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#ce quoi le blasphème contre le Saint-esprit
claudehenrion · 2 years
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L'Eglise en crise - ( II ) : Le synode : entre le salut... et la perdition ?
  On parle beaucoup de ''Synode'', ces temps derniers, dans la Presse. Ce qu'on dit moins, c'est que devant des dérives prévisibles, Mgr Rob Mutsaerts, évêque de Bois-le-Duc (Pays-Bas), vient de prendre le risque de commettre un article assez proche d'une ''bombe nucléaire'', dans lequel il dénonce la synodalité, sans ''langue de buis'',  osant écrire ce que beaucoup –dont moi,  je ne m'en cache pas-- pensent en secret ou autrement. D'après ce prélat, “Dieu n’est pas présent dans ce chemin synodal accablant”, ce qui serait pour le moins étonnant et... contre-productif !
Une remarque préalable : contrairement à ce que son nom fait croire, Bois-le-Duc est une ville néerlandaise de 150 000 habitants. Cela dit... ''de quoi parlons-nous'' et ''qu'est-ce qu'un Synode ? Comme vous vous y attendiez, le mot est tiré du grec ancien σύνοδος (sun-odos). Il veut dire réunion, chemin ensemble, et un Synode serait donc une assemblée (''sun-'') d'évêques, qui délibèrent de la mission de l’ensemble de l’Église et de l’unité de la foi en son sein (''-odos''). Organe délibératif, il informe et conseille le Pape, qui, Successeur de Pierre, prend seul les décisions.
Apparemment, le Pape François appellerait de ses vœux une église dans laquelle les gens ''se parlent et s'écoutent''. Il la baptise ''synodale'', sans que le lien entre ces deux choses soit net... ni expliqué. Le chemin en 3 étapes du Synode 2023 a donc débuté le 17 octobre 2021 dans le monde entier, au niveau diocésain d'abord, puis continental à partir de cet automne, se fondant dans l'Église universelle en un Synode des évêques à Rome, d’abord prévu pour 2023... mais devant l'immensité du ''bordel'' déclenché (Je sais : je ne devrais pas. ''Dieu reconnaîtra les siens'' !), le Saint Siège l'a (déjà) repoussé à 2024 –en attendant pire (date exacte non fixée !)
En fait, ce que l'on appelle ''processus synodal'' est un énorme mégaphone offert aux opinions non religieuses. C'est une liste de plaintes qui sont recensées pour en débattre ensuite, et c'est là que se retrouvent perdus ceux pour qui la mission de l’Église n’est pas --et ne saurait être en aucun cas-- d'examiner toutes les opinions, de les soupeser, et d'arriver à un accord.  Bien loin de cette approche soi-disant moderne, Jésus nous a commandé autre chose : ''Annoncer la vérité, qui nous rendra libres''. A l'opposé de cette démarche, le ''processus synodal’’ actuel ressemble à une expérience sociologique, et n’a pas grand-chose à voir avec l’Esprit Saint, qui est censé éclairer pas mal de trucs. Certains parlent même de ''blasphème'' car, en lisant entre les lignes, il apparaît que ce processus synodal pourrait être utilisé pour modifier un certain nombre de positions de l’Église... le dit Saint-Esprit étant alors jeté dans la mêlée en tant que ''avocat de la défense''.
J'ai essayé, de bonne foi, de participer à des ''séances d’écoute'', avant de m'en éloigner, n'ayant vu qu'une foi évaporée, interprétée à la sauce du temps, et qui n’accepte pas les positions de l’Eglise lorsqu'elles dérangent une modernité variable et un progressisme transgressif. Les mécontents se plaignent que l’Église n’accepte pas leurs points de vue, comme si un tel ''deal'' faisait partie de son ''cahier des charges''! D'ailleurs, ''dans un début de fin de tragédie'', les (ou des) évêques flamands et allemands vont jusqu'à refuser la notion-même de ''péché'', niant en quelque sorte jusqu'à l'existence du Mal : en partant du romantisme d'un imprudent Siegfried, ils en arrivent au Crépuscule des Dieux : les vieilles légendes méritent qu'on les étudie ! ''Germania'' serait elle éternelle, dans l'âme allemande ?
Tout comme le mal et le péché, la conversion, l'obéissance, ou la repentance ne sont même plus des sujets à discuter, dans ce processus qui ne s'intéresse qu'au mariage des prêtres, à l'ordination des femmes, à l'avortement, à la stigmatisation d'une Droite dite ''extrême'' quoi qu'elle fasse ou dise, à l'accueil des migrants et à la prédominance à donner aux homosexuels (ce qui peut s'expliquer à défaut de se comprendre lorsqu'on lit les ''performances'' de certains religieux !) : tout ce qui est d'essence ''sociétale'' (sic !) ou de nature politique est ouvert à la discussion et au débat... ce qui n'a rien à voir avec la pratique millénaire de l’Église ni avec sa seule raison d'être : la ''Doctrine de l’Église'' n’est, ne doit être soumise ni au temps ni au lieu. Or les documents de travail semblent remettre en question pas mal de choses, la fonction d’évêque étant ainsi réduite à un rôle ''managérial'' de simple gestion d’un tirage au sort d’opinions, c'est-à-dire à rien ! L'islam, devant le suicide de la seule force qui puisse s'opposer sa dynamique, voit une autoroute, devant lui !
L'éventuelle phase finale du processus synodal risque de ressembler à une de ces démocraties vues par la Gauche, dans le pire sens possible : celui des anciennes ''démocraties populaires'' de sinistre mémoire, où tous ceux qui ne pensent pas ''dans la ligne du parti'' seront exclus (des ''complotistes'', peut-être ?) et tous ceux qui n’obtiennent pas ce qu’ils veulent diront qu’ils se sentent exclus. C'est une recette pour le désastre. Si, par un hasard malheureux, les digues cédaient en tout ou partie, le désastre serait complet : l’Église reniée aurait dilapidé son identité. Jésus, pardon de le rappeler lourdement, avait apporté une approche totalement différente : Il a écouté les deux disciples déçus sur le chemin d’Emmaüs, puis Il a pris la parole et leur a fait comprendre qu’ils s’égaraient, ce qui les a amenés à faire demi-tour et à retourner à Jérusalem. Au  contraire, nous ne faisons pas demi-tour : nous persistons sur le mauvais chemin, nous éloignant ainsi de toute solution...
Mgr. Mutsaerts écrit, dans sa conclusion : ''Une chose est claire pour moi : Dieu pas plus que le Saint-Esprit ne sont présents dans ce processus synodal accablant. Parmi les protagonistes de ce processus, on trouve à mon sens  beaucoup de défenseurs du mariage homosexuel, des partisans du mariage des prêtres, des gens qui ne pensent pas vraiment que l’avortement est un problème, et qui ne se montrent jamais vraiment défenseurs du riche ''Credo'' de l’église, voulant avant tout être aimés de leur entourage laïc. Quel manque de pastorale, quel manque de véritable amour ! Les gens veulent des réponses sincères. Ils ne veulent pas rentrer chez eux avec plus de questions. Vous éloignez les gens du salut. J’ai, termine-t-il, abandonné ce processus synodal''.   [NDLR : c'est ce que j'ai constaté à mon petit niveau, et ce qui a entraîné mon retrait... même si, n'étant que ce que je suis, cela ne présente pas le moindre intérêt pour qui que ce soit]. Mais une des seules petites utilités d'un ''blog'' (si tant est qu'il en ait une), c'est d'être une ''vox clamantis in deserto'', la voix qui crie dans le désert.. Or il semble bien que le Vatican, dépassé, ait ''perdu la main'' ! Un vieux proverbe ne suggère-t-il pas (à quelques mots près) que ''à force de jouer au..., on finit toujours par tomber sur une...'' ?
Je demande pardon à ceux qui, non croyants, ne sont que peu ou pas intéressés par ce type de sujets : outre que le temps de l'Avent me donne envie d’éditoriaux un peu plus religieux que le reste de l'année, vous savez que pour moi, dans la lutte lancée par une aile montante de l'islam contre tout ce qui touche à l'Occident, l'église catholique est le seul et ultime rempart avant notre disparition en tant que ce que nous sommes et que, quoi qu'en disent nos leaders (qui sont tout sauf de bons pasteurs), nous aimons être, plus que nous ne le disons... sous la pression des affreuses idées à la mode, qui sont, à la fois, je m'en fichiste, laisser-fairistes... et mortifères ! Synode, méthode, ou épisode... en tout cas, apode, ça c'est certain. Et sans pieds ni pattes, on est mal barrés et on est partis pour ne pas aller loin !
H-Cl.
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christophe76460 · 8 months
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𝙌𝙐'𝙀𝙎𝙏-𝘾𝙀-𝙌𝙐𝙀 𝙇𝙀
« 𝙋𝙀̂𝘾𝙃𝙀́ 𝙄𝙈𝙋𝘼𝙍𝘿𝙊𝙉𝙉𝘼𝘽𝙇𝙀 » ?.
Comme toujours, il faut prêter une grande attention aux paroles de Jésus.
Il ne dit pas que n’importe quel blasphème où le nom du Saint‑Esprit est invoqué, est impardonnable.
Il n’annonce pas l’existence d’une catégorie vaste et mal définie de transgressions impardonnables qui nous feraient vivre dans la crainte constante de les commettre au cas où, par insouciance ou accidentellement, nous prononcerions des paroles qui nous placeraient définitivement hors d’atteinte de la grâce divine.
En fait, Jésus précise bien : « Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné ». (Mt 12.31).
Le Seigneur fait précéder à dessein la mise en garde solennelle contre cet acte extraordinaire unique de blasphème impardonnable d’une déclaration de grande envergure qui inclut dans le domaine pardonnable « tout péché et tout blasphème ».
Mais Jésus ne dit évidemment pas que tout péché est automatiquement pardonné sans que le fautif se repente et croie.
Aussi longtemps que le pécheur reste impénitent et incroyant, son péché, quel qu’il soit, est damnable.
« Celui qui croit en lui n’est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu » (Jn 3.18).
Même le péché le plus abject est pardonnable – et le plein pardon est accordé à tout pécheur qui renonce à son amour du péché et se tourne vers Christ comme son Sauveur.
« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jn 1.9 ).
Autrement dit, lorsque nous partageons l’avis de Dieu quant à notre culpabilité, le sang de Christ nous purifie de toute sorte de péché et de blasphème, aussi abominables soient-ils.
Jésus en a fait la promesse formelle : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie ». (Jn 5.24).
Mais un péché très particulier est damnable de façon instantanée et permanente.
Chaque détail de la déclaration de Jésus concernant le péché impardonnable montre clairement qu’il parle d’un acte blasphématoire particulier, flagrant et délibéré, à savoir « le blasphème contre l’Esprit ». (Mt 12.31).
L’article défini revêt toute son importance.
Il existe un contraste clair et significatif entre « tout péché et tout blasphème » et ce péché particulier qui « ne sera point pardonné… ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir » (v. 32).
Le contexte de Matthieu 12 indique visiblement à quoi Jésus fait référence. Il s’agit du blasphème que cette bande arrogante d’hypocrites religieux vient de commettre.
Les pharisiens ne croyaient pas leur propre affirmation rusée – ils ne le pouvaient pas.
Ils se trouvaient en effet en présence même de Christ au moment où il affiche sa puissance et sa gloire.
Jamais et nulle part ils ne contestent ses miracles.
Dans le cas présent, ils sont les témoins oculaires immédiats d’un autre prodige indiscutable.
Ils connaissent la vérité à propos de Jésus, mais non seulement ils le rejettent, de plus ils font tout pour détourner les autres de lui.
Pire encore, ils tentent de le discréditer par une déclaration blasphématoire flagrante en affirmant qu’il accomplit ses miracles par le pouvoir de Satan.
La nature intentionnelle profondément ancrée dans le cœur des pharisiens est le facteur principal qui rend ce péché impardonnable.
Pourquoi mettre au crédit de Satan ce que Jésus accomplit par la puissance de l’Esprit Saint ?.
Ils viennent de le voir triompher de démons. Ils ont pleinement saisi l’identité véritable de Jésus, ils ont vu avec quelle autorité il parle et agit (Lu 6.10,11 ; Jn 11.47,48 ; 12.9 ; Ac 4.16), ce qui ne les empêche pas de la haïr d’une haine diabolique.
Ils mentent visiblement et consciemment en disant qu’il est le diable en personne.
Jésus s’adresse directement à eux en disant : « Races de vipères ! […] par tes paroles tu seras condamné ».
(Mt 12.34,37).
C’est sa réplique finale époustouflante à ces charlatans religieux menteurs et blasphémateurs.
Leur péché est tellement odieux et haïssable que Jésus les condamne sur-le-champ et de façon définitive.
Il donne ainsi à toute la multitude autour de lui un aperçu du jugement final de ses accusateurs.
Celui à qui tout jugement a été remis (Jn 5.22) les déclare coupables. Il rend son verdict de façon publique, emphatique et définitive.
Ces pharisiens sont désormais éternellement scellés dans les ténèbres et la dureté de cœur qu’ils ont eux-mêmes choisies.
Pourquoi leur déclaration est-elle une offense aussi grave contre le Saint‑Esprit ?.
D’abord parce que la guérison du démoniaque est autant l’œuvre du Saint‑Esprit que celle de Christ.
Jésus accomplissait tous ses miracles en accord avec la volonté du Père et par la puissance du Saint‑Esprit (Lu 4.14 ; Jn 5.19,30 ; 8.28 ; Ac 10.38).
