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#argent pour toi
mj-cash · 1 year
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Un des meilleur site de sondage en ligne! Exprime-toi et reçoit ton argent !
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jamie-007 · 4 months
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Fréquente une fille qui lit. Fréquente une fille qui dépense son argent dans les livres au lieu des habits, dont les placards débordent parce qu’elle a trop de livres.
Aime une fille qui possède une liste de livres à lire et une carte de bibliothèque depuis l’âge de douze ans. Trouve-toi une fille qui lit. Tu la reconnaîtras parce qu’elle a toujours un livre à lire dans son sac. Elle regarde avec admiration les livres rangés sur les étagères des librairies, s’émeut discrètement quand elle a trouvé le livre qu’elle cherchait.
Tu vois cette fille bizarre qui respire les pages des vieux livres dans les librairies d’occasion ? C’est elle, la lectrice.
Elle ne peut pas s’empêcher de respirer les pages des livres, surtout quand celles-ci sont jaunies et usées.
C’est celle qui lit en passant le temps dans le café au coin de la rue.
Si tu regardes sa tasse, tu remarqueras que la crème a complètement fondu, parce qu’elle est déjà complètement absorbée par son livre. Perdue dans le monde imaginé par l’auteur.
Assieds-toi. Peut-être te lancera-t-elle un regard, car la plupart des filles qui lisent n’aiment pas être dérangées. Demande-lui si elle aime son livre.
Propose-lui une nouvelle tasse de café. Dis-lui ce que tu penses vraiment de Murakami.
Demande-lui si elle a dépassé le premier chapitre de Fellowship. Comprends bien que si elle te dit qu’elle a compris Ulysses de James Joyce, elle dit ça juste pour avoir l’air intelligente. Demande-lui si elle aime Alice ou voudrait être Alice.
C’est facile de fréquenter une fille qui lit.
Offre-lui des livres pour son anniversaire, Noël et toutes les autres fêtes.
Offre-lui des mots, en poème et en chansons.
Offre-lui Neruda, Pound, Sexton et Cummings. Montre-lui que tu as compris que les mots sont de l’amour. Sache qu’elle connait la différence entre les livres et la réalité, mais que malgré tout, elle essayera quand même de faire que sa vie ressemble un peu à son livre préféré. Ce ne sera jamais de ta faute si elle le fait. Il faut qu’elle essaie. Mens-lui. Si elle comprend la syntaxe, elle comprendra que tu as besoin de mentir. Derrière les mots se cachent d’autres choses : des raisons, des valeurs, des nuances et des dialogues. Ça ne sera pas la fin du monde. Déçois-la. Parce qu’une fille qui lit sait que les déceptions précèdent toujours des sommets d’émotions. Parce qu’une fille qui lit comprend que toutes les choses ont une fin, mais qu’on peut toujours écrire une suite. Qu’on peut recommencer encore et encore, et rester le héros. Que dans la vie, il y a toujours un ou deux méchants. Pourquoi avoir peur de tout ce que tu n’es pas ? Les filles qui lisent comprennent que les gens, comme les personnages, peuvent évoluer. Sauf dans Twilight. Si tu trouves une fille qui lit, ne la laisse pas t’échapper. Si tu la retrouves à 2 heures du matin, serrant un livre contre elle et pleurant, prépare-lui une tasse de thé et prends-la dans tes bras. Tu la perdras sûrement pour quelques heures, mais à la fin, elle reviendra toujours. Elle parlera comme si les personnages du livre existaient vraiment, parce qu’ils existent toujours, l’espace d’un instant. Tu la demanderas en mariage dans une montgolfière. Ou à un concert de rock. Ou l’air de rien, la prochaine fois qu’elle sera malade. Par Skype. Tu souriras tellement que tu te demanderas pourquoi ton cœur n’a pas encore éclaté dans ta poitrine. Tu écriras l’histoire de vos vies, vous aurez des enfants avec des noms étranges et des goûts encore plus étranges. Elle fera découvrir le Chat Potté et Aslan à vos enfants, peut-être même les deux dans la même journée. Vous passerez l’hiver de votre vie en vous promenant ensemble, et elle récitera doucement Keats pendant que tu feras tomber la neige de tes bottes. Fréquente une fille qui lit, parce que tu le mérites.
Tu mérites une fille qui peut, par son imagination, parer ta vie de mille couleurs.
Si tu n’es capable de lui offrir que de la monotonie, des idées ternes et des demi-mesures, mieux vaut rester seul.
Si tu veux le monde entier, et tout ce qui se cache derrière, fréquente une fille qui lit.
Encore mieux, fréquente une fille qui écrit.
Rosemarie Urquico
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unesimplevie · 11 months
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" Le mieux pour les turbulences de l'esprit est d'apprendre. C'est la seule chose qui n'est jamais détruite.
