Tumgik
#cousine instit
perduedansmatete · 11 months
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mdr j'ai failli pleurer en fouillant dans mes documents pour me réinscrire à la fac quand j'ai vu "attestation de réussite décernée à [moi-même] avec mention très bien" pour ma licence!!!! j'avais oublié mais en vrai je suis trop forte je me souviens que j'étais même pas vraiment contente l'année dernière juste soulagée que tout ça soit fini mais angoissée de la suite et bah j'ai passé une année un peu naze en termes de ressentis il faut bien se le dire mais je crois que ça m'a fait du bien de faire autre chose pendant cette pause et ça m'a appris que j'étais capable de faire plein de trucs insoupçonnés, j'ai pris ma revanche sur des trucs, après bon ça m'a aussi appris que même si j'étais capable de faire ces dits trucs je serai toujours constamment aussi stressée de tout même si je crois que toutes mes mésaventures m'ont permis de lâcher un peu du leste et de me dire que si les choses ne sont pas complètement parfaites c'est pas si grave les gens ne le remarquent même pas et sont contents de moi (contradictoirement ça m'a quand même révélé que j'étais la plus grosse control freak de l'univers comme si je le savais pas déjà, je veux le contrôle que tout soit parfait comme JE veux mdr mais je garde un peu tout ça en moi pour pas être insupportable ce qui crée beaucoup de frustration mais ce n'est pas le sujet) et tout ça pour dire que je suis en train de me réinscrire à la fac et que j'ai un peu hâte tout en ayant super peur à nouveau d'être nulle ou de pas aimer et de me dire oh mais non les études en fait j'en peux plus ou de pas me faire de copains aussi gros problème ça bref rendez-vous début septembre vu que ces fous ne commencent pas en octobre (ça c'est vraiment nul j'adore les vacances de septembre)
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sushis4kalyo · 1 year
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Et si on parlait du harcèlement scolaire ? 😡
Je souhaitais aborder ce sujet parce qu'on en parle de plus en plus et aussi parce que je l'ai vécu. Pas forcément de la même façon que tout le monde ... mais je trouvais qu'il était important de partager mon ressenti. Si nécessaire, je pourrais signaler ce post' comme "Adulte" par la suite sur demande (que ce soit en commentaires ou DM, surtout ne pas hésiter !) mais j'ai peur d'invisibiliser ce sujet si je le fais trop vite ...
Du coup, c'est du vécu ...
Je suis originaire du Rhône. J'ai déménagé dans le Sud avec mes parents pour ma rentrée en 6ème. On m'avait dit que ça allait être génial, que j'allais me faire de nouvelles copines et ... j'y ai cru.
Comme j'avais changé de région, la grande majorité des autres 6èmes se connaissaient déjà parce qu'ils étaient en primaire ensemble. Moi, j'arrivais comme un cheveu dans la soupe. Je connaissais personne et j'avais une dégaine de Barbie. Blonde aux yeux bleus, sac à roulette Chipie rose bonbon ...
Très franchement, je n'arrivais pas à me faire des amis. Il y avait une certaine jalousie peut-être, une part de "mais qu'est ce qu'elle vient faire ici elle ?" aussi ... et j'étais bonne élève. Après coup, je devais pas mal agacer ...
J'ai rapidement subit quelques railleries mais je n'en tenais pas compte.
Flashback : Petit détail qui m'a certainement sauvé la vie ...
Et pourtant tout a accéléré d'un coup. Je me souviens avoir prévenu ma mère. "Attention, s'ils n'arrêtent pas, si personne ne fait rien, je vais m'en charger toute seule ..." J'étais en capacité de le faire.
Pour expliquer pourquoi cela, petit flashback en primaire. Je ressemblais déjà à une poupée Barbie donc j'étais pas mal enquiquinée. Vous connaissez le jeu des mariages ? Il consiste à attraper une fille et un garçon dans la cour, jouer au mariage, s'assurer qu'ils s'embrassent bien ... et taper sur celui qui refuse si ça arrive. Le nombre de fois où j'ai traversé la cour en tapant mon meilleur sprint devant les instits parce que Y, qui jouait avec les escargots et les vers de terre rêvait de me galocher ...
Je l'ai dis à ma mère il y a environ ... 2 ans. Au moment où j'écris, j'ai 27 ans. Je n'avais rien dit avant parce que je me défendais seule et comme ça ne semblait pas intéresser les instits, j'imaginais que ça n'allait pas intéresser mes parents non plus. Coups de pied, coups de poing, griffures ... Je m'en sortais pas trop mal. Jusqu'au jour où je me suis fait chopper en train de me défendre. "Mais Kalyo enfin ! C'est moche une fille qui tape !" avec punition etc. J'osais plus me défendre.
Mais alors ? Attendez la suite ! Un soir le téléphone sonne. Ma mère répond, c'est la mère d'un copain, T. Elle l'informe qu'il s'est encore battu et qu'elle commence à en avoir assez qu'il soit toujours puni parce qu'il me défend. C'est comme ça que maman m'a fait faire du karaté.
La première fois ...
J'avais donc prévenu ma mère. Et puis un lundi, le drame arriva. Cours d'EPS, rugby. G annonce fièrement à ses copains "Kalyo, j'vais lui faire sa fête !" ... au moins, j'étais prévenue. Je supporte les coups. Je préviens le prof deux fois, qui interrompt son cours chaque fois pour sermonner tout le monde. Je reprends autant de coups de pieds sur le retour et je me dis qu'à 16h30, c'est moi qui allait lui faire sa fête.
J'ai attendu 16h30, j'ai attendu de passer le portillon ... pour lui donner un coup de pied retourné dans l'estomac. Sa cousine a voulu s'interposer mais comme je ne connaissais pas ses intentions, elle s'est pris une gifle. Dommage collatéral, je reconnais.
Fait exprès, ce jour là, c'était mon père qui venait me chercher pour la toute première fois, lui qui était souvent en déplacement à l'époque. Il m'a récupérée furieuse. Dans la foulée, une dame tout aussi furieuse frappe à sa vitre. La mère de G, lui hurlant dessus que sa fille (donc moi) avait passé à tabac son fils. Et en effet, G, plus imposant que moi, suivait péniblement sa mère en larmes, plié en quatre. Après coup, mon père m'a avoué que la situation avait quelque chose de risible.
Nous étions tous convoqués chez le CPE le lendemain matin. G avait raconté à sa mère et au CPE que c'était moi qui avait commencé. La mère de G a alors accusé la mienne de m'avoir élevé dans la violence. Ma mère lui rétorqua que non. Juste que "si Kalyo prend une claque sur la joue gauche, je ne veux pas qu'elle tende la joue droite !" Après avoir donné ma version, ma mère demanda à voir le prof d'EPS qui selon mes dires avait du interrompre le cours deux fois. Le CPE ne voulait pas, le prof en question étant en cours. Nous avons insisté et finalement il fut appelé et confirma ma version.
Je n'ai pas eu de punition. Je me souviens que notre prof d'anglais avait par la suite pris un malin plaisir à nous mettre tous les deux à côté en cours. On se chamaillait pour tout et n'importe quoi et ça l'amusait. Moi, à l'époque, je n'avais qu'une peur, avoir à recommencer ce que j'avais fait.
La deuxième fois ...
La deuxième fois s'est déroulée très rapidement. J'étais en 5ème. Il se trouvait que R, un 3ème, s'était accaparé une partie de la cour. Visiblement l'information n'était pas parvenue jusqu'à moi. Étant sur "son territoire", il est venu m'insulter ... et a porté le premier coup. Il m'a giflé avec une telle violence que mon nez s'est directement mis à saigner. Pour l'anecdote, les années suivantes, on pouvait toujours voir la tache de sang tombé sur le carrelage extérieur, l'endroit étant protégé de la pluie ...
Puisque c'était raté pour l'effet de surprise et qu'il pouvait me faire voler d'un bras, je n'avais pas d'autre solution que fuir ... non sans lui claquer une porte dans la tronche pour la forme puisque qu'il me poursuivait. Il saignait aussi, 1 partout, balle au centre. C'est lui qui est allé se plaindre au CPE. Cette fois-ci, R ayant un gros passif et des témoins ayant confirmé ma version, on m'a cru tout de suite. R a été renvoyé par la suite.
La troisième fois ...
Cette fois là a été la plus marquante. J'étais en 4ème. C'était un lundi, entre midi et deux. J'étais avec une amie quand nous avons vu 3 garçons arriver vers nous. Cette amie en question s'est éloignée sentant le drame arriver. Non, je ne lui en veux pas d'avoir voulu rester en dehors de ça. Quant à moi, je savais que je n'avais aucune échappatoire alors perdu pour perdu, je me suis placée dans l'axe de la seule et unique caméra du collège, celle permettant de contrôler les entrées et sorties de l'établissement.
Les trois garçons arrivent donc et se placent autour de moi. Celui en face de moi me tient les mains jointes pendant que les deux autres me font les poches. En somme, un racket en bonne et due forme.
