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#VoyageIntérieur
zenwavevibes · 2 months
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Exploration intérieure 🧘‍♂️✨
Aujourd'hui, faisons un voyage différent. Pas autour du monde, mais au cœur de nous-mêmes. Gandhi nous rappelle que la plus grande aventure est celle de la découverte de soi.
Prenez un moment pour méditer, respirer profondément, et explorer votre paysage intérieur. Qui sait quels trésors vous y trouverez ?
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janelher · 6 months
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Lenteur
Dans l'âme matinale d'une époque révolue, alors qu'une enfance de neuf printemps se dessinait, un air, tel un murmure évanescent, s'éleva dans l'antre familial. "Imagine", émanation solitaire de John Lennon, enveloppait l'espace, tissant une toile mélodique inconnue. Ignorante de l'artiste, ce nom fut révélé, marquant le commencement d'une odyssée intérieure, ignorant alors qu'il deviendrait le phare de mon existence.
Le destin, cruel et moqueur, par la voix paternelle, m'annonça la tragique disparition de cet oracle musical. Moi, enfant de 1994, confrontée à une chronologie absurde, fut emportée par une vague de chagrin abyssal, comme si le monde venait de perdre sa lumière.
Alors me fut offerte la clé d'un univers parallèle, les Beatles, tels des astres lointains, m'initiant à leurs hymnes éternels. Malgré le voile linguistique, leurs accords résonnaient, transcendant la barrière des mots, baignant mon âme d'une mélodie incessante.
À treize ans, en pleine tempête de l'adolescence, enfermée dans ma carapace de rébellion, je masquais ma détresse face à une scolarité titanesque. Les adultes, perspicaces, discernaient mon désarroi. Ce fut dans cet abîme que mon professeur de musique, M. Di Maria, tel un phare dans la nuit, m'offrit une révélation. Le film "A Hard Day's Night" fut projeté, miroir de mes tourments intérieurs. Il vit au-delà de ma rébellion, découvrant la passion enfouie sous ma carapace. Dans cet océan de spleen interminable , plutôt que de me juger, il m'offrit une bouée de sauvetage, m'initiant à un pèlerinage musical et libérateur.
En 2009, à quinze ans, le rêve se matérialisa : Paul McCartney en concert. Ce fut une révélation, une communion avec l'essence des Beatles. Le lendemain, partageant cette expérience en classe d’anglais, je transformai la perception de mes professeurs.
2015. La musique des Beatles tissa un lien miraculeux avec Olivier, musicien émérite. Pour nous, McCartney n'était pas qu'un artiste, mais un guide spirituel. Notre union, imprévue et intense, fut brutalement interrompue en 2017, laissant derrière elle un vide incommensurable.
La musique, autrefois source de salut, se muait en mélancolie. Pourtant, malgré le deuil, McCartney et les Beatles demeuraient mon salut. "Now and Then", mélange des voix passées et présentes, est alors devenu le symbole de ma résilience.
Aujourd'hui, aux côtés d'Alexandre, je continue de combattre, portée par cette musique, témoin de mes épreuves. Approchant mes trente ans, cette mélodie est un hymne à la vie, à la rédemption. Vivante, je pleure, je souris, éternellement reconnaissante pour chaque note qui m'accompagne dans ma guérison. Merci, merci, merci.
Dans le flux continu de cette quête mélancolique, le temps semble suspendre son vol, s’étirant tel un ruban infini à travers mes jours et mes nuits. Chaque note de musique, chaque mélodie, devient un écho lointain d’une époque révolue, un pont entre le passé et le présent. L’horloge, dans son tic-tac monotone, marque la cadence de cette nostalgie, me rappelant sans cesse l’immuable progression du temps, lente et inéluctable.
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valheyrie · 1 year
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🚀 Lâchez prise et laissez vos envies vous guider 🚀
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Hey les explorateurs,
Il est temps de lâcher prise et de laisser vos envies prendre les commandes. Où vos désirs vous mèneront-ils aujourd'hui ? 🚀
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alicebluelife · 6 years
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"Puisque vous partez en voyage 🎵🎶mon chéri je pars avec vous "🎶🎵
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madamesuave-blog · 7 years
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Après mon voyage au Népal
Beaucoup de choses ont changé depuis mon retour du Népal.
