie à Brydie peut s’avérer pénible.
Moi, c’est Tahia Rogmaifer, Twaïla La Garce pour les intimes. Masseuse, le jour. Pilote de courses illégales, la nuit.
Ma vie a pris un drôle de tournant le jour où un viriloïde piraté, aux sublimes iris, a décidé de squatter mon appartement. À partir de là, ma vie n’a plus été qu’une succession d’emmerdes…
🤍
Disponible en broché, ebook et dans l’abonnement kindle
🤍
🤍
#dystopie #sf #sciencefiction #anticipation #voituredesport #course #race #illegalraces #livre #ouvrage #autoédité #autoédition #livreaddict #bookaddict #livrestragram #bookstagram #booksta #lecture #livresque #bookstagramfrance #book #booklover #kindle #fiction #roman
0 notes
erellsblog · 1 year
Text
les portes du possible avec @zolpl
“ Vivre aujourd’hui l’humanité, le monde, les sciences et la technique.”
Ce que les arts apportent à la connaissance du monde contemporain, la science-fiction n’est-elle qu’un divertissement ?
De nos jours, la science-fiction (SF) est partout, du jeu vidéo en passant par le cinéma et même sur les réseaux sociaux. Même des créateurs de contenu sur internet se lancent dans le 7ème art pour exploiter ce genre. C’est le cas de François Descraques avec “le visiteur du futur” par exemple. Toutefois la science-fiction ne représente pas seulement un genre d'œuvre de fiction. En effet, la science-fiction peut porter des enjeux sociétaux. C’est le cas notamment de l'afro-futurisme. En empruntant les codes du genre, les auteurs trouvent dans la science-fiction un moyen d’explorer des oppressions politiques. On peut penser ici à Black Panther de Marvel qui a popularisé l'afro-futurisme. C’est également une façon d’anticiper le futur afin de mieux le construire. On peut ici s’appuyer sur le jeu Detroit Become Human, qui nous amène à nous questionner sur l’éthique du travail et la relation de tolérance avec l’altérité, ou encore sur le film d’animation Pixar Wall-e qui lui porte sur l’exploitation des ressources de notre planète et la surconsommation en se rapprochant donc des enjeux écologiques actuels. C’est ce qu’à souhaiter montrer Alexandra Müller, commissaire de l’exposition et chargée de recherches au Centre Pompidou-Metz, qui a travaillé pendant plus de deux ans sur ce projet.  
Tumblr media
la SF exemple expo “les portes du possible” au centre pompidou de metz
On peut aisément citer plusieurs œuvres de science fiction dans les domaines du cinéma ou de la littérature mais quelle place occupe elle aujourd’hui dans les domaines de la peinture ou de la sculpture? En effet la science-fiction s’exerce plus en marge et c’est un domaine encore ajd considéré comme appartenant à la “culture populaire”. L'exposition fait dialoguer arts plastiques et littérature pour penser tous les futurs imaginables. Les artistes dits des arts visuels s’emparent du mouvement dans l’ombre et cette exposition les remet en lumière. Elle rassemble plus de 200 œuvres d’art, de la fin des années 1960 à nos jours sur deux étages et pas moins de 2 300 mètres carrés en liant plasticiens, écrivains et autres architectes au Centre Pompidou de Metz  jusqu’au 10 avril 2023. Le titre d’une exposition sous-entend à la fois « changer d’imaginaire et de sémantique, (…) influencer la trajectoire des sociétés, et (…) œuvrer dans le sens d’une réappropriation du futur ». 
Alexandra Müller, commissaire de l’exposition et chargée de recherches au Centre Pompidou-Metz, qui a travaillé pendant plus de deux ans sur ce projet explique sa vision de la science-fiction: « Pas un genre en soi, plutôt une méthode de pensée, car la SF dépasse les frontières du genre : c’est une remise en question de nos façons de faire et de nos modes de vie, qui peut s’appliquer autant aux beaux-arts qu’à la littérature. » Dont acte : dès la première pièce des Portes du possible, point d’entrée saisissant vers les cinq chapitres que compte le dispositif (politique, cyberespace, corps, effondrement et altérité). On comprend que la science-fiction n’est pas seulement un divertissement, c’est aussi et surtout une façon de se projeter dans le futur pour apporter des solutions à notre monde actuel. Le milieu de la science-fiction est étroitement lié à celui de l'avant-garde. On peut penser à Superstudio ou encore Linda Sterling qui elle pratique l’art engagé et plus particulièrement l’art féministe.
l’expo nous invite à réinventer un futur désirable en critiquant crûment et en profondeur le monde contemporain. Le parcours pense la fin d'un monde où la seule issue possible est la résistance par l'imagination. Les influences principales de l’expo sont l'afro futurisme et le cyberpunk, des mouvements intrinsèquement liés à la politique. La commissaire de l’exposition explique "Pendant longtemps il semblait plus facile pour l’homme postmodern de s’imaginer la fin du monde que de s’imaginer la fin du capitalisme. L’idée était de se dire non, on a les outils qu’il faut pour rêver d’autres modes de cohabitation."
En effet, l'imagination suscite l'évolution.
La science fiction à pour fonction de divertir mais contrairement à l’oeuvre fantastique ou policière elle coche également d’autres cases comme peut le dire  le biologiste Miroslav Radman, co-auteur de "Au-delà de nos limites biologiques" : "Je vois la science-fiction comme une simulation mentale du futur", qui permet "de se préparer émotivement et intellectuellement au changement".
