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aaravlui · 3 years
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Comment pouvez-vous utiliser le CBD pour vous en faire bénéficier?
Dans cet article, nous découvrirons exactement ce qu’est exactement le Cbd Caen et comment cela peut-il être bénéfique pour vous. Parfois de retour, la Food and Drug Administration a autorisé l’utilisation du Cbd Foix pour le traitement de deux types d’épilepsie différents. Donc, qu’on peut facilement dire que le CBD fonctionne bien pour traiter certaines des conditions spécifiques ou vous pouvez également dire les maladies des personnes concernées. Alors découvrons plus d’informations à ce sujet.
Qu’est-ce que Cbd Dijon exactement?
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Dans le cannabis, vous pouvez facilement remarquer que le composé le plus connu est le delta-9 tétrahydrocannabinol également connu sous le nom de THC, selon la plupart des rapports. Et le THC est l’une des parties les plus actives que l’on puisse trouver dans la marijuana. Donc, en fait, la marijuana contient les deux, le CBD Nancy ainsi que le THC. Et vous verrez également que les effets de ces deux composés varieront.
Lorsqu’il est fumé ou même utilisé en cuisine, le THC vous donnera l’effet le plus élevé. En fait, le THC aura tendance à se décomposer sous l’effet de la chaleur ou lorsqu’il entrera dans le corps. Dans le même temps, le CBD Nîmes n’est pas du tout psychoactif, ce qui signifie totalement qu’il n’affectera pas l’état d’esprit que vous devez avoir lorsqu’il est consommé.
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zIl est beaucoup plus important pour vous de noter que les plantes de chanvre légales ne doivent pas contenir plus de 0,3% de THC, selon le Farm Bill. Les producteurs de marijuana ont élevé leurs plants de chanvre pour produire davantage de THC et de nombreux autres composés. Cependant, vous verrez que ces agriculteurs ne modifient en rien leurs plantes. Ces plantes sont ensuite utilisées pour produire du Cbdoil.
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azveille · 5 years
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Cannabis thérapeutique: un large panel de préparations possibles à envisager
Il faut pouvoir disposer d'un choix dans les variétés de plantes, dans les teneurs et rapports en substances actives et dans les modes d'administration du cannabis thérapeutique dans le cadre de l'expérimentation qui doit être réalisée en France, ont estimé les sociétés savantes lors des auditions menées mercredi par le comité scientifique spécialisé temporaire (CSST).
L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en place en septembre 2018 un CSST pour évaluer la pertinence et la faisabilité de la mise à disposition du cannabis thérapeutique en France.
Alors que l'ANSM a souscrit au premier avis du CSST concluant à la pertinence du cannabis thérapeutique dans certaines indications (cf dépêche du 27/12/2018 à 14:42), le CSST poursuit ses travaux pour réfléchir aux modalités de prescription et de délivrance, explorant par ailleurs d'autres indications (cf dépêche du 18/04/2019 à 12:04).
La directrice adjointe du pôle neurologie, psychiatrie, anesthésie de l'ANSM, Nathalie Richard, et le président du CSST, le Pr Nicolas Authier du CHU de Clermont-Ferrand ont rappelé que l'expérimentation devait être menée avec non pas des spécialités pharmaceutiques mais des extraits de cannabis conditionnés comme des médicaments, donc des préparations pharmaceutiques.
Plusieurs sociétés savantes ont rappelé que l'effet d'extraits de cannabis était bien documenté avec le tétrahydrocannabinol (THC) ou le cannabidiol (CBD) pur ou en association à teneur fixe dans un ratio de 1, dans seulement quelques indications, mais que les données étaient de qualité insuffisante dans de multiples autres indications potentielles.
Pour la Société française d'étude et de traitement de la douleur (SFETD), le Dr Nadine Attal de l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine, AP-HP) a notamment fait observer en particulier qu'il existe "peu d'études dans lesquelles on a varié les concentrations pour voir les effets dans la douleur".
Elle a considéré que ce serait "très intéressant" d'avoir des formes avec différents ratios de THC/CBD pour recueillir des données observationnelles en "vraie vie" dans un registre, avec les dosages précis.
Pour la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs (Sfap), le Dr Frédéric Guirimand a rappelé qu'il existait plus de 700 variétés de plantes avec des ratios variables de THC/CBD, ce qui montre la nécessité d'une clarification. Toutefois, les données de la littérature suggèrent qu'un ratio de 1 est associé à une bonne tolérance et que l'association de CBD semble améliorer la tolérance du THC.
