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South African Rugby Champions Go Back-To-Back

I'll admit off the bat, that I am the most casual rugby fan in the world, and by many fans standards, I am the worst type of fan because I am a Springboks supporter.

Don't let that take away from what this South African team just accomplished though, and to help you understand the context under which this team is representing the country, is a task that can't be accomplished in one blog post.

South Africa is a country with an economy that is dying and the gap in wealth inequality is getting bigger and bigger, with an infastructure that is falling apart, and a government unable to manage the administrative, financial headaches of governance.

Basically, these Springboks are the only good thing happening in South Africa.

Packed in to the pre-meal, and way before any of these current players was ever a Springbok, is the history of South Africa itself and what the Springboks represented for the ruling Apartheid government pre-1994, and the liberation of Black South Africans since.

This is not a piece to sway people in to believing in the Springboks as a story of racial intergration and tranformation.

Rather something to help you understand the kind of hurdles every player on the team deals with, and the amount of personal discipline it takes to always put the team and winning first.

In the years to come, books will be written about how these guys had to pull together even in the most trying of times, and Siya Kholisi as the captain of a team that has accomplished the greatest feat in the sport's history.

To help you understand what this team has accomplished, South Africa came in to the 2023 Rugby World Cup as defending champions after winning the 2019 World Cup, only lost 1 game the entire tournament, and won our last 3 games all by 1 point margins.

This is not a Rugby team. This is sporting greatness and excellence. They'll go down as legends of the sport. All of them, every member of both the 2019 and 2023 squads.

Every one of these players had big moments in big games and situations where we absolutely needed it.

Handre Pollard's cool headedness was evident throughout the tournament, with his kick to win the semi-final against England being his most immense.

Eben Etzebeth setting the tone with physicality, always promptly followed by Mbongeni Mbonambi, Franco Mostert and Duane Vermeulen, Ox Nche, Deon Fourie and Kwagga Smith, and this group changed the game in that semi-final.

Pieter-Steph Du Toit's man of the match performance in the final was arguably the best any Springbok has ever played in a final. Cheslin Kolbe's charge down and block against France. Manie Libbok's sublime no-look kick against Scotland.

Everyone had big moments or big performances at key times.

I have grown attached to this team in a way I have never been attached to a Rugby team.

South Africa's 1995 World Cup victory represented the intention to change with the inclusion of the legendary Chester Williams. In 2007 it was a story of how that change had bred a new generation of winners represented by Byran Habana. The 2019 World Cup in Japan represented a transformation complete with the champions being captained by a Black player for the first time.

This however is not a chapter of the story that needs a transformation narrative.

As a group these players have transcended that. They represent the pinnacle of the sport. The highest level of achievement possible, and our heach coach Rassie Erasmus, the man who masteminded both our victories, all the while challenging the sports's conventions, pushing boundraries, and always keeping the Boks one step ahead.

Growing up Bryan Habana was the most recognisable player in the sport, and I even have a photograph I took of him on my Instagram, but this group, and this captain, with those forwards and those wings, yeah they've now surpassed any South African team, and that's no easy thing to do.

Even more difficult than that is restoring some feeling of national pride at a time when it's becoming harder to create reasons for that.

Thank you to the Boks, they will never be forgotten.

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France-Afrique du Sud : une défaite au goût amer !

Des actions de grande classe, un suspense haletant, des joueurs exceptionnels sur le terrain, deux équipes qui se rendent coup pour coup, un arbitre à la ramasse et à la fin la défaite, l’amertume, les regrets. Décidément au rugby, la Coupe du Monde n’est pas pour l’hémisphère nord (sauf pour l’Angleterre, ne me demandez pas pourquoi). 

Une première mi-temps relativement bien maîtrisée.

Nos joueurs ont démarré cette partie en attaquant pied au plancher et après quelque temps de jeu, il plante un essai dès les premières minutes du match, Cyril Baye concluant une belle action collective. Engagement des Sud-Africains et les Français repartent à l’assaut avec du jeu structuré, des passes au cordeau. Le danger est de nouveau dans les vingt-deux sud-africains, mais Etzebeth tente l’interception. Il commet un en avant et reprend le ballon sans que l’arbitre ne dise un mot. Quelques passes plus tard, les Sringboks inscrivent un essai en contre. Une action qui aurait dû nous rapporter 3 points minimum et qui nous en coûte sept.

Mais le XV de France a du caractère et il l’a prouvé à maintes reprises. Menés par un Antoine Dupont casqué, jouant sobre, mais juste, le XV de France continue à attaquer tous azimutsc et cherche à trouver la faille dans une défense Springbok vraiment bien en place. Petit coup de pied par-dessus, ballon porté, conquête en touche, tout y passe et sur une pénalité rapidement jouée par Antoine Dupont délivre une passe tendue en bout de ligne à Mauvaka qui plonge dans l’en-but.

Sur la transformation à suivre, Chelsin Kolbe a jailli hors de sa boîte et contre Ramos. La règle dit que les défenseurs peuvent monter sur le buteur à partir du moment où celui-ci a lancé sa course. Le joueur sud Africain avait déjà parcouru la moitié de la distance quand Ramos lance sa course. Et à nouveau, l’arbitre ne constate aucune irrégularité.

Le score est donc de 12 à 7 et quelques minutes après de 12 à 12 suite à un magnifique cafouillage de mal défense bleu sur une chandelle des gazelles vertes. A ce niveau, toute erreur se paie cache. Le jeu se poursuit, les temps de jeu se multiplient et Cyril Baye inscrit un doublé, malheureusement les Sud-Africains égalisent dans la foulée. Juste avant la mi-temps, les Français obtiennent une pénalité qu’ils décident de tenter au pied pour rentrer au vestiaire avec l’avantage au score. Ramos ne tremble pas et le score à la mi-temps est de 22 à 19. Au vu de la physionomie de cette première mi-temps, les Français semblent bien partis pour accrocher la demi-finale. 

