Tumgik
#acide cynique
ozkar-krapo · 1 year
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ACIDE CYNIQUE
"Bavorganik"
(cassette. [self-released]. 1990) [FR]
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e642 · 1 year
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Je trouve que notre -la génération dans laquelle on se trouve- manière de montrer notre amour est particulièrement singulière. Le reflet de traumatismes relationnels et de deuils encombrés et ralentis par le déni. Je suis une fervente adepte du second degré, se dénigrer pour faire un pied de nez au formel, tourner les situations blessantes en humour. En revanche, je n'ai jamais trouvé ça très drôle de dénigrer les autres et, encore moins, lorsqu'il n'y a pas de nuances, ni de paroles rassurantes sur le fait que nous plaisantons. Dans mes relations -celle actuelle notamment- et celles de nombres de mes proches, une tendance se dessine, celle de piquer, noyer son affection dans des remarques acides, cyniques et imposants un doute. Je ne vois aucune satisfaction à dissimuler ses émotions derrière l'ironie uniquement. Et ça souligne bien une chose; l'ère sentimentale actuelle n'a déclenché que le désir de ravaler sa sentimentalité au détriment de l'autre. Tellement craintifs de rentrer dans des schémas qui nous ont meurtri auparavant et, qui ne sont pas soignés pour la plupart, que l'on emprunte un tout autre chemin, un tout autre extrême, tout bonnement équivalent en terme de toxicité. On se rabâche que l'on ne s'aime pas, que l'on ne se veut pas, que cela ne nous impacte pas, que l'on ne se plaît pas, qu'en plus de commencer à le croire, on pense que c'est la bonne manière de traité et d'être traité. On a tellement peur de laisser une parole douce s'échapper que l'on préfère planter nos crocs remplis de venin. En général, on devient tout ce que l'on trouvait problématique dans nos dernières relations. Souffrir d'un manque de considération, de respect, d'amour nous offre une propension inconsciente à en faire pâtir nos relations futures. Comme une sorte de punition, c'est l'impression que ça me donne. Parce que j'ai souffert, je ne te donnerai pas l'attention que tu aspires et qui me brûle le cœur de te rendre. Refléter nos émotions par le biais d'actes ou de mots crée cette fausse sensation que nous sommes acquis. Faire savoir à l'autre qu'il est important devient la dernière étape, celle que l'on a négligé de part nos insécurités. Ce que l'on finira par admette en fin de relation, en regrettant amèrement de ne pas l'avoir fait avant. Alors que c'est comme ça que l'on construit quelque chose. Je dois dire que ça me touche beaucoup ce sarcasme relationnel, j'évite de le rendre trop exacerbé de mon côté. Parce qu'à force d'entendre sans relâche tout ce que l'on redoute, l'hésitation s'immisce, humour devient sous-entendus, non-dits même et mène à des quiproquos qui n'ont pas lieu d'être. Nous sommes sur des problèmes d'ego. C'est une protection émotionnelle. Sauf qu'en passant notre temps à renforcer l'isolation de notre fort intérieur, notre maison, on en oublie d'aller entretenir et visiter notre jardin secret. Nous sommes une génération qui craint la sentimentalité, et cela transpire de blessures mal, si ce n'est pas, pansées. À nier l'amour, on ne peut qu'en donner un substitut fade. Se cacher derrière les comportements qui nous ont profondément choqués pour s'éviter le supplice d'avoir des Madeleine de Proust écoeurantes et non souhaitées.
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albad · 2 years
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Lettre ouverte de Charlelie Couture
à Emmanuel Macron et toute sa clique :
«
NOUS sommes en guerre,
Oui !
NOUS sommes en guerre, oui !
NOUS, les non-essentiels,
NOUS, les inutiles,
NOUS, les riens,
NOUS, les Lumières plongées dans l’ombre,
NOUS, les Gens de l’Esprit et de la Culture,
NOUS, les restaurateurs, ceux des plaisirs de la bouche et du plaisir tout court,
Oui,
NOUS sommes en guerre,
NOUS, les personnels et techniciens du spectacle, ceux des théâtres et des cinémas,
NOUS, les Acteurs et les Comédiens mis aux arrêts forcés,
NOUS, les Musiciens,
NOUS tous que vous considérez comme des paresseux mais ne rêvons que de travailler,
Et tous ceux de la nuit, ce monde qui vit la nuit, cette nuit NOIRE que vous associez au Mal, cette peur médiévale qui accompagne la nuit quand le Diable revient, ce Mal qui grandit quand le soleil s’est couché, — désormais après 20 h —, ce Mal viral dont la définition change au gré de vos humeurs, cette menace invisible d’abord définie comme létale, mais dont la dangerosité s’estime désormais en termes de « cas », (d’où la suggestion de recourir à des tests massifs afin d’obtenir des grands nombres impressionnants), dans l’intention de soumettre à se faire faire inoculer dans l’urgence, une opinion publique de plus en plus sceptique, malgré la pression permanente des médias, elles-mêmes sous surveillance.
NOUS, que vous traitez avec un détachement scandaleux,
Oui,
NOUS sommes en guerre contre VOUS !
Contre le Janus qui répète qu’il « assume »,
lui qui se croit doué d’un super pouvoir de séduction absolu, qui lui permet d’envoûter et de berner comme un camelot tous ceux qu’il rencontre,
lui le Petit Prince tellement condescendant vis-à-vis du Peuple et de la classe moyenne,
Oui.