Tu peux vieillir et trembler, anatomiquement parlant ; tu peux veiller dans les nuits en écoutant le désordre de tes veines, tu peux peut-être manquer ton seul amour et tu peux perdre ton argent à cause d'un monstre ; tu peux voir le monde autour de toi, dévasté par des fous dangereux ou savoir que ton honneur est piétiné dans les égouts des esprits les plus ignobles.
Il n'y a qu'une chose à faire dans de telles conditions : apprendre. "
Marguerite Yourcenar. Sources II (Gallimard, 1999)
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aisakalegacy · 2 months
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Printemps 1923, Hylewood, Canada (2/7)
Les filles sont plus grandes, j’ai donc un peu de temps pour moi cette année. Nous avons entrepris des travaux dans la maison, arraché les tapisseries poussiéreuses et abimées, changé les rideaux et les tapis, aménagé une chambre au deuxième étage qui soit vraiment digne de Lulu. Je m’inquiète de ces dépenses. Jules ne semble pas se rendre compte de notre situation économique de plus en plus tendue, et il continue de vivre au-dessus de nos moyens. Je dois lui faire confiance, il a toujours su ce qu’il faisait.
Cela fait plusieurs années que nous n’avons plus de cheval à la maison et que nous avons transformé l’ancienne écurie en garage. Entre nous, vu la taille de l’île sur laquelle nous vivons, avoir une automobile est superflu… Ces changements ont eu le mérite de libérer de la place dans notre ancienne grange, où on stockait le fourrage tantôt, et les filles ont y élu domicile en y établissant un club dans le secret duquel elles emportent leur goûter. Layla a neuf ans, Lola en a six, elles sont inséparables.
[Transcription] Dolorès Le Bris : Capitaine, c’est une catastrophe ! Layla Bahar : Que se passe-t-il, moussaillon ? Dolorès Le Bris : Si on ne trouve pas de vivres bientôt, nous n’aurons pas assez pour survivre à la traversée. Dolorès Le Bris : Nous allons mourir de faim et de soif ! Layla Bahar : Arrêtons-nous sur cette île, nous trouverons peut-être de la nourriture. Mais que vois-je ? Un trésor brille au fond de cette crique ! Il a dû être laissé là par quelque pirate ! Layla Bahar : Grâce à tout cet argent, nous sommes riches et pouvons nous acheter un immense manoir. Je serais la rouge, et tu serais le vert. Dolorès Le Bris : Mais je ne veux pas le vert, c’est un garçon. En plus, ta robe est verte. C’est toi qui devrait l’avoir. Maria Mayordomo : ¡Niñas, a la mesa! (Les filles, à table !) Layla Bahar : Viens, on rejouera après manger. Dolorès Le Bris : D’accord, mais cette fois-ci, ce sera moi la capitaine.
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diabolofraise · 8 months
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je ne comprends pas comment flixbus est légal bordel de merde j'en prends un tous les 2 ans et il se passe SYSTEMATIQUEMENT quelque chose et je dois me confronter à leur "service client" qui est construit pour te faire tourner en bourrique à l'infini qui te demande de rédiger et argumenter en anglais pourquoi est ce qu'ils n'auraient pas du pisser sur toi et tes bagages et que tu veux un remboursement en vrai argent pas en sucettes au chocolat flixbus j'emmerde macron j'emmerde la libéralisation j'emmerde ces bus de merde ne les prenez pas sous aucune circonstance
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aainaalyaa · 2 months
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Je ne sais pas combien de temps je pourrai te tenir compagnie. Mon père parlait souvent de sa lassitude, des années avant de nous quitter. Maintenant, je commence à ressentir cette même fatigue. Ce n'est pas seulement physique - c'est le stress du travail non rémunéré, la lutte pour se permettre même les nécessités de base. Et non, je ne suis pas une sainte; je suis juste une femme, marchant prudemment à travers la vie, essayant de ne pas perturber l'équilibre fragile de notre monde.
Mon propriétaire ne montre aucune empathie, reflétant une vérité plus large : nous avons tous beaucoup à apprendre. Ceux qui ont pris de moi — mon temps, mon argent, avec de grandes promesses - m'ont enseigné des leçons douloureuses.
La trahison et la perfidie de ceux qui se disent humains sont aussi naturelles que de respirer.
Aime les gens quand tu le peux, et quitte-les quand tu dois. Ne garde pas de rancune, car chacun a son propre chemin. Si tu trouves la paix avec ton créateur, si tu y crois, c'est suffisant. Ceux qui t'ont fait du tort, laisse-les partir en paix. L'ordre naturel s'occupera d'eux en temps voulu.
Tout comme une graine pousse une nouvelle feuille, une nouvelle aube viendra.
Quand nous nous séparerons, tu auras tes souvenirs pour te tenir compagnie. Quant à moi, je souhaite un hiver paisible et éternel et la compagnie de Celui qui m'a accordé des richesses immenses en subtilités, en amour et en joie - des choses qui ne peuvent être achetées, même pour un trillion.
