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#harcèlement
sarahluise-breitling · 5 months
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Non, je ne suis pas une pute ou une Call girl ou escorte. Non je ne suis pas superficielle et je me tape encore moins vos hommes.
Je suis une artiste autoportraitiste, je suis une photographe qui essaie de s’en sortir dignement en faisant des ménages pour une société tôt le matin et tard le soir, je suis également la petite main qui répond au e-mail de l’association.
Je suis tout ça, oui !
Peut-être que donner mon cul serait plus facile et sans doute que je gagnerais bien mieux ma vie.
Ne jugez pas lorsque vous ne savez rien !
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lerefugedeluza · 3 months
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Nouvelle vidéo (English subtiles available) Je sais même pas quoi vous dire tellement ça m'a vidé de tous mes mots de faire cette vidéo. J'espère qu'elle vous touchera d'une manière ou d'une autre et que vous comprendrez ce que j'ai voulu dire malgré toutes mes maladresses. Je compte sur votre éternelle bienveillance et sur vos partages ♡ (et je n'ai qu'une peur c'est qu'un de mes anciens bourreaux tombe la-dessus ou que je me prenne un torrent d'insultes dans la figure pour la deuxième partie de cette vidéo)
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viensdansmatete · 3 months
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Je regarde une émission de harcèlement scolaire/travail
J’ai subit les deux.
Scolaire :
- le sac ouvert dans la cour
- coup de pied dans le sac
- insulte sur mon poids
- moquerie à longueur de journée
- moquerie en sport
- couper dans mes cheveux long
- tirer mes cheveux long
- jeter mon vélo
- crever les pneus de mon vélo
Travail :
- Heure à gogo car j’en faisais jamais assez selon eux. (45h semaine au lieu de 35h et tout ça non payé)
- Jamais ce que je faisais était assez bien
- à chaque fois c’était de ma faute
- je n’avais plus de temps pour prendre soin de moi
- des remarques sans cesse
- des insultes parfois
- me forcer à partir de cette société
Si vous traversez quelques chose de similaire, je sais combien vous avez mal, combien vous êtes triste.
Je sais qu’on peux souvent se dire que jamais ça finira mais
TU ES FORT/E ÇA NE TE RÉSUME PAS ET SURTOUT ÇA NE RÉSUME PAS TA VIE. TU ES UNE BELLE PERSONNE N’ARRÊTE PAS DE CROIRE EN TOI. MOI JE CROIS EN TOI. ✊🏻♥️
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basilepesso · 2 months
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Flicards : je vous l'ai dit hier soir, vous pratiquez un harcèlement intense et totalement criminel sur moi et mes amis et notamment ma compagne et collaboratrice Anne Pangolin Guéno, et mon ex-compagne.
J'ai prévenu que nous vous attaquerions collectivement en justice, et j'ai donné le chef d'accusation. Vu les circonstances votre carrière est LITTÉRALEMENT TERMINÉE.
Cela dit vous avez la possibilité de vous arrêter immédiatement, et nous réfléchirons aux suites à donner à vos agissements. L'IGPN va de toute façon être saisie en France, et les organes identiques dans les autres pays.
Basile Pesso.
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fidjiefidjie · 11 months
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Dessins de la semaine 😁 😉
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Dessins de presse de Chaunu, Man, Allan Barte, Placide, Chappatte, Plantu.
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Bel après-midi 👋
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taramboyle · 5 months
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Eliott a été abusé par ses camarades de lycée qui le forçaient à les satisfaire. Depuis, il se sent sale et dévalorisé. Tom va se montrer beaucoup plus bienveillant. Peut-être même un peu trop…
Les Amants Inséparables
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06bobby02 · 2 months
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Certaines personnes sont cruels
Il rabaisse les gens au quotidien
Il ne retienne que les fautes essentielles
Alors que nos exploits nous retiennent
Avec eux c'est toujours pareil
Nous sommes inutiles Nous ne valons rien
Ils nous font subir des blessure incorporels
Comme si nous n'étions pas humains
La douleur et émotionnelle
Cette émotion qui est la tienne
Nous gardons des séquelles
De toutes ces expériences malsaines
Mais ils n'auront jamais une parcelle
De tout l'espoir que je détiens
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sushis4kalyo · 1 year
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Et si on parlait du harcèlement scolaire ? 😡
Je souhaitais aborder ce sujet parce qu'on en parle de plus en plus et aussi parce que je l'ai vécu. Pas forcément de la même façon que tout le monde ... mais je trouvais qu'il était important de partager mon ressenti. Si nécessaire, je pourrais signaler ce post' comme "Adulte" par la suite sur demande (que ce soit en commentaires ou DM, surtout ne pas hésiter !) mais j'ai peur d'invisibiliser ce sujet si je le fais trop vite ...