Nous sommes en guerre
contre VOUS cet orphéon de sous-fifres opportunistes qui improvisent au jour le jour une chorale cacophonique, cette ribambelle de technocrates cyniques feignant d’ignorer froidement les drames dans lesquels plongent ceux qui sont concernés par ces décisions iniques.
VOUS, dont les discours lénifiants et versatiles conjuguent à la fois l’ignorance et l’absurde.
Contre VOUS, dont les incohérences nous inondent comme des pluies acides sur notre forêt de rêves. Contre vos fausses promesses et vos effets d’annonce comme un coup de bluff permanent, affirmant des choses un jour, et le contraire le lendemain avec le même aplomb !
Contre vos fanfaronnades ineptes et vos décisions inopinées,
Contre vos lois votées en catimini…
Nous sommes en guerre oui !
Contre les mafias milliardaires et autres géants de Big Pharma,
Contre votre déni effectif des menaces climatiques au profit d’une consommation capricieuse et sa pollution d’objets inutiles distribués par le géant Amazon,
En guerre contre une économie de cavalerie et de course en avant qui « invente » des milliards virtuels, et nous entraîne à court terme vers le grand délire d’une économie irréelle, comme une plongée dans un puits sans fond.
La France n’est pas sereine, noyée dans une sorte de chaos et d’écœurement causés entre autres par la surprotection d’une police répressive et les disputes intestines entre spécialistes illuminés aussi malsaines que des bagarres de rues entre bandes de supporteurs alcoolisés.
La France n’est pas en paix avec elle-même,
quand les mêmes qui dénonçaient les lois du califat imposant le silence et le voile, oui, les mêmes interdisent de la même manière depuis des mois à la fois le théâtre, la musique, les musées, les rencontres populaires (sportives ou artistiques), et puis les restaurants, les rassemblements de fêtes joyeuses et conviviales, et maintenant Noël en famille et la Saint Sylvestre…
Conscients que les enfants dans les écoles apprennent à devenir fous,
oui,
nous sommes en guerre,
une guerre secrète,
une guerre interne, pour l’heure encore en implosion, mais dont les conséquences seront graves.
On devine la colère qui gronde et les gens désespérés sont prêts à exploser, prêt à se faire exploser, suicidaires.
Un pouvoir si puissant soit-il ne tient que par l’acceptation ou le refus du Peuple d’obéir.
Désormais NOUS sommes en guerre, oui,
pour défendre notre droit à continuer de vivre dignement…
Pour défendre notre Liberté légitime et notre droit de penser autrement !
Charlélie COUTURE
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muimuiocs · 4 years
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CASSANDER KENNEDY
Âge : 17 ans (27 juin) Genre : masculin Sexualité : pansexuel Famille : un frère aîné (Callum), un oncle par alliance (Asbel). Ships :  Finances : $$$$ Occupation(s) : élève UA : Light SF, dystopie Taille : 177 cm Faceclaim : OC – Mui
strict, surtout avec lui-même • doucereux • manipulateur • sauvage • éduqué, trop • déterminé, ses objectifs, il les atteint toujours • patriote • croire et s’en bercer • anciennement enfant de chœur, le chant fait encore partie de sa vie, mais ce détail n’appartient qu’à son jardin secret et ses proches • irascible, colères noires, démesure et violence • lever la main puis le regretter, parfois • marcher sur les autres • dominer pour mieux régner • exécrable • cynique, acerbe et corrosif • un humour très acide • lèvres pincées, visage fermé • carnassier • n’a pas la langue dans sa poche • enfant prodige • froideur et frustration • fidèle à sa propre histoire • toute faiblesse doit être utilisée • sans peur, sans peur, sans peur, sans peur • lui accorder sa confiance est un risque • mentir et respirer • doigts de pianiste • le violon sur les toits • un jour il lui donnera vie, et elle brillera pour lui seul • lire, lire et ne jamais oublier • trop en savoir • ne jamais retourner sa veste contre lui, à vos risques et périls • mono-tâche • l’amitié n’est pas un luxe qu’il s’offre • tendresse avariée • caresses empoisonnées • brûler toutes ses traces • une tempête silencieuse • lame pernicieuse • la pluie le rend mélancolique • admiration • loyauté • mourir enterré avec sa vérité, ses secrets et sa vulnérabilité • parfois regretter d’avoir fait ce choix • le regarder comme un père, puis se souvenir qu’il ne peut compter que sur lui-même • verser ses larmes dans l’ombre • divine comédie • briser plutôt qu’être brisé • le fiel, la haine, la rancœur, sa revanche
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renaultespace · 3 years
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Épisode 8 : le plan
J'ai donc, par un mail, révélé mes complètes intentions à l'Institut. Une relecture de ma compagne m'a convaincu de retirer deux passages pleins d'ironies et de moqueries ouvertes.
Le premier rappelait que « Généralement, il me semble qu’en Croatie comme en France, Noël tombe assez régulièrement le 25 décembre et le Nouvel an assez souvent entre le 31 décembre et le 1er janvier et que donc, ces événements sont assez prévisibles. Ou alors vous avez confondu la Croatie avec la Serbie ou la Chine. Encore une fois passons et excusez mon humour acide. »
Le deuxième était une référence au film Les Tuches où j’écrivais : « J'avais cité Willy Brandt dans ma lettre à l'ambassadeur, aujourd'hui me vient l'envie de quelque peu paraphraser les Tuches.