J’ai repris l’enseignement, que j’aime et que je ressens comme une vocation, mais c’est comme si je souffrais d’un manque de sens. 
Mes élèves sont d’une gentillesse immense. Je leur ai montré des photos du Népal, des photos de moi, même, et j’ai essayé de leur faire ressentir ce que j’avais ressenti là-bas. Je leur ai partagé mes difficultés, mes joies, mon émerveillement. Leurs yeux étaient si grands. J’ai aimé ce moment où il n’y avait plus cette relation verticale, cette relation frontale, entre eux et moi.
J’étais avec des êtres humains et je leur racontais mon expérience humaine. C’était beau.
Je souffre d’un manque de sens car ces moments, dont je parle si souvent, sont trop rares. C’est tellement dommage.
Je voudrais en faire le coeur de mon enseignement.
Je voudrais tout changer.
Je voudrais casser les murs des salles de classe. Je voudrais que l’on travaille en équipe, que l’on mêle les âges, que l’on encourage la créativité, l’entraide, la réflexion, que l’on considère chacun comme une individualité, un être unique. 
Je voudrais que les élèves aient la possibilité de sortir, de se mettre en mouvement, d’être plus souvent au contact de la nature, de libérer leur élan vital. 
Je voudrais qu’on leur donne la possibilité de se rencontrer, de se connaître, de s’interroger sur ce qu’ils veulent vraiment.
Je voudrais leur donner du temps, de l’espace.
Mon fantasme secret serait de dire à certains, qui n’en peuvent plus de rester assis, qui s’ennuient : “Allez c’est bon, sortez, allez explorer, allez voir le monde !”
Combien de temps allons-nous continuer à aller à l’encontre du bon sens ?
Combien de temps allons-nous continuer à enfermer les élèves entre quatre murs ? 
Combien de temps allons-nous continuer à essayer de les faire entrer dans un cadre défaillant ?
C’est violent.
J’ai instauré l’oral libre aussi, sur le principe des scènes ouvertes. Un élève passe à l’oral s’il le veut et nous parle de ce qu’il veut. Il peut nous parler d’un livre qu’il a lu ou d’un film qu’il a vu, nous raconter une histoire qu’il a entendue ou qui lui est arrivée, une anecdote drôle, touchante. Il peut nous lire quelque chose qu’il a écrit, jouer un petit sketch, nous raconter une blague. C’est chouette ! 
Mes élèves sont des perles, tous autant qu’ils sont. Je le leur rapelle.
Est-ce suffisant ?
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archontepastalife · 7 years
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Foyer
Le monde est vaste, gigantesque, d'une telle taille que l'esprit humain ne peut l'appréhender véritablement sans se focaliser sur de petits points de détails, paysages, architectures, lieux de vie ou de passage. Ce sont des îles, des phares, des points de certitudes qui nous permettent d'appréhender des distances vides autrement si faramineuses qu'elles vous perturbent l'esprit.
On peut courir toute sa vie autour, en suivant autoroutes ou sentiers, cherchant alternativement le fourmillement incroyable des villes surpeuplées ou la solitude sublime des zones les plus reculées. Chaque endroit a sa valeur, le cœur des déserts brûlants, les forêts primitives impénétrables ou les bidonvilles en bordure des cités, la complexité d'organisation des métropoles hyper-connectées ou l'incroyable efficacité simpliste d'un village ancestral perdu. L'air, la terre, le feu, l'eau et l’œuvre des animaux et des hommes trouvent une infinité de moyens de se combiner pour offrir aux yeux et à l'esprit de quoi s'émerveiller pour bien plus longtemps qu'une vie humaine.
Mais. Si l'on veut cesser de se focaliser sur les petits tourbillons et les éléments fixes et contempler le spectacle dans sa globalité, quelque chose manque toujours.