En Israël, ils disposent de 16 souches différentes pour prendre en charge plus de 30.000 patients, a-t-il précisé. Un équilibre est à trouver entre un choix trop limité face aux différentes situations cliniques et trop large "qui risque de perdre" les médecins, a fait observer le Dr Laure Copel du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon à Paris, membre du CSST.
Intervenant sur la question de la spasticité pour la Société francophone de la sclérose en plaques (SFSEP), le Pr Eric Thouvenot du CHU de Nîmes a plaidé en faveur d'une "pluralité des extraits" et des voies d'administration "pour permettre aux patients de trouver ce qui lui correspond le mieux, comme ce qui se fait dans différents pays, notamment le Canada".
"Il faudrait pouvoir laisser les patients tâtonner en instauration de traitement pour trouver le bon ratio, d'arriver à une formule qui leur convienne en termes d'efficacité et de tolérance." Et pour cela, il convient d'avoir "un choix" dans différents types d'extraits standardisés de cannabis, avec différentes concentrations définies de THC et CBD ou purs.
Concernant les modes d'administration, les différents intervenants ont rappelé la nécessité d'éviter la voie fumée et ont pointé l'intérêt de la voie inhalée par vaporisation, en particulier pour des patients habitués à fumer le produit ou ceux qui sont polymédiqués pour des douleurs chroniques ou des soins palliatifs. Les extraits sous forme liquide semblent aussi intéressants pour ajuster plus facilement le dosage.
Le Dr Guirimand a estimé qu'il fallait probablement pouvoir disposer d'un mélange de formulations permettant soit une libération immédiate pour un effet rapide soit une libération prolongée pour un effet durable.
Pour les schémas d'adaptation posologique, les experts ont souligné l'importance d'instaurer les traitements très progressivement. La formulation spray de Sativex* (nabiximols, GW Pharmaceuticals/Almirall) semble pour cela particulièrement intéressante mais cette spécialité n'est pas commercialisée en France pour des questions financières, alors qu'elle est autorisée, rappelle-t-on (cf dépêche du 24/01/2018 à 11:02).
Le Pr Authier a fait observer qu'il serait possible d'avoir une préparation pharmaceutique équivalente, avec un ratio THC/CBD de 1, dans le cadre de l'expérimentation.
Primoprescription réservée aux spécialistes ou plus large?
Interrogés sur les modalités de prescription, les spécialistes se sont déclarés favorables à ce que la prescription initiale leur soit réservée tandis que le Dr Marie-Eve Rougé Bugat pour le Collège de médecine générale (CMG) a plaidé pour une primoprescription plus large.
"Si la primoprescription par les généralistes n'était pas retenue, il faudrait organiser le lien entre les primoprescripteurs et les médecins traitants par télémédecine par exemple", a fait observer le Dr Rougé Bugat.
Le Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom) privilégie une prescription large pour notamment éviter une situation stigmatisante, tout en reconnaissant l'intérêt d'une prescription initiale spécialisée hospitalière dans certains cas sans qu'elle soit obligatoire, a rapporté le Dr Patrick Daimé.
Pour le suivi des patients dans le cadre d'un registre, le Pr Sylvain Rheims des Hospices civils de Lyon (HCL) pour la Société française de neurologie (SFN) et la Ligue française contre l'épilepsie (LFCE) ainsi que le Pr Gilles Edan du CHU de Rennes ont souligné la possibilité de se reposer sur les centres experts ou de référence pour le recueil des données qui sera essentiel pour documenter l'efficacité et la sécurité des différents produits testés dans l'expérimentation.
Dans le traitement des douleurs réfractaires et les situations palliatives, la prescription initiale devrait être faite en établissements de santé, dans les services ou centres spécialisés voire en hôpital de jour, mais aussi par les équipes mobiles de soins palliatifs, ont proposé les Drs Attal et Guérimand. Il faudra déterminer quand pourrait se faire le relais en ville.
Les spécialistes devront aussi suivre les patients et les réévaluer avec des outils standardisés pour à la fois vérifier l'efficacité du traitement et rechercher les effets indésirables. Le Pr Djamel Bensmail de l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine, AP-HP), représentant la Fédération française de médecine physique et réadaptation-conseil national professionnel de médecine physique et réadaptation (Fedmer-CNP de MPR), a interpellé en particulier le CSST sur la question de la conduite automobile.