Dans une vie de cent ans ou de mille, ce qui compte le plus, c'est que nous aimions du fond du cœur, Amen.
Ce qui est destiné pour toi semblera naturel et paisible, pas forcé ou chaotique. Réfléchis à cela - un véritable alignement apporte un sentiment de facilité et de connexion. Quand quelque chose est vraiment destiné pour toi, cela ne ressemblera pas à une lutte.
Le chaos et la force indiquent un désalignement.
Cherche ce qui est harmonieux et calme. Fais confiance au flux naturel, et laisse aller ce qui apporte du tumulte. En embrassant ce qui semble juste, tu invites la paix dans ta conscience et trouves une véritable connexion.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Dans Un Monde de Promesses, Garde Ta Lumière
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selidren · 3 months
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
9/10
Et il ne faut d'ailleurs pas oublier que cette femme a élevé des enfants remarquables pourvus d'une grande intelligence et très entreprenants. J'ai eu la chance de rencontrer Hélène, la cadette de la fratrie et dernière fille de Madame Eugénie, qui est entrée dans les ordres à vingt ans et qui s'est élevée au sommet de sa congrégation en moins de deux décennies. Elle ressemble à s'y méprendre à sa mère et il lui suffit de prononcer un mot pour comprendre que l'on a affaire à une femme brillante. De ce que j'en sais, Lucrèce était donc d'une volonté inébranlable, tout comme son frère jumeau Maximilien dont je pense que vous connaissez les mérites aussi bien que moi. Marc-Antoine ne tarit pas d'éloges à son sujet dans ses lettres, où il m'explique qu'il rêve de devenir comme lui. Constantin m'a confié qu'il n'approuve pas cette admiration sans bornes, mais qu'il ne veut pas non plus décevoir son fils en lui avouant que son grand-père était un homme à l'intelligence redoutable, mais aux tendances manipulatrices tout aussi redoutables. Je suis toujours ébahie de voir à quel point Constantin a fait facilement le deuil de son père alors que celui de sa mère n'est toujours pas possible. Maximilien Le Bris est sans doute celui de cette fratrie que je connais le mieux, que ce soit par Constantin et Adelphe, qui dressent de lui le portrait d'un patriarche d'une volonté de fer et ayant à coeur le bien de sa famille, mais qui pouvait se montrer également insensible et impitoyable.
Transcription :
Eugénie « Quand j’ai épousé André, j’étais jeune et pétrie d’amour, je n’avais même pas vingt ans. Il m’a fallut des années pour me rendre compte que cela était un mensonge et que seul mon argent l’intéressait. Puis sont venues mes filles. Lazarine est morte parce qu’elle n’a jamais pu mener la vie qu’elle voulait. Lucrèce… oh ma chère Lucrèce, je n’ai jamais su ce qui lui était arrivée, mais la maladie l’a enchaînée à nous à jamais. J’ai enfermée ma petite Daphné dans un mariage sans amour dont seul sa simplicité l’a préservée… Et je t’ai déjà parlé d’Hélène. Pour une femme, les choix sont limités, même de ce temps nouveau. Nous avions toutes des rêves, des aspirations, des envies de grandeur. Et combien de destin broyés que je ne t’ai pas narré... »
Arsinoé « Et Tante Rose ? »
Eugénie « J’ai eu tort de la brider, car elle seule a réussi à accomplir ce à quoi elle aspirait et pourtant… Depuis que son Zéphir est mort (paix à son âme), elle n’est plus que l’ombre d’elle même… Tes sœurs sont uniques, elles trouveront leur voie, mais elles s’engagent sur des chemins où je ne peux les seconder. Toi, tu pourras être la première à enfin compter et à briller en pleine lumière. »
Eugénie « Ecoute moi bien, je t’en prie. Tu as vu les efforts que j’ai déployé pour que tu puisse t’emparer de tout cela. Dès que je t’ai vue, je me suis jurée de te donner tout ce que tes tantes et tes grandes-tantes n’ont pas pu avoir. J’ai tout fait pour te préparer, je ferai encore tout ce que je peux pour t’aider à réaliser cet objectif. »
Arsinoé « Mais… et si je veux autre chose ? »
Eugénie « C’est de toi même que tu es allé te placer sous la tutelle d’Adelphe n’est-ce pas ? Il est donc assez évident de deviner ce que tu veux. »
Arsinoé « Comment pouviez vous en être sure ? »
Eugénie « Car toute mon éducation t’y a conduite. Et aujourd’hui, tu y es. Tout le monde ne cesse de me dire du bien de toi : tu es belle, brillante, investie et responsable. Je n’aurai pu rêver mieux. »
Arsinoé « Ce que vous me dites, c’est que tout était écrit à l’avance pour moi. Ou plutôt que vous avez écrit le roman de ma vie avant même que je sache parler ou marcher. Ai-je déjà eu le choix ? »
Eugénie « Tu as toujours eu le choix. Et grâce à moi, tu as fait les bons à chaque fois. »
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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sofya-fanfics · 9 months
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Père Noël Secret
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts sur Tumblr : Père Noël Secret.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Damian avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Damian se dirigea vers le marché de Noël. Il avait passé tout l’après-midi à regarder les boutiques, mais il n’arrivait pas à trouver le cadeau idéal. Il mit sa main dans sa poche et serra le papier qui s’y trouvait. Il soupira. Sur ce papier, le nom d’Anya y était inscrit.
Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Il avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir. Rien ne lui semblait assez bien. Il pourrait lui acheter des cacahuètes ou un goodie de Bondman. Il secoua violemment la tête. C’est n’importe quoi, pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui offrir un cadeau aussi insignifiant. Même s’il était sûr que le goodie de Bondman lui ferait plaisir. Il se demanda qui elle avait tiré au sort. Il avait le secret espoir que se soit son nom, même s’il savait que cela était improbable.
Il arriva au marché de Noël et regarda les différents stands. Rien ne semblait convenir. Il voulait lui offrir le cadeau parfait, mais il commençait à croire qu’il n’existait pas. Il se dirigea vers un stand où plusieurs bijoux étaient déposés. Il écarquilla les yeux en voyant un bijou en particulier. Il s’agissait d’une chaîne en argent et d’un pendentif en verre en forme de bille. À l’intérieur du pendentif, un papillon vert y était gravé.
Il venait de trouver le cadeau idéal pour Anya. Il arrivait parfaitement à l’imaginer avec ce pendentif autour du cou. Il montra au vendeur le pendentif qu’il voulait et paya. Il passa le reste de la journée avec un immense sourire aux lèvres. Il était impatient de donner son cadeau à Anya.
******
Une semaine était passée. Il ne restait plus que quelque heures avant que les cours ne se terminent et que commencent les vacances de Noël. Toute la journée, les élèves de la classe avaient échangé leurs cadeaux, découvrant qui était leur Père Noël secret. Damian n’avait pas reçu de cadeau et il n’avait pas encore donné le sien à Anya.
Il était midi et Anya était seule dans la salle de classe, en train de finir un devoir qu’ils devaient rendre. Toute la matinée, Becky était restée avec elle. Puisqu’elle était seule, c’était maintenant où jamais. Il prit une profonde inspiration et avança vers elle. Anya leva les yeux vers lui, surprise. Le cœur de Damian s’accéléra, ses mains étaient moites. Il se demanda pendant une seconde s’il allait réussir à lui donner le cadeau.
« C’est pour toi. C’est moi ton Père Noël secret. »
Il lui tendit le petit paquet cadeau rectangulaire de couleur bleu clair entouré d’un nœud argenté. Il savait qu’il avait été un peu brusque, mais il était tellement nerveux, qu’il ne savait pas comment s’y prendre. Il n’arrivait pas à agir normalement. Anya accepta le paquet cadeau et l’ouvrit. Elle écarquilla les yeux en découvrant ce qu’il y avait à l’intérieur.
« Si ça ne te plaît pas, je peux t’offrir autre chose. Une figurine de Bondman, par exemple. »
Mais quel idiot, pensa-t-il. Il avait envie de se gifler. Pourquoi est-ce qu’il avait dit ça ? Anya sortit le pendentif du paquet et l’observa.
« C’est magnifique ! S’exclama-t-elle. C’est le plus beau bijoux que j’ai vu. »
Damian rougit. Anya attacha le pendentif autour de son cou. Elle avait un immense sourire aux lèvres et il pouvait voir qu’elle aussi rougissait.
« Moi aussi j’ai quelque chose pour toi. »
Elle prit son sac et fouilla à l’intérieur. Elle sortit un paquet cadeau rouge décoré de dessins de flocons de neige.
« C’est moi ton Père Noël secret. »
Elle lui tendit le cadeau, gênée. C’était la première fois que Damian la voyait si peu sûre d’elle. Il prit le paquet et l’ouvrit. Il y découvrit une écharpe bleue marine. Il la regarda d’un peu plus près et vit qu’elle était faite main. Il écarquilla les yeux. Elle avait tricoté elle-même l’écharpe.
« Je n’avais pas les moyens de t’offrir un cadeau comme tu as l’habitude d’en avoir, dit-elle presque comme si elle s’excusait. Alors je me suis dit que te tricoter cette écharpe serait une bonne idée. »
C’est vrai qu’il avait l’habitude de recevoir des cadeaux qui venaient des plus grandes boutiques de luxes. Mais pourtant, l’écharpe qu’il tenait était le plus beau cadeau qu’on lui avait fait. Elle avait passé du temps pour essayer de lui faire plaisir. C’était la première fois que quelqu’un avait ce genre d’attention pour lui. Cela le touchait. Plus qu’il ne l’aurait cru. Il mit l’écharpe autour de son cou.
