Guns Nâ Roses: The Ultra Rare Trax Rarities, Obscurities And Oddities (2020)
Limited Edition Red Vinyl
The release falsely states "All tracks from various broadcast recordings, 1987 - 1996". Much of the release is comprised of studio tracks, leaked demos, fake songs, unbroadcast audience recordings and tracks that originate after 1996.
Track 6 is fake. The release incorrectly gives the artist as "Axl Rose With Meatloaf". It is taken from âThe Music of Andrew Lloyd Webber.â The correct artist is Delta Theatre Band
Track 8 is not Guns N' Roses, and is instead taken from a tribute album. The correct artist is Jizzy Pearl.
Track 12 incorrectly implies that Axl and Slash are The Outpatience, but that is in fact West Arkeen's band. The song is taken from The Outpatience - Anxious Disease and features Axl and Slash on the track 'Anxious Disease'.
Track 16 is fake. It is a recording of a Van Halen cover band. The release incorrectly states that it is featuring Van Halen.
Track 18 is a fake track commonly labelled as being performed by Axl Rose. The release gives the artist as "Axl As Bing Crosby", but it is actually an unconfirmed impersonator.
Tracks 3, 4, 10, 11, 13 and 17 are listed as "First Live Recording[s]". This is incorrect when applied to track 11 as it is the studio version, and track 17 as it is a pre-1990 demo.
Track 13 is a live recording "Made In Las Vegas".
Parachute Recording Company
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TRIBUNE FreeForm : 1er Mai 2017, un teknival en forme de bilan ?
TRIBUNE FreeForm : 1er Mai 2017, un teknival en forme de bilan ?
TRIBUNE : 1er MAI 2K17, UN TEKNIVAL EN FORME DE BILAN ?
LE TEKNIVAL, UN MOMENT FESTIF AUTANT QUâUN OUTIL POLITIQUE POUR LA SCĂNE FREE.
24 ans⊠en presque un quart de siĂšcle le teknival est devenu petit Ă petit le symbole dâune scĂšne free party et de son rapport de force avec lâĂ©tat.
Il est passĂ© par diffĂ©rentes pĂ©riodes. ImportĂ© par des anglais chassĂ©s par le gouvernement ultra-conservateur de Margaret Thatcher, il porte en lui les germes de la contestation et cristallise au dĂ©but des annĂ©es 2000 toutes les tensions imaginables. IngĂ©rable et ingĂ©rĂ© Ă la fin des annĂ©es 90, il deviendra une monnaie dâĂ©change entre le mouvement et le gouvernement aprĂšs le passage de la loi Marianni en 2002. Le teknival du 1er mai et du 15 aout deviennent lĂ©gaux et les sound systems acceptent de rentrer dans le cadre proposĂ© par Nicolas Sarkozy en Ă©change de lâaugmentation du seuil maximum pour une free non dĂ©clarĂ©e. On passe alors de 250 Ă 500 personnes. Cela restera la seule avancĂ©e notable en 15 ans.
En 2007, les collectifs bretons acceptent de sacrifier le « teknival off des Vieilles charrues », manifestation devenue lĂ©gale qui se tenait au dĂ©but de lâĂ©tĂ© en marge du festival et regroupait plus 50 000 personnes contre lâorganisation de « multisons », sorte de mini-teknival lĂ©gal Ă taille humaine (autour de 5000 personnes). Lâaccord comporte la possibilitĂ© pouvoir en faire un par an et par dĂ©partement sur les deux rĂ©gions (Pays de Loire et Bretagne â 9 dĂ©partements0 avec un soutien financier et opĂ©rationnel des prĂ©fectures. Entre 2008 et 2012, ce sont plus de 25 multis qui ont lieux dans lâouest, permettant de dynamiser la vie des collectifs et dâamĂ©liorer lâimage des teufs.
A partir de 2012, juste aprĂšs lâĂ©lection de F. Hollande, les choses recommencent Ă se dĂ©grader. Les engagements concernant les multis dans lâOuest ne sont plus tenus par lâĂ©tat et du cĂŽtĂ© des teknivals, le mĂ©pris des organisateurs, des sons et du public devient la rĂšgle. En 2015, un ras-le-bol se fait entendre. MĂȘme si lâĂ©dition 2015 du 1er mai rĂ©unit encore plus de 30 000 personnes, lâambiance nâest plus Ă la fĂȘte alors que les saisies se multiplient partout sur le territoire.