Parmi les préoccupations actuelles on peut citer la crainte de la pénurie des ressources, illustrée dès 1966 dans Soleil vert, de Harry Harrison, dont l'histoire se déroule en 2022. L'angoisse du changement climatique, aujourd’hui plus que jamais d’actualité, est explorée dans le film catastrophe Le Jour d'après de Roland Emmerich, en 2004. Quand on pense à science fiction on pense aussi  au transhumanisme, à l'impact des applications des biotechnologies à l'homme (augmentation des capacités physiques et cognitives, clonage...) ou à son environnement (OGM). L'essor rapide de la biologie et des technologies du vivant depuis une dizaine d'années a ouvert la porte aux questions éthiques sur l'être humain “amélioré”, mis en scène par exemple dans Bienvenue à Gattaca, film de 1997 d'Andrew Niccol.
Le CAS ( Centre d'analyse stratégique) souligne que l’œuvre de SF “révèle un certain nombre de défis que nos sociétés devront relever". Le CAS ajoute que ces œuvres sont "indissociables du contexte socio-économique dans lequel elles ont été produites", expliquant que le genre est né véritablement au XIXe siècle, lors de la première révolution industrielle. On peut alors penser à l'œuvre de Jules Verne. De nos jours la Sf demeure une source d'intrigue et de curiosité qui traverse les générations. On peut citer Matrix ou encore Black Mirror qui sont des œuvres aujourd’hui connues du grand public mais qui soulèvent toutefois des problématiques très politiques. On observe aussi une approche de la science-fiction à travers le prisme de l’horreur avec le film M3gan de Gerard Johnstone prévu pour 2023 dont le synopsis questionne sur les dangers de l’intelligence artificielle. 
On remarque que les œuvres de tous genres et particulièrement celles de Sf évoluent en accord avec les changements sociétaux, technologiques et même politiques. On comprend ainsi que l'œuvre de fiction n’est pas qu’un divertissement. C’est un cheminement de pensée pour anticiper les éventuels problèmes que nous serions amenés à rencontrer dans le futur mais aussi et surtout leurs possibles solutions. 
Tumblr media
1 note · View note
lesdupont · 1 year
Photo
Tumblr media
VIDEOMUSIC VOL.2 Seconde compilation des clips du groupe électro français "Les Dupont". Ici, pas moins de 120 minutes de vidéomusiques sont au rendez-vous et couvrent une période particulièrement fertile de 2017 jusqu’à aujourd’hui. Remontées par Didier Blasco, membre du groupe et réalisateur (FEMIS), ces images d’archives mettent en relief les liens qui n’ont cessé de se développer entre le cinéma underground et les musiques électroniques. Initié en 1995, date de la création du groupe, ce travail a été lauréat en 2013 du concours Public Domain Remix organisé par l'Open Knowledge Foundation et Wikimedia France, associations qui ont pour but de mettre en valeur le domaine public. L’année suivante l'IRCAM a en projeté une sélection en première partie de Jackson & the Computer Band à l’occasion du concert électro IRCAM Live 2014. Suit une série de clips remarqués, dont Pacific 202 sur des images d’archives du Boy, ancien nightclub parisien à l’origine de la house et du New-Beat en France, Music For Ghost réalisé par Sophie Blondy (prix de la meilleure photographie en noir et blanc au festival Santa Monica Shorts Films 2021), et Tout Petit la Planète, reprise du titre de Plastic Bertrand, sur des images SF délicieusement vintage. https://urlz.fr/iTPJ #video #videogames #videos #videooftheday #Videography #videogame #videotutorial #videographer #VideoShoot #videolucu #Videoclip #videoproduction #videogram #videogameaddict #videogamer #videoart #videomaker #videomarketing #videoedit #videohot #videosfashions #videostar #videodiy #videoediting #videoedits #videojuegos #videogaming #videoporn #videoshow #videomaking https://www.instagram.com/p/Cl7KnIMtiFB/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
sporcafaccenda · 1 year
Text
Tumblr media
Keith LAUMER _ Le Long Crépuscule.(Super-Fiction, Albin Michel)
Lors de la mise en service d'une centrale expérimentale de télétransmission d'énergie — premier pas vers la distribution universelle et gratuite d'énergie à toutes les machines de l'humanité — . une étrange tornade se forme sur l'Atlantique. En quelques heures, elle altère désastreusement les conditions météorologiques du continent américain et, s'étendant sans frein, elle plonge bientôt toute la planète dans une terrible et continuelle tempête. Pendant que se déchaîne cette catastrophe, deux hommes singuliers entrent dans l'action : un prisonnnier fédéral qui semble avoir été détenu depuis plus d'un siècle, et un vaga­bond qui porte encore une blessure datant de la Guerre de Sécession. Le prisonnier s'évade, le vagabond retrouve mira­culeusement sa jeunesse, et tous deux se dirigent vers la centrale. Tandis qu'ils s'en approchent, la police et l'armée tentent de les arrêter mais en vain. On découvre alors que ces deux hommes se sont déjà rencontrés en bien des époques et bien des lieux, dans un duel qui a donné nais­sance à de nombreuses légendes de l'humanité. Et ce sont ces hommes, nés il y a de longs siècles et sous une autre étoile, qui vont risquer leur vie pour sauver la planète étrangère devenue leur patrie…
Keith Laumer est né en 1925 à Syracuse dans l'Etat de New York et vit à Brooksville en Floride (décédé le 23 janvier 1993). Il a longtemps servi dans l'Armée et l'Air Force américaines, notamment comme attaché de l'Air auprès de l'ambassade des Etats-Unis en Birmanie. Il est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages, surtout des romans de science-fiction, dont Dinosaure Plage déjà publié dans cette collection. Du même auteur, dans la même collection : Cœur d'étoile, Dinosaure Plage.
Tumblr media
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
#Keith Laumer #SF #The long Twilight
1 note · View note