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#animaux disparus
defenderoftheearth · 1 year
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Vidéo :Histoire de la Terre:Un INCROYABLE Voyage vers les Océans Préhistoriques de la Terre
Voici une belle représentation de ce que fut la vie dans les océans préhistorique de la Terre! J’ai  le plaisir de vous le présenter aujourd’hui!   NOTES Il y a environ 541 millions d’années, la répartition des terres et des mers était bien différente de ce que nous connaissons. Tout cela a eu lieu bien avant la création de la Pangée. À cette époque du Cambrien, lors de la première phase du…
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hcdahlem · 3 months
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Du même bois
Marion Fayolle réussit son entrée en littérature. Servie par une langue poétique, sa chronique de la vie dans une ferme de montagne résonne avec l’actualité la plus brûlante. Elle partage le quotidien de cette famille sur plusieurs générations.
    En lice pour le Prix Régine Deforges 2024 En lice pour le Prix Habiter le monde 2024 En deux mots Cette chronique de la vie dans une ferme de montagne raconte la nature et les bêtes, les saisons et la famille qui réunit plusieurs générations sous un même toit. On y voit aussi les aspirations des plus jeunes à fuir cette vie de labeur et les problèmes brûlants de l’agriculture. Ma note ★★★★…
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recapqsmp · 9 months
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Dimanche 17/09 - Deux semaines plus tard
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Tubbo a reçu une réponse a sa lettre. Fred lui a expliqué qu'il ne savait pas de quoi il parlait, il faisait simplement ses tâches de travailleurs. Tubbo lui a écrit une réponse pour lui dire qu'il espère pouvoir lui reparler à sa prochaine pause repas. En passant à son usine, Tubbo a aussi remarqué que les machines Create tournent à nouveau à plein régime.
Baghera s'est réveillée dans une base de la fédération. Elle a pu s'échapper grâce à une plaque de téléportation et s'est retrouvé dans son château, habillée en blanc. Elle ne sait pas depuis combien de temps elle a disparue, ni même ce qui lui est arrivé. Elle sait simplement qu'un inconnu l'a aidé. Après avoir lu le livre que Pomme lui a laissé, elle est retournée dans la base de la fédération pour enquêter sur ce qui lui était arrivé. Elle a trouvé deux livres, un contenant le résultat de sujets de tests sur des hybrides humains/animaux, et un autre livre résumant ce qui lui était arrivé : elle a été retrouvé inconsciente dans sa chambre, a été emmenée ici, et des tests ont été effectués sur elle. Elle en a profité pour remettre ses anciens vêtements, et est allé voir Tubbo pour prendre des nouvelles. Elle ne lui a pas dit ce qui s'était passé, et a conclu qu'elle n'avait pas disparue depuis si longtemps vu que Tubbo n'avait pas l'air surpris de la voir.
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https://www.twitch.tv/bagherajones/clip/TentativeExcitedFriseeKappa-ShNkoU-JpF2m7R54
Baghera a souhaité aller voir Pomme car sa fille lui a manqué. Elle a parcouru toute les chambres, et n'a pas vu son lit. Elle a demandé à Tubbo où était sa fille, et a reçu un résumé très rapide de ces derniers jours : Les œufs ont disparus depuis 9 jours, la veille ils étaient couvert de boue. Ils ont fuit une entité plus dangereuse que le Code ou la fédération, Forever drogué, le labyrinthe, les 12 œufs, Bagi sur le serveur… Cela faisait beaucoup a digérer pour Baghera, elle a donc décidé d'aller faire une pièce cachée dans son château pour poser toutes ses idées. Plusieurs fois elle a émis l'idée que la fédération n'était pas capable de leur faire du mal. Après avoir terminé une salle en quartz ronde, elle a relu les livres sur l'expérimentation qu'elle a subie, et a décidé de brûler tout ce qui concernait son kidnapping (photos de sa chambre, rapport d'expérience..). Elle s'est ensuite dit qu'ils construisaient tous leur prisons en voulant partir de l'île, et a regardé son château au loin, d'un air pensive.