Du coup, c'est du vécu ...
Je suis originaire du Rhône. J'ai déménagé dans le Sud avec mes parents pour ma rentrée en 6ème. On m'avait dit que ça allait être génial, que j'allais me faire de nouvelles copines et ... j'y ai cru.
Comme j'avais changé de région, la grande majorité des autres 6èmes se connaissaient déjà parce qu'ils étaient en primaire ensemble. Moi, j'arrivais comme un cheveu dans la soupe. Je connaissais personne et j'avais une dégaine de Barbie. Blonde aux yeux bleus, sac à roulette Chipie rose bonbon ...
Très franchement, je n'arrivais pas à me faire des amis. Il y avait une certaine jalousie peut-être, une part de "mais qu'est ce qu'elle vient faire ici elle ?" aussi ... et j'étais bonne élève. Après coup, je devais pas mal agacer ...
J'ai rapidement subit quelques railleries mais je n'en tenais pas compte.
Flashback : Petit détail qui m'a certainement sauvé la vie ...
Et pourtant tout a accéléré d'un coup. Je me souviens avoir prévenu ma mère. "Attention, s'ils n'arrêtent pas, si personne ne fait rien, je vais m'en charger toute seule ..." J'étais en capacité de le faire.
Pour expliquer pourquoi cela, petit flashback en primaire. Je ressemblais déjà à une poupée Barbie donc j'étais pas mal enquiquinée. Vous connaissez le jeu des mariages ? Il consiste à attraper une fille et un garçon dans la cour, jouer au mariage, s'assurer qu'ils s'embrassent bien ... et taper sur celui qui refuse si ça arrive. Le nombre de fois où j'ai traversé la cour en tapant mon meilleur sprint devant les instits parce que Y, qui jouait avec les escargots et les vers de terre rêvait de me galocher ...
Je l'ai dis à ma mère il y a environ ... 2 ans. Au moment où j'écris, j'ai 27 ans. Je n'avais rien dit avant parce que je me défendais seule et comme ça ne semblait pas intéresser les instits, j'imaginais que ça n'allait pas intéresser mes parents non plus. Coups de pied, coups de poing, griffures ... Je m'en sortais pas trop mal. Jusqu'au jour où je me suis fait chopper en train de me défendre. "Mais Kalyo enfin ! C'est moche une fille qui tape !" avec punition etc. J'osais plus me défendre.
Mais alors ? Attendez la suite ! Un soir le téléphone sonne. Ma mère répond, c'est la mère d'un copain, T. Elle l'informe qu'il s'est encore battu et qu'elle commence à en avoir assez qu'il soit toujours puni parce qu'il me défend. C'est comme ça que maman m'a fait faire du karaté.
La première fois ...
J'avais donc prévenu ma mère. Et puis un lundi, le drame arriva. Cours d'EPS, rugby. G annonce fièrement à ses copains "Kalyo, j'vais lui faire sa fête !" ... au moins, j'étais prévenue. Je supporte les coups. Je préviens le prof deux fois, qui interrompt son cours chaque fois pour sermonner tout le monde. Je reprends autant de coups de pieds sur le retour et je me dis qu'à 16h30, c'est moi qui allait lui faire sa fête.
J'ai attendu 16h30, j'ai attendu de passer le portillon ... pour lui donner un coup de pied retourné dans l'estomac. Sa cousine a voulu s'interposer mais comme je ne connaissais pas ses intentions, elle s'est pris une gifle. Dommage collatéral, je reconnais.
Fait exprès, ce jour là, c'était mon père qui venait me chercher pour la toute première fois, lui qui était souvent en déplacement à l'époque. Il m'a récupérée furieuse. Dans la foulée, une dame tout aussi furieuse frappe à sa vitre. La mère de G, lui hurlant dessus que sa fille (donc moi) avait passé à tabac son fils. Et en effet, G, plus imposant que moi, suivait péniblement sa mère en larmes, plié en quatre. Après coup, mon père m'a avoué que la situation avait quelque chose de risible.