Ma marge de manœuvre étant limitée, je me suis servie de ma tête, littéralement. Puisque j'avais les mains jointes, j'ai attrapé le col du garçon en face de moi, C, l'ai tiré vers moi pour lui donner un coup de tête. Son nez cogne mon front. Il tombe à la renverse. Les deux autres ont disparu à l'instant même. J'ai donc pris mes affaires pour aller à mon cours de guitare, laissant C parterre.
Ça devait se voir sur mon visage. Le prof de musique m'a demandé si ça allait. J'ai juste pu lui répondre que je venais de me battre quand on toqua à la porte. Un surveillant entra. "Kalyo, chez le CPE !". J'ai donc suivi le surveillant sous le regard médusé du prof de musique.
J'arrive dans le bureau. Je note que C est dans un coin avec un morceau de coton dans chaque narine. Le CPE me demande "Bah alors Kalyo, pourquoi t'es pas venue nous voir tout de suite ?" La question me semblait lunaire. Comment pouvait-il me poser la question alors que lui, CPE, devait connaître la réponse mieux que quiconque ? J'ai quand même formulé une réponse sans cacher mon agacement : "Mais monsieur, c'était une tentative de racket ! Vous ne pensez quand-même pas qu'ils m'auraient escortées tous les trois jusqu'à votre bureau bien gentiment ?". Il me sort alors la leçon sur le fait qu'il ne faut pas se faire justice soi-même. Je ne me laisse pas faire : Mais monsieur, vous auriez fait quoi de plus ? Des lignes à copier ? Ils les préparent d'avance ! Des heures de colle ? C n'a pas déjà un abonnement pour les 3 prochains mercredis ? C'est au point qu'ils peuvent sympathiser avec les surveillants. Des jours de renvoi alors ? Comme ça C pourra s'amuser pendant trois jours sur sa PlayStation pendant que nous on sera en cours ! Vous parlez d'une punition ... Là il s'est pris une raclée par une fille devant toute la cour et si jamais il ose oublier, y'aura ses copains pour le lui rappeler !". Le CPE m'a regardée, sidéré et n'a pas cherché à me répondre. J'avais si bien fait mouche que je me souviens de voir C se marrer dans son coin au point d'en perdre ses cotons.
De la géopolitique de cour de récré
Le lendemain, j'ai réalisé l'ampleur de ce que j'avais fait. Toute ma classe m'attendait pour ... examiner mon front. "Fais voir si t'as une marque ? Wouah t'en as aucune !".
Je commençais avec un cours d'espagnol. Chose inhabituelle : la prof nous a donné une quinzaine d'exercices à faire. Une fois tous les exercices notés au tableau, elle s'assoit en face de moi, pose ses coudes sur la table et me demande : "Alors, raconte ?!" Je lui raconte alors toute l'histoire. Plus j'avançais dans mon récit, moins les autres travaillaient. J'ai entendu un "Vous avez vu madame ? Kalyo n'a pas de marque ! Elle a trop bien donné son coup de tête ! Comme Zidane à Materrazi !" du font de la salle. Profs et élèves m'ont surnommée Zizou pendant les trois semaines qui suivirent suite à cette remarque. La prof m'a ensuite fait comprendre qu'elle et les autres profs n'arrivaient plus à gérer C et que tous me soutenaient pour m'éviter une sanction. (Il devait y avoir une certaine ambiance dans la salle des profs ...)
Dans les couloirs, des élèves d'autres classes venaient me féliciter "Wouah la raclée que tu lui as mis !". J'étais presque certaine d'en avoir vu certains traîner avec C quelques jours avant. J'assistais à un énorme retournement de veste. Tout le monde voulait être mon ami, être vu avec moi ... et j'ai compris plus tard que je servais de dissuasion envers d'autres groupes "ennemis". Je servais de bombe atomique. Je prenais conscience de ce qu'il se passait. C'était de la géopolitique de cours de récré.
J'ai trouvé ça dramatique quand de plus en plus de 6èmes sont venus me voir dans les jours qui suivirent pour que je les aide à se défendre. Ce n'était pas mon rôle ... mais ça impliquait qu'eux aussi n'avaient plus confiance en l'autorité chargée de nous encadrer. Je me souviens d'avoir fait des bouquets de petits 6èmes et de les avoir amenés jusque chez le CPE. Ce n'était pas mon rôle mais sachez que je me demande toujours si j'ai eu raison de ne pas intervenir.
Mais c'est pas tout : je n'ai pas eu de sanction mais ma mère a souhaité avoir les coordonnées des parents de C, dans le cas où je lui aurais fracturé le nez. Il s'est avéré que c'était ses grands-parents qui en avaient la garde car ses parents avaient baissé les bras. Ma mère a souhaité s'excuser auprès d'eux mais le grand-père de C lui a répondu que "c'était du pain bénit et que ça allait lui apprendre la vie". Ah ...
Enfin, lors de ma rentrée en 3ème, nous attendions tous en bas des escaliers que le directeur de l'établissement nous appelle afin de nous attribuer notre classe. Comme à chaque rentrée, tout le monde parlait pendant l'appel quand soudain, C fut appelé ... suivi de moi. Le bruit cessa immédiatement et je gravis les marches dans le silence. Le brouhaha revint l'instant d'après. Je m'éloignais tandis que le directeur peinait à obtenir de nouveau le silence. Tout le monde réalisait, moi comprise, que C et moi allions être dans la même classe, toute l'année. Mieux encore, les profs avaient une certaine manie de nous placer par ordre alphabétique : nous tombions côte à côte.
J'ai compris bien plus tard que l'établissement s'était également servie de moi comme dissuasion pour contenir C. Cela a d'ailleurs fonctionné à tel point que des amis de cette époque étaient persuadés qu'il avait changé de collège ... alors que pas du tout.
Le traitement du harcèlement scolaire aujourd'hui
Selon moi, c'est une énorme mascarade. Chaque année, nous avons une journée contre le harcèlement scolaire lors de laquelle nous affirmons haut et fort que le harcèlement, c'est pas bien ... on dit que les victimes doivent parler ... puis on passe à autre chose.
Si, éventuellement on peut avoir une petite pensée pour les dernières victimes de harcèlement scolaire, vous savez, celles qui vont jusqu'au suicide. On envoie les gens vers les sites gouvernementaux contre le harcèlement scolaire et puis ... c'est à peu près tout.
Il y a deux ans, j'ai aidé une petite qui se faisait harceler. Une fille la menaçait de mort, l'étranglait dans la cour et montait tout le monde contre elle. La petite était plusieurs fois venue se plaindre à son instituteur ... qui lui a fait comprendre que c'était des histoires de gamines et qu'il fallait qu'elle arrête avec ça ... La petite se plaignait de plus en plus d'avoir mal au ventre et lorsqu'on lui demandait comment ça se passait à l'école : "ça va ...".
Il y a fallu que je lui raconte tout ce par quoi je suis passée pour qu'elle accepte de me dire ce qu'il se passait à l'école. Après avoir eu son accord pour en parler à ses parents, l'école a tout nié en bloc, la petite n'entrant pas, selon eux, dans la grille de critères de harcèlement fournie par l'éducation nationale. J'aurais été curieuse de savoir comment ils appelaient ça ... On a aussi su que plusieurs enseignants ont essayé de la dissuader d'appeler ça du harcèlement.
Les parents de la petite ont demandé une sanction contre la harceleuse ...qui n'est jamais arrivée. Ils ont été dans l'obligation de changer leur fille d'établissement pour qu'elle puisse continuer d'apprendre sereinement.
Bien entendu, tous les enseignants n'agiront pas comme dans cet exemple, il y en a bien eu qui m'ont soutenue quand j'étais au collège. Mais là, cela démontre toutefois qu'il y a une certaine volonté d'étouffer la situation car la direction a des comptes à rendre. Vous vous souvenez du hashtag "PasDeVague" sur Twitter ?
J'ai soulevé une partie du problème en 4ème : Ils ne peuvent rien faire contre les élèves perturbateurs. Si la famille s'offusque du peu qu'ils puissent faire ou ne s'en occupe pas, il n'y a plus aucune marge de manœuvre ...
J'ai su que le harcèlement scolaire est puni par la loi depuis mars 2022 ... reste à savoir si les plaintes sont recevables ...
Quelques conseils personnels ...
Chers enseignants et membres de l'EN...
Si quelqu'un vient vers vous pour se plaindre des agissements d'un élève, ne le rejetez pas ! Ne lui dites pas de l'ignorer, de retourner jouer ou que c'est sans importance ! Et ne lui dites surtout pas qu'il vous embête avec ses histoires ! J'ai noté que c'est principalement pour ça que beaucoup de victimes ne parlent pas : Si l'instituteur juge que ce n'est rien, qu'on l'embête avec ça, pourquoi il irait embêter ses parents avec ça ?
N'exposez pas les élèves victimes devant toute la classe ! J'ai connu des moments très gênants en primaire, toute seule debout au tableau pendant que l'institutrice faisait la leçon aux autres comme quoi "Il faut être gentil avec Kalyo !" pour après imposer ma présence dans un groupe à la récréation ... c'était très gênant et le groupe qui vous récupère vous traîne comme un boulet ...
