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#boustifaille
restonscalmes · 1 year
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Et maintenant... DIGERONS !
Et maintenant… DIGERONS !
…Enfin, je reprends demain, va falloir s’activer sur la digestion ! 😅😂
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claudehenrion · 1 year
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Voici Noël… Douce nuit… Sainte Nuit…                                      Jouez, hautbois… Résonnez, musettes…
 Pour les chrétiens (et pour tous les hommes qui se souviennent que les mots ont un sens), Noël est une fête religieuse... Pour certains, qui ont conservé les plus poétiques des symboles païens (le bel arbre, le Père Noël, les cadeaux, la Bûche), cette fête n'a pas d'autre sens que celui des 4 lettres qui la désignent. D'autres, qui croient trouver refuge dans la boustifaille et la grande foire pour oublier un instant les limites de leur condition humaine, ''font la fête'', mais sans plus savoir ni quoi ni pourquoi... Mais depuis peu, les chrétiens ont pris conscience que leur existence suffit, à elle seule, à provoquer la haine féroce d’islamistes et de quelques poignées de gens qui se croient ''libres'' et qui se disent ''penseurs'' mais qui, n'étant ni l'un ni l'autre, sont devenus les garde-chiourmes maniaco-woko-vétilleux d'une tyrannie qui n’est plus capable de voir le monde qu'en termes de l'interdiction de l’Autre...
Noël... Ce mot était autrefois synonyme de douceur, de beauté et d'harmonie. Il rappelait la naissance d'un enfant dans une crèche, petit bébé sans défense, mais parlait aussi d'un Dieu se faisant Homme pour l'amour de nous, ce qui n'est pas rien (car si le récit chrétien est faux, comment expliquer le tsunami formidable qui a tout balayé devant lui pendant 2000 ans et plus et qui bouleverse et unit, de nos jours encore, 2,3 milliards de terriens, 1/3 de l'Humanité, en progression constante).
Aujourd'hui, les médias et ceux qui se croient intelligents –quelques dizaines ou centaines de mille... mais qui contrôlent les merdias-- voudraient nous faire croire que toute cette beauté, si douce au cœur et à l'âme, se serait abâtardie  en une bacchanale consumériste qui tirerait sa pauvre  légitimité de son absence de raison d'être et du dépassement de toutes les limites raisonnables. Alors... en réaction contre ce viol de toute vérité, pourquoi ne pas terminer l'année en riant de l’atroce cacophonie que notre époque oppose à tout ce qui touche aux sujets religieux ?
Que l'on soit croyant ou pas, de toute confession et de toute origine, la naissance d'un petit enfant juif dont l’Histoire a conservé la trace a été un bouleversement immense pour l’humanité, nous l'avons rappelé récemment. Deux mille ans plus tard, on a enfin compris que cette heure, arbitrairement fixée à minuit –et au fond, pourquoi pas ?-- a été la plus importante de tous les temps. Mais on ne réalise pas toujours que le contenu non-religieux du message christique est aussi grand que celui (religieux, donc réservé à ceux qui l'ont entendu) qui a forgé notre civilisation, l'Histoire, la pensée, la culture... et le monde, bien au-delà des limites admises. 
Les répercussions et les conséquences de la Révélation dans plein d’autres domaines que ceux liés à la foi chrétienne qui a tant a étonné le monde romain, polythéiste, le monde juif, monothéiste, et la suite des siècles jusqu’au nôtre, tout pétri de technique et si fier de son savoir en bribes... sont loin d’avoir toutes été comprises, et sont loin de leur propre essoufflement, comme le démontrent les progrès de la science. (NDLR : si nous en parlons souvent, c'est parce que c'est le phénomène le plus révolutionnaire et paradoxalement le plus civilisateur qui ait jamais existé).  Il n'empêche... A l'opposé absolu de la nullité actuelle, systémique, stéréotypée, et franchement moche, vous souvenez-vous comme ils étaient jolis, ces chants qu'on appelait “des petits Noëls’‘ ? Douce nuit… Il est né, le divin enfant… Minuit, Chrétiens… Les anges dans nos campagnes… Entre le bœuf et l’âne gris… Adeste, fideles..., et tant d'autres… (Je suis prêt à parier que vous en avez fredonné au moins un, en   lisant : ils sont, simplement, ''beaux, point final''.
La France, seule parmi les nations civilisées, a rétrogradé la “douce Nuit” de Noël au rang d’orgie obligatoire, convenue et con venue, à la fois interdite dans ce qu'elle a de beau, et obligée dans ce qu'elle offre de pire (business commande... fausse tolérance force... et laïcisme militant oblige !). Dieu a disparu du ''quotidien'' de la plupart de nos concitoyens, au ''profit'' (?) de saturnales de dindes farcies et de foie gras à la grippe aviaire : la ''Tolérance-sic'' et la ''Laïcité-re-sic'' ont donné naissance à une néo-pseudo-religion, intégriste, intolérante, impitoyable comme aucune autre sauf, peut-être, l'islam mal compris qui ravage le monde : le laïcisme officiel, sous ses oripeaux et sa fausse bien-pensance, n'est qu'une caricature qui s'ignore d’une espèce d’iso- religion qu'on ferait, tous, beaucoup mieux d'ignorer.
Goinfrerie à tous les étages et gros pères Noël très laids, transpirants, et répétant ''Ho...Ho...'' à chaque coin de rue... le niveau artistique et la poésie de ce qui reste l’événement le plus important de l’Histoire ont ils été significativement “anoblis” par le passage de ce qui était une fête religieuse à ce qui est une fête laïque ? Comme chaque année, nous pouvons évaluer les dégâts : iI faudra au moins des “soldes d’hiver” et des galettes feuilletées (dites ''des Rois''), pour nous faire oublier tout ce gâchis ! (NDLR -- Un détail triste et rigolo tout-à-la fois : une de mes arrière grands-mères, que j'adorais, est morte un 1er janvier, centenaire comme presque tous mes ancêtres depuis 350 ans, des ''suites'' d'un réveillon trop copieux (et –mais on ne me l'a pas dit-- sans doute très arrosé !). La gourmandise peut donc bien tuer ! RIP. 
Au nom d'une soi-disant tolérance toute en militantisme intolérant, on a demandé à Dieu de ne plus être ''au centre du village'', et aux cloches de ne plus sonner –ça pourrait heurter “des gens”, nous explique-t-on sans mourir de honte-- et, comble de la crétinerie, on demande à des juges très syndiqués très à gauche de dire si la naissance du Christ a eu lieu ou non dans une crèche !  Au lieu de dire : “Je pense que Dieu n’existe pas”, ils voudraient qu’on précise  : “Mais toi non plus, tu ne peux plus croire à de telles sornettes”. Allah, à la rigueur ! Mais Dieu ? Ah ! Ça, non !