« Sur un achat ou une vente, tu peux faire une erreur, pas 8… tu peux faire deux erreurs, pas 8… tu peux faire 3 erreurs à la rigueur, tu peux faire 3 erreurs, pas 8 vous êtes d'accord avec moi… tu peux faire 4 erreurs c'est vrai ça peut arriver mais pas 8 on est d'accord… tu peux faire 5 erreurs… ça peut arriver, pas 8 ! Tu peux faire 6 erreurs mais pas 8, pas 8 ! Tu peux faire 7 erreurs mais pas 8. Tu peux faire 8 erreurs, pas 8 !!! … ah ben si en fait, tu peux faire 8 erreurs » »
Voici donc mon mail et ma proposition envoyée le 17 janvier à 21h18 :
Monsieur XXXXXXXX,
Je ne sais pas si vous répondez suite à mon mail ou suite au courrier que j'ai envoyé à l'adresse de l'ambassadeur mais peu importe finalement.
J'ai quelques difficultés à vous comprendre quand vous indiquez que « La procédure a été quelque peu prolongée, du fait des fêtes de fin d’année ». J'essaye de vous comprendre, c'est-à-dire que vous lancez une procédure qui n'est d'aucune urgence le 21 décembre pour le 23… pour vous dire après coup que « ah mince cette année Noël tombe le 25 et le Nouvel an le 31 au soir ». Ce n'est guère compréhensible mais passons.
Comme je le disais, et comme vous le savez très certainement, j'ai écrit à l'ambassadeur pour demander des explications sur cette vente. Sans rentrer dans les détails, j'ai notifié que 7 points posaient problèmes (délais, calendrier, publicité inadéquate, manque d'informations, absence de règles ou règlement, absence de réponse, prix inadéquat).
Aujourd'hui vous m’annoncez que la procédure est prolongée jusqu'à lundi (me laissant encore une fois moins de 72 heures pour répondre) mais aucune information à ce sujet n'est publiée sur internet ou Facebook. Concrètement, ne sont au courant que ceux qui ont sollicité l'ambassadeur de ce que je comprends. Encore une fois, ce n'est pas spécialement juste. Aussi, aux 7 points que j'ai cité, on peut rajouter l'absence d'information publique sur la prolongation des délais.
Bon, une fois tout cela dit, vous vous dites que je suis un peu retors et je me dis que tout cela n’est pas la procédure la plus transparente, honnête et cadrée qu'on puisse imaginer.
Mais pour autant je vais vous proposer une sortie par le haut de cette situation. Par ailleurs, depuis le 23 décembre l’actualité nous a tous rattrapé.
Je fais deux hypothèses : soit la voiture est dirigée vers quelqu'un identifié au préalable (ce qui rendrait assez cohérent les 8 points problématiques) et je ne puis rien faire, soit vous n'aviez aucun acheteur au préalable et pour les 8 raisons que j'ai cité et vous n'en n'avez toujours aucun (sauf moi).
Dans l'hypothèse 1, je n'aurais jamais la voiture, dans l'hypothèse 2, je l'ai au prix que je veux.
Je vous propose donc une offre (sous réserve d'un essai concluant – je veux dire que la voiture soit dans un bon état) de 3 000,01 Euros. On me dit que la voiture a servi de fourgonnette à l'institut, que l'embrayage est à vérifier, qu'une dizaine de personnes l'ont conduite sans toujours la respecter et que des chewing-gums ont été collé sous les sièges. Veuillez comprendre, pour toutes les raisons que j'ai cité également, que je sois sur mes gardes.
En toute honnêteté, les 1 centimes sont quelques peu symboliques et cyniques. [... la suite au prochain billet]
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lesmadj · 4 years
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Viviarum de Lorcan Finnegan
Le Pitch : À la recherche de leur première maison, un jeune couple effectue une visite en compagnie d’un mystérieux agent immobilier et se retrouve pris au piège dans un étrange lotissement…
youtube
Une fois n’est pas coutume, avant de parler du film, attardons-nous sur son titre. La définition de Vivarium est : « Espace vitré aménagé pour conserver et montrer de petits animaux vivants (insectes, reptiles, etc.) en reconstituant leur milieu naturel. »
C’est exactement l’expérience proposée par le réalisateur Lorcan Finnegan qui s’est posé en observateur de l’espace vitré dans laquelle la société nous a enfermés. Il l’a digéré pour sculpter sa réflexion et délivrer un métrage intelligent et effrayant. Teinté de fantastique, ce qui lui confère une dimension surréaliste de conte moderne, le film pose une loupe grossissante sur nos contradictions. Comme tout conte évidemment, en sortira une morale à laquelle on n’est pas obligé d’adhérer mais qui pose des questions pertinentes.
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Imogen Poots et Jesse,Eisenberg
Car le film se pose en critique acerbe et nihiliste de notre société de consommation, de notre alimentation (sous plastique) et de notre obsession à vouloir devenir propriétaire, quitte à s’endetter voire s’aliéner pendant des décennies. En résumé, on naît, on consomme, on enfante et on meurt. Oui, nihiliste. Et finalement, peu de plages de respirations entre les étapes.
Cependant, « Vivarium » n’est pas simplement un pamphlet acide et vain – c’est beaucoup plus subtil que ça – il amène surtout à réfléchir à nos ambitions et à nos attentes de la vie, par quoi passe vraiment notre épanouissement. C’est ce qui lui confère cette puissance, cette rage, son charme.
« Vivarium » est typiquement un film clivant que vous trouverez, selon vos attentes de cinéphiles, génial ou à vouer aux gémonies.
L’idée originale est de proposer un huis-clos dans un univers infini. Oui c’est une contradiction mais tout le film est porté par un symbolisme foisonnant et flamboyant. Chaque scène, chaque événement est sujet à interprétation et agite vivement les neurones. D’ailleurs, la qualité première du film est de vous hanter longtemps après le visionnage. Par flashs quotidiens, certaines scènes vous reviennent jusqu’à l’obsession, à vous retourner le cerveau.