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https://clips.twitch.tv/CooperativeEncouragingLorisSpicyBoy-VKUGweLEaClg_9aD
BadBoy a commencé son stream par des cris humains et… moins humains. Il n'y avait rien à l'écran, mais l'utilisation de l'ascenseur dans sa base fait sous-entendre que la session de torture de l'employé se passe bien. Il a ensuite montré la base de Maximus à Tubbo, fait découvrir le furry club et les lucky ducks à Bagi. En allant au musée des œufs, il a pu expliquer à Bagi qui étaient les œufs, et ce qui leur était arrivé. Il est ensuite reparti dans sa base, torturer le travailleur.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/FastSpicyFalconVoteYea-ebbCjziinW-zbMOJ
Pendant ce temps, chez Etoiles :
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https://clips.twitch.tv/ConcernedPatientCarrotTinyFace-SSwd14-Je2uWUqJs
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https://www.twitch.tv/etoiles/clip/ShortPlumpRaisinTBCheesePull-9u0J7orC-n_kbZaO
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icariebzh · 18 days
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" A mesure que la connaissance scientifique progressait, le monde s'est déshumanisé. L'homme se sent isolé dans le cosmos, car il n'est plus engagé dans la nature et a perdu sa participation affective inconsciente, avec ses phénomènes. Et les phénomènes naturels ont lentement perdu leurs implications symboliques. Le tonnerre n’est plus la voix irritée d’un dieu, ni l’éclair de son projectile vengeur. La rivière n’abrite plus d’esprits, l’arbre n’est plus le principe de vie d’un homme, et les cavernes ne sont plus habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l’homme et l’homme ne s’adresse plus à eux en croyant qu’ils peuvent l’entendre. Son contact avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l’énergie affective profonde qu’engendraient ses relations symboliques. Les symboles de nos rêves tentent de compenser cette perte énorme. Ils nous révèlent notre nature originelle, ses instincts et sa manière particulière de penser. Malheureusement, ils expriment leur contenu dans le langage de la nature, qui est étrange et incompréhensible pour nous." Carl Gustav Jung  extrait de: "L'homme et ses symboles."
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fashionbooksmilano · 1 year
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Marthe Solange  Pastels 1921-1926
sous la direction de Véronique Serrano
SilvanaEditoriale, Cinisello Balsamo 2023, 80 pagine,  21 x 29,5 cm, brossura con alette,  Francese, ISBN 9788836654505
euro 23,00
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Le Musée Bonnard, Le Cannet
Pour chacun d’entre nous Marthe est la muse inconditionnelle de Pierre Bonnard et chacun croit connaître cette personnalité secrète à travers la peinture de son mari. Pourtant Marthe a laissé une œuvre éclair sous le nom de Marthe Solange (1869-1942). Celle-ci est apparue aux environs de 1921, aussi mystérieusement qu’elle a disparu vers 1926, même si l’on sait par le témoignage du peintre lui-même qu’elle continue sporadiquement à travailler après cette date au gré de leurs déplacements ou de son état de santé, sans que rien ne soit parvenu jusqu’à nous. Aujourd’hui, presque 100 ans après sa première et unique exposition personnelle à Paris à la galerie Druet en juin 1924, le musée Bonnard a souhaité lever un pan du mystère Marthe, personnalité aussi énigmatique qu’essentielle pour le peintre qu’elle accompagnera et inspirera tout au long de sa vie. Activité ignorée de tous, Marthe a presque exclusivement pratiqué le pastel, parfois rehaussé de gouache, initiée en cela par l’artiste Louise Hervieu, amie du couple. L’œuvre qu’elle nous laisse dit combien ce medium subtil et exigeant lui convenait parfaitement, maniant à la fois le plaisir de la couleur et l’expression d’une certaine naïveté. Intimistes, ses pastels racontent sa vie intérieure, proche de la nature et des animaux.
22/04/23
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ernestinee · 2 years
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La fierté du jour, parce que sans ça, c'était une journée plutôt bof.
6 mois pendant lesquels j'ai fait les questions et les réponses.
Petit bonhomme de 4 ans qui consulte pour "une hypospontanéité du langage" avance son pédiatre. Et ça pour être peu spontané... Il est carrément mutique. Aucun son ne sort de sa bouche, ni avec moi ni les enfants de l'école ni les enfants de la famille, ni ses parents. Par contre, il comprend parfaitement tout ce qu'on lui dit, il est très observateur. On le croit autiste.
Les vérifications d'usage sont faites : QI non verbal, audiométrie... Rien à signaler, alors on me l'envoie. Je ne le crois pas autiste, je demande aux parents de post-poser d'un an le testing propre à l'autisme. Décision difficile pour eux, qui étaient déjà en phase d'acceptation, mais je n'avais pas perçu les petits indices familiers dans les troubles du spectre autistique, et en plus, le moindre diagnostic d'autisme fait disparaître toute possibilité d'obtenir une aide financière de la mutuelle.
6 mois à faire des jeux où il suffit de désigner, des jeux où le langage n'est pas nécessaire pour communiquer, bataille, mime, foot, de quoi favoriser l'air de rien la mobilité des organes phonateurs (mimer la grimace qui a disparu parmi toutes les cartes-grimaces), la gestion du souffle (course de plumes à travers le bureau, très-mini-foot en soufflant sur une balle de ping-pong), et l'imitation d'un rythme (au cas où il se mettrait à répéter des mots, sait-on jamais)
Puis un jour, il s'exclame. "J'ai gagné !"