Prenez l'initiative de punir les coupables ! Comment se fait-il que ce soit les victimes qui changent d'école ? Pourquoi les parents des victimes doivent faire des démarches et s'organiser autour de ce changement alors que le coupable n'a rien ? Oui la loi sanctionne depuis peu le harcèlement scolaire mais elle ne vous remplace pas car elle fonctionne sous condition que la plainte soit acceptée (et j'ai cru comprendre qu'il faut vraiment une grave atteinte à l'intégrité physique pour que ce soit recevable ...) Vous êtes en première ligne, c'est à vous de montrer aux enfants coupables et à leurs parents que le harcèlement scolaire a des conséquences. Je suis consciente qu'on vous laisse de moins en moins de pouvoir ... c'est peut-être le moment de taper du poing sur la table et de le reprendre ? Bien utilisée, la communication est une arme redoutable ! À bon entendeur ...
Chers parents,
Ne croyez pas juste que "s'il y a quelque chose, mon enfant m'en parlera !" même si vous avez eu une discussion avec lui et que vous pensez avoir été très clair sur ce point ! Comme dit plus haut, si à l'école on lui dit que c'est rien, il ne jugera pas forcément utile d'en parler à ses parents. Il faut s'inquiéter dès lors qu'il ne parle plus de ses journées, dit avoir souvent mal au ventre pour ne pas aller en cours, semble perdre goût à tout / se réfugie dans une activité spécifique ou que les notes baissent d'un coup.
Donner le droit à vos enfants de se défendre ! Attention, il n'est pas question d'aller péter les dents de tout le monde à la moindre réflexion ni de créer un fightclub ! Certainement pas ! Mais soyons logiques : on dit aux enfants que la violence ne résout rien, que se battre c'est mal ... mais si lorsque quelqu'un prend l'initiative de commencer gratuitement, on minimise la plainte de la victime... à qui on donne raison, finalement ? J'estime alors que si un enfant s'est fait frapper par un autre et que le corps enseignant ne fait rien (ou ne peut pas ...) alors la moindre des choses est de permettre à la victime de se défendre. L'enfant qui a commencé pourra alors comprendre que ce qu'il fait a des conséquences et peut se retourner contre lui ! Vous connaissez certainement le principe du "Ne fais pas ce que tu ne veux pas qu'on te fasse !" non ?
Enfant timide ? Envisagez les arts martiaux ! Il ne s'agit pas simplement d'un sport de combat ! Ça a vraiment des vertus sur le corps et l'esprit. Ça favorise la maîtrise de soi, améliore la concentration, réduit le stress, permet de gagner en confiance en soi en réalisant ce de quoi nous sommes capables (maîtriser un adversaire dans un combat amical ou faire une démonstration de katas). Aussi, je précise, les professeurs d'arts martiaux vous répèteront inlassablement qu'on utilise les arts martiaux qu'en cas d'absolue nécessité !
Envisagez que vos petits chéris ne sont peut-être pas de petits anges à l'école. Les enfants adaptent leur comportement en fonction d'avec qui ils sont et de ce qu'on leur tolère. Si j'ai vite compris à l'époque que le personnel enseignant n'avait pas un grand pouvoir, j'étais certainement loin d'être la seule !
Petit mot de la fin ...
Je suis consciente que ce post' risque d'en choquer plus d'un et dans un sens c'est peut-être le but recherché. À chaque fois que je vois un article ou un reportage sur le suicide d'un enfant harcelé, avec à chaque fois un "L'établissement savait" ou "Ah bah on aurait pas pensé !" ... je serre fort les poings.
Si je me permets de faire ce post', c'est parce que j'ai pu me défendre. J'ai montré très vite quelles étaient les limites à ne pas franchir mais c'est loin d'être le cas de tout le monde. Par moment, je me demande comment ça se serait passé si je ne m'étais pas défendue. Jusqu'où ça aurait pu aller ?
Certes, mes préconisations dénotent clairement avec l'idée du monde sans violence qu'on essaie d'inculquer aux enfants ... mais rendons nous à l'évidence, si on refuse d'écouter les victimes et de leur apporter du crédit ... si on refuse de punir fermement les coupables pour faire entendre que le harcèlement scolaire n'est pas toléré ... que reste-t-il ?
Enfin sachez que je suis sincèrement désolée si mes propos peuvent choquer. Je ne souhaite pas prôner la violence mais la légitime défense. Encore une fois, si vous trouvez que je dois ajouter un label communautaire sur ce post, n'hésitez pas à me contacter par DM ou directement dans les commentaires.
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chattamm · 10 months
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Vous avez gagné ! Je ne retournerai plus jamais à l aca. Je ne ferai plus d artJe sortirai de chez moi seulement en cas de nécessité. Je vais m éloigner encore plus de tout le monde. J utiliserai beaucoup moins mon gsm. Pas de connexion internet à la maison. Bravo ! Il ne fallait vraiment pas me séparer des chats... Et oui..
Prochaine étape, plaintes, tribunal, listes, etc. Je ne vous apporterai pas d oranges.
APPAREMMENT VOUS NE COMPRENEZ PAS ! PAS DE DEMANDES SEXUELLES, DE HARCÈLEMENT MORAL ET SEXUEL NON PLUS !!!!
Vous trouverez facilement des putes dans mon entourage. Ne les confondez pas avec moi ! Je publierai vos prénoms suivis de la première lettre de votre nom de famille à chaque fois que vous recommencerez. Si vous pensez que vous êtes sur cette liste, C est que vous y êtes.
Avec un indice,
SOPHIE B. INSTIT DE DORINNE RECONVERTIE DANS LE COMMERCE
A qui le tour ?
Leo DE..... Fils de Sophie B. Adore se fourrer dans les ennuis... Des oranges, Leo ? 🍊 Ton avenir se précise mon gars... La criminalité. Qui l eut cru ? Je rigole hein. Tous les gens qui te connaissent s'en doutent bien.
NICOLAS G..... T. DE DORINNE. Très connu dans le monde de la construction
Aline D. La tata à Leo. De Dorinne. Merci pour ta gentillesse hein Aline. Comme d hab.
VINCENT LA..... DE CHATELINEAU. VENDRAIT PÈRE ET MÈRE POUR DU FRIC. ANCIENT ÉTUDIANT DE L IPSMa
FREDERIC V. IL Y EN PLUSIEURS MAIS CHACUN SON TOUR. LÀ, C EST CELUI DE FOSSES. GROS PERVERS QUI A L AIR TELLEMENT INNOCENT... HA ! Il en a en STOCK des cochonneries dans sa tête.
BENOÎT PO....... Il n habite pas Tamines mais travaille à Tamines surtout en soirée. La B. D sa grande passion...
Delphine H et son mari William de TEMPLOUX. C est pas la maison de mes anciens patrons que vous avez acheté là ? Une maison dans laquelle j ai passé 10 ans et demi à travailler avec les chats persan. On dit que le hazard n existe pas...
CATHERINE. L. De Fosses la Ville. Qui aurait pu imaginer que t étais une petite vicelarde hein a part tes lunettes. Le bâtiment, c est son domaine.
Puisque t insiste,
OLIVIER Bo___ n. De Tamines. Alors que dire ! A l air si jovial, souriant, gentil, serviable,life is fun, etc. Comme on dit l, l air ne fait pas la chanson ! Pourri jusqu à la moelle, mechencanté gratuite, insultes, agressivité, etc etc etc... Son lot quotidien. Brice de....
STÉPHANIE B. D'Auvelais Travaille avec son mari qui travaille dans l informatique. Calé en piratage Maxou 🤨?
Estelle S. Travaille à Bruxelles pour une société qui s occupe de plein de choses.... L_____o. Juriste.
Nina (la maman =une Del___e? Cousine à Leo et Igor?)
Igor Del___e. Étudiant. UCL ?
Pas bien Igor...
J-C L. Alors lui, ce sera la surprise 😊
Maxime P. On sait pas trop dans quoi il travaille... L immobilier à Charleroi aux dernières nouvelles. Moi, je dirais plutôt, la criminalité avec son copain Leo D.
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tayebot · 3 years
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Onze ans - Le Nuevo Che
Le dernier soir de tes dix ans, alors que je venais te donner le bisou du dodo, et avant d'aller livrer une cargaison de chatouilles commandée par ta sœur dans la chambre d'à côté, je t'ai informé que je comptais te congeler pendant la nuit, pour que tu aies dix ans toute ta vie. J'ai promis de te sortir du congélateur une fois par mois pour une partie de FIFA, d'Assassin Creed Origin ou de Hitman 3.
— Il faut juste que j'achète un plus grand four micro-ondes, pour te réchauffer plus rapidement, ai-je prononcé sur un ton pensif.
— Nul, as-tu juste rétorqué.