L'athéisme, qui rejetait le Dieu, réputé par eux indémontrable, d'un dogme qu'ils prétendent trop structuré, factice et imposé, est devenu une religion qui rejette toute divinité de façon bien plus structurée, tout aussi indémontrable, aussi factice et dix fois plus imposée... et violente à en être incurable... alors que, si l'on va au fond des choses, le fait de dire : “je ne crois pas en Dieu”, c’est reconnaître son existence... tout en se se positionnant personnellement par rapport à Lui, ce qui est un droit non-négociable... ”Dieu”, que ça plaise ou non,  est un nom propre devenu nom commun car il appartient à l’humanité, qu'elle accepte ou pas ce cadeau.
Or la France, pour son malheur et le nôtre, est aujourd’hui dirigée (?) par des intégristes du rejet de toute la culture judéo-chrétienne, dont ils sont tous, pourtant, l'impur produit, à 100 % ! Ce refus est grave, mais moins que le vide culturel qui va avec : comme ils le font avec tous les problèmes qu’ils sont incapables de résoudre (chômage, immigration, sécurité, éducation, économie, covid, hôpital, éclatement du pays par leur seule faute...), nos ''Nuls'' abordent celui-ci par le mauvais côté... Par leur faute, nous avons perdu le sens de Noël sans le remplacer par quoi que ce soit (On va me dire : ''Mais ce n'était pas facile''. C’est une raison de plus de ne pas y toucher !). ''Le fait que quelque chose marche à peu près bien n'est pas une raison suffisante pour en changer''. Mais nous avons égaré la sagesse, en chemin !
Voici revenu le temps des vacances ''de Noël''. Par convention, nos chemins, sans se séparer, vont s'écarter, pour quelques jours. Certaines journées vont être vides, sans vous, et j'en suis déjà  triste... Retrouvons-nous dès le Lundi 9 janvier 2023, si Dieu le veut, ‘’date à vite reporter sur vos agendas’’, selon la formule consacrée. Et d'ici-là, de tout mon cœur, je vous souhaite un très, très JOYEUX NOÊL, un bon début d'année... et une troisième étoile sur les maillots bleus de ceux qui adorent se déguiser en sportifs-en-chambre : c'est, paraît-il,  un nécessaire indispensable pour hurler, devant un poste de ‘’télé’’ !
H-Cl
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lamaventures · 5 months
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Malaisie : boustifaille et oisiveté
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La Malaisie est notre dernier pays. Après avoir passé presque 8 mois en tour du monde, les 10 derniers jours de notre voyage nous semblent infiniment petits. La Malaisie n'était pas prévue dans notre périple, elle s'est présentée d'elle-même au moment où l'on s'est enfin décidé à prendre nos billets retour, au départ de Kuala Lumpur ! Qu'y a-t-il à voir dans ce pays ? Nous-même on l'ignore !
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À peine arrivés à Kuala Lumpur, on s’active pour organiser les derniers jours de cet incroyable périple. On en parle peu mais la logistique d’un voyage de cette envergure est permanente (et à la fois longue, fatigante). C’est, en tout cas, de cette manière que l’on a décidé de voyager : en étant toujours dans le mouvement et en définissant ce qui nous semble être le meilleur ratio lieux / durée.
De quoi a-t-on envie pour finir notre tour du monde en beauté ? De bien manger et de se reposer. On opte donc pour quelques jours à Penang, véritable carrefour des cultures et de la gastronomie, puis de finir sur une touche de paradis, dans les îles Perhentian.
Penang : orgie du street food
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Penang mêle histoire, art et gastronomie, c’est une péninsule aux multiples influences, un concentré d’Asie, ancré dans le passé et le présent. Chinois, Indiens, Malais, Thaïs, Birmans, toutes les civilisations et les cultures se côtoient dans les rues. C’est rare d’assister à une diversité aussi harmonieuse.
La ville de George Town cultive le street art, initié par Ernest Zacharevic. Au détour des rues, on croise des fresques en trompe-l’oeil, avec lesquelles on peut même interagir.
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Après le street art, place au street food. Penang est la capitale de la gastronomie malaisienne, alors autant en profiter ! On réserve un street food tour avec un guide local qui promet d’être gargantuesque. On s’arrête dans les bui-bui, les cantines, les stands de rue, et on goûte à tout, sans forcément savoir ce que c’est de prime abord. Le melting-pot culturel se retrouve dans chaque bouchée, donc autant dire que c’est une véritable orgie multi-culturelle !
Les estomacs maintenant bien remplis, il est temps pour nous de profiter paisiblement de nos 5 derniers jours de voyage dans un lieu hautement paradisiaque : les îles Perhentian.
Les îles Perhentian : le vrai paradis
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Et c’est un véritable paradis : des plages au sable blanc immaculé, une mer aux multiples teintes bleutées, des fonds marins foisonnants. Les îles Perhentian sont un bijou caché de Malaisie. Nos journées sont rythmées par de longues heures de snorkeling, de bronzette et de balades sur différents spots de l’île, ponctuées de plages désertes et pauses restaurants. Même si l’on sait notre grand retour proche, le temps s’arrête.
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Le voyage au long court a ce pouvoir d’offrir des moments de contemplation et de méditation. 8 mois que l’on sillonne le monde, 13 pays visités, tous plus différents les uns que les autres. Jamais on aurait pensé accomplir tout ça, repousser autant nos limites, s’ouvrir à tant de cultures, s’émerveiller autant devant la beauté du monde. On en sort grandi, et encore plus amoureux.
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franckdoutrery · 8 months
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Un tour de cochon
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On est en mai 1940 et c’est tout d’un coup la guerre. Enfants, on ne comprend pas bien ce qui se passe. En écoutant les adultes on se découvre des ennemis. À peine a-t-on appris à situer son pays sur la carte géographique, qui orne le mur de la classe, qu’on voit un pays voisin l’envahir. Nos soldats nous ont défendus comme ils pouvaient, mais l’ennemi a été trop fort. En quelques jours il nous a mis sous sa botte. C’est désormais l’Occupation avec son cortège de misères. 
L’oncle Alphonse dit qu’il fallait s’y attendre. Il se souvient de sa propre enfance, quand le même ennemi nous avait déjà envahis. Il raconte des histoires de brutes de Boches, qui bombardaient nos villes, violaient les femmes, coupaient les mains aux enfants, exécutaient nos soldats et incendiaient la bibliothèque de Louvain. Cette fois pourtant ils ont paru moins barbares que ce qu’on avait craint ou cru. Le maître d’école en dit même du bien : ils sont propres sur eux, disciplinés, souvent polis et prévenants. Et comme il dit : ils ont mis de l’ordre. (À croire qu’il n’y en avait pas avant.) Ils ont refait marcher l’économie, les usines, les transports … la vie normale, quoi.
Sauf que ! Sauf que leur ordre doit se faire à leur profit et à nos dépens. Ce qui se traduit d’abord dans le domaine de la boustifaille. D’où l’étal du boucher ou du boulanger clairsemé ou vide. D’où aussi les cartes de rationnement, le marché noir, le secours d’hiver, les vols d’œufs ou de poulets, tout ce qui exige de se serrer désormais la ceinture. On découvre le goût des topinambours et des rutabagas. Le beurre est remplacé par la margarine ou le saindoux. Nous, à la ferme, on ne peut pas trop se plaindre. Quand on a l’estomac vide on a recours au système D. Ce qui consiste à gober des œufs avant d’aller à l’école, à s’alimenter directement à la source, entendons aux pis des vaches. Puis, en rentrant par les champs, il n’est pas rare qu’on fasse une razzia sur les navets. Un navet frais cueilli qu’on tient par ses fanes pour le dévorer à belles dents, quel délice !