Émotion difficilement contenue, d'avoir entendu sa petite voix. Ce n'était pas parfaitement articulé mais je l'avais compris. Ça avait été spontané, ça avait été prononcé avec l'entrain adéquat (ça me permettait de presque supprimer une crainte liée à la pragmatique), ça avait été prononcé en conscience. Ça n'était pas sorti tout seul, il l'avait au fond de lui, il avait voulu le sortir et lui seul sait le long chemin que ça avait fait, de son cœur à sa bouche, en restant coincé sans doute un bon moment dans la gorge. Tu sais comme quand tu veux dire un truc mais que ça ne sort pas.
On a continué les jeux sans langage parce que ça lui plaisait et que je ne voulais pas brûler les étapes. Le "j'ai gagné" est sorti plusieurs fois. Ainsi que des petits rires oralisés, puis des onomatopées. "Et bim, t'as perdu" me dit-il un jour.
Puis un jour il a couru dans les escaliers pour arriver dans le bureau avant moi et il a pris un jeu dans l'armoire. Tout fier, il me montre un jeu de familles. 7 familles d'animaux avec papa, maman, frère et sœur. Tout fier, il mélange les cartes sur la table, il me regarde de son air interrogateur, sans rien dire, je réponds "5 cartes chacun et une pioche". Il distribue. Mon lapin moi je veux bien jouer à ça mais il faut parler un minimum, ça ira ? On dit juste les noms des animaux, ok ? Il acquiesce.
"potam" "chat", "quoi ça ?" (C'était un morse), "orss", "nousss", "phant", "chon", "nou" (hippopotame, chat, morse, ours, éléphant, cochon et grenouille).
Je ne l'avais jamais autant entendu parler. Il les a tous dits, il s'est révélé être fin stratège et savoir comment tricher. Petit à petit, il a su demander "papa nou", puis "papa renou", "papa grenouille", "je voudrais papa grenouille", "je voudrais le papa grenouille". Pareil avec les autres animaux.
D'autres jeux ont été utilisés pour développer son vocabulaire et enrichir ses phrases.
Puis la lecture est arrivée et il a détesté donc on n'a pas lu "ok chou écoute tu fais ton maximum à l'école en lecture et moi je ne t'ennuie avec ça que si c'est nécessaire". Il lit super bien du coup.
Après deux ans de prise en charge, on se rend compte que le niveau est encore trop bas par rapport aux enfants de son âge. Il avait alors 6 ans, exprimait le vocabulaire de base mais souvent sans le déterminant, et n'utilisait encore que des phrases simples. Pas de flexions liées au temps, au genre , au nombre, évidemment pas de voie passive ni de phrases relatives ni même de mots-liens. C'est normal, on est partis de loin.
J'ai eu peur pour les futures analyses de phrases, la grammaire, la conjugaison, l'orthographe liée à la logique. J'ai fait des tests plus poussés et posé un diagnostic de dysphasie. En gros, une mauvaise gestion profonde du langage. Ce qu'on reformule mentalement lorsqu'on apprend quelque chose, il ne le fait pas. Il doit apprendre sans passer par cette case de ré-encodage.
Le travail se poursuit avec lui, une heure par semaine. Avec l'arrivée des phrases plus complexes, apparaît un bégaiement. Tu vois quand tu as trop de choix et que tu ne sais pas quoi prendre, et que tu prends tout en vrac. Bah lui c'est ça dans sa tête quand il veut raconter un truc génial. Ça bug, il répète plusieurs fois le même mot, l'articulation souffre, les mots arrivent dans le mauvais sens et il faut lui dire de respirer et de s'organiser.
Ça fait maintenant 5 ans qu'on bosse ensemble, en équipe lui et moi, il sait que je le comprends quoi qu'il dise (j'ai fait semblant longtemps), ça le rassure, ça le calme, ça lui enlève la pression de devoir se répéter.
De temps en temps, je lui demande d'amener un jeu qu'il aime. Le but est qu'il m'explique les règles. Les règles des jeux ont l'avantage de forcer le cerveau à être organisé.
Aujourd'hui, pour la première fois, il n'y a eu aucun bégaiement quand il m'a expliqué les échecs. Non seulement il a expliqué, mais il a répondu à mes questions, construit des phrases solides et longues pour m'expliquer en quoi ma stratégie était mauvaise. Quand je dis longues, c'est du style "Alors là si tu fais ça, t'es sûre que je bouge mon cheval, je te bouffe hop, et puis tu n'as pas le choix de bouger ton roi puisque tu n'auras plus de défense par là, et à tous les coups je gagne parce que t'es nulle aux échecs voilà, on peut pas être bon en tout"
Voilà, c'était R. aujourd'hui, l'un de mes dysphasiques après 5 ans de prise en charge.