Un simple endroit que l'on peut appeler chez soi révèle enfin l'immensité de ce que signifie le planète sur laquelle nous vivons. Cet endroit créée, ou révèle, une nouvelle facette de vous-même. Il aiguise votre joie d'une simple pensée, aussi loin que vous en soyez, et parfois, pour un peu de temps, par sa simple existence, il retient le temps et la vie en place, et vous colle au cœur une nostalgie poignante alors même que vous êtes dans un des lieux les plus objectivement fantastiques que le monde ait à offrir.
"Je suis rentré" est une phrase qui devrait guérir l'humanité entière.
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Pour entrer dans l'intimité du monde il faut apprendre à se détacher de soi .
Jean Sulivan
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wakhart-blog · 7 years
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RomeijMusic sortait il y'a une dizaine de jour son nouvel album #VoyageIntérieur. #Reggae #Newalbum L'artiste sera en concert ce Samedi au PETIT KEUR. More on Wakh Art link: http://www.wakhart.com/romeij-mc-sort-voyage-interieur/
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culturesetalentours · 8 years
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Matière
 Lorsque j’ai découvert le yoga, il s’est installé dans ma vie d’abord par « tranches horaires ». Une, deux, trois fois par semaines, de 20h à 21h30, c’était un temps pour moi. Dans mon quotidien bien rempli, entre travail, sport, amis et sorties nature, j’ai apprécié ces bulles de respiration. Et puis je me suis vraiment engagée dans le yoga, sentant comme cette connexion à l’instant présent était vitale pour moi, pour nous tous.
Aujourd’hui dans la rue, mes yeux se posent sur les unes des magazines. Tous posent ces mêmes questions : comment ralentir, prendre du temps pour soi, prendre le temps de vivre ? Tous tentent d’y répondre, en incriminant nos manières de vivre, le travail, la famille, la vie urbaine. Certes, nos vies sont plus abstraites peut-être, qu’il y a quelques centaines d’années, quand nous échangeons par mail et organisons nos vacances en quelques clics. Mais chaque époque a eu sa dose de stress et sa manière de vivre inappropriée pour vivre l’instant présent. L’abstraction est avant tout dans notre esprit et l’a toujours été.
Pour nous connecter au temps présent, connectons-nous à la matière. Celle qui se trouve dans le même espace-temps que nous.
Sur mon tapis de yoga, je suis présente parce que je suis connectée à la matière, à mes muscles, à mes os, à mes organes, jusqu’au souffle qui traverse mon corps.
Je pose ma main sur un morceau de bois ou effleure la feuille d’un arbre du bout des doigts. Je respire jusque dans mes pieds, sentant cet espace intérieur, infini.
La matière porte les traces du temps qui s’est écoulé. Comme une pierre façonnée par le vent et l’eau. L’instant présent, c’est la forme de cette pierre, sa rondeur, sa douceur, cette rugosité presque coupante, d’un éclat dans la roche. C’est la pierre dans sa perfection et avec ses imperfections.
C’est grâce à la matière que je médite. Ma première expérience de méditation, sans savoir même ce qu’était que méditer, c’était il y a plus de quinze ans, sur le dos d’un cheval. Sentir mon corps dans l’effort, comme celui du cheval entre mes jambes. Ecouter le rythme de son galop, sentir le vent sur ma peau, le souffle dans mes poumons. Voir la lumière du soleil, le bleu du ciel et sentir une branche fouetter mon visage.
Parce que méditer ce n’est pas s’asseoir et oublier son corps et son esprit. Méditer n’est pas abstrait.
Méditer c’est du 100% concret, sentir tout son corps qui respire, tout son corps qui est. C’est voir ses pensées, les observer, sans les laisser nous détourner de la matière. Rester dans notre corps, coûte que coûte.
Notre corps est matière, comme les plantes, l’eau, l’air. Il est traversé par une énergie qui lui donne la vie.
Plus on se connecte à la matière, plus on se connecte à la vie. Et alors, on cesse enfin de chercher le temps.
