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#abel almenara
jadeseadragon · 7 months
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Abel Almenara
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polkadotmotmot · 4 years
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Abel Almenara - El Andante, 2019
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journaljunkpage · 5 years
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EN TOUS GENRES
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Stéphanie Pichon / Marcela Santander Corvalan, Disparue © A Monot
TRENTE TRENTE 
La 16e édition du festival continue de proposer des formes artistiques que l’on ne voit pas (souvent) ailleurs : du court, du bizarre, de l’inclassable, du dérangeant. Aux frontières du trouble, Trente Trente essaime désormais sur toute la Nouvelle-Aquitaine. En attendant d’autres destinations dans un futur proche. Gros plans sur quelques lignes fortes et nouveautés 2019.
1. Transgenre
Sans s’en rendre compte, dit-il, Jean-Luc Terrade, maître de Trente Trente depuis ses débuts, a programmé cette année trois artistes transgenres. Sorour Darabi avance depuis deux soli dans une direction performative où tout se mêle danse, texte, chant, conférence. Et l’autobiographie iranienne comme toile de fond. Farci.e, ce solo qui l’a découvert.e, questionne la langue française : « Comment penser le genre dans une langue qui donne un sexe aux idées ? En français, un objet qu’on n’arrive pas à nommer, on l’appelle une chose. Alors, un corps qu’on n’arrive pas à genrer, c’est une chose ? Une chose, en français, c’est féminin. Alors, toutes les choses sont féminines ? » Depuis il y a eu Savušun et Alexandre, aux côtés de Paul/a Pi, danseuse brésilienne rencontrée au master exerce du centre chorégraphique de Montpellier. Tous.tes deux ayant aussi décidé de brouiller les pistes sur le plateau, comme ce Ecce (H)omo présenté à Pau. Paul/a Pi s’y inspire des danses de Dore Hoyer, danseuse expressionniste allemande, autour de cinq affects : orgueil/vanité, désir, haine, peur, amour. L’occasion d’ausculter la notion d’archives, de ré-interprétation, de l’appropriation aussi. Et puis, créé aux Sujets à vif d’Avignon, il y aura L’Invocation à la muse de Vanasay Khamphommala et Caritia Abell. Des parcelles de BDSM, des zestes de performance, des soupçons de poésie, pour un duo qui bouscule les assignations genrées de la muse antique.
2. Femmes
Sur les 32 artistes invités de la 16e édition, une douzaine sont des femmes. Soit un petit pic, même si 30 30 n’est pas encore à du 50 50. On verra donc Leïla Ka, dans son solo Pode ser au Performance, les chorégraphes Gaëlle Bourges, Gwendoline Robin et Kaori Ito lancées dans de drôles de duos à Cognac et Elsa Guérin avec son exposition circassienne à Boulazac.
Sans toutes les citer, on retiendra la venue de la danseuse chilienne Marcela Santander Corvalán et son solo Disparue en trois lieux différents (Limoges, Bordeaux, Pau). La danseuse, qui travaille depuis longtemps aux côtés de Mickaël Phélippeau, a collaboré avec Dominique Brun et fait équipe avec Volmir Cordeiro – un autre habitué de Trente Trente –, tient dans ce solo une position accroupie. « Je plonge dans cette posture fantôme, proche du sol, pour visiter la mémoire des gestes qui la constituent. » De cette position basse, elle fait pièce, rapprochant bassin et sol, mais aussi bassin et visage mobile, dans une nouvelle circulation des appuis et du mouvement. Dans son habit rouge à franges, ce grand plié décentre aussi nos regards, générant des images venues de postures et de cultures lointaines. Une cérémonie d’en bas et de l’au-delà.
3. Cinéma
C’est le retour de la soirée Trente Trente à l’Utopia, qui a déjà existé il y a longtemps, « sept ou huit ans » hésite Terrade, et rassemble cette année quatre courts métrages choisis pour leurs formats et leurs qualités plastiques.
Ainsi on passera des Indes Galantes de l’acclamé Clément Cogitore, photographe et cinéaste, commandé par la 3e scène de l’Opéra de Paris, où des krumpers se retrouvent au plateau vénérable de l’opéra Garnier, pour réinterpréter du Rameau avec ferveur et subtilité, au plus expérimental Quelque chose des hommes de Stéphane Mercurio, troublant échange entre un père et un fils. The Barber Shop de Gustavo Almenara et Émilien Cancet raconte comment, dans la jungle de Calais, les séances de coiffeur improvisé ramènent les hommes à des pensées intimes et des drames vécus.
Quant à Habana d’Édouard Salier, il commence lui aussi chez le coiffeur pour dériver ensuite dans La Havane version dystopique. Le réalisateur bordelais signe là un moyen métrage noir et blanc léché, où caméra au poing, il suit son personnage dans une Havane des temps futurs, dévastée par la guerre et la pollution.
4. Futur(s)
Trente Trente va-t-il continuer sur sa lancée les années à venir ? Continuer sur son expansion régionale ? Terrade rumine encore d’aller respirer un peu ailleurs. Plus loin encore que Pau et Limoges, avec des envies parisiennes dès 2021. Sans perdre de vue les partenariats régionaux, d’autant que de nouveaux s’annoncent, notamment avec Saintes, il préférerait un Trente Trente en plusieurs temps. Bordeaux en janvier, puis ailleurs au printemps. Histoire que les formes de rue puissent aussi y trouver leur place. À suivre.
Trente Trente, du vendredi 18 au jeudi 31 janvier. www.trentrente.com
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jadeseadragon · 7 months
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Abel Almenara, Ellyl dormida, 2010, oil on linen.
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jadeseadragon · 7 months
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Abel Almenara, La danza del cascabel (The Rattlesnake Dance), 2018, oleo sobre lino (oil on linen), aprox. 19 x 14 cm.
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