Et il a bouffé mon roi avec son cavalier, j'ai rien pu faire. Mais je suis fière de nous quand même.
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jojobegood1 · 7 months
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Tempête Ciaran : plusieurs animaux se sont échappés d’un zoo en Bretagne
🇨🇵💘🍀🤞💔
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frenchdrarry · 9 months
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La nuit n’avait rarement été aussi claire ni l’eau aussi foncée. Harry avait l’impression que le lac était un abîme, un abysse dantesque qui avalerait sans remord les étoiles si jamais elles tombaient. La Lune brillait. Elle scintillait comme le dernier des diamants aux milieux des milliers d’étoiles incandescentes.
Sa peau semblait constituée de lumière. Même sans sa nyctalopie induite par sa condition d’animagus, Harry aurait pu le voir parfaitement. Draco était un soleil. Et les yeux de Draco, deux phares braqués sur lui.
Il savait. Harry était frustré sans fin par la clairvoyance de cet homme, mais également vivifié par cela. Draco le reconnaîtrait sous n’importe quelle forme, tout comme Harry pressentiraient chacune de ses idées. Ils se connaissaient si bien.
Se détestaient si bien.
Ils s’égalaient. Leur jeu intellectuel était une danse pleine de défis. Ils anticipaient l’autre, ses idées, ses envies, son tempérament, ses frustrations. La moindre de leur incartade, le moindre changement d’émotions était perçu par l’autre malgré tous les efforts respectifs qu’ils mettaient à se le cacher.
Et maintenant, ça. Draco sourit. Entre pénombre et lumière, ses lèvres se plissèrent d’un amusement agacé et Harry put voir son torse se dégonfler. Il était beau. Diablement, divinement beau. Mortellement beau. La Lune ne semblait exister que pour embellir cette peau diaphane, ces épaules élégantes et ce torse maigre. Ses longues jambes avaient disparues sous l’eau noir mais Harry percevait la forme des écailles sur les larges hanches. Il avait envie de s’approcher, de mieux les percevoir. Étaient-elles toutes de la même taille ? Quelles couleurs avaient-elles ? Que sentaient-elles ? Mais il ne bougea pas d’un pouce — il resta parfaitement immobile, couché dans l’herbe fraîche, les sens aux aguets.
Ils étaient seuls au monde. Poudlard n’avait jamais été aussi vide, aussi silencieuse qu’en cette nuit. La forêt semblait s’épanouir sous la clarté lunaire, une atmosphère mystique épaississait les lieux. Le sourire de Draco avait quelque chose d’irréel.
Il n’y avait pas la moindre brise pour créer des vagues, le lac noir n’avait jamais aussi bien porté son nom. Il était aussi lisse qu’un miroir et pourtant ne reflétait pas la moindre étoile — son immobilité était aussi terrifiante que celle de Harry. Leur attente était d’un autre ordre : celui du surnaturel.
Draco bougea. Il salua Harry d’un signe de tête et se retourna, sa forme était humaine lorsqu’il scinda les eaux pour rejoindre les roches anguleuses qui parvenaient parfois à crever la surface plane du lac. Son corps était clairsemé d’écailles à partir de la taille jusqu’en bas, Harry n’essaya pas de les dénombrer. Plus Draco avançait, plus il avait pied et plus il se découvrait. C’était un spectacle dont Draco en était l’acteur parfaitement conscient. Harry observait la silhouette, l’effort pour marcher dans l’eau avec des jambes humaines. Cette silhouette, à présent qu’elle se découpait clairement dans les rayons lunaires. Cette carrure qu’il connaissait si bien pour l’avoir observé des milliers de fois depuis sa première année. Dans les couloirs, en classe, au Quidditch, à la Grande Salle. Cette silhouette en équilibre entre l’athlétisme et l’androgynie. Ces cheveux pâles, à présent baignés de blanc.
Il plongea. La fourrure de Harry se hérissa instinctivement — l’action avait été d’une prodigieuse rapidité. Un instant, il était là, demi-dieu parmi les mortels : soudainement plus rien, il avait sauté avec une grâce qu’on aurait pensé réservée aux animaux célestes. Harry avait du mal à restituer ce qu’il avait vu : la courbure de son dos, le passage des jambes à la queue, la brillance des écailles et plus rien. Il avait disparu dans les eaux sombres, seules restaient les vagues, signe qu’il était bel et bien entré dans ce lac abyssal. Bientôt, plus rien ne témoignait qu’il fut même là un jour, Harry pourrait venir à en douter s’il ne sentait pas encore son odeur dans l’air.