Les produits dérivés du cannabis entraînent une somnolence et des troubles de la vigilance, comme l'a confirmé une étude française publiée en mars, a-t-il souligné. Le Pr Authier et Nathalie Richard ont convenu qu'un pictogramme avertissant des risques pourrait être apposé sur les conditionnements, rappelant qu'il y avait des conséquences potentiellement graves et des enjeux médico-légaux.
Quelles que soient les modalités qui seront retenues, les différents intervenants ont souligné l'importance de la formation des professionnels de santé, les médecins, mais aussi les infirmiers qui auront des soins à administrer aux patients à domicile et les pharmaciens qui assureront la délivrance des produits (cf dépêche du 19/04/2019 à 16:31).
Il est important également de "bien communiquer", de "réaliser un travail de pédagogie active" sur un produit pour lequel des professionnels de santé aussi peuvent avoir "des réticences", a fait observer le Dr Rougé Bugat.
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azveille · 5 years
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Cannabis thérapeutique: le CSST envisage d'autres indications
PARIS, 18 avril 2019 (APMnews) - Le comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) sur la pertinence et la faisabilité de la mise à disposition du cannabis thérapeutique en France réfléchit à proposer d'autres indications dans le cadre de l'expérimentation qui doit être réalisée, selon ce que suggèrent des sociétés savantes auditionnées mercredi.
Dans le cadre des travaux initiés en septembre 2018 par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le CSST sur le cannabis thérapeutique a étudié mercredi les modalités du circuit de prescription et de délivrance du produit.
Mais au-delà de cette problématique, il est apparu que d'autres indications pourraient être concernées que celles retenues par l'ANSM fin janvier dans le cadre d'une expérimentation dans un premier temps, note-t-on. Reprenant les conclusions du CSST, l'agence s'était déclarée favorable à une utilisation du cannabis dans 5 indications (cf dépêche du 27/12/2018 à 14:42):
les douleurs     réfractaires aux thérapies (médicamenteuses ou non) accessibles
certaines formes     d'épilepsie sévères et pharmacorésistantes
le cadre des     soins de support en oncologie
les situations     palliatives
la spasticité     douloureuse de la sclérose en plaques (SEP).
Les sociétés savantes auditionnées ont précisé les indications retenues ou en ont proposé d'autres, note-t-on. Il a été question en particulier de ne pas limiter l'évaluation du cannabis à la spasticité douloureuse des patients atteints de SEP.
Représentant la Fédération française de médecine physique et réadaptation-Conseil national professionnel de médecine physique et réadaptation (Fedmer-CNP de MPR), le Pr Djamel Bensmail de l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine, AP-HP) a estimé qu'il ne fallait pas laisser de côté les autres patients atteints d'autres maladies neurologiques pouvant générer de la spasticité.
Environ 70% des patients vus en MPR ont des douleurs, qu'ils soient atteints de SEP, d'ataxie cérebelleuse ou de certaines maladies génétiques, comme la paraplégie spastique familiale ou maladie de Strümpell-Lorrain, ainsi que les blessés médullaires. Ces derniers "représentent une grande partie des patients qui pourraient probablement bénéficier de ce type de traitement".
"Ces patients ont bien vu qu'il y avait des travaux dans la SEP et se demandent pourquoi ils ne peuvent pas le tester alors qu'ils sont fortement gênés à la fois par la spasticité et des douleurs neuropathiques réfractaires. Ils ont tendance à fumer du cannabis pour réduire ces symptômes et décrivent une amélioration. C'est une indication probable. Des études cliniques seraient nécessaires pour évaluer le cannabis thérapeutique dans cette population", a estimé le Pr Bensmail.
Le Pr Eric Thouvenot du CHU de Nîmes, président de la Société francophone de la SEP (SFSEP), a également indiqué que les neurologues "aimeraient bien aussi disposer de cannabinoïdes pour les blessés médullaires". Il a rappelé que les études évaluant le cannabis dans la spasticité étaient menées chez des patients atteints de SEP mais aussi de paraplégie induite par une lésion médullaire.
Le président du CSST, le Pr Nicolas Authier du CHU de Clermont-Ferrand, a concédé qu'"il fa[llait] peut-être rediscuter les indications et garder la spasticité sans mettre la SEP". "Elle sera toujours concernée mais on peut difficilement exclure les blessés médullaires qui ne seraient pas soulagés par les autres thérapeutiques. Il faudra affiner."