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Senan Jennings
La faute à une réalisation clinique, statique, géométrique qui sert le film à merveille créant un climat oppressant, appuyé par un rythme langoureux et par un jeu d’acteurs épuré et subtil. Jesse Eisenberg et Imogen Poots y sont fabuleux, avec une mention spéciale pour le jeune Senan Jennings qui complète le trio dans un des rôles les plus dérangeants jamais vus sur un écran. La situation est décalée, cynique, définitivement pessimiste.
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Imogen Poots
De plus, la mythologie est riche et surprenante. Elle est malheureusement distillée au compte-gouttes ce qui restera un regret car il y avait matière à en dévoiler un peu plus. Un goût de pas assez quand le film se clôture. Volonté de l’auteur ou restrictions budgétaires ?
Pour finir, le film est pétri d’influences et de références. Si on en reste simplement au plan cinématographique, on peut citer « Cube », « La Quatrième Dimension » voire « Un jour sans fin » mais vous en trouverez plein d’autres.
En résumé, « Vivarium » est une mise en abîmes, un survival métaphysique, une expérience dont on ne sort pas indemne, un cercle sans fin à l’image du cycle de La Vie.
« Vivarium » a obtenu le Grand Prix à l’Etrange Festival 2019.
Merci à The Jokers Films et à Mensch Agency pour l’invitation à la projection privée.
Photos : |Copyright The Jokers Films
« Vivarium » est une mise en abîmes, un survival métaphysique, une expérience dérangeante dont on ne sort pas indemne. Bref, un film comme vous n'en croiserez pas tous les jours. #Vivarium @MenschAgency @thejokersfilms Le Pitch : À la recherche de leur première maison, un jeune couple effectue une visite en compagnie d'un mystérieux agent immobilier et se retrouve pris au piège dans un étrange lotissement...
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tomub · 7 years
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     Utilisabilité ou Vasectomie ?
Allez zou, c’est lundi, mais finalement quelle importance, hein?
Oh on va bien y arriver, à s’appliquer à semer des petits cailloux toute la semaine pour retrouver le chemin du wikaine, mais oui, comme d’ hab’, au début ça rame dans les rouages rouillés, mais avec une bonne intraveineuse de café et quelques coups de pieds au cul virtuels, ça devrait le faire! Et puis aujourd’hui c’est la #journeedelagentillesse ,oui j’ai décidé, c’est comme ça et pi voilà…non parce que le 13 novembre 2015, cette saleté de vendredi, c’était la “journée de la gentillesse” , et depuis, vous avez remarqué, hop, elle est passée au 3 novembre, allez savoir pourquoi, surtout qu’on n’a pas gagné au change, aujourd’hui t’as le choix, c’est du bol tu peux choisir entre “utilisabilité” ou “vasectomie”! (si, si, j’ te jure) Donc j’ai pris #gentillesse et je l’ai gardé pour ce jour, parce que je sais pas vous, mais pour rendre hommage, écraser une larme et se souvenir avec émotion, l’utilisabilité ou la vasectomie, je suis pas sûr! (quoiqu’une vasectomie générale de tous les tarés terroristes qui nous les brisent menu-menu, finalement…) Et puis on s’en fout, ça va tellement plus loin tout ça, on est là, on est pris au piège par nos sociétés, nos habitudes et nos États, entravés par nos cultures, attachés à nos cocons de confort, traumatisés par ce “13 novembre” qui nous a tous laissé hagards et paumés, nous autres si bien blottis dans une paix qui nous paraissait jusque là solide, rassurante, intangible. L’“après 13 novembre”, drôle d’expression, baignée de liberté au goût de fiel, de fêtes pour arrêter de crier, de vie pour continuer à aimer, mais qui décidément coince au fond de la gorge, rappe un langue sèche dans une bouche triste et crache les glaires acides du dégoût dans le caniveau puant de nos cœurs qui suintent. Oui, cette journée de merde nous a tous changés, oui ce jour maudit nous a arrachés nos illusions pour toujours et pourtant, cette explosion de haine et de mort, loin de nous laisser à genoux, a réveillé en nous le sentiment de liberté, la conscience de la chance de fou, le bol de dingue qu’on a d’être né dans un pays comme le nôtre et la nécessité impérieuse et vitale de profiter de la vie pendant qu’on est encore vivants! Quelque part en nous, lentement mais sûrement, la bienveillance, la gentillesse, le bon sens commun, les valeurs humaines, la fraternité, tout simplement, a retrouvé son chemin perdu, avec ce feeling fédérateur particulier, ce sentiment presque citoyen d’avoir définitivement choisi d’être tous ensemble “du bon côté de la force”. #StarWars. Et c’est ça, justement ça, qui coince, au jour d’aujourd’hui avec, après les “PanamaPapers”, ces nouvelles “révélations” des ”ParadisPapers”, Oui, c’est précisément ça qui blesse, parce qu’au delà des magouilles révélées au grand jour, c’est le même dégoût infâme qui nous remonte du fond des tripes, l’envie de vomir ces enfoirés qui se foutent du bien commun et ne pensent qu’à leurs gueules, pendant que nous, chaque jour nous tentons d’être moins con le soir que le matin et le plus possible gentils et bienveillants malgré nos vies telles qu’elles sont et les impôts que nous payons, oui, parce qu’on les paye nous! Et vous non, voilà, c’est comme ça: -"On s’en fout et en plus on vous emmerde et si ça vous plaît pas c’est pareil et puis quoi d’abord? Qu’est-ce qu’il y a? Attention si je dois casquer et payer des impôts comme tout le monde, je vous préviens je me casse, moi, avec mes thunes, et mes emplois que vous êtes bien contents d’avoir, hein, les emplois, hum? Ah ben voilà, ça y est? Calmée la colère populaire? La crise de conscience