Il se releva lentement, s’ébroua, hésita à s’approcher de l’eau. Ses instincts étaient contre. Le lac noir n’avait jamais semblé si dangereux qu’en cette nuit lumineuse et ce n’était pas à cause du calamar.
Étrangement, il se sentit inquiet. Il n’aimait pas voir Draco là où lui ne pouvait le voir. Son hurlement déchira la nuit et les autres animaux s’excitèrent à son appel. Harry savait pourquoi il s’était annoncé. Il espérait que son rugissement avait percé la surface d’ébène qui lui faisait face. Et sans plus s’appesantir sur la question, il courut vers la forêt dont les branches ressemblaient étrangement à de noires tentacules.
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auda-isarn · 1 year
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" Enfermée dans la forêt, derrière un mur invisible, une femme se trouve être l'unique survivante de l'humanité.
Alors que j'avais ressenti de l'ennui devant son adaptation au cinéma par Julian Pölsler , j'ai été un peu embarrassée que l'on m'offre pour mon anniversaire Le mur invisible, roman de l'autrichienne, Marlène Haushofer.
En fait, ce livre écrit en 1963 est totalement génial et je l'ai dévoré d'une traite. Merci donc à l'ami qui m'a fait ce cadeau !
Le synopsis est incroyable :
Enfermée dans la forêt, derrière un mur invisible, une femme se trouve être l'unique survivante de l'humanité.
Que s'est-il passé ?
On ne le saura jamais vraiment !
Elle voit, comme à travers une vitre, le reste du monde entièrement détruit. L' auteure , mère de famille provinciale et assistante au cabinet dentaire de son mari, donne à son roman la forme d'un journal de bord que la narratrice tiendrait pour faire face à cette expérience limite.
Page après page, nous découvrons ce que ce Robinson Crusoé au féminin met en place pour pouvoir survivre.
Son rapport à la nature, son inventivité.
L'effort constant et vain (?) qu'elle fait pour rester humaine, autant spirituellement que physiquement, alors que toute civilisation a disparu :
S'inventer des règles, repérer les heures, se donner un cadre. Continuer à se laver, se couper les cheveux, ne tuer que pour manger, pour ne pas sombrer dans la sauvagerie. Se concentrer sur le présent. Ne pas penser aux causes de cette catastrophe, à cette apocalypse, à la mort qui rôde partout.
S'agit-il d'une élection ou d'une punition? Est-elle une miraculée ou une damnée ?
Le mur invisible, c'est la prison à perpétuité sans gardien ni codétenu. La solitude, jusqu'à devenir folle.
Parler seul, désirer la mort, céder, puis se ressaisir. Le sursaut du corps. La joie d'un rayon de soleil, d'une framboise mûre, d'un travail achevé.
Et, par instant, même, le bonheur parfait.
L'harmonie totale avec la nature, l'adhésion au présent. Comme si cette situation extrême était l'aboutissement d'une vie. C'est à ce stade de son récit que la narratrice choisit de réfléchir sans complaisance à son passé et, à travers lui, au statut des femmes du milieu du 20 ème siècle et ce à quoi on les cantonnait: la maternité, la beauté physique, la sociabilité mondaine. Ces relations vaines et fades.
Ces coquilles vides.
Les remarques se font grinçantes sur ses préoccupations d'autrefois: ne pas être trop ronde, ne pas faire son âge...
Alors que dans la forêt, elle se métamorphose peu à peu en "paysan", au visage buriné et ridé, au corps amaigri et musclé, elle arrache ses bijoux et jette ses robes. La coquetterie d'antan lui apparaît désormais superflue et ridicule.
Ses mains calleuses et abimées deviennent ses plus précieux outils.
Son lien avec les quelques animaux qui partagent son existence est chaque jour plus fusionnel. En particulier avec Lynx, le chien du garde chasse dont elle a hérité. La tendresse et la dévotion sans faille de l'animal, sa complicité, sa façon de sentir la moindre de ses contrariétés, la moindre de ses inquiétudes, de l'aider en tout, de s'offrir à elle en consolation lui fait dire à la fin du roman que Lynx lui apparaît parfaitement humain.
C'est impossible, après la lecture de ce livre, de regarder les chiens sans éprouver une forme d'affection.
On pense au narrateur de la nouvelle " Construire un feu" de Jack London, lui aussi perdu dans une nature hostile, et à son rapport au chien tout aussi intime mais plus rude et violent.
La vache, Bella, comme une autre femme, une " soeur" qui la nourrit et est mère à son tour d'un petit veau.