Et puis il y a le cochon. On emploie le singulier, alors qu’on en a plusieurs, de cochons. Même une truie avec sa nombreuse portée. Mais « le » cochon, c’est un cas spécial. Parce qu’on l’engraisse depuis des mois et qu’on va lui faire un sort cet hiver. On en a abattu un autre l’année dernière, mais les jambons fumés et les morceaux de lards suspendus aux poutres de la cuisine se font de plus en plus rares. Or, comme dit ma mère, il faut faire des réserves, parce que cette guerre risque d’être plus longue que celle de l’oncle Alphonse. 
Étions-nous les seuls à connaître l’existence du cochon, à le voir s’engraisser avec nos déchets de cuisine ? Après coup on se dit que non. Car un beau matin de novembre – à vrai dire, un matin pas beau du tout ! – on lui apporte comme d’habitude sa mangeaille, mais on trouve la porte de la soue ouverte … et plus de cochon à l’intérieur. En y regardant de plus près, on voit des traces d’effraction. Entre la porcherie et la rue il y a une haie qu’on a visiblement traversée en découpant une trouée, puis un fossé où on trouve des empreintes de bottes. Ces filous étaient à l’évidence au courant. Car un porc bien en chair, c’est une promesse de jambon, de lard et de couenne. Et en temps de guerre, ça vaut de l’or. À mesure qu’on se rend à l’évidence, les commentaires vont bon train. Un frère soupçonne déjà un voisin, un maraudeur qui trafique aussi au marché noir. Un autre pense au fermier d’à côté, qui nous en veut depuis toujours à cause d’un conflit de bornage. Tombe enfin la question : personne n’a rien entendu ? Un cochon qu’on enlève en pleine nuit, ça grogne et ça crie. Non, nous, on a dormi à poings fermés. Et ma mère ? Ma mère ne répond pas. Elle grommelle en évoquant un mauvais rêve. Il faudra deux ou trois semaines pour qu’elle l’avoue au curé : elle a tout entendu. Des voix d’hommes, la porte qui grince, les cris du cochon. Elle s’est levée, mais que voulez-vous qu’elle fasse, une femme toute seule (mon père est mort en décembre 1939) avec huit garçons dont l’aîné n’a que douze ans. Si elle avait eu une arme, peut-être. Et encore ! Mais chez nous, on ne dort pas avec un pistolet sous l’oreiller. Elle a donc laissé faire, car on ne sait de quoi sont capables des brigands peut-être affamés et armés. À choisir entre « le » cochon et ses enfants, elle a préféré ces derniers. N’empêche qu’on a du mal à se résigner. Car on voit s’éloigner la montagne de viande, de tripes, de saucisses, de boudins, de fromage de tête, dont on rêvait. Ma mère nous console avec le dicton « Bien mal acquis ne profite jamais ! » Tôt ou tard nos voleurs seront donc punis. Mais mon grand frère de murmurer : « On aurait bien aimé être punis comme eux ! » Tu parles d’un tour de cochon !
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lekunaka · 1 year
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Toi qui a volé une partie de moi...tu t'en ira sans coup férir. Et te regardant éloigné je voulu t'agripper. La nuit est longue je le sais ;l'hiver est long,aussi, je le sais! Mais n'y a t-il aucune raison pour que tu ne veuilles souffrir avec moi ? Cherchant asile dans la demeure de l'abnégation, tu fis don de ton affable image plus consciencieusement que l'artiste inquiété. Ne suis-je à tes yeux qu'un troubadour exalté par ta boustifaille ? En vérité nous le savions, même le plus honnête gourmet se fis traité de menteur lorsqu'il eut goûté le met ultime ; cependant n'importe qui sur la croix serait tenté d'aspirer aux "délices" des cieux. Comment se repentir lorsque se confondent amour et désir ?
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quebec-newyork-2022 · 2 years
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On est à la bourre.
Hier lundi : vieux Québec avec toujours le camping Valcartier comme base avancée, boustifaille le midi chez le Cochon Dingue (doit y avoir un calembour),
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Puis parc aquatique l'après-midi. Ledit parc étant une partie du camping suscité. Météo discutable, un peu humide mais finalement adaptée à nos activités.
Départ ce mardi matin bien tôt après vidange des fosses à caca sous la flotte. Visite d'une communauté Huron Wendake à l'abri.
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Pas mal de route, pas mal de grosses montées et de grosses descentes le long du St Laurent, et même une traversée par bac en fin d'après-midi pour rejoindre Tadoussac.
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Demain matin on fait les fifous, on va voir des baleines sur un Zodiac.
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dixvinsblog · 2 years
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Coups de Gueule - L'actu de Pierre Thevenin
Coups de Gueule – L’actu de Pierre Thevenin
Laurent Berger sur FRANCE INTER, le vendredi 10 juin : à propos du pouvoir d’achat : les gens qui ont besoin de prendre leur voiture pour aller travailler, les gens qui « ont besoin de manger »…Vous en connaissez beaucoup, vous, des gens qui peuvent se passer de leur boustifaille quotidienne ? Moi, j’ai connu (pas personnellement) au moins une femme dans ce cas : Marthe Robin (1902-1981),…
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marielle-gaudry · 7 years
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Bonheur d’automne🍁 . . #poeleedecepes #porcini #diner #bougainville #tradi #formica #bistrot #danssonjus #food #instagood #eats #boustifaille #fromages #mushroom #ttb #paris2 (à Bougainville, le restaurant à Paris)
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mrlafont · 3 years
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Je ne peux m’empêcher de m’autosaboter. Faire un tour en ville est toujours une humiliation pour moi. Un gars faisait de la guitare dans la rue et chantait... avec son masque ! J’ai honte, de tout. Des minettes qui font la queue pour aller acheter des fringues d’une qualité médiocre, et qui retournent à chaque tendance, à chaque nouveauté, s’abreuver de nouveaux objets, histoire de se maintenir à la pointe de la mode, cette aiguille de vanité. Honte de ces garçons qui les accompagnent, mous, grossiers, complètement disloqués dans leur inconscience. Où sont les hommes d’autrefois ? Perdus, oubliés, morts. Honte de ces gens qui entrent dans les églises, sans Christ dans le coeur. Panem et circenses, Panem et circenses, Panem et circenses... Ce n’est pas nouveau, hélas ! “Tout a l’air de changer mais rien ne bouge, les gens votent pour les mêmes et tout s’affaisse petit à petit”. Alors la bière que l’on boit en douce, dans un parc... à l’abri des regards, pas tellement pour oublier que pour mieux se supporter soi avec ses dégoûts... Il est seize heures mais c’est pas grave... Pas d’heure pour l’apaisement. Ah ! Eh bien, on rentre chez soi. Le chat dort dans son arbre, calme, tranquille, sobre, simple. C’est du baume au coeur pas cher. On se contente de peu finalement. Il est là, me lèche le bout du nez de sa langue râpeuse, histoire de goûter un peu l’air du dehors, lui qu’on fait pas sortir... Quand je pense à tous ces gens, tout de même, qui vivent et ne pensent que dans le cadre de leur aliénation insoupçonnée ! Simples et contents ! Que demande le peuple ? En attendant, tout change et tout s’affaisse surtout, comme dit l’autre. J’aimerais pouvoir gueuler à la face du monde des choses... et qu’on écoute, et qu’on ressente ce qui ne s’apprend pas ! Impossible... Peine perdue... Enfin. Tout est perdu mais dans le naufrage on peut encore rencontrer de bons coeurs, j’en suis sûr. Heureusement. Moi, je suis là, ça rachète déjà tout... Et j’en connais d’autres, de bons coeurs, qui font les cents pas sur le pont de ce bateau qu’est le monde et qui échoue, tandis que les autres à l’intérieur, au chaud pour l’instant, profitent de la boustifaille, des tendresses, de l’insouciance. Bon.