En conséquence, attribuer les miracles du Seigneur à Satan, c’est associer l’œuvre du Saint‑Esprit à Satan.
Comme les pharisiens connaissent bien la vérité, leur outrage abject est un blasphème direct, intentionnel et diabolique contre l’Esprit de Dieu.
Par ailleurs, le Saint‑Esprit est celui qui confirme le témoignage de Christ et qui fait connaître sa vérité (Jn 15.26 ; 16.14,15).
« C’est l’Esprit qui rend témoignage, parce que l’Esprit est la vérité » .
(1 Jn 5.6).
Pour ceux qui ont des oreilles pour entendre, le témoignage du Saint‑Esprit est radicalement et précisément aux antipodes de ce que les pharisiens déclarent.
Et répétons-le, les pharisiens le savent très bien.
Les signes et les prodiges qu’ils ont vus étaient réels et irréfutables.
Ils expriment leur blasphème en sachant bien qu’ils s’opposent à Dieu, dénigrent le serviteur qu’il a oint et injurient son
Saint‑Esprit.
Leur sort est scellé. Il n’y a plus d’espoir pour eux « ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir » (Mt 12.32).
Ils ont depuis trop longtemps délibérément fermé les yeux et bouché leurs oreilles à la vérité.
En rejetant le témoignage le plus puissant rendu à la vérité, ils ont préféré le mensonge.
À partir de maintenant, Jésus leur cachera la vérité de façon péremptoire en se servant des paraboles dans son enseignement public.
COMMENT ÉVITER DE BLASPHÉMER CONTRE LE SAINT-ESPRIT ?
Juste après avoir parler du blasphème, le Seigneur Jésus rajoutera ce qui suit du verset 33 au 37ème :
« Ou dites que l’arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l’arbre est mauvais et que son fruit est mauvais; car on connaît l’arbre par le fruit.
Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l’êtes? Car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle.
L’homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l’homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor.
Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu’ils auront proférée.
Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné. ».
Le Saint-Esprit en nous, c’est l’avantage que le Seigneur Jésus nous a donné.
Que la grâce du Seigneur vous accompagne !. † † †.
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etrechretien · 5 years
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le blasphème contre le Saint-Esprit, ce quoi ? avec Alfred kuen
le blasphème contre le Saint-Esprit, ce quoi ? avec Alfred kuen
Beaucoup de chrétiens ont été tourmentés à l’idée qu’après une certaine faute, ils aient commis « le péché irrémissible », qui ne pourrait jamais être pardonné. Que dit l’Écriture à ce sujet ?
Le blasphème impardonnable L’expression provient d’une parole de Jésus : « C’est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera…
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jean-3-16 · 3 years
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Le péché impardonnable
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Le blasphème contre le Saint-Esprit est souvent appelé le "péché impardonnable" en référence à Matthieu 12 : 31-32 où Jésus déclare que :
...tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné. Quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné...
Qu'est-ce que le blasphème contre le Saint-Esprit ?
À quoi Jésus faisait-il référence ?
Et pourquoi Jésus a-t-il dit cela alors que les pharisiens n'ont à première vue pas prononcé un seul mot contre le Saint-Esprit ou même mentionné le mot "Saint-Esprit" ?
Je pense que vous m'avez assez entendu dire et répéter ce qui est de la plus haute importance lorsque l'on veut comprendre n'importe quel passage des Écritures : - Le contexte !
L'autre composant critique, c'est de ne pas isoler un verset du reste de la Bible, mais de prendre en considération tout ce qu'elle dit sur un sujet ou sur un autre.
Dans les versets 22 à 24 de ce chapitre, il nous est dit que Jésus venait de guérir un homme, qui sous l'influence d'un démon, était sourd et muet. Une fois libéré, l'homme fut alors capable d'entendre et de parler.
Jérusalem étant une petite ville, bien plus petite à l'époque que ce qu'elle est aujourd'hui, les pharisiens et tous ceux qui y vivaient connaissaient sans aucun doute cet homme.
Ils ne pouvaient pas nier que Jésus l'ait vraiment libéré et guéri. Malgré cela, les pharisiens n'ont pas voulu recevoir Jésus dans leur cœur. Ils ne voulaient même pas reconnaître que Jésus venait de la part de Dieu, et encore moins qu'il est Dieu.
Ils n'ont pas voulu accepter le témoignage du Saint-Esprit de Dieu qui avait confirmé que Jésus est le Messie en accomplissant de tels miracles au travers de lui (Ésaïe 61 : 1-3).
Il leur fallait une excuse pour "justifier" le fait qu’ils le rejettent. Ils en ont fabriqué une en disant faussement (violant directement le 9ème commandement de la Torah concernant le faux témoignage) que Jésus était lui-même possédé par des démons. Ils lui dirent que, s'il avait pu chasser ce démon et guérir cet homme, c'était parce qu'il était habité par Belzébuth, le prince des démons.
Ces religieux hypocrites préféraient donner tout le crédit et toute la gloire à Satan plutôt qu'à Dieu.
Ainsi, ils ont parlé contre le Saint-Esprit.
Les pharisiens connaissaient extrêmement bien les Écritures. Ils savaient ce qui était écrit sous l'inspiration du Saint-Esprit. Ils rejetèrent pourtant le témoignage de l'Esprit et de la Parole, déclarant ainsi implicitement que le Saint-Esprit est un menteur.
Jésus était revenu du désert, après son baptême, "sous la puissance du Saint-Esprit" (Luc 4 : 14). C'est le Saint-Esprit qui a accompli des miracles au travers de Jésus (Matthieu 12 : 28). Jésus avait l'Esprit "sans mesure" (Jean 3 : 34).
C'est le Saint-Esprit qui témoigne de Jésus :
- Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi (Jean 15 : 26).
Les pharisiens ont blasphémé contre le Saint-Esprit en rejetant son témoignage au sujet de Jésus, démontré par la libération et la guérison de cet homme sourd et muet. Ils ont refusé de recevoir Jésus comme leur Messie, leur Seigneur, leur Sauveur et leur Dieu.
Le blasphème contre le Saint-Esprit, c'est de ne pas recevoir son témoignage à propos de Jésus, et donc, de ne pas recevoir Jésus.
Le seul péché qui ne sera pas pardonné, le seul péché qui puisse damner quelqu'un, c'est de ne pas recevoir Jésus comme Seigneur, Sauveur et Dieu. La Bible en parle clairement en Jean 3 : 16 et Marc 16 : 16. Ceux qui ne le reçoivent pas, rejettent Dieu, qui est Esprit, et blasphèment son Saint-Esprit. Ils déclarent implicitement que le Saint-Esprit est un "menteur".
Le seul et unique péché pour lequel il n'y a pas de pardon, c'est de rejeter Jésus. Ceux qui le font sont cuits ! ------------------------------------------- Pour toutes questions : [email protected]
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terrecorse · 4 years
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Ghaleb Bencheikh : « En ces temps obscurcis, faire rayonner l’islam des Lumières »
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L’humanité - Vendredi 23 Octobre 2020 - Latifa Madani
Ce vendredi, les pratiquants sont appelés par diverses instances religieuses musulmanes françaises à prier à la mémoire de Samuel Paty. L’islamologue Ghaleb Bencheikh, président de la Fondation de l’islam de France, montre en quoi la religion du Coran doit faire face à de multiples défis, parmi eux, la lutte contre l’islamisme. Entretien.
Comment expliquez-vous l’acte de Conflans-Sainte-Honorine ? Comment expliquer que l’on tue pour des caricatures ?
Ghaleb Bencheikh Hélas, le cauchemar continue. C’est le énième attentat, réussi, spectaculaire au sens premier du terme, qui ôte une vie humaine, en l’occurrence celle du professeur Samuel Paty, commis au nom d’une religion. Il est le fait du passage à l’acte d’un post-adolescent, inculte et ignare, fanatisé, à qui on a suggéré, fait savoir ou ordonné qu’il y a un mécréant qui s’attaque à la figure sacralisée du Prophète. Celui qui a commis cet acte méconnaît le respect que la tradition islamique porte à celui qui enseigne. Aujourd’hui le temps est au recueillement, mais aussi à la volonté invincible d’en finir une bonne fois pour toutes avec ce terrorisme abject. Notre détermination à venir à bout de ces actes est absolue. Notre volonté de résistance est totale.
Comment faire la part des choses entre islam et islamisme ? Pourquoi y a-t-il tant de mal à lever les amalgames ?
Ghaleb Bencheikh La première raison – sans autoflagellation aucune, sans haine de soi et sans même m’appesantir sur le passé – est que, quand les crimes au nom de la tradition religieuse islamique ont commencé à être perpétrés et que le terrorisme islamiste a sévi, nous n’avons pas entendu suffisamment et avec force les voix des hiérarques musulmans condamner sans équivoque ces dérives meurtrières. Je pense à l’Algérie lors de la décennie noire, à la Jamaa islamiya en Égypte, à Boko Haram au Nigeria, etc. Les préceptes islamiques de bonté, d’amour, de miséricorde, les messages de paix, de fraternité ont été bafoués depuis longtemps et avilis par les djihadistes et les extrémistes. Cela a laissé dans l’esprit de beaucoup, et a fortiori dans l’esprit de non-musulmans, comme un soupçon de complicité tacite. Ensuite, il est vrai, devant l’horreur qui allait crescendo, ces mêmes hiérarques ont commencé à condamner, à dire halte à l’amalgame, ceci n’a rien à voir avec l’islam, c’est une religion de paix. Mais cela n’était pas suffisant. Depuis le Bataclan, Charlie et l’Hyper Cacher, certains continuent à dire oui, nous condamnons mais n’oublions pas que les musulmans sont stigmatisés aussi. Ce discours est devenu insupportable et inaudible. Tout comme est dangereux ce discours qui consiste, quoi que vous fassiez, quoi que vous disiez, à prétendre que la violence est intrinsèque, propre à l’islam. C’est la zemmourisation des esprits : des propos à l’emporte-pièce, sans analyse, sans distanciation, un déversoir de haine et d’hostilité, du ressentiment, voire une forme de racisme contre les adeptes de telle ou telle religion. La démission de l’esprit et la défaite de la pensée donnent lieu à une confusion terrible des registres : le registre théologique avec le registre social et politique. Dans l’actuelle séquence, malheureuse, de telles paroles se libèrent davantage. Nous devons en sortir par le haut.
Pour quelles raisons, en 2020, l’islam de France n’a pas encore trouvé sa place malgré la présence de 5 millions à 6 millions de citoyens de confession ou de culture musulmane ?
Ghaleb Bencheikh Nous avons connu trois décennies d’individus, le plus souvent autoproclamés, parlant au nom de l’islam alors qu’ils sont totalement incompétents. Ajoutez à cela les divisions et ce qu’on appelle l’islam consulaire. Un terrible paradoxe. Des puissances étrangères, loin d’être démocratiques, se mêlent de l’islam de France alors même qu’il est demandé à l’État français, en vertu de la loi de séparation de 1905, de ne pas se mêler de l’organisation interne des cultes. Ici, certains gouvernements ont géré l’affaire islamique en laissant jouer le clientélisme, comme on le faisait dans les Républiques bananières. Le meilleur exemple est la manière qui a présidé à l’instauration du « machin », le fameux Conseil français du culte musulman. En 2003, un ancien ministre de l’Intérieur, pressé de devenir président, réunissait des consultants, devenus, en un week-end, dirigeants d’un organe dit « représentatif », censé gérer les questions cultuelles islamiques. Résultat : ils n’ont rien fait, laissant le terrain vide et une jeunesse à la merci de prédicateurs et d’idéologues médiocres et dangereux, en quête de leadership.
Vous militez pour un travail de refondation de la pensée islamique. Ne vous sentez-vous pas un peu seul dans cette école de l’islam des Lumières au moment où semblent dominer les thèses fondamentalistes et salafistes ?
Ghaleb Bencheikh Les idées, surtout si on y croit sans dogmatisme, qu’on les soumet à la confrontation, à l’argument rationnel, il faut les semer. Je n’ai pas l’impression que ce que je défends soit nouveau. Il existe une lignée de réformateurs. Il est vrai, aujourd’hui, nous avons une régression dans la régression. Une première régression tragique, après un apogée civilisationnel, peut-être avec Soliman le Magnifique du temps de l’Empire ottoman, lui-même concomitant à deux autres empires, moghol et sassanide. La civilisation islamique fut une civilisation impériale. Il y a eu déclin et colonisabilité. La colonisation fut une abomination absolue. Elle a été suivie par une trahison des idéaux des révolutions de recouvrement des indépendances. Ce fut le cas en Algérie lorsqu’ont été trahies les résolutions du congrès de la Soummam. Puis a commencé le flirt avec les sirènes islamisantes. Nous devons en finir avec l’idée que, avant 622, avant l’hégire, ce fut l’obscurantisme et après les lumières de la foi, que nous n’avons pas besoin d’autre chose que ce que le Coran nous donne. Cela est asphyxiant et mortel, et malheureusement c’est ce que nous entendons de plus en plus. On judiciarise la non-observance du jeûne, on punit de mort le blasphème, on applique la peine capitale pour des considérations de conscience. Criminaliser l’apostasie est criminel. Cela ne peut pas continuer comme ça et ce n’est pas l’idée que nous nous faisons de la révélation coranique.
Comment opérer cette refondation de la pensée islamique ?