La chatte capricieuse, indépendante et hautaine. belle et mystérieuse. Les chatons, les corneilles, les cerfs de la forêt. Plus le temps passe, plus la narratrice se sent proche d'eux et loin des hommes. Elle se réjouit finalement d être seule et que sa cousine et son mari ou le garde chasse ne soient pas là, enfermés avec elle. Cette solitude, c'est aussi la liberté absolue. Liberté qu'elle découvre au prix fort mais qu 'elle savoure à chaque instant.
La vie sans l'aliénation sociale.
La vie sans l'Autre.
Elle n'a à composer avec personne, à ne servir personne. Elle se souvient avec peu d'amour de ceux qui l'entouraient, même de ses filles devenues adultes, elle n'a de regret que de cet attachement qui la liait à elles alors qu'elles étaient encore très petites et qu'elle retrouve à présent avec les animaux dont elle prend soin nuit et jour.
On en vient même à se demander si la destruction générale du monde n'est pas un puissant fantasme de la narratrice, une pulsion de mort cosmique.
En lisant ce roman si singulier, je n'ai pas pu m'empêcher de voir dans cette image d'enfermement sous une cloche en verre la métaphore de l'infernale solitude des femmes dans une société où elles n'avaient encore que peu de place, où elles étouffaient littéralement sous les contraintes et les faux-semblants.
Ce mur invisible serait l'incarnation de cette prison sociale. De ces injonctions absurdes. De cette assignation au foyer et à la maternité.
Les animaux y représenteraient les enfants, à l'âge où ils dépendent entièrement de leur mère, les enfants qui donnent une raison de vivre lorsque l'on ne comprend plus rien à la place et au rôle que veut nous faire jouer la société.
Les enfants qui de tout temps ont permis aux femmes d'oublier par leurs sollicitations incessantes la vanité de leurs existences.
A chaque moment de découragement, à chaque passage où l'héroïne s'interroge sur la nécessité de continuer à vivre et où la tentation d'en finir émerge, c'est toujours la pensée des animaux qui la ramène à la vie. Car sans elle, ils mourraient et elle ne peut en supporter la simple idée...
Cela ressemble à ce que les femmes ont toujours éprouvées de manière presque archaïque lorsqu'elles ont été traversées par le désespoir face aux injustices sociales et que la main d'un enfant se glissait dans la leur pour les rendre à la joie... "
Un petit résumé de cette merveilleuse lecture que j'ai trouvé. Un livre que je recommande vivement. Marlen Haushofer est une écrivaine de science fiction féministe.
Les mouvements féministes et la recherche sur la littérature féminine a permis de faire connaître le rôle particulier de la femme dans la société masculine, mais qui pourtant était un thème constant chez les œuvres de Marlen Hausfhofer.
Elle est vraiment pas connue en France, et le film sur le bouquin n'est pas disponible en langue française. C'est vraiment dommage car c'est louper un récit poignant.
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Mesdames et messieurs, comme je le disais donc ce matin : je suis à Sidney ! (C'est bon Dr Rathatton, tu peux venir me chercher, je suis laaaaaaa)
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Anecdote rigolote : j'étais sur le vol d'inauguration de la ligne Ho Chi Minh - Sydney de la compagnie aérienne que j'ai prise, donc on a eu le droit à des photographes, une peluche de kangourou de la taille de mon avant bras, une casquette (je n'ai pas pris tout ça, avec le sac c'est compliqué, mais l'ambiance était sympa !),... Bon, par contre, vu que c'était le vol le moins cher que j'aie pu trouver, pas d'oreiller/couverture, pas de repas inclus, même l'eau était payante :') le confort étant assez minimal, j'ai donc du dormir à peu près trois heures cette nuit !
D'un côté, c'est bien, ça a fait une légère transition entre le coût de la vie en Asie et celui en Australie : je multiplie littéralement par 5 à 10 le budget nourriture et logement. Pour vous donner un exemple, cette délicieuse glace était à... 7$ la boule. Et je dors ce soir dans un lit de dortoir, sans serviette incluse, pour la modique somme de ... 40$ (vs 3 ou 4 en Asie, 6 quand c'était vraiment cher). Ce qui est le moins cher que j'ai trouvé, "trou à rat et à puces de lit" (commentaires Google des deux auberges à 20€ la nuit trouvées sur internet) exclus.
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J'ai profité d'un tour gratuit pour faire 3h de balade dans la ville, où on a appris plein d'anecdotes sur l'histoire de Sydney et de l'Australie !
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Par exemple, on a appris que les animaux symboles du pays, c'est le kangourou (vous ne vous en seriez jamais douté) et l'émeu. Non, pas De Rathatton en PLS dans un fauteuil, un vrai émeu. Et pourquoi ? Parceque ces deux animaux ne peuvent pas reculer, c'est donc le symbole que l'Australie ira toujours de l'avant ! Notre guide nous glisse en passant que c'est aussi un des seuls pays où on dévore allégrement les animaux qui le représentent, et qu'ils ont même une pizza "coat of arms" moitié viande de l'un, moitié de l'autre ... Quelle idée.