civique? Parce que je suis pas tout le monde, Moi, Môooosssieur!" Ah ça c’est sûr, pour pas être comme tout le monde…cynique, inique et incivique, voyons voir, j’en oublie? Mais dîtes moi je sais pas vous mais moi ça me rappelle un truc, non? Mais si, cette manière de se cacher, ces habitudes de tout dissimuler, de se faire passer pour quelqu’un d’autre, de s’infiltrer dans les pans la société, de noyauter et siphonner subventions et marchés publiques, de supporter ou enfoncer politiques et syndicats, de s’acheter presse et médias pour mieux les verrouiller, j’hésite… Mafia? Démocrature? Terrorisme commercial? J’arrête, sinon on va manquer de synonymes et puis ça risque de considérablement faire augmenter mes risques de glisser sur une peau de banane et de chuter bêtement dans l’escalier, (on n’est pas à l’abri, c’est que c’est sensibles, ces grosses bébêtes, faut éviter les chatouilles). Et puis je vous rappelle qu’on a décidé que pour honorer nos morts de ce put…de vendredi 13, aujourd’hui, c’est la “journée de la gentillesse“, alors on va pas se laisser pourrir le tronc central avec de la fiente de corbeaux charognards, non plus!
Asseyons nous au bord de la rivière, et attendons, sagement, mes ami(e)s, recueillons nous sur nos cadavres en attendant de voir passer les leurs. (c’est une image, hein, ah…c’est qu’il faut faire gaffe à ce qu’on dit!) Allez, tout de bon, pardon aux familles tout ça, et bonne “journée de la gentillesse”.
Namaste
(si tu veux lire d’autres bêtises, c’est là: http://dans-la-tete-a-toto.over-blog.com/ )
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lamystiquedulambic · 7 years
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« Heur et malheur du lambic, ce génie incompris »
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                   Ci-dessus, l’objet de notre mépris le plus complet
Prolégomènes à toute polémique future
Si vous vous imaginez que la gueuze est ce breuvage douceâtre et légèrement acidulé, conditionné en cannettes capsulées de 25 centilitres – peut-être vous rappelez-vous ? – qu’un jour à Bruxelles on vous a servi à la terrasse d’un café à touristes en prétendant vous faire découvrir un produit local « typique » alors, lisez ce qui suit : sans aucun doute avez-vous été dupé et l’image que vous vous formez à propos de la gueuze est erronée. Si au contraire, vous êtes convaincus que le mot seul de contrefaçon convient à cette soi-disante gueuze, pâle ersatz de ce qu’aujourd’hui il est devenu nécessaire – pour la bien distinguer – de qualifier de « gueuze à l’ancienne » (« oude geuze » en néerlandais) et vous demandez pourquoi donc il a fallu accoler cet épithète incongru d’ « ancien » à votre breuvage favori, alors les quelques lignes qui vont suivre vous intéresseront certainement, en ce qu’elles évoquent quelques unes des raisons qui ont conduit le nom de gueuze a se voir perverti par quelques hommes d’affaires sans scrupule, n’ayant de brasseur de lambic que le nom.
Insondable sujet, question existentielle
  « Mais pourquoi donc attendre plus de trois ans ce qu’on pourrait produire en seulement trois semaines ? » Telle est la grave question qui hanta les nuits agitées de ceux qui – ingénieurs brassicoles ou entrepreneurs – gravement, tout le jour durant, se penchaient sur le « problème » de la bière de Bruxelles autrement dit: du lambic.
Interminable immobilisation des capitaux (car, selon l’adage bien connu : le temps, c’est de l’argent), nécessité d’un important espace de stockage, processus de fabrication apparemment aléatoire (faisant encourir le risque d’une altération d’une partie de la production en cours de fermentation), impossibilité de brasser l’été ni d’en assurer l’infaillible reproductibilité pour satisfaire au goût du consommateur... N’en jetez plus !
Le lambic est par essence, incontrôlable : libre, depuis des siècles imposant aux hommes sa propre logique, son caractère et sa loi, il demeura presque toujours impénétrable à l’esprit rationaliste des 19e et 20e siècles[1]. Levures « sauvages », fermentation « spontanée », languissant et chaotique élevage sous bois (car il a parfois sa phase « huileuse » qui rend son aspect repoussant mais, quand celle-ci a passée, ont dit aussi qu’il n’en sort que meilleur), tout cela pour aboutir à quoi, on vous le demande ? À une bière plate, qu’il faudra ensuite assembler et faire refermenter en bouteille plusieurs mois encore afin d’obtenir ce divin breuvage pétillant qu’on appelle la gueuze[2].Mais tout de même, disons-le, proclamons-le, franchement:
Quelle robe ! Quelle brillance ! Quel pétillant ! Quel bouquet ! Et quelle longueur en bouche aussi : « Garçon, une autre ! »
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                      Ci-dessus, la sorte de gueuze qui fait courir l’amateur
« tout vient à point à qui sait attendre »
Si des hommes patients et bienveillants – les brasseurs bruxellois et du Pajottenland – ont su se soumettre à lui (pour, sinon le comprendre totalement, du moins l’accompagner dans sa longue gestation et, en habiles maïeuticiens l’accoucher, et finalement recueillir en flacon le fruit de leur labeur, Ô sublime récompense : du génie en bouteille), pour l’entrepreneur tout à la fois béotien et philistin, le procédé de fabrication du lambic, soumis à l’aléa, est totalement inadmissible et sa survivance, du point de vue d’un strict darwinisme zythologique, une absurdité presque aussi grande que l’existence de l’ornithorynque dans le règne animal. D’aucuns le voyaient condamné à brève échéance, terminant son existence remisé au musée de la bière – si tant est qu’il en existât un[3]. Toutefois...