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madamesuave-blog · 7 years
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Qui suis-je sur les terres himalayennes. Les chemins de la joie
Mon livre est en cours d’écriture. En voici pour vous un extrait ! :) 
En mars 2017, je suis partie au Népal avec Marion.
Ce tout premier voyage en sac à dos et à deux, sur les terres himalayennes, a été le révélateur inconfortable de changements nécessaires à opérer.
De la peur à la joie, ce récit est celui d’une expérience intérieure intime, que je livre au monde afin de m’aligner et d’inspirer les personnes qui m’entourent qui, par cet acte de dévoilement inattendu, enfin me découvrent.
Dans l’enfer du mental
« L’avion amorce sa descente et mes nerfs se contractent en même temps que mes pensées, brusquement malmenées par les secousses et la peur de la nausée. Je me crispe et résiste : mes membres tremblent et je pleure. Hors de l’avion, je craque en m’adossant à l’un des murs de l’aéroport, puis mon regard tombe sur le décor. Les montagnes, comme dessinées à la craie, bleues foncé sur bleu du ciel, retiennent mon attention. Majestueuses, elles m’entourent, me procurant un sentiment ambivalent de sécurité et d’étrangeté. Il plane une atmosphère particulière, comme chargée, comme s’il y avait dans l’air des éléments invisibles qui gonflaient la matière. J’ai l’intuition d’être entrée dans un pays énergétiquement différent. Cette intuition, je la retrouverai lors de ma découverte du stûpa de Bodnath, sanctuaire vibrant du chant des moines bouddhistes. Je la ressentirai dans le Langtang, vallée montagneuse et sacrée touchant le Tibet. Pour le moment, mes pensées demeurent centrées sur ma migraine déclenchée par l’atterrissage et je n’ai qu’une idée : trouver un hôtel afin de me reposer. C’est en sortant du bâtiment, une fois installée dans un taxi, que je me trouve happée par la capitale, Katmandou. 
Je suis instantanément dépaysée. 
Après le silence des premiers instants, l’agitation de la ville est si importante que je ne sais où regarder. Les immeubles défilent, gris, abîmés, parfois détruits. Rien n’est harmonieux. Rien ne semble suivre une ligne établie. La poussière soulevée par les véhicules sur la route dégradée rend plus confuses encore mes premières impressions. 
La nuit tombe. C’est dans cet état d’incertitude que je gagne ma chambre d’hôtel et m’endors d’épuisement. 
Une angoisse vive me réveille dans la nuit. Mon mental, déboussolé, se demande ce qu’il fait là, ce qui lui a pris de prendre une telle décision, et, à cet instant, j’ai peur : peur du pays, peur de l’étranger. A cet instant, j’ai peur de perdre ce que je crois être mon identité. » Photo : Marion Dzam Qui suis-je sur les terres himalayennes
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culturesetalentours · 10 years
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“Le vrai voyage, ce n'est pas de chercher de nouveaux paysages mais un nouveau regard.” Marcel Proust Via Happinez / www.happinez.fr
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culturesetalentours · 11 years
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Eloge de la flânerie
La veille de mon voyage en Argentine, je ne savais pas ce qui m’attendait. Trop excitée par mon départ imminent et par la pertinence du contenu de mon sac à dos, je rêvais à ces deux mois de liberté et d’inconnu de l’autre côté de l’océan. L’esprit déjà parti en voyage…
C’est avec le recul, deux ans après, que je ressens ce qui m’échappait alors. Ce temps qui a précédé mon voyage est celui où s’est décidée mon envie, ma recherche, de voyager seule.  J’allais voyager avec une amie, mais j’avais plus de temps qu’elle. Moi qui m’étais toujours demandé ce qui pouvait pousser quelqu’un à partir seul, je me retrouvais face à l’évidence de ce mois en solitaire. L’évidence, ça doit être ça.
A l’époque je venais de décider de faire un break professionnel, un vrai.  J’ai donc passé beaucoup de temps chez moi, ou dans la rue, à flâner, lire, m’ouvrir, me poser. Deux mois pendant lesquels j’ai vraiment habité l’espace qui était le mien. Quand je reviens dans mon ancien quartier, je ressens quelque chose de très fort, comme si j’y avais vécu toute ma vie. J’ai sans le vouloir vécu l’expérience que je vivrai en voyage. Celle d’être là.