Ghaleb Bencheikh La séquence Descartes et Freud a été ratée en contexte islamique. Il est temps de la rattraper, de l’assimiler puis de la critiquer et de la dépasser. Nous sommes en 2020, au XXIe siècle. La refondation doit s’atteler à des chantiers colossaux : liberté, égalité, désacralisation de la violence, autonomie du champ de la connaissance. D’abord les libertés fondamentales, notamment la liberté de conscience, et ses corollaires, la liberté d’expression et d’opinion, croire, ne pas croire, pouvoir changer de croyance. Ensuite, l’égalité entre les êtres humains. Les ressources pour pouvoir l’établir existent dans le patrimoine islamique mais cela n’est pas suffisant. La refondation de la pensée théologique a besoin d’asseoir et de trouver les arguments contemporains dans la modernité. La désacralisation de la violence va de pair avec l’autonomisation du champ du savoir par rapport à celui de la révélation et de la croyance. On ne peut pas dire « si c’est conforme au Coran on l’étudie, et si ce n’est pas conforme, on le rejette ». Il faut en finir avec l’obsession de la norme religieuse, du licite et de l’illicite, jusqu’à la névrose. Dans l’histoire, pourtant, une liberté par rapport au texte a existé, nous ne comprenons pas pourquoi ce n’est plus possible. C’est pourquoi il ne s’agit pas d’opérer un simple aggiornamento, mais une vraie refondation qui passe aussi par la réinterprétation des textes. En résumé, « transgresser, déplacer, dépasser », comme le dit le grand penseur de l’islam Mohammed Arkoun. Transgresser des tabous car on a rendu le sacré obèse et de plus en plus asphyxiant. Ouvrir les clôtures dogmatiques, se libérer des enfermements doctrinaux, déplacer les études du sacré vers d’autres horizons cognitifs, porteurs de sens et d’espérance comme le sont les disciplines des sciences de l’homme et de la société. Pour y arriver nous devons en finir avec la pression communautaire. Il est temps qu’il y ait émancipation du sujet musulman. Qu’il devienne citoyen.
C’est pour cela que vous appeliez, en 2019, à ce que l’islam soit « une cause nationale » ?
Ghaleb Bencheikh Oui, c’est l’affaire des musulmans certes, mais c’est un enjeu de civilisation et une cause nationale parce que cela concerne l’ensemble des citoyens. Il y a tout de même, entre la France et l’islam, une histoire pluriséculaire, faite de conflits, certes, mais aussi d’échanges auréolés d’une vraie philosophie de la relation. « L’islam fait partie intégrante de notre histoire collective », ainsi que le rappelle Jean-Pierre Chevènement, à qui j’ai succédé à la tête de la Fondation.
La Fondation de l’islam de France peut-elle lutter efficacement contre l’islamisme ?
Ghaleb Bencheikh Sa vocation première est d’endiguer la déferlante wahabo-salafiste, réductrice et manichéenne, qui nourrit le terrorisme djihadiste. Elle a des missions éducatives, culturelles, sociales. Nous devons recouvrer une discipline de prestige en France qui est l’islamologie savante, reconnaître à l’islam sa complexité et ses apports à l’universalité. On ne peut pas ramener toute une civilisation à une affaire de certificat de «virginité ». La Fondation agit pour que la jeunesse qui tend à s’abreuver sur Internet auprès de « Cheikh Google.zero » ne soit pas livrée aux proies faciles des charlatans et des islamistes. Elle essaie de faire sa part pour préserver les enfants des quartiers des germes et tentations djihadistes. De nombreuses mères de famille m’interpellent, en me disant : « Aidez-nous, nos enfants n’ont que le choix entre la délinquance et la radicalisation. »
De quels outils la Fondation dispose-t-elle ?
Ghaleb Bencheikh Je citerai notre campus numérique Lumières d’islam, dont l’ambition est d’en faire très vite le premier site de référence francophone islamique, dans les aspects civilisationnels, culturels, artistiques, littéraires, d’islamologie et même spirituels. L’objectif est de renouer avec les humanités et avec l’humanisme en contexte islamique, oblitérés et effacés des mémoires, insoupçonnés même. Outre l’université digitale, nous avons des universités populaires itinérantes qui, de ville en ville, de quartier en quartier, portent le débat, la confrontation des idées. Un débat citoyen entre musulmans et non-musulmans, pour apprivoiser les peurs, exorciser les hantises et un débat intra-islamique. Une réelle dynamique a été stoppée par la pandémie. La Fondation octroie des bourses pour les étudiants et dispense une formation civique (profane et laïque) des prédicateurs, des aumôniers, des imans. À l’heure actuelle, leur formation ne se hisse même pas aux exigences de la théologie classique.
N’est-il pas important aussi, comme le disait Abdelwahab Meddeb, de « relever chez les musulmans l’estime de soi et chez les non-musulmans la considération due à l’islam » ?
Ghaleb Bencheikh C’est ce qu’il faut faire, et alors nous aurions réussi notre mission. Et du coup apaisé les tensions, normalisé, voire banalisé le fait islamique en France. C’est pour cela que c’est une cause nationale.
Ne pensez-vous pas, a contrario, que l’on s’en éloigne dans le climat actuel ?
Ghaleb Bencheikh Une parole inintelligente s’est libérée malheureusement. La machine s’est emballée. Elle risque encore d’envenimer la situation. Espérons que le paroxysme de ce drame soit atteint, qu’après ces convulsions vienne le temps de l’analyse. Nous savons que les extrémistes se nourrissent les uns des autres. Et nous nous retrouvons pris en tenaille entre l’extrémisme djihadiste et celui de l’extrême droite et de la droite « identitariste » et suprémaciste. Tout cela, aussi, à cause de beaucoup de démissions, y compris politiques. Nous sommes en pleine tempête. Il y a les barreurs de grand temps et les barreurs de petit temps. Il faut que nous tenions la barre des grands temps, ne pas abdiquer. Cela prendra du temps mais il faut passer à une autre séquence.
Entretien réalisé par Latifa Madani
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yes-bernie-stuff · 4 years
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Michée 2,1-5.
Malheur à ceux qui préparent leur mauvais coup et, du fond de leur lit, élaborent le mal ! Au point du jour, ils l’exécutent car c’est en leur pouvoir.
S’ils convoitent des champs, ils s’en emparent ; des maisons, ils les prennent ; ils saisissent le maître et sa maison, l’homme et son héritage.
C’est pourquoi, ainsi parle le Seigneur : Moi, je prépare contre cette engeance un malheur où ils enfonceront jusqu’au cou ; vous ne marcherez plus la tête haute, car ce sera un temps de malheur.
Ce jour-là, on proférera sur vous une satire, et l’on entonnera une lamentation ; on dira : « Nous sommes entièrement dévastés ! On livre à d’autres la part de mon peuple ! Hélas ! Elle m’échappe ! Nos champs sont partagés entre des infidèles ! »
Plus personne, en effet, ne t’assurera une part dans l’assemblée du Seigneur.
Psaume 9(9B),1-2.3-4.7-8ab.14.
Pourquoi, Seigneur, es-tu si loin ?
Pourquoi te cacher aux jours d'angoisse ?
L'impie, dans son orgueil, poursuit les malheureux :
ils se font prendre aux ruses qu'il invente.
L'impie se glorifie du désir de son âme,
l'arrogant blasphème, il brave le Seigneur ;
plein de suffisance, l'impie ne cherche plus :
« Dieu n'est rien », voilà toute sa ruse.
Sa bouche qui maudit n'est que fraude et violence,
sa langue, mensonge et blessure.
Il se tient à l'affût près des villages,
il se cache pour tuer l'innocent.
Mais tu as vu : tu regardes le mal et la souffrance,
tu les prends dans ta main ;
sur toi repose le faible,
c'est toi qui viens en aide à l'orphelin.
Matthieu 12,14-21.
En ce temps-là, une fois sortis de la synagogue, les pharisiens se réunirent en conseil contre Jésus pour voir comment le faire périr.
Jésus, l’ayant appris, se retira de là ; beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous.
Mais il leur défendit vivement de parler de lui.
Ainsi devait s’accomplir la parole prononcée par le prophète Isaïe :
“Voici mon serviteur que j’ai choisi, mon bien-aimé en qui je trouve mon bonheur. Je ferai reposer sur lui mon Esprit, aux nations il fera connaître le jugement.
Il ne cherchera pas querelle, il ne criera pas, on n’entendra pas sa voix sur les places publiques.
Il n’écrasera pas le roseau froissé, il n’éteindra pas la mèche qui faiblit, jusqu’à ce qu’il ait fait triompher le jugement.
Les nations mettront en son nom leur espérance.”
 © AELF, Paris
Saint Augustin (354-430)
« Les nations mettent leur espoir en son nom »
Qui donc, parmi les hommes, connaît tous les trésors de sagesse et de science cachés dans le Christ et enfouis dans la pauvreté de sa chair ? Car « lui qui est riche est devenu pauvre à cause de nous, pour que nous devenions riches par sa pauvreté » (2Co 8,9). Puisqu'il venait pour endosser la condition mortelle et pour terrasser la mort elle-même, il s'est montré dans l'état de pauvre ; mais lui qui nous a promis des richesses lointaines n'a pas réellement perdu celles dont il s'est éloigné. « Comme ils sont surabondants, ses bienfaits ! Il les tient en réserve pour ceux qui le craignent, il en comble ceux qui espèrent en lui. » (Ps 30,20). (...)
Afin que nous devenions capables de le saisir, celui qui est égal au Père comme ayant la nature de Dieu est devenu semblable à nous en prenant la nature du serviteur, et il nous recrée à la ressemblance de Dieu. Devenu fils d'homme, l'unique Fils de Dieu transforme de nombreux hommes en fils de Dieu. Et après avoir nourri les serviteurs par sa nature visible de serviteur, il les rend libres pour qu'ils puissent contempler la nature de Dieu. Car « nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement. Nous le savons, lorsque le Fils de Dieu paraîtra, nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu'il est » (1Jn 3,2). En quoi consistent, en effet, ces trésors de sagesse et de science, ces richesses divines ? Tout ce que nous savons, c'est qu'ils nous suffisent pleinement. Et cette surabondance de ses bienfaits ? Tout ce que nous savons, c'est qu'elle nous rassasie.
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Parole de Dieu «Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre» (Extrait 1)
L'Éclair Oriental, l'Église de Dieu Tout-Puissant a été créée à cause de l'apparition et de l'œuvre de Dieu Tout-Puissant, de la seconde venue du Seigneur Jésus, le Christ des derniers jours. Elle est composée de tous ceux qui acceptent l'œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours et sont conquis et sauvés par Ses paroles. Elle a été entièrement fondée par Dieu Tout-Puissant en personne et est conduite par Lui comme le Berger. Ce n'est pas du tout un homme qui en est le fondateur. Christ est la vérité, le chemin et la vie. Les brebis de Dieu entendent la voix de Dieu. Aussi longtemps que tu lis les paroles de Dieu Tout-Puissant, tu verras que Dieu est apparu.
Note spéciale : Cette production vidéo a été produite comme une ressource à but non lucratif par l'Église de Dieu Tout-Puissant. Les acteurs qui apparaissent dans cette production opèrent sur une base caritative, et n'ont en aucune façon été payés. Cette vidéo ne peut être distribuée à une tierce personne pour faire un bénéfice quelconque, et nous espérons que chaque personne la partagera et la distribuera en toute transparence. Lorsque tu la distribues, prends soin d'indiquer la source. Aucune organisation, groupe social ou individu n'a le droit d'altérer ou de dénaturer les contenus de cette vidéo sans le consentement de l'Église de Dieu Tout-Puissant.
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sakrum1 · 5 years
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Lundi 28 janvier 2019 : commentaire Isaac de l'Étoile
« C'est par Béelzéboul, prince des démons, qu'il chasse les démons »... Le propre des gens malfaisants et animés par l'envie est de fermer les yeux tant qu'ils le peuvent sur le mérite d'autrui et, lorsque vaincus par l'évidence ils ne le peuvent plus, de le déprécier ou de le dénaturer. Ainsi, quand la foule exulte de dévotion et s'émerveille à la vue des œuvres du Christ, les scribes et les Pharisiens soit ferment les yeux à ce qu'ils savent être vrai, soit rabaissent ce qui est grand, soit dénaturent ce qui est bon. Une fois, par exemple, feignant d'être ignorants, ils ont dit à celui qui a fait tant de signes merveilleux : « Quel signe fais-tu pour que nous croyions en toi ? » (Jn 6,30) Ici, ne pouvant pas nier les faits avec impudence, ils les déprécient méchamment..., et ils les dénaturent en disant : « C'est par Béelzéboul, prince des démons qu'il chasse les démons ». Voilà, chers frères, ce blasphème contre l'Esprit qui lie ceux qu'il a saisis des chaînes d'une faute éternelle. Ce n'est pas que ce soit impossible au pénitent de recevoir le pardon de tout, s'il « produit des fruits qui expriment sa conversion » (Lc 3,8). Seulement, écrasé sous un tel poids de malice, il n'a pas la force d'aspirer à cette pénitence honorable qui mérite le pardon... Celui qui, percevant avec évidence chez son frère la grâce et l'opération du Saint-Esprit..., ne craint pas de dénaturer et de calomnier et d'attribuer insolemment à l'esprit mauvais ce qu'il sait pertinemment être du Saint-Esprit, celui-là est tellement abandonné par cet Esprit de grâce qu'il ne veut plus de la pénitence qui lui obtiendrait le pardon. Il est complètement obscurci, aveuglé par sa propre malice. Quoi de plus grave en effet que d'oser, par envie envers un frère qu'on a reçu l'ordre d'aimer comme soi-même (Mt 19,19), blasphémer la bonté de Dieu... et insulter sa majesté en voulant discréditer un homme ?