Les mêmes reproches pourraient se voir adressés à la fabrication et au commerce de vin, n’êtes-vous pas d’accord ? Ah mais, c’est que – disons-le succinctement sans s’attarder plus avant sur la question, passionnante au demeurant et qui mériterait d’être approfondie – l’image conférée au vin est celle d’un produit valorisé par son association au Temps et au Terroir. Tandis que l’image de la bière est celle d’un produit hors-sol, tout aussi aisé et rapide à fabriquer qu’à boire[4] (sa date de péremption souvent ne laisse que peu de doutes à ce sujet...) et bon marché.
Aussi, face au mystère de la survivance du lambic dans cette époque d’aseptisation et de technologie, il n’est qu’une seule explication plausible : quand il est réussi – brassé et élevé et conditionné dans les règles de l’art – il apparaît toujours au buveur éberlué, dans toute sa majesté, comme la meilleure bière du monde. Ce produit réellement extraordinaire, en dépit des aléas auxquels sa fabrication est soumise, devait bien posséder des qualités gustatives exceptionnelles (et qui se bonifient avec le temps !) pour avoir ainsi justifié sa survivance grâce au soutien inconditionnel de ses consommateurs les plus acharnés[5].
Le lambic, seul face à ses ennemis... de l’intérieur
Alors oui, nous parlions « contrefaçon », « falsification », « ersatz »... Certes, l’édulcoration du lambic n’est pas d’aujourd’hui (il suffit pour s’en convaincre de feuilleter la littérature brassicole de la fin du 19e siècle), et à cet égard, on peut s’interroger sur l’existence du faro (ce lambic particulier additionné autrefois de mélasse et aujourd’hui de sucre candi) dont le succès trouva peut-être sa justification dans le fait même que la forte acidité de certains lambics « ratés » ou « déviants » les rendait parfois difficile à boire... Cependant, la consommation du faro (bière au fût, de consommation courante, issue de brassins spéciaux) a régressé bien avant celle de la gueuze (rappelons-le : un assemblage de lambics de trois âges refermenté en bouteille, apparu seulement dans la deuxième moitié du 19e siècle – se reporter à notre précédent billet), preuve d’une faculté d’adaptation du lambic par l’amélioration progressive de sa qualité...
Certainement aussi, après la deuxième guerre mondiale se fit jour la concurrence de goûts nouveaux et de nouveaux usages, contribuant à causer le déclin du lambic qui, à ce moment, a définitivement perdu dans l’inconscient collectif, son statut de « bière de Bruxelles » au profit des bières « modernes ». Pourtant, le coup qui allait être fatal au lambic, n’est pas venu d’un chimiste rationaliste ou de la simple usure du temps. Non, un malheur plus grand encore allait fondre sur le lambic : le capitalisme, implacable, avait décidé de laver l’affront que représentait son absurde survivance et, sinon de détruire tout à fait l’impertinent, du moins, s’attacha à le mettre hors d’état de nuire.
L’irrésistible ascension de la brasserie Belle-vue ou le lambic déshonoré
C’est sous la banale apparence d’un fils de cafetier anderlechtois que le Destin s’incarna, pour accomplir la tâche funeste qu’on imaginait être fatale au lambic... Ainsi le glaive vengeur fut placé dans la main d’un certain... Constant Vanden Stock, dont l’Histoire oublieuse – à la mémoire aussi filtrante que le fond des cuves de la brasserie Belle-vue – n’a voulu bien retenir de lui que la figure flatteuse et trompeuse du sélectionneur de l’équipe nationale (1958-1968) puis de l’entraîneur victorieux du RSC Anderlecht (Il faut le reconnaître, ce fut quelque chose tout de même pour plus d’un, que leur légendaire épopée européenne ! [6]).
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Ci-dessus, Constant Vanden Stock porte un toast cynique à sa victoire contre le lambic traditionnel
S’engouffrant sans vergogne dans la brèche laissée béante par une législation outrageusement laxiste [7] , l’homme, en l’adoucissant, le filtrant, le pasteurisant a fait subir au lambic les derniers outrages... Et, l’ayant ainsi prostitué, le mit au travail sur les trottoirs à la conquête de la Capitale puis du pays tout entier. N’arrêtant pas en si bon chemin son entreprise perverse, il s’employa peu après à abattre sans pitié toute concurrence dans le secteur déjà passablement sinistré du lambic, en rachetant pour les fermer les dernières brasseries encore en activité.
« Success story » ou tragédie ? Chacun jugera selon sa sensibilité mais on le constatera, c’est toujours à la fin le consommateur exigeant qui perd. Les brasseries qui ne l’ont pas suivi sur cette sinistre voie ont ainsi presque toutes disparues, et celles qui l’ont imité (Mort subite, Timmermans, Lindemans...), ne méritent que de se voir jeter l’opprobre.