Tu grandis trop vite. Mes blagues de daron ne fonctionnent plus autant qu'avant. Heureusement, et à ma grande satisfaction, elles provoquent encore le doute, parfois, et j'entends alors, souvent en provenance du continent de la banquette arrière, l'interrogation existentialiste qui me mets en joie, de ta voix de petit gars : "C'est vrai papa ?".
Tu grandis trop vite, je persiste. D'autant qu'on nous vole un peu ces années sans hormones et sans crises. Je voudrais que tous les soirs des trente prochaines années tu me demandes un câlin à l'heure du coucher.
Tu poursuis le tennis les mercredi après-midi et tu as ajouté le ping-pong le samedi matin. Tu es fier parce que le prof t'a félicité pour tes appuis de revers. Tu veux une nouvelle "palette" — tout aussi fier de nous apprendre qu'on ne dit pas "raquette" pour le tennis de table. Evidemment, tu insistes pour que nous acquérions une table de ping pong, dommage que notre maison de ville ne soit pas assez large pour qu'elle puisse y entrer. Tu n'as pas le sens des proportions. Tu dessines des plans sur papier quadrillé, tu découpes des formes en papier pour me démontrer qu'un trampoline, un jacuzzi et une table de ping-pong tiendraient dans le confetti qui nous tient lieu de jardin. Tu commences à maîtriser les conjugaisons, du plus-que-parfait au futur antérieur, tout en refusant de faire tes devoirs sans moi, histoire que je te confirme les terminaisons. Tu hais les -ai, les -ais, les -ait et les -aient. Ton école de hippies a choisi le thème de la défense (au sens large) pour traverser cette année COVID. Tu as visité le Palais de Justice de Bruxelles (en travaux depuis 1984), rencontré en classe un avocat puis un repris de justice. Tu me transmets ses conseils pour survivre en zonzon. Depuis trois semaines, tu dissèques des cœurs de bœufs parce que ton instit' est fils de boucher. Il y a longtemps que j'ai abandonné l'idée d'appréhender la logique du fil pédagogique de cette école.
Tu t'es enfin mis à lire. Des mangas. Je t'accompagne sur Naruto, pour que nous ayons des lectures communes, des discussions sur les enjeux et les héros. Tu as quarante volumes d'avance sur moi, et tu en dévores deux par jour, si on te laisse faire. Et, oui, on te laisse lire tout ton saoul pour que jamais tu n'entendes ce que ma mère me lançait en râlant: "tu lis trop !".
Tu as souhaité un kit de crayons pour apprendre à dessiner comme un mangaka mais je doute un peu de ton assiduité comme de ta persévérance. Tu me ressembles, curieux de tout, embrasé par des passions aussi subites que brèves, fainéant, aussi, comme je le suis toujours. Gentil avant tout.
Pendant le premier confinement, alors que les écoles étaient fermées, les nouveaux apprentissages suspendus et que ta sœur et toi passiez vos journées dans le parc le moins surveillé du quartier, tu as, dans des circonstances qui demeurent mystérieuses, traversé une lucarne en plexiglas et chuté de plus de deux mètres dans les sous-sols d'une école primaire pour atterrir sur les fesses. Deux policiers appelés en renfort, armés de la grande échelle du concierge, t'ont permis de ressortir. Plutôt sympas, ils nous ont emmené aux urgences dans leur voiture de patrouille, sans enclencher, hélas, ni les sirènes, ni le gyrophare. On pouffait, toi et moi, à l'arrière, parce que tu avais marché dans une crotte de chien — le parc le moins surveillé du quartier étant, en toute logique, celui où les maîtres ramassent le moins les déjections de leur clébard — et que ça sentait très très fort le caca de chien dans la voiture. L'hypocondriaque en moi se taisait, je me répétais in petto qu'il s'agissait d'un vrai moment entre père et fils. La doctoresse de garde nous a joliment enguirlandé, les keufs et moi, parce que nous n'avions pas appelé les pompiers et que personne n'avait sécurisé ta nuque. Deux heures d'examens, de prises de sang et de radio pour conclure que tu avais eu une chance de pendu. Tu n'as jamais rien lâché sur le pourquoi du comment de cette chute, si c'était un défi entre gosses du parc (comme nous le croyons) ou un malencontreux faux pas depuis la rambarde à trois mètres de là (comme tu voulus m'en convaincre).
Cette saloperie de COVID nous priva de nos vacances chez les Hobbits et de la *République éphémère indépendante des enfants* que tu décrètes chaque été avec tes cousins et cousines du côté de ta mère. Plus d'un an sans les voir. A la place, nous passâmes tous les deux des heures infinies dans l'univers de Red Dead Redemption II. J'y pris un plaisir immense, multipliant les défis annexes du jeu pour ralentir ma progression et ne pas le terminer trop vite, tandis que tu te concentrais sur les quêtes principales. Nous discutions de nos aventures de hors-la-loi vieillissant dans l'Ouest américain de moins en moins sauvage, des mérites des différents chevaux, des personnages, des flingues et des défis. Tu me donnais tes trucs et tes astuces pour que je progresse plus vite. Nous nous retrouvons maintenant sur Assassin's Creed Origin.
Les fous rires dont je me souviens, à ton âge, en écoutant les cassettes de Coluche ou Thierry Le Luron piquées à mes frères, tu les vis sur You Tube en regardant les sketches d'Artus et consort. Pour pallier l'interruption de nos sorties ciné, et après avoir épuisé les épisodes du Mandalorien, nous avons regardé ensemble Tenet. Tu as adoré, comme moi, sans tout comprendre. Nous avons en commun cette sympathique fainéantise qui nous caractérise et nous fait accepter bien des licenses poétiques dans ces aventures cinématographiques plus grandes que nos vies sous couvre-feu. Et comme tu me le disais encore, alors que tu me voyais taper sur mon clavier :
— Nous, tout ce qu'on voudrait, c'est pouvoir jouer au tennis.
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Ta sœur et toi êtes inséparables, chamailleurs, taquins, sans cesse l'un sur l'autre et jamais l'une sans l'autre. On parvient à vous séparer, parfois, jamais pour très longtemps. Nous regardons Koh Lanta ensemble, le vendredi soir, le seul rendez-vous télévisuel de notre famille. Nous n'avons pas les mêmes samedis soirs que ceux de mon enfance, quand nous, les quatre enfants, subissions le choix du programme parmi ceux proposés par les trois chaînes de télé (en général : Champs-Elysées avec Michel Drucker). J'essaie de recréer cette ambiance avec un film choisi en commun. Ça nous prend des plombes. Tu ne proposes que des James Bond, Pirates des Caraïbes ou la saga des Marvel - tout ce qui soi-disant fout les jetons à la Nueva Frida - en plus, elle n'aime pas Star Wars. La recherche du consensus aboutit parfois à des séances un peu molles, une cinématographie du navet. On en discute.
Tu écumes Netflix et Disney Plus, trouves des soluces sur YouTube, colorie encore avec un bout de langue qui dépasse. Tu détestes que l'on interprète tes pensées ou tes propos, que l'on juge sans savoir. On ne peut pas deviner ce qui se passe dans la tête d'un petit garçon de onze ans, il nous faut nous rappeler de poser la question, de ne pas préjuger. Tu nous prodigues ces leçons en boudant, jamais longtemps. Nous appliquons la règle d'or de ne jamais nous coucher fâchés.
De temps à autre, alors que je télé-travaille, que les réunions Zoom, Webex, Skype s'enchaînent, tu te glisses dans le bureau que je me suis aménagé, tu te poses sur la banquette avec un Naruto, tu lis sans un mot. Quand nous avons de la chance, notre chien, reconnu comme mammifère domestique le moins démonstratif de tout l'univers, vient poser sa tête sur tes genoux. On échange un regard. On se sourit. Tu m'enseignes le moment présent, tu partages avec moi l'éternité de ton enfance.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté), dix ans.
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans, huit ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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Note
Bonjour Tu donnes ton opinion sur l’obligation d’être scolarisé. Désolée que tout soit si compliqué pour toi. Cela signifie qu’il manque des sections adaptés à des enfants qui ne fonctionnent pas comme tout le monde et ont besoin de plus de temps, d’attention, ou d’une scolarité adaptée à leur niveau intellectuel. Tu omets deux détails : Steiner Waldorf c’est bien sympa mais après le primaire l’enfant fait quoi ? Il doit réintégrer un cursus « classique ». Et la seconde : le coût de ces écoles.
Oh ne t’excuses surtout pas ! D’une certaine manière ça me fait savourer la fac, et je suis bien contente d’y terminer ma “scolarité”. Faire un mémoire c’est parfois la galère, mais j’adore travailler seule, sans pression, ni jugement extérieur (sauf à la soutenance). Mon directeur de recherche est une perle, je suis tellement contente de (presque) terminer mes études avec lui. Je viens de passer une super après midi à apprendre à utiliser Photoscan, je vais galérer faire les relevés de ma tour, mais cette après midi, je me suis éclatée comme une gamine en faisant la reconstitution 3D d’un mur. Et d’une certaine manière, c’était assez pittoresque de passer un bac S alors que je ne suis pas scientifique, tout en faisant seule le programme d’un bac L. Je n’ai pas pété un plomb, je n’ai jamais eu de gros soucis, j’ai eu mon bac, et, surtout, je ne me suis jamais fait harcelée, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Il n’y a pas à être désolée pour moi, j’ai eu de la chance et je m’en suis bien sortie.