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En tout cas, c'est assez marrant comme ville, on trouve côte à côte des bâtiment qui ont 120 ans et des buildings en acier et en verre, c'est assez original. Ils ont aussi un sens de l'humour tres British : on nous a montré une horloge qui remet en scène la décapitation de je ne sais quel roi, et dont la tête tombe donc toutes les heures. Miam.
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A la base, Sydney était constituée quasiment exclusivement de prisonniers, pour la grande majorité des voleurs. En lieu de sentence, on les condamnait à 7 ou 14 and d'exil/travail forcé en Australie, sans billet de retour. Enfin, techniquement, ils avaient le droit de rentrer une fois libre, mais entre payer son billet pour faire 9 mois de bateau, risquer d'y passer, et rentrer dans un pays miséreux, ou rester sur place et obtenir un commerce ou une ferme, le choix était vite fait. Du coup, la ville n'a pas super bien débuté : entre le niveau d'éthique de la population locale, les rixes incessantes avec les indigènes, le fait que la monnaie d'échange était le rhum et que 75% des gens étaient alcooliques, les autres étant corrompus, c'était un peu difficile ... Depuis, la monnaie en plastique presque indestructible et 100% recyclable (ils en font des bancs!) a été inventée, c'est quand même moins biaisé qu'une bouteille de rhum.
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Il y a une certaine rivalité entre Melbourne et Sydney (la fameuse histoire de la capitale Canberra, construire pile au milieu des deux villes parcequ'on n'arrivait pas à se décider), désormais plutôt amicale. Les deux villes se comparent notamment sur le plan de l'art, où Melbourne serait plus développée ; notre guide nous a amenés à une des expositions installée à Sydney qui fait fureur : 50 cages d'oiseaux désormais disparus du centre ville, alors qu'ils étaient autrefois tous sur l'endroit où la ville s'est construite, et les pépiements correspondant transmis par des hauts parleurs.
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Ils ont aussi leur propre version du bout du pied à frotter pour se porter chance : ici, c'est le museau du sanglier ! On met une petite pièce en don dans le fontaine devant (ils font pas mal ça, il y en avait une autre avec le chien préféré de la reine Victoria... Mais celle là parlait et aboyait pour remercier !), c'est donné à diverses associations en fonction de la fontaine.
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Bref, après ces trois heures de visites très intéressantes (mais j'ai mal aux pieeeeeds) ma glace dans l'estomac (ça me servira et de petit dej et de déjeuner, on mangera tôt ce soir mais je n'assume vraiment pas le burger à 25$ du centre ville !), je pars vers le jardin botanique qui est magnifique, où j'arrive à faire une heure de sieste sans me faire mouiller (je suis passée entre les averses !).
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J'ai par contre violemment pris la pluie au retour à l'auberge, bienvenue à Sydney \o/
Note : je retouche à une casserole pour la première fois depuis 3 mois, le kg de tomate a beau être à 7$, ça reste moins cher que de manger en extérieur !
Ps : Dr Rathatton, revieeeeeeeeeeens
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defenderoftheearth · 2 years
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D’énormes « chiens-ours » peuplaient les Pyrénées il y a 12 millions d’années
D’énormes « chiens-ours » peuplaient les Pyrénées il y a 12 millions d’années
Une mandibule fossilisée mise au jour dans les Pyrénées-Atlantiques en France appartient à une espèce d’amphicyonidés inconnue à ce jour, affirment des paléontologues associés au Musée d’histoire naturelle de Bâle, en Suisse. Mieux connus sous le nom de chiens-ours», les amphicyonidés forment une famille éteinte de grands mammifères carnivores. Ces animaux étroitement apparentés aux canidés…
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jf-sa · 1 year
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Français IV - Guide 2
Activités sur le blog:
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1. Prononciation: exercice 6, page 99 du Cahier d’activités:
https://voca.ro/12MEIwn0sqNk
2. Grammaire:
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La petite princesse a vécu longtemps enfermée dans une tour très haute et très loin de sa famille, de ses amis et de ses animaux, car une sorcière maléfique l’a enfermée dans sa tour. Pendant son enfermement, la princesse a eu un petit ami nommé Poilu. Poilu est un lapin blond, avec oreilles et pattes très grandes. La petite princesse a rencontré Poliu un jour pluvieux, sombre et froid, caché dans un panier de nourriture que la sorcière a laissé ce matin-là à la porte; ce jour-là quand le petit Poliu a vu la princesse, il a sauté hors du panier, couru et il s’est caché sous le lit parce qu’il a eu peur du tonnerre et de la étrange fille, mais bientôt il a sorti de sa cachette et la princesse a aimé Poliu comme un ami. Une journée ennuyeuse la princesse s'est souvenue de l’histoire du lapin magique et elle a désiré avec toutes ses forces que Poliu soit le lapin magique de l’histoire ancienne. 