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belphegor1982 · 4 years
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Alors, vu que @garnetrena nous mijote un petit High School AU de Kaamelott pour une fic, je me suis dit pourquoi pas tenter des petits headcanons?
Donc, voici l’équipe pédagogique du collège-lycée Kaamelott:
• Arthur en chef d’établissement, débordé et blasé, entouré par des bras cassés (plus ça change et plus c’est la même chose)
• Lancelot en adjoint avec les dents qui raye le parquet et qui pense qu’il peut tout faire mieux que tout le monde
• Leodagan : le CPE qui fait régner la terreur dans les couloirs. Il est en charge des punitions. Ses colles sont légendaires. La rumeur court qu’il garde des chaînes et des menottes dans les placards de la vie scolaire.
• Bohort = le prof de français super patient qui tient aussi l’atelier théâtre. C’est important d’encourager la fibre artistique chez la jeunesse !
• Séli, la prof de maths qui a du café dans les veines. N’hésite pas à vous casser si vous l’ouvrez en classe, mais elle vous fera passer votre bac avec mention.
• Guenièvre, c’est la conseillère d’orientation toute gentille, que tout le monde prend pour une nunuche, mais qui est hyper pointue sur tout ce qui est loi du travail
• le Père Blaise c’est le prof doc (ou bien, si on veut être vicelard, le prof de musique qui insiste que l’histoire de la musique s’est arrêtée aux chants grégoriens parce que LA QUINTE JUSTE, MERDE)
• Perceval = le prof d’éco, sympathique mais toujours dans la lune, à qui il faut gentiment faire comprendre que les gamins ne savent pas forcément faire des opérations complexes dans leur tête
• Karadoc est en charge des cuisines. D’après les terminales, un jour il aurait chopé un élève qui n’avait pas fini son assiette en train de jeter la moitié de la bouffe à la poubelle, et personne ne sait ce qu’il est devenu. (Les premières disent que c’est une légende urbaine, mais qu’il vaut mieux se méfier quand même.)
• Il se prend régulièrement la tête avec Michel, le prof de sport, rapport à leurs visions différentes de ce qui est bon côté boustifaille.
• En parlant de prises de bec, Merlin, le prof de SVT, et Elias, le prof de physique, s’engueulent régulièrement parce qu’ils sont obligés de partager une salle. Elias trouve dégueu de savoir que les élèves dissèquent des grenouilles sur SES paillasses, Merlin n’apprécie pas de retrouver son bureau couvert de restes d’expériences douteuses.
• Viviane, la gentille prof d’histoire géo, qui fait de son mieux pour enseigner les programmes surchargés et contradictoires de sa hiérarchie
• Venec, l’intendant, toujours des “bons plans" pour grappiller du pognon à droite à gauche (mais tant qu’il ne s’en met pas dans ses poches à lui, ça fait bien les affaires d’Arthur, alors il laisse pisser)
• Ygerne, mère d’Arthur, et prof d’espagnol - mais Old School. Manque de bol, les gamins qui prennent allemand en LV2 pour l’éviter tombent sur sa sœur, Cryda, qui est encore moins arrangeante.
• Yvain et Gauvain sont surveillants. Le bon plan des élèves c’est d'envoyer un pote les lancer sur un sujet de conversation bien bizarre pour faire diversion, ils sont foutus de discuter pendant des heures en oubliant le reste
• Mevanwi, la prof d’anglais qui essaye de séduire Arthur. Elle est tentée de passer le concours de chef, mais en attendant de l’avoir, elle se verrait bien éminence grise du chef actuel
• Angharad c'est la Technicienne de Surface en chef. Elle connaît tous les potins des profs et des élèves, et elle se rêve Perceval mais tout le monde sauf elle sait que c’est juste pas possible, en tout cas sexuellement - et Perceval ne s’aperçoit de rien.
Et vous, z’en pensez quoi ? :3
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claudehenrion · 2 years
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''La magie de Noël'' (suite...)
  Malgré ma méfiance (qui augmente avec l'âge), je suis bien obligé, ne serait-ce que pour vivre avec mon temps, de passer un peu de temps (j'allais écrire : ''de perdre mon temps'', mais on va me traiter de complotiste !) devant mon écran de télévision... Pendant un bon mois, c'est sans conteste l'expression ''la Magie de Noël'' qui a occupé (pollué ?) l'espace sonore. Je crois me souvenir que les autres années, ce mot véhiculait des idées de jouets, de gadgets électroniques  et de parfums capiteux... ou de dessous féminins, troublants puisque en soie (?). Cette année, rien de tel : c'est ''bouffe'' dans les émissions matinales, boustifaille au ''13 heures'', petits plats au ''20 heures'' et recettes farfelues par des ‘’chefs’’ sans tête, le reste du temps... ''Noël'' se dit, officiellement: ''Bonnes bouffes de fin d'année'' !
Je veux bien admettre que s'alimenter est un besoin fondamental, qui entraîne, outre le fait important d'être vivant, de réels plaisirs, et le fait que je sois un bon français moyen, dans le genre béret-baguette, n'est pas sans conséquences multiples sur la manière dont la dite vie peut (et doit) être utilisée ! De là à ''vivre pour manger au lieu de manger pour vivre'', comme le disait un de ces proverbes que nos merveilleux instituteurs-à-l'ancienne recopiaient à la craie sur le tableau noir, pour notre édification morale et la protection à long terme de notre santé, il y a...  la mer et les petits poissons (et des huîtres, des homards et des langoustes... et aussi des dindes farcies, des chapons (de Bresse), des marrons, des bûches, et d'autres nourritures, exclusivement terrestres). Mais entre les Guerres, la Paix, les crises, les ''30 glorieuses'' et les autres étapes de notre laisser-aller, notre excessive aisance statistique et les conneries libertaires de 1968... beaucoup trop d'entre nous ont oublié ces mesures de sagesse. Et pourtant, qu'elles étaient bonnes !