Tout à fait d’accord avec toi, c’est assez absurde qu’à l’école on nous demande tous de rentrer dans le même moule ,d’acquérir les mêmes connaissances en même temps, alors que tous les enfants sont censés être différents à la base ( tous les bébés n’apprennent pas à marcher, ni à parler au même moment). On sait qu’il existe 8 formes d’intelligences, et tous ne vont pas choisir le même métier, ni les mêmes ambiances/conditions de travail. C’est quasiment mission impossible de faire du sur mesure pour tout le monde, mais déjà admettre que tous les enfants ne s’épanouissent pas dans le système scolaire actuel, sans qu’ils soient jugés comme des “cas”, ce serait déjà un pas. Il y a des instits qui font tout ce qu’elles peuvent, mais sans investissement financier (au sein des écoles et dans la formation des enseignants) on n’arrivera à rien.
Pour être honnête avec toi, moi aussi je suis assez sceptique sur la pédagogie Steiner- Waldorf, tout comme le unschooling, pour ce qui est de leur application dans l’enseignement “formel”. Perso, si j’avais un gosse, j’aurais trop peur de le pénaliser pour la suite et qu’il ne puisse pas faire les études qu’il souhaite. Comme philosophie de vie, à la maison en revanche, c’est cool.
En même temps il y avait une école Steiner pas très loin de chez moi, ils faisaient le collège, si mes souvenirs sont bons (peut-être aussi le lycée). Je connaissais vaguement un frère et une sœur qui y étaient, je suis quasiment sûre qu’ils ont fait des études supérieures (ils étaient issus d’un milieu très aisé). Et l’école Steiner Waldorf de la Silicon Valley remporte aussi un certain succès. Cela semble marcher... chez les riches (et ça m’énerve un peu)....
Les écoles hors-contrat coûtent une blinde (l’école Steiner à côté de chez moi coûtait 6000 euros par an !) et oui, c’est injuste, il y a une famille (le père est paysan-boulanger) qui s’en voit financièrement pour que leur enfant dys aille dans l’école Montessori du coin. L’école à la maison coûte moins cher, mais ça a aussi un prix. Les écoles privées sous contrat coûtent cher en général. Et quand à l’école publique..je me fais du souci... ce ne sont que des observations, mais j’ai remarqué qu’il y a un vrai “marché” dans l’éducation (cours à domicile, stages de révisions payants). La plupart des sites sur lesquels j’allais récupérer les cours des L en 1e-Tle (il y a 6-7 ans) sont payants aujourd’hui ! De mon temps on avait juste des annales, le cousin qui t’aides pour les maths au collège-lycée, et quand ça se corse une prof de maths d’une assoc‘ vient t’aider. J’ai bien peur que dans les années à venir, si l’on continue, seuls les élèves pour qui les parents auront payés obtiendront une mention au bac.
A mon avis, il faudrait tout d’abord donner plus de moyens financiers à l’Education nationale, pour donner de meilleurs salaires et de meilleures formations aux profs, réduire les effectifs par classe, acheter du matériel (pour enseigner en  CE1 ma mère avait dans la salle aucun matériel...RIEN), faire de petites écoles avec des bâtiments et un extérieur correct (et pas juste une dalle de béton comme quand j’étais gosse pitié). Il faudrait aussi, je pense donner une plus grande liberté pédagogique aux instits/profs (je ne l’ai pas dit mais j’en ai eu aussi des bons !) contrôlée bien sûr.
Désolée pour le pavé et pour les fautes, j’ai ma journée de 11h dans les pattes, il est 1h du matin, je n’ai pas le courage de tout re-relire et synthétiser 😅
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princessanneftw · 5 years
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World leaders should reflect on war graves - Tim Laurence.
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by Jacquelin Magnay
(for anyone that can’t access it on the website)
The immaculately tended headstones of more than a million graves around the world cared for by the Commonwealth War Graves Commission provide families with a place to remember lost ones and honour their sacrifice in World War I and World War II.
But according to Vice-Admiral Sir Timothy Laurence, the vice-chairman of the commission, it’s a potent reminder for world leaders of the human cost of war.
Sir Tim is the tall, vaguely anonymous man with dashing looks who stands behind his wife, Princess Anne, in royal gatherings on the balcony of Buckingham Palace, and who, for more than a quarter of a century, has been the quiet can-do royal consort.
Young royal partners Kate Middleton and Meghan Markle are credited with refreshing the royal family, but insiders know Sir Tim beat them to it. Anne is one of the hardest-working royals and her husband is often beside her, rock-solid in support.
With little grandstanding, they make a dynamic, efficient and practical couple. She has her heavy workload of royal duties; he retired from a long naval career to launch into work with the CWGC and English­ Heritage.
In a rare interview, conducted at Australia House in London, Sir Tim arrives with a warm welcome and firm handshake and immed­iately says: “Call me Tim.’’
He says it’s important that world leaders reflect on the graves of lives lost in war to remind them of the consequences of their decis­ions. He knows the impact of war well, having been mentioned in dispatches while commanding a patrol boat off Northern Ireland looking for IRA gun-runners, and commanding HMS Cumberland in the NATO taskforce in the Adriatic. He was also captain of the frigate MHS Montrose, which was deployed to patrols at the Falkland Islands.
Sir Tim has even written guiding principles for the Ministry of Defence on the often clashing roles of humanitarians and peacekeepers in warzones.
“It is not to say war is not, from time to time, necessary or unavoidable,” he says. “But it’s important for leaders to understand the human cost and if you stand under the Menin Gate (with 54,000 gravestones) or Tyne Cot (35,000) in Belgium, or the Thiepval Memorial (72,000) in France, or Gallipoli (20,000), you can’t fail to appreciate that a true cost has been made.”
His words mirror those famous lines, believed written by Rudyard Kipling for Princess Anne’s grandfather King George V in 1932: “I have many times asked myself whether there can be more potent advocates of peace upon Earth through the years to come than this massed multitude of silent witnesses to the desolation of war.’’
After eight years as CWGC vice-chairman, Sir Tim, 64, will soon retire from that position, but not before a tour of Australia, New Zealand and India this month to visit graves and learn how the commission can do things better.
As a long-serving supporter of the Royal National Lifeboat Instit­ution, a distant cousin of surf lifesaving, he is also open to visiting a few Australian beaches. “And if I see a surf lifesaver I will go up and say ‘Hello’ to them,’’ he says.
Sir Tim has not been to Aust­ralia since 1986, a period of great importance in his life. He was then a lieutenant commander in the Royal Navy and had just been told he was to be equerry to the Queen, a highly esteemed post only given to senior military officers.
He wasn’t to know that the commonwealth countries would be significant in his future and, at the time, he wondered if he should pull out of a naval tactical course he was to undertake at HMAS Watson base in Sydney.
But he went anyway, excelled at the course and had a great time with some Australian naval friends, coping with a surprisingly cold July in Sydney and heading to the Great Barrier Reef. Later that year, while working with the Queen, he met her daughter.
It’s not hard to see why Anne fell for Sir Tim, with their military backgrounds, passion for sport, particularly equestrian sports, sailing­ and rugby and, according to him, a love of lifeboats and lighthouses.
They married in December 1992 in Scotland — he was 37, she was 42, divorced from Mark Phillips and had two children, Zara, then aged 11, and Peter, then 15.
It was a tumultuous time for the royal family as, just days earlier, Prince Charles and Diana, the Princess of Wales, had announced their divorce.
In keeping with Anne’s eschew­ing of titles for her children, Sir Tim didn’t get a royal title, but that suited him fine.
“I try to get on and do my life as myself, as Tim Laurence, not as a member of the royal family,’’ he says. “I don’t have a royal title, I do not do royal duties except to accom­pany my wife and when it is appropriate. It’s important to pursue­ my own interests.’’
While Sir Tim will stand down from his role in June, allowing another­ defence appointment to take up an eight-year post, it’s clear he will retain a strong interest in war graves.
He urges Australians to remem­ber not just Gallipoli but also the thousands of Anzacs on the Western Front.
“I understand why Gallipoli is an important part of Anzac culture­, but the huge efforts the Australians put in on the Western Front — I hope Australians know this hugely important contrib­ution’’ he says.