Amer constat (pour ne pas dire acide) ! Cependant, le lambic une fois à terre, s’est dirait-on, miraculeusement relevé. Comment ? Un prochain billet sera peut-être l’occasion de nous pencher plus avant sur cette étrange et fascinante histoire... 
[1] Rendons à César ce qui appartient à César : ce sont ces mêmes capitalistes qui, par la pugnacité des inlassables recherches menées par des ingénieurs à leur solde accomplies durant près de cent ans pour domestiquer et rationaliser le lambic (recherches demeurées en partie vaines), nous ont laissé d’abondants et passionnants témoignages sur son processus de brassage, son élevage, son goût même ! Mais nous en recauserons un jour peut-être.
 [2] Voir nos précédentes causeries sur l’élaboration du « champagne bruxellois ».
 [3] Ce qui arriverait, mais dans des circonstances plus heureuses et indissociablement liées à la survie du lambic bruxellois !
 [4] si bien qu’on l’a de longue date industrialisé, et quand une grande partie du vin produit aujourd’hui s’achemine actuellement vers un destin similaire, la bière fait mouvement inverse ! Comprenne qui voudra.
 [5] Aujourd’hui ce sont des étrangers. Qu’ils en soient remerciés, même si le lambic peine à satisfaire la demande, quelque peu déconcerté par cet inattendu renouveau !
[6] Et qu’importe le ballon, pourvu qu’on ait l’ivresse.
[7] « En 1946, la Fédération des Brasseurs de Lambic avait introduit une demande de statut au Ministère des Affaires économiques pour la défense du nom de “Gueuze”. Il était libellé comme suit :  “Bière de 5° minimum, à base de froments, de fermentation spontanée, dont le mousseux s’obtient naturellement en bouteille“. Donc, Gueuze à dépôt de levure. Le Ministre s’en est fichu comme de sa première culotte. C’est regrettable. » A. VOSSEN, “Champagne - Gueuze ” in Fermentatio n°1, 1954
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dronetothebone · 5 years
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MOODIE BLACK (industrial / noise rap, US) NORDRA (experimental electronics, US) 16 avril 2019 @ La Makhno - L’Usine (Genève, Suisse) L’Usine | 4 place des Volontaires | 1204 Genève – Suisse Portes 20:00 | Live 21:00 | Prix libre MOODIE BLACK!! A La Makhno!! Avalanche de Rap noir, épais, funeste, industriel, angoissant, angoissé, vaporeux, rampant, hypnotique, magnifique, grinçant, destructeur... Depuis leur formation en 2004 à Phoenix, en Arizona, MOODIE BLACK n'ont cessé de repousser les codes du Rap et plus particulièrement de ce courant ultra-Dark déjà largement débroussaillé par des pionniers du genre tels que Dälek depuis le milieu des années 90. A l'image de Dälek, justement, avec lesquels ils partagent une forte propension pour les instrus industrielles et glaciales, MOODIE BLACK se démarquent pourtant largement, insufflant à leur Rap des sonorités Trap voire Shoegaze et nourrissant leurs shows de visuels des plus dérangeants. A la violence froide et nauséeuse du terrifiant “Nausea” (2014), le duo renchérit en 2018 en élargissant davantage encore son propos. Sur son dernier longue-durée, “Lucas Acid”, sorti sur les très recommandables Fake Four Inc. (Ceschi, Bleubird, Sole, K-The-I, Busdriver…), les Américains abandonnent quelque peu leur côté percussif et hautement industriel, laissant place à des volutes aux accents Shoegaze voire Coldwave ou même Folk par instants, pour une musique pourtant toujours aussi glauque et malsaine, profondément viscérale. Enregistré pendant près de deux ans entre Minneapolis et Los Angeles, ce dernier album porte un regard acerbe sur l'humanité, guidé notamment par les yeux d'un chanteur en pleine transition sexuelle, le tout condensé dans un vaste rhizome d'interrogations. Comment vivre, par exemple, à Minneapolis et aux Etats-Unis en général lorsqu'on est noir ET transsexuel? Une vaste vague de questionnements et de jugements cyniques sur la société porté par l'un des groupes les plus intéressants du moment ; sans doute en passe de devenir l'un des nouveaux grands incontournables dans le monde du Rap indépendant. De retour en Europe ce printemps, MOODIE BLACK débarquent avec un nouvel EP sous le bras, "MB III", constitué de quatre titres d'une épaisseur et d'une noirceur insensées. Un retour en puissance à ne manquer sous aucun prétexte! En ouverture de soirée, avalanche de décompositions électroniques supersoniques avec NORDRA, projet solo de Monika Khot, grande figure de la scène indé nord-américaine, mieux connue pour son travail au sein du duo noise psyché / expérimental Zen Mother.
NORDRA c'est l'ambivalence même des musiques électroniques. Tantôt dronesques, tantôt ambiants, planants, minimalistes, terrifiants, agressifs, répétitifs, technoïdes, rampants, bruitistes ou dissonants, les Univers déployés par l’Américaine sont pour le moins vastes et distordus. Faits de composites insensés de sonorités techno, drone, indus et d’intrusions de guitares et de cuivres pour un ensemble polymorphe hypnotique et hautement addictif. Tout un programme ; une des toutes grandes découvertes de l'année dernière, en ce qui nous concerne, alors autant dire qu’on s’en réjouit comme personne!
Venez seulement, vous nous remercierez plus tard.
Liens: DTB: http://dronetothebone.tumblr.com LA MAKHNO: https://www.facebook.com/lamakhno MOODIE BLACK: https://moodieblackdeath.bandcamp.com NORDRA: https://nordra.bandcamp.com
Facebook event: https://www.facebook.com/events/335698560401321/
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reseau-actu · 5 years
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L’eurodéputée Sophie Montel publie « Bal tragique au FN » (Rocher), un brûlot sur les coulisses du FN.