Nous étions tous convoqués chez le CPE le lendemain matin. G avait raconté à sa mère et au CPE que c'était moi qui avait commencé. La mère de G a alors accusé la mienne de m'avoir élevé dans la violence. Ma mère lui rétorqua que non. Juste que "si Kalyo prend une claque sur la joue gauche, je ne veux pas qu'elle tende la joue droite !" Après avoir donné ma version, ma mère demanda à voir le prof d'EPS qui selon mes dires avait du interrompre le cours deux fois. Le CPE ne voulait pas, le prof en question étant en cours. Nous avons insisté et finalement il fut appelé et confirma ma version.
Je n'ai pas eu de punition. Je me souviens que notre prof d'anglais avait par la suite pris un malin plaisir à nous mettre tous les deux à côté en cours. On se chamaillait pour tout et n'importe quoi et ça l'amusait. Moi, à l'époque, je n'avais qu'une peur, avoir à recommencer ce que j'avais fait.
La deuxième fois ...
La deuxième fois s'est déroulée très rapidement. J'étais en 5ème. Il se trouvait que R, un 3ème, s'était accaparé une partie de la cour. Visiblement l'information n'était pas parvenue jusqu'à moi. Étant sur "son territoire", il est venu m'insulter ... et a porté le premier coup. Il m'a giflé avec une telle violence que mon nez s'est directement mis à saigner. Pour l'anecdote, les années suivantes, on pouvait toujours voir la tache de sang tombé sur le carrelage extérieur, l'endroit étant protégé de la pluie ...
Puisque c'était raté pour l'effet de surprise et qu'il pouvait me faire voler d'un bras, je n'avais pas d'autre solution que fuir ... non sans lui claquer une porte dans la tronche pour la forme puisque qu'il me poursuivait. Il saignait aussi, 1 partout, balle au centre. C'est lui qui est allé se plaindre au CPE. Cette fois-ci, R ayant un gros passif et des témoins ayant confirmé ma version, on m'a cru tout de suite. R a été renvoyé par la suite.
La troisième fois ...
Cette fois là a été la plus marquante. J'étais en 4ème. C'était un lundi, entre midi et deux. J'étais avec une amie quand nous avons vu 3 garçons arriver vers nous. Cette amie en question s'est éloignée sentant le drame arriver. Non, je ne lui en veux pas d'avoir voulu rester en dehors de ça. Quant à moi, je savais que je n'avais aucune échappatoire alors perdu pour perdu, je me suis placée dans l'axe de la seule et unique caméra du collège, celle permettant de contrôler les entrées et sorties de l'établissement.
Les trois garçons arrivent donc et se placent autour de moi. Celui en face de moi me tient les mains jointes pendant que les deux autres me font les poches. En somme, un racket en bonne et due forme.
Ma marge de manœuvre étant limitée, je me suis servie de ma tête, littéralement. Puisque j'avais les mains jointes, j'ai attrapé le col du garçon en face de moi, C, l'ai tiré vers moi pour lui donner un coup de tête. Son nez cogne mon front. Il tombe à la renverse. Les deux autres ont disparu à l'instant même. J'ai donc pris mes affaires pour aller à mon cours de guitare, laissant C parterre.
Ça devait se voir sur mon visage. Le prof de musique m'a demandé si ça allait. J'ai juste pu lui répondre que je venais de me battre quand on toqua à la porte. Un surveillant entra. "Kalyo, chez le CPE !". J'ai donc suivi le surveillant sous le regard médusé du prof de musique.
J'arrive dans le bureau. Je note que C est dans un coin avec un morceau de coton dans chaque narine. Le CPE me demande "Bah alors Kalyo, pourquoi t'es pas venue nous voir tout de suite ?" La question me semblait lunaire. Comment pouvait-il me poser la question alors que lui, CPE, devait connaître la réponse mieux que quiconque ? J'ai quand même formulé une réponse sans cacher mon agacement : "Mais monsieur, c'était une tentative de racket ! Vous ne pensez quand-même pas qu'ils m'auraient escortées tous les trois jusqu'à votre bureau bien gentiment ?". Il me sort alors la leçon sur le fait qu'il ne faut pas se faire justice soi-même. Je ne me laisse pas faire : Mais monsieur, vous auriez fait quoi de plus ? Des lignes à copier ? Ils les préparent d'avance ! Des heures de colle ? C n'a pas déjà un abonnement pour les 3 prochains mercredis ? C'est au point qu'ils peuvent sympathiser avec les surveillants. Des jours de renvoi alors ? Comme ça C pourra s'amuser pendant trois jours sur sa PlayStation pendant que nous on sera en cours ! Vous parlez d'une punition ... Là il s'est pris une raclée par une fille devant toute la cour et si jamais il ose oublier, y'aura ses copains pour le lui rappeler !". Le CPE m'a regardée, sidéré et n'a pas cherché à me répondre. J'avais si bien fait mouche que je me souviens de voir C se marrer dans son coin au point d'en perdre ses cotons.