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Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre (Sélections)
L'Éclair Oriental, l'Église de Dieu Tout-Puissant a été créée à cause de la apparition et de l'œuvre de Dieu Tout-Puissant, de la seconde venue du Seigneur Jésus, le Christ des derniers jours. Elle est composée de tous ceux qui acceptent l'œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours et sont conquis et sauvés par Ses paroles. Elle a été entièrement fondée par Dieu Tout-Puissant en personne et est conduite par Lui comme le Berger. Ce n'est pas du tout un homme qui en est le fondateur. Christ est la vérité, le chemin et la vie. Les brebis de Dieu entendent la voix de Dieu. Aussi longtemps que tu lis les paroles de Dieu Tout-Puissant, tu verras que Dieu est apparu.
Note spéciale : Cette production vidéo a été produite comme une ressource à but non lucratif par l'Église de Dieu Tout-Puissant. Les acteurs qui apparaissent dans cette production opèrent sur une base caritative, et n'ont en aucune façon été payés. Cette vidéo ne peut être distribuée à une tierce personne pour faire un bénéfice quelconque, et nous espérons que chaque personne la partagera et la distribuera en toute transparence. Lorsque tu la distribues, prends soin d'indiquer la source. Aucune organisation, groupe social ou individu n'a le droit d'altérer ou de dénaturer les contenus de cette vidéo sans le consentement de l'Église de Dieu Tout-Puissant.
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Au sujet de la Bible (3)
  Si tu veux témoigner de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours, alors tu dois comprendre le fond de l’histoire de la Bible, la structure de la Bible et la substance de la Bible. Aujourd’hui, les gens croient que la Bible est Dieu et que Dieu est la Bible. Ainsi, ils croient aussi que toutes les paroles de la Bible sont les seules paroles de Dieu et qu’ils ont tous été prononcées par Dieu. Ceux qui croient en Dieu pensent même que les soixante-six livres de l’Ancien et du Nouveau Testament, bien qu’écrits par des hommes, furent dictés sous l’inspiration de Dieu et qu’ils sont une archive des déclarations du Saint-Esprit. Cela est une interprétation erronée des gens et n’est pas complètement en accord avec les faits. En fait, à l’exception des livres de la prophétie, la plus grande partie de l’Ancien Testament est un document historique. Certaines des épitres du Nouveau Testament proviennent de l’expérience des gens et certaines viennent de l’éclairage du Saint-Esprit ; les épitres pauliniennes, par exemple, sont nées du travail d’un homme, elles sont toutes le résultat de l’éclairage du Saint-Esprit et elles ont été écrites pour les Églises. Elles étaient des paroles d’exhortation et d’encouragement pour les frères et sœurs des Églises. Elles ne sont pas des paroles prononcées par le Saint-Esprit. Paul ne pouvait pas parler au nom du Saint-Esprit. Il n’était pas un prophète, encore moins avait-t-il des visions. Ses épitres furent écrites pour les Églises d’Éphèse, de Philadelphie, de Galatie, et pour d’autres Églises. Et ainsi, les épitres pauliniennes du Nouveau Testament sont des épitres que Paul a écrites aux Églises. Elles ne furent pas inspirées par le Saint-Esprit. Elles ne sont pas non plus les paroles directes du Saint-Esprit. Elles ne sont que des paroles d’exhortation, de réconfort et d’encouragement qu’il a écrites pour les Églises au cours de son travail. Ainsi elles sont une archive d’une grande partie de l’œuvre de Paul. Elles ont été écrites pour tous les frères et toutes les sœurs dans le Seigneur pour que les frères et sœurs de toutes les Églises à l’époque suivent ses conseils et se conforment à toutes les voies du Seigneur Jésus. Paul n’a pas dit que tous les membres des Églises, celles de son temps et celles de l’avenir, devaient manger et boire ses paroles ni que toutes ses paroles venaient de Dieu. Selon les circonstances de l’Église à ce moment-là, il a simplement communié avec les frères et les sœurs et les a exhortés. Il a inspiré leur foi et il a simplement prêché ou rappelé aux gens, et les a exhortés. Ses paroles étaient fondées sur le fardeau qu’il portait sur son cœur et il a soutenu le peuple par ses paroles. Il a fait le travail d’un apôtre des Églises de son temps. Il était un travailleur utilisé par le Seigneur Jésus, et donc il a reçu la responsabilité des Églises, il a été chargé de réaliser le travail des Églises, il a dû prendre connaissance des circonstances des frères et sœurs, et à cause de cela, il a écrit des épitres pour tous les frères et toutes les sœurs dans le Seigneur. Tout ce qu’il a dit d’édifiant et de positif aux gens était juste, mais cela ne représentait pas les paroles du Saint-Esprit et il ne pouvait pas représenter Dieu. C’est une compréhension totalement erronée et un blasphème grave que les gens traitent les documents fondés sur les expériences d’un homme et les épitres d’un homme comme les paroles prononcées par le Saint-Esprit pour les Églises ! Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne les épitres que Paul a écrites aux Églises, car ses épitres ont été écrites pour les frères et sœurs en fonction des circonstances et de la situation de chaque Église à l’époque pour exhorter les frères et sœurs dans le Seigneur, afin qu’ils puissent recevoir la grâce du Seigneur Jésus. Ses épitres visaient à réveiller les frères et sœurs de ce temps-là. On peut dire que cela était son propre fardeau, le fardeau que le Saint-Esprit lui avait confié ; après tout, il était un apôtre qui dirigeait les Églises de l’époque, qui écrivait des épitres aux Églises et les exhortait. C’était sa responsabilité. Son identité était simplement celle d’un apôtre qui travaillait et il était simplement un apôtre envoyé par Dieu ; il n’était pas un prophète ni un visionnaire. Donc, son propre travail et la vie des frères et sœurs avaient la plus haute importance pour lui. Ainsi, il ne pouvait pas parler au nom du Saint-Esprit. Ses paroles n’étaient pas les paroles du Saint-Esprit, encore moins pourraient-elles être considérées comme les paroles de Dieu, car Paul n’était rien de plus qu’une créature de Dieu, et n’était certainement pas l’incarnation de Dieu. Son identité n’était pas la même que celle de Jésus. Les paroles de Jésus étaient les paroles du Saint-Esprit. Elles étaient les paroles de Dieu, car Son identité était celle de Christ, le Fils de Dieu. Comment Paul pourrait-il être Son égal ? Si les gens considèrent que des épitres ou des paroles comme celles de Paul sont les paroles du Saint-Esprit, et qu’ils les révèrent comme Dieu, alors on peut seulement dire qu’ils manquent de discernement. Parlant plus durement : n’est-ce pas un blasphème ? Comment un homme peut-il parler au nom de Dieu ? Et comment les gens pourraient-ils se prosterner devant le record de ses épitres et les paroles qu’il a prononcées comme si elles étaient un « livre saint » ou un « livre céleste » ? Les paroles de Dieu pourraient-elles être prononcées nonchalamment par un homme ? Comment un homme pourrait-il parler au nom de Dieu ? Et donc, que dites-vous : les épitres qu’il a écrites pour les Églises pourraient-elles ne pas être entachées de ses propres idées ? Comment pourraient-elles ne pas être entachées d’idées humaines ? Il a écrit des épitres pour les Églises en se basant sur ses expériences personnelles et sur sa propre vie. Par exemple, Paul a écrit une épitre aux Églises de Galatie, qui exprimait une certaine opinion, et Pierre a écrit une autre épitre qui avait un autre point de vue. Laquelle des deux venait du Saint-Esprit ? Personne ne peut le dire à coup sûr. Ainsi, on peut dire que les deux étaient responsables des Églises, mais leurs lettres représentent leur stature, elles représentent leur approvisionnement et leur soutien pour les frères et sœurs, ainsi que leur responsabilité envers les Églises, et elles ne représentent que le travail humain ; elles n’étaient pas tout à fait du Saint-Esprit. Si tu dis que ses épitres sont les paroles du Saint-Esprit, alors tu es absurde et tu blasphèmes ! Les épitres de Paul et les autres épitres du Nouveau Testament sont l’équivalent des mémoires des personnages spirituels les plus récents. Ils sont sur un pied d’égalité avec les livres de Watchman Nee ou les expériences de Lawrence et ainsi de suite. La seule différence est que les livres des personnages spirituels récents ne sont pas compilés dans le Nouveau Testament, mais la substance de ces gens est la même : ils sont des gens qui ont été utilisés par le Saint-Esprit au cours d’une certaine période et ils ne pouvaient pas représenter Dieu directement.
 L’évangile de Matthieu dans le Nouveau Testament documente la généalogie de Jésus. Au début, elle affirme que Jésus était un descendant d’Abraham, le fils de David et le fils de Joseph ; ensuite, Matthieu dit que Jésus a été conçu du Saint-Esprit et qu’Il est né d’une vierge, ce qui signifierait qu’Il n’était pas le fils de Joseph ou le descendant d’Abraham, qu’Il n’était pas le fils de David. La généalogie, cependant, insiste sur l’association de Jésus avec Joseph. Ensuite, la généalogie commence le rapport du processus par lequel Jésus est né. Jésus a été conçu du Saint-Esprit, Il est né d’une vierge et n’est pas le fils de Joseph. Pourtant, dans la généalogie, il est clairement écrit que Jésus était le fils de Joseph, et parce que la généalogie est écrite pour Jésus, elle rapporte quarante-deux générations. Arrivé à la génération de Joseph, il est précipitamment affirmé que Joseph était l’époux de Marie, des mots qui ont le but de prouver que Jésus était le descendant d’Abraham. Cela n’est-il pas contradictoire ? La généalogie documente clairement l’ascendance de Joseph. C’est évidemment la généalogie de Joseph, mais Matthieu affirme que c’est la généalogie de Jésus. Est-ce que cela ne nie pas la conception de Jésus par le Saint-Esprit ? Ainsi, la généalogie écrite par Matthieu n’est-elle pas une idée humaine ? C’est ridicule ! Ainsi, tu sais que ce livre ne vient pas entièrement du Saint-Esprit. Il y a peut-être des gens qui pensent que Dieu doit avoir une généalogie sur la terre, et donc ils disent que Jésus est la quarante-deuxième génération d’Abraham. Cela est vraiment ridicule ! Après Son arrivée sur la terre, comment Dieu pourrait-Il avoir une généalogie ? Si tu dis que Dieu a une généalogie, ne Le ranges-tu pas parmi les créatures de Dieu ? Dieu n’est pas de la terre, Il est le Seigneur de la création, et même s’Il est chair, Il n’a pas la même essence que l’homme. Comment pourrais-tu classer Dieu parmi les créatures de Dieu ? Abraham ne peut pas représenter Dieu. Il était l’objet du l’œuvre de l’Éternel à l’époque. Il était simplement un fidèle serviteur approuvé par l’Éternel, et il faisait partie du peuple d’Israël. Comment pourrait-il être un ancêtre de Jésus ?
  Qui a écrit la généalogie de Jésus ? Est-ce que Jésus Lui-même l’a écrite ? Jésus leur a-t-Il dit personnellement : « Écrivez Ma généalogie » ? Elle a été écrite par Matthieu après que Jésus fut cloué sur la croix. En ce temps-là, Jésus avait fait beaucoup d’œuvre qui était incompréhensible pour Ses disciples, et Il n’avait fourni aucune explication. Après Son départ, les disciples ont commencé à prêcher et à travailler partout dans le monde, et pour le bien de cette étape de l’œuvre, ils ont commencé à écrire les épitres et les évangiles. Les évangiles du Nouveau Testament furent écrits de vingt à trente ans après que Jésus fut crucifié. Avant cela, le peuple d’Israël ne lisait que l’Ancien Testament. Autrement dit, à l’Ère de la Grâce les gens lisaient l’Ancien Testament. Le Nouveau Testament est seulement apparu au cours de l’ère de la Grâce. Le Nouveau Testament n’existait pas quand Jésus travaillait ; après qu’Il fut ressuscité et monté au ciel, les gens ont mis Son œuvre par écrit. C’est alors que les quatre évangiles, les épitres de Paul et de Pierre, ainsi que le livre de l’Apocalypse furent écrits. Un peu plus de trois cents ans après que Jésus fut monté au ciel, les générations suivantes ont collationné tous ces écrits, et alors est né le Nouveau Testament. Le Nouveau Testament fut complété après ce travail ; il n’existait pas auparavant. Dieu a fait tout cette œuvre, l’apôtre Paul a fait tout ce travail, et ensuite les épitres de Paul et de Pierre furent rassemblées, et à la fin, la plus grande vision de Jean dans l’ile de Patmos fut ajoutée, car il avait prophétisé au sujet de l’œuvre des derniers jours. Tels sont tous les arrangements des générations suivantes et ils diffèrent des déclarations d’aujourd’hui. Ce qui est écrit aujourd’hui se rapporte aux étapes de l’œuvre de Dieu ; les gens aujourd’hui s’associent avec l’œuvre que Dieu fait personnellement et avec les paroles qu’Il prononce Lui-même. Tu n’as pas besoin d’intervenir. Les paroles qui viennent directement du Saint-Esprit ont été arrangées étape par étape et ces arrangements sont différents de ceux des écrits des hommes. On peut dire que ce qu’ils ont écrit l’a été selon leur niveau d’éducation et selon leur calibre. Ils ont documenté les expériences des hommes, et chacun avait ses propres manières de documenter et de connaître, et chaque documentation était différente. Ainsi, si tu révères la Bible comme Dieu, tu es extrêmement ignorant et stupide ! Pourquoi ne cherches-tu pas l’œuvre du Dieu d’aujourd’hui ? Seule l’œuvre de Dieu peut sauver l’homme. La Bible ne peut pas sauver l’homme. Elle n’a pas changé du tout depuis plusieurs milliers d’années, et si tu révères la Bible, tu ne gagneras jamais l’œuvre du Saint-Esprit. La Bible rapporte les deux étapes de l’œuvre de Dieu en Israël, et ainsi tu vois que dans la Bible tous les noms sont d’Israël et tous les évènements sont d’Israël ; même « Jésus » est un nom israélite. Si tu continues à lire la Bible aujourd’hui, n’en restes-tu pas aux conventions ? Ce que le Nouveau Testament de la Bible raconte concerne la Judée. Le texte original était en grec et en hébreu, et les paroles de Jésus et le nom par lequel Il a été appelé à l’époque appartiennent tous à la langue de l’homme. Quand Il a été cloué sur la croix, Jésus a dit : « Éli, Éli, lama sabachthani ? » N’est-ce pas en hébreu ? C’est tout simplement parce que Jésus s’est incarné en Judée, mais cela ne prouve pas que Dieu soit juif. Aujourd’hui, Dieu s’est fait chair en Chine, et donc, tout ce qu’Il dit est sans aucun doute en chinois. Pourtant, ça ne peut être comparé avec le chinois traduit de la Bible, car la source de ces mots est différente : l’un vient de l’hébreu écrit par les hommes, et l’autre vient des déclarations directes de l’Esprit. 