Tous les jours, Poliu disparaissait pour les matins  et la princesse ne le trouvait pas. Ainsi, créant un plan, la princesse se cachait tous les matins pour découvrir le secret de Poliu et elle regardait tous les matins avant le lever du soleil, comment le petit Poliu brillait d’une très belle couleur bleue et disparaissait. Elle restait assise et regardait par la fenêtre et attendait que Poliu revienne.  toujours à midi Poliu revenait mais cette fois avec un éclat de couleur dorée et un de ces jours Poliu est revenu avec une fleur dans sa bouche et la princesse a eu une idée.
La princesse avait pensé longtemps à s’échapper et avait finalement obtenu l’occasion parfaite grâce à la magie de Poliu. Un matin, elle était s'est tue pour pouvoir attraper Poliu avant qu’il ne disparaisse, alors quand Poliu s'avait réveillé et il s'avait enrôlé pour disparaître elle sautant a attrapé le petit lapin, et les deux ensemble ont disparu et sont apparus à l’entrée du château des parents de la petite princesse. Et c’est ainsi que la petite princesse a pu s’échapper de la tour de la méchante sorcière. Après ce jour, la petite princesse n’a jamais revu son ami Poliu, mais elle savait qu’il allait bien, elle pouvait le sentir.
3. S’exprimer: 
Contexte: Le tourisme de masse, document 1 de la page 128 de livre.
Plan:
Mon opinion sur le tourisme de masse en Colombie et sur la protection de la nature.
Les moyens à mettre en place pour protéger la nature.
Complétez cette idée : Pour limiter le tourisme de masse, il faudrait…
Lien de l’activité: https://voca.ro/1hILehgNrq0C
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oviri7 · 2 years
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« Seul, sans le secours de puissances invisibles, il a senti dans son cœur le monde se créer et disparaître. Dans son crâne brûlé par le soleil, l'éther s'est condensé, est devenu nébuleuse, la nébuleuse est devenue étoile, l'étoile, comme la graine, a formé une écorce, et a donné naissance à des arbres, des animaux, des hommes, des dieux, puis le feu est entré dans son crâne et tout est parti en fumée et a disparu. »
Nikos Kazantzakis - Lettre au Greco
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aspho-dele · 2 years
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lesouffle · 2 years
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« Coule, coule le temps, la sagesse grandit au soleil »
La rivière se moque éperdument de ce que peut penser la vallée. Elle vient et coule, gardant une trace éternelle tout au long de la vallée, qui quant à elle, n’a pas le choix que d’accepter. Elle n’a pas d’emprise sur la rivière et ne peut lui demander de s’arrêter, ni de changer son trajectoire le temps pour elle de reprendre son souffle car elle sait que l’hiver approche, et comme chaque année, elle sera rude pour toute vie.
Les saisons passent et se transforment en années. Une fois la pluie calmée et les nuages disparues, la vallée contemple chaque rayons de lumières qui l’éblouissent et qui illuminent la roche et colorent les fleurs. Elle savoure le doux parfum du miel et de la lavande. Le bourdonnement des abeilles et les oiseaux qui lui chantent aux oreilles à chaque lever du soleil. Et elle remercie la rivière après toutes ces années pour avoir rendu les arbres aussi verdoyants et fructueuses. De permettre aux animaux de croitre et de se désaltérer, et d’être une source de vie et de beauté. Car sans elle, la vallée ne serait qu’un endroit aride, vide, triste et désolé.
La vallée représente chaque êtres vivants, chaque êtres humains, immobile et prisonnier de la routine du quotidien moderne. Tout homme privé d’un lux connu comme le « choix ». Passant par les difficultés qui changent au fils du temps mais qui nous accompagnent et coule en nous sans cesse et qui ne cessera sans doute jamais, tel la rivière.
En prenant du recul, l’humain, symbole de la montagne qui se tient toujours debout malgré les tempêtes, comprend que tant que sa fondation reste solide, tant que la rivière des difficultés coule toujours, l’espoir perdure, car on apprend de nos erreur, chaque cours d’eau transporte avec lui son histoire et le repend dans les quatre coins de la vallée.
Laissez donc la rivière des difficultés suivre sa course, car elle est porteuse de vie. Et la vie elle-même est le mécanisme mystérieux qui fait battre le coeur, qui est lui-même à son tour, un temple d’amour.
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jojobegood1 · 2 years
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STMZ - Une bonne idée
🇨🇭⚠️🚨 ANIMAUX DISPARUS
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