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beclumsy · 6 years
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2017
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JANVIER Se défoncer les genoux sur Sia. La mononucléose sans déconner. Jouer les figurantes dans un film instit de la Fondation Vuitton. Avoir une épiphanie devant un Monet. Pute de genou sérieux, tu vas pas recommencer ? Ne pas pouvoir aller manifester. Réécouter Of Montreal jusqu’à en avoir la tête qui tourne. S'habituer à ses nouveaux tatouages jusqu’à ne même plus les voir. Fêter 29 ans d’amitié. L'overdose de galette comme chaque année. L'overdose de pasteis de nata aussi. Se faire voler son sac et son miroir Mickey FÉVRIER Découvrir ce qu'était un calchemise. Tourner un Concert à Emporter dans une cuve à bière. Regretter une nuit pour la première fois de sa vie. Repenser à ce sentiment de liberté absolue, seule, sur les routes d’Australie l'an passé. Ne jamais oublier l'état dans lequel j'étais trois ans auparavant. C'était il y a trois ans ? Ouais, ok. Ma nouvelle phrase préférée est signée Jonathan Tropper. Prince me manque, mais c'est pas comme si je le connaissais. Comprendre que ton estomac est ton deuxième cerveau. Quelqu’un a pris une photo de John John Florence avec un koala dans les bras et je ne le remercierai jamais assez. Créer un groupe imaginaire qui s’appelle Le Crust. Dire à quel point ma mère et ma grand-mère sont badass dans une interview pour un magazine féministe. MARS Écouter le nouveau alt-J en boucle. Célébrer les 20 ans de Buffy et repenser à l’impact que cette série a eu sur ma vie. Ne s'être jamais sentie aussi adulte qu’en passant un weekend entier en pyjama licorne. Chuck Berry est mort et ça me bien fait chier. Dire à Father John Misty qu’il ressemble à mon père et estimer que c'est ok. Faire une tarte aux poires. Prendre une énorme claque au concert de Moses Sumney. AVRIL Pouvoir encore entendre son rire dans ma tête dix ans après. Bosser comme des tarés. Faire des câlins à Jarvis Cocker. Se réveiller avec un ananas. Aller voter. Avoir 33 ans le jour du premier tour. Entendre des "ouaiiis" puis des "putain", et ce gros silence quand la tête de Marine Le Pen s'est dessinée. J'ai tellement embrassée la truffe de mon chien, c'est abusé. Un calcul de la taille d'une balle de ping pong. Room 29 et tellement de clés. Boris Vian, l'Arrache-Coeur et un mec hyper bourré. MAI Amener son cousin de 6 ans à son premier concert. C'était François & The Atlas Mountains, mais il a twerké. Se dire qu'on pourrait rester des heures dans la Grande Galerie de l'Évolution. J'aurais jamais du boire autant de gin mais au moins on a bien rigolé. Encore un Great Escape de passé. Revoir son petit frère de coeur trois ans après et se sentir tellement soulagée. Chialer au concert d'Isaac Gracie. Couper 15 ans de cheveux sur un coup de tête à Londres. Se sentir si légère après. Voir des squelettes de dino. Faire du manège à Montmartre. JUIN Tinder m'a saoulée. Jouer au Throwy. J'étais jamais allée à Rouen je crois. Prendre sa dose de Nicolas Jaar. Se sentir invincible. Se sentir si petite. Dormir au pied d'un volcan en activité. Les yeux de mon père quand il a compris où on était. Tellement de feux d'artifices. Boire des bières sur le toit de la Philharmonie. Finir en soutif parce qu'il fait 40 degrés. JUILLET J'aurais jamais pensé fêter le 14 juillet en Amérique. Le sentiment que tout est enfin aligné. Hey salut la confiance, où t'étais passée ? Faire un feu avec Matt Berninger dans un coin isolé. La chaleur moite de New York en été. Je sais qu'on ira nulle part mais c'est quand même fou comme on est connectés. Voir l'électricité habiter Feist et se dire que rien ne peut l'arrêter, m'arrêter. Être entourée de mes meilleurs potes et ne plus rien avoir à cacher. C'est tellement émouvant de tenir un gamin profondément endormi dans ses bras. Le soleil qui chauffe la peau, l'odeur de l'océan. Je sais pas si c'est mon prénom qui veut ça mais faudra un jour qu'on m'explique pourquoi je me sens si bien dans l'eau. A-t-on vraiment passé les vacances à trimballer partout une carafe-toucan rebaptisée Gogo ? La réponse est oui. AOÛT Si je rebois un verre, je vomis. Ok, c'était pas très malin de baiser sur la plage mais avoue que c'était marrant. Oui, j'ai complètement ramené une bouée licorne géante. Téma les fdp. Le t-shirt-anti cauchemars de Kendrick Lamar. Je sais pas si je suis un peu exhibitionniste mais je finis à poil beaucoup trop souvent. Tu te rappelles quand on était rentré dans le jacuzzi du Hilton par effraction ? Une bronchite un 9 août. Shame! Shame! Shame! J'aime bien les bébés. Je sais pas pourquoi je les avais gardé mais j'ai retrouvé ma collec de CD gravés. Être dans mon endroit préféré avec ma personne préférée. Le souffle du vent dans mes cheveux et mon chien qui court dans les prés. Non mais sérieux, faut vraiment que j'arrête de me jeter par terre à chaque fois que quelqu'un met Chandelier. SEPTEMBRE Un an après, il est arrivé. Je pense qu'il m'a fallu douze secondes pour succomber. LCD. Signer un compromis. Ah ouais et j'ai peut-être montré mes seins à Cork, mais on va faire genre j'ai oublié. The System Only Dreams in Total Darkness mais je continue de rêver éveillée. Ça faisait si longtemps que j'étais pas allée à Versailles. Ça y est, j'ai trouvé la nouvelle lampe de ma vie. Bercy. On l'a fait. "Et toi, c'est quoi ton prénom ?". La bite de Vincent Dedienne. OCTOBRE Nicolas Jaar encore. Cigarettes After Sex toujours. L'été indien. Les papillons dans le ventre quand il franchit la porte. Qu'est-ce qu'il est agaçant, mais qu'est-ce que je l'aime aussi. Je pensais pas avoir envie de faire de gosses mais avec lui, si. Lires les centaines de témoignages jusqu'à en avoir la nausée. J'arrive même pas à me rappeler toutes les fois où on m'a traité de pute ou touchée. NOVEMBRE Les hectolitres de larmes à Barcelone. On ne pleure pas pareil dans les aéroports. Revoir Willis Earl Beal et se rappeler que la dernière fois était le jour où on avait commencé à craquer. L'épuisement comme jamais. Retour à New York. Se demander si la montagne l'a pas avalé. Des vagues d'angoisse, heureusement que je sais les gérer. Le premier coup de fil après des semaines séparés et l'entendre me dire que je lui ai manqué. DÉCEMBRE Los Angeles. Un jour de décalage horaire. "Tu sais que tu m'appelles du futur en fait ?". Le tournage le plus taré de ma vie. J'ai mangé beaucoup trop de donuts mais je l'avais prédit. Les nuits blanches dans le noir. Rentrer et signer, c'est fait. Se projeter. Se prendre un mur. En détruire un. Un concert de Damien Rice le jour où tu te fais plaquer, c'est un canular cosmique non ? Ne plus savoir si je pleure pour celui qui m'a quitté ou celui qui a décidé de nous quitté, ou les deux. Je ne sais pas si je suis The Blower's Daughter mais je suis clairement celle qui les fait le plus chier. En même temps je suis fille unique donc c'est pas hyper compliqué. Des cartons. Plein de cartons. Trop de cartons. Dix ans de ma vie derrière moi. Se pécho dans les escaliers comme des ados. La première nuit chez moi, j'ai dormi comme un bébé. Si quelqu'un prononce de nouveau le mot champagne, je vais tomber. Défaite de famille. Il est beau ton parquet. Quelle drôle d'année.
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pamphletstoinspire · 7 years
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Commentary by Cornelius a Lapide on John - Chapter 19: 25-27 - Latin Vulgate
Mary Standing at the Cross of Jesus
Verses:
25 Now there stood by the cross of Jesus, his mother, and his mother's sister, Mary of Cleophas, and Mary Magdalene.
26 When Jesus, therefore, saw his mother, and the disciple standing, whom he loved, he saith to his mother; Woman, Behold thy son.
27 After that, he saith to the disciple; Behold thy mother. And from that hour the disciple took her to his own.
Commentary:
Ver. 25.—But there stood by the cross of Jesus His mother, and His mother’s sister (cousin), Mary the wife of Cleophas (and the mother of S. James the Less and Jude), and Mary Magdalene, who was the more enkindled with love for Jesus, when she saw Him washing away with His Blood those very sins which she had just washed away with her tears. Christ wished it so to be, that He might suffer the more by witnessing the sorrows of His mother, and that she by sharing His sufferings might give us a perfect example of patience and charity: as Damascene says (Lib. iv. 13), “The pangs of child-birth which she escaped she suffered at the time of His Passion, by her motherly compassion, bearing Him afresh in beholding His wounds.” For the holier she was, and the nearer to Christ, the larger was the cup of suffering which He offered her. Euthymius states that she stood quite close to the cross, her ardent love overmastering her fear of the Jews. She stood therefore firm and erect in her body, more erect in her mind, looking and wondering at this great mystery of godliness, God hanging on the cross. Hence Sophronius (S. Jerome. Serm. de Assump.) calls the Blessed Virgin a martyr; nay, more than a martyr, “Because,” he says, “she suffered in her mind. Her love indeed was stronger than death, because she made the death of Christ her own.” And S. Ildephonsus (Serm. ii. de Assumpt.), “She was more than a martyr, because there was in her no less love than sorrow. She was wounded with a sword within, for she stood prepared, though the hand to smite her was wanting. And she was rightly more than a martyr, for, wounded with overpowering love, she witnessed His death, and in her inward grief she bare the torture of the Passion.”