« Merci, dit-il. »
Anya lui sourit et Damian remonta l’écharpe sur son nez pour cacher ses joues rouges. Anya avait aimé son cadeau et elle était son Père Noël secret. C’était le plus beau Noël qu’il n’ait jamais passé.
Fin
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mj-cash · 1 year
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mamoudoufof · 5 months
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 les he1. Bois un verre d'eau toutesures, tu te sentiras remplie.
2. Bois de l'eau très froide même glacée, ton corps devra brûler plus de calories pour ramener l'eau à une température digérable.
3. Bois 3 tasses de thé vert tous les jours, ça boost le métabolisme et en plus c'est un excellent anti-oxydant qui aide à avoir une belle peau.
4. Prends des vitamines tous les jours.
5. Mange de la glace quand tu as faim, ça fait croire au corps qu'il mange mais sans les calories.
6. Fais de l'aérobie quand tu sens que tu vas craquer.
7. Mange de la nouriture épicée, ça aide à hausser le métabolisme.
8. Prends de longues douches froides, ton corps doit brûler des calories pour revenir à une température normale.
9. Ne prends pas de laxatifs, ils ne t'aident pas à perdre du poids, ils dérèglent et sont très mauvais pour le métabolisme.
10. Ne prends pas de dirurétiques… Ils ne font que te déshydrater (et même chose que 9).
11. Brosse tes dents très souvent comme ça tu seras moins tentée de manger après.
12. Entoure ta taille avec un ruban ou une écharpe … ça va te serrer quand tu vas manger.
13. Nettoie quelque chose de dégoutant (toillette, litière du chat, la chambre de ton copain lol) avant de manger. Personne n'a envie de manger après avoir nettoyer quelque chose comme ça…
14. Garde tes cheveux en bonne condition comme ça personne ne suspectera rien.
15. Trouve une chose à faire qui te fera t'absenter durant les repas.
16. Fais plus d'exercice que le nombre de calories que tu manges.
17. Utilise de petits plats et de petits ustensiles comme ça tu auras l'impression de manger plus (par exemple, mange dans des assiettes à dessert, elles te paraîtront plus vite remplie…)
18. Prends une bouchée de nourriture pour deux gorgées d'eau comme ça tu seras remplie.
19. Dis que tu vas manger chez une copine et vas marcher à la place tu vas brûler des calories au lieu d'en prendre.
20. Achète des vêtements trop petits et accroche les bien en évidence comme ça tu seras motivée à pouvoir les enfiler !
21. Dors au moins 6h par jour sinon ça peut faire baisser ton métabolisme de 15%
22. Si tu commences à avoir faim fais des redressements assis et bouge toi !
23. Pomponne toi : donne-toi un facial, fais-toi les ongles, exfolliation, épile-toi à la pince. Fais-toi belle !
24. Fais ton lunch mais ne le mange pas, salis la vaisselle et jète les restes ou personne ne va les trouver, comme ça ton entourage croira que tu as mangé. Enfin, c'est vrai que c'est mieux quand t'es seule, comme ça, tu vas même pas dans la cuisine de la journée.
25. Prépare une liste d'excuse à dire quand tu ne veux pas manger : tu es malade, végétarienne, allergique, t'as trop mangé avant, etc…
26. Sors de ta maison ! Si tu ne reste pas assise sur ton cul à rien faire le monde ne pourra pas t'emmerder avec le fait que tu ne manges pas.
27. Rejoins un groupe Pro-Ana ou démarre le tien, n'importe quoi qui va te tenir motivée !!
28. Fabrique un scrapbook d'ANA, avec des photos de thinspiration etc tout ce qui pourrais te tenir motivée un espèce de journal de bord !
29. Une bonne posture te fait brûler 10% plus de calories que quand on s'avachit…
30. N'achète jamais de nourriture avec ton argent ou celui qu'on te donne, tu ferras des économies :p ! À la place d'acheter de la nouriture achète de nouveaux vêtements, une balance, tout ce que tu veux !
31. Fabrique une liste des mauvais aliments que tu aimes manger, et chaque jour tu en prends un et tu te jures de ne jamais le remanger ! Tu peux mettre cette liste dans ton journal de bord.
32. Jamais d'alcool ! L'alcool est bourré de calories un seul verre en contient au moins 120 … alors imagine les dégats après une soirée ! A moins, que tu vomisses tout…
33. Ne mange jamais rien de plus gros qu'une tasse !! Ton estomac pourait s'agrandir et tu aurais encore plus faim ensuite.
34. Mange devant un miroir. Vois comment tu es une grosse cochonne sans volonté…
35. L'odeur du café est sensé couper l'appétit
36. Porte parfaitement du lip gloss, tu seras moins tentée de manger n'importe quoi.
37. Prends le moins possible de repas par jour (petit-déj' essentiel, midi, jamais de goûter, et repas du soir à éviter).