                                     Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant
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4. Quelle est la nature du problème de l’homme qui ne connaît pas la signification du nom de Dieu et n’accepte pas le nouveau nom de Dieu ?
Paroles de Dieu concernées :
Extrait de « L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme », La Parole apparaît dans la chair
   Si l’homme M’appelle toujours Jésus-Christ, mais ne sait pas que J’ai inauguré une nouvelle ère au cours des derniers jours et que Je Me suis engagé dans une nouvelle œuvre, et que si l’homme attend toujours l’arrivée de Jésus le Sauveur de façon obsessionnelle, alors J’appelle de telles personnes comme celles qui ne croient pas en Moi. Ce sont des personnes qui ne Me connaissent pas, et leur croyance en Moi est une comédie. Ces personnes pourraient-elles témoigner de l’arrivée du Sauveur Jésus du ciel ? Ce qu’ils attendent n’est pas Mon arrivée, mais l’arrivée du Roi des Juifs. Ils n’aspirent pas à Mon anéantissement de ce vieux monde impur, mais ont très envie plutôt de la seconde venue de Jésus, ainsi ils seront rachetés ; Ils attendent avec impatience de nouveau que Jésus rachète toute l’humanité de cette terre souillée et injuste. Comment de telles personnes peuvent-elles devenir celles qui accomplissent Mon œuvre au cours des derniers jours ? Les désirs de l’homme ne peuvent réaliser Mes vœux ou accomplir Mon œuvre, car l’homme n’admire ou ne chérit que l’œuvre que J’ai accomplie auparavant et ne sait pas que Je suis le Dieu Lui-même qui est toujours nouveau et jamais vieux. L’homme sait seulement que Je suis l’Éternel, et Jésus, et ne sait pas que Je suis le Dernier, Celui qui amènera l’humanité à la fin. Tout ce que l’homme désire et connaît relève de sa propre conception, et n’est que ce qu’il peut voir de ses propres yeux. Ce n’est pas conforme à l’œuvre que Je fais, mais en déphasage avec lui.
Extrait de « Le Sauveur est déjà revenu sur une « nuée blanche », La Parole apparaît dans la chair
   Si vous utilisez les conceptions pour mesurer et définir Dieu, comme si Dieu était une statue en argile immuable, et si vous délimitez Dieu dans la Bible, et Le confinez dans un champ d’actions limité, alors c’est la preuve que vous avez condamné Dieu. Parce que, dans leur cœur, les Juifs de l’époque de l’Ancien Testament ont coulé Dieu dans le moule d’idole, comme si Dieu ne pouvait être appelé que le Messie, et seulement celui qui était appelé le Messie était Dieu, et parce qu’ils servaient et adoraient Dieu comme s’Il était une statue d’argile (sans vie), ils clouèrent le Jésus de cette époque-là sur la croix, Le condamnant à mort — condamnant à mort l’innocent Jésus. Dieu n’avait commis aucun crime, pourtant l’homme n’a pas épargné Dieu, et L’a condamné fermement à mort. Par conséquent, Jésus fut crucifié. L’homme croit toujours que Dieu est immuable, et Le définit d’après la Bible, comme si l’homme a lu à travers le plan de Dieu, comme si tout ce que Dieu fait est entre les mains de l’homme. Les gens sont extrêmement ridicules, ils sont envahis par la plus grande arrogance, et ils ont tous un talent pour une éloquence ampoulée. Peu importe la profondeur de la connaissance que tu as de Dieu, Je continue de dire que tu ne connais pas Dieu, qu’il n’y en a pas qui soit plus opposé à Dieu, et que tu condamnes Dieu, car tu es totalement incapable d’obéir à l’œuvre de Dieu et de suivre le chemin de la perfection qui mène vers Dieu. Pourquoi Dieu n’est jamais satisfait par les actions de l’homme ? Parce que l’homme ne connaît pas Dieu, parce qu’il a tellement de conceptions, et parce que, au lieu de se conformer à la réalité, toute la connaissance qu’il a de Dieu c’est du pareil au même, rigide et inflexible. Ainsi, étant venu sur terre aujourd’hui, Dieu a une fois de plus été cloué sur la croix par l’homme.
Extrait de « Les méchants doivent être punis », La Parole apparaît dans la chair
   Voulez-vous savoir ce qui a poussé les pharisiens à s’opposer à Jésus ? Voulez-vous connaître l’essence des pharisiens ? Ils étaient remplis de fantasmes sur le Messie. De plus, ils croyaient seulement que le Messie viendrait, mais ne cherchaient pas la vérité de la vie. Et ainsi, encore aujourd’hui, ils attendent encore le Messie, car ils n’ont aucune connaissance de la voie de la vie, et ne savent pas ce qui est le chemin de la vérité. Comment, dites-Moi, ces gens insensés, têtus et ignorants pourraient-ils obtenir la bénédiction de Dieu ? Comment pourraient-ils voir le Messie ? Ils se sont opposés à Jésus parce qu’ils ne connaissaient pas la direction de l’œuvre du Saint-Esprit, parce qu’ils ne connaissaient pas le chemin de la vérité dont Jésus a parlé et, en outre, parce qu’ils ne comprenaient pas le Messie. Et puisqu’ils n’avaient jamais vu le Messie et n’avaient jamais été en compagnie du Messie, ils ont commis l’erreur de rendre un hommage vide au nom du Messie tout en s’opposant à l’essence du Messie par tous les moyens. Ces pharisiens en essence étaient têtus, arrogants et n’obéissaient pas à la vérité. Le principe de leur croyance en Dieu est : quelle que soit la profondeur de Ta prédication, quelle que soit la hauteur de Ton autorité, Tu n’es Christ que si Tu es appelé le Messie. Ces opinions ne sont-elles pas absurdes et ridicules ? Je vous demande encore : n’est-il pas extrêmement facile pour vous de commettre les erreurs des premiers pharisiens étant donné que vous n’avez pas la moindre connaissance de Jésus ? Peux-tu discerner le chemin de la vérité ? Peux-tu vraiment garantir que tu ne t’opposeras pas à Christ ? Peux-tu suivre l’œuvre du Saint-Esprit ? Si tu ne sais pas si tu vas t’opposer à Christ, alors Je dis que tu vis déjà à deux doigts de la mort. Ceux qui ne connaissaient pas le Messie étaient tous capables de s’opposer à Jésus, de rejeter Jésus, de Le calomnier. Les gens qui ne comprennent pas Jésus sont tous capables de Le renier et de Le vilipender. De plus, ils sont capables de voir le retour de Jésus comme la tromperie de Satan, et plus de personnes vont condamner le fait que Jésus redevienne chair. Est-ce que tout cela ne vous fait pas peur ? Ce à quoi vous faites face sera un blasphème contre le Saint-Esprit, la ruine des paroles du Saint-Esprit aux Églises et la répudiation de tout ce qui est exprimé par Jésus. Que pouvez-vous gagner de Jésus si vous êtes si embrouillés ? Comment pouvez-vous comprendre l’œuvre de Jésus quand Il revient dans la chair sur une nuée blanche si vous refusez obstinément de vous rendre compte de vos erreurs ? Je vous dis ceci : les gens qui n’acceptent pas la vérité, mais attendent aveuglément l’arrivée de Jésus sur des nuées blanches, blasphèmeront certainement contre le Saint-Esprit, et c’est l’espèce qui sera détruite. Vous aspirez seulement à recevoir la grâce de Jésus et vous voulez simplement profiter du royaume bienheureux du ciel, pourtant vous n’avez jamais obéi aux paroles de Jésus et vous n’avez jamais reçu la vérité exprimée par Jésus quand Il revient dans la chair. Qu’offrirez-vous en échange pour le fait que Jésus revient sur une nuée blanche ? Est-ce la sincérité par laquelle vous commettez inlassablement des péchés et puis les avouez sans cesse ? Qu’offrirez-vous en sacrifice à Jésus qui revient sur une nuée blanche ? Est-ce les années de travail par lesquelles vous vous exaltez ? Qu’offrirez-vous pour que Jésus qui revient ait confiance en vous ? Est-ce votre nature arrogante qui n’obéit à aucune vérité ?
  Extrait de « Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre », La Parole apparaît dans la chair
   Source: L’Église de Dieu Tout-Puissant
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14 Ceux qui ont cru au Seigneur Jésus pendant de nombreuses années, se sont dépensés avec ferveur et ont travaillé sans relâche ont beaucoup souffert pour le Seigneur. Se pourrait-il que le salut et l’entrée dans le royaume des cieux leur soient refusés parce qu’ils n’acceptent pas l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours ?
 Référence biblique :
 La réponse issue de la parole de Dieu :
 Ce que Dieu veut c’est des gens qui suivent Ses pas. Peu importe l’éclat et la pureté de ce que tu as entendu avant, Dieu ne le veut pas, et si tu ne peux pas te séparer de telles choses, alors elles constitueront un sérieux obstacle pour ton entrée dans l’avenir. Tous ceux qui sont capables de suivre la lumière actuelle du Saint-Esprit sont bénis. Les gens des temps anciens ont aussi suivi les pas de Dieu, mais ils ne pouvaient pas suivre jusqu’à ce jour ; ceci est la bénédiction du peuple des derniers jours. Ceux qui peuvent suivre l’œuvre actuelle du Saint-Esprit et qui sont capables de suivre les pas de Dieu, de sorte qu’ils suivent Dieu partout où Il les conduit — ce sont des gens qui sont bénis de Dieu. Ceux qui ne suivent pas l’œuvre actuelle du Saint-Esprit n’ont pas fait leur entrée dans l’œuvre des paroles de Dieu, et peu importe l’immensité de leur travail, ou leur souffrance, ou à quel point ils courent, rien de cela n’a de sens aux yeux de Dieu, et Il ne les louera pas. Aujourd’hui, tous ceux qui suivent les paroles actuelles de Dieu sont dans le courant du Saint-Esprit ; ceux qui sont étrangers devant les paroles de Dieu d’aujourd’hui sont en dehors du courant du Saint-Esprit, et de telles personnes ne sont pas louées par Dieu. Un service qui est séparé des déclarations du Saint-Esprit d’aujourd’hui est un service qui relève de la chair et des conceptions, et ne peut pas être conforme à la volonté de Dieu. Si les gens vivent dans des conceptions religieuses, alors ils sont incapables de faire quoi que ce soit qui convienne à la volonté de Dieu, et même s’ils servent Dieu, ils le font en étant englués dans leur imagination et leurs conceptions et sont pratiquement incapables de servir selon la volonté de Dieu. Ceux qui sont incapables de suivre l’œuvre du Saint-Esprit ne comprennent pas la volonté de Dieu, et ceux qui ne comprennent pas la volonté de Dieu ne peuvent pas servir Dieu. Dieu veut d’un service qui se fait selon Son propre cœur ; Il ne veut pas d’un service qui relève des conceptions et de la chair. Si les gens sont incapables de suivre les étapes de l’œuvre du Saint-Esprit, alors ils vivent englués dans des conceptions, et le service de telles personnes dérange et trouble. Un tel service est contraire à la volonté de Dieu, et donc ceux qui ne peuvent pas suivre les pas de Dieu sont incapables de servir Dieu ; ceux qui sont incapables de suivre les pas de Dieu s’opposent très certainement à Dieu et ne peuvent pas être compatibles avec Dieu. « Suivre l’œuvre du Saint-Esprit » signifie comprendre la volonté de Dieu aujourd’hui, être capable d’agir conformément aux exigences actuelles de Dieu, être capable d’obéir et de suivre le Dieu d’aujourd’hui et de faire son entrée selon les déclarations les plus récentes de Dieu. Tels sont les attributs de celui qui suit l’œuvre du Saint-Esprit et qui est dans le courant du Saint-Esprit. De telles personnes ne sont pas seulement capables de recevoir la louange de Dieu et de voir Dieu, mais peuvent aussi connaître le tempérament de Dieu à partir de l’œuvre la plus récente de Dieu et connaître les conceptions et la désobéissance de l’homme ainsi que la nature et la substance de l’homme, sur la base de Sa dernière œuvre ; en plus, elles sont capables d’opérer graduellement des changements dans leur tempérament pendant qu’ils servent Dieu. Seuls des gens comme ceux-là sont ceux qui peuvent gagner Dieu, et qui ont véritablement trouvé le bon chemin. Ceux qui sont éliminés par l’œuvre du Saint-Esprit sont ceux-là qui sont incapables de suivre l’œuvre la plus récente de Dieu et qui se rebellent contre cette récente œuvre. Ceux-là s’opposent ouvertement à Dieu parce que Dieu a entrepris une nouvelle œuvre et parce que l’image de Dieu ne correspond pas à celle de leurs conceptions — par conséquent ils s’opposent ouvertement à Dieu et jugent Dieu, ce qui conduit à la répugnance et au rejet que Dieu éprouve pour eux. Avoir connaissance de la plus récente œuvre de Dieu n’est pas chose facile, mais si les gens peuvent intentionnellement obéir à l’œuvre de Dieu et chercher l’œuvre de Dieu, alors ils auront la chance de voir Dieu et d’être sous la nouvelle direction du Saint-Esprit. Ceux qui s’opposent intentionnellement à l’œuvre de Dieu ne peuvent pas recevoir l’illumination du Saint-Esprit ou la direction de Dieu ; ainsi, que les gens puissent ou non recevoir la dernière œuvre de Dieu dépend de la grâce de Dieu, cela dépend de leur quête, et cela dépend aussi de leurs intentions.