Le résultat est clair, net et sans bavures : 90% des adultes français ne consomment pas assez de fibres, et à peu près autant absorbent trop de sel et d'acides gras saturés, 40% trop de sucres mais pas assez de miel, et moins d'un adulte sur deux et d'un enfant sur quatre consomment les ''5 fruits et légumes par jour'' prônés par les coûteuses et inutiles campagnes du gouvernement... qui ferait tellement mieux de dépenser nos sous autrement qu'en les jetant par la fenêtre. Les séquelles sont connues, même si personne n'ose en tirer les conséquences : 28 % des français sont en surpoids... ce qui explique évidemment une partie équivalente des soi-disant ''morts pour cause de covid'' (NB : on a du pot ! Aux USA, ils y a deux fois plus d'obèses, et le SARS-cov 2 n'a pas mis longtemps à s'en rendre compte !).
Comme lui, les politicards de métier (qui n'existent que pour dire ce qu'ils croient qu'on attend d'eux), les publicitaires, les chercheurs de cash et les ''Big pharma'' n'ont pas mis longtemps non plus à s'adapter : la presse people et les magazines féminins croulent donc sous les conseils de régimes aussi variés qu'avariés --et inutiles. Nous nageons dans des océans (très intéressés) de recommandations nutritionnelles et de régimes méditerranéen, grec, arabe, chinois, thaïlandais ou serbo-croate (curieusement, aucun ne se réclame de la cuisine britannique ou des raffinements nord-américains !). Pour la plupart, elles sont proposées, inventées, recommandées et publicitées par des gens (en règle générale, des hommes) qui n'ont jamais eu le moindre problème de sur-pondération... (NDLR : tout comme les conseils pour bien dormir viennent de parfaits non-insomniaques et ceux pour les maux de dos de contorsionnistes amateurs... professionnels. Allez comprendre  !).
Pour la plupart, ces recettes-miracle recommandent d'augmenter la consommation d'huile d'olive, de miel, d'aliments riches en fibres végétales et en acides gras dits insaturés dont personne ne sait où ils se nichent, et de réduire drastiquement la consommation d'aliments sucrés, salés ou ultra-transformés, et de charcuterie... le tout sous le prétexte ressassé que quelques paysans grecs ou sud-macédoniens, édentés et fripés à souhait, nés dans des îles isolées ou au fond de vallées perdues en des temps où l'état civil était inconnu, se targueraient d'être tous centenaires I
A contre-courant de ces tendances très ''dans le coup'', il est amusant de constater que, une fois de plus, les moines chrétiens des siècles passés savaient tout ça ''de toute éternité'', à ceci près que, au lieu de l'appliquer 8 jours ''parce que c'est écrit dans Elle, Fémina, Femmes actuelles ou le Figaro-Madame'',  ils en avaient fait une règle de vie inscrite dans un tout cohérent. La grande Sainte Hildegarde de Bingen, Docteur de l'Eglise, reste, aujourd'hui   encore,  la source la plus sûre pour une nourriture sage, adaptée et saine. Tous les grands ordres monastiques, il y a dix ou quinze siècles, spécifiaient la modération, les quantités et le choix des produits, les heures et la composition des repas, l'adéquation entre les efforts fournis... et la quantité de nourriture réparatrice. Ils interdisaient le grignotage entre les repas.
On a du mal à réaliser que 500 ou 1000 ans avant nous qui nous empiffrons sous prétexte de ''fêtes de fins damnées'' (NDLR : nous savons tellement que c'est mal, de faire ça, que nous appelons à notre aide ces grands ancêtres en qualifiant mensongèrement ces foutus excès de ''la magie de Noël'' --même si personne n'a vraiment honte de cet abus de langage, de ce vol d'identité, de ce détournement de raison sociale !), des hommes ordinaires --sûrement pas des médicastres... ce qui leur a permis de survivre !-- recommandaient ''peu de viande, de préférence pas faisandée, des légumes verts venant du verger le plus proche, le fromage, l'huile d'olive et le miel du monastère voisin... '' (et les ‘’nutritionnistes-sic’’ de pavoiser !). 
Tout près de Cannes, une ravissante église de style ''roman-Provençal'', située en bordure d'un aéroport, ce qui est un destin cruel pour une chapelle, est visible de chez moi. Elle est consacrée depuis 1654 à St. Jean Cassien, moine, et conseiller de l'Abbé de Lérins, venu de Jérusalem vers 525 pour convertir la Provence et sa côte d'azur  (NB : on dit, ici, ‘’Séing Cassiéeing’’). En ‘’piochant’’ la vie de ce Saint, je suis tombé sur un texte qui a sa place ici, me semble-t-il : ''Les choses que nous mangeons ont été créées pour une double fin : nous alimenter et nous servir de remèdes...''. Le brave Cassien ne pouvait pas encore savoir que savait pas encore que des siècles d'enrichissement progressif permettraient d'ajouter ''et à nous offrir de temps en temps de véritables joies gustatives''. et qu’une bonne quarantaine d’années de déchristianisation feraient de cet échec relatif une débâcle diététique et un véritable ''crime contre l'humanité'', trop étant ‘’aussi pire’’ que pas assez !
Je posais récemment la question  ''Noël... est-ce mieux, finalement, avec ou sans Dieu ?''. En tout état de cause, en ce qui concerne la dénaturation du sens ce joli mot en ''orgie de bouffe qui n'ose pas dire son nom''... l'affaire semble entendue ! Dès les ''galettes des rois'' finies (Pauvres ''Rois'', réduits à n'être plus qu'une fève profane dans de la frangipane !), on n'aura pas trop du reste de l'année pour se réconcilier avec la balance de la salle de bains et les crans de la ceinture, dépités...
H-Cl.
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ikasdu64 · 4 years
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L’AVENTURE DE LA BOUSTIFAILLE #1 – CULTURE VS PURÉE
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franckdoutrery · 1 year
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Farces de carnaval et faces de carême
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Le mot carême est une transformation du latin clérical quadragesima dies, c’est-à-dire « quarantième jour (avant Pâques) ». Il dénotait donc d’abord une date, ensuite toute la durée entre celle-ci et la grande fête du printemps. Et comme quarante n’est pas un multiple de sept et que Pâques tombe d’office un dimanche, la tradition a opté pour cinq semaines plus cinq jours. Ce qui fait quarante. C’est pour cette raison que le carême commence au milieu de la semaine, à savoir le mercredi dit « des Cendres ».