Pourquoi a-t-on toujours des souvenirs aussi puissants quand on revient de voyage ? Les détails d’un paysage, des odeurs, la force d’une rencontre… Serait-ce parce que l’herbe est toujours plus verte ailleurs ? Malgré mon amour du voyage, j’y ai longtemps cru. Et je comprends seulement maintenant l’illusion. Si l’herbe est plus verte ailleurs, c’est parce que j’ai pris le temps de la voir, sans être préoccupée par quoique ce soit d’autre.  Si je regarde aujourd’hui avec nostalgie ces souvenirs vivants et puissants de Buenos Aires et des étendues argentines, et ceux de mon ancien quartier, c’est pour me rappeler sans cesse à quel point j’ai habité ces espaces, à quel point j’ai habité mon corps qui s’y trouvait, qui y flânait.
Flâner,  ce mot aux sonorités paresseuses, signifie pourtant se promener sans but. Pourquoi porte-t-il en lui l’idée de perdre son temps ?... Flâner c’est prendre le temps d’observer, de s’ouvrir. C’est comme s’asseoir pour méditer. On n’y recherche rien mais on y trouve beaucoup, la réalité des choses.
Si pendant ce voyage en Argentine je me suis longtemps reproché de ne pas avoir pratiqué assez le yoga ni médité,  je sais au moins que j’ai flâné, beaucoup. Des moments riches avec ma compagne de voyage, des rencontres qui ont changé ma vie et un voyage qui vit encore en moi aujourd’hui. 
Flânez donc, dès que vous pouvez. La flânerie n’est pas réservée qu’aux oisifs, ou aux étudiants partis pour une année sabbatique autour du monde. Pas besoin de prendre un avion pour cela. Flâner c’est regarder votre quartier comme une ville exotique, c’est vous laisser imprégner par l’atmosphère que vous traversez.
Flâner c’est être reconnaissant et satisfait d’être là où l’on est.
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culturesetalentours · 11 years
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Un bel article sur le Temps et la Présence à soi, au monde. Lisez, Respirez...
"Maybe one day, human beings will come to life with the unaffected and continuous ability to witness and experience the Self. What would the humanity be like in a realm free from subjectiveness, I-ness, Ego, the past, the future and Space? I close my eyes and think of that dream of a resplendent and pure world where harmony and divine gentleness enfold the Earth in their protective embrace."
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culturesetalentours · 11 years
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La vie est belle.
Qui n'a jamais voulu arrêter de penser?
En cette rentrée de septembre, on se donne ou on nous donne souvent, des objectifs, des résultats à atteindre. Obtenir son diplôme à la fin de l’année scolaire, respecter un budget, être assidu à son nouveau cours de sport, arrêter la cigarette ou encore le chocolat… voire réussir à pratiquer tous les matins la totalité de la première série d'ashtanga  yoga??!!... STOP!!
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  Mais comment observer le calme que nous ont apporté l’été, la plage, l’agenda vide, la nature?... Comment vivre cette vie d’objectifs sans les mille pensées minute qui l’accompagnent ? Tout simplement en cessant d'avoir des objectifs... En cessant de VOULOIR atteindre un but, la perfection.
C'est en apprenant à arrêter de vouloir, un jour, qu'on arrêtera peut-être de « vouloir arrêter de penser »...
Et alors, on arrêtera de penser. Sans l'avoir voulu.
Ca durera peut-être quelques secondes, mais ça vaut la peine.
Arrêter de vouloir ?... Cela semble abstrait, inatteignable. C’est pourtant réalisable, concret, même si cela demande une certaine discipline, une grande volonté. Et surtout beaucoup d'humilité. C'est pas facile, mais ça rend la vie plus belle.
Et alors, comme dirait notre célèbre philosophe argentine, Mafalda, « La vie est belle, pas facile, belle. Le problème, c'est que les gens confondent belle avec facile ».
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