S. Anselm (de Excell. Virg. cap. v.) says, “Whatever cruelty was inflicted on the bodies of the martyrs, was light or rather nothing in comparison with thy suffering, which in its very immensity pierced through to the inmost parts of thy most tender heart And I could not believe that thou couldest endure such cruel tortures without losing thy life, unless the spirit of life itself, the spirit of consolation, the spirit of thy most loving Son, for whose death thou wast then in torture, taught thee within that it was not death that was destroying Him, but rather a triumph which was bringing all things under Him, which thou didst behold when He was dying in thy sight.”
S. Bernard (Lamen. B. Maria) says, “No tongue can speak, nor mind imagine, how the tender feelings of the Virgin were affected with sorrow. Now, 0 Virgin, thou payest with interest that natural suffering which thou hadst not in childbirth. Thou didst not feel pain at thy Son’s birth, but thou sufferedst a thousand-fold more at His death.“ S. Mechtildis relates a vision in which she saw a seraph saluting the Blessed Virgin on account of the great love she had to God above all other creatures, which was especially manifested in the Passion of her Son, when she kept down all her human feelings, and rejoiced that He was willing to die for the salvation of the world.
John Gerson (in Magnif.) says that she manifested the highest obedience in offering up her Son to the Father, conforming herself therein to the Divine will. He compares her to the mother of the Maccabees, to S. Felicitas, and to S. Symphorosa, who encouraged their sons to suffer martyrdom for the faith.
S. Bridget describes the intense grief of the Virgin (Revel. i. cap. 10, 27, 25 and iv. cap. 23 and 70). His “sorrow was my sorrow,” she said, “for His heart was my heart.”
Adrichomius (Descript. Jerusalem) mentions the exact spot where she stood near the cross, a spot now much honoured (he says) by the pious veneration of the faithful.
A question is here discussed whether the Blessed Virgin reasoned at seeing her Son on the cross. Authorities are given on both sides, the greater part maintaining that she did not, grounding their opinion on her entire conformity to the Divine will, and her own constancy and resolution, suffering rather in her mind than in her senses and feelings.
Salmeron (Lib. x. tract. 41) thinks that she swooned at first, and then recovered and stood by the cross: and that her swoon did not deprive her of her reason, but took away her senses for a while. He adds that she suffered thus of her own accord, to testify to men her exceeding love for Him, and her exceeding sorrow. Just as Christ voluntarily underwent His agony in the garden. Both had perfect control over their feelings, just as Adam had before he fell.
S. Ambrose (de Instit. Virginum, cap. vii.) thus writes, “The mother stood before the cross, and when men fled she remained intrepid. See whether the mother of Jesus could put off her modesty, who put not aside her courage. She looked with loving eyes on the wounds of her Son, through whom she knew that the Redemption of all men would come. She stood, no ignoble spectacle, since she feared not the murderer. The Son was hanging on the Cross, the mother offered herself to the persecutors, as not being ignorant of the mystery, that she had borne one who would rise again.” And S. Athanasius: “Mary stood most firmly and most patiently in her faith in Jesus. For when the disciples fled, and all men held aloof from Him, to the glory of the whole of her sex, amidst the countless sufferings of her Son, she alone remained firm and constant in her faith, and indeed was a beauteous sight, as became her Virgin modesty. She did not disfigure herself in the great and bitter sorrow. She reviled not, she murmured not, she asked not from God for vengeance on her enemies. But she stood as a well-disciplined modest virgin, most patiently, full of tears, immersed in grief.”
She was indeed so strengthened on beholding the blessed wounds of her Son as to be ready, says S. Ambrose (in Luke xxiii.) herself to die for the salvation of the world. For in faith, strength, and warmth of charity she was not inferior to Abraham, who was willing at God’s command to offer up his son Isaac with his own hand. Besides this, her sure belief in His resurrection alleviated her sorrow and strengthened her resolution. She knew that He would rise on the third day.
Ver. 26.—When Jesus therefore saw His Mother, and His disciple standing by whom He loved, He saith unto His Mother, Woman, behold thy son! Christ pierced her heart with the wound both of love and sorrow, for He meant, Mother, I am, as thou seest, dying on the Cross: I shall not be able to be with thee, to attend to thee, to provide for thee, and assist thee as I have hitherto done. I assign to thee, in my place, John to be thy son; a man in the place of God, a disciple for a master, an adopted son instead of thine own by nature; in order that he, as a virgin, and most beloved by thee as the Virgin Mother of God, may bestow on thee all the solace, and all the devotion, which both thy dignity and thy advancing age demand, and which the zeal and love of John promises and assures to thee. Christ therefore here teaches that children should care for their parents even to the last, says Theophylact from S. Chrysostom. Hear S. Augustine: “Here is a passage of moral teaching. Our good Teacher instructed His own by His own example, that pious children should have a care for their parents; as if that wood on which His limbs were fastened when He was dying, were also the chair of the teacher.” For, as S. Cyril says, “We ought to learn from Him, and through Him, first of all, that parents must not be neglected, even when intolerable sufferings are hanging over us.” “But wonder, with Theophylact, at the calmness with which He does everything on the cross; caring for His mother, fulfilling prophecies, promising paradise to the thief; but before He came to it, how burdened was He, pouring forth His sweat, and full of trouble.” For, as Euthymius says, “in the one case the weakness of nature was seen, in the other His great power of endurance.” Christ commends His mother to S. John, whom at the same time He put in His own place as her son, that thus they might have a mutual care for each other. [Pseudo]-Cyprian (De Passione Christi) gives the reasons for this. First, to provide for His mother, who was now waxing old, the care and kind offices of a son. As if He said, “I am dying. I cannot care for thee any more, I resign thee into the hands of John.”
Secondly, that He might commend a Virgin to a Virgin. “The pure is entrusted to the pure,” says Theophylact. As Nonnus paraphrases it: “0 Mother, thou lover of virginity, behold thy virgin son; and on the other hand He said to His disciple, 0 thou lover of virginity, Behold a virgin who is thy parent, without giving thee birth.” And S. Ambrose (de Instit. Virgin) says, “But with whom should the Virgin dwell, rather than with him, whom she knew to be the heir of her Son, and the guardian of her chastity?" And in this matter Jesus, as anxious for her purity, wished that her continuance in this state (as a mother and yet a Virgin) should be fully proved. As S. Ambrose writes (ibid.), "that no one should cast on her the reproach of having lost her purity.”
Thirdly, To show that Joseph was not His father, He set him aside, and put John in his place. Hear [Pseudo]-Cyprian: “Thou carefully providest for her who was Blessed among women, the protection of an Apostle, and Thou deliverest the care of the Virgin to a Virgin-disciple; in order that Joseph might be no longer burdened with the charge of so great a mystery, but that John should bear it. For reason now demanded that he should no longer be regarded as her husband, nor be counted the father of Christ, who had hitherto held the place of father and husband.” He then meets a tacit objection. "Joseph would have had good reason to object to this arrangement of Christ had he regarded himself as a husband in the flesh. But because the mystery of that union was spiritual, he allowed John to be preferred to himself in this office, as being more worthy, and more especially because the Master’s choice had so ordered it.”
This rests on the supposition that Joseph was then alive. But most commentators, and with greater probability, think otherwise. For no mention whatever is made of him, and Christ seems to have commended His mother to the care of John, because Joseph was dead. For had he been alive, Christ would certainly have committed His mother to his care, as He had done at His Incarnation and Nativity, and as having had experience of his fidelity and care in the flight into Egypt, and at other times.
Fourthly, John alone remained fearlessly and firmly with Mary at the cross, amidst all the insolence and reviling of the Jews. He therefore deserved to be adopted by Jesus as His brother, and to be put in His room as the son of the Virgin Mother. Moreover, Christ commended, in the person of S. John, the rest of the Apostles, nay all the faithful, to His mother, especially those who are chaste and virgins, and follow most closely Christ on His Cross, and thus become most beloved and most closely joined to Christ, just as was S. John, who was called by [Pseudo]-Cyprian His chamber-fellow.
Whom He loved. To whom He exhibited greater external tokens of love, as being younger than the other Apostles, more modest and chaste, and loving Him more than did the rest.
Woman, behold Thy Son!