38. Le chocolat chaud basse calorie te fera te sentir remplie sans pour autant prendre trop de calories.
39. Prends une photo de toi en maillot de bain et regarde-toi à chaque fois avant de manger, dis-toi que tu ne veux plus ressembler à ça…
40. Il faut 20 minutes au cerveau pour réaliser que l'estomac est plein, intérressant non ?
41. Mange beaucoup de fibres, ça te fait sentir pleine et aide à faire sortir le gras de ton corps.
42. Avant de manger un gâteau, bonbons, chips ou autres prends une grande respiration et compte jusqu'à 100 dans ta tête. Habituellement l'envie passe ou tu réussis à te convaincre que tu vas devenir une grosse truie (ou que tu en es déjà une) si tu manges ça !
43. Quand tu as faim bois deux verres d'eau chaude… Vraiment dégoûtant, ça fait passer la faim.
44. Lis l'information nutritionelle sur chaque aliment et renseigne toi sur les calories, les graisses saturées etc… Tout ce qui est mauvais pour ton corps !!
45. Si tu aimes boire de l'alcool fais toi une règle : Si la semaine, tu as atteint l'objectif que tu t'étais fixé, tu peux boire un peu, si au contraire, tu n'as rien réussi du tout, ou que tu as régressé, ne bois pas.
46. Ne mange pas devant l'ordinateur ou la télé, ça te distrait et tu ne sais pas quand tu n'as plus faim.
47. Épargne l'argent que tu prenais pour tes lunchs mets-le dans un pot et regarde le montant augmenter jour après jour ! Je peux te dire que ça fait plaisir !
48. Tiens toi loin de Slim-Fast et autres produits santé miracle pour faire perdre du poids. Jette seulement un regard aux renseignements nutritionels pour voir comment ces supposés shakes sont bourrés de calories.
49. Quand tu as faim bois de l'eau glacée avec du citron et compte jusqu'à 100 dans ta tête, tu n'auras plus faim.
50. Manger 4 repas de 100 calories est mieux qu'un seul de 400.
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Tu ne paies pas pour que tu ailles mieux, tu paies pour que les autres profitent du système et se trouvent mieux que toi. Le plus grave, c'est que nos politiques non jamais travaillé ou dirigé des sociétés, par conséquent ils ne maîtrisent rien. Ils vivent dans le luxe avec notre argent
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raisongardee · 2 years
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La recherche de moyens de subsistance justes est la première préoccupation de l’âge adulte, à l’heure où le simple emploi a remplacé les anciens métiers et où la comptabilité d’argent décide de toutes les professions.
Au premier degré de ce phénomène, il y a l’exploitation de ce qui est alors regardé comme une simple force de travail, comptablement plus intéressante que tout ce qui regarde le juste, le beau et le bien. Soumis à une logique économique acceptée comme une nécessité, les œuvres s’appliquent au rendement, et renoncent à l’esprit en exploitant la matière. Le sens de ce qui est fait, l’honneur attaché au beau geste, la valeur du savoir-faire, la qualité du rendu, la communauté des pairs, les identités de métier, le talent des hommes de l’art, la satisfaction de l’efficience, l’utilité sociale et le service de la communauté, la transmission par lignées d’apprentissage… tout cela est un luxe trop gratuit pour intéresser le chiffre d’affaire. SI la maîtrise est l’âme des métiers, c’est la comptabilité qui règne sur les emplois.
Dans ce contexte, la nécessité matérielle et économique confronte les jeunes gens à une cruelle alternative : une adaptation au prix de l’aliénation, ou un épanouissement au risque de l’indigence et de la marginalité.
Un peu d’observation fait voir à quel point les belles carrières se font presque immanquablement aux dépens des choses ou des êtres, et qu’il n’existe pas une seule "bonne place" qui, d’une façon ou d’une autre et au moins indirectement, ne consiste pas à exploiter un malheur. A partir d’un certain niveau de rendement, maintenant appelé compétitivité, on peut être certain que quelque chose ou quelqu’un a été abimé, et que le profit a été extirpé avec violence. La médecine semblait pouvoir faire exception, et soulager la douleur contre excellent revenu, mais l’argent a déjà soumis la santé à sa logique gestionnaire.
Les carrières se font toujours par allégeance à une sorte de maître de l’exploitation, qui peut gratifier ceux dont il a besoin pour "tirer profit", et laisser les autres pour morts sur le bord de sa route. 
D’un autre côté, lorsqu’une âme libre et consciente d’elle-même se refuse au grand appareil de la production, plus aucun paravent ne la protège de la nécessité. Le froid, la faim, le manque et la dépendance assombrissent ses jours. Dans son Livre du travail et des moyens de subsistance, Al Ghazâlî rapporte ce conseil qu’un sage donnait déjà à son fils : "Mon fils, mets-toi à l’abri du dénuement par un travail licite. Car lorsqu’un homme se trouve dans le dénuement, trois maux ne manquent pas de l’affecter : il rend son culte de manière lacunaire ; il a peine à réfléchir ; et il perd sa dignité. En outre, un mal plus grand encore le touche : les gens se mettent à le mépriser."