 Extrait de « Connaître la plus nouvelle œuvre de Dieu et suivre les pas de Dieu », La Parole apparaît dans la chair
 Si tu es incapable d’accepter la nouvelle lumière de Dieu, ne peux pas comprendre tout ce que Dieu fait aujourd’hui et ne le cherches pas, ou si tu en doutes, si tu le juges ou l’étudies et l’analyses, alors tu n’as pas un esprit d’obéissance. Quand apparaît la lumière dans le présent, si tu valorises encore la lumière du passé et t’opposes à la nouvelle œuvre de Dieu, alors il n’y a rien de sérieux en toi ; tu t’opposes à Dieu délibérément. L’appréciation de la nouvelle lumière est clé pour l’obéissance à Dieu, comme la capacité à l’accepter et à la mettre en pratique. C’est la seule vraie obéissance. Ceux qui ne veulent pas avoir soif de Dieu n’ont pas un esprit d’obéissance à Dieu et ne peuvent que s’opposer à Dieu en raison de leur satisfaction du statu quo. L’homme ne peut pas obéir à Dieu parce qu’il est esclave du passé. Les choses du passé ont produit chez les gens toutes sortes de conceptions et d’illusions au sujet de Dieu qui sont devenues Son image dans leur esprit. Ainsi, ils croient en leurs propres conceptions et aux perspectives de leur propre imagination. Si tu compares le Dieu qui œuvre réellement aujourd’hui au Dieu de ton imagination, alors ta foi vient de Satan et de tes propres préférences. Dieu n’accepte pas une telle foi. Peu importe la noblesse de leurs références et leur dévouement, même s’ils ont consacré toute une vie d’efforts à Son œuvre et se sont offerts en martyrs, Dieu n’approuve pas une telle foi. Il leur montre simplement un peu de grâce et leur permet d’en profiter pendant un certain temps. De telles gens sont incapables de mettre la vérité en pratique, le Saint-Esprit ne travaille pas en eux et Dieu les éliminera tous, chacun à son tour. Peu importe qu’ils soient jeunes ou vieux, ceux qui n’obéissent pas à Dieu dans leur foi et qui ont des motivations fausses s’opposent et interrompent, et ils seront certainement éliminés par Dieu. Ceux qui n’obéissent pas du tout à Dieu, qui se contentent de reconnaître le nom de Dieu et ont un certain sens de la tendresse et de l’amabilité de Dieu, et tout de même ne suivent pas le Saint-Esprit et n’obéissent pas à l’œuvre et aux paroles actuelles du Saint-Esprit, vivent au milieu de la grâce de Dieu et ne seront pas gagnés ni rendus parfaits par Dieu. Dieu rend les gens parfaits par leur obéissance, par leur manger, leur boire et leur jouissance des paroles de Dieu, et par la souffrance et le raffinement dans leur vie. Le tempérament des gens ne peut changer que par une telle foi et ainsi seulement peuvent-ils posséder une vraie connaissance de Dieu. Ne pas être satisfait de vivre au milieu des grâces de Dieu, être assoiffé de la vérité et la rechercher activement et chercher à être gagné par Dieu, tout cela signifie obéir à Dieu consciemment ; c’est précisément le genre de foi que Dieu veut. Les gens qui ne font que profiter des grâces de Dieu ne peuvent pas être rendus parfaits ou changés, et leur obéissance, leur piété, leur amour et leur patience sont superficiels. Ceux qui ne font que profiter des grâces de Dieu ne peuvent pas vraiment connaître Dieu, et même quand ils connaissent Dieu, leur connaissance est superficielle, et ils disent que Dieu aime l’homme ou que Dieu est compatissant envers l’homme. Cela ne représente pas la vie de l’homme et ne démontre pas que les gens connaissent vraiment Dieu. Si les gens sont incapables d’obéir à Dieu quand les paroles de Dieu les raffinent ou quand ils subissent Ses épreuves, si, au contraire, ils deviennent douteux et tombent, ils ne sont pas obéissants du tout. Ils sont habités par beaucoup de règles et de restrictions dans leur foi en Dieu, par de vieilles expériences qui sont le résultat de nombreuses années de foi ou par une variété de doctrines basées sur la Bible. De telles gens pourraient-ils obéir à Dieu ? Ces gens sont remplis de choses humaines, comment pourraient-ils obéir à Dieu ? Tous « obéissent » en fonction de leurs préférences personnelles. Dieu pourrait-Il vouloir une telle obéissance ? Cela n’est pas obéir à Dieu, c’est respecter la doctrine, c’est se satisfaire de soi et se consoler soi-même. Si tu dis que c’est l’obéissance à Dieu, ne blasphèmes-tu pas contre Lui ? Tu es un pharaon d’Égypte, tu commets le mal et tu t’opposes expressément à Dieu. Dieu voudrait-Il un tel service ? Tu ferais mieux de te dépêcher de te repentir et d’avoir un peu de conscience de soi. Sinon, tu ferais mieux de rentrer chez toi : cela te ferait plus de bien que ton « service » à Dieu. Tu n’interromprais pas et ne dérangerais pas. Tu serais à ta place et tu vivrais bien. Ne serait-ce pas mieux ? De cette façon, tu éviterais de t’opposer à Dieu et d’être puni !
 Extrait de « Dans ta foi en Dieu, tu devrais obéir à Dieu », La Parole apparaît dans la chair
 Le travail du Saint-Esprit progresse toujours, et tous ceux qui sont dans le courant du Saint-Esprit devraient également progresser et changer, étape par étape. Ils ne devraient pas s’arrêter à une seule étape. Seuls ceux qui ne connaissent pas le travail du Saint-Esprit s’en tiendraient à Son travail originel et n’accepteraient pas la nouvelle œuvre du Saint-Esprit. Seuls ceux qui sont désobéissants seraient incapables de bénéficier du travail du Saint-Esprit. Si la pratique de l’homme n’adopte pas le rythme de la nouvelle œuvre du Saint-Esprit, la pratique de l’homme est sûrement coupée du travail d’aujourd’hui et est sûrement incompatible avec le travail d’aujourd’hui. Ces gens dépassés sont tout simplement incapables d’accomplir la volonté de Dieu, encore moins pourraient-ils devenir ces dernières gens qui rendront témoignage à Dieu. Tout le travail de gestion, en outre, ne pourrait pas être achevé parmi un tel groupe de gens. Au sujet de ceux qui jadis ont suivi la loi de l’Éternel et qui ont souffert jadis pour la croix, si ces gens ne peuvent pas accepter l’étape du travail des derniers jours, alors tout ce qu’ils ont fait aura été vain et inutile. L’expression la plus claire de l’œuvre du Saint-Esprit est d’embrasser l’ici et le maintenant, non pas de s’accrocher au passé. Ceux qui n’ont pas suivi le travail d’aujourd’hui et qui ont été séparés de la pratique d’aujourd’hui sont ceux qui s’opposent au travail du Saint-Esprit et ne l’acceptent pas. Ces gens défient le travail actuel de Dieu. Bien qu’ils s’accrochent à la lumière du passé, cela ne signifie pas qu’il soit possible de nier qu’ils ne connaissent pas le travail du Saint-Esprit. Pourquoi tout ce discours sur les changements dans la pratique de l’homme, sur les différences entre la pratique dans le passé et aujourd’hui, sur la façon dont la pratique était menée au cours de l’ère précédente, et de la façon dont elle est menée aujourd’hui ? De telles divisions dans la pratique de l’homme sont toujours mentionnées parce que le travail du Saint-Esprit est constamment en mouvement vers l’avant, et donc la pratique de l’homme doit changer constamment. Si l’homme reste bloqué à une étape, cela prouve qu’il est incapable de suivre l’œuvre de Dieu et la lumière nouvelle ; cela ne prouve pas que le plan de gestion de Dieu n’a pas changé. Ceux qui sont en dehors du courant du Saint-Esprit pensent toujours qu’ils ont raison, mais en fait, le travail de Dieu en eux a cessé depuis longtemps et le travail du Saint-Esprit est absent en eux. L’œuvre de Dieu a été transférée à un autre groupe de gens il y a longtemps, des gens avec lesquels Il a l’intention de terminer Son nouveau travail. Parce que ceux qui sont dans la religion sont incapables d’accepter une nouvelle œuvre de Dieu et ne tiennent qu’à l’ancien travail du passé, Dieu a abandonné ces gens et fait Son nouveau travail sur les gens qui acceptent ce nouveau travail. Ce sont des gens qui coopèrent à Son nouveau travail et seulement de cette manière Sa gestion peut-elle être accomplie.
 Extrait de « L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme », La Parole apparaît dans la chair
 Depuis la création du monde jusqu’à aujourd’hui, Dieu a fait beaucoup de travail que l’homme n’a pas compris et qu’il a trouvé difficile à accepter, et Dieu a dit beaucoup de choses qui font obstacle à la guérison des conceptions de l’homme. Néanmoins, Il n’a jamais cessé Son travail, bien que l’homme ait trop de difficultés ; Il a continué à travailler et à parler, et même si un grand nombre de « guerriers » sont tombés, Il fait encore Son travail et continue de choisir des groupes de gens qui sont prêts à obéir à Son nouveau travail. Il n’a pas de pitié pour ces « héros » tombés, mais Il valorise plutôt ceux qui acceptent Son nouveau travail et Ses paroles. Mais à quelle fin travaille-t-Il de cette façon, étape par étape ? Pourquoi élimine-t-Il et choisit-Il toujours des gens ? Pourquoi utilise-t-Il toujours une telle méthode ? Le but de Son travail est que l’homme Le connaisse et qu’il soit ainsi acquis par Lui. Le principe de Son travail est de perfectionner ceux qui peuvent obéir à l’œuvre qu’Il fait aujourd’hui, et non de perfectionner ceux qui obéissent à Son travail du passé, mais s’opposent à Son travail d’aujourd’hui. C’est exactement la raison pour laquelle Il a éliminé tellement de gens.
 Extrait de « Seuls ceux qui connaissent Dieu peuvent rendre témoignage à Dieu », La Parole apparaît dans la chair
 Source:  L’Église de Dieu Tout-Puissant
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christophe76460 · 9 months
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EMPLOYER LE NOM DE DIEU À LA LÉGÈRE
Nous enfreignons le troisième commandement lorsque nous employons le nom du Seigneur de manière inconsidérée. Jésus lui-même nous met en garde contre les répétitions vaines :
« En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés » (Mt6.7).
Le souci de Jésus concerne la pureté de cœur
Jésus n’essaie pas d’effrayer les nouveaux chrétiens ou les petits enfants qui apprennent à prier. Au début, ils auront forcément de la difficulté à s’exprimer (comme beaucoup d’entre nous des années plus tard !). Le souci de Jésus ne concerne pas le langage peaufiné, mais la pureté de cœur. Il ne veut pas que l’on pense gagner des points dans la prière en enchaînant des phrases pieuses.
Nous devons éviter les prières arrogantes et bâclées
L’idée principale est d’éviter les prières arrogantes, mais aussi celles qui sont bâclées. Jésus nous demande d’éviter les phrases vides. J’imagine que nous avons déjà tous entendu des prières où les noms et titres de Dieu étaient utilisés machinalement. Nous avons probablement tous entendu des prières de ce genre : « Ô Dieu, nous venons simplement devant toi notre Dieu. Seigneur, tu es tellement merveilleux. Père, tu es mort sur la croix, Seigneur, et nous ne pouvons que t’aimer et te louer d’avoir rempli nos cœurs, Saint-Esprit. » Non seulement ce genre de prières sèment la confusion par rapport à la Trinité, mais qui plus est, le nom du Seigneur y sert de virgule. Nous devons faire plus attention.