De la géopolitique de cour de récré
Le lendemain, j'ai réalisé l'ampleur de ce que j'avais fait. Toute ma classe m'attendait pour ... examiner mon front. "Fais voir si t'as une marque ? Wouah t'en as aucune !".
Je commençais avec un cours d'espagnol. Chose inhabituelle : la prof nous a donné une quinzaine d'exercices à faire. Une fois tous les exercices notés au tableau, elle s'assoit en face de moi, pose ses coudes sur la table et me demande : "Alors, raconte ?!" Je lui raconte alors toute l'histoire. Plus j'avançais dans mon récit, moins les autres travaillaient. J'ai entendu un "Vous avez vu madame ? Kalyo n'a pas de marque ! Elle a trop bien donné son coup de tête ! Comme Zidane à Materrazi !" du font de la salle. Profs et élèves m'ont surnommée Zizou pendant les trois semaines qui suivirent suite à cette remarque. La prof m'a ensuite fait comprendre qu'elle et les autres profs n'arrivaient plus à gérer C et que tous me soutenaient pour m'éviter une sanction. (Il devait y avoir une certaine ambiance dans la salle des profs ...)
Dans les couloirs, des élèves d'autres classes venaient me féliciter "Wouah la raclée que tu lui as mis !". J'étais presque certaine d'en avoir vu certains traîner avec C quelques jours avant. J'assistais à un énorme retournement de veste. Tout le monde voulait être mon ami, être vu avec moi ... et j'ai compris plus tard que je servais de dissuasion envers d'autres groupes "ennemis". Je servais de bombe atomique. Je prenais conscience de ce qu'il se passait. C'était de la géopolitique de cours de récré.
J'ai trouvé ça dramatique quand de plus en plus de 6èmes sont venus me voir dans les jours qui suivirent pour que je les aide à se défendre. Ce n'était pas mon rôle ... mais ça impliquait qu'eux aussi n'avaient plus confiance en l'autorité chargée de nous encadrer. Je me souviens d'avoir fait des bouquets de petits 6èmes et de les avoir amenés jusque chez le CPE. Ce n'était pas mon rôle mais sachez que je me demande toujours si j'ai eu raison de ne pas intervenir.
Mais c'est pas tout : je n'ai pas eu de sanction mais ma mère a souhaité avoir les coordonnées des parents de C, dans le cas où je lui aurais fracturé le nez. Il s'est avéré que c'était ses grands-parents qui en avaient la garde car ses parents avaient baissé les bras. Ma mère a souhaité s'excuser auprès d'eux mais le grand-père de C lui a répondu que "c'était du pain bénit et que ça allait lui apprendre la vie". Ah ...
Enfin, lors de ma rentrée en 3ème, nous attendions tous en bas des escaliers que le directeur de l'établissement nous appelle afin de nous attribuer notre classe. Comme à chaque rentrée, tout le monde parlait pendant l'appel quand soudain, C fut appelé ... suivi de moi. Le bruit cessa immédiatement et je gravis les marches dans le silence. Le brouhaha revint l'instant d'après. Je m'éloignais tandis que le directeur peinait à obtenir de nouveau le silence. Tout le monde réalisait, moi comprise, que C et moi allions être dans la même classe, toute l'année. Mieux encore, les profs avaient une certaine manie de nous placer par ordre alphabétique : nous tombions côte à côte.
J'ai compris bien plus tard que l'établissement s'était également servie de moi comme dissuasion pour contenir C. Cela a d'ailleurs fonctionné à tel point que des amis de cette époque étaient persuadés qu'il avait changé de collège ... alors que pas du tout.
Le traitement du harcèlement scolaire aujourd'hui
Selon moi, c'est une énorme mascarade. Chaque année, nous avons une journée contre le harcèlement scolaire lors de laquelle nous affirmons haut et fort que le harcèlement, c'est pas bien ... on dit que les victimes doivent parler ... puis on passe à autre chose.