Une jeunesse sans charge de famille peut certes se contenter de peu, soutenue par l’entraide et les ressources du clan, mais l’indépendance et le mariage entrainent bien vite son lot de nécessités. L’autarcie semble également permettre d’échapper au jeu de l’échange contre argent, mais implique des moyens qui doivent aussi être acquis et entretenus.
La dignité est le fond de la question, à la recherche d’une existence honorable et paisible, sans volonté de dominer ou de s’enrichir, sans outrage à la nature ou à ses semblables, mais pourvoyeuse de suffisamment de ressources pour échapper à la misère. Cette question tourmente une partie de la jeunesse, sans autre réponse possible que la fuite ou la révolte. Les aînés ne font alors que rarement justice à un tel refus de parvenir, et préfèrent souligner la maladresse de la réponse plutôt que la pertinence de la question.
Mais la nécessité fait loi, qui ajourne un épanouissement plus intérieur. L’entrée dans la vie pratique contraint de s’adapter à l’appareil de production, et détourne de ce qui est pourtant plus authentique et personnel. Il y a donc deux sortes de maturité, comme il y a deux sortes de croissance. Les conflits de génération reposent sur ce malentendu, où révolte et adaptation ont toutes deux leur part de légitimité. Or la légitimité soutient les convictions les plus entêtées. 
Les parents attendent peut-être de leurs enfants qu’ils les approuvent en faisant les mêmes choix qu’eux ; les enfants attendent peut-être de leurs parents qu’ils les protègent de la dure réalité… mais la crédibilité de ces deux partis s’effrite chaque fois que les parents confessent leur aliénation et que les enfants réclament leur indépendance. Il faut faire mention d’un scénario croisé, dans lequel les parents ont refusé l’adaptation au prix d’une marginalité à laquelle les enfants font au contraire tout pour échapper.
Le système économique de l’exploitation à des fins de profit tend donc à rendre l’adaptation de plus en plus incompatible avec l’épanouissement. Avec sa voracité caractéristique, le capitalisme ne laisse presque plus rien échapper à sa logique de captation, y compris l’imaginaire d’une jeunesse dont les rêves fabriqués sont rendus de plus en plus compatibles avec la "carrière". La floraison des désirs et la complexité des besoins attache à l’argent, qui lui-même attache à l’appareil de production. C’est ainsi que la "réussite" a pris le sens si irrémédiablement économique qu’on lui connait aujourd’hui.
La jeunesse récalcitrante à l’imaginaire du marketing urbain poursuit sa recherche d’un mode de vie en marge du système capitaliste. Elle entend simplement subvenir à ses besoins sans perdre son âme, telle est son idée du luxe et de la vraie richesse.
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arypurple · 1 year
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DL - Résumé foireux S01.ÉP10
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Précédemment, la Reine des grognasses avait pris possession du corps de Plante Verte ! Mais pourquoi donc ? On le saura bientôt. En attendant, on voit Cruella Cordelia (qui n'a pas perdu de temps à se mettre en robe) se remémorer le passé où elle se tapait son beau-frère (bienvenue dans la famille où même le patriarche se faisait sa propre cousine ~). Bref, j'aime pas la voix de ce gars en plus d'être aussi chiant qu'une vieille éponge bien humide et dégueulasse qui traîne à côté du robinet en attendant d'être jetée ! Apparemment, Karlheinz et son frère se sont battus pour elle (ce qui ne valait pas vraiment le coup, mais bon...) et Richter a perdu. Mais croyez-moi que ça ne les a pas empêché de copuler comme des lapins ! Oréo-sama arrive en demandant des explications et sa mère décide d'aller se reposer. Bah oui, Yui était pas assez forte pour mettre un coup de pied aux couilles... mais se battre contre l'âme d'une Fondatrice est plus facile. Sur ce, je te dis «Let's go, Yui!». Mais on est tout de même face à un gros problème: on a une grosse chaudasse qui a vu plus de saucisses que le ketchup lui-même dans le corps d'une loli jeune fille pure. Personnellement... je me fais beaucoup de soucis pour l'avenir de son corps (●´⌓`●). Enfin bref ! Richter explique à Ayato qu'après avoir fait un I Believe I Can Fly du haut du balcon, Cordelia était encore en vie et elle lui a demandé de lui arracher le cœur pour le mettre dans un autre corps. Il s'est dépêché avant que le p'tit con ramène son cul pour se faire un BBQ avec le corps de sa mère. Richter aurait pu le placer dans le corps de Beyoncé, Jennifer Lopez, Scarlet Johansson ou bien Megan Fox en sachant qu'elles étaient bien foutues... mais son choix s'est rapporté sur un adorable bébé (passion pour les enfants ? ~). D'ailleurs, vous constaterez que c'est biologiquement impossible de placer le cœur d'une femme adulte dans le corps d'un nouveau-né 🤔. La Reine des grognasses s'est rendue au lac et son fils la rejoint en lui rappelant quand elle s'amusait à le balancer dans le lac en guise de punition. C'est alors qu'Ayato utilise la carte inversion d'Uno pour pousser la daronne dans le lac. Cordelia faisait bien la fière avant de se rendre compte que Yui ne savait pas nager ~ Surtout que j'imagine que ça ne doit pas être évident de nager avec une robe sirène (d'ailleurs, il me semble avoir vue cette robe dans la fin Vampire de Kanato).