Un carton jaune, mais pas de dégât

Au cours du match, Uini Atonio se retrouve un genou à terre, voir le géant d’origine néo-zélandaise se masser la pommette fait grincer des dents. Le colosse français à trouver à qui parler en la personne d’Etzebeth lors d’un contact tête contre tête. 

Alors que le Springbok rate un peu son plaquage, sa tête entre en contact avec celle de notre Winnie nationale. Fort heureusement pour le Sud Africain, sa pommette ne heurte pas l’épaule de son vis-à-vis en tombant.

Suite à cette action, il est toutefois obligé de sortir du terrain avec un carton jaune. À la vue des images, les arbitres bunker décident logiquement de ne pas transformer le carton jaune en carton rouge. Après 10 minutes d’exclusion, la XVᵉ gazelle peut donc revenir gambader dans le pré.

Pendant leurs dix minutes d’infériorité numérique, les Sud-Africains se sont employés à empêcher les Français de scorer et ils l’ont très bien fait. 

Une seconde mi-temps compliquée

Alors que les Sud-Africains continuent à contenir nos différentes attaques, ils parviennent eux à trouver la faille et marque un essai. Le buteur passe la transformation. Le score est désormais en leur faveur 25 à 29. 

Suite à une énième attaque française, le XV du coq obtient une pénalité. L’équipe décide de prendre les points aux pieds, cela nous permettrait de revenir à un petit point de nos adversaires mais pas de leur passer devant. Ramos ne tremble pas et les Sud-Africains sont sous la menace de n’importe quelle action permettant d’inscrire des points.

Les dix dernières minutes sont suffocantes avec des Français qui se jettent comme des beaux diables dans la bataille. C’est parfois assez mal maîtrisé et il y a beaucoup de perte de ballons. Mais il y a toujours un joueur pour récupérer la gonfle et nous remettre dans l’avancée.

Les minutes s’égrènent. Les temps de jeu s'enchaînent. Les gazelles multiplient les fautes au sol sans être sanctionnés. Les Français continuent leurs offensives en se jetant à corps perdu. On sent toutefois qu’ils sont de plus en plus agacés d’être contrariés irrégulièrement dans leurs actions sans que l’arbitre bouge le petit doigt pour faire respecter la règle.

Les Sud-Africains obtiennent une pénalité, fin du match. La France perd d’un point contre le cours du jeu avec un arbitre incompétent et aux abonnés absents.

Les Français nous font rêver depuis quatre ans et ils vont continuer. Le mandat de Galthié cours jusqu’en 2028, il pourra donc s’envoler vers l’Australie avec une équipe plus expérimentée et on l’espère encore plus maître de son sujet. Les plus belles pages de l’aventure de la bande à Galthié restent à écrire, c’est une certitude. Rendez-vous en février 2024 pour un tournoi des VI Nations que nous pourrons peut-être gagner. La Coupe du Monde était un rêve et la France a besoin de rêver malheureusement tous les rêves ne deviennent pas réalité. 

[ragafrance]

日本RWC2019：フランス代表が勝ちましたけど・・・

今日フィジーの勝ちはビックリでしたが、ワールドカップのキックオフの前下の記事を書きました。

日本RWC2019：さぁ、始めよう – そして、思いっきり楽しんで！

開始の1週間前に撮られたスプリングボクスのプレーヤーの写真は、 (more…)

[olympictickets]

Tokyo 2020: Olympians ready to make Rugby World Cup history

A host of Olympians are set to take the field at the Rugby World Cup in Japan helping to enhance the reputation of the contracted form of the game. A total of 18 players from nine nations will be on show over the next six weeks of competition. Olympic Fans who want to watch the live competition of Olympic Rugby can get Olympic Rugby Tickets online.

Rugby sevens made its Olympic 2020 Summer Games debut at Rio 2016 with Fiji proving too strong for Great Britain to take gold-winning 43-7 in the final. The sport is consistently improving thanks to increased competition and revenue and experience at the Rugby World Cup will undoubtedly help player development.

Of the 18, eight are Olympic medalists, including four Fijians: Leone Nakarawa Viliame Mata Josua Tuisova and Semi Kunatani. Two Britain silver medalists Ruaridh McConnochie and James Davies, who will represent England and Wales, respectively in Japan, and bronze medalists Chelsin Kolbe and Kwagga Smith from South Africa, complete the line-up of Olympic medal winners.

Also on the roster of Olympians is New Zealand’s Rugby World Cup winner Sonny Bill Williams and All Blacks teammate Reiko Ione who was named World Rugby Breakthrough Player of the Year in 2017.

Host nation Japan includes three Olympians from the team who finished an impressive fourth in Rio 2016 and Argentina, France and the United States have also selected Olympians in their World Cup squads. Fiji captain Leone Nakarawa is relishing the transference of skills.

"Fifteen is more about power and endurance, so repeatedly getting tackled and getting up again," said Nakarawa who will be competing at his third Rugby World Cup.  But the fitness and strength you get from sevens really helps.  Because of that you never feel tired out there."

Great Britain is looking to go one better than silver in Tokyo Olympic 2020but McConnochie is fully focused on the challenge right in front of him.

"The Olympics was incredible and I never thought I would be here in a national 15s side at the Rugby World Cup," he said. Going into Rio we knew it would be pretty chaotic. It is good to embrace that chaos and carnage and know that it is not always going to be perfect and it is how you react and overcome that."

Qualification is already underway for the Tokyo Olympic 2020 sevens tournament.

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