He calls her woman, not mother, “lest that loved name should wound the mother’s heart,” as Baptist of Mantua says: not to rouse the Scribes and Pharisees against her; to show that He had put off all human affections, that He resigned all human relationships, and wished to teach their abandonment; and lastly, to arouse her courage and strength of mind to bear all these things with fortitude, and to remind her of that resolute woman whom Solomon had foretold (Prov. xxxi. 1). For the Blessed Virgin suffered for a longer time than Christ. His suffering ceased at His death. Her suffering and compassion increased more and more. For she received His body when taken down from the cross, thus reviving her grief; and for the three days He lay in the tomb, His sufferings on the cross, which she had witnessed close at hand, remained vividly impressed on her mind, and gave it pain, till Christ rose again, and removed them all by the consolations and glory of His appearing. Again, the Blessed Virgin was left behind Him, to be the mother of the Apostles and the faithful, to gather them together again, to comfort the afflicted, to support the stumbling, to advise the doubting and anxious, and through all trials direct, instruct, and animate them.
This Cornelius illustrates from various ecclesiastical writers. He quotes also the very strong expressions used towards B.V.M. in the Litanies of the Church. And much stronger language of S. Bernard (Serm. iv. de Assumptione, and Hom. iv. on the text “Missus est” (Luke i. 26), and Hom. ii. on Pentecost, and several other passages of the like character).
Ver. 27.—Then saith He to His disciple, Behold thy mother! Love her, attend to her, help her, as thy mother. And, on the other hand, betake thyself to her, as thy mother in every difficulty, temptation, persecution, and affliction. She will cherish thee with motherly affection, will console and protect thee, and ask help for thee from her Son. And, these words of Christ are not mere lip words, and without effect, like those of men: but as the words of God they are real and efficacious, and effect that which they declare. And accordingly they impressed on S. John a filial affection and spirit towards the Blessed Virgin, as though she were his mother. Theophylact exclaims, “How wonderful! how doth He honour His disciple, in making him His brother? How good is it to stand by the cross, and to abide close to Christ in His sufferings!” And S. Chrysostom: “What honour does He confer on His disciple! For when He was about to depart He left the care of His mother to His disciple. For when it was natural for her to sorrow as His mother, and to seek for protection, He most fitly commends her to His beloved disciple, to whom He says, ‘Behold thy mother!’ that so they might be bound together in love.”
Behold thy mother!
And the mother also of thy fellow-Apostles. Accordingly all the faithful (as S. Bernard teaches) should betake themselves to her with full confidence and love. She is the Eve of the faithful, the mother of all living, to whom the wise and Saints of every age betake themselves.
Hear S. Augustine: “When He said these words, these two beloved ones ceased not to shed tears; they were both silent, for they could not speak for excessive grief; these two virgins heard Christ speaking, and saw Him gradually dying: they wept bitterly, for they sorrowed bitterly, for the sword of His sorrow pierced through both their hearts.”
And (i.e., therefore, because Jesus had ordered it) that disciple took her unto his own (sua). Some read suam, his own house, as Nonnus. paraphrases it. Bede suggests, for his own mother, or better still, into his own charge. As S. Augustine says, “not into his own hands, but into those kind offices, which he undertook to dispense.” S. John accordingly took her with him to Ephesus, and the Council of Ephesus (cap. xxvi. Synodical Epistle) says that they both for a time lived at Ephesus. (See Christopher Castro in Hist. Deiparæ.)
This then was Christ’s testament, and John was the executor. As S. Ambrose says on Luke xxiii., “He executed His testament on the cross and John witnesses to it, a fitting witness for so great a testator.” Gather from this also that Joseph was dead. As S. Ambrose says (ibid.), “The wife would not be devorced from her husband, but she who veiled the mystery under the guise of marriage, now, when this mystery was finished, no longer had need of wedlock.” And Epiphanius (Her. lxxviii.) says, “if she had had a husband, or a home or children of her own, she would have retired to them, and not to a stranger.” See then how poor the Blessed Virgin was, and how devoted to poverty.
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tayebot · 4 years
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10 ans - Le Nuevo Che
Cette histoire de Corona Virus aura d'abord repoussé la rédaction de ce billet avant de me fournir de manière un peu inattendue de nouvelles plages de temps libre, imprévisibles, brèves, et appréciables.
Tu vis cette histoire de confinement avec circonspection, conscient que nous sommes mieux lotis que tes cousins en France, que tout cela est nécessaire mais quand même un peu chiant. Parce que tu dis des gros mots, maintenant que tu as un âge à deux chiffres, passage d'un cap dont tu te rengorges. Je me doute bien que tu en proférais déjà, je ne suis pas dupe, mais il y a une nouvelle assurance en toi dans tes franchissements de ligne rouge. Tu testes l'avenue vers l'adolescence, tu as des impatiences de grandir qui m'affligent. Je voudrais te figer à cet âge.
Nous jouons à Spiderman sur la PS4 que tu voulais pour cet anniversaire. Tu m'apprends les combos, tu m'expliques le scénario, les rebondissements. Tu m'as convaincu de créer une chaîne YouTube pour ta soeur et toi, encore en mode privé, parce que "c'est de ton âge, être Youtubeur". Tu veux toujours être footballeur professionnel mais tu ne vas plus aux entraînements du samedi matin parce que le coach est trop sévère. Ton ballon d'or, il n'est pas gagné, fiston.
Impossible de savoir si tu taquines davantage ta sœur ou si elle te persécute. La position d'aîné te saoule parfois, tu recherches davantage la solitude qu'elle et ce n'est guère évident dans notre maison de ville verticale. Pour des raisons logistiques, tes vêtements sont stockés dans sa chambre – tu tombes un soir sur deux dans une embuscade hurlante et les panonceaux t'interdisant tout accès à son domaine se multiplient sur sa porte.
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Elle pousse le vice jusqu'à venir t'emprunter le scotch pour bien sécuriser le septième en date. N'empêche que tu lui proposes toujours de dormir dans ta chambre et qu'elle accepte un soir sur deux.
Tu es très à cheval sur les règles et sur la justice. Mes montées de lait soudaines t'exaspèrent parce que ne s'appuyant sur aucun cadre juridique agréé à l'avance par les parties. La Cour de Justice européenne ne tardera pas à être débordée par tes requêtes en nullité de punitions et je prendrai cher, je le lis dans tes yeux. Tu maugrées, tu boudes, tu fais des bruits bizarres avec ta bouche quand je t'oblige à travailler le journal de la quarantaine, le Grand Œuvre de l'Ere Covid 19 que tous les instits du monde ont imposé aux moins de douze ans de cet hémisphère.
L'arrivée du chien a nourri ta maturité. Tu t'es positionné comme le premier défenseur de l'espace vital du chat (à savoir le premier étage) et comme le garant de la charte du chien que nous avons tous signée. Tu le promènes dans le parc en face mais tu refuses qu'on le détache - et tu n'as pas tort parce que ce chiot n'a pas encore exactement démontré son intelligence. Tu as tenté de l'éduquer et à force de s'entendre dire "Non" elle croit que c'est son nom. Elle ne vient pas quand on l'appelle. Toi non plus, d'ailleurs, et je m'époumone à te faire descendre pour les repas.
Il y a du bon dans ce confinement : nous passons davantage de temps ensemble, et même parfois sans avoir ta soeur aux basques. Nous nous baladons rien que tous les deux en vélo, nous jouons au Risk édition Games of Throne ou à Ganymede, nous regardons des films qui font un peu peur. Je vous scolarise à domicile, et je suis loin d'être la bonne personne pour cela. Cela me permet quand même de découvrir une facette de ta personnalité dont j'ignorais tout : ton côté cossard, partisan du moindre effort et de la procrastination nonchalante. L'effort intellectuel, ce n'est pas ton truc. Voilà à quoi mène cette école de hippies (dont les instructions officielles pour cette période de confinement sont: observez le printemps, dessinez les arbres, constituez un herbier et plantez des graines – tout ça entre deux visio-conférences et trois fils de discussions sur WhatsApp et Messenger, bien entendu).
Le groupe WhatsApp des parents des élèves de ta classe, c'est le pire. Une espèce de concours de la parentalité parfaite se déroule à grand renfort de photos d'œuvres d'art en rouleaux de papier toilette (voilà donc où ils sont passés), d'affirmations positives et d'exagérations imprécatoires. A la fin de cette deuxième semaine de quarantaine, je peux te l'affirmer : ce confinement est à deux vitesses. C'est un confinement de classes et nous ne sommes tous pas égaux face au huis-clos. Je ne supporte plus d'entendre les radios nous recommander des livres, des séries sur Netflix ou des abonnements à l'excellent site de la Cinetek. Je n'ai le temps pour rien et je maugrée sans cesse contre les abus d'autorité dont s'enivrent les gardiens de square du parc Guy George, en face. Tu m'entends recommander à tous de relire l'Enfance d'un chef, de Sartre, plutôt que la Peste, de Camus – ce qui est un comble tant je préfère Albert à Jean-Paul.
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Tu n'aimes pas particulièrement lire. De temps à autre, je parviens à t'intéresser à une BD, mais ça ne dure pas. Nous t'avons interdit de Fortnite. Tu as aimé La Chèvre et tu voudrais voir d'autres comédies françaises. C'est pas de bol : l'Apple TV est en rade. Tu as plein de copains et ils te manquent, malgré les Facetime, les Skype et les Zoom. Tu as dix ans et c'est le plus bel âge de ta vie.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté).
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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