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Heureusement, la blondasse reprend le contrôle ou bien est-ce l'autre qui lui a laissé et Oréo-sama la sort du lac avant de la mordre plusieurs fois. Il est tellement shooté par son sang qu'il s'apprête à l'embrasser alors que sa mère peut posséder le corps à tout moment (bienvenue dans la famille !). Fedora-chan (qui n'a jamais été gêné de coucher avec sa mère de toute façon) et Yandere King s'incrustent en voulant boire. Plante Verte se barre pour retourner au manoir avant de prendre le couteau en argent. Tsundere Simulator (ils vont tous se ramener ou quoi ??!) décide aussi de la croquer plusieurs fois avant de disparaître en décidant de lui donner le couteau. Yui... BARRE-TOI DE CE PUTAIN DE MANOIR !!! Bon Dieu de merde, là ! Mais nooooon, on est maso, hein ??? Richter est là pour la brainwasher en lui disant que son sang les rendait fou (ce qui a toujours été le cas de toute façon) et qu'ils allaient se livrer bataille. Plante Verte avance vers le spectre de Cordelia après que tonton détestable lui ait dit d'accepter son destin. Mais... Mais merde, Yui... s'il te dit que ton destin c'est de le sucer, ne me dis pas que tu vas te mettre à genoux et... ah merde, on me dit qu’elle vient de se mettre à genoux ! Vous vous en doutez: il reste encore deux épisodes, ce qui veut dire que la connasse n'a pas encore complètement tiré profit du corps de cette Yui et elle prend de nouveau possession... même que ses yeux ont changé de couleur ! En même temps, elle a passé dix-sept ans sans la moindre relation sexuelle. Elle doit être frustrée et pressée de rattraper le temps perdu avec le tonton de ses garçons. Et que font les autres frères en ce moment ?! Oréo-sama doit encore être en train de freiner les deux autres cons qui veulent téter le sang de maman qui squatte le corps de Plante Verte, Subaru doit être en train de verser son sel bien comme il faut, Shuu doit faire sa sieste et Reiji doit être en train de se droguer ou bien de se branler sur un plateau d'échecs.
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Tribune : parce que le harcèlement ne s'arrête pas avec les actes
Je tremble comme si j'avais 40 de fièvre. Mes jambes bougent toutes seules et mes yeux sont rouges. Inutile que je cherche à tout masquer ce matin par du maquillage, je l'ai déjà fait ça. Derrière des sourires, des " ça, c'était avant". Je me rends compte maintenant que je me suis menti pendant 15 ans. Même terminé, meme à des années lumière, le harcèlement scolaire est resté en moi et je n'en suis pas libérée. J'ai tout pris pour argent comptant à l'époque, j'y ai presque crû et j'ai bâti les fondations de ma vie sur du branlant. Sur cette image hautement dévalorisante que les autres m'ont renvoyée de moi-même : inutile et fragile.
Le nez qui coule et les yeux aussi, encore plus. D'une abondance rare après un cauchemar. Parce qu'après tout, les cauchemars ne sont que des constructions de l'esprit, des pièces qui ne s'imbriquent pas si l'on y regarde de plus près. Mais celui-ci était réel, je pouvais sentir le cauchemar recommencer. Les larmes remontent rien qu'à l'écrire et les tremblements se multiplient. Ma vue se floute. Les anciens souvenirs flottent à la surface, je suis adulte mais je me suis construite sur l'idée que j'étais moins bien. Pas assez. A l'adolescente que j'étais et au petit garçon de 3 ans qui grandi sous mes yeux et a besoin de sa maman pour s'épanouir sereinement, à mon mari aussi qui m'aime telle que je suis avec mes traumas et mes idées de travers, loin des fantômes qui sont les miens mais ne doivent en aucun cas devenir les leurs, je vais me soigner. Tout faire pour oublier ce bagage explosif qui est enfoui, pardonner ce qui doit l'être. A moi-même en premier parce que ce sont pas les harceleurs qui souffrent, ce sont les autres. Ce n'est pas parce que les racines de mon propre jugement sont altérées, bousillées, que demain, je ne pourrais pas les assainir. Ne nous appelez pas des victimes, nous sommes la force incarnée de vivre ensuite avec. Nous sommes plus que le harcèlement.
Aujourd'hui, faisons désormais au centuple tout ce dont nous avons été privés avant. A commencer par être nous sans la moindre once de crainte. Tu es toi et tu es suffisant.e, aimable.
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