Si, éventuellement on peut avoir une petite pensée pour les dernières victimes de harcèlement scolaire, vous savez, celles qui vont jusqu'au suicide. On envoie les gens vers les sites gouvernementaux contre le harcèlement scolaire et puis ... c'est à peu près tout.
Il y a deux ans, j'ai aidé une petite qui se faisait harceler. Une fille la menaçait de mort, l'étranglait dans la cour et montait tout le monde contre elle. La petite était plusieurs fois venue se plaindre à son instituteur ... qui lui a fait comprendre que c'était des histoires de gamines et qu'il fallait qu'elle arrête avec ça ... La petite se plaignait de plus en plus d'avoir mal au ventre et lorsqu'on lui demandait comment ça se passait à l'école : "ça va ...".
Il y a fallu que je lui raconte tout ce par quoi je suis passée pour qu'elle accepte de me dire ce qu'il se passait à l'école. Après avoir eu son accord pour en parler à ses parents, l'école a tout nié en bloc, la petite n'entrant pas, selon eux, dans la grille de critères de harcèlement fournie par l'éducation nationale. J'aurais été curieuse de savoir comment ils appelaient ça ... On a aussi su que plusieurs enseignants ont essayé de la dissuader d'appeler ça du harcèlement.
Les parents de la petite ont demandé une sanction contre la harceleuse ...qui n'est jamais arrivée. Ils ont été dans l'obligation de changer leur fille d'établissement pour qu'elle puisse continuer d'apprendre sereinement.
Bien entendu, tous les enseignants n'agiront pas comme dans cet exemple, il y en a bien eu qui m'ont soutenue quand j'étais au collège. Mais là, cela démontre toutefois qu'il y a une certaine volonté d'étouffer la situation car la direction a des comptes à rendre. Vous vous souvenez du hashtag "PasDeVague" sur Twitter ?
J'ai soulevé une partie du problème en 4ème : Ils ne peuvent rien faire contre les élèves perturbateurs. Si la famille s'offusque du peu qu'ils puissent faire ou ne s'en occupe pas, il n'y a plus aucune marge de manœuvre ...
J'ai su que le harcèlement scolaire est puni par la loi depuis mars 2022 ... reste à savoir si les plaintes sont recevables ...
Quelques conseils personnels ...
Chers enseignants et membres de l'EN...
Si quelqu'un vient vers vous pour se plaindre des agissements d'un élève, ne le rejetez pas ! Ne lui dites pas de l'ignorer, de retourner jouer ou que c'est sans importance ! Et ne lui dites surtout pas qu'il vous embête avec ses histoires ! J'ai noté que c'est principalement pour ça que beaucoup de victimes ne parlent pas : Si l'instituteur juge que ce n'est rien, qu'on l'embête avec ça, pourquoi il irait embêter ses parents avec ça ?
N'exposez pas les élèves victimes devant toute la classe ! J'ai connu des moments très gênants en primaire, toute seule debout au tableau pendant que l'institutrice faisait la leçon aux autres comme quoi "Il faut être gentil avec Kalyo !" pour après imposer ma présence dans un groupe à la récréation ... c'était très gênant et le groupe qui vous récupère vous traîne comme un boulet ...
Prenez l'initiative de punir les coupables ! Comment se fait-il que ce soit les victimes qui changent d'école ? Pourquoi les parents des victimes doivent faire des démarches et s'organiser autour de ce changement alors que le coupable n'a rien ? Oui la loi sanctionne depuis peu le harcèlement scolaire mais elle ne vous remplace pas car elle fonctionne sous condition que la plainte soit acceptée (et j'ai cru comprendre qu'il faut vraiment une grave atteinte à l'intégrité physique pour que ce soit recevable ...) Vous êtes en première ligne, c'est à vous de montrer aux enfants coupables et à leurs parents que le harcèlement scolaire a des conséquences. Je suis consciente qu'on vous laisse de moins en moins de pouvoir ... c'est peut-être le moment de taper du poing sur la table et de le reprendre ? Bien utilisée, la communication est une arme redoutable ! À bon entendeur ...