Celles et ceux qui ont connu ce type de calendrier il y a un demi-siècle ou plus, se souviendront qu'il marquait les crêtes et dépressions de l’année, donnant du relief à la vie quotidienne. C’est moins le cas aujourd’hui, où les fêtes se succèdent presque sans interruption, religieuses ou profanes, familiales ou citoyennes, autochtones ou importées. Et comme l’arc ne peut pas être tendu en permanence, il en résulte comme un nivellement des réjouissances, disons une "inflation festive". Rien de tel à l’époque, où le début du carême, précédé par trois jours de gaieté et de consommation débridées, était un des clairs-obscurs les plus tranchés de l’année. Car avant les cendres du mercredi, il y avait le carême prenant avec comme point culminant le mardi gras. Il faut dire que depuis la veille de la Chandeleur, l’hiver avait peut-être repris vigueur, mais les frimas n’avaient pas refroidi les ardeurs festives. En plus, la ronde des carnavals n’incitait pas forcément à la tristesse ou à la frugalité. Du cochon qu’on avait tué en janvier, il restait de bas mais beaux morceaux, en particulier les tripes sautées à la couenne de lard, qui convenaient bien au gras du mardi. Ce jour était l’occasion pour se remplir la panse de tout ce qui serait ensuite interdit par le cinquième commandement de l’Église : « Quatre-temps, vigiles jeûneras, et le carême entièrement ». Était notamment visée la viande, et d’abord celle du cochon, avec les jambons et les lards fumés, les boudins blanc et noirs suspendus aux poutres, sans oublier le pâté de porc en terrine. Mais la sobriété du carême exigeait aussi de « bouder contre son ventre » en matière de douceurs. Or pendant les trois jours précédents, le spectre de la privation de graisse et de sucré était conjuré par la consommation intensive d’une denrée qui combinait les deux, à savoir le beignet. Car quoi de plus gras que cette boule de pâte boursouflée de graisse bouillante, et quoi de plus doux que ce petit pain croustillant saupoudré de sucre ! 
Dès le lendemain le gras devait faire place aux Cendres. Ce qui impliquait de faire maigre pendant de longues semaines et de se serrer la ceinture. Encore l’alimentation n’était-elle pas la seule concernée. Il fallait aussi curer l’intérieur, là où se trouvait l’âme, entachée de frivolités depuis la Chandeleur, la Saint-Valentin et surtout le carnaval. Dès lors la rigolade n’était plus de mise et les farces de carnaval devaient céder le pas aux faces de carême. Même les amoureux étaient censés modérer leurs transports. Les Valentins avaient certes profité du 14 février pour se déclarer, mais contrairement à l’évidence, carême ne rimait ni avec caresse ni avec je t’aime. Pour l’Église ce temps était d’ailleurs impropre à la consommation des mariages. Le français en a gardé les amoureux de carême pour désigner des personnes timides, qui limitent les ébats au seul amour platonique. 
Tout concourait donc à transformer cette période en un temps d’épreuves. Pâques se devinait au loin comme l’arrivée d’une longue étape de montagne, dont l’escalade se ferait à la seule force du jarret. Comme on prévoyait une débauche d’énergie, il fallait prendre des forces en proportion. Ce qui avait des conséquences paradoxales. D’un côté le carême prenant servait à faire le plein de boustifailles à forte valeur nutritive, mais d’autre part, la bombance ajoutée à l’excès pondéral de l’hiver risquait de plomber le pèlerin dans l’ascension vers Pâques. Quoi qu’il en soit, le but était désormais de se restreindre tant pour l’alimentation que pour les plaisirs. Même si chacun était libre d’y voir l’occasion d’une expérience spirituelle dépassant le régime du printemps, le mot carême se chargea vite de connotations de faim, de maigreur, de tristesse et d’ennui. Ainsi, toute abstention pouvait bientôt se dire carême (de plaisanteries, de tabac, de théâtre, etc). Et un personnage à la figure émaciée était facilement appelé un saint de carême. La durée même de l’exercice, perçue comme d’une longueur excessive, finissait par s’appliquer à la dimension verticale. Ainsi l'expression long comme un carême, qui indiquait d’abord l’ennui dégagé par un prêche, fut bientôt utilisée aussi pour qualifier un homme grand, maigre et dégingandé. 
Mais comme tous les ans, le carême aussi passera, si long fût-il. Car "Que ferait le bois sans pivert / Le petit jardin sans lilas / Oui, tout passe, même l’hiver / Je le sais par mon petit doigt / Que je garde toujours en l’air". Le poète a toujours raison, mais spécialement ces temps-ci, puisqu'il s'appelle Maurice Carême.
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lebideduroutard · 4 years
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Jour 31, 32 et 33 - 19 20 et 21 février Phnom Penh : retrouvailles et boustifailles
Nous nous sommes levés tôt pour nous rendre à la compagnie de bus pour leur expliquer notre problème de devise. Ils sont rodés. J’avais même pas fini d’expliquer le problème que la nana de l’accueil, antipathique au possible, me pointe du doigt un monsieur qui nous échangera des dongs contre des dollars. On s’attendait à ce qu’il profite de la situation et au final, le taux de change n’est pas si terrible, pas fameux mais acceptable. 
Nous montons donc le bus direction le Cambodge. Dès la montée, l’hôte nous demande nos passeports et 35$ chacun pour le visa. On sait que le visa est à 30$ mais on a pu lire sur les avis de la compagnie de bus que les 5$ supplémentaires sont pour l’hôte qui se charge d’obtenir notre visa à notre place. Ce qui évite l’attente à la frontière et que les douaniers essaient d’obtenir encore plus. Clairement c’est du racket mais on n’a pas envie de se battre et ils font au moins l’effort de le présenter comme un service payant et non comme un évident bakchich. Nous avons pris donc exactement 70$ et pas un de plus. On a bien fait parce qu’il commence à nous expliquer qu’ayant un E-visa à l’origine, il faut payer 4$ de plus. On lui explique avec nos petits yeux désolés que nous n’avons pas assez. Il nous rassure et nous joue les grands princes en nous expliquant qu’il va avancer la somme et  qu’il nous arrêtera à un ATM dès que nous serons arrivés au Cambodge pour qu’on le rembourse. On négocie un peu mais toutes les personnes du bus ont payées sans broncher et je suis déjà toute rouge d’essayer de négocier donc je me vois mal faire un scandale. Au final, on sera chanceux parce qu’il aura complètement oublié son histoire de 4$ donc nous arriverons à Phnom Pen en payant 35$ chacun et en traversant la frontière comme dans du beurre. A part un contrôle des empreintes, il ne s’est rien passé même pas la fameuse visite médicale payante (encore une arnaque bien entendu, il s’agit à priori d’un simple contrôle de la température corporelle) depuis le début du Coronavirus. 
 A notre arrivée nous avons pris notre premier Tuk tuk pour rejoindre nos copains Marion et Florian.  Je trouve ça super comme mode de transport. Tu es à l’ombre (note d’Arthur : dis ça à ma jambe droite…) et tu as de l’air frais. Il y a moins de scooter qu’au Vietnam mais plus de voiture. La circulation est moins dense mais semble moins organisée d’une certaine façon. 
 Le soir, nous rejoignons sur un rooftop (pour prendre un peu de hauteur) des copains de Marion, Lucie et Yann, eux aussi en tour du monde. Nous sommes maintenant 6 à découvrir les rues de la capitale cambodgienne.  Nous admirons la ville en sirotant nos premières bières. Grâce à Arthur qui a été la cible de pigeon ayant des désordres intestinaux (note d’Arthur : comprendre “je me suis fait recouvrir de mer*e”…), le manager nous offrira une seconde tournée gratuite. Nous avons ensuite été manger dans un restaurant où les pâtes sont faites à la main devant nous. Hmmm c'est délicieux.