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Attention, dézingage en vue ! Après avoir claqué la porte du Rassemblement national, puis des Patriotes de Florian Philippot, voilà l’eurodéputée Sophie Montel de retour avec un livre au vitriol, « Bal tragique au Front national » (Ed. du Rocher, 17,90 euros) qui sort le 13 mars et que notre journal a lu en exclusivité. « Certains prendront ce livre comme un règlement de comptes. Peut-être, mais peu m’importe », est-il écrit en guise d’introduction.
Pour « solde de tout compte » après trente ans d’engagement au FN, 260 pages qui racontent, sur un ton acide voire acrimonieux, les coulisses pas très ragoûtantes du « cloaque merdique à souhait où règne le copinage, les coups tordus et l’incompétence », comme elle décrit son ancienne formation. Des cyniques calculs électoraux aux soirées bunga-bunga en passant même par un mystérieux après-shampoing à l’urine d’une conseillère régionale, rien n’est épargné au lecteur.
En matière de vengeance, Sophie Montel a déjà fait preuve de son efficacité. En mars 2017, elle dénonçait dix-neuf de ses collègues qui employaient, selon elle, des permanents de leurs partis comme assistants parlementaires à Strasbourg. Soupçonnés, trois ministres MoDem, dont François Bayrou, avaient été forcés à la démission en juin.
Dans le livre, l’élue réaffirme que Marine Le Pen a mis en place un système de prise en charge financière des permanents du FN par le Parlement européen. Des accusations qu’elle a déjà eu l’occasion de porter en juin 2018 devant l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Lors d’un séminaire en juillet 2017, Marine Le Pen aurait également suggéré d’avoir recours aux assistants parlementaires pour former une cellule « argumentaires » du parti. « Déjà qu’ils ne foutent rien au Parlement européen et vu comme ils sont payés, ils peuvent bien faire ça, non ? », se serait exclamée la cheffe.
Marine Le Pen assure n’avoir « rien à foutre » de la sortie du livre
Sophie Montel raconte avoir cru en Marine Le Pen après sa prise de contrôle du parti en 2011. « Les cassures » remonteraient à 2015, selon celle qui était alors proche de Florian Philippot. Quelques mois avant le bureau politique de mai 2015 qui exclut Jean-Marie Le Pen du parti, une réunion se serait tenue à Bruxelles au cours de laquelle Philippot et son frère Damien auraient mis la pression sur Marine Le Pen pour qu’elle lâche son père.
« Le marché est clair. Elle choisira les deux frères », écrit Sophie Montel. Mais la présidente du FN « se retournera aussitôt contre Florian Philippot […]. Difficile de se regarder dans un miroir après un tel coup ». Dès lors, les anciens mégrétistes et identitaires prennent plus de place dans le parti. Y compris Marion Maréchal que Marine Le Pen craindrait. Quand elle « est là, la tante ne cesse de guetter ses réactions, elle s’inquiète de la moindre contrariété qui pourrait chiffonner sa chère nièce […], parfois presque gênée par le débordement d’intérêt en public », raconte Sophie Montel.
Florian Philippot, dont on apprend qu’il a enregistré clandestinement le dernier bureau exécutif auquel il assistait, est lui aussi amplement critiqué. La députée raconte que la création des Patriotes au sein du FN aurait bel et bien eu pour objectif de précipiter son départ. Ce dont l’accusaient ses détracteurs en interne. Le 21 septembre 2017, après qu’il a annoncé sa démission du FN sur France 2, Sophie Montel, qui le trouve émouvant, l’appelle. Il lui aurait répondu : « tu y as cru, alors j’ai bien joué la comédie ! »
Contacté par Le Parisien, l’entourage de Marine Le Pen assure n’avoir « rien à foutre » de la sortie du livre : « On ne le prendra même pas pour caler un meuble. »
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skizzmalo · 6 years
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Forever toi
       C’est l’état de siège permanent
                   des sentiments
              Un champ de bataille
             en moissons perpétuelles !
          Une mousson de pluie acide,
        Le désert aride des rêves oubliés.
      Au jeu de l’amour et du hasard,
                  j’ai trop  mélangé
                   le rouge et le noir .
      J’ai attendu que le vent m'emporte
               autant que Scarlett
     L’humour cynique de l’amour noir.
        La roulette russe au pistolet,
                   J’ai l’esprit Slave,
     sans grands espaces à partager.
Mais j’aimerais quand même t’amener là
        où le soleil se couche jamais.
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La paix glaciale des cyniques
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The Perry's Mission
SPECTACLE par Clarence Young
Theatre 80 St Marks (New York, 2017)
Dans un café de voisinage, rien de terrible ne peut se passer. Certes, des disputes, des rencontres impromptues, des malentendus ... Mais, à la faveur d'une violente tempête, y entrent des personnes qui n'y sont pas habituées, et soudain les classes et les races se mélangent. The Perry's Mission est la chronique acide de ce mélange inconfortable où les préjugés des uns et des autres s'entrecroisent, attisés par quelques uns plus provocateurs, plus grande gueule que la moyenne. Jusqu'à une explosion finale, inattendue - où le cynisme l'emporte - où l'ordre des pouvoirs, un temps vigoureusement débattu, retrouve sa paix glaciale et mortifère. Une pièce-choc de 1971 qui (comme c'est étrange !) n'a pas pris une ride.
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