Chers parents,
Ne croyez pas juste que "s'il y a quelque chose, mon enfant m'en parlera !" même si vous avez eu une discussion avec lui et que vous pensez avoir été très clair sur ce point ! Comme dit plus haut, si à l'école on lui dit que c'est rien, il ne jugera pas forcément utile d'en parler à ses parents. Il faut s'inquiéter dès lors qu'il ne parle plus de ses journées, dit avoir souvent mal au ventre pour ne pas aller en cours, semble perdre goût à tout / se réfugie dans une activité spécifique ou que les notes baissent d'un coup.
Donner le droit à vos enfants de se défendre ! Attention, il n'est pas question d'aller péter les dents de tout le monde à la moindre réflexion ni de créer un fightclub ! Certainement pas ! Mais soyons logiques : on dit aux enfants que la violence ne résout rien, que se battre c'est mal ... mais si lorsque quelqu'un prend l'initiative de commencer gratuitement, on minimise la plainte de la victime... à qui on donne raison, finalement ? J'estime alors que si un enfant s'est fait frapper par un autre et que le corps enseignant ne fait rien (ou ne peut pas ...) alors la moindre des choses est de permettre à la victime de se défendre. L'enfant qui a commencé pourra alors comprendre que ce qu'il fait a des conséquences et peut se retourner contre lui ! Vous connaissez certainement le principe du "Ne fais pas ce que tu ne veux pas qu'on te fasse !" non ?
Enfant timide ? Envisagez les arts martiaux ! Il ne s'agit pas simplement d'un sport de combat ! Ça a vraiment des vertus sur le corps et l'esprit. Ça favorise la maîtrise de soi, améliore la concentration, réduit le stress, permet de gagner en confiance en soi en réalisant ce de quoi nous sommes capables (maîtriser un adversaire dans un combat amical ou faire une démonstration de katas). Aussi, je précise, les professeurs d'arts martiaux vous répèteront inlassablement qu'on utilise les arts martiaux qu'en cas d'absolue nécessité !
Envisagez que vos petits chéris ne sont peut-être pas de petits anges à l'école. Les enfants adaptent leur comportement en fonction d'avec qui ils sont et de ce qu'on leur tolère. Si j'ai vite compris à l'époque que le personnel enseignant n'avait pas un grand pouvoir, j'étais certainement loin d'être la seule !
Petit mot de la fin ...
Je suis consciente que ce post' risque d'en choquer plus d'un et dans un sens c'est peut-être le but recherché. À chaque fois que je vois un article ou un reportage sur le suicide d'un enfant harcelé, avec à chaque fois un "L'établissement savait" ou "Ah bah on aurait pas pensé !" ... je serre fort les poings.
Si je me permets de faire ce post', c'est parce que j'ai pu me défendre. J'ai montré très vite quelles étaient les limites à ne pas franchir mais c'est loin d'être le cas de tout le monde. Par moment, je me demande comment ça se serait passé si je ne m'étais pas défendue. Jusqu'où ça aurait pu aller ?
Certes, mes préconisations dénotent clairement avec l'idée du monde sans violence qu'on essaie d'inculquer aux enfants ... mais rendons nous à l'évidence, si on refuse d'écouter les victimes et de leur apporter du crédit ... si on refuse de punir fermement les coupables pour faire entendre que le harcèlement scolaire n'est pas toléré ... que reste-t-il ?
Enfin sachez que je suis sincèrement désolée si mes propos peuvent choquer. Je ne souhaite pas prôner la violence mais la légitime défense. Encore une fois, si vous trouvez que je dois ajouter un label communautaire sur ce post, n'hésitez pas à me contacter par DM ou directement dans les commentaires.
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luciolebrune · 7 months
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Pour lutter contre le harcèlement scolaire, #GabrielAttal veut des cours d’empathie, sur le modèle danois. Il devrait y songer pour son patron #Macron.
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marienbref · 8 months
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⚠️ Le harcèlement, on en parle ?
C’est un sujet souvent banalisé, et pourtant il existe depuis si longtemps.
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En gros ça ressemble à ça :
Si tu est témoin de ce genre de situation, je t’en pris, essaie de faire quelque chose pour éviter que ça se reproduise 🙏
Je te propose de me donner ton sujet pour ma prochaine vidéo juste ici : 👇
https://instagram.com/marien_bref?igshid=OGQ5ZDc2ODk2ZA==
À bientôt pour mon prochain post ☀️
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lerefugedeluza · 2 months
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Nouvelle vidéo ♡ 
Je lance un nouveau concept de vidéo : Phœnix. 