Signe de la rupture totale entre le gouvernement et les collectifs, ce nâest pas un mais deux teknivals illĂ©gaux et revendicatifs qui refont surface. Le 15 aout, dans le sud fait le premier son retour Ă lâĂ©tĂ© 2015, aprĂšs 8 ans dâabsence. Suit le 1er mai 2016 qui rĂ©unit aussi prĂšs de 30 000 personnes dans le centre de la France, puis le de nouveau le 15 aout dans le sud. Les revendications sont les mĂȘme sur toutes les manifestations : arrĂȘt des saisies, Ă©volution de la loi, plus de concertation et moins de rĂ©pression. Elles sont reprises dans les mĂ©dias et les teknivals se dĂ©roulent sans aucun incident, ce qui dĂ©montre de nouveau la capacitĂ© dâorganisation des collectifs impliquĂ©s.
Ces gros rassemblements permettent de remettre un temps la question du dossier free party sur le tapis et plusieurs rĂ©unions ont lieu au cabinet du Premier Ministre de lâĂ©poque, Manuel Valls. Si les ministĂšres de la Culture et de la Jeunesse et mĂȘme les conseillers directs du Premier Ministre semblent pour une concertation et une Ă©volution du cadre lĂ©gal, le ministĂšre de lâIntĂ©rieur, arc-boutĂ© sur lâutilitĂ© de la saisie comme moyen de contrĂŽler les teufs, bloque toute avancĂ©e. 3 jours aprĂšs la dĂ©mission de Valls, le ministre de lâIntĂ©rieur Bernard Cazeneuve devient 1er ministre et une rĂ©ponse du nouveau ministre de lâIntĂ©rieur Ă la sĂ©natrice EELV M.C BLANDIN clos les nĂ©gociations. Tout va bien dans le meilleur des mondes.
ET LE 1ER MAI 2017 ?
DĂ©but 2017, alors que la campagne pour les prĂ©sidentielle bat son plein et quâun proche de Benoit Hamon est nommĂ© ministre de lâIntĂ©rieur aprĂšs la dĂ©mission forcĂ©e de Bruno Leroux, on imagine quâun Ă©change va avoir lieu. Surtout que dans le numĂ©ro de Trax consacrĂ© aux Ă©lections, le candidat PS se prononce pour que les free parties prennent leur place dans le paysage culturel et quâil y ait plus de concertation. Pourtant Ă quelques jours du teknival, aucune prise de contact, aucun appel envers les associations du secteur, ne serait-ce que pour savoir ce qui est prĂ©vu en rdr⊠Rien, encĂ©phalogramme plat et toujours lâimmense dĂ©calage entre les mots et les actes.
Les manifestives organisĂ©es dans 7 villes en simultanĂ©e et qui rĂ©unissent plus de 30 000 personnes Ă la mi-mars nâarrachent mĂȘme pas un commentaire cĂŽtĂ© Culture.
Du coup, du cĂŽtĂ© des collectifs et du public, on sâactive pour faire de la nouvelle Ă©dition du teknival du 1er mai un exemple dâautogestion. Les revendications sont de nouveaux exposĂ©es mais plus dâenvie de discuter, surtout avec un gouvernement qui nâa que quelques semaines Ă vivre.
Le gouvernement actuel passe la main sur un bilan plus que mitigĂ© sur les free parties. 2 circulaires Ă peine relayĂ©es dans les prĂ©fectures, la nomination trĂšs tardive des mĂ©diateurs avec lesquels une premiĂšre rĂ©union a eu lieu fin mars 2017 alors que leur nomination avait Ă©tĂ© annoncĂ©e dĂšs lâĂ©tĂ© 2015. Et bien sĂ»r, un soutien renouvelĂ© Ă Freeform par le ministĂšre de la Jeunesse, mais tellement dĂ©risoire. Une asso, un local et 3 salariĂ©s pour un mouvement qui compte plus de 800 collectifs, prĂšs de 4 000 teufs par an et des centaines de milliers de participants rĂ©guliers. Un seau pour vider un navire qui couleâŠmieux que rien mais tellement insuffisant.