 Pour l'instant j'ai encore la manie de tout comparer avec le Vietnam : les hôtels, les routes et le rapport qualité prix étaient beaucoup mieux au Vietnam. Mais les gens semblent beaucoup plus souriants et aidants au Cambodge.L'essentiel reste que la nourriture est excellente dans les deux pays. Petit bémol, nous nous attendions à ce que ce soit moins cher au Cambodge mais au final c'est bien plus cher et notre budget prévisionnel explose. Tant pis, nous rejoindrons peut être plus rapidement le Laos.
A Phnom Penh, nous partageons une grande chambre avec Marion et Florian. Leur façon de faire le ménage est un peu particulière puisqu'il pousse la poussière dans les coins mais la terrasse est très agréable. On profite du petit balcon pour papoter un peu et pour jouer aux dés avant d'aller se coucher en profitant de l'air moins lourd du soir. Je dis moins lourd car je ne peux théoriquement pas parler d'air frais sous 34 degrés.
Le lendemain après un petit déjeuner décevant, on regrette les banana pancakes vietnamiens, nous rejoignons Lucie et Yann et marchons jusqu'au palais royal. Il y a un nombre impressionnant de tuktuk en ville. Ils nous sollicitent en nous demandant systématiquement si nous souhaitons nous rendre au Killing fields qui sont les champs d'extermination sous le terrible régime des Khmers Rouges. Nous déclinons poliment et ils n'insistent pas. A l'exception de l'un d'entre eux à qui nous expliquons que nous préférons marcher et qui nous a répondu avec beaucoup de tact que les “big body” n'aiment pas marcher et que donc il allait nous amener au palais royal. Du coup, nous déclinons beaucoup moins gentiment son offre. Il y a mieux comme approche commerciale que de dire aux clients qu’ils sont gros… 
Nous arrivons à peine quelques minutes après au palais royal qui est exceptionnellement fermé ! J'ai l'impression qu'à chaque fois que je raconte nos journées je vous explique que l'on souhaite se rendre à un endroit et qu'en fait c'était fermé. Ça devient ce que l'on appelle un running gag.
On devient cependant de plus en plus réactifs. On n'hésite pas et on se rend au musée national qui jouxte le palais. L'architecture du bâtiment est très joli mais les collections exposées sont un peu décevantes : il s'agit majoritairement de pierres rapatriés depuis les temples d'Angkor. Pour un prix d'entrée à 10 dollars par personne, ça ne vaut pas le coup ! 
Après un chouette déjeuner sur une terrasse ombragée dans un joli jardin, nous avons décidé d’aller visiter le terrifiant musée S-21, ancien camp d’extermination sous le régime des Khmers Rouges. On ne connaît pas ou très peu cette période de l’histoire pourtant très récente. Je n’ai pas trop envie de m’étendre sur cette visite. C’est terrible ce qu’il s’est passé entre ces murs. Il y a des panneaux “Interdit de sourire” mais clairement, on n’en a pas envie : il est même nécessaire de faire des pauses à certains moments de la visite, afin d’essayer de digérer un peu les horreurs que l’on découvre peu à peu.
Après s’être beaucoup instruit sur cette période dramatique, nous sommes ressortis silencieux et le cœur lourd. 
 Après avoir marché toute la journée, nous sommes rompus. On s’arrête alors pour découvrir une rhumerie cambodgienne artisanale. On a dégusté des cocktails avant d’avoir le droit à une visite privée de la distillerie par une française. C’était très intéressant et ça sentait super bon. Par contre quand elle nous a enfermé dans une pièce en nous expliquant à bout de souffle qu’on ne pourrait pas rester longtemps parce qu’il y avait trop de CO2 on a tous trouvé ça moins chouette. 
Ensuite, nous avons choisi un petit resto dénommé Kabbas, proche de nos hôtels, le Amok y était si bon qu’on y est revenu le lendemain.  
Le lendemain nous avons commencé la journée par une visite du palais royal et de la pagode d’argent. L’entrée était encore à 10 dollars et le guichetier m’a rendu un billet de sa poche pour faire le change sur un billet de 50 dollars. Je n’ai pas trop compris sur le coup mais en fait son billet n’était pas dans un excellent état. Or, chose que je ne savais pas, si ton billet présente quelques marques d’usure, il est refusé partout ! On était vert quand le restaurateur nous a dit “too old too old” en refusant notre billet. Heureusement, Arthur et Marion ont été l’échanger dans une banque et nous sommes depuis beaucoup plus vigilants quand quelqu’un nous rend de la monnaie. 
Pour en revenir au palais royal, après que le guichetier nous ait refilé ses mauvais billets, nous avons commencé notre visite mais finalement, les bâtiments sont certes très beaux mais il n’y a pas grand chose à voir. Il y a des bâtiments en travaux, d’autres inaccessibles puisque occupés par le roi. On ne peut entrer dans aucun bâtiment à l’exception de la pagode d’argent et quand on arrivera à la pagode d’argent, on aura à peine le temps de rentrer dedans que l’on commencera à être gentiment poussé vers la sortie car le palais ferme pour la pause déjeuner. Bref pour 20 dollars, soit plus du tiers de notre budget journalier ce n’est pas exceptionnel. Après, je ne suis pas déçue pour autant parce que je découvre l’art Khmer, l’architecture et c’est tout de même très chouette. Après avoir pris une longue pause déjeuner pendant laquelle Florian et Marion ont été se faire masser violemment, on a été se balader au central market. C’est un grand bâtiment octogonal dont les échoppes débordent jusque sur la route. C’est organisé. Il y a le coin des bijoutiers, le coin des vêtements, le coin des poissonniers, des bouchers, des légumiers, des fruitiers et... des trucs bizarres. J'adore les marchés. C’est vrai qu’il y a plein d’odeurs et parfois pas très agréables mais j’adore l’ambiance. Surtout dans le quartier pour l’alimentation, ca grouille de partout. Les viandes sont grillées, les poissons et divers crustacés sont refroidis dans des bacs d’eau rempli de glaçon, les fruits sont pressés (note d’Arthur : j’ai quand même eu quelques frissons, réflexe de cuisinier, devant les normes sanitaires inexistantes…). Tous les sens sont sollicités et je pourrai me promener des heures juste pour observer. On sent tout de même que c’est la fin du marché et qu’il est temps de chercher un rooftop pour boire un petit verre en regardant le coucher du soleil avant d’aller manger. Après avoir siroté nos rafraîchissements, nous sommes retourné à Kabbas et nous n’avons pas été déçu ! C’est notre dernier soir à Phnom Penh. Demain matin nous partons pour la région de Kampot. Lucie et Yann ont décidé de nous accompagner. C’est vrai qu’on rigole bien tous ensemble. Nous avons joué aux dés sur notre balcon et nous nous sommes couchés relativement tôt car le lendemain le réveil sonnera à 6h30 pour prendre le bus. Kampot nous voilà !