À partir d’une interview et de bouts d’images de la vie quotidienne de l’interviewé(e), j’essaie de montrer que malgré les souffrances et les épreuves traversées, le bonheur est toujours possible et la vie vaut le coup d’être vécue ! 
Pour ce premier épisode et rebondir sur ma vidéo précédente,  Alexandre a accepté de parler du harcèlement et de l'homophobie qu'il subissait au lycée. 
Je vous laisse regarder, n'hésitez pas à mettre des commentaires bienveillants sous la vidéo, il les lira tous et ça lui donnera de la force ♡ 
Pensez à partager, ça aide beaucoup ! 
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cultureegalite · 1 year
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Au taf un soir. Un des agents de sécurité a un regard collant qu’on sent même le dos tourné. Il essaye de flirter pdt toute la soirée malgré mes efforts pour lui faire comprendre que je ne suis pas intéressée. Vers la fin il me demande si veux sortir avec lui et je lui dis que non. Il veut savoir pourquoi et je lui dis que je ne suis pas intéressée. Événement fini, je vais fermer une pièce un peu à part, il est à nouveau là et demande encore pourquoi je ne veux pas sortir avec lui. Je lui donne la même réponse et il insiste et je suis très consciente qu’on est seuls dans une pièce mal éclairée et un peu loin du reste. J’ai fini par donner une excuse bidon après avoir un 5e “je ne suis pas intéressée”. Les gars “gentils” mais lourds font aussi partis du problème.
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freddieraimbow74 · 1 day
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photosansapp · 3 days
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— « Bourreau » : comment ça se conjugue au féminin ?
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editionskelach · 22 days
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Parchemin reçu par corbeau voyageur au siège des Éditions Kelach à destination des lecteurs et lectrices :
« Bonjour, bonjour, permettez-moi de me présenter : comte Victio de Corvus, époux de Columba de Corvus et, hélas !, gendre malmené par Bellis de Corvus. Dans “Comment se débarrasser (encore et toujours) d’un spectre sans gêne ?”, je vous donne quelques conseils pour vous débarrasser de votre belle-mère si ladite revient vous hanter sous forme ectoplasmique. (Entre nous, je l’appelle la sangsue, mais chut ! N’allez pas le lui révéler, sans quoi ça va encore être pour ma pomme.)
Le nom de celle qui m’a pourri l’existence en inventant le personnage de Bellis ? Oh mais oui, je vais vous le balancer : il s’agit de Clémence Chanel. Retenez bien le nom de la fourbe… Si je la coince, je lui fais sa fête !
Qu’Eusèbe veille sur vous !
Victio de Corvus
Personnage en souffrance »
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grompf3 · 25 days
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Une toubib harcelée et diffamée depuis 4 ans : l'occasion de faire un petit rappel sur "l'affaire Fact & Furious"
Vous en avez peut-être entendu parler.
Karine Lacombe, une toubib qui avait osé s'exprimer publiquement en début de pandémie, dénonçant les mensonges et le charlatanisme, a payé un prix très cher et continue de le payer.
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4 années de dénigrement, d'insultes et de menaces.
En ce moment se tient un procès suite à une plainte de sa part contre Pierre Barnérias, Martine Wonner et Christian Perronne.
Au moment où j'écris ce billet de blog, on ne sait pas quel sera le verdict, mais on a eu quelques infos sur le déroulement de l'audience :
Voyez notamment les explications du "journaliste" Pierre Barnérias sur les accusations portées contre Karine Lacombe :
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Karine Lacombe accusée d'avoir touché une grosse sommes "des labos"... Mais en fait il n'est pas sûr de la somme. Et en fait ça ne concernait pas Karine Lacombe, ou du moins pas cette Karine Lacombe-là. Et de toutes manières on ne sait pas trop.
Et le gars fait du "journalisme", donc...
Sur ce genre de bases, ça fait 4 ans que cette toubib se fait accuser, entre autres, d'avoir encaissé du pognon pour mentir à la population sur le Covid, les traitements, etc.
Si vous traînez sur Twitter, vous verrez passer pas mal de messages reprenant ces accusations lancées contre elles, voire d'autres type de saloperies.
Voyez par exemple ce tweet, publié en référence à ce procès. Regardez bien :
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les chèques qu'ell a réçu¨- et ils ne sont pas petits - vont devoir venir sur la table
Et vous constatez naturellement que ces accusation ne sont jamais étayées.
Je vous parlais de ce personnage il y a peu, dans un autre billet de blog :
(Évitez donc de critiquer Martin Zizi : on pourrait vous accuser de harcèlement...)
Donc, là, vous voyez, on est dans du bien crade.
Et des messages de ce genre, il y en a plein.
Et si vous êtes du genre à vous intéresser aux questions de désinformation en lien avec la pandémie, vous aviez peut-être vu passer ça, fin 2020.
3 femmes médecin, dont Karine Lacombe, dénonçaient le harcèlement dont elles étaient la cible depuis le début de la pandémie, pour avoir essayé d'informer au mieux le public.
Mais je voulais vous parler de "l'Affaire Fact&Furious", une affaire à laquelle je me suis beaucoup intéressé.
Et à laquelle je compte m'intéresser encore.
Ceci peut vous aider à vous remettre dans le bain, si vous ne situez plus trop cette affaire :
Et le lien avec le procès en cours ?
Lisez ça :
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Article de France Soir, daté du 28 novembre 2022.
C'est pas très clair. Ça fonctionne beaucoup sur l'insinuation. Mais posé dans l'ensemble de l'article, ça laisse l'impression d'une vaste conspiration, avec un Antoine Daoust (le fondateur de Fact&Furious) en exécutant des basses œuvres commanditées par quelques obscurs personnages, dont Karine Lacombe.
Surtout que, parallèlement, Xavier Azalbert, le patron de France Soir, allait plus loin sur Twitter, toujours à coup d’insinuations, sans rien étayer sérieusement, avec des trucs du genre :
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L'article de France Soir marquait le début de cette "affaire Fact&Furious", avec une vidéo sortie quelques jours plus tôt, sur la chaîne d'Idriss Aberkane, et une deuxième vidéo diffusée sur Radio Courtoisie.
Je vous laisse écouter un extrait de la vidéo de Radio Courtoisie. C'est assez court.
2 petites minutes.
Vous voyez le genre ?
Alors entre l'article de France Soir, les tweets d'Azalbert et les vidéos d'Aberkane...
...Vous imaginez ce qui a suivi sur les RS ?
Je vous mets ici un petit échantillon de ce qui circulait à l'époque (et qui n'a jamais cessé).
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Je précise que Karine Lacombe n'était pas la seule personne visée par ces pseudo-révélations. Mais c'était une des cibles principales, d'autant plus qu'elle venait d'être relaxée dans un procès intenté contre elle par Didier Raoult, ce qui avait exacerbé la haine contre sa personne.
Conspiracy Watch avait consacré à l'époque un article à cette affaire. Je mets ici un lien, avec un petit extrait :
Quand la complosphère lance une campagne de dénigrement des « fact-checkeurs » Sur Twitter, Xavier Azalbert dresse une liste de « noms des personnes impliquées avec Fact and Furious et/ou commanditaires ». On y retrouve l'infectiologue Karine Lacombe (récemment relaxée des poursuites en diffamation engagées contre elle par Didier Raoult), les journalistes Pierre Plottu et Maxime Macé (qui collaborent régulièrement à Libération, à Street Press et ont également collaboré à Conspiracy Watch), le vidéaste Sylvain Cavalier, de la chaîne anti-complotiste « Débunker des Etoiles », Thomas Durand, de la chaîne sceptique « La Tronche en Biais », Ari Kouts, consultant en services numériques, ainsi que Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt (Conspiracy Watch). Tous ont pour point commun d’avoir usé de leur droit à critiquer la ligne éditoriale conspirationniste de FranceSoir ou encore les fausses informations et contenus à caractère complotiste propagés par Idriss Aberkane.
Et cela continue encore aujourd'hui. Les récits autour d'une soit-disant obscure officine des fact-checkers, consacrée au harcèlement et au dénigrement, ce récit continue d'être diffusé. Avec Karine Lacombe dans un des rôles principaux.
Voilà.
C'était juste un petit rappel sur ce qu'a été et sur ce qu'est "l'affaire Fact&Furious". Celles et ceux d'entre vous qui ont un peu suivi cette triste et terrible histoire n'ont rien appris de nouveau en lisant ce billet. Mais il y a peut-être des gens qui en ont vaguement entendu parler, sans plus, et qui ont peut-être pu découvrir des choses qu'ils ne savaient pas.
Dans l'immédiat, je vous propose de suivre ce procès en cours, contre Pierre Barnérias, Christiant Perronne et Martine Wonner.
Et nous aurons l'occasion de revenir sur cette "affaire Fact&Furious".
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