Mais surtout, et mĂȘme si la scĂšne reste trĂšs dynamique et que nous avons de belles fĂȘtes tous les week-ends en France, les saisies de matĂ©riel sont devenues monnaie courante, les pressions et les intimidations font dĂ©sormais parties du quotidien des collectifs. Une certaine libĂ©ration de la rĂ©pression sâinstalle et les affrontements ne sont pas rares. En rĂ©gion parisienne, a de nombreuses reprises, teufeurs et gendarmes en viennent aux mains, des organisateurs sont arrĂȘtĂ©s pour rĂ©bellionâŠDans un contexte politique tendu, certains semblent penser quâun flashball peut arrĂȘter un mouvement habituĂ© Ă la clandestinitĂ© depuis plus de 25 ans.
QUELLE POSITION POUR FREEFORM DANS CE TEKNIVAL ?
Pas facile pour une association dont le rĂŽle est de faire de la mĂ©diation de sâengager quand les deux parties ne veulent plus dialoguer. Avec un peu la sensation de nous retrouver entre le marteau et lâenclume, nous avons dĂ©cidĂ© de rester en retrait cette annĂ©e. Nous ne forcerons pas la main aux uns et aux autres pour dialoguer. La « concertation » de lâĂ©dition 2016 nous aura servi de leçon.
Nous respectons le choix des organisateurs de ne plus dialoguer. Qui pourrait leur reprocher alors que mĂȘme nous, nous avons jetĂ© lâĂ©ponge ?
Par contre, difficile de ne pas juger lâattitude du ministĂšre de lâIntĂ©rieur assez irresponsable. Au regard du niveau de surveillance dont font lâobjet les sound systems, il est impossible que le gouvernement ne soit pas informĂ© de lâexistence du teknival 2017. Les pouvoirs publics semblent miser sur le fait que tout se passera sans accrocs, que le teknival sera limitĂ© et sans ampleur. Rien ne semble se prĂ©parer en termes de premiers secours ou de santĂ© publique. Le travail des assos de RDR est toujours formidable et on sait quâils seront encore une fois au premier rang pour pallier aux dĂ©ficiences de lâĂ©tat, mais prier que tout se passera bien sans rien prĂ©voir nous parait Ă minima, peu sĂ©rieuxâŠ. Penser que les candidats Ă la prĂ©sidentielle nâen parleront pas semble aussi ĂȘtre un pariâŠrisquĂ©.
La position de lâIntĂ©rieur consiste Ă laisser faire avec deux options confortables : si tout se passe bien, câest lâencadrement des services de lâĂ©tat quâil faut louer, et si cela se passe mal, câest lâirresponsabilitĂ© des organisateurs quâon pourra dĂ©noncer. Cela aussi ne nous semble pas digne dâun Ă©tat qui prend soin de sa jeunesse.
En pleine pĂ©riode Ă©lectorale, avec la dĂ©ception quâengendre auprĂšs des publics un deuxiĂšme tour ou la seule option pour sâexprimer est de voter contre le Front National ou de sâabstenir, il y a fort Ă parier quâune bonne partie des collectifs et du public français choisirons de faire entendre leur colĂšre en participant massivement au teknival.
Nous renouvelons notre confiance et notre soutien aux collectifs engagĂ©s dans la dĂ©fense de la fĂȘte libre. Nous resterons particuliĂšrement attentifs Ă toute violence et dĂ©bordement qui pourrait survenir et surtout, mĂȘme si lâassociation nâest pas prĂ©sente formellement sur le site, nous ne serons pas loin, vigilants, disponibles et rĂ©actifs !
PassĂ© ce teknival et les Ă©lections, quand nous aurons de nouveaux interlocuteurs au gouvernement, nous prendrons de nouveau le pouls de ceux-ci. Une fois de plus, infatigables dĂ©fenseurs du dialogue et de la concertation, nous tenterons de remettre les gens autour de la table des nĂ©gociations, sâils le souhaitent et si nous avons un gouvernement digne de ce nom, et ça, ce nâest pas encore gagnĂ© !
 Source : FreeForm > https://www.facebook.com/assofreeform/
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