La même chose s’applique aux prières que nous faisons avec nos enfants à la table ou avant de les mettre au lit. Je sais que j’ai déjà été coupable de ce péché dans le passé. Au milieu du chaos, je prie rapidement pour la nourriture ou pour la journée, et puis c’est tout. Le problème n’est pas que la prière est courte. Le problème, c’est que je prononce le nom de Dieu sans réfléchir, comme si c’était simplement un dernier obstacle à franchir avant de manger ou d’avoir enfin la paix et le silence.
Dieu est sans doute plus patient avec un enfant de trois ans qui n’arrive pas à rester assis tranquille qu’avec les parents qui sont incapables de se calmer pour bien disposer leur esprit et leur cœur. Si la seule alternative est d’enfreindre le troisième commandement, alors il vaudrait mieux ne pas prier du tout à la table.
Nous devons éviter les « mon Dieu » ou « Christ » utilisés comme jurons
Employer le nom du Seigneur à la légère implique également les « mon Dieu » ou « Christ » utilisés comme jurons. Il est vrai que les jurons modernes sont différents de ceux de l’Ancien Testament, qui relevaient beaucoup plus du blasphème délibéré que d’une mauvaise habitude. Néanmoins, si nous prenons si facilement le nom de Dieu à la légère et avec insouciance, cela en dit long sur notre attitude envers lui. Nous parlons ici de notre Créateur, Sauveur, Juge et Roi. Le Dieu de l’univers, Celui qui est, ne devrait pas voir son nom craché à la légère comme une expression de stupeur, d’indignation ou de colère.
Mes parents étaient toujours très prudents quant à ce genre de langage, et je leur en suis reconnaissant. Nous n’avions pas le droit de proférer des jurons tels que « Jésus Marie », nous n’avions jamais le droit de dire « mon Dieu » ou même « mon doux », qu’ils considéraient être un diminutif de « doux Jésus ». Tout le monde ne définit pas forcément les mêmes limites pour le langage familier, mais j’espère que nous voyons tous l’importance de protéger l’honneur du nom du Seigneur. J’entends des chrétiens répéter des « oh mon Dieu ! » pour n’importe quoi, autant pour un coup de circuit au baseball que pour la super place de stationnement que l’on vient de trouver. Je me demande si c’est lié à un manque d’éducation à ce sujet ou à un simple manque de connaissance de Dieu.
Nous ne devons pas utiliser la Parole ou le nom de Dieu dans le but de s’enrichir
Jurer n’est pas la seule manière de faire un mauvais usage du nom de Dieu. Nous ne devons jamais utiliser la Parole ou le nom de Dieu comme un moyen pour satisfaire notre ambition ou notre avarice. Je pense par exemple à des personnes qui répandent la Parole de Dieu pour faire du profit, des personnes qui écrivent des livres chrétiens, qui font des conférences chrétiennes ou qui chantent de la musique chrétienne dans le but de s’enrichir. Honte à eux (ou à moi !) si nous employons le nom de Dieu comme moyen d’amasser des richesses.
Rire et plaisanter avec le nom du Seigneur est inapproprié
C’est un aspect du troisième commandement auquel j’ai beaucoup réfléchi. J’aime faire des blagues. J’aime rire. Et je pense que c’est bien, et même sain, de pouvoir rire de choses stupides que les chrétiens font ou de certains stéréotypes concernant nos Églises. En revanche, utiliser le nom du Christ pour faire des plaisanteries est une autre chose. Je crains que de nombreux chrétiens fassent trop aisément des blagues qui mettent Dieu en scène. Feriez-vous facilement des blagues au sujet des attentats du 11 septembre 2001 ou d’Auschwitz ? Bien sûr que non. Nous savons que certains sujets doivent être épargnés. Certaines choses sont sacrées et c’est assurément le cas en ce qui concerne le nom de Dieu.
On ne doit pas utiliser « Jésus-Christ » dans notre humour désinvolte ou des slogans irrespectueux. Je me souviens avoir vu un t-shirt chrétien sur lequel était inscrit le slogan d’une publicité de bière, qui disait « ce sang coula pour moi ». Son concepteur était futé, et ce, pour son plus grand malheur. Et qu’en est-il de l’utilisation sarcastique de certains mots ou d’expressions chrétiennes, comme entonner l’Alléluia de Haendel lorsque notre équipe marque un but, ou renverser notre café et dire avec un rictus « merci Jésus », ou encore faire rire les gens en s’exclamant « loué soit l’Agneau ! » de manière délibérément inopportune. Il existe d’autres moyens de faire de l’humour qu’en utilisant des sujets si sérieux.
Cet article est tiré du livre : Les dix commandements de Kevin DeYoung
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Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre (Sélections)
L'Éclair Oriental, l'Église de Dieu Tout-Puissant a été créée à cause de l'apparition et de l'œuvre de Dieu Tout-Puissant, de la seconde venue du Seigneur Jésus, le Christ des derniers jours. Elle est composée de tous ceux qui acceptent l'œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours et sont conquis et sauvés par Ses paroles. Elle a été entièrement fondée par Dieu Tout-Puissant en personne et est conduite par Lui comme le Berger. Ce n'est pas du tout un homme qui en est le fondateur. Christ est la vérité, le chemin et la vie. Les brebis de Dieu entendent la voix de Dieu. Aussi longtemps que tu lis les paroles de Dieu Tout-Puissant, tu verras que Dieu est apparu.
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lalumiere-web · 6 years
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34 Dans la Bible, il est dit : « Ce Jésus … viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel. » Quand le Seigneur reviendra, ce sera avec Lui, descendant sur les nuées. Pourquoi deviendrait-Il chair ?
  La réponse issue de la parole de Dieu :
  Extrait de « Le Sauveur est déjà revenu sur une « nuée blanche » », La Parole apparaît dans la chair
  L’histoire avance toujours et le travail de Dieu avance toujours. Pour que Son plan de gestion de six mille ans arrive à sa fin, il doit continuer à progresser. Chaque jour, Il doit faire un nouveau travail, chaque année, Il doit faire un nouveau travail ; Il doit ouvrir de nouvelles voies, doit commencer de nouvelles ères, commencer un travail nouveau et plus grand, et porter de nouveaux noms et faire un nouveau travail. L’Esprit de Dieu fait toujours un nouveau travail et ne s’accroche pas aux anciennes méthodes et aux anciens règlements. Son travail aussi ne cesse jamais et se réalise tout le temps. Si tu dis que le travail du Saint-Esprit est immuable, alors pourquoi l’Éternel a-t-Il permis aux sacrificateurs de Le servir dans le temple, alors que Jésus n’est pas entré dans le temple ? Les gens ont même dit qu’Il était le grand sacrificateur quand Il est venu, qu’Il était de la maison de David, le grand sacrificateur et le grand roi. Et pourquoi n’a-t-Il pas offert de sacrifices ? Entrer dans le temple ou non, cela n’est-il pas le travail de Dieu Lui-même ? Si Jésus vient, comme l’homme l’imagine, et est encore appelé Jésus au cours des derniers jours, et s’Il vient toujours sur un nuage blanc, descendant parmi les hommes à l’image de Jésus, n’est-ce pas une répétition de Son œuvre ? Le Saint-Esprit s’accrocherait-Il à l’ancien ? Tout ce que l’homme croit, ce sont des conceptions et tout ce que l’homme accepte est selon le sens littéral et selon son imagination ; ce n’est pas en accord avec les principes de l’œuvre du Saint-Esprit et ne se conforme pas aux intentions de Dieu. Dieu ne ferait pas cela ; Dieu n’est pas si bête et si stupide, et Son œuvre n’est pas si simple que tu l’imagines. Selon tout ce que fait et imagine l’homme, Jésus arrivera sur un nuage et descendra parmi vous. Vous Le verrez, et, chevauchant un nuage, Il vous dira qu’Il est Jésus. Vous verrez aussi les marques des clous dans Ses mains et vous saurez qu’Il est Jésus. Et Il vous sauvera à nouveau et sera votre Dieu puissant. Il vous sauvera, vous donnera un nouveau nom et donnera à chaque personne une pierre blanche, après quoi vous pourrez entrer dans le royaume des cieux et être reçus dans le paradis. De telles croyances ne sont-elles pas des conceptions de l’homme ? […] Certains disent que Dieu Lui-même a dit qu’Il arriverait sur un nuage. Il est vrai que Dieu l’a dit Lui-même, mais sais-tu que les mystères de Dieu sont insondables pour l’homme ? Sais-tu que les paroles de Dieu ne peuvent pas être expliquées par l’homme ? Es-tu si certain que tu as été éclairé et illuminé par le Saint-Esprit ? Est-ce que le Saint-Esprit te l’a montré directement ? Ces choses sont-elles des directions du Saint-Esprit ou sont-elles tes conceptions ? Il dit : « Cela a été dit par Dieu Lui-même. » Mais nous ne pouvons pas utiliser nos propres conceptions et nos esprits pour évaluer les paroles de Dieu. En ce qui concerne les paroles d’Ésaïe, peux-tu expliquer ses paroles en toute confiance ? Oses-tu expliquer ses paroles ? Puisque tu n’oses pas expliquer les paroles d’Ésaïe, pourquoi oses-tu expliquer les paroles de Jésus ? Qui est plus exalté, Jésus ou Ésaïe ? Puisque la réponse est Jésus, pourquoi expliques-tu les paroles prononcées par Jésus ? Est-ce que Dieu te dirait à l’avance quel est Son travail ? Aucune créature ne peut le savoir, pas même les messagers dans le ciel ni le Fils de l’homme, alors comment pourrais-tu le savoir ?
   Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair
   Voulez-vous savoir ce qui a poussé les Pharisiens à s’opposer à Jésus ? Voulez-vous connaître l’essence des Pharisiens ? Ils étaient remplis de fantasmes sur le Messie. De plus, ils croyaient seulement que le Messie viendrait, mais ne cherchaient pas la vérité de la vie. Et ainsi, encore aujourd’hui, ils attendent encore le Messie, car ils n’ont aucune connaissance de la voie de la vie, et ne savent pas ce qui est le chemin de la vérité. Comment, dites-Moi, ces gens insensés, têtus et ignorants pourraient-ils obtenir la bénédiction de Dieu ? Comment pourraient-ils voir le Messie ? Ils se sont opposés à Jésus parce qu’ils ne connaissaient pas la direction de l’œuvre du Saint-Esprit, parce qu’ils ne connaissaient pas le chemin de la vérité dont Jésus a parlé et, en outre, parce qu’ils ne comprenaient pas le Messie. Et puisqu’ils n’avaient jamais vu le Messie et n’avaient jamais été en compagnie du Messie, ils ont commis l’erreur de rendre un hommage vide au nom du Messie tout en s’opposant à l’essence du Messie par tous les moyens. Ces Pharisiens en essence étaient têtus, arrogants et n’obéissaient pas à la vérité. Le principe de leur croyance en Dieu est : quelle que soit la profondeur de Ta prédication, quelle que soit la hauteur de Ton autorité, Tu n’es Christ que si Tu es appelé le Messie. Ces opinions ne sont-elles pas absurdes et ridicules ? Je vous demande encore : n’est-il pas extrêmement facile pour vous de commettre les erreurs des premiers Pharisiens étant donné que vous n’avez pas la moindre connaissance de Jésus ? Peux-tu discerner le chemin de la vérité ? Peux-tu vraiment garantir que tu ne t’opposeras pas à Christ ? Peux-tu suivre l’œuvre du Saint-Esprit ? Si tu ne sais pas si tu vas t’opposer à Christ, alors Je dis que tu vis déjà à deux doigts de la mort. Ceux qui ne connaissaient pas le Messie étaient tous capables de s’opposer à Jésus, de rejeter Jésus, de Le calomnier. Les gens qui ne comprennent pas Jésus sont tous capables de Le renier et de Le vilipender. De plus, ils sont capables de voir le retour de Jésus comme la tromperie de Satan, et plus de personnes vont condamner le fait que Jésus redevienne chair. Est-ce que tout cela ne vous fait pas peur ? Ce à quoi vous faites face sera un blasphème contre le Saint-Esprit, la ruine des paroles du Saint-Esprit aux Églises et la répudiation de tout ce qui est exprimé par Jésus. Que pouvez-vous gagner de Jésus si vous êtes si embrouillés ? Comment pouvez-vous comprendre l’œuvre de Jésus quand Il revient dans la chair sur une nuée blanche si vous refusez obstinément de vous rendre compte de vos erreurs ? Je vous dis ceci : les gens qui n’acceptent pas la vérité, mais attendent aveuglément l’arrivée de Jésus sur des nuées blanches, blasphèmeront certainement contre le Saint-Esprit, et c’est l’espèce qui sera détruite. Vous aspirez seulement à recevoir la grâce de Jésus et vous voulez simplement profiter du royaume bienheureux du ciel, pourtant vous n’avez jamais obéi aux paroles de Jésus et vous n’avez jamais reçu la vérité exprimée par Jésus quand Il revient dans la chair. Qu’offrirez-vous en échange pour le fait que Jésus revient sur une nuée blanche ? Est-ce la sincérité par laquelle vous commettez inlassablement des péchés et puis les avouez sans cesse ? Qu’offrirez-vous en sacrifice à Jésus qui revient sur une nuée blanche ? Est-ce les années de travail par lesquelles vous vous exaltez ? Qu’offrirez-vous pour que Jésus qui revient ait confiance en vous ? Est-ce votre nature arrogante qui n’obéit à aucune vérité ?