"On s'est fait un peu inconsciemment emporter par un 'effet Sativex*'; on va faire en sorte de corriger ça et rester focalisé sur le symptôme", a-t-il ajouté. Sativex* (nabiximols, GW Pharmaceuticals/Almirall) est un mélange de tétrahydrocannabinol et cannabidiol (THC/CBD) autorisé en France dans la spasticité associée à la SEP spécifiquement mais qui n'a pas été commercialisé pour des questions financières, rappelle-t-on (cf dépêche du 24/01/2018 à 11:02).
Le Pr Bensmail a par ailleurs souligné la nécessité, dans le cadre de l'expérimentation et d'autres travaux de recherche, de bien évaluer l'effet du cannabis thérapeutique sur la spasticité, d'une part, et la douleur, d'autre part, rappelant que la spasticité peut exister sans douleur. Il a fait observer que souvent, les patients qui ne présentent que de la spasticité ne consomment pas de cannabis.
Les patients neurologiques peuvent souffrir d'un mélange de douleurs, neuropathiques, nociceptives ou induites par la spasticité; ils peuvent aussi avoir des spasmes et des mouvements incontrôlés. "C'est une question qu'il faut résoudre, que la littérature n'a pas tranché: le cannabis thérapeutique a-t-il un effet antispastique réel ou un effet antalgique?", a-t-il ajouté.
Envisager d'autres formes d'épilepsie pharmacorésistante
Pour la Société française de neurologie (SFN) et la Ligue française contre l'épilepsie, le Pr Sylvain Rheims des Hospices civils de Lyon (HCL) a souligné l'importance de ne pas limiter le recours au cannabis thérapeutique au syndrome de Dravet et à celui de Lennox-Gastaut, indications demandées en Europe pour le cannabidiol purifié par GW Pharmaceuticals sous le nom d'Epidiolex*. Une AMM a été obtenue aux Etats-Unis en juin 2018, rappelle-t-on.
En France, les patients atteints de l'un ou l'autre de ces syndromes peuvent en bénéficier dans le cadre d'une autorisation temporaire d'utilisation (ATI) mais ils ne représentent qu'"une petite proportion des épilepsies pharmacorésistantes".
"On aurait besoin d'élargir à d'autres formes d'épilepsie pharmacorésistantes pour lesquelles il n'y a aucune raison d'anticiper que le cannabidiol n'apporterait aucun bénéfice. Elles sont parfaitement légitimes à envisager, on a des demandes régulières de patients qui ont entendu parler de l'ATU mais qui ne peuvent pas en bénéficier", a rapporté le neurologue.
Cet élargissement se justifie par ailleurs par l'intérêt pour le patient d'essayer une nouvelle molécule pour obtenir un meilleur contrôle des crises avant d'envisager la chirurgie, qui reste une intervention lourde.
Le Pr Rheims a toutefois estimé que si l'expérimentation était élargie, en l'absence de données fortes sur d'autres extraits du cannabis que le cannabidiol purifié, c'est ce dernier qu'il faut plutôt utiliser.
Il a aussi souligné la nécessité d'organiser un recueil exhaustif des données d'efficacité et de sécurité dans les différents sous-groupes de patients, et a fortiori si d'autres extraits de cannabis étaient utilisés.
Ne pas exclure totalement les enfants
L'indication du cannabidiol purifié dans les syndromes de Dravet et Lennox-Gastaut a par ailleurs fait écho à la demande du Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom), représenté par le Dr Patrick Daimé, de contre-indiquer le cannabis thérapeutique avant 18 ans en raison de "risque neurologique" sur le cerveau en développement.
Le Pr Authier a rappelé que les enfants concernés pouvaient bénéficier du cannabidiol à partir de 2 ans et estimé qu'il fallait aborder la question sous l'angle du rapport bénéfice/risque. Le Dr Laure Copel du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon à Paris, membre du CSST, a également fait valoir qu'il serait dommage de priver des enfants en soins palliatifs de cette solution thérapeutique.
En situations palliatives, le Dr Frédéric Guirimand pour la Société française des soins palliatifs (Sfap) a rappelé qu'il existait une variété d'indications -douleurs, troubles de l'appétit, troubles du sommeil, anxiété- pour lesquelles il faudrait probablement tester plusieurs variétés de cannabis et différents ratios de THC/CBD.
Du côté de la Société française d'étude et de traitement de la douleur (SFETD), le Dr Nadine Attal de l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine, AP-HP) a estimé qu'il était préférable d'utiliser le cannabis thérapeutique en troisième ligne "presque exclusivement dans les douleurs neuropathies périphériques et centrales dans un premier temps".
ld/nc/APMnews
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