Cha 
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canforasoap · 4 years
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La patronne est venue avec nous. Antoine s’est assis contre elle. On rigolait de les voir peloter. Il lui cherchait ses jarretelles. Il lui retroussait ses jupons. Elle ricanait comme une bique. Y avait de quoi lui foutre une pâtée tellement qu’elle était crispante... Il lui a sorti un nichon. Elle restait comme ça devant, ravie. Il nous a versé tout le fond de sa bouteille. On l’a finie avec Robert. On a liché le verre. C’était meilleur que du banyuls... Finalement tout le monde était saoul. C’était la folie des sens... Alors Antoine, il lui a retroussé toutes ses cottes, à la patronne, comme ça d’un seul coup ! Haut par-dessus tête !... Il s’est redressé debout aussi, et puis telle quelle, emmitouflée, il l’a repoussée dans sa chambre. Elle se marrait toujours... Elle tenait le fou rire... Ils ont refermé la lourde sur eux... Elle arrêtait pas de glousser... Nous deux, Robert et moi, c’était le moment qu’on grimpe sur le fourneau de la cuistance pour assister au spectacle... C’était bien choisi comme perchoir... On plongeait en plein sur le page... Y avait pas d’erreur. Antoine tout de suite, il l’a basculée à genoux, la grosse môme... Il était extrêmement brutal... Elle avait comme ça le cul en l’air... Il lui farfouillait la fente... Il trouvait pas la craquouse... Il déchirait les volants... Il déchirait tout... Et puis il s’est raccroché. Il a sorti son polard... Il s’est foutu à la bourrer... Et c’était pas du simili... Jamais je l’aurais cru si sauvage. J’en revenais pas... Il grognait comme un cochon. Elle poussait des râles aussi... Et des beaucoup plus aigus à chaque fois qu’il fonçait... C’est vrai ce que Robert m’avait dit à propos de ses fesses, à elle... Maintenant on les voyait bien... Toutes rouges... énormes, écarlates !... Le pantalon en fin volant, il était plus que des loques... C’était tout mouillé autour... Antoine il venait buter dur en plein dans les miches... chaque fois ça claquait... Ils s’agitaient comme des sauvages... Il pouvait sûrement la crever de la manière qu’il s’élançait... Son falzar, il lui traînait le long des mollets jusque par terre... Sa blouse le gênait encore, il s’est dépiauté d’un seul coup... Elle est tombée à côté de nous... Il était à poil à présent... Seulement qu’il gardait ses chaussons... ceux du patron... les minets brodés... Dans sa fougue pour l’emmancher, il a dérapé du tapis, il est allé se cogner la tronche de travers dans le barreau du lit... Il fumait comme un voleur... Il se tâtait le cassis... Il avait des bosses, il décolle... Il s’y remet, furieux. « Ah ! la salope ! alors qu’il ressaute ! Ah ! la garce ! » Il lui fout un coup de genou en plein dans les côtes ! Elle voulait se barrer, elle faisait des façons… « Antoine ! Antoine ! j’en peux plus !... Je t’en supplie, laisse-moi, mon amour !... Fais attention !... Me fais pas un môme !... Je suis toute trempée !... » Elle réclamait, c’était du mou !... « Ça va ! Ça va ! ma charogne ! boucle ta gueule ! Ouvre ton panier !... » Il l’écoutait pas, il la requinquait à bout de bite avec trois grandes baffes dans le buffet... Ça résonnait dur... Elle en suffoquait la garce... Elle faisait un bruit comme une forge... Je me demandais s’il allait pas la tuer ?... La finir sur place ?... Il lui filait une vache trempe en même temps qu’il la carrait. Ils en rugissaient en fauves... Elle prenait son pied... Robert il en menait plus large. On est descendus de notre tremplin. On est retournés à l’établi. On s’est tenus peinards... On avait voulu du spectacle... On était servis !... Seulement c’était périlleux... Ils continuaient la corrida. On est descendus dans la cour... chercher le seau et les balais, soi-disant pour faire le ménage... On est rentrés chez la concierge, on aimait mieux pas être là, dans le cas qu’il l’étranglerait... Y a pas eu de drame ni de cadavre... Ils sont ressortis tout contents... On n’avait qu’à s’habituer !... Les jours d’après, des provisions on en a fait venir de partout, de trois épiciers, rue des Écouffes, rue Beaubourg, qui nous connaissaient pas encore... Tout un rayon de boustifaille qu’on s’est constitué et puis en même temps, une vraie cave, avec la bière à crédit et du mousseux « Malvoisin ». On devenait canailles... Je trouvais des prétextes pour ne plus croûter chez mes vieux. Rue Elzévir ça tournait en vraie rigolade, on arrêtait pas de s’empiffrer. On foutait plus rien du tout. Le tantôt, sur les quatre heures, on attendait nous deux Robert, l’ouverture de la corrida... Maintenant, on avait plus la trouille. Ça nous faisait aussi moins d’effet. Antoine d’ailleurs, il se dégonflait, il allait plus si fort au cul, il s’essoufflait pour des riens... Il s’y reprenait en dix fois... Il se vautrait entre les fesses... Il la faisait toujours mettre à genoux... Il lui calait le bide à présent avec l’édredon. Il lui remontait haut la tête sur les oreillers... C’était une drôle de position... Il lui empoignait les tiffes... Elle poussait de vaches soupirs... Tout de même, ça suffisait plus... Il a voulu lui prendre l’oignon... Elle se défendait... Elle se débattait. Alors la fureur est revenue. C’était la rigolade intense... Elle gueulait plus fort qu’un âne !... Il dérapait à toutes les prises... Il y arrivait plus... Il saute alors du pageot, il pique tout droit dans la cuisine... Comme on était nous sur le poêle, il nous voit pas heureusement, tellement qu’il était passionné... Il passe à côté, il se met à farfouiller dans le placard, comme ça à poil, en chaussons... Il cherchait le pot de beurre... Il se cognait la bite partout : « Oh ! yaya ! Ohoh ! yaï ! ya !... » qu’il arrêtait pas de glapir... On en avait mal, nous autres... tellement qu’il était marrant... on en éclatait... « Le beurre ! nom de Dieu ! le beurre !... » Il l’a trouvé enfin son pot... Il tape dedans à la louche... Il l’emporte pleine... Il recourt vite vers le plumard... Elle faisait des manières encore... elle finissait pas de tortiller... Il lui a beurré le cul en plein, les bords, tout lentement, soigneusement à fond, comme un ouvrier de la chose... Elle reluisait déjà, la tante !... Il a pas eu de mal... Il l’a mise à fond d’autorité... c’est rentré tout seul... Ils ont pris un pied terrible... Ils poussaient des petits cris stridents. Ils se sont écroulés sur le flanc. Ils se sont raplatis... Ils se sont foutus à ronfler...
Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit
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wwolcd · 5 years
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Quand Cthulhu réclame la boustifaille.
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