   … Beaucoup de gens ne se soucient peut-être pas de ce que Je dis, mais Je veux toujours dire à chaque soi-disant saint qui suit Jésus que, quand vous verrez Jésus descendre du ciel sur une nuée blanche de vos propres yeux, ce sera l’apparition publique du Soleil de justice. Peut-être que ce sera un moment de grande excitation pour toi, mais tu dois savoir que le moment où tu seras témoin de la descente de Jésus du ciel est aussi le moment où tu descendras en enfer pour être puni. Ce sera l’annonce de la fin du plan de gestion de Dieu et ce sera quand Dieu récompensera le bien et punira les méchants. Car le jugement de Dieu aura pris fin avant que l’homme ne voie des signes, quand il n’y aura que l’expression de la vérité. Ceux qui acceptent la vérité et ne cherchent pas des signes, et donc ont été purifiés, iront devant le trône de Dieu et entreront dans les bras du Créateur. Seuls ceux qui persistent à croire que « le Jésus qui ne monte pas sur une nuée blanche est un faux Christ » seront soumis à un châtiment éternel, car ils ne croient qu’au Jésus qui manifeste des signes, mais ne reconnaissent pas le Jésus qui proclame le jugement sévère et libère la vraie voie de la vie. Et donc, Il est certain que Jésus s’occupera d’eux quand Il reviendra ouvertement sur une nuée blanche.
   Extrait de « Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre », La Parole apparaît dans la chair
  Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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Tu verras le corps spirituel de Jésus lorsque Dieu aura renouvelé le ciel et la terre
 Certaines personnes nient le fait qu’elles ne comprennent pas Jésus. Et pourtant Je dis que vous ne Le comprenez pas du tout et ne comprenez pas une seule parole de Jésus. C’est parce que chacun de vous Le suit à cause des récits de la Bible, à cause de ce qui a été dit par les autres. Vous n’avez jamais vu Jésus, encore moins vécu avec Lui et n’avez même pas été en Sa compagnie pendant un court laps de temps. En tant que telle, votre compréhension de Jésus n’est-elle rien d’autre que de la théorie ? N’est-elle pas dépourvue de réalité ? Certaines personnes ont peut-être vu le portrait de Jésus ou personnellement visité la maison de Jésus. Certaines ont peut-être touché les vêtements de Jésus. Pourtant, la compréhension que tu as de Lui est encore théorique et pas pratique, même si tu as personnellement goûté à la nourriture mangée par Jésus. Quoi qu’il en soit, tu n’as jamais vu Jésus, et tu n’as jamais été en Sa compagnie sous forme charnelle, et donc ta compréhension de Jésus sera toujours une théorie vide qui est dépourvue de réalité. Peut-être que Mes paroles ne t’intéressent guère, mais Je te demande ceci : bien que tu aies pu lire de nombreux travaux de ton auteur préféré, peux-tu le comprendre en profondeur sans jamais avoir passé de temps avec lui ? Sais-tu quelle est sa personnalité ? Sais-tu quel genre de vie il mène ? Sais-tu quelque chose de son état émotionnel ? Tu ne peux même pas totalement comprendre un homme que tu admires, alors comment pourrais-tu comprendre Jésus-Christ ? Tout ce que tu comprends de Jésus est plein d’imagination et de conception erronée et ne contient ni vérité ni réalité. C’est dégueulasse et plein de chair. Comment une telle compréhension pourrait-elle te qualifier pour accueillir le retour de Jésus ? Jésus ne recevra pas ceux qui sont pleins de fantasmes et de conceptions de la chair. Comment ceux qui ne comprennent pas Jésus sont-ils aptes à être Ses croyants ?
 Voulez-vous savoir ce qui a poussé les Pharisiens à s’opposer à Jésus ? Voulez-vous connaître l’essence des Pharisiens ? Ils étaient remplis de fantasmes sur le Messie. De plus, ils croyaient seulement que le Messie viendrait, mais ne cherchaient pas la vérité de la vie. Et ainsi, encore aujourd’hui, ils attendent encore le Messie, car ils n’ont aucune connaissance de la voie de la vie, et ne savent pas ce qui est le chemin de la vérité. Comment, dites-Moi, ces gens insensés, têtus et ignorants pourraient-ils obtenir la bénédiction de Dieu ? Comment pourraient-ils voir le Messie ? Ils se sont opposés à Jésus parce qu’ils ne connaissaient pas la direction de l’œuvre du Saint-Esprit, parce qu’ils ne connaissaient pas le chemin de la vérité dont Jésus a parlé et, en outre, parce qu’ils ne comprenaient pas le Messie. Et puisqu’ils n’avaient jamais vu le Messie et n’avaient jamais été en compagnie du Messie, ils ont commis l’erreur de rendre un hommage vide au nom du Messie tout en s’opposant à l’essence du Messie par tous les moyens. Ces Pharisiens en essence étaient têtus, arrogants et n’obéissaient pas à la vérité. Le principe de leur croyance en Dieu est : quelle que soit la profondeur de Ta prédication, quelle que soit la hauteur de Ton autorité, Tu n’es Christ que si Tu es appelé le Messie. Ces opinions ne sont-elles pas absurdes et ridicules ? Je vous demande encore : n’est-il pas extrêmement facile pour vous de commettre les erreurs des premiers Pharisiens étant donné que vous n’avez pas la moindre connaissance de Jésus ? Peux-tu discerner le chemin de la vérité ? Peux-tu vraiment garantir que tu ne t’opposeras pas à Christ ? Peux-tu suivre l’œuvre du Saint-Esprit ? Si tu ne sais pas si tu vas t’opposer à Christ, alors Je dis que tu vis déjà à deux doigts de la mort. Ceux qui ne connaissaient pas le Messie étaient tous capables de s’opposer à Jésus, de rejeter Jésus, de Le calomnier. Les gens qui ne comprennent pas Jésus sont tous capables de Le renier et de Le vilipender. De plus, ils sont capables de voir le retour de Jésus comme la tromperie de Satan, et plus de personnes vont condamner le fait que Jésus est redevenu chair. Est-ce que tout cela ne vous fait pas peur ? Ce à quoi vous faites face sera un blasphème contre le Saint-Esprit, la ruine des paroles du Saint-Esprit aux Églises et la répudiation de tout ce qui est exprimé par Jésus. Que pouvez-vous gagner de Jésus si vous êtes si embrouillés ? Comment pouvez-vous comprendre l’œuvre de Jésus quand Il revient dans la chair sur une nuée blanche si vous refusez obstinément de vous rendre compte de vos erreurs ? Je vous dis ceci : les gens qui n’acceptent pas la vérité, mais attendent aveuglément l’arrivée de Jésus sur des nuées blanches, blasphèmeront certainement contre le Saint-Esprit, et c’est l’espèce qui sera détruite. Vous aspirez seulement à recevoir la grâce de Jésus et vous voulez simplement profiter du royaume bienheureux du ciel, pourtant vous n’avez jamais obéi aux paroles de Jésus et vous n’avez jamais reçu la vérité exprimée par Jésus quand Il revient dans la chair. Qu’offrirez-vous en échange pour le fait que Jésus revient sur une nuée blanche ? Est-ce la sincérité par laquelle vous commettez inlassablement des péchés et puis les avouez sans cesse ? Qu’offrirez-vous en sacrifice à Jésus qui revient sur une nuée blanche ? Est-ce les années de travail par lesquelles vous vous exaltez ? Qu’offrirez-vous pour que Jésus qui revient ait confiance en vous ? Est-ce votre nature arrogante qui n’obéit à aucune vérité ?
 Votre fidélité n’est qu’en parole, votre connaissance est simplement intellectuelle et conceptuelle, vos labeurs visent seulement à recevoir des bénédictions du ciel et donc, à quoi votre foi doit-elle ressembler ? Même aujourd’hui, vous faites toujours la sourde oreille à chaque mot qui dit la vérité. Vous ne savez pas ce qu’est Dieu, vous ne savez pas ce qu’est Christ, vous ne savez pas comment craindre l’Éternel, vous ne savez pas comment entrer dans l’œuvre du Saint-Esprit, et vous ne savez pas comment distinguer l’œuvre de Dieu Lui-même et les supercheries de l’homme. Tu ne sais que condamner toute parole de vérité que Dieu exprime, qui ne se conforme pas à ta pensée. Où est ton humilité ? Où est ton obéissance ? Où est ta fidélité ? Où est ton désir de chercher la vérité ? Où est ta révérence pour Dieu ? Je vous le dis, ceux qui croient en Dieu à cause des signes sont sûrement la catégorie qui souffrira de la destruction. Ceux qui sont incapables d’accepter les paroles de Jésus qui est revenu dans la chair sont sûrement la lignée de l’enfer, les descendants de l’archange, la catégorie qui sera soumise à la destruction éternelle. Beaucoup de gens ne se soucient peut-être pas de ce que Je dis, mais Je veux toujours dire à chaque soi-disant saint qui suit Jésus que, quand vous verrez Jésus descendre du ciel sur une nuée blanche de vos propres yeux, ce sera l’apparition publique du Soleil de justice. Peut-être que ce sera un moment de grande excitation pour toi, mais tu dois savoir que le moment où tu seras témoin de la descente de Jésus du ciel est aussi le moment où tu descendras en enfer pour être puni. Ce sera l’annonce de la fin du plan de gestion de Dieu et ce sera quand Dieu récompensera le bien et punira les méchants. Car le jugement de Dieu aura pris fin avant que l’homme ne voie des signes, quand il n’y aura que l’expression de la vérité. Ceux qui acceptent la vérité et ne cherchent pas des signes, et donc ont été purifiés, iront devant le trône de Dieu et entreront dans les bras du Créateur. Seuls ceux qui persistent à croire que « le Jésus qui ne monte pas sur une nuée blanche est un faux Christ » seront soumis à un châtiment éternel, car ils ne croient qu’au Jésus qui manifeste des signes, mais ne reconnaissent pas le Jésus qui proclame le jugement sévère et libère la vraie voie de la vie. Et donc, Il est certain que Jésus s’occupera d’eux quand Il reviendra ouvertement sur une nuée blanche. Ils sont trop têtus, trop confiants en eux-mêmes, trop arrogants. Comment ces dégénérés pourraient-ils être récompensés par Jésus ? Le retour de Jésus est un grand salut pour ceux qui sont capables d’accepter la vérité, mais un signe de condamnation pour ceux qui sont incapables d’accepter la vérité. Vous devriez choisir votre propre chemin, et ne devriez pas blasphémer contre le Saint-Esprit et rejeter la vérité. Vous ne devriez pas être quelqu’un d’ignorant et d’arrogant, mais quelqu’un qui obéit à la direction du Saint-Esprit, qui désire et cherche la vérité ; ce n’est que de cette manière que vous en profiterez. Je vous conseille de suivre le chemin de la croyance en Dieu avec soin. Ne tirez pas des conclusions hâtives ; de plus, ne soyez pas décontractés et insouciants dans votre croyance en Dieu. Vous devriez savoir, tout au moins, que ceux qui croient en Dieu devraient être humbles et révérencieux. Ceux qui ont entendu la vérité et qui, pourtant, la dédaignent sont stupides et ignorants. Ceux qui ont entendu la vérité et pourtant tirent négligemment des conclusions ou la condamnent sont assaillis par l’arrogance. Aucune personne qui croit en Jésus n’est apte à maudire ou condamner les autres. Vous devriez tous être des personnes qui sont rationnelles et qui acceptent la vérité. Peut-être, ayant entendu la voie de la vérité et lu la parole de la vie, que tu crois que seulement un dix millième de ces paroles est conforme à tes convictions et à la Bible et que tu devrais continuer à chercher dans les paroles de ce dix millième. Je te conseille encore d’être humble, de ne pas être trop confiant et de ne pas t’exalter trop hautement. Avec ton cœur qui ne voue qu’une si petite révérence à Dieu, tu recevras une lumière plus vive. Si tu examines attentivement et que tu réfléchis constamment à ces paroles, tu comprendras si elles sont ou non la vérité et si oui ou non elles sont la vie. Peut-être, ayant seulement lu quelques phrases, que certaines personnes vont aveuglément condamner ces paroles, disant : « Ce n’est rien de plus qu’un éclairage du Saint-Esprit », ou « C’est un faux Christ venu pour tromper les gens. » Ceux qui disent de telles choses sont aveuglés par l’ignorance ! Tu comprends trop peu de l’œuvre et de la sagesse de Dieu, et Je te conseille de recommencer à zéro ! Vous ne devez pas aveuglément condamner les paroles exprimées par Dieu à cause de l’apparition de faux Christs au cours des derniers jours et ne pas être quelqu’un qui blasphème contre le Saint-Esprit parce que vous craignez d’être trompés. Ne serait-ce pas vraiment dommage ? Si, après un examen approfondi, tu crois toujours que ces paroles ne sont pas la vérité, ne sont pas le chemin, et ne sont pas l’expression de Dieu, alors tu seras finalement puni et sans bénédictions. Si tu ne peux pas accepter une telle vérité dite si ouvertement et si clairement, alors n’es-tu pas impropre au salut de Dieu ? N’es-tu pas quelqu’un qui n’est pas assez chanceux pour se présenter à nouveau devant le trône de Dieu ? Penses-y. Ne sois pas imprudent et impétueux et ne prends pas la croyance en Dieu pour un jeu. Pense au bien de ta destination, de tes perspectives, de ta vie et ne joue pas avec toi-même. Peux-tu accepter